1
0. INTRODUCTION GENERALE
Il ne fait désormais plus aucun doute que
l'informatique est la révolution la plus importante et la plus innovante
qui a marqué la vie de l'humanité moderne. En effet, les
logiciels informatiques proposent maintenant des solutions à tous les
problèmes de la vie, aussi bien dans des domaines professionnels que
pour des applications personnelles. Et leurs méthodes de conception et
de développement ont vu l'avènement d'autant de technologies qui
facilitent leur mise en place et leurs donnent des possibilités et des
fonctionnalités de plus en plus étendues.
Il est certain et indubitable qu'avant nous, d'autres
chercheurs ont eu d'une manière ou d'une autre à
réfléchir et à écrire sur notre sujet
d'étude, étant donné que tout progrès scientifique
est cumulatif et n'est donc pas l'oeuvre d'un seul homme mais d'une
quantité de gens qui révisent, critiquent, ajoutent et
élargissent.
Notre travail s'intitule « Implantation d'un
système informatisé pour paiement de travailleurs dans une
entreprise commerciale ».
Nous ne prétendons pas être le premier à
vouloir aborder les contours ou les aspects au sein des Sociétés
Commerciales dans la mesure où beaucoup de nos
prédécesseurs s'y sont penchés.
1 . CHOIX ET INTERET DU SUJET
a) Choix.
Nul n'est sensé ignorer qu'à la fin de chaque
cycle de graduat, le chercheur est obligé de présenter son
travail de fin de cycle qu'il sera capable de défendre. Etant un
chercheur et étudiant finaliste en sciences de gestion informatique et
technique de secrétariat de direction du premier cycle, nous avons
opté pour un sujet qui cadre avec notre formation, ce dernier est
intitulé « Implantation d'un système
informatisé pour paiement de travailleurs dans une Entreprise
Commerciale » dont le champ d'action est la
Société DIVICOM/Tshikapa.
2
1 DIWULA E. Notes de cours Méthode de
recherche scientifique, G2 Gestion Informatique, ISC/T'PA, 2009-2010, p10,
inédites
b) Intérêt du sujet
L'intérêt que porte notre
étude est basé sur trois plans c'est -- à
-- dire personnel, social et scientifique.
? Sur le plan personnel : En
choisissant ce sujet, nous voudront lier la théorie
à la pratique
? Sur le plan social :
Interpeller les autorités dans leurs manières de payer
leurs travailleurs manuellement
? Sur le plan scientifique :
Donc le choix va servir de rayonner dans le monde des intellectuels
que nous nous inscrivons a partir
d'aujourd'hui. Et elle nous
permet de vivre la pratique de la théorie apprise lors de notre
formation académique.
2. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES
a) Problématique
La problématique est l'ensemble des
questions qu'un chercheur scientifique se pose en vue de
trouver la solution relative à sa
préoccupation.(1)
- De quelle manière s'effectue la
procédure de paiement des travailleurs ?
- De quelle manière se fait la gestion de
paiement des travailleurs au sein de DIVICOM ?
- Comment peut - on assurer une bonne
conservation et sécurisation des informations relatives à la
gestion de paiement des travailleurs ?
- Quels sont les renseignements fondamentaux qui
accompagnent ce paiement ?
- Quel est l'état des documents
archivés qui concernent le paiement des travailleurs ?
3
b) Hypothèse
Pour R.REZSOHAZY, « l'hypothèse cherche à
établir une version provisoire du problème soulevé en
évoquant la relation supposée entre les faits sociaux dont le
rapport constitue le problème et en indiquant la nature de ce rapport.
» (1)
En effet, l'hypothèse est une proposition admise
à titre provisoire pour servir de base à un raisonnement,
à une démonstration, à une explication et qui sera
vérifié par la conséquence ou par l'expérience.
(2).
Dans le cadre de notre travail, nous nous sommes
intéressés à l'implantation d'un système
informatisé pour paiement des travailleurs de Divicom/Tshikapa. A partir
de cette implantation, nous mettrons sur pied un progiciel et une base de
données dans un environnement Administrateur-Caissier, lesquelles nous
croyons alléger l'exécution de certaines taches de
DIVICOM/Tshikapa.
. METHODES ET TECHNIQUES
3
a) Méthodes
Une méthode est une procédure intellectuelle
suivie par le chercheur pour atteindre l'objectif qu'il s'est assigné
(3).
Elle est définie comme l'ensemble d'opérations
intellectuelles par lequel une discipline cherche à atteindre les
vérités qu'elle poursuit, les démontre et les
vérifie (4).
Au sein de notre travail de fin de cycle, nous avons
jugé d'utiliser trois méthodes scientifiques qui sont :
1 REZSOHAZY,R, Théorie et critiques des faits
sociaux, Bruxelles, la Renaissance du livre , 1971, p69.
2 DIWULA E., Note de cours de méthode de
recherche scientifique, ISC/Tshikapa, G3, 2009-2010, op.cit
3 Larousse
4 GRAWITZ, M., Méthodes des sciences
sociales,10ème édition, Paris, Dalloz , 1996, p.20
4
I. Méthode Merise
C'est une méthode de conception et de
réalisation des systèmes d'information qui nous a fourni un cadre
idéal pour le développement de notre sujet.
II. Méthode historique
Elle nous a permis de remonter dans le temps pour avoir un
aperçu général de notre terrain de recherche qui est
Divicom/Tshikapa et de mieux comprendre à travers cela le fonctionnement
de la gestion de paie des travailleurs.
III. Méthode analytique
C'est une méthode qui nous a permis à
décomposer les différents éléments du
système dans le but de définir et d'en dégager les
spécificités.
IV. Méthode structuro - fonctionnelle
Le mérite de cette méthode aura
été celui de nous permettre de procéder à l'analyse
et à l'étude de la structure et des postes de travail au sein de
l'organisation sous examen. Elle nous a facilité la tache de comprendre
les difficultés actuelles en analysant la structure et les fonctions
actuelles du système.
b) Techniques
Nous définissons la « technique comme
étant un outil dans la main du chercheur lui permettant
d'atteindre certaines vérités, un instrument au
service de la méthode qu'elle rend de plus en plus
concrète et de moins en moins abstraite ». pour
concrétiser nos méthodes, nous avons eu à recourir aux
techniques ci-après :
1°) TECHIQUE DOCUMENTAIRE
Cette technique nous a aidé de dépouiller un
certain nombre de documents tels que les ouvrages, les revues, les travaux de
fin de cycle ou d'étude, l'internet,...et surtout , les divers documents
tenus par l'Entreprise DIVICOM à Tshikapa.
5
Le deuxième chapitre cadre sur la présentation
de notre milieu d'étude à
l'Entreprise DIVICOM.
2°) TECHNIQUE D'UNE APPLICATION
Elle nous a aidées à résoudre le
problème de traitement de l'information.
3°) TECHNIQUE
D'INTERVIEW
L'observation peut être directe ou
indirecte ; quand elle consiste à faire usage des yeux
pour observer, elle est dite directe tandis que quand nous
passons par les intermédiaires au moyen d'interview
pour palper la réalité, elle est dite
indirecte.
Ces deux techniques nous ont aidé de palper les
réalités sur terrain en entrant en contact avec les personnes
compétentes en la matières.
4. DELIMITATION DU SUJET
? Dans le temps :
Nos investigations ont été étendues dans une
période allant de 2012 à 2014.
? Dans l'espace :
Notre étude a porté la Société
Divicom, dans la ville de Tshikapa et plus
précisément sur la gestion de paie des
travailleurs.
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL
La subdivision du travail précise le plan ou le
schéma succinct de l'exécution et de la
présentation du travail. Elle doit être conforme à la
méthode choisie.
Hormis l'introduction générale
et la conclusion générale, notre travail
s'articule autour de trois chapitres.
Le premier chapitre traite sur les concepts théoriques
de base, nous avons définit les concepts de base dont
la compréhension s'avère impérieuse et
avons présenté l'Entreprise Divicom dans les
moyens humains et matériels.
6
Le troisième chapitre porte sur la réalisation
de l'application, et à la mise au point
d'une application informatique sur une plate forme des
données c'est-à-dire une base de données
conçues en faisant les choix du Système de Gestion
d'une Base de Données à utiliser et un langage
de programmation approprié.
Une conclusion générale, enfin, viendra
étoffer notre travail, avec nos suggestion et perspectives
d'avenir.
6. DIFFICULTES RENCONTREES
Sans exception, dans tout travail de recherches scientifiques
les difficultés ne manquent jamais.
De notre part, nous avons enduré autant des
difficultés dont les plus marquantes sont entre autres : le manque de
temps à consacrer à la recherche, au stage, aux cours et sans
toutefois oublier les devoirs professionnels.
Malgré toutes ces difficultés, la volonté
de vaincre a été plus que tout et le résultat de nos
privations est matérialisé par ce travail innovant que nous
présentons aux autorités de Divicom pour la mise en application
de notre logiciel.
7
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LES CONCEPTS DE BASE
1.0. INTRODUCTION
En vue d'éviter toute sorte de confusion due
à la mauvaise compréhension de nos lecteurs, il est
nécessaire dans ce chapitre de définir correctement les concepts
de base qui constitue notre sujet.
IMPLANTATION ; SYSTEME ;
INFORMATISE ; ENTREPRISE ; COMMERCIALE ;
DIVICOM ; TSHIKAPA.
1.1. IMPLANTATION
C'est une action d'implanter Dans le cas
présent, c'est la mise en place du nouveau système de gestion des
informations. (5)
Implantation est un nom féminin qui signifie :
- Action d'implanter
- Implanter, insérer une chose dans une
autre (6)
Et en information implantation veut dire :
- Installer un logiciel ou sous système
donné en réalisant les adaptations nécessaire à
leur fonctionnement dans un environnement défini.
1.2. SYSTEME
Selon le Larousse illustré, un système
est un ensemble de moyen matériel, de logiciel mis en
oeuvre en vue d'une application spécifié ou d'un
ensemble d'application.
5)
www.journaldunet.com
6 Larousse illustré, République
Démocratique du Congo, édition 2009, p.523
8
Est un ensemble ordonné et structuré
(d'idées ou d''éléments en relation), envisagé
comme une toute logique. (7).
1.3. INFORMATISE
Selon le Larousse illustré, action d'informatiser fait
d'être informatisé.
Informatisé c'est le participe passé du verbe
informatiser, qui veut dire doter un service, un organisme de moyens
informatiques, en assurer la gestion par des moyens informatiques. Ou encore
assurer un service, résoudre un problème par l'informatique (ex :
Informatiser la paie d'une société, etc.) (8)
C 'est introduire les techniques informatiques, les
ordinateurs, dans un service, une organisation.
En plus informatisé est aussi une mise en place d'un
plan d'informatisation.
1.3.1. INFORMATIQUE
1
.3.1.1. ESSAI DE DEFINITION
Selon le dictionnaire Larousse, l'informatique est
définie comme étant le traitement automatique de l'information
sur ordinateur.
Selon IBM (International Business Machine soit
Entreprise de fabrication et de commercialisation des ordinateurs),
l'informatique est l'ensemble des disciplines scientifiques et techniques
applicables à la conception et à l'utilisation de la machine de
traitement de l'information. L'outil privilégié pour cette
gestion est l'ordinateur.
L'informatique est une science qui étudie le
traitement de l'information d'une manière automatique au moyen d'une
machine appelée Ordinateur.
7 Dicos Encarta 2009,
8
www.larousse-edu.fr
9
Depuis 1965, l'informatique
se définit comme une science du traitement automatique rationnelle de
l'information considérée comme support de
connaissances dans les domaines scientifiques,
économique et sociaux notamment à
l'aide de machine automatique qui est
l'ordinateur.
L'informatique est définie par le
dictionnaire petit robert 1996 comme la théorie et le traitement de
l'information par des programmes mise en oeuvre par
l'ordinateur. Par ailleurs certaines sources
définissent le mot informatique comme ensemble des techniques qui
permettent le traitement automatique des informations au moyen de
l'ordinateur par des programmes spécifique
appelés logiciels.
L'outil utilisé pour faciliter le
travail de traitement, de stockage et de transmission de
l'information demeure
l'ordinateur.
Le terme « informatique » vient de
la contradiction des deux mots « information »
et « automatique » il a
été proposé en 1962 par Philippe
DREYFUS.
A. INFORMATION
Une information est un renseignement ou un
événement qu'on porte à la connaissance
d'une personne, d'un public
ou ce qui peut-être transmis par signale ou une
combinaison des signaux. Elle est aussi définie par J.P MUKANYA comme
tout ce qui forme de manière significative une représentation
imagée de la réalité. L'information
n'est donc pas seulement une donnée brute mais,
c'est aussi la signification qui
l'accompagne (9)
B. AUTOMATIQUE
Ce mot désigne une tendance scientifique et technique
selon laquelle la machine accomplie les activités (travail
physique, la production des faits) un fait
peut-être automatique, naturel ou
automatique, artificiel.
1) Un fait est automatiquement naturel,
lorsqu'il n'est produit sans
intervention humaine.
9JP MUKANYA LUMU, Notes de cours de
l'Informatique Générale, ULKO/Tshikapa 2012-2013,
p.2, inédites
10
11
Ex : La levée et couché du soleil,
l'écoulement de l'eau dans une rivière, la tombé de
pluies.
2) Un fait est automatique artificiel quand il est
déclenché par l'homme, mais sa production ou son traitement se
fait sans aucune intervention manuelle. Ex : Une bande cassette qui joue dans
une radio, un ventilateur.
1.3.1.3. HISTOIRE
L'histoire nous révèle
que le terme informatique fut inventé par J.PENET et P.DREYFUS
sur demande de la société IBM en 1962. Il fut accepté par
l'académie française vers les années 1966.
Ce qu'il faut savoir, ce que ce mot fut pour la toute
première fois employé par Philippe DREYFUS, ancien Directeur du
centre national de calcul électronique de BUL dans les années
1950, lorsqu'il désigna son entreprise par : «
Société d'informatique appliquée » formule
à partir des mots « Informatique » et «
Automatique ».
En France, l'usage officiel du mot été
consacré par Charles de GAULLE qui, en conseil de ministres, a
tranché entre « Informatique » et «
Automatique » et le mot informatique fut choisi par
l'académie française en 1966 pour désigner la «
Science du traitement de l'information ».
Le terme Allemand « Informatik »
fut crée en 1957 par KARL STENBUCH qui a publié un essaie
intitulé Informatik, automatic information, VERNBEITUNG
(Informatique, traitement automatique de l'information).
Au mois de juillet 1968, le Ministre
Fédéral de la recherche scientifique d'Allemagne, GERRARD
STOLLENBERG ; prononça le mot informatik lors de son discours officiel
au sujet de la nécessité d'enseigner cette discipline dans les
universités Allemandes. En Italie et en Espagne cette science fut
désignée pour le mot « Informatica » tandis qu'aux
Royaumes Unis on parle de « Informatic ».
1.3.1.4. TYPES D'INFORMATIQUES
Il existe plusieurs sortes d'informatiques que nous
citerons sans toutefois penser à l'exhaustivité : Informatique
scientifique, Industrielle, de gestion, documentaire, sanitaire, domestique et
militaire etc.
a) INFORMATIQUE SCIENTIFIQUE
Elle consiste à aider les ingénieurs de
conception dans les domaines de l'ingénierie industrielle à
concevoir et à dimensionner des équipements à l'aide de
programmes de calcul à temps réel, réacteurs
nucléaires d'avions automobiles. Elle est utilisée dans les
bureaux d'étude et les entreprises d'ingénierie industrielle car
elle permet de simuler par la recherche rationnelle.
b) INFORMATIQUE INDUSTRIELLE
Elle est crée en 1977 avec l'apparition des
premiers ordinateurs dans le grand public (Apple, Tandy, Pit). C'est
l'informatique au service de l'individu ou informatique de poche.
c) INFORMATIQUE DE GESTION
Elle est une branche de l'informatique en rapport
avec la gestion de données (informatique) à savoir le
traitement en grande masse de quantité d'information.
d) INFORMATIQUE INDUSTRIELLE
C'est une informatique utilisée dans les
industries et regroupe la robotique, la C.F.AO (Conception et fabrication
assistée par ordinateur).
e) INFORMATIQUE DOCUMENTAIRE
C'est le domaine de l'informatique qui
s'intéresse aux informations sur les documents, c''est-à-dire les
publications, les éditions, lés auteurs, etc.
f)
12
INFORMATIQUE MEDICALE
Elle traite les informations sur les malades, les
interventions diverses sur les personnes.
g) L'INFORMATIQUE JURIDIQUE
L'usage de l'information pose nécessairement un
problème juridique dans la mesure où les droits et les devoirs
interviennent dans les organisations sociales.
1.3.2. ORDINATEUR
Ce concept a été inventé en 1956, par le
Français Jacques PERRET, à la demande d'IBM/France afin de doter
la langue Française d'un terme équivalent à «
Computer » ou Electronic Data Processing Machine qui signifie
« Machine électronique à traiter les données
». Ce mot a été formé a partir du latin
ORDO-ORDINIS qui signifie ordre, instruction, commandé. Il
désigne les machines capables d'effectuer automatiquement des calculs
logiques et arithmétiques.
Un ordinateur est une machine électronique permettant
à l'homme de réaliser des traitements automatiques et
raisonnables de l'information.
L'ordinateur est une machine électronique qui
fonctionne par la lecture séquentielle d'un ensemble d'instructions qui
font exécuter des opérations logiques et arithmétiques sur
des chiffres binaires.
L'ordinateur est un outil permettant de traiter l'information
automatiquement.
L'ordinateur est un calculateur électronique
doté de mémoires à grande capacité et de moyens de
calcul ultra rapide, pouvant adopter son programme aux circonstances et prendre
des décisions complexes.
En bref nous disons que l'ordinateur comme étant une
machine capable de recevoir les informations à travers ses organes
d'entrées des traites à grâce à l'unité
centrale de
13
10 Inédit
traitement (Central Processing Unity
(CPU)) et de restituer les résultats à
travers des unités de sorties ou encore un système
électronique dont le fonctionnement harmonieux concourt au traitement
automatique de l'information. (10)
On ne peut pas parler de l'ordinateur sans démontrer
son histoire et ces catégories.
a) Aperçu historique
L'histoire de l'ordinateur est gigantesque car son existence a
débuté il y a plusieurs années passées.
Sa première conception avait commencé chez les
babyloniens vers 2000 avant jésus christ ; on utilisait à cette
époque des cailloux pour compter. Au 1er millénaire
avant Jésus christ naît en Chine l'idée de fabriquer un
instrument qui facilitait le calcul : le bouclier.
Il fallait attendre en 1942, la construction de la
première machine à calculer par la philosophie et
mathématicien Blaise pascal, laquelle machine était capable
d'effectuer des additions et des soustractions.
Beaucoup d'autres savants avaient construit des machines pour
alléger le travail de l'homme. Il s'agit entre autres des Joseph Marie
Jacquard, de nationalité Française vers 1800 ; l'Anglais Charles
BABBAGE et de la mathématicienne Ada BYRON vers 1833 ;
l'Américain Herlan Hollerith vers 1990 et tant d'autres.
Signalons ici que c'est en 1945, pendant la guerre mondiale
qu'a vu le jour le tout premier ordinateur aux Etats-Unis d'Amérique du
nom d'ENIAC (Electronic Numerator Integrator and
Computer).
Cet ordinateur est le premier véritable ordinateur de
l'histoire parce qu'il se différenciait des autres machines
précédentes du fait qu'il étale une « machine
électronique » et en plus il était
aussi une machine programmable, pour dire
14
simplement qu'on peut enregistrer des
instructions qui s'exécutent sans intervention de
l'homme.
Ainsi l'ordinateur est une machine
électronique capable
d'acquérir,
d'effectuer des traitements,
d'effectuer automatiquement des calculs logiciels
et arithmétiques, de conserver, de
restituer les informations stockées ou
traitées.
b) Sorte des ordinateurs
Parce que parler des sorte d'ordinateur nous
parait très complexe quand on sait et l'on connait que
l'ordinateur est resté toujours cet automate traiteur
d'information qui est le même, nous
avons trouvé exact de parler en terme des «
Familles d'ordinateurs
».
Elles existent légion car elles dépendent en
général du format des ordinateur, en voici
quelques unes :
1) Les ordinateurs centraux (Mainframe)
: ce sont les ordinateurs possédant une grande puissance de
calcul, de capacité,
d'entrée sortie gigantesques et
d'un haut niveau de fiabilité.
2) Les ordinateurs personnels : parmi
les quels on distingue :
?? Les ordinateurs de bureau (desktop computer)
qui sont composés d'un boitier renfermant une
carte mère permettant de raccorder les différents
périphériques tels que le moniteur.
? Les ordinateurs portables
(lap top ou note book)
composé d'un boitier intégrant un
moniteur
dépliable, un clavier et un grand nombre
des
périphériques incorporés
3) Les Tablettes PC : ce sont des PC
qu'on appelé aussi des ardoises électronique
composés d'un boitier intégrant un moniteur
tactile ainsi qu'un certain nombre de
périphériques incorporés.
4) Les Assistants personnels (PDA
: Personnal Digital
Assistant), ce sont des ordinateur de
poche.
5) Net book : ce sont des ordinateurs
portables dotés d'un moniteur de petite dimension
(généralement 12 pouces)
15
et dont on a remplacé le disque dur par de la
mémoire
flash afin de réduire la consommation du
courant.
1.3.3 BASE DE DONNEES
La base de données a pris une place importante
en informatique, et particulièrement dans le domaine de la
gestion.
1.3.3.1. DEFINITION :
Plusieurs définitions d'une base de données
sont
proposées, mais on retient ici les plus courantes :
Une base de données (son abréviation
B.D en anglais Data Base) une entité dans laquelle il est
possible de stocker des données de façon structurée et
avec le moins de redondance possible. (11)
C 'est un conteneur informatique permettant de stocker les
informations dans un système de gestion de base de données.
(12)
C'est un espace où l'on peut enregistrer les
informations, les retrouver et les traiter automatiquement par la machine.
(13)
C'est une entité dans laquelle, il est possible de
stocker des données de façon structurée et avec le moins
de redondance possible.
C'est un stockage structuré d'informations
enregistrés dans un dispositif informatique.
C'est un magasin de données composées de
plusieurs fichiers manipulés exclusivement par le système de
gestion de base de données.(14).
D'après moi c'est un tableau composé de
plusieurs lignes et plusieurs colonnes permettant d'enregistrer les
données d'une institution. Prenons l'exemple ci-dessous :
11 TUMBA KANYINDA, Mise en place d'une base de
données pour la gestion du personnel, ISC/Tpa, 2011,
P.12
12 NOEL MINGASHANGA, notes de cours
informatique générale, 2011, p, 57.
13 Le Petit Robert, Idem, 99
14
www.commentçamarche.net
16
Codeagent
|
Nomagent
|
Post nomagent
|
Sexeagent
|
étatcivilagent
|
N°télagent
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1.3.3.2. SORTES DES BASES DE DONNEES
Il existe plusieurs sortes des bases de données
; mais dans le cadre de notre travail nous parlons de
:
? Base de données hiérarchiques ;
? Base de données réseaux ;
? Base de données relationnelles ; ? Base
de données objets ;
? Base de données déductives.
Elles sont classés en trois selon les modèles
des données
c'est-à-dire un
ensemble de concept et leur règle d'utilisation au
moyen duquel on peut structurer un ensemble de
données.
A) Les bases de donnes
hiérarchiques
Dans ce type de base de données les informations sont
classées hiérarchiquement, selon une
arborescence descendante. Ce modèle utilise des pointeurs entre les
différents enregistrements.
B) La base de données réseaux
Elle offre des possibilités de maillage et des points
d'entrée multiple. Contrairement au modèle
hiérarchique, le modèle réseau une
structure arborescente ascendante.
C) Les bases de données relationnelles
Les données y sont enregistrées dans des
tableaux à deux dimensions (lignes
et colonnes). La manipulation des ces données se
fait selon la théorie mathématique des relations.
Qui s'appuient sur les formalismes et
opérateurs mathématique.
D)
17
Le modèle de base de données
déductive
Les données sont représentées sous
formes de table, mais leur manipulation se fait par calcul de
prédicats.
E) Base de données objet
Les données y sont stockées sous forme
d'objets,
c'est-à-dire
des structures appelées classes, présentant de
données membres. Les champs sont des instances des
classes.
1.3.3.3 UTILITE D'UNE BASE DE DONNEES
Pour bien utiliser une chose, il faut savoir
son importance (utilité), son
but principal est de stocker les informations de production correspondant
à une application, sa présence est
nécessaire pour le bon fonctionnement de cette
dernière.
Il ne faudra pas oublier que son utilité est pour
permettre de mettre des données à la disposition
d'utilisateurs pour une consultation, une
saisie ou bien une mise à jour, tout en assurant des
droits accordés.
1.3.3.4. CARACTERISTIQUES DE BASE DE DONNEES
Une base de données est caractérisée par
:
? L'exhaustivité
: c''est-à-dire
qu'une base doit avoir tous les renseignements relatives
à un sujet précis.
? La structure : ceci de manière
à faciliter l'exploitation de
données.
? Non redondance :
c'est-à-dire que chacune des données de
la base ne peut y figurer qu'une seule
fois.(15)
1.3.4. SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEEES
1.3.4.1. DEFINITION
Un système de gestion des bases de données est
un outil permettant d'insérer, de
modifier et de rechercher efficacement des données spécifiques
dans un grand nombre d'informations.
15 NOEL MINGASHANGA, notes de cours
d'informatique général, 2011, p, 34.
18
C'est un outil permettant de faire toutes les
opérations de mise à jour d'une base de données.
(16).
1.4. ENTREPRISE
Ce mot Entreprise est au féminin, qui peut être
définit de plusieurs façons d'après l'aspect que l'on veut
mettre en évidence.
L'entreprise est l'ensemble des moyens utilisés pour la
réalisation, au profit et sous la responsabilité d'une même
personne juridique, d'opération commerciale, ou financière,
poursuivie pendant une période plus au moins longue. (17)
Dans l'aspect économique, juridique,
organisationnel, social etc. une seule définition universel est
difficile à imaginer mais toutes convergent presque vers une même
idée à savoir la poursuite de lucre.
Parmi ces définitions énumérons
quelques unes :
Le Professeur Alphonse,
définit l'Entreprise comme une cellule économique où sont
combinés à l'initiative et sous la responsabilité de
l'entrepreneur, les facteurs naturels travaux et capitaux, en vue de la
production des biens et services dont le but est le
lucre(18).
Et Alain Martinex et Ahmed Silem, définissent aussi
l'entreprise comme une unité économique autonome, combinant
divers facteurs de production, produisant pour la vente des biens et services
distribuant des revenus en contre partie de l'utilisation des facteurs.
D'après Jean Chevalier définit, lui l'entreprise
comme étant l'application de l'activité humaine qui consiste
à combiner l'emploi des forces diverses pour atteindre un but
déterminé (19).
16 Pierre Morvan, Dictionnaire
informatique, Librairie Larousse, Paris Vie, 1981, p. 47-48
17 Le Larousse illustré de cinquantenaire
R.D.009,p :1027
18 CT KIZENGA POLOTO, Note de cours de la
comptabilité générale, 2012-2013, p.2
19 Ivette, Le rôle et l'importance de 4P
marketing dans une entreprise commerciale et industrielle,
Juillet 2010, p.13-14
19
Quand à nous, nous allons atterrir
à la définition de C.T KIZENGA POLOTO,
et nous dirons que l'entreprise peut être comme
un système dans lequel ces divers facteurs de productions sont
combinés dans le but de lucre.
1.4.1 SORTES DES ENTREPRISES
Du point de vue de leur nature on distingue quatre sortes
d'entreprise qui sont :
? L'entreprise commerciale :
l'achat et la vente.
? L'entreprise industrielle :
la transformation des matières premières.
? L'entreprise financière :
transaction financière.
? L'entreprise agricole :
production et vente de production de
l'agriculture.
1.5. COMMERCIALE
Activité d''achat, de vente ou
d''échange (20)
Le mot commercial est un adjectif. Dont les
activités se rapportent à la vente et l'achat de
marchandises. ( 21)
Qui appartient au commerce,
exécuté dans un but purement lucratif,
personne appartenant aux services commerciaux d'une
entreprise. (22)
D'après notre domaine nous maintenons
la première définition, comme activité
qui se rapporte à la vente et l'achat de
marchandise.
1.6. DIVICOM
Par-là ce nom DIVICOM est un acronyme
qui représente le nom de deux associés de ladite
Entreprise, qui signifie: Didier Viviane
Communication qu'on donnera toutes les détailles au
Chapitre II qui précède.
20 Dicos Encarta Junior 2009
21 Dicos Encarta Junior 2009
22 Larousse de poche, édition 2003, p.161
20
21
1.7. TSHIKAPA
a. APERÇU HISTORIQUE
De l'étymologie du mot :
« Tshikapa » apparaît,
d'après les archives officielles du Congo
Belge, qu'il existe de nombreuses
interprétations. A propos de sens du terme,
Tshikapa signifie « diviser
»ou séparer ou « kukapa
» qui serait employé par les peuples devant le
chef Luba Mayi -Munene à cause des guerres qui les
opposaient entre eux. Par ailleurs, il y a
lieu de retenir que Tshikapa n'était pas
érigé en poste ou Territoire d'une façon
hasardeuse.
En effet, l'organisation
territoriale du Congo belge avait commencée par installer les Districts
à la suite de décret-loi du 1er Août 1888,
les districts furent à leur tour divisés en Territoire
tandis que les Secteurs et poste furent divisés en chefferie.
L'oeuvre du Lieutenant Belge DECACK fut poursuivie
jusqu'au 28/03/1912.
En fin, arrivé en
l'an 2003, Tshikapa est devenu Ville et
dirigée par le Maire de la Ville.
b. APERCU GEOGRAPHIQUE
La Ville de Tshikapa est entourée par trois
(3) Secteurs et Territoire portant le même nom
:
? Au Sud - Est
: Le Secteur de Tshikapa ;
? Au Nord -Ouest : Le Secteur
de Kasaï Kabambayi ; ? A l'Ouest : le
Secteur de Bapende.
Conformément au Décret-loi
044/2003 du 28 mars 2003 à son article 2 stipule la fixation des limites
de la Ville de Tshikapa de la manière suivante :
? Au Nord : Le ruisseau
Kamilambu, une ligne droite reliant la source de Kamilambo
à celle de la rivière Lungudi, la rivière
Tshimbinda sur tout son parcours depuis Kamilambu
jusqu'à son confluant du ruisseau Kele avec ma
rivière Kasaï.
? Au Sud : Les
limites avec les groupements incorporés de Mwanzanza et celui de Mwata
Kandala, une ligne oblique reliant le confluent du ruisseau
Kamilambu et la rivière Tshikapa à la route Tshikapa/Kamonia au
niveau de la bifurcation de Lunyanya. De ce point, une ligne
horizontale jusqu'à son confluent avec la
rivière Kasaï.
? A l'Est : Par la source Lungudi de
son confluent avec la rivière Kasaï jusqu'à
la limite du Groupement de Bena Kalombo de Kabeya Lumbu en Secteur de
Tshikapa.
? A l'Ouest : Par une ligne oblique
joignant la source du ruisseau Kele dans sa limite avec le Groupement de Bakwa
Lemba de Kibulungu, sur le Secteur
Bapende.
La Ville de Tshikapa est l'une des villes de
la Province du Kasaï Occidental. Elle est sur le plateau
extrême Sud - Ouest du Kasaï.
Grâce aux minerais de diamant, elle est
l'une des Villes économiques de la Province,
avec une grande concentration de la population venant de tous les
coins de la République Démocratique du Congo.
La Ville de Tshikapa est comprise entre la latitude de
6° 25 « 48 »
Sud et la longitude de 20° 47.
41244 et l'altitude de 61
mètres.
c) ASPECT DEMOGRAPHIQUE
La Ville de Tshikapa dispose d'une population
relativement dense constituée des autochtones, des
nationaux immigrés et des étrangers attirés par
l'exploitation artisanale du diamant et les activités
commerciales.
S'agissant des ressources humaines,
nous sommes à la hauteur de donner la population exacte de la
Ville de Tshikapa soit 2.781.378
habitants, sa densité est de 22,24
habitants par km2 (Source Mairie de
Tshikapa).
La Ville de Tshikapa pour ainsi dire accuse un brassage
culturel très prononcé, elle est
hétérogène et cosmopolite, plusieurs
écoles primaires, secondaires et les institutions
supérieures et universitaires y fonctionnent.
22
Ville.
d. ASPECT CLIMATIQUE
La température varie entre 25 et 30° avec
climat de type tropical humide à deux saisons : la saison de pluie (mi -
Août à mi -- mars) et la saison sèche (mi- mars à
mi- Août).
e. SITUATION ECONOMIQUE
Il faut noter que l'économie de la Ville de
Tshikapa est centrée sur l'exploitation artisanale de diamant et de
trafic de celui-ci qui est une qualité de luxe beaucoup plus
apprécié en Anvers.
L'exploitation de cette pierre est faite
par plus de deux tiers de la population parce qu'elle procure
d'importantes quantités d'argents liquides, seule une poignée des
gents s'adonne à l'agriculture de substances sur brillés dans des
savanes et l'écobuage dans des forêts pour
produire que manioc, maïs, millet, arachides, pistaches, mais en
quantité très insignifiante par rapport au
volume de la population consommatrice.
f. SITUATION POLITICO-ADMINISTRATIVE
L'ordonnance-loi 006 du 25/02/1982 portant
organisation territoriale, politique et administrative en République
Démocratique du Congo reconnaît la Cité de
Tshikapa comme une entité politico-administrative, mais dépourvue
de la personnalité juridique.
Mais actuellement le Territoire de Tshikapa ne garde
pas cette appellation, il est maintenant appelé : « Ville de
Tshikapa » suite au décret-loi n° 044/02 du 28/03/2003
portant création de la Ville de Tshikapa
signé par le Président de la République
Démocratique du Congo, Joseph KABILA KABANGE.
L'inauguration de cette ville a été
faite le dimanche 20 juillet 2003 par Monsieur Evariste BOSHAB BOPE, Directeur
du Cabinet du Président de la République Démocratique du
Congo à l'époque. Cette entité est dirigé par une
autorité appelée Maire de
23
Quant sa subdivision administrative, cette
Ville est bâtie sur trois collines à savoir
qu'actuellement il y a 5 Communes qui sont
:
? Commune de Dibumba I ; ?
Commune de Dibumba II ; ? Commune de Mabondo
; ? Commune de Mbumba ; ? Commune de
Kanzala.
Ces derniers sont subdivisées en 27 Quartiers
jusqu'au niveau des Avenues.
1. Commune de Dibumba I
- Quartier Hôpital ;
- Quartier KABUATU ;
- Quartier MBULA MPUTU.
2. Commune de Dibumba II
- Quartier KITANGUA ;
- Quartier DIBUMBA ;
- Quartier TSHINSELE ;
- Quartier Saint Vincent de
Paul.
3. Commune de Mabondo
- Quartier BUDIKADIDI ;
- Quartier KASAI I ;
- Quartier KASAI II ;
- Quartier MABONDO ;
- Quartier NKUMINA.
4. Commune de Mbumba
- Quartier LUBUWA I ; -
Quartier LUBUWA II ; - Quartier MUNGENDA ABATOIRE ;
- Quartier MBUMBA.
5. Commune de Kanzala
- Quartier Centre ;
- Quartier Kanzala ;
- Quartier KABINDA ;
- Quartier MATEMPU ;
- Quartier KAMALENGA ;
24
- Quartier SAMI II.
Cette entité administrative a été
dirigée par le Maire de la Ville Hubert Mbingo M'vula
et son adjointe Julienne Nkongolo, mais actuellement la Ville de Tshikapa est
dirigée par C.T. Laurent Kambulu Mputu Kamba Lemba assisté par
son Adjoint Edouard Dikenga Kikomba.
Et les Communes sont sous la responsabilité de
Bourgmestre et Bourgmestre Adjoint.
CONCLUSION PARTIELLE
Ce chapitre a consisté à
l'explication des mots clés de notre sujet, une
façon de rendre ce travail compréhensible pour nos lecteurs. Et
nous y avons également associé les concepts afférents.
25
26
CHAPITRE II : ETUDE DE LA SOCIETE DIVICOM
INTRODUCTION
Dans ce chapitre nous représenterons réellement
une brève historique de notre milieu d'Etude
(Divicom/Tshikapa).
II.1 APERÇU HISTORIQUE
(
Cette entreprise à était créée en
2002 par les deux associés GABY et CLAUDE TSHIMANGA,
dans la Ville de Tshikapa, pour la vente de
cartes, photocopies et la saisie des documents.
C'est une branche de Vodacom Shop et à partir de
2008, une crise économique a frappé Holly Wood
qui acceptera d'être intégré à 100%
chez Vodacom à cause des dettes enregistrées au service.
Ce Shop change le nom d'Hollywood pour être
appelé GRIMO Groupe Ikonye Modari),
arrivé encore plus tard en 2012, il
accepte changé le nom pour être encore appeler
DIVICOM « Didier Viviane Communication
».
SITUATION GEOGRAPHIQUE
Ce Shop DIVICOM est situé au Centre de Tshikapa sur
l'Avenue Lumumba à côté de
l'Agence SOLIDAIRE et NGANDA TOP 13, dans la
province du Kasaï Occidental, Commune de
Kanzala.
Il est borné de la manière ci-après
:
? A l'est par l'avenue
Likasi et l'Institut Supérieur de Commerce,
ISC/Tshikapa,
? A l'ouest par le Bureau
qu'abrite de la deuxième branche de
l'ISC/Tshikapa et l'Institut du
Centre,
? Au nord par la Mairie de Tshikapa
? Au sud l'Etage MAYATA.
II.2 ORGANISATION STRURO FONCTIONNELLE
1.4.2 FONCTIONNEMENT
1.4.2.1 ADMINISTRATEUR GENERAL
Il est prévu ce poste dans la société
DIVICOM d'un administrateur gestionnaire qui est le fondateur
du Shop DIVICOM, et est tenu
d'expédié toutes les affaires des achats et de
ventes en engage le Shop devant l'Etat et
l'autre exigence du service.
1.4.2.2 ASSOCIE PATRON
Est un patron qui a fondé avec le
collègue ce shop et l'engage ensemble avec l'administrateur et n'assume
pas tout la permanence au Shop, mais du moins partage le butin selon les
engagements fournis au débit du Shop.
1.4.2.3 CAISSIER
Un personnel choisi par l'administrateur durant la
grande de toute somme d'argent se trouvant dans la caisse et n'engage aucune
dépense.
1 .4.2.4 BUREAUTIQUE
C 'est ici que toutes les opérations de
l'informatique sont orientées et un personnel est engagé pour
assuré la caisse et l'impression des imprimés de
valeur.
1.4.2.5 VENDEUR/STOCK
Il est chargé de la gestion du stock et assure
la comptabilité devant l'administrateur gestionnaire chaque fois lorsque
le besoins s'est fait sentir.
1.4.2.6 VENDEUR/SHOP
Il est au niveau du shop que et est chargé
uniquement pour la vente des appareils et cartes SIM.
1.4.2.7 NETTOYEUR
Il est chargé de rendre propre, non seulement
de la salle, mais aussi les appareils et tables.
1.4.2.8 SENTINELLE
Elle assure la garde au shop et est engagée
automatiquement par le patron lui-même.
27
II.3 ORGANIGRAMME
|
|
|
|
ADMINISTRATEUR GENERALE
|
|
ASSOCIE PATRON
|
|
|
BUREAUTIQUE
CAISSE
VENDEUR/STOCK
VENDEUR
VENDEUR SHOP2
NETOYEUR
SENTINELLE
NETOYEUR
28
II.3.1 ACTEURS
Un acteur est une différente personne physique
ou morale qui participe directement ou indirectement au circuit d'information
de la branche donnée.
C'est ainsi que nous avons deux types d'acteurs qui
sont les suivants : acteurs internes, acteurs externes.
- Agent
- Salaire
- Paiement
II.4 FICHE D'ANALYSE DE POSTE DE TRAVAIL
IMPLANTATION D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR LE PAIEMENT
DES TRAVAILLEURS ANALISTE : GILBERT BILOLO
DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE DATE : LE
21/05/2015 OPTION : GESTION I NFORMATIQUE
|
Nom de poste De travail
|
Nom
Mnémonique
|
Travail effectué
|
Moyens utilisés
|
Volume Horaire
|
Nbre de personne
|
Observation
|
Administrateur
Général
|
AG
|
Il gère et
expédie toutes les
affaires des achats et de ventes engagé par cette
Société
|
Stylo Latte
Calculatrice
Papiers
Ordinateur portable
|
8heures
|
1
|
|
Caissier
|
Cais.
|
Il gère toute somme
d'argent qui se trouve dans
la caisse
|
Stylo
Latte
Calculatrice
Papiers Registres
|
8heures
|
1
|
|
Bureautique
|
Bur
|
Ils assurent la
saisie et
l'impression des
imprimés de valeur
|
Ordinateur
Imprimante Scanneur Modem
|
8heures
|
2
|
|
Vendeur Shop
|
VS
|
Il gère la vente des
appareils et cartes Sim
|
Stylo Latte
Calculatrice
registres
|
8heures
|
1
|
|
II.5 ANALYSE DES MOYENS DE TRAITEMENT
Pour qu'une entreprise fonctionne, il faut qu'il y ait
la présence de deux éléments à savoir : Les
ressources matérielles, les ressources humaines.
29
II.5.2 LES RESSOURCES MATERIELLES
IMPLANTATION D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR LE PAIEMENT
DES TRAVAILLEURS ANALISTE : GILBERT BILOLO
DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE DATE : LE
25/05/2015 OPTION : GESTION I NFORMATIQUE
|
Nom matériels
|
Nature
|
Mémoire
|
Type de périphériques
|
Os
|
CPU
|
Date d'adm.
|
NAKIA
|
calculatrice
|
|
-
|
-
|
-
|
02-10-2012
|
TOSHIBA
|
Ordinateur
|
150GB
|
Entrée, sortie
|
Windows 7 TITAN
|
2
|
18-01-2011
|
HP
|
Ordinateur
|
150GB
|
Entrée, sortie
|
Windows 7 TITAN
|
4
|
19-11-2011
|
DELL
|
Ordinateur
|
|
Entrée, sortie
|
Windows XP, P3
|
1
|
16-10-2010
|
CANON MF4500
|
Photocopieuse
|
|
-
|
-
|
-
|
16-10-2010
|
HP DESKJET 1050
|
Imprimante
|
|
-
|
-
|
-
|
18-12-2010
|
II.5.4. RESSOURCES HUMAINES
IMPLANTATION D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR LE PAIEMENT
DES TRAVAILLEURS ANALISTE : GILBERT BILOLO
DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE DATE : LE
25/05/2015 OPTION : GESTION I NFORMATIQUE
|
NOM DU POSTE DE TRAVAIL
|
NOM ET PRENOM
|
FOCTION
|
NIVEAU D'ETUDE
|
SALAIRE
|
DATE
D'ENGAGEMENT
|
Administrateur
Général
|
Claude TSHIMANGA
|
A.G
|
L2
|
150.000Fc
|
10/04/2010
|
Caissier
|
Jean-Pierre KALENGAYI
|
Caissier
|
G3
|
100.000Fc
|
10/04/2010
|
Vendeur Shop
|
Albert NGANAMA
|
Vendeur
|
G3
|
95.000Fc
|
10/04/2012
|
Bureautique
|
Justin KADIOBO
|
OPS1
|
G3
|
80.000Fc
|
10/04/2012
|
II.6.5. DICTIONNAIRE DES DONNEES
CODE
|
SIGNIFICATION
|
01
|
L'AG donne l'argent
au Comptable selon
le montant à payer
tous les
travailleurs
|
02
|
Le Comptable à son
tour appel chaque
travailleur de passer
percevoir son
salaire
|
03
|
Lorsque le
travailleur touche son
salaire
|
04
|
Il signe dans un
registre de
paie.
|
Administrateur
Comptable
Travailleur
II.6.6 DIAGRAMME DE CONTEXTE
30
II.6.7 DIAGRAMME DE FLUX
|
|
Administrateur
|
|
|
Comptable
|
|
|
II.6.8 MATRICE DE FLUX
|
Travailleur
|
|
|
|
De vers
|
Administrateur Général
|
Comptable
|
Travailleur
|
Administrateur
Général
|
|
1
|
-
|
Comptable
|
-
|
-
|
2
|
Travailleur
|
-
|
-
|
-
|
II.6.9 DIAGRAMME DE CIRCULATION D'INFORMATION
Administrateur Général
|
Comptable
|
Travailleur
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Argent
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Argent
|
|
|
|
|
|
|
|
Salaire
|
|
|
|
Action 1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Argent
|
|
|
|
|
|
T3
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Argent
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Reg.
|
|
|
Salaire
|
|
|
|
|
II.6.10 LEGENDE
1. : Circulation de l'information
2. : Traitement
3.
: L'enregistrement
31
II.6.11 NARRATION PAIEMENT DE TRAVAILLEURS
L'Administrateur Général donne
l'argent au comptable selon le montant à payer tous les
travailleurs, le comptable à son tour appel chaque
travailleur de passer percevoir son salaire, lorsque le
travailleur touche son salaire, il signe dans un registre de
paie.
II.7 Critique de l'existant
Faire la critique d'un système
synonyme de parvenir à dégager toutes les qualités et les
défauts rencontrés avec toutes objectivités.
C'est ainsi que l'analyse
préalable nous a permis de constater comment s'effectue
la gestion de paiement des travailleurs au sein de la Société
Divicom/Tshikapa, de ce fait, nous devons
dégager les points positifs et négatifs.
II.7.1 Points positifs
Après une analyse approfondie et observation du
système de gestion des paiements de travailleurs, nous
avons observé quelques points positifs à savoir
:
? La franche collaboration au sein du service
;
? La qualification du personnel;
? Les mesures de sécurité sont assez parfaites
;
? Une bonne circulation et transparence des documents
;
? Une bonne collaboration et transmission des
informations ;
? Des documents simplifiés et
disponibles.
II.7.2 Points négatifs
Au sein de la Société Divicom/Tshikapa,
nous avons remarqué les difficultés suivantes
:
Le volume d'information à traiter est
tellement important, et soumis à divers traitement
manuel très lent.
32
Les informations ne sont pas conservées dans
l'ordre voulu ; ce qui occasionne aussi la lenteur dans la
recherche des données et la mise à jour des informations.
Et en plus les informations ne sont pas
sécurisées.
II.7.3 Propositions des solutions nouvelles
L'entreprise étant un système
complexe dans lequel transitent de très nombreux fléaux
d'informations. Sans un dispositif de
maîtrise de ces fléaux, elle peut très
vite être dépassée et ne peut plus fonctionner avec une
qualité de service satisfaisante.
C'est ainsi que nous proposons de nouvelles
solutions à savoir l'une manuelle
améliorée et l'autre informatique,
afin de remédier aux insuffisances ou anomalies que nous avons
décelés et de renforcer les points forts du système
existant.
II.7.4 Solutions manuelles réorganisées
Comme solution manuelle, nous proposons ce qui
suit :
? Augmentation du nombre de personnel ;
? Classement ordonnée des documents dans des fardes et
classeurs appropriés placés dans une armoire
sécurisée.
II.7.5 Avantages de la solution manuelle Réalisation
d'un bon travail à moindre coût ;
Accès direct aux informations jugées
nécessaires à partir des documents se trouvant à leur
disposition.
II.7.6 Inconvénients de la solution manuelle
- Lenteur dans la distribution, la lenteur dans
les traitements ;
- Bien qu'elle est toujours
inefficace car elle est liée à l'imperfection et
sans performance ;
- Manque de rapidité dans les traitements
des informations ; - Manque de fiabilité du traitement
manuel.
33
II.7.7 Solutions informatiques
Nous proposons à ce que le système faisant
l'objet de notre étude puisse être
informatisé. Cette solution permet de constituer les différents
fichiers de l'application par une saisie
contrôlée des
informations ;
Cette solution permettra à
l'utilisateur de faire les opérations rapides avec
fiabilité, performance et perfection ;
Avec cette solution, les données seront stockées
sur des supports fiables et capables de garder les informations intactes ;
Avec l'informatisation, une grande
capacité des informations seront stockées sur des supports
magnétiques petits en taille mais possédant la capacité de
mémorisation des informations.
En parlant de l'informatique, nous ne pouvons
pas nous passer de l'ordinateur qui traite les informations
automatiquement.
Pour une meilleure gestion, le gestionnaire ne peut se passer
de la solution informatique. Pour y remédier, nous lui proposons ce qui
suit :
- De former les utilisateurs ;
- D'engager un ingénieur informaticien
pour la maintenance des ordinateurs et un autre pour la conception, la
réalisation et la maintenance des applications informatique. Il faudrait
donc de placer dans chaque service les ordinateurs et les relier ainsi à
un serveur de contrôle pour les services qui exécutent les
mêmes tâches. Enfin de faciliter l'accès
rapide aux données.
II.7.8 Avantage
- Exécution rapide de grand volume
d'information ;
- Exactitude dans les calcules et édition
automatique des états ;
- Fiabilité des données
après traitement des informations.
34
application.
II.7.9 Désavantage
- Coût élevé des
matériels informatiques et surtout leurs entretiens ;
- Coût élevé pour
l'engagement des informaticiens (Ingénieurs et concepteurs) ;
- Suppression de certains postes et de certains
emplois, ceci va entraîner d'office le chômage.
Facturation très élevée de
l'électricité car celle solution dépend de l'alimentation
électrique.
II.8 Adoption de la solution
L'étude de l'existant a été menée
et des critiques constructives ont été formulées. Ceci
nous a permis de proposer différentes solutions avec avantages et
inconvénients pour chacune d'elles. L'objectif de la
Société Divicom/Tshikapa étant de gérer
rationnellement et de façons fiables les informations relatives aux
paiements des travailleurs à la solution informatique qui nous semble la
plus efficace.
Cette solution cadre également avec la volonté
du comité de gestion qui aimerait modifier sa méthodologie de
gestion en s'appuyant sur les nouvelles technologies de communication et de
l'information (NTC).
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre, on a exposé les problème de la
Société DIVICOM/Tshikapa et de l'existence , pour nous avons fait
les critiques du travail manuel et en fin on a fait une approche de solution
qui consiste à concevoir et à développer une application
qui facilitera les services énumérés
précisément.
Après avoir fixé nos objectifs, pour atteindre
notre but on doit suivre plusieurs étapes ces dernières
constituent une partie du cycle de vie de tout application informatique. Ainsi
dans l'étape suivante on va se consacrer sur la conception :
modélisation, développement et implémentation de notre
35
Chapitre III : IMPLANTATION D'UN SYSTEME
INFORMATISE
INTRODUCTION
Dans ce chapitre, nous allons réaliser sur les machines
les théories démontrées ci-haut.
Ayant déterminé les entités, les
associations, les cardinalités, cette réalisation
n'est autre chose que la création
d'une base de données avec accès tout en
étant sur Visual Basic.
En base de données, il est conseillé
d'utiliser un langage clair concis et facile pour manipuler
les données, raison pour laquelle le Visual Basic 6.0
s'avère indispensable pour cette fin.
III.1.CONCEPTION
La conception consiste à faire
un model. A partir des données rassemblées lors de
l'analyse critique du système de l'information
existant de la Société Divicom/Tshikapa, nous nous sommes
servis de ces données pour concevoir un modèle qui va servir la
gestion de paie de cette société.
Nous allons créer une base de données
que nous allons mettre en place pour aider cette Entreprise dans les
opérations de paie.
III.2. MODEL CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
III.2.1.DEFINITION
C'est une mise ensemble d'entités et les
relations qui les relient sans oublier les différentes
cardinalités. (23)
III.2.2.PROPRIETE
Elle est définie comme la désignation de
tout élément d'information manipulable par le concepteur lors de
la formalisation. Elle est décrite toujours par son nom, la
valeur
23 Francis MBUYI, Implantation d'un
système comptable informatisé dans une petite et moyenne
entreprise de transfert des fonds, TFC, 2013-2014,
ISC/Tshikapa, p41
36
qu'elle prend dans un domaine de valeur et a un sens
dans un système.(24)
III.2.3. ENTITE
Est la représentation d'un objet
matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système
que l'on désire. Chaque entité est composée des
propriétés et des données élémentaires
permettant de décrire. (25)
III.2.4. RELATION
Une relation est un lien qui relie deux ou plusieurs
entités d'une base de données.
III.2.5. CARDINALITE
La cardinalité consiste à préciser le
nombre de fois que chacune de relations peut apparaître.
III.3 REPERAGE DES ENTITES
Dans notre application nous avons repéré 3
entités qui sont répertoriées ci-dessous :
- L'entité
Administrateur Général (AG) ;
- L'entité Comptable ;
- L'entité Travailleur.
Ces entités ont chacune ses propriétés tels
que :
III.4 REPRESENTATION SCHEMATIQUE DE MODEL
CONCEPTUEL DE DONNEES
AGENT
|
1,n
|
|
1,n
|
SALAIRE
|
ID__agent Nom__agent
Postnom_agent Adresse_agent
Fonction_agent Grade__agent
NJP
|
ID__salaire
Salaire__Base
Alloc__fam Net__à__payer dette
|
|
Payer
|
|
|
|
24 op.cit p.41
25 LUSAMBA Petronie, Esquisse d'une conception
et réalisation d'une base de données pour la gestion
des
clients, TFC 2013-2014, ISC/Tshikapa, p.31
37
loc__fam
Net__à__payer dette
ID__salaire
Salaire__Base
Al
Le modèle conceptuel de données consiste
à regrouper les données sous forme des tables et c'est un
modèle qui est proche de la machine. Ainsi, nous allons utiliser le SGBD
Microsoft Access pour l'élaboration de notre MLD.
Ce modèle a comme procédure :
Transformer le modèle conceptuel de
données (MCD) en modèle logique de données
(MLD).
- Chaque entité devient une table ;
- Chaque propriété devient un champ
;
- L'identifiant de chaque entité devient sa
clé primaire.
Il est à noter que, à cet
étape les relations qui ont les cardinalités
fils et père (1,1) ; (1,n), soit père et père
(1,n) ; (1,n) deviennent des tables intermédiaires qui
contiendront les clés primaires de deux autres tables qui sont
en relation et ces clés sont appelés « clés
étrangères ». Pour autant les relations fils (1,1)
et fils (1,1) deviennent des contraintes d'intégrité
fonctionnelle (CIF).
III.5 MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
1 1
AGENT
ID__agent Nom_agent
Postnom_agent Adresse_agent
Fonction__agent Grade__agent NJP
PAYEMENT
ID__paiement #Code__agent Code__salaire#
Date__paiement Agent__payeur
SALAIRE
Ce modèle est celui qui nous approche de
l'ordinateur. Nous l'utiliserons dans la machine pour nous permettre la
création des relations avec le SGBD Microsoft Access.
38
III.6 CREATION DE LA BASE DE DONNEES
Pour créer une base de données avec
Visuel Basic 6.0, il est question d'ouvrir le compilateur de VB 6.0, dans la
barre de menu, pointer sur complément, choisir gestionnaire de
données, ouvrir une fenêtre dans laquelle il faut pointer sur
fichier, choisir nouvelle base de données, on propose les SGBD, pointer
sur Microsoft Access avec MDB version 2.0 ou version 7.0, une fenêtre
s'ouvre où on demande de nommer la base de données pour
l'enregistrer dans la partition c/>: du disque dur.
Arrive alors la possibilité de la
création de la base de données dans une fenêtre
dénommée base de données.
III.6.1 CREATION DES TABLES
Pour créer les tables en VB 6.0, il faut un
clic droit dans la fenêtre de base de données, sélectionner
nouvelle table, s'ouvre une fenêtre dans laquelle on donne la
possibilité de saisir le nom de la table que l'on veut créer,
après avoir saisie le nom cliquer sur ajouter champs pour saisir les
champs ; à chaque champs, il faudra déterminer son type puis
valider le choix et cliquer sur créer une table pour que la table soit
créée ainsi des suite pour toutes les tables que l'on veut
créer. Une fois terminé à saisir les champs, il faudra
aussi mettre la clé primaire appelé « Index
» en Visual Basic, dans ce cas il faut cliquer sur ajouter
l'index, on donne une fenêtre pour mettre l'index. Choisir le champ
indexé
39
dans la liste de champ déjà crées
et le copier dans la première ligne qui a la mention primary puis
valider le choix.
Dans le cas où il y a erreur, la suppression
d'un champ de l'index soit de la table est possible ; il est simple de
supprimer une table en faisant un clic droit sur la table à supprimer
puis choisir sur la commande. Pour le chant et l'index, il faut choisir l'objet
à supprimer, cliquer sur la commande supprimer un champ soit supprimer
l'index et répondre oui dans la boîte de dialogue et l'objet sera
supprimé. Dans notre travail nous avons créé trois tables
au total qui sont :
- Table Agents ;
- Table Salaire.
- Table Paiement
Capture de la fenêtre de la base de
données et les trois autres tables.
40
Voici quelques-unes en particulier :
III.6.2 CREATION DE RELATION
Les relations se créent cette fois avec
facilité en Access ; il faudra à cette étape fermer Visual
Basic 6.0 puis ouvrir le programme de Microsoft Access. Dans le menu outil
choisir utilitaires de base de données, cliquer sur convertir une base
de données vers le format de fichier Access. Dans le menu fichier
choisir ouvrir dans la fenêtre, pointer sur valider une base de
données, confirmer la validation de la base de données avec le
bouton ok, apparait un message d'installation du convertisseur d'Access. Il est
question de fermer cette fenêtre et valider de nouveau sur la commande
validée, se lance une nouvelle fenêtre qu'il faut annuler encore
et voilà apparait la fenêtre qui contient la base de
données créée en Visual Basic.
Vient alors l'opportunité de créer les
relations tout en cliquant sur l'icône de relation qui est sur la barre
d'outil, une fenêtre s'ouvre contenant toutes les tables
créées ; sélectionner les tables, pointer sur ajouter
toutes les tables sur la page de relation. Par glissement, relier les index des
tables cliquées sur le sélecteur qui se trouve dans la
fenêtre de la case qui contient le nom de la table pour confirmer le
choix puis cocher les boutons radio de deux premières cases de la
fenêtre qui s'ouvre après relâchement du bouton gauche d la
souri enfin cliquer sur créer pour que les soient
créées.
41
III.6.3 Les relations
III.7 INTRODUCTION DES ELEMENTS DANS LES TABLES
CREEES
L'introduction des éléments dans les
tables se fait en double cliquant sur la table et en tapant les valeurs de
chaque champ correspondant à son type, les identifiants doivent
être successifs et le même nombre dans toutes les tables. Par
ailleurs la possibilité de modifier est offerte, on peut supprimer,
ajouter ou soit valider le choix puis fermer la table.
42
III.8 CREATION DE CONTROLE SUR FORMULAIRE
Lors de l'ouverture du programme de Visual
Basic 6.0, une feuille de travail se lance à la
disposition de l'utilisateur appelée formulaire
(form en anglais),
ce dernier porte l'indice 1 par défaut pour
indiquer qu'il est le premier formulaire à
utiliser. Sur ce formulaire on peut placer un ou plusieurs
objets autrement appelé contrôle qui sont stockés dans la
boîte à outils ; la boîte à outils
étant une fenêtre qui contient initialement toutes les icones
visualisant des contrôles personnalisés que l'on
peut placer sur un formulaire (feuille de
travail) et chaque icône représente un objet
qui a une fonction appropriée dans l'application de
Visual Basic.
Parmi les objets nous pouvons citer quelques-uns
:
? Le label ;
? Textbox (zone de texte) ;
? Command button ;
? Data ;
? Adodc ;
? Picture box ;
? Combo box, etc.
Il est à noter que chaque contrôle est
accompagné d'une liste des propriétés qui
permettent à modifier soit manipuler l'objet le selon
désire de concepteur soit de l'utilisateur.
Pour poser un objet sur le formulaire, il suffit de
cliquer sur cet objet l'emmener sur le formulaire et le
dessiner tout en gardant le bouton gauche de la souris enfoncé.
Chaque contrôle à son rôle à jouer
sur le formulaire tel que :-
- Le label : Ce contrôle est
un contrôle inerte qui sert à afficher un texte sur le formulaire
;
- Le Textbox : le Textbox sert
à saisir une information et c'est ce contrôle qui
permet à l'utilisateur de saisir au clavier une
information ;
- Command button :
Celui-ci est un bouton qui déclenche une
opération et de pouvoir recevoir des
évènements.
43
III.9 CONNEXION DE LA BASE DE DONNEES AU LANGAGE DE
PROGRAMMATION VISUAL BASIC 6.0
Après avoir terminé à
élaborer la représentation de l'application, par exemple la
représentation d'un document d'une entreprise quelconque que l'on veut
informatiser, il suffit de poser un contrôle de connexion qui peut relier
la base de données au formulaire, tel que Adodc que nous avons-nous
aussi utilisé pour la connexion de notre base de données «
Implantation d'un système informatisé ».
Lors que ce contrôle est déjà sur
le formulaire, il suffit de le sélectionner, dans la liste de
propriétés, choisir connexion string, clic sur les trois
points(...) une fenêtre se présente dans laquelle il faut cliquer
sur créer, s'ouvre une fenêtre de liaison pour choisir le
fournisseur OLE DB, choisir Microsoft Jet 4.0 OLE BD provider ; aller sur
suivant, une fenêtre s'ouvre où il faut choisir les trois points
qui sont à la fin de la première ligne, le nom de votre base de
données selon son emplacement ; cliquer sur ouvrir puis tester la
connexion si réussi alors valider le choix avec le bouton OK ; dans la
liste des propriétés choisir recordsource, choisir les trois
points (...), s'ouvre une fenêtre dans laquelle il faut déterminer
le type de commande sur le sélecteur, choisir adcmd table et le nom de
procédure stockées ou de table, choisir le nom de la table
à relier, cliquer sur appliquer puis valider ; dans la liste des
propretés, déterminer les propriétés Datasources et
Datafield.
Tout en sélectionnant chaque zone de texte et
déterminer ses propriétés.
44
III.10 ECRITURES DES CODES SOURCES DES DIFFERENTS
CONTROLES
On sous-entend par ce terme de codes sources, les
instructions imposées dans l'éditeur de chaque contrôle
pour le fonctionnement de ce dernier.
Pour ce qui est de notre application, nous ne saurons pas
exposer tous nos codes sources. Pour ce faire, nous pouvons donner quelques
uns.
'Déclaration dans la partie générale
Option Explicit
'déclaration de la variable qui contiendra le provider et
le chemin de la B.D
Dim bd As New ADODB.Connection
'déclaration des variables qui contiendront le nom de la
table
'(pour les mises à jour, la recherche et modifier les
données de la recherche)
Dim tb As New ADODB.Recordset
Dim tb1 As New ADODB.Recordset
Dim tb2 As New ADODB.Recordset
Dim tb3 As New ADODB.Recordset
'déclaration de la variable qui contiendra le choix de
l'utilisateur dans les
msgbox
im msg1, msg2 As String
D
Public Sub actualiser()
'procédure qui permet d'utiliser des boutons
'autre que adodc ou datacontrol, elle met à jour les
textbox 'suivant l'enregistrement sur lequel on se place par le biais ' des
boutons premier-dernier-précédent-suivant
'
Pour naviguer dans la B.D il faut que cette procédure
'soit appeler dans chaque bouton
'si début du fichier aller au dernier
' If IsNull(tb![Nom]) Then
' txtnom.Text = "" ' Else
txtnom = tb![nom]
' End If
'
'
beaucoup mieux
'sinon on peut mettre un "on error resume next" avant
l'actualisation 'et là on écrira simplement
'txtnom = tb!nom
End Sub
45
' Pour arriver à écrire dans les zones de
texte
Public Sub next__tab(keyascii As Integer)
If keyascii = vbKeyReturn Then
SendKeys "{TAB}" 'simuler le TAB
keyascii = 0 ' Supprimer le TAB lorsque le focus est
arrivé
End If
nd Sub
E
rivate Sub cmdAjout__Click()
'vide les textbox pour un ajout 'et donne le focus à
txtnom
Text2.Text = Text3.Text = Text4.Text = Text5.Text = Text6.Text =
Text7.Text = Text8.Text =
|
"" "" "" "" "" "" ""
|
Text15.Text
|
=
|
""
|
Text16.Text
|
=
|
""
|
Text17.Text
|
=
|
""
|
Text18.Text
|
=
|
""
|
Text27.Text
|
=
|
""
|
Text28.Text
|
=
|
""
|
Text29.Text
|
=
|
""
|
Text30.Text
|
=
|
""
|
Text39.Text
|
=
|
""
|
Text40.Text
|
=
|
""
|
Text41.Text
|
=
|
""
|
Text42.Text
|
=
|
""
|
Text51.Text
|
=
|
""
|
Text52.Text
|
=
|
""
|
Text53.Text
|
=
|
""
|
Text54.Text
|
=
|
""
|
Text63.Text
|
=
|
""
|
Text64.Text
|
=
|
""
|
Text65.Text
|
=
|
""
|
Text66.Text
|
=
|
""
|
Text75.Text
|
=
|
""
|
Text76.Text
|
=
|
""
|
Text77.Text
|
=
|
""
|
Text78.Text
|
=
|
""
|
Text87.Text
|
=
|
""
|
Text88.Text
|
=
|
""
|
Text89.Text
|
=
|
""
|
Text90.Text
|
=
|
""
|
Text99.Text
|
=
|
""
|
Text100.Text
|
=
|
""
|
T ext101.Text
|
=
|
""
|
Text102.Text
|
=
|
""
|
T ext111.Text
|
=
|
""
|
Text112.Text
|
=
|
""
|
Text113.Text
|
=
|
""
|
T ext114.Text
|
=
|
""
|
Text123.Text
|
=
|
""
|
T ext124.Text
|
=
|
""
|
Text125.Text
|
=
|
""
|
T ext126.Text
|
=
|
""
|
Text135.Text
|
=
|
""
|
T ext136.Text
|
=
|
""
|
Text137.Text
|
=
|
""
|
T ext138.Text
|
=
|
""
|
Text147.Text
|
=
|
""
|
T ext148.Text
|
=
|
""
|
Text149.Text
|
=
|
""
|
T ext150.Text
|
=
|
""
|
cmdEnreg.Enabled = True cmdAjout.Enabled = False cmdRech.Enabled
= False
46
cmdRech.Enabled = True
Text3.SetFocus
End Sub
P rivate Sub Command8__Click()
Form1.Show
E
nd Sub
rivate Sub Command9_Click()
Form3.Show
nd Sub
E
rivate Sub cmdannuler__Click() cmdAjout.Enabled = True
cmdEnreg.Enabled = False cmdRech.Enabled = True Call actualiser
tb.MoveFirst End Sub
P rivate Sub cmdEnreg_Click()
'pour s'assurer de ne pas ajouter un enregistrement vide et une
adresse
'ou un n° sans nom
If (Text3.Text = "" And Text4.Text = "" And Text5.Text = "" And
Text6.Text
= "" And Text15.Text = "" And Text16.Text = "") Then
If (Text17.Text = "" And Text17.Text = "" And Text27.Text = ""
And Text28.Text = "" And Text29.Text = "" And Text30.Text = "" And Text39.Text
= "" And Text40.Text = "" And Text41.Text = "" And Text42.Text = "" And
Text51.Text = "" And Text52.Text = "" And Text53.Text = "" And Text54.Text = ""
And Text63.Text = "" And Text64.Text = "") Then
If (Text65.Text = "" And Text66.Text = "" And Text75.Text = ""
And Text76.Text = "" And Text77.Text = "" And Text78.Text = "" And Text87.Text
= "" And Text88.Text = "" And Text89.Text = "" And Text90.Text = "" And
Text99.Text = "" And Text100.Text = "" And Text101.Text = "" And Text102.Text =
"") Then
If (Text111.Text = "" And Text112.Text = "" And Text113.Text = ""
And Text114.Text = "" And Text123.Text = "" And Text124.Text = "" And
Text125.Text = "" And Text126.Text = "" And Text135.Text = "" And Text136.Text
= "" And Text137.Text = "" And Text138.Text = "" And Text147.Text = "" And
Text148.Text = "" And
Text149.Text = "" And Text150.Text = "" And Text2.Text = "" And
Text7.Text = "" And
Text8.Text = "") Then
msg1 = MsgBox("Vous devez obligatoirement renseigner le champ
'Nom' !",
vbInformation + vbOKOnly)
Text3.SetFocus
Exit Sub
End If
nd If
E
E
nd If
E
nd If
'
si erreur l'ignorée (pour pouvoir ajouter un
enregistrement
'qui ne comporterait pas toutes les données ex:date de
naissance)
On Error Resume Next
'ajout d'un enregistrement et
tb.AddNew
'indication des textbox contenant les données qui doivent
être ajouter
Text3.Text
'dans les champ
tb![IDAGENTS] =
tb![IDAGENTS1] = Text4.Text tb![IDAGENTS2] = Text5.Text
tb![IDAGENTS3] = Text6.Text tb![nom] = Text15.Text tb![nom1] = Text16.Text
tb![nom2] = Text17.Text tb![nom3] = Text18.Text tb![Postnom] = Text27.Text
tb![Postnom1] = Text28.Text tb![Postnom2] = Text29.Text tb![Postnom3] =
Text30.Text tb![Fonction] = Text39.Text tb![Fonction1] = Text40.Text
tb![Fonction2] = Text41.Text tb![Fonction3] = Text42.Text tb![SEXE] =
Text51.Text
47
48
tb![SEXE1] = Text52.Text tb![SEXE2] = Text53.Text tb![SEXE3] =
Text54.Text tb![ADRESSE] = Text63.Text tb![ADRESSE1] = Text64.Text
tb![ADRESSE2] = Text65.Text tb![ADRESSE3] = Text66.Text tb![Dette] =
Text75.Text tb![Dette1] = Text76.Text tb![Dette2] = Text77.Text tb![Dette3] =
Text78.Text tb![NJP] = Text87.Text tb![NJP1] = Text88.Text tb![NJP2] =
Text89.Text tb![NJP3] = Text90.Text tb![SALAIREDEBASE] = Text99.Text
tb![SALAIREDEBASE1] = Text100.Text tb![SALAIREDEBASE2] = Text101.Text
tb![SALAIREDEBASE3] = Text102.Text tb![Avance] = Text111.Text tb![Avance1] =
Text112.Text tb![Avance2] = Text113.Text tb![Avance3] = Text114.Text
tb![ALLOCATFAM] = Text123.Text tb![ALLOCATFAM1] = Text124.Text tb![ALLOCATFAM2]
= Text125.Text tb![ALLOCATFAM3] = Text126.Text tb![prime] = Text135.Text
tb![prime1] = Text136.Text tb![prime2] = Text137.Text tb![prime3] =
Text138.Text tb![NET_A_PAYER] = Text147.Text t b![NET__A__PAYER1] =
Text148.Text tb![NET_A_PAYER2] = Text149.Text t b![NET__A__PAYER3] =
Text150.Text
'mise à jour de la table
tb.Update
msg1 = MsgBox("L'enregistrement de vos données a
été fait avec succès !",
vbInformation + vbOKOnly)
cmdRech.Enabled = True
cmdEnreg.Enabled = False
End Sub
P
cmdAjout.Enabled = True
rivate Sub cmdQuitter_Click()
msg1 = MsgBox("Voulez-vous quitter la gestion de paie ?",
vbQuestion + vbYesNoCancel)
If msg1 = vbYes Then
End
ElseIf msg1 = vbNo Then
Load Me
End If
'remplace
'Select Case msg1
'Case vbYes
'Unload Me
'Case vbNo
'Cancel = 1
'(zlub) End Sub
P
' End Select
rivate Sub cmdRech_Click()
'pour s'assurer que la textbox est renseignée sinon
message
If (Text163 = "" Or IsNull(Text163) = True) Then
msg1 = MsgBox("Vous devez renseigner le champ 'Nom et
prénom' !",
vbInformation + vbOKOnly)
Text163.SetFocus
Else
'ouverture de la table Gestion de paie et recherche de tous les
champs
'où champ [Nom]=txt15recherche.text et/ou champ
'Postnom]=txt27recherche2.text
tb1.Open "SELECT * FROM [Agents] WHERE [nom] like '%" &
Text163.Text &
"%'", bd, adOpenKeyset, adLockBatchOptimistic
'si les données existent alors affichage du
résultat dans les
'textbox sinon message et initialisation des textbox
If Not tb1.EOF Then
Text3.Text = tb1!IDAGENTS & ""
Text4.Text = tb1![IDAGENTS1] & ""
Text5.Text = tb1![IDAGENTS2] & ""
Text6.Text = tb1![IDAGENTS3] & ""
Text15.Text = tb1!nom & ""
Text16.Text = tb1![nom1] & ""
Text17.Text = tb1![nom2] & ""
Text18.Text = tb1![nom3] & ""
Text27.Text = tb1!Postnom & ""
Text28.Text = tb1![Postnom1] & ""
Text29.Text = tb1![Postnom2] & ""
Text30.Text = tb1![Postnom3] & ""
Text39.Text = tb1!Fonction & ""
Text40.Text = tb1![Fonction1] & ""
Text41.Text = tb1![Fonction2] & ""
Text42.Text = tb1![Fonction3] & ""
Text51.Text = tb1!SEXE & ""
Text52.Text = tb1![SEXE1] & ""
Text53.Text = tb1![SEXE2] & ""
Text54.Text = tb1![SEXE3] & ""
Text63.Text = tb1!ADRESSE & ""
Text64.Text = tb1![ADRESSE1] & ""
Text65.Text = tb1![ADRESSE2] & ""
Text66.Text = tb1![ADRESSE3] & ""
Text75.Text = tb1!Dette & ""
Text76.Text = tb1![Dette1] & ""
Text77.Text = tb1![Dette2] & ""
Text78.Text = tb1![Dette3] & ""
Text87.Text = tb1!NJP & ""
Text88.Text = tb1![NJP1] & ""
Text89.Text = tb1![NJP2] & ""
Text90.Text = tb1![NJP3] & ""
Text99.Text = tb1!SALAIREDEBASE & ""
Text100.Text = tb1![SALAIREDEBASE1] & ""
Text101.Text = tb1![SALAIREDEBASE2] & ""
Text102.Text = tb1![SALAIREDEBASE3] & ""
Text111.Text = tb1!Avance & ""
Text112.Text = tb1![Avance1] & ""
Text113.Text = tb1![Avance2] & ""
Text114.Text = tb1![Avance3] & ""
Text123.Text = tb1!ALLOCATFAM & ""
Text124.Text = tb1![ALLOCATFAM1] & ""
Text125.Text = tb1![ALLOCATFAM2] & ""
Text126.Text = tb1![ALLOCATFAM3] & ""
Text135.Text = tb1!prime & ""
Text136.Text = tb1![prime1] & ""
Text137.Text = tb1![prime2] & ""
Text138.Text = tb1![prime3] & ""
Text147.Text = tb1!NET__A__PAYER & ""
Text148.Text = tb1![NET_A_PAYER1] & ""
ext149.Text = tb1![NET__A__PAYER2] & ""
Text150.Text = tb1![NET_A_PAYER3] & ""
T
Text163.Text = "" T ext163.SetFocus
Else
msg2 = MsgBox("Ces Données n'existent pas !",
vbInformation +
vbOKOnly)
Text163.Text = "" Text163.SetFocus End If
tb1.Close
49
End If
End Sub
P rivate Sub Command1_Click()
End Sub
rivate Sub Cmdtotal_Click()
Dim N3, N4, N5, N6, Tot As Currency
N3 = Text147.Text
N4 = Text148.Text
N5 = Text149.Text
N6 = Text150.Text
Tot = Val(N3) + Val(N4) + Val(N5) + Val(N6)
Text2.Text = "$" & Tot
End Sub
P
P
rivate Sub Form__Load()
'renseignements concernant la B.D'
'provider = fournisseur de données
'Microsoft jet oledb pour Access
'4.0 à partir d'access 2000
'connectionstring = chemin et nom de la B.D
'app.path signifie que la B.D se trouve dans le répertoire
du projet VB
'il ne faudra pas oublier de l'ajouter lors de l'empactage
'Il suffit de copier le chemin d'accès inscrit dans
Connectingstring voir le
'le contenu entre guillements en rouge
bd.ConnectionString = "Provider=Microsoft.Jet.OLEDB.4.0;Data
Source=C:\Users\Gilberth\Documents\Gestion de paie.mdb;Persist
Security Info=False"
bd.Open
' renseignements concernant le recordset'
'tb.open = ouverture de la table
'où tb est la variable déclarée qui va
contenir
'le nom de la table
'"select * from nom de la table"
'veut dire sélection de tous les champs(*)
'de la table (nom de la table)
'bd = variable déclarée contenant le chemin
'et le nom de la base
'adopendynamic = type des recordsets
'adlockoptimistic = type de verrouillage des recordsets
'pour plus d'info voir sur le site vbgenerator
'le cours sur l'accès au base de données
'on peut également indiquer le type de curseur
'client ou serveur
'si il n'est pas spécifier serveur par défaut
'pour plus d'info voir sur le site
dévellopez.com
'le fichier pdf de J-M Rabilloud "Les recordset ADO"
tb2.Open "select * from AGENTS", bd, adOpenDynamic,
adLockOptimistic
cmdEnreg.Enabled = True
End Sub
P
Call actualiser
rivate Sub Form__QueryUnload(Cancel As Integer, UnloadMode As
Integer)
'si clic sur croix
If cmdRech.Enabled = True Then
msg1 = MsgBox("Voulez-vous enregistrer les données avant
de quitter ?",
vbQuestion + vbYesNoCancel)
If msg1 = vbYes Then Call cmdEnreg__Click Unload Me
ElseIf msg1 = vbNo Then Unload Me
Else
Cancel = 1
End If
Else
msg1 = MsgBox("Voulez-vous vraiment fermer la
gestion de paie ?",
vbQuestion + vbYesNo)
If msg1 = vbNo Then
Cancel = 1
End If
50
End If 'remplace 'Select Case msg1 'Case vbYes 'Unload Me 'Case
vbNo ' Cancel = 1 ' End Select
End Sub
P
' (zlub)
rivate Sub Form_Unload(Cancel As Integer)
'procédure pour s'assurer que lorsque l'on quittera le
programme 'les tables et la base de données soient fermées
On Error Resume Next 'si erreur ignorer (bd ou
tb déja fermer)
tb.Close tb1.Close tb2.Close tb3.Close bd.Close
et tb = Nothing
S
Set tb1 = Nothing Set tb2 = Nothing Set tb3 = Nothing End Sub
P rivate Sub P__Click() Form2.Show
E
nd Sub
rivate Sub Label2_Click()
End Sub
P rivate Sub Text163_Change()
Text163.SetFocus
cmdRech.Enabled = True
End Sub
III.11 Schema du projet de réseau local sans
fil(WiFi)
Administrateur Général
Comptable
IP
|
:: 192.168.01.01
|
|
IP
|
: 192.168.01.02
|
MRS
|
:: 255.225.255.0
|
|
MRS
|
: 255.225.255.0
|
Conclusion partielle
Ce chapitre a présenté notamment dans
une perspective bien définit, le langage Visual Basic qui est un langage
de programmation événementiel de la troisième
génération, ensuite l'affichage de la mise en relation de nos
tables qui constituent notre base de données.
Afin de concrétiser nos propos, nous avons
aussi présenté certains objets de notre base de données et
aussi la manière dont les informations y sont.
51
CONCLUSION GENERALE
Nous voici arriver à la fin de notre travail
scientifique dont le sujet est intitulé « Implantation
d'un Système informatisé pour le Paiement des
Travailleurs dans une Entreprise Commerciale. Cas de
DIVICOM/Tshikapa ». Ce sujet nous a conduits à descendre dans
l'entreprise pour connaître le système
existant. Cette connaissance nous a amené à
élaborer des modèles avec lesquels nous avons conçu une
base de données que nous avons connectée à un langage de
programmation visuel basic 6.0.
L'application ainsi construite est un support
informatique que nous mettons à la disposition de la
société DIVICOM de Tshikapa. Si elle met cela en
pratique le traitement de ces informations sera automatique.
Hormis l'introduction et la conclusion
générale, notre travail est structuré en
3 chapitres :
? Chapitre 1 : les
généralités. Dans ce chapitre,
nous avons défini les concepts utilisés dans notre
travail et les autres qui y sont afférents ;
? Chapitre 2 : Présentation de la
Société DIVICOM/Tshikapa.
C 'est dans ce chapitre que nous avons fait
l'analyse critique
du système d'information existant de
l'entreprise ;
? Chapitre 3 : Implantation
d'un logiciel. Ici nous avons créé une base de
données que nous avons connectée à un langage de
programmation Visual Basic 6.0. Notons que nous ne sommes pas
intéressés à tous les autres services,
mais seulement au service de la paie du personnel de la
Société Divicom/Tshikapa.
52
Voici en annexe les formulaires de notre application
:
1. LA PAGE D'ACCUEIL
2. LA PAGE D'AUTHENTIFICATION
3.
53
LA PAGE DE SALAIRES DES AGENTS
4. L'ENREGISTREMENT
54
5. FERMETURE DE L'APPLICATION
55
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1) GRAWITZ, M, Méthodes des sciences sociales,
10ème édition, Paris 1971, Dalloz,
1996
2) PINTO, Méthodes des sciences sociales,
édition, Dalloz, Paris 1971
3) Larousse Illustré, République
Démocratique du Congo, édition 2009
4) Pierre Morvan, Dictionnaire Informatique, librairie
Larousse, Paris Vie, 1981
5) Larousse de poche, édition 2003
6) REZSOHARY, R, Théorie et critiques des faits
sociaux, Bruxelles, la Renaissance du livre, 1971
II. SYLLABUS, TFC ET REVUES
1. DIWULE E. Note de cours Méthode de recherche
scientifique, G2 Gestion Informatique, ISC/T'PA,
2009-2010, inédit
2. JP MUKANYA, Notes de cours de
l'Informatique Générale,
ULKO/T'PA 2012-2013
3. TUMBA KANYINDA, « Mise en place
d'une base de données pour la gestion du personnel
», ISC/T'PA, 2011
4. NOEL MINGASHANGA, Notes de cours informatique
générale, 2011
5. YAKAKA Ivette, Le rôle et
l'importance de 4P marketing dans une entreprise commerciale
et industrielle, Juillet 2010, G3 Marketing, ISC/Tshikapa, inédit
6. C.T KIZENGA POLOTO, Note de cours de la
comptabilité Générale, G1 Informatique ISC/Tshikapa,
2012-2013, inédit
7. LUSAMBA Petronie, Esquisse d'une
conception et réalisation d'une base de données
pour la gestion des clients, Juillet 2013-2014, G3 Informatique,
ISC/Tshikapa, inédit
III. WEBOGRAPHIE
1.
www.journaldunet.net
2.
www.larousse-edu.fr
3.
www.commentçamarche.net
56
TABLE DE MATIERES
. Méthode Merise
I
II
III
IV
1
1
2
3
3
4
4
4
4
4
4
5
5
5
5
6
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7
7
7
8
8
8
10
1
2
15
15
16
17
17
17
17
18
1
1
EPIGRAPHIE DEDICACE
AVANT-PROPOS
LISTE DES ABREVIATIONS
0. INTRODUCTION GENERALE
1. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESES
3. METHODES ET TECHNIQUES ........
a) Méthodes
I
II. Méthode historique
III. Méthode analytique
IV. Méthode
structuro-fonctionnelle..............................
b) Techniques
1°) TECHIQUE DOCUMENTAIRE
2°) TECHNIQUE D'UNE
APPLICATION........................ 3°) TECHNIQUE
D'INTERVIEW
4. DELIMITATION DU SUJET
5. SUBDIVISION DU TRAVAIL
6. DIFFICULTES RENCONTREES
CHAPITRE 1 : GENERALITE SUR LES CONCEPTS DE BASE
1.0. INTRODUCTION.
1.1 IMPLANTATION
1.2. SYSTEME
1.3. INFORMATISE.
1.3.1. INFORMATIQUE.
1.3.1.1.
ESSAI DE DEFINITION
1.3.1.3.
HISTOIRE
1.3.1.4. TYPES
D'INFORMATIQUES
1.3.2.
ORDINATEUR
1.3.3 BASE DE DONNEES
1.3.3.1.
DEFINITION
1.3.3.2.
SORTES DES BASES DE DONNEES...........................
1.3.3.3. UTILITE D'UNE
BASE DE DONNEES..........................
1.3.3.4. CARACTERISTIQUES DE BASE DE DONNEES
1.3.4. SYSTEME
DE GESTION DE BASE DE DONNEEES
1.3.4.1. DEFINITION
1.4. ENTREPRISE
57
19
20
20
20
21
22
22
22
25 25 25 25 25 27
29
30
30
30
30
31
31
31
32
32
32
32
33
33
34
34
35
35
35
35
35
35
36
36
36
36
1.4.1 SORTES DES ENTREPRISES
1.5. TSHIKAPA
a) APERÇU HISTORIQUE.
b) APERCU GEOGRAPHIQUE.
c) ASPECT DEMOGRAPHIQUE
d) ASPECT CLIMATIQUE
e) SITUATION ECONOMIQUE
f) SITUATION
POLITICO-ADMINISTRATIVE.......................
CHAPITRE II : ETUDE DE LA SOCIETE DIVICOM
....................... INTRODUCTION.
II.1 APERÇU HISTORIQUE
II.2 ORGANISATION STRURO
FONCTIONNELLE....................... 1.4.2 FONCTIONNEMENT
II.3 ORGANIGRAMME
II.6.6 DIAGRAMME DE CONTEXTE
II.6.7 DIAGRAMME DE FLUX
II.6.8 MATRICE DE FLUX
II.6.9 DIAGRAMME DE CIRCULATION D'INFORMATION
II.6.10 LEGENDE
II.7 Critique de l'existant
II.7.1 Points positifs
II.7.2 Points
négatifs
II.7.3 Propositions des
solutions nouvelles
II.7.4 Solutions manuelles
réorganisées
II.7.5 Avantages de la solution
manuelle
II.4.6 Inconvénients de la solution
manuelle.............................
II.4.7 Solutions
informatiques
II.7.8 Avantage
II.7.9 Désavantage
II.8 Adoption de la solution
Chapitre III : IMPLANTATION
D'UN SYSTEME INFORMATISE INTRODUCTION.
III.1.CONCEPTION
III.2. MODEL CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
III.2.1.DEFINITION.
III.2.2.PROPRIETE.
III.2.3.ENTITE.
III.2.4.RELATION.
III.2.5.CARDINALITE.
III.3 REPERAGE DES ENTITES
III.4 REPRESENTATION SCHEMATIQUE DE MODELE
58
36
37
38
38
40
41
41
42
43
44
50
51
55
56
CONCEPTUEL DE DONNEES
III.5 MODELE LOGIQUE DE DONNEES
(MLD)
III.6 CREATION DE LA BASE DE
DONNEES.............................
III.6.1CREATION DES
TABLES. III.6.2 CREATION DE RELATION
III.6.3 Les relations
III.7 INTRODUCTION DES ELEMENTS DANS LES TABLES CREEES. III.8
CREATION DE CONTROLE SUR FORMULAIRE
III.9 CONNEXION DE LA BASE DE DONNEES AU LANGAGE
DE PROGRAMMATION VISUAL BASIC 6.0
III.10 ECRITURES DES CODES SOURCES DES
DIFFERENTS
CONTROLES. III.11 SCHEMA DU PROJET DE RESEAU
LOCAL SANS FIL
(WIFI)
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE. TABLE DE MATIERES
59
L'EXPOSE DU TRAVAIL
- Monsieur le
président du jury,
- Messieurs
les membres du jury,
- Camarade étudiants et chers camarades
;
-
Distingués
invités.
L'heure est venu où nous tenons au
devant de vous, pour vous présenter le
bilan de nos recherches qui
sanctionne la fin
de notre premier cycle de graduat au
sein de
l'ISC/Tshikapa.
Ainsi, notre sujet
intitulé «
IMPLANTATION D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR PAIEMENT DES TRAVAILLERS
DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE ».
En effet, ce dernier nous a
conduits à descendre sur terrain pour
connaître le système
d'information
existant. Cette connaissance
nous a amenée à élaborer un
model avec lequel nous avons
conçu une base de données que nous avons connecté à
un langage de programmation
Visual basic
6.0.
Hormis
l'introduction et
la conclusion
générale,
notre travail est
structuré en 3
chapitres :
? Chapitre 1 : les
généralités
: dans ce chapitre nous avons
défini les concepts
utilisés dans notre travail et
les autres qui y sont afférents
;
? Chapitre 2 :
Présentation de la
Société DIVICOM de
Tshikapa : dans ce chapitre
nous avons fait l'analyse
critique du système
d'information existant de
l'entreprise ;
? Chapitre 3 :
Implantation d'un
logiciel :
nous avons créé une base de données que nous avons
connectée à un langage de
programmation
Visual Basic
6.0. et surtout nous ne sommes pas
intéressés à tous les
autres services.
Si la société
DIVICOM/Tshikapa accepte
d'appliquer notre projet,
cela le servira au
traitement
automatique, rapide et
fiable des
informations. Nous avons
développé qu'un
domaine (paiement des
60
salaires) mais
les autres domaines restent
une voie ouverte pour les autres
chercheurs.
Enfin, la
science étant en perpétuel
évolution,
nous jugeons notre oeuvre non exhaustive,
c'est pourquoi nous
la laissons ouverte aux
remarques et amendements
ultérieurs.
Je dis et je vous remercie.
|