5.7.4 Consommation d'énergie
Tenant compte du modèle énergétique que
nous utilisons et de l'analyse de la consommation de cette dernière,
nous remarquons que c'est le cluster-head qui dépense le plus
d'énergie, car c'est lui qui fait plus de transmissions de paquets dans
son cluster. Ceci est illustré par la courbe de la figure 5.6 où
nous pouvons observer que l'énergie du cluster-head décroit plus
rapidement que celle d'un noeud ordinaire. Nous avons utilisé les
moyennes des dépenses énergétiques des cluster-head et des
capteurs ordinaires pour réaliser cette courbe. Nous supposons que
chaque noeud dispose de 100 unités d'énergie. L'émission
et la réception d'un paquet d'information coûtent chacune une
unité d'énergie. On suppose aussi que lorsqu'un capteur est
éveillé, il
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CHAPITRE 5. NOTRE CONTRIBUTION : UNE APPROCHE DE PROTOCOLE DE
GÉOCASTING SÉCURISÉ DANS UN RCSF DÉPLOYÉ
DANS L'ESPACE (EN 3D)
![](Une-approche-de-protocole-de-geocasting-securise-dans-un-reseau-de-capteurs-sans-fil-deployes34.png)
FIGURE 5.6: Évolution de l'énergie des
capteurs
dépense un dixième de son énergie. Les
courbes de la figure 5.7 illustre les différents scénario de
l'évolution de l'énergie des capteurs lors du déroulement
de deux protocoles de géocasting dans les RCSFs à multiples sauts
à savoir le protocole présenté dans les travaux de Myoupo
et al. [49] et notre protocole.
![](Une-approche-de-protocole-de-geocasting-securise-dans-un-reseau-de-capteurs-sans-fil-deployes35.png)
FIGURE 5.7: Évolution de l'énergie lors du
déroulement de deux protocoles avec 400 capteurs
On remarque que l'approche que nous avons utilisé en 3D
et dans laquelle chaque capteur découvre ses voisins du même
cluster consomme moins d'énergie que l'approche présentée
en
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CHAPITRE 5. NOTRE CONTRIBUTION : UNE APPROCHE DE PROTOCOLE DE
GÉOCASTING SÉCURISÉ DANS UN RCSF DÉPLOYÉ
DANS L'ESPACE (EN 3D)
[49] dans laquelle la notion de cluster est un peu abstraite et
statique. .
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