EPIGRAPHE
« Vaut mieux l'entrepreneur qui apprécie
les rôles que doit jouer son entreprise en ce sens qu'en lui étant
fructueuse, cette dernière sera en revanche profitable à la
communauté »
LAURENT MWENZE
DEDICACE
Au père céleste, Dieu tout puissant, Dieu de
notre seigneur Jésus-Christ, et mon Dieu pour la vie qu'il ne cesse de
nous donner, sa grâce et son amour infini a voulu que nous soyons ce que
nous sommes aujourd'hui, nous le remercions infiniment.
A ma très chers mère, CLEMENTINE KALUBI LONJI ;
vous qui m'avez donné la vie et m'avez aidé à
découvrir le monde que ce travail vus soit un indice de beaucoup
d'affections, fruit de vos privations. Recevez-le comme un cadeau;
A vous tuteurs, KUMWIMBA ILUNGA JOSE et ma soeur adorée
MWEPU SAFI BIJOU pour tous les sacrifices consentis à mon égard,
soutient tant matériel, financier que moral à mes études
et à la transformation de ma vie, qui grâce à vous, nous
sommes devenus des personnes utiles dans la société. Que ce
travail soit pour vous, un indice de reconnaissance. Recevez-le comme une perle
d'or ;
A vous tous frères et soeurs, nièces et neveux,
DIKWANGULA MABILU, KAFUNTSHA ANASTAS, NADEGE KAMWANYA, FABIENNE KALUBI, SAMUEL
UMONEKA, GLOIRE KUMWIMBA, GLODY KIKUDI, ALLIANCE MALALE, KIKOMBA CLEMENTINE;
A mes amis, MASIYA JONATHAN, AKILIMALI BARTHELEMY, YANICK
KATATU, YANICK KAYEMBE, KABANGO USENI, ROUSSELLE MASANGU.
AVANT-PROPOS
Ce travail est le fruit des efforts conjugués de
plusieurs personnes qui, de près ou de loin ont contribué
à sa matérialisation. En signe de gratitude, nous aurons un
devoir de témoigner notre reconnaissance à tous ceux qui ont
apportés un plus à la réalisation de cette oeuvre.
Nous pensons premièrement au chef des travaux CHRISTIAN
KAKUDJI, pour avoir accepté de diriger ce travail en dépit de ses
multiples occupations.
A cet hommage, nous associons le corps professoral et
administratif de l'UNIKAM pour le sacrifice consenti durant notre formation.
Qu'il nous soit permis de remercier nos collègues et
amis qui ont tant bien que mal, manifesté leur manque de sympathie
à notre MULONGO CARINE.
En tout cas, le moindre que nous puissions dire,
répondre sans fausse modestie, et que nous nous réalisons qu'au
terme de ce premier cycle, nous ne savons rien. « Tout ce que je sais et
que je ne sais rien, disait Socrate. C'est pour nous une lueur d'espoir, car
nous pouvons semble-t-il prétendre quand même une connaissance,
à un savoir et, c'est espoir que nous avons rédigé ce
travail ».
MWENZE POURCHENY LAURENT
Le deuxième a parlé de l'analyse de la
littérature, dont le premier point traite des théories
explicatives, le deuxième point porte sur les évidences
empiriques et le
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