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Développement local et population. Quelles participations? Cas du département de grand-Bassam.

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par Topra Guy Venance GNAKO
Université Félix Houphouet Boigny - Abidjan- Cocody - Maîtrise de recherche 2012
  

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2-1-2- Revue de littérature

Le développement local comme moteur de l'essor économique,
social et culturel d'une nation

Dans nos Etats africains, nombreux sont les projets qui ont été parachutés soit par les organisations internationales vers nos Etas (P.A.S-Plan d'Ajustement Structurel) ou soit de nos Etats vers les communautés rurales. Cette façon de concevoir le développement ne prend pas en compte les paramètres culturels et les aspirations réelles des populations.

Judi Aubel (2006)35 le fait remarquer si bien en notant : « Au cours des cinquante dernières années, des programmes d'aide au développement ont été lancés sur une grande échelle. Cependant la plupart des programmes communautaires, dans différents secteurs, ont prêté peu d'attention et d'importance aux réalités et ressources culturelles locales.»

Pourtant, la contribution des populations et la prise en compte de leurs besoin est un gage de réussite des projets. Selon Judi Aubel (2006) de nombreux avantages peuvent être tirés des programmes de développement fondés sur des

34 Pierre-Jean ROCA, le développement local et les associations : gouvernance et subsidiarité in les Acteurs du développement local durable en Algérie : comparaison Méditerranéenne. Actes du colloque ORAN 12, 13,14 Mai 2003.p21

35 Judi AUBEL, Utilisation d'une ressource culturelle négligée dans les programmes de développement : le réseau des Grad-Mères et la communication participative pour le développement. Conférence mondiale sur la communication pour le développement, Rome : 25-27 Octobre 2006 disponible sur www.grandmothertherproject.org/?page_id=43&lang=fr

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valeurs et des structures culturelles existants. Les programmes implantés sur des bases culturelles sont plus appropriés aux communautés, et ceci tend à augmenter aussi bien leur sentiment d'appartenance que leur participation à de tels programmes. En outre, les programmes culturellement appropriés augmentent la confiance de la communauté en ses propres ressources et en ses propres capacités à progresser et à se développer. En effet, pour Rogers cité par Jiang Wang36 chaque société a sa propre force et porte ses propres faiblesses ancrées dans sa culture. Chaque culture vivante réagit aux changements de son environnement.

C'est ici que le développement local prend toute son importance. En effet, le sommet de Montréal (2002)37 sur le développement local définit ce concept comme : « un processus grâce auquel la communauté participe au façonnement de son propre environnement dans le but d'améliorer la qualité de vie de ses résidents [...] Cette approche est avant tout un phénomène humain où les projets et l'action, plus que les institutions et les politiques, mobilisent l'ensemble des intervenants de la communauté. »

Si l'objectif du développement est la satisfaction des besoins des populations tant sur le plan de l'alimentation, de la santé que de l'éducation et du cadre de vie, cela ne peut se faire sans la participation des populations concernées. Notre pays, la Côte d'Ivoire, a beaucoup à faire dans le domaine du développement. Il suffit seulement de lire le point 22 du DSRP 2009 pour comprendre l'ampleur de la tâche. Le document dit ceci : « Au terme des concertations dans les pôles de développement et des consultations thématiques sectorielles les problèmes ci-après ont été relevés : le capital de confiance entre les populations vivants en Côte d'Ivoire s'est considérablement détérioré, de nombreuses infrastructures publiques ne sont plus fonctionnelles, les populations sont confrontées à une insécurité grandissante, les performances macroéconomiques sont soumises à des pesanteurs

36 Jiang WANG, Place et role de la communication dans le développement international, PartieIII ;Chap 6 :vers le nouveau développement le cas de la chine et de l'inde, p87

37 Sommet de montréal sur le développement local, 9 Avril 2002 disponible sur
www.ville.montréal.qc.ca/pls/portal/docs/.../developpement local.pgf

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récurrentes l'emploi est également précaire et les demandeurs d'emploi éprouvent

des difficultés d'insertion, le système éducatif est désorganisé, le niveau
d'encadrement, les ressources financières et l'accessibilité aux services de santé sont faibles. »

Voici l'état de développement dans lequel se trouve notre pays. C'est dans cet atmosphère délétère que nous devons satisfaire à l'horizon 2015 aux OMD qui sont au nombre de 8 (Huit) :

1- Réduire l'extrême pauvreté et la faim

2- Assurer l'éducation primaire pour tous

3- Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

4- Réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans

5- Améliorer la santé maternelle

6- Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d'autres maladies

7- Assurer un environnement durable

8- Mettre en place un partenariat mondial pour le développement

Face à tous les défis que nous venons d'énumérer, la participation de toutes les filles et de tous les fils de la communauté devient une nécessité. Le développement local se présente donc comme une alternative souhaitable et louable. En effet, le sommet de Montréal (2002) définit ses objectifs comme suit :

- Le développement local vise à améliorer le cadre de vie des populations de la communauté pour qu'elles puissent profiter d'un environnement sain et agréable.

- Il vise également à améliorer leur milieu de vie pour qu'elles puissent s'épanouir dans une communauté qui leur offre plusieurs occasions sociales et culturelles.

34

- Il cherche à augmenter le niveau de vie afin que chacun dans la communauté puisse travailler et donc gagner un revenu pour pouvoir profiter des avantages de la communauté (création d'emploi et répartition de la richesse)

Ensuite, l'outil privilégié du développement local est l'approche participative. Elle permet l'association active et responsable des populations. Pour la FAO (1995), l'approche participative est fondée sur l'établissement d'un dialogue permanent entre population et agent technique, sur le respect mutuel et le principe du partenariat, ainsi que sur la reconnaissance du savoir-faire local. A ce titre, elle doit être considérée comme une méthodologie d'intervention en milieu rural qui permet la prise en charge progressive et concertée des actions de développement.

Avec la politique du développement local et de l'approche participative, les projets de développement ne sont plus des cadeaux qu'un prétendu père Noel offrirait aux populations mais plutôt une action concertée dont la réalisation est la conjugaison des efforts et de l'intelligence des gouvernants locaux et des populations. Le rapport mondial sur le développement humain de 2003 dit ceci : « La participation des populations dans le développement devient le problème central de notre époque. »

Pour que le développement local se déroule dans un environnement paisible où aucun conflit de compétence ne vienne perturber les actions des gouvernants locaux, les pouvoirs publics se doivent de mettre en place un cadre législatif et juridique adéquat.

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La décentralisation comme cadre juridique et réglementaire
du développement local.

Parler de développement local sans faire allusion à la décentralisation est un leurre. En effet la décentralisation administrative et politique se présente comme l'architecture législative et juridique idéale pour un développement local réussi. Rosnert Ludovic ALISSOUTIN (2008) le dit si bien à travers ces mots : « Vouloir appréhender le développement local, sans intégrer dans l'analyse la décentralisation territoriale, qui est une donnée juridique tangible, conduirait à une analyse incomplète. Les collectivités locales, actrices incontestables du développement local sont le résultat de la mise en oeuvre de la politique de décentralisation et ont vocation à concevoir, à programmer et à mettre en oeuvre les projets de développement économique, éducatif, social et culturel dans l'espace décentralisé. »38

La décentralisation est selon le Pr René DEGNI-SEGUI cité par Dr KOFFI Ehui Bruno « le procédé technique qui consiste à conférer des pouvoirs de décision à des organes locaux, autonomes, distincts de ceux de l'Etat. Ces organes locaux, appelés autorités décentralisées, règlent des problèmes d'intérêt local, tandis que l'autorité centrale prend en charge ceux présentant un intérêt national. Ainsi, les problèmes intéressant la commune ou le département sont réglés par leurs propres représentants que sont respectivement le Maire ou le Président du conseil général. La décentralisation appelle l'idée d'autonomie [...] cette autonomie se matérialise dans la personnalité juridique reconnue à la collectivité décentralisée et qui implique un transfert de pouvoir à une personnalité publique, autre que l'Etat et inférieur à celui-ci. »

Nos Etats africains ont très souvent rusés avec la décentralisation, ce qui par moment crée des tensions entre le gouvernement central et les gouvernants

38 Rosnert Ludocic ALISSOUTIN, Les défis du développement local au Sénégal, CODESRIA, 2008 (Disponible sur http://www.codesria.org/img/pdf/o-défis-du-developpement.pdf )

36

locaux. L'observatoire de la décentralisation fait cette remarque en ces termes : « Les mandatures municipales des années 2000 ont donné à voir des échanges dynamiques et parfois rudes entre les gouvernements centraux et les gouvernements locaux sur la question des transferts de compétence et de ressources »39

Pourtant, la décentralisation a ses règles, ses principes et ses exigences. En effet, pour le FPI40, la décentralisation repose sur des organes élus ayant des compétences propres dotées d'une personnalité juridique et d'une autonomie financière qui réduisent la pesanteur de la tutelle. Le FPI continue pour dire que la décentralisation repose donc sur quatre (4) piliers importants à savoir :

- Les collectivités locales ou territoriales,

- Le transfert effectif de compétence aux collectivités territoriales,

- L'autonomie financière,

- La réduction de la pesanteur de la tutelle.

La décentralisation consiste donc à transférer certains aspects du pouvoir central vers des collectivités locales qui seront à leur tour chargées par leur génie d'impulser le développement local. Mais comme le fait si bien remarquer Laurent N'guessan ZOUKOU41 : « il ne s'agit pas pour le peuple d'abdiquer tous ses pouvoirs entre les mains de quelques individus quels que soient leur dynamisme et leur bonne volonté. Le peuple doit participer de très près à la gestion de ses propres affaires. »

La décentralisation a pour rôle à travers le développement local de créer une saine émulation entre les différentes régions du pays et contribuer efficacement à la réduction des disparités. Pour cela la participation des populations devient une problématique essentielle. C'est seulement la participation des populations qui peut garantir la pérennité des projets.

39 Observatoire de la décentralisation, état de la décentralisation en Afrique, Karthala Ed. 2007, p20

40 Laurent GBAGBO, Gouverner autrement la Cote d'Ivoire, L'harmattan, Paris, 1999. p26

41 Laurent N'guessan ZOUKOU, région et Régionalisation en Cote d'Ivoire, l'Harmattan, Paris, 1990, p15.

37

Si nous concevons que le développement local participatif est la clé de tout essor économique et social, la communication est la condition de la participation.

Le rôle de la communication dans le développement
local participatif.

Nous commencerons cette partie par une réflexion de la FOA(1998) : « Elément essentiel du développement d'un pays, la communication ne pouvait demeurer dans la léthargie dans laquelle la plongeait certains gouvernants qui l'utilisaient avant tout comme instrument de propagande politique, comme griot du pouvoir. »

La communication a été pendant longtemps utilisée par nos gouvernants comme un moyen privilégié pour faire le culte de leur personnalité. Et pourtant, cet outil important devrait d'abord et avant tout être mis à la disposition du développement. Nos populations africaines sont très souvent spectatrice du développement parce que ne sachant exactement ce que recouvre ce concept.

La communication pour le développement selon la FAO (1998)42 est un processus social destiné à établir un dialogue véritable et permanent entre les différents acteurs du développement, à susciter, appuyer et accompagner les initiatives prises par consensus afin de jeter les bases d'une gestion concertée indispensable à la réussite des projets. Les médias sont donc considérés comme des outils servant à déclencher et à accompagner ce processus.

42 Mali : Politique national de communication pour le développement, FAO, Rome, 1998, p.2

38

Quel est donc le rôle de la communication dans un programme de développement ?

Selon les résultats d'un atelier organisé par le CAMPC en juillet 2009, la communication joue plusieurs rôles dans le développement à savoir :

- Identifier les besoins de la communauté

- Motiver la communauté à prendre part aux activités

- Combattre les rumeurs

- Faire un choix informé

- Utiliser correctement les méthodes et pratiques recommandées

- Assurer la continuité

- Permettre la réadaptation du programme durant son déroulement

- Renforcer les acquis

La communication doit se bâtir autour d'une stratégie, avec des outils communicationnels pour accompagner efficacement le processus de développement.

? La stratégie de communication pour le développement

En matière de développement, pour que la communication soit efficace, il est nécessaire voir impérieux d'élaborer une stratégie. Il ne s'agit pas de faire deux ou trois communiqués à la télé, à la radio ou dans la presse écrite pour dire qu'on fait de la communication.

Jean Pierre ILBOUDO nous le fait très bien remarquer en disant que « le constat général dans les projets et programme de développement est que l'on trouve des plans média en lieu et place de véritable stratégie de communication.»43

43 Guide méthodologique d'élaboration d'une stratégie de communication multimédia, FAO, Niamey 2002, préface.

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En communication pour le développement, la stratégie est selon la FAO (2002) : « un plan-cadre comprenant une combinaison d'interventions de communication capable de susciter les changements nécessaires en matière de connaissance, d'opinion, d'attitude, de croyance ou de comportement au niveau de la population visée en vue de résoudre un problème de développement, selon un calendrier donné et compte tenu des ressources disponibles. Elle constitue un engagement et une boussole permettant de mobiliser et d'orienter les actions et les énergies des différents partenaires.»44

Une stratégie en communication pour le développement débute par une bonne recherche. Cette recherche permettra de recueillir des données quantitatives et qualitatives sur la croyance des populations, leur culture, leur pratique et leur mode de communication. En somme, la recherche nous permettra une meilleure connaissance de notre population cible. C'est à partir de ces données que l'on établira les objectifs de communication et toute la stratégie dont fait partie le plan média. Le plan média n'est qu'une partie de la stratégie de communication elle n'est pas la stratégie.

Silvia BALIT (2004)45 citant Anyaegbunam, Mefalopoulos et Moetsabi (1998) le mentionne si bien en ces termes : « La recherche pour la conception et la production de programmes de communication devient un processus interactif, permettant à la communauté d'exprimer ses problèmes et d'apprendre sur elle-même. Cela garantit que le processus de développement initié reflètera les perceptions et les réalités de la communauté rurale, encourageant ainsi la durabilité de l'innovation en matière de développement. »

La stratégie de communication se distingue également d'une politique de communication et d'une campagne de communication. En effet pour la FAO (2002) une politique de communication est un document écrit qui fixe les finalités, les grandes lignes directrices et les standards devant guider l'utilisation

44 Op cit, p22

45 Silvia BALIT, La communication pour les groupes isolés et marginalisés ; 9ème table ronde des Nations Unies sur la communication pour le développement. Septembre 2004, Rome Italie.

40

et l'organisation de la communication pour atteindre les buts de développement. La campagne de communication quant à elle est un ensemble coordonné d'activités de communication médiatique et non médiatique menées de manière intensive sur une période relativement courte et dans un espace donné en vue d'atteindre des effets précis.

La stratégie de communication est un processus et une planification bien cohérente. Plusieurs modèles de planification existent. Nous allons présenter trois modèles :

Le processus en onze étapes de Sylvie COHEN (FNUAP, 1993)46

1- Identifier les objectifs de communication et ceux du programme

2- Sélectionner les groupes d'auditoires, par ordre de priorité

3- Identifié les changements souhaités pour chaque cible

4- Identifier les facteurs du milieu favorables ou défavorables aux changements souhaités

5- Déterminer les types d'activités d'IEC nécessaire pour provoquer les changements

6- Exposer les grandes lignes de message clés et des stratégies de message

7- Déterminer la gamme des canaux de communication

8- Identifier des stratégies d'organisation et de gestion (y compris suivi et évaluation)

9- Calculer le montant des ressources nécessaires pour mener les activités

10- Prévoir des délais réalistes pour les actions à mener ainsi que leur chronologie

11- Examiner la stratégie, l'adapter et la faire adopter

46 Guide méthodologique d'élaboration d'une stratégie de communication multimédia, FAO ; Niamey 2002, p9

41

Le Processus P47

1- Analyse

2- Conception de la stratégie

3- Développement de message et de matériel

4- Gestion, mise en oeuvre et suivi

5- Evaluation d'impact

Guy BESSETTE (2004) en dix étapes48

1- Etablir une relation avec la communauté et approfondir sa compréhension du contexte local;

2- Faire participer la communauté;

3- Identifier les groupes communautaires et les autres intervenants concernés par le problème et l'initiative de développement;

4- Déterminer les besoins et établir les objectifs et les activités de communication;

5- Choisir les outils de communication appropriés;

6- Préparer et pré tester les contenus et le matériel de communication;

7- Faciliter la mise en place de partenariat et réviser la planification;

8- Etablir un plan de suivi et de mise en oeuvre;

9- Assurer le suivi et l'évaluation de la stratégie de communication;

10- Mettre au point une stratégie d'utilisation des résultats.

En conclusion nous pouvons dire que l'élaboration d'une stratégie en communication pour le développement requiert rigueur, professionnalisme, travail d'équipe, participation et créativité. Elle demande aussi une bonne connaissance des outils de communication.

47 Guide méthodologique d'élaboration d'une stratégie de communication multimédia, FAO ; Niamey 2002, p8

48 Guy BESSETTE, Communication et participation communautaire : guide pratique de communication pour le développement, presse de l'université de laval 2004, p22.

42

? Les outils de communication.

Pour Alain KIYINDOU (2006)49, ces outils sont les différentes composantes des médias. La FAO (1998) les listes comme suit :

- Les médias de masse

- Les médias de proximité ou médias interpersonnels - Les médias rural ou médias communautaires

Guy BESSET (2004)50 quant à lui insiste sur les critères qui doivent prévaloir dans le choix des outils de communication : « Trois critères semblent particulièrement utiles dans le choix des outils de communication : leur utilisation réelle dans la collectivité, le coût de leur utilisation et les contraintes qui en découlent, ainsi que leur polyvalence. Dans la mesure du possible, il faudrait compter d'abord sur les outils de communication déjà utilisés dans la collectivité locale pour échanger de l'information et des idées, ou sur les outils avec lesquels les gens se sentent le plus à l'aise. Avant de prendre une décision, il faut aussi tenir compte de facteurs liés aux coûts et à la durabilité, ainsi qu'aux différents types d'utilisation. »

49 Alain KYINDOU, De l'usage des médias alternatives pour le développement in place et rôle de la communication dans le développement international, presse de l'Université du Québec, 2006, p. 65.

50 Guy BESSET, Facilité le dialogue, l'apprentissage et la participation en gestion des ressources naturelles, 9ème table ronde sur la communication pour le développement, FAO, Septembre 2004 ; Rome Italie

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"Un démenti, si pauvre qu'il soit, rassure les sots et déroute les incrédules"   Talleyrand