b. Ne pas tout stocker dans le cloud
Il s'agit peut-être d'une évolution pour
sécuriser les objets connectés : stocker les données sur
des systèmes internes, comme pour les intranets, afin de limiter leur
circulation. Pour le moment le cloud est privilégié pour des
raisons d'accessibilité, mais les objets collectant des données
sensibles pourraient nécessiter une approche différente.
b. Ne pas tout connecter à
internet
Certains objets connectés n'interagissent que par
bluetooth. Par ailleurs, ne pas connecter massivement tout type d'objet
à internet est sans doute un principe de précaution à ne
pas négliger. Ceci pourrait faire l'objet de règlementations.
D'autant que pour certains objets, la valeur ajoutée est bien plus
intéressante que pour d'autres.
c. Eduquer les utilisateurs
C'est un enjeu énorme car bien des objets peuvent
être configurés avec des paramètres de
sécurité plus ou moins avancés, et le niveau de
sécurité maximal n'est pas nécessairement le mode de
configuration par défaut. Les objets connectés peuvent selon les
cas être interrogés à distance ou envoyer par
eux-mêmes des informations. Il est important de bien définir qui a
le droit d'accéder aux informations mises à disposition.
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