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Site web inscriptions en ligne dans une école.

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par JEAN MARIE JM KANKU KABANGU
UNIVERSITE NOTRE DAME DU KASAYI (U.KA) - Gradué en informatique 2013
  

Disponible en mode multipage

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INTRODUCTION

A l'heure actuelle, il est souhaitable pour toute entité publique ou privée à vocation éducationnelle ou formative d'adhérer à la nouvelle formule de diffusion des informations qui leur permettrait la mise en ligne de tous les services qu'elles mettent à la disposition du grand public afin de dépasser les problèmes d'encombrement au sein de leurs sièges.

Depuis bien longtemps, les hommes à travers diverses structures dont les inscriptions en ligne dans une école, éprouvent le besoin de partager les informations en temps réel. Face à cette obsession, plusieurs études ont été menées pour concevoir un système de diffusion des informations capable de couvrir des vastes étendues géographiques afin de révolutionner le système de communication de l'ancien temps en un système de communication intégrant les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, NTIC en sigle, dont la plus récente serait l'interface Web.

Pendant que les demandes d'informations et d'échanges relatives à cette entité scolaire fusent de partout, le Lycée Marie Mère de l'Espérance en tant que tel, son actuel système de communication est dépassé et inadapté pour satisfaire les besoins exprimés par les internautes disséminés à travers le monde, qui veulent avoir une vue générale de l'Entité et avoir accès à certaines informations au quotidien en rapport avec son administration.

1. PROBLEMATIQUE

Pour gérer une école comme pour administrer un pays ou une collectivité, l'intuition et la réflexion ne suffisent pas. Pour être efficaces et opportunes, les décisions doivent s'appuyer sur des données complètes, fiables et pertinentes. C'est pourquoi les entités scolaires, politico-administrative,... pouvant être compétitives sont particulièrement en mesure de tirer parti de la capacité qu'à Internet de diffuser rapidement, efficacement et économiquement une information ou des documents sous forme électronique.

Il permet de prendre une décision rapide, et une actualisation vite des informations, en particulier en situation de crise. De plus, les Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication permettent d'établir une relation plus étroite entre les individus et les entités scolaires, universitaires, politico-administratives, entreprises, etc. Le site Web est une vitrine pour les différentes sociétés à travers le monde, il permet de promouvoir l'activité de ces sociétés.

En étant présente sur le Web, une école se fait connaître auprès du public ou internautes et s'assure ainsi une plus grande facilité de prise de contact et favorise le dialogue avec ces derniers.

Cependant, les questions suivantes relatives aux enjeux communicationnels du Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance mériteraient un regard particulier :

- Sur le plan administration scolaire, l'information circule-t-elle efficacement au Complexe Scolaire Lycée Marie Mère de l'Espérance ?

- Le complexe Scolaire Lycée Marie Mère de l'Espérance se rend-elle compte des avantages de l'implantation d'un site web à son sein pour améliorer son mode de gestion scolaire ?

- La conception d'un site web pour les préinscriptions en ligne pour cette école permettra-t-elle une informatisation de sa gestion scolaire requise en temps réel ?

2. HYPOTHESE

Aux questions précédentes, nous proposons les solutions suivantes :

- La circulation de l'information serait d'une importance capitale pour une bonne administration face aux problèmes de gestion scolaire au Lycée Marie Mère de l'Espérance.

- L'automatisation de la circulation des informations scolaires grâce au site Web permettrait une gestion scolaire efficace de diffusion d'information et cela consiste à présenter l'Ecole et ses activités. C'est le meilleur rapport, prix par excellence pour être visible de par l'ensemble de la planète.

A l'oeil nu, le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance ne se serait pas encore rendu compte des avantages de l'intégration de la technologie Web dans son mode de gestion scolaire.

- La conception d'un site Web permettra au Lycée Marie Mère de l'Espérance :

1. De pouvoir être vu par tout le monde. Son potentiel, quel que soit l'usage qu'on en fait, est illimité. Sa base de données permettra de gérer et stocker les informations relatives au bon fonctionnement de l'Ecole ;

2. La création d'une application qui automatise les opérations de diffusion des informations, mettrait en avant l'infrastructure d'accueil, la qualité des salles de classe, bibliothèque, activités parascolaires, etc. et affirmerait sa présence sur le réseau mondial (Internet).

- La réalisation du site Web permettrait au Lycée Marie Mère de l'Espérance d'atteindre son public cible, faciliterait les contacts en ce qui concerne le partenariat.

3. OBJECTIF DU TRAVAIL

Comme au beau vieux temps où, en Afrique, les sages se réunissaient autour de l'arbre à palabre pour débattre et résoudre tout problème touchant la communauté, l'objectif poursuivi par le présent travail est de contribuer à l'amélioration des échanges d'informations dans les Inscriptions en ligne au Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance. Ceci dans l'optique de contribuer au renforcement de la présence sur la toile mondiale d'un contenu sur cette Ecole, rédigé par les Kanangais eux-mêmes.

Notre objectif spécifique est la mise au point d'un site Web dynamique pouvant permettre l'échange d'informations en temps réel au sein du Lycée Marie Mère de l'Espérance.

Ledit Site Web sera l'aboutissement d'un projet de fin cycle pour l'obtention d'un diplôme de gradué en Informatique de Gestion intitulé : « Conception et réalisation d'un Site Web dynamique pour les préinscriptions en ligne dans une école. Cas du Lycée Marie Mère de l'Espérance ».

4. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Etant donné que le monde évolue, et que la manière de gérer fait aussi l'objet des transformations, nous avons jugé mieux d'aborder un sujet qui est actuel mais qui ne fait pas vraiment l'objet d'une attention particulière. Ce sujet nous permettra particulièrement de nous imprégner du fonctionnement du Lycée Marie Mère de l'Espérance en général, le volet Inscriptions en particulier. Pour cette entité scolaire, l'outil que nous produirons l'aidera à la diffusion de ses informations et accomplir la tâche de ses services en temps réel à travers la Nouvelle Technologie.

Au futur chercheur, il trouvera déjà un chemin à suivre dans le domaine de la conception et réalisation du Site Web dynamique qui informe sur les Inscriptions en ligne, la gestion des informations ou fonctionnement de cette entité scolaire que nous aurions tracé d'avance dans son informatisation de gestion en temps réel pour la tâche qui lui incombe. Notre motivation d'opter pour ce sujet est justifiée par la nécessité de la Mondialisation.

Pour ce qui est de l'intérêt, nous espérons que ce présent travail permettra au Lycée Marie Mère de l'Espérance d'appliquer les méthodes modernes d'information et de communication.

Par la voie de son site Web qui est plus onéreux, le Lycée Marie Mère de l'Espérance aura à informer régulièrement les internautes cibles sur les Inscriptions, certaines modalités et mesures en rapport avec l'Ecole.

Pour nous, le chef d'oeuvre, il nous permettra à la fin de cycle d'obtenir le titre de gradué en Informatique de Gestion et que la jeunesse puisse nous lire et continuer ses recherches.

5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

5.1. METHODES

- La méthode historique : qui nous a servi à mieux maîtriser certaines étapes de conception d'un site Web.

- La méthode MERISE : pour l'analyse du système d'Information du Lycée Marie Mère de l'Espérance.

5.2. TECHNIQUES UTILISEES

- La technique documentaire : Cette technique nous a permis de parcourir les archives de l'Ecole en vue de nous ressourcer davantage sur le système de communication existant afin d'améliorer sensiblement le système futur.

- La technique d'interview : qui est un procédé d'investigation scientifique utilisant un processus d'échange verbale pour recueillir des informations relatives à cette entité scolaire auprès de son personnel.

6. DELIMITATION DU SUJET

Il est recommandé qu'un travail scientifique pour être bien précis, doit être délimité. Ainsi, nous avons pensé limiter notre étude dans le temps et dans l'espace ainsi que dans le domaine.

6.1. Délimitation dans le temps

Nous avons étudié les informations des dix dernières années.

6.2. Délimitation spatiale

Notre recherche n'a pas couvert toutes les écoles de la Ville de Kananga, toutefois, nous avons opté pour le Lycée Marie Mère de l'Espérance, étant l'une des grandes écoles de la Ville.

6.3. Délimitation dans le domaine

Cette étude s'inscrit dans le cadre de créer un site Web dynamique capable de gérer, d'afficher et de stocker les informations dans une base de données qui permettra au Lycée Marie Mère de l'Espérance à diffuser ses informations et faire connaître ses activités au reste du monde.

7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Mis de côté l'Introduction et la Conclusion, ce travail comporte quatre chapitres que voici :

- Le chapitre premier parle sur les Notions des Réseaux Informatiques et d'Internet.

- Le chapitre deuxième explique les Technologies Web et les sites web.

- Le chapitre troisième est consacré à la Présentation du Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance.

- Le chapitre quatrième traite de la Réalisation du Site (modélisation et implémentation).

8. DIFFICULTES RENCONTREES

Dans tout travail de recherche scientifique, les difficultés sont toujours certaines puisque le chercheur et celui (ceux) qui livre (ent) les données ne s'entendent généralement pas ; ainsi de notre part, nous avons eu comme difficultés : l'incompréhension des objectifs de notre recherche par certains de ceux qui livraient les données et cela créait toujours un retard lors de l'analyse de ces données ; la documentation insuffisante au sein de notre Université, surtout dans le domaine de la Programmation Web ; temps imparti insuffisant ; le moyen financier limité.

CHAPITRE I : NOTIONS SUR LES RESEAUX INFORMATIQUES ET L'INTERNET

Nous le savons tous, les réseaux informatiques et l'Internet, le plus célèbre des réseaux informatiques, font désormais partie intégrante de la vie quotidienne de la plupart d'entre nous. Toutefois, depuis leurs origines, ces deux concepts Réseau informatique et Internet ne sont compris que par une population limitée : celle des informaticiens opérant dans les universités ou grandes entreprises, ces lieux privilégiés où les réseaux informatiques et l'internet sont beaucoup plus utilisés en ces jours.

Raison pour laquelle tout au long de ce chapitre, consacré aux réseaux informatiques et Internet, nous aurons à souligner les grandes lignes sur chacun de ces deux concepts.

I.1. RESEAUX INFORMATIQUES

1. Définition

Le terme générique « Réseau » définit un ensemble d'entités (objets, personnes, etc.) interconnectées les unes avec les autres. Un réseau permet de faire circuler des éléments matériels ou immatériels entre chacune des entités selon des règles bien définies.1(*)

Réseau (en anglais network) : ensemble des ordinateurs et périphériques connectés les uns avec les autres. Notons que deux ordinateurs connectés ensemble constituent à eux seuls un réseau minimal.

Mise en réseau (en anglais networking) : c'est la mise en oeuvre des outils et des tâches permettant de relier des ordinateurs afin qu'ils puissent partager des ressources en réseau.

Le réseau informatique est un système de mise en commun de l'information entre plusieurs machines. Un réseau peut ainsi relier, au moyen d'équipements de communication appropriés, des ordinateurs, des terminaux et des périphériques divers tels que des imprimantes et des serveurs de fichiers.

La connexion entre ces différents éléments peut s'effectuer à l'aide de liens permanents des câbles, mais aussi faire appel à des réseaux de télécommunications publics, comme le réseau téléphonique. De ce fait, les dimensions de ces réseaux informatiques sont très variées, depuis les réseaux locaux, reliant quelques éléments dans un même bâtiment, jusqu'aux ensembles d'ordinateurs disséminés sur une zone géographique importante. Quelle que soit leur étendue, les réseaux informatiques permettent aux utilisateurs de communiquer entre eux et de transférer des informations. Ces transmissions de données peuvent concerner l'échange de messages entre utilisateurs, l'accès à distance à des bases de données ou encore le partage de fichiers, etc.

En bref, les avantages du réseau informatique sont les suivants :

- Le partage de fichiers : les données circulent par un câble ou par une onde et non par des supports amovibles (disquettes, clefs USB, CD-Rom,...). Tous les ordinateurs du réseau peuvent accéder aux mêmes données et les modifier ;

- Le partage de ressources matérielles : imprimantes, disque dur... ;

- Le partage des applications : le travail dans un environnement multi-utilisateurs ;

- La garantie de l'unicité de l'information (base de données) ;

- La communication entre personnes (courriers électroniques, discussion en direct,...) ;

- La diminution des coûts grâce aux partages des données et des périphériques ;

- L'accès aux données en temps réel ;

- La communication et l'organisation plus efficaces.2(*)

2. Brève historique des réseaux informatiques

Au cours des années 1970, les premiers grands systèmes informatiques se composent d'ordinateurs centraux, volumineux et fragiles, auxquels accèdent en temps partagé des terminaux passifs, c'est-à-dire des postes de travail avec clavier et écran mais sans puissance de calcul. Ces systèmes constituent en quelque sorte les premiers réseaux informatiques, mais les communications réalisées demeurent élémentaires.

Au cours des années 1980, l'adoption en masse des micro-ordinateurs et, d'une manière générale, la « démocratisation » de la puissance de calcul bouleverse complètement le monde informatique. Les grands systèmes sont alors massivement décentralisés, si bien que l'importance des réseaux informatiques de données multipliées, de par le nombre de machines connectés, les quantités de données échangées et la diversité de nature des communications.

Aujourd'hui, ces réseaux sont d'un usage courant dans notre société, notamment grâce à la popularité du réseau télématique Internet.3(*)

3. Catégories des réseaux informatiques4(*)

On distingue quatre catégories de réseaux informatiques selon leur taille (nombre de machines) et leur étendue :

- le réseau personnel (PAN : Personal Area Network), relie des machines sur quelques mètres ;

- le réseau local (LAN : Local Area Network), est adapté à la taille d'un site d'entreprise ;

- le réseau métropolitain (MAN : Metroplitan Area Network), est un réseau étendu à l'échelle d'une ville ;

- le réseau étendu (MAN : Wide Area Network), couvre une grande zone géographique, typiquement à l'échelle d'un pays, d'un continent.

Il existe deux autres types de réseaux : les TAN (Tiny Area Network) identiques aux LAN mais moins étendus (2 à 3 machines) et les CAN (Campus Area Network) identiques au MAN (avec une bande passante maximale entre tous les LAN du réseau).

3.1. LES LAN

Il s'agit d'un ensemble d'ordinateurs appartenant à une même organisation et reliés entre eux dans une petite aire géographique par un réseau, souvent à l'aide d'une même technologie (la plus répandue étant Ethernet).

Un réseau local est donc un réseau sous sa forme simple. La vitesse de transfert de données d'un réseau local peut s'échelonner entre 10 MB/s (pour un réseau Ethernet par exemple) et 1 GB/s (en FDDI ou Gigabit Ethernet par exemple). La taille d'un réseau local peut atteindre jusqu'à 100 voire 1000 utilisateurs. En élargissant le contexte de la définition aux services qu'apporte le réseau local, il est possible de distinguer deux modes de fonctionnement (Confère le point 6) :

- dans un environnement d' « égal à égal » (en anglais peer to peer), dans lequel il n'y a pas d'ordinateur central et chaque ordinateur a un rôle similaire.

- Dans un environnement « client/serveur », dans lequel un ordinateur central fournit des services réseaux aux utilisateurs.

3.2. LES MAN

Ils interconnectent plusieurs LAN géographiquement proches (au maximum quelques dizaines de km) à des débits importants. Ainsi un MAN permet à deux noeuds distants de communiquer comme s'ils faisaient partie d'un même réseau local. Un MAN est formé de commutateurs ou de routeurs interconnectés par des liens hauts débits (en général en fibre optique).

3.3. LES WAN

Un WAN interconnecte plusieurs LANs à travers de grandes distances géographiques. Les débits disponibles sur un WAN résultent d'un arbitrage avec le coût des liaisons (qui augmente avec la distance) et peuvent être faibles.

Les WAN fonctionnent grâce à des routeurs qui permettent de « choisir » le trajet le plus approprié pour atteindre un noeud du réseau.

Le plus connu des WAN est INTERNET.

4. TOPOLOGIE DES RESEAUX INFORMATIQUES5(*)

Un réseau informatique est constitué d'ordinateurs reliés entre eux grâce à des lignes de communication (câbles réseaux, etc) et des éléments matériels (cartes réseau, ainsi que d'autres équipements permettant d'assurer la bonne circulation des données). L'arrangement physique, c'est-à-dire la configuration spatiale du réseau est appelé Topologie physique. On distingue généralement les topologies suivantes : topologie en bus, topologie en étoile, topologie en anneau, topologie en arbre et topologie maillée.

4.1. Topologie en bus

Une topologie en bus est l'organisation la plus simple d'un réseau. En effet, dans une topologie en bus tous les ordinateurs sont reliés à une même ligne de transmission par l'intermédiaire de câble, généralement coaxial. Le mot « bus » désigne la ligne physique qui relie les machines du réseau.

Cette topologie a pour avantage d'être facile à mettre en oeuvre et de posséder un fonctionnement simple. En revanche, elle est extrêmement vulnérable étant donné que si l'une des connexions est défectueuse, l'ensemble du Réseau en est affecté.

4.2. Topologie en étoile

Dans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un système matériel central appelé concentrateur (en anglais hub, littéralement moyen de roue). Il s'agit d'une boite comprenant un certain nombre de jonctions auxquelles il est possible de raccorder les câbles réseau en provenance des ordinateurs. Celui-ci a pour rôle d'assurer la communication entre les différentes jonctions.

Contrairement aux réseaux construits sur une topologie en bus, les réseaux suivant une topologie en étoile sont beaucoup moins vulnérables car une des connexions peut être débranchée sans paralyser le reste du réseau. Le point névralgique de ce réseau est le concentrateur, car sans lui plus aucune communication entre les ordinateurs du réseau n'est possible.

En plus, un réseau à topologie en étoile est plus onéreux qu'un réseau à topologie en bus car un matériel supplémentaire est nécessaire (le hub).

4.3. Topologie en anneau

Dans un réseau possédant une topologie en anneau, les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun à leur tour. En réalité, dans une topologie en anneau, les ordinateurs ne sont pas reliés en boucle, mais sont reliés à un répartiteur (appelé MAU, Multi station Access Unit) qui va gérer la communication entre les ordinateurs qui lui sont reliés en impartissant à chacun d'entre eux un temps de parole.

Les deux principales topologies logiques utilisant cette topologie physique sont : Token ring (anneau à jeton) et FDDI.

4.4. Topologie en arbre

Aussi connu sous le nom de topologie hiérarchique, le réseau est divisé en niveaux. Le sommet, le haut niveau, est connectée à plusieurs noeuds de niveau inférieur, dans la hiérarchie. Ces noeuds peuvent être eux-mêmes connectés à plusieurs noeuds de niveau inférieur. Le tout dessine alors un arbre, ou une arborescence.

4.5. Topologie maillée

Une topologie maillée, est une évolution de la topologie en étoile, elle correspond à plusieurs liaisons point à point. Une unité réseau peut avoir (1,N) connexions point à point vers plusieurs autres unités.

Chaque terminal est relié à tous les autres. L'inconvénient est le nombre de liaisons nécessaires qui devient très élevé.

Cette topologie se rencontre dans les grands réseaux de distribution (Exemple : Internet). L'information peut parcourir le réseau suivant des itinéraires divers, sous le contrôle de puissants superviseurs de réseau, ou grâce à des méthodes de routage réparties.

L'armée utilise également cette topologie, ainsi, en cas de rupture d'un lien, l'information peut quand même être acheminée.

Cette topologie existe aussi dans le cas de couverture WI-FI. On parle de topologie mesh mais ne concernant que les routeurs WI-FI.

5. Le matériel réseau6(*)

5.1. Le support de communication

Les infrastructures ou supports peuvent être des câbles dans lesquels circulent des signaux électriques, l'atmosphère où circulent des ondes radio, ou des fibres optiques qui propagent les ondes lumineuses.

Dans le réseau en étoile, le support de communication est fréquemment désigné par terme Ethernet du nom du standard de transmission de données utilisé sur ce type de réseau.

ü La fibre optique autorise des vitesses de communication très élevées (plus de 100GB/sec) ou en milieu très fortement parasité ;

ü Le câble paire torsadée terminé par un connecteur RJ45 est constitué de fils qui sont torsadés par paire. Son utilisation est très courante pour les réseaux en étoile ;

ü Les ondes radio (radiofréquences 2,4 GHZ) permettent de connecter des machines entre elle sans utiliser de câbles. La norme la plus utilisée actuellement pour les réseaux sans fil est la norme IEEE 802.11, mieux connue sous le nom de WI-FI. Le WI-FI permet de relier des machines à une liaison haut débit (de 11 Mbit/s théoriques ou 6 Mbit/s réels en 802.11 b) sur un rayon de plusieurs dizaines de mètres en intérieur (plusieurs centaines de mètres en extérieur).

N.B : Le câble coaxial, pour des réseaux de topologie en bus, est constitué d'un fil entouré d'un blindage.

5.2. Le Coupleur (Carte réseau)

Il assure l'interface entre la machine dans laquelle elle est montée et un ensemble d'autres équipements connectés sur le même réseau. On trouve des cartes réseaux dans les ordinateurs mais aussi dans certaines imprimantes, copieurs... On ne parle de carte réseau que dans le cas d'une carte électronique autonome prévue pour remplir ce rôle d'interface. Ainsi, un ordinateur muni d'une interface réseau assurée par des composants soudés sur sa carte mère ne comporte pas, à proprement parler, de carte réseau.

5.3. Le Commutateur/Concentrateur

Le commutateur réseau ou Switch est un équipement qui relie plusieurs segments (câbles ou fibres) dans un réseau informatique. Il s'agit le plus souvent d'un boitier disposant de plusieurs ports Ethernet. Il a donc la même apparence qu'un concentrateur (hub).

Contrairement à un concentrateur, un commutateur ne se contente pas de reproduire sur tous les ports chaque trame (informatique) qu'il reçoit. Il sait déterminer sur quel port il doit envoyer une information, en fonction de l'ordinateur auquel elle est destinée. Les commutateurs sont souvent utilisés pour remplacer les concentrateurs.

5.4. Le Modem

Le nom est un appareil qui permet d'adapter les signaux électriques entre le routeur et le support physique extérieur pour la connexion à un réseau externe (ligne téléphonique).

5.5. La Passerelle (Routeur)

Une passerelle est un dispositif qui permet de relier deux réseaux informatiques comme par exemple un réseau local et Internet. Ainsi, plusieurs ordinateurs ou l'ensemble du réseau local peuvent accéder à Internet par l'intermédiaire de la passerelle. Le plus souvent, elle sert également de firewall (pare-feu).

5.6. Le Firewall

Un firewall (pare-feu), est un système permettant de protéger un ordinateur ou un réseau d'ordinateurs des intrusions d'un réseau tiers (notamment internet). Le pare-feu est un système permettant de filtrer les paquets de données échangés avec le réseau, il s'agit ainsi d'une passerelle filtrante comportant au minimum les interfaces réseau suivantes :

- Une interface pour le réseau à protéger (réseau interne) ;

- Une interface pour le réseau externe.

Le système firewall est un système logiciel, reposant parfois sur un matériel réseau dédié, constituant un intermédiaire entre le réseau local (ou la machine locale) et un ou plusieurs réseaux externes.

5.7. Le Serveur NAS

Un serveur NAS (Network Attached Storage) est un appareil qui ne contient que des disques durs pour la sauvegarde de données en réseau.

5.8. Dispositif d'alimentation sans interruption (Onduleur)

Elle est constituée de la mise en cascade d'un montage redresseur, d'un dispositif de stockage de l'énergie (batterie d'accumulateur) et d'un onduleur fonctionnant à fréquence fixe. Le terme onduleur est fréquemment utilisé pour désigner ce type d'alimentation. Un onduleur permet de fournir au serveur une alimentation électrique stable et dépourvue de coupure ou de microcoupure, quoi qu'il se produise sur le réseau électrique.

5.9. Le Serveur

Dans un réseau informatique, un serveur est à la fois un ensemble de logiciels et l'ordinateur les hébergent. Son rôle est de répondre de manière automatique à des demandes envoyées par des clients -ordinateur et logiciel- via le réseau.

Les principales utilisations d'un serveur sont :

- Le serveur de fichiers (anglais file server) est utilisé pour le stockage et le partage de fichiers. Les fichiers placés dans les mémoires de masse du serveur peuvent être manipulés simultanément par plusieurs clients ;

- Le serveur d'impression est utilisé comme intermédiaire entre un ensemble de clients et un ensemble d'imprimantes. Chaque client peut envoyer des documents à imprimer aux imprimantes reliées au serveur ;

- Le serveur de base de données est utilisé pour stocker et manipuler des données continues dans une ou plusieurs bases de données et partagées entre plusieurs clients ;

- Le serveur de courrier est utilisé pour stocker et transmettre du courrier électronique ;

- Le serveur web stocke et manipule les pages d'un site web et les transmet sur demande au client ;

- Le serveur mandataire (anglais proxy) reçoit des demandes, les contrôle, puis les transmet à d'autres serveurs. Il peut être utilisé pour accélérer le traitement des demandes (mémoire cache), ou faire appliquer des règlements de filtrage.

6. Organisation du réseau7(*)

Selon leur architecture, on distingue deux types d'architecture de réseaux : le poste à poste et le client/serveur.

6.1. Le réseau client/serveur

L'architecture client/serveur désigne un mode de communication entre plusieurs ordinateurs d'un réseau qui distingue un ou plusieurs clients du serveur : chaque logiciel client peut envoyer des requêtes à un serveur. Un serveur peut être spécialisé en serveur d'applications, de fichiers ou encore de messagerie électronique.

Les postes de travail n'ont seulement besoin que d'un petit bout de logiciel (appelé client) pour se connecter au serveur et quelque soit le système d'exploitation installé sur les postes de travail.

6.2. Le réseau poste à poste (Peer to Peer)

Ici, chaque ordinateur ou logiciel est à la fois client et serveur. Cette architecture ne convient que pour un petit réseau.

7. Protocole de communication pour les réseaux 8(*)

Un protocole est un ensemble de règles et de procédures à respecter pour émettre et recevoir des données sur un réseau.

Sur Internet, de nombreux protocoles sont utilisés, ils font partie d'une suite de protocoles qui s'appelle TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol). TCP/IP est basé sur le repérage de chaque ordinateur par une adresse appelée adresse IP qui permet d'acheminer les données à l'adresse voulue : Chaque paquet transmis via le protocole IP contient dans son en-tête l'adresse IP de l'émetteur ainsi que l'adresse du destinataire. Cela permet aux machines du réseau de router les paquets jusqu'à destination grâce à l'dresse IP. Le destinataire saura ainsi à qui renvoyer les données grâce à l'adresse IP de l'émetteur contenu dans les en-têtes des paquets envoyés.

7.1. Adresse IP

A la carte réseau de chaque machine connectée au réseau est associée une adresse IP unique, pour pouvoir communiquer avec les autres machines. Cette adresse IP est fixée par l'administrateur du réseau ou attribuée automatiquement au démarrage grâce au protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol). L'adresse IP (IPV4) est formée de 4 octets (32 bits), compris entre 0 et 255 (sous forme décimale), séparés par des points.

Exemple : Soit un ordinateur connecté à un réseau local. Son adresse est IP 192.168.127.254.

Donc, pour que monsieur X et monsieur Y communiquent dans un réseau, leurs ordinateurs doivent posséder par exemple les adresses 168.85.21.7 (pour l'ordinateur de monsieur X) et 168.85.21.6 (pour l'ordinateur de monsieur Y).

7.1.1. Constitution d'une adresse IP

Une adresse IP est constituée de 2 parties : une partie fixe servant à identifier le réseau (net id) et une partie servant à identifier une machine (hôte) sur ce réseau (host id). Le nombre de bits affecté à chacune des deux parties dépend du masque de réseau.

7.1.2. Adresse réseau et adresse machine

Pour envoyer du courrier à un ami, on utilise son adresse postale. Exemple : Kananga BP 70 ; Kananga indique la ville d'envoi et 2459 le numéro de la boîte aux lettres.

Comme les codes postaux, les adresses IP ont également deux parties, une partie qui identifie le réseau et une partie qui identifie l'ordinateur dans le réseau.

Exemple : 168.85.21.0 est l'adresse réseau, 168.85.21.7 est l'adresse de la machine.

7.1.3. Types d'adressage

L'adressage consiste à attribuer les adresses IP aux équipements d'un réseau. Il existe plusieurs moyens d'attribuer des adresses à ses équipements :

- Adressage statique : Lorsque l'attribution d'adresses IP est faite de manière statique, c'est l'utilisateur qui saisit lui-même équipement par équipement les adresses.

- Adressage dynamique : Lorsque l'attribution d'adresses IP est faite de manière dynamique, c'est un ordinateur du réseau appelé SERVEUR DHCP (Dynamic Host Control Protocol), qui est chargé de donner automatiquement les adresses IP aux équipements connectés. Le Serveur DHCP dispose d'un ensemble d'adresses, appelé Plage d'adresses qu'il utilise pour donner les adresses aux machines. Les adresses qu'il attribue aux machines sont comprises dans cette plage (intervalle).

7.1.4. Classe d'adresses

Chaque adresse IP est constituée de quatre octets séparés par un point. L'adresse IP a pour forme W.X.Y.Z. Les quatre lettres peuvent varier entre O et 255. La première lettre W permet d'identifier la classe du réseau, et de déterminer le masque par défaut.

En effet, il existe 5 classes différentes : la classe A, la classe B, la classe C, la classe D et la classe E. Seuls les classes A, B et C sont utilisées en réalité.

· Si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe A, alors la valeur de W est comprise entre 0 et 126.

· Si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe B, la valeur de W varie de 128 à 191.

· Enfin si W.X.Y.Z est une adresse IP de classe C, alors la valeur de W varie de 192 à 223.

7.1.5. Masque réseau

Comme une adresse IP, se présente aussi sous la forme W.X.Y.Z. Il a pour rôle de vérifier si une adresse de machine appartient ou pas à un réseau. Le masque est indissociable de l'adresse IP, car l'un sans l'autre n'a pas de sens. Toutes les adresses d'un réseau doivent avoir le même masque.

Classe

Valeur de W

Masque par défaut

Nombre de réseaux

Nombre de machines

A

0 à 126

255.0.0.0

127

16777214

B

128 à 191

255.255.0.0

16384

65534

C

192 à 223

255.255.255.0

2097152

254

Exemple : L'adresse 124.32.65.1 est de la classe A (puisque 124 est compris entre 0 et 126). Son masque par défaut sera donc 255.0.0.0.

I.2. INTERNET

I.2.1. Définition et terminologie

L'Internet est un système d'interconnexion de machines qui constitue un réseau informatique mondial, utilisant un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données. C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux. Internet transporte un large spectre d'information et permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le word wide web.9(*)

Internet ayant été popularisé par l'apparition du word wide web, les deux sont parfois confondus par le public non averti. Le word wide web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet.10(*)

L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile), soit sans fil (WIMAX, par Satellite, 3Gt). Un utilisateur d'Internet est désigné par le néologisme « Internaute ».11(*)

Le terme d'origine américaine « Internet » est dérivé du concept d'internetting (en français : « interconnecter des réseaux ») dont la première utilisation documentée remonte à octobre 1972 par Robert E. Kahn au cours de la première ICCC (International Conference on Computer Communications) à Washington.

Les origines exactes du terme Internet restent à déterminer. Toutefois, c'est le 1er janvier 1983 que le nom « Internet », déjà en usage pour désigner l'ensemble d'ARPANET et plusieurs réseaux informatiques, est devenu officiel.

I.2.2. Historique de l'Internet12(*)

En 1961, Leonard Kleinrock du MIT publia le premier texte théorique sur les télécommunications par paquets. En juillet 1962, Licklider du Massachusetts Institute of Technology (MIT) écrivit des memos qui sont les plus anciens textes décrivant les interactions sociales possibles avec un réseau d'ordinateurs. Cela devait notamment faciliter les communications entre chercheurs de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

En octobre 1962, Licklider fut le premier chef du programme de recherche en Informatique de la DARPA. Il persuada ses successeurs Ivan Sutherland, Bob Taylor et le chercheur du MIT Lawrence G. Roberts de l'intérêt des réseaux informatiques.

En 1964 Leonard Kleinrock publia le premier livre sur le sujet.

En 1965, Roberts testa avec Thomas Merrill la première connexion informatique à longue distance, entre Massachusetts et la Californie. Le résultat montra que des ordinateurs pouvaient travailler ensemble à distance, mais que le monde de télécommunication par établissement de circuit du système téléphonique était inadapté. Le concept de communication par paquets de Kleinrock s'imposa.

En 1966, Roberts fut engagé par Taylor à la DARPA pour concevoir l'ARPANET. Il publia les plans en 1967. En présentant ce texte, il découvrit deux groupes de chercheurs travaillant indépendamment sur le même sujet : un groupe du National Physical Laboratory (NPL) du Royaume-Uni avec Donald Davies et Roger Scantlebury, et un groupe de la RAND Corporation avec Paul Baran.

Entre 1962 et 1965, le groupe de la RAND avait étudié la transmission par paquets pour l'armée américaine. Le but était de pouvoir maintenir les télécommunications en cas d'attaque (éventuellement nucléaire), ce que permet une transmission par paquets dans un réseau non centralisé. Il s'agissait d'un développement indépendant d'ARPANET : bien que probablement robuste face à une telle attaque, ARPANET n'a pourtant été conçu que pour faciliter les télécommunications entre chercheurs. Le rapport de Paul Baran est resté purement théorique, et est rapidement tombé dans l'oubli. Mais le mythe d' « ARPANET comme dernier rempart à une attaque atomique » trouve là son origine.

Pendant ce temps, au British National Physical Laboratory, l'équipe de Donald Davies avait progressé : NPL Network, le premier réseau maillé fondé sur la transmission de datagrammes (paquets) était fonctionnel. Mais l'histoire d'internet n'a pas été écrite par les Européens : ARPANET sera désormais l'origine officielle d'Internet.

En août 1968, la DARPA accepta de financer le développement du matériel de routage des paquets d'ARPANET. Ce développement fut confié en décembre à un groupe de la firme Bolt, Beranck and Newman (BBN) de Boston. Ce dernier travailla avec Bob Kahn sur l'architecture réseau. Roberts améliorerait les aspects topologiques et économiques du réseau. Kleinrock préparait des systèmes de mesures du réseau.

Le 20 septembre 1969, BBN installa le premier équipement à l'UCLA où travaillait Kleinrock. Le second noeud du réseau fut installé au Stanford Research Institute (SRI) où travaillait Douglas Engelbert sur un projet d'hypertexte. Deux noeuds supplémentaires furent ajoutés avec l'université de Santa Barbara et l'université d'Utah. Fin 1969, ARPANET comptait donc quatre noeuds.

Le Network Working Group (NWG) conduit par Steve Crocker finit le protocole de communication poste-à-poste NCP en décembre 1970. Ce protocole fut adopté entre 1971 et 1972 par les sites branchés à ARPANET. Ceci permit le développement d'applications par les utilisateurs du réseau.

En 1972, Ray Tomlinson mit au point la première application importante : le courrier électronique. En octobre 1972, Kahn organisa la première démonstration à grande échelle d'ARPANET à l'International Computer Communication Conference (ICCC). C'était la première démonstration publique.

Ce concept d'Internet est né d'ARPANET. L'idée était de permettre la connexion entre des réseaux divers : ARPANET, des communications avec les satellites, des communications par radio. Cette idée fut introduite par Kahn en 1972 sous le nom de Internetting. Le protocole NCP d'ARPANET ne permettait pas d'adresser des hôtes hors d'ARPANET ni de corriger d'éventuelles erreurs de transmission.

Kahn décida donc de développer un nouveau protocole, qui devint finalement TCP/IP.

En parallèle, un projet inspiré par ARPANET était dirigé en France par Louis Pouzin : le projet Cyclades. De nombreuses propriétés de TCP/IP ont ainsi été développées, plus tôt, pour Cyclades. Pouzin et Kahn indiquent que TCP/IP a été inspiré par Cyclades.

En 1973, Kahn demanda à Vint Cerf (parfois appelé le père d'Internet) de travailler avec lui, car Cerf connaissait les détails de mise en oeuvre de NCP. Le premier document faisant référence à TCP est écrit en 1973 par Cerf : A Partial Specification of an International Transmission Protocol. La première spécification formelle de TCP date de décembre 1974, c'est le RFC 675.

La version initiale de TCP ne permettait que la communication en établissant un circuit virtuel. Cela fonctionnait bien pour le transfert de fichiers ou le travail à distance, mais n'était pas adapté à des applications comme la téléphonie par Internet. TCP fut donc séparé de IP et UDP proposé pour les transmissions sans établissements d'un circuit.

A la fin des années 1980, la NSF (National Science Foundation) qui dépend de l'administration américaine, met en place cinq centres informatiques surpuissants, auxquels les utilisateurs pouvaient se connecter, quel que soit le lieu où ils se trouvaient aux Etats-Unis : ARPANET devenait ainsi accessible sur une plus grande échelle. Le système rencontra un franc succès et, après la mise à niveau importante (matériels et lignes) à la fin des années 1980, s'ouvrait au trafic commercial au début des années 1990.

Le début des années 1990 marque, en fait, la naissance de l'aspect le plus connu d'Internet aujourd'hui : le web, un ensemble de pages en html mélangeant du texte, des liens, des images, adressables via une URL et accessibles via le protocole HTPP. Ces standards développés au CERN par Tim Berners-Lee et Robert Caillian devinrent rapidement populaires grâce au développement au NCSA par Marc Andreessen et Eric Bina du premier navigateur multimédia Mosaic.

En janvier 1992, l'Internet Society (ISOC) voit le jour avec pour objectif de promouvoir et de coordonner les développements sur Internet. L'année 1993 voit l'apparition du premier navigateur web ou butineur (browser), supportant le texte et les images. Cette même année, la National Science Foundation (NSF) mandate une compagnie pour enregistrer les noms de domaine. A la fin des années 1990, des sociétés pionnières comme YAHOO, AMAZON, eBay, Netscape, et AOL, sont devenues cibles grâce à un attrait pour les capitalisations boursières des jeunes sociétés sans équivalent dans l'histoire, qui finit en krach.

I.2.3. Technique et fonctionnement13(*)

Internet est constitué de la multitude de réseaux repartis dans le monde entier et interconnectés. Chaque réseau est attaché à une entité propre (université, fournisseurs d'accès à Internet, armée) et est associé à un identifiant unique appelé Autonomous System (AS) utilisé par le protocole de routage BGP. Afin de pouvoir communiquer entre eux, les réseaux s'échangent des données, soit en établissant une liaison directe, soit en se rattachant à un noeud d'échange (point de peering). Ces échanges peuvent se limiter au trafic entre les utilisateurs respectifs (on parle alors de peering) ou bien inclure le trafic de tiers (il s'agit alors d'accord de transit). Un opérateur qui fournit un service de transit Internet à d'autres fournisseurs d'accès est appelé carrier. Ces accords d'échange de trafic sont libres, ils ne font pas l'objet d'une régulation par une autorité centrale.

Chaque réseau est connecté à un ou plusieurs autres réseaux. Lorsque des données doivent être transmises d'un ordinateur vers un autre appartenant à un AS différent, il faut alors déterminer le chemin à effectuer parmi les réseaux. Les routeurs chargés du trafic entre les AS disposent généralement d'une table de routage complète (Full routing table) de plus de 440.000 routes en 2013, et transmettent le trafic à un routeur voisin et plus proche de la destination après consultation de leur table de routage.

En pratique, ces connexions sont réalisées par des infrastructures matérielles, et des protocoles informatiques. Ces connexions permettent notamment de relier des connexions grand public à des Centres de traitement de données.

I.2.4. Connexions grand public14(*)

L'accès à Internet est souvent vendu sous la forme d'offre commerciale de service, avec un abonnement fixe ou un paiement aux données consommées. Certaines organisations, notamment les universités européennes, disposent de leurs propres réseaux (ex : Renater).

Pour accéder à Internet il faut disposer d'un équipement IP ainsi qu'une connexion à un fournisseur d'accès. Pour cela, l'utilisateur emploie les matériels et logiciels suivants :

· Un ordinateur personnel ou tout autre équipement terminal d'un réseau :

- Assistant personnel ;

- Console de jeux vidéo ;

- Téléphone mobile ;

· Un canal de communication vers le fournisseur d'accès :

- Fibre optique ;

- Ligne téléphonique fixe : ligne analogique, xDSL ;

- Ligne téléphonique mobile : 4G, LTE, 3G, Edge, GPRS, GSM (CSD) ;

- Internet par satellite ;

- Wifi ;

· Un système (logiciel/matériel) client pour le protocole réseau utilisé (PPP, PPPOX, Ethernet, ATM, etc) ;

· Un fournisseur d'accès internet (FDI) (en anglais ISP pour Internet Service Provider).

Des logiciels sont, eux, nécessaires pour exploiter Internet suivant les usages :

· Courrier électronique : un client SMTP et POP (ou POP3) ou IMAP (ou IMAP4).

· Transports de fichiers : un client ou un serveur FTP (File Transfert Protocol) ;

· World wide web : un navigateur web ;

· Pair à pair: l'un des nombreux logiciels de P2P en fonction de l'usage (partage de fichiers en pair à pair, calcul distribué, P2P VOIP, etc.).

I.2.5. Infrastructures matérielles15(*)

Internet repose sur la transmission d'information d'un point à un autre. Cette transmission se fait généralement au moyen d'ondes électromagnétiques. Les différents points sont donc connectés soit physiquement, soit indirectement à travers d'autres points.

Ces ondes peuvent être transmises dans l'air (technologie sans fil), dans une fibre optique ou dans un câble métallique (technologies filaires). Lorsque l'Information doit passer d'une voie vers une autre, elle est aiguillée au moyen de matériels dédiés (switch, routeurs).

I.2.6. Protocoles logiciels16(*)

Les protocoles logiciels utilisés sur Internet sont les conventions structurant les échanges d'informations nécessaires au transport des contenus applicatifs pour l'usage final. Ils permettent notamment d'identifier les interfaces (donc les machines), de s'assurer de la réception des données envoyées, et de l'interopérabilité.

CONCLUSION PARTIELLE

Comme nous l'avons décrit tout au long de ce chapitre, la mise en communication des ordinateurs nécessite en plus de la connexion physique un paramétrage de protocole. Un protocole désigne un ensemble de règles et procédures à respecter que doit avoir un ensemble d'équipements pour émettre et recevoir des informations.

Dans un réseau informatique, les ordinateurs se désignent par leurs adresses. Cette dernière est un nombre qui identifie de manière unique un équipement (ordinateur, imprimante, serveur, etc.) d'un réseau.

L'adressage consiste à attribuer les adresses IP aux équipements d'un réseau. Il existe deux types d'adressage : l'adressage statique et l'adressage dynamique. Il existe 5 classes différentes : A, B, C, D, E. Seules les classes A, B et C sont utilisées en réalité.

Concernant l'Internet, nous devons retenir que celui-ci fonctionne suivant un modèle en couches, similaire au modèle OSI. Les éléments appartenant aux mêmes couches utilisent un protocole de communication pour s'échanger des informations.

Chaque protocole a des fonctions propres et, ensemble, ils fournissent un éventail des moyens permettant de répondre à la multiplicité et à la diversité des besoins sur Internet.

Les protocoles principaux sont les suivants : IP, TCP, http, HTTPs, FTP, SMTP, POP3, IMPAP, IRC, NHTP, SSL, UDP et ICMP.

CHAPITRE II. LES TECHNOLOGIES WEB ET LES SITES WEB

2.1. LES TECHNOLOGIES WEB

2.1.1. INTRODUCTION

Le World Wide Web (ou WWW, ou Web) est un grand - très grand - système d'information réparti sur un ensemble de sites connectés par le réseau Internet. Ce système est essentiellement constitué de documents hypertextes. Ce terme pouvant être pris au sens large : textes, images, sons, vidéos, etc. Chaque site propose un ensemble plus ou moins important de documents, transmis sur le réseau par l'intermédiaire d'un programme serveur. Ce programme serveur dialogue avec un programme client qui peut être situé n'importe où sur le réseau. Le programme client prend le plus souvent la forme d'un navigateur, grâce auquel un utilisateur du Web peut demander et consulter très simplement des documents. Le Web propose aussi des services ou des modes de communication entre machines permettant d'effectuer des calculs répartis ou des échanges d'information sans faire intervenir d'utilisateur.

Le dialogue entre un programme serveur et un programme client s'effectue selon des règles précises qui constituent un protocole. Le protocole du Web est HTTP, mais il est souvent possible de communiquer avec un site via d'autres protocoles, comme par exemple FTP qui permet d'échanger des fichiers.

2.1.2. GENERALITES SUR LES TECHNOLOGIES WEB

Les technologies web sont un ensemble de technologies qui composent et utilisent le Word Wide Web (généralement abrégé en Web) et ses normes. Le web a été créé en 1990 comme application de partage d'informations puis est devenu une plate-forme à part entière sur laquelle sont développées régulièrement des nouvelles technologies. Les bases de ces technologies sont le protocole réseau HTTP (abréviation de Hypertext Transfer Protocol), normalisé par l'IETF et le format de document HTML (abrégé de Hypertext Markup Language), normalisé par le W3C.

Destiné par son créateur Tim Bernes-Lee, en Suisse, au CERN, à lier un document à un autre via une balise de texte renvoyant vers une autre page, selon le principe de l'hypertexte, le web est devenu l'un des protocoles d'échange les plus utilisés. Son évolution a été régulière depuis son lancement. Bénéficiant de son apport sur le réseau internet devenu populaire, le word wide web est, avec le courrier électronique, l'usage le plus courant d'internet, et a été étendu bien au-delà de son usage initial. Ses URL et URIs, destinés à identifier et localiser un document de manière unique et stable dans le temps, identifient aujourd'hui des applications avec des documents dynamiquement générés dans des langages de programmations dédiés, des applications informatiques complets ou des concepts abstraits avec le web sémantique.

Le format Html permet aujourd'hui de gérer de nombreux types de documents à la page Web elle-même, des images, du son et de la vidéo, des interfaces en 3D, de la visioconférence, des outils de conceptions de plus en plus complexes.

Les technologies Web permettent aujourd'hui de créer des applications informatiques qui n'auraient été possibles autrefois que dans des applications natives, avec le bonus d'être naturellement des applications réseau et donc permettent à la fois un travail collaboratif aisé et d'être accessible depuis n'importe quel point d'accès à Internet. On a ainsi pu voir émerger des plateformes d'éditions de documents collaboratifs comme les wikis. On trouve des navigateurs Web sur tout type de terminal informatique, des serveurs sans interfaces avec des navigateurs simples comme W3m aux téléphones portables et tablettes. L'interopérabilité et l'accessibilité sont ainsi des préoccupations importantes et l'omniprésence de la plate-forme en fait une cible de choix pour les développeurs.17(*)

2.1.3. HISTORIQUE DES TECHNOLOGIES WEB

v Contexte de l'invention et évolutions

Le Web a été créé en 1990 au CERN par Tim Bernes-Lee et était destiné aux chercheurs en physique des particules. Le but était de faciliter l'échange d'informations entre les membres de la communauté scientifique en utilisant Internet.

Tim Berners-Lee crée en 1991 le premier éditeur et navigateur web, appelé World Wide Web, ainsi que le premier serveur http, CERN httpd, il fut réécrit en Java et maintenu par le W3C sous le nom Jigsaw à partir de 1996.

Le code source de l'application World Wid Web, initialement développé sur un système NEXTSTEP, est placé dans le domaine public pour favoriser sa diffusion et susciter des améliorations.

Quatre ans après le lancement par le CERN de Cern httpd, le NCSA sort en 1992 le second navigateur web : Mosaic. Ce programme permet, toujours à travers une interface graphique de consulter les documents placés sur des serveurs. Les documents sont au format Html et des images peuvent être intégrées aux pages. C'est la principale évolution par rapport à CERN httpd.

En 1994, sort le navigateur Netscape Navigator, développé par certains développeurs de NCSA Mosaic. Son principal avantage par rapport à Mosaic, est d'être capable d'afficher le contenu de la page avant que toutes les images soient chargées, cela le rendait particulièrement attractif à une époque où les modems du réseau téléphonique commuté (RTC) avaient une bande passante de 1 à 3 Ko par seconde.

C'est un navigateur multiplateforme, pouvant donc fonctionner sur les postes UNIX des sections informatiques des universités et centres de recherche. Il sera le navigateur le plus populaire jusqu'à être dépassé en 1997 par Microsoft Explorer. Il est également à l'origine de Mozilla Firefox.

Suite aux demandes des développeurs de sites Web de la création d'une norme pour les sites dynamiques, la mise en place de Common Gateway Interface (CGI) fut discutée à la 5ème réunion internationale du wwww, du 6 au 10 mai 1996 à Paris et organisée par le w3C.18(*)

v Le web Sémantique

Dans sa construction initiale, le web permet à une personne de récupérer des informations ; le tri, le classement et l'extraction de ce qui est pertinent pour elle est une opération manuelle. Ceci peut parfois demander un travail conséquent : un moteur de recherche peut produire plus de 30.000 résultats. En 1994, Tim Bernes-Lee, l'inventeur du Web, lance l'idée d'un web sémantique, où le tri et le classement des informations est automatisé par des techniques d'intelligence artificielle et une description du contenu des documents par des métadonnées ; les métadonnées étant manipulées par les ordinateurs. Ces idées ont donné naissance aujourd'hui à des projets comme le Knowledge Grap de Google, Freebase, une base de données sémantique, des variantes de logiciels de type wikis comme Semantic Media Wiki, avec comme fonds théoriques le domaine des Ontologies formelles, et comme stands d'échanges des technologies comme RDF et OWL, standardises par le W3C.19(*)

v Le web 2.0.

Le Web 2.0 a changé la manière des gens de communiquer, de faire du commerce et de partager des informations. A ses débuts en 1990, le web était une collection de pages rarement modifiées, puis l'usage a évolué en direction d'applications permettant de partager des photos, des vidéos, de faire du commerce et de participer à des activités de groupe ; c'est le web 2.0 ; une évolution due autant aux changements technologiques qu'à l'augmentation de la couverture d'Internet et de l'évolution des habitudes des utilisateurs.20(*)

v HTML 5

Le HTML 5 est une autre avancée majeure, il a l'avantage du Web Sémantique, où tout peut être indexé par des automates et des contenus dynamiques multimédias ; Web GL pour 3D, audio, vidéoconférence, JSON pour des échanges de données et la recherche dynamique du client dans les bases de données du service.21(*)

2.1.4. DESCRIPTION DU FONCTIONNEMENT

Le Web permet le partage d'informations disséminées à travers le monde et leur échange en utilisant le protocole http. La forme conventionnelle des informations échangées sont des documents au format Html.

Http (abrégé de Hyper Text Transfer Protocol) est le protocole sous-jacent du Web. Cette convention définit comment les messages sont formatés et transmis et comment le serveur http ainsi que le navigateur Web doivent réagir aux messages. La convention prévoit par exemple la transmission d'URL entre le navigateur et le serveur http. C'est un des principaux standards du Web, le second étant le Html qui concerne la manière dont les documents sont codés et affichés.22(*)

v Couche réseau inférieure

TCP/IP, est une des techniques de communication d'Internet et le protocole réseau sous-jacent utilisé pour faire fonctionner http. L'utilisation de http est également possible en UDP, cela permet par exemple d'avoir un meilleur débit pour les flux audios ou vidéos.23(*)

v Fourniture des pages web24(*)

- Langages utilisés

Parmi les premières technologies utilisées, on peut citer le langage de script Perl, alors très utilisé dans le domaine de l'administration UNIX, il permet, grâce à bonne gestion des Expressions régulières, d'être particulièrement adapté au traitement des chaines de caractères que constituent les pages Web.

Dès 1994, PHP, un langage de script destiné à servir des pages web. En 2010, Php était le langage dominant, utilisé par presque 70% des sites, suivi par ASP avec 30% et enfin, moins de 1% pour JSP et Ruby on Rails. Php a servi de base à l'élaboration d'applications comme des forums depuis sa création, par exemple le forum autrefois très populaire PhpBB est nommé en référence à ce langage, comme de nombreux autres logiciels développés autour de Web.

En 1995, NEXT fait la première présentation de ses WebObjects qui sortiront officiellement en mars 1996. Le succès ne sera pas de longue période.

JavaServer Pages, Active Server Pages ou Java Servlet étaient très répandues dans les années 1990.

Entre 1995 et 2005, le Web a été le berceau de plusieurs technologies. Certaines de ces technologies ont été lancées dans le but de remplacer un prédécesseur, ou de faire concurrence.

Le besoin de développer du code en deux parties, client et serveur a engendré des technologies capables de gérer la partie client et la partie serveur avec une seule plateforme et un seul langage, comme Google Web Toolkit.

Côté client, le Javascript, conçu comme un langage d'extension du navigateur pour gérer dynamiquement certaines tâches sur la machine cliente de manière asynchrone et événementielle, comme la validation des formulaires et la manipulation du DOM des pages Web, a connu une évolution majeure avec l'introduction de la technologie Ajax pour communiquer de manière synchrone avec les serveurs et créer des applications plus dynamiques nécessitant moins de rechargements de page.

- Base de données

Les bases de données ont été rapidement utilisées dans les technologies web, afin de rendre les pages plus dynamiques et de séparer la présentation du contenu. La plus populaire, généralement associée à Php et Apache, dans ce que l'on appelle communément dans le jargon du web LAMP (pour Linux, Apache, MySQL et PHP) ou WAMP (pour Windows, Apache, MySQL et PHP). Dans le cas d'IIS et des ASP, la base de données est plus souvent celle de Microsoft, Msql. D'autres bases de données comme PostgreSGL, sont également utilisées majoritairement avec PHP.

Depuis le début des années 2010, les bases de données de type NoSQL prennent de plus en plus d'importance dans les services http à très forte audience. MongoDB est la base de type NoSQL la plus utilisée.

- Editeurs de page web et de documents

Avec le web sont nés aussi des éditeurs de pages, comme Adobe Dreamweaver ou Netscape Composer, créés pour générer des documents Html afin de les diffuser sur le Web, certains en WYSIWYG, bien que de simples éditeurs code peuvent aussi éditer du Html. Les navigateurs étaient à l'origine conçus pour interpréter des pages qui pouvaient être écrites par des humains, et donc parfois comportant des erreurs syntaxiques, et possédaient un mode d'interprétation dégradé, le Quirks mode (en) qui permettait d'afficher quelque chose quoi qu'il arrive, permettant à des débutants et à des non professionnels de l'Informatique de créer leur page personnelle. Depuis sont apparus d'autre mode de génération de documents Web, notamment avec ce que l'on a appelé Web 2.0, les technologies wikis qui ont permis d'écrire des documents dans des langages textuels simplifiés, puis des éditeurs de documents directement dans le navigateur comme le Visual Editor (en) de la fondation Mediawiki, ou encore les logiciels Google Documents ou Microsoft Office 365 qui sont de véritables suite bureautiques accessibles par le Web.

En gros, l'Internet en lui-même n'assure pas la compatibilité et l'accessibilité de documents, ce n'est que la partie matérielle de la connexion.

En revanche, le Word Wide Web (www ou w3 ou simplement le Web) est un ensemble de protocoles (ex : http) d'outils (ex : HttpD, navigateurs...) et de normes (URL) permettant de créer, formater, rechercher, échanger... bref partager de manière interactive des informations hétérogènes à travers Internet sur le principe du CLIEN/SERVEUR. Le formatage des informations est principalement basé sur la technique des documents hypertextes balisés grâces au langage Html et diffusés grâce au protocole http. Mais le Web est aussi capable d'utiliser d'autres protocoles tels que : FTP (File Transfer Protocol), Telnet, NNTP (Network News Transfer Protocol), WAIS (Wide Area Information System/Serveur), gopher (de `go fer'),...

2.2. LES SITES WEB

Comme nous pouvons tous le constater actuellement, le monde évolue. Dans la vie quotidienne, Internet est devenu aussi indispensable que la télévision, le téléphone, le réfrigérateur, etc. Lorsque on arrive sur un site web, c'est dans le but précis : trouver les réponses à ses questions, partager, communiquer, s'amuser.25(*)

Sur ce point, consacré au site web, nous allons le développer tout en répondant aux questions suivantes :

- Qu'est-ce qu'un site web ?

- A quoi sert un site web ?

- Que trouve-t-on sur le web ?

- Quelle est l'importance du contenu d'un site web ?

- Quelles sont les sortes de site web ?

- Quelles sont les technologies mises en oeuvre pour un site web ?

- Quelles sont les étapes de conception d'un site web ?

2.2.1. Qu'est-ce qu'un site web ?

Un site web est composé d'un ensemble de documents structurés, nommés pages web, stockés (hébergés) sur un ordinateur (serveur) connecté au réseau mondial. Une page web contient essentiellement du texte, et est souvent enrichie d'images, de sons, de vidéos et de liens vers d'autres pages web.26(*)

2.2.2. A quoi sert un site web ?

L'ère numérique implique l'accès à l'information en direct, répondant au besoin du tout et tout de suite. Une page Web contient des informations, généralement pour informer ou faire connaître.

Dans le cadre d'une utilisation privée, une page Web permet par exemple de communiquer et de partager des ressources telles que des photos, des vidéos, des messages, etc. pour accéder à ces ressources, il suffit d'être connecté sur Internet, n'importe où dans le monde.

Les entreprises et les entités administratives, quant à elles, auront tendance à vouloir développer leur image et notoriété, et utiliser leur site web comme support de diffusion d'information et de publicité : cela consiste à présenter l'entreprise, son activité et ses produits. C'est le meilleur rapport qualité/prix par excellence pour être visible par l'ensemble de la planète.

Dans le cadre d'une utilisation privée, une page web permet par exemple de communiquer et de partager des ressources telles que des photos, des vidéos, des messages, etc. Pour accéder à ces ressources, il suffit d'être connecté sur Internet, n'importe où dans le monde.

Bref l'intérêt d'un site web est de pouvoir être vu par tout le monde. Son potentiel, quel que soit l'usage qu'on en fait, est illimité. Pour une entreprise ou une entité administrative, un site web, c'est faire du marketing ciblé à moindre coût, mettre en avant son image et affirmer sa présence sur le réseau Internet. C'est surtout une façon de démontrer sa capacité d'ouverture et d'évolution : Les possibilités sont illimitées en terme de différenciation, de marketing et de séduction des visiteurs.27(*)

2.2.3. Que trouve-t-on sur le web ?

Naviguer sur le Web, c'est comme se promener dans une jungle infinie. On n'en voit jamais le bout tellement il y a de sites web, et on y trouve absolument de tout !

N'importe qui peut publier de l'information sur le Web. Il existe des sites web personnels, des sites web d'entreprise, et même des sites web gouvernementaux ou administratifs. Selon le rapport fin 2008 de NETCRAFT, il existe près de 186 millions sites web accessibles gratuitement à travers le monde, et ce chiffre ne cesse de croitre.

Pour trouver une information dans l'immensité du web, il suffit d'utiliser un moteur de recherche, un annuaire, un portail ou tout service qui référencie des sites web.28(*)

2.2.4. Quelle est l'importance du contenu d'un site web ?

Le contenu d'un site Internet est probablement l'élément le plus important. Il faut donc lui consacrer beaucoup de temps. Il y a deux volets au contenu d'une page web. Le premier étant d'informer l'internaute et le deuxième étant de référencer son site web. Il faut alors utiliser diverses techniques lors de la rédaction pour maximiser le tout.

Si un client ou un visiteur consulte un site et ne trouve pas l'information qu'il recherche, il quittera et cherchera ailleurs. Il faut donc avoir un texte complet et bien écrit pour que l'usager aime le lire et y déniche tout ce dont il a besoin. Pour cela, on peut aussi agrémenter le tout d'images si nécessaire. Il ne faut pas oublier que chaque image sur le site augmente le poids et du même coup, le temps de chargement de la page. Plus la page est longue à s'afficher, plus il y a de chances que l'Internaute quitte. Il faut donc faire un choix judicieux lors de l'utilisation d'images ou de graphiques.

Pour ce qui est du référencement de son site, la majeure partie du travail se fait lors de la rédaction des textes. Il est très important de bien choisir ses mots-clés. Lors de la conception du Site Web, les programmeurs utiliseront différentes techniques pour les positionner aux endroits dans le document XHTML.29(*)

2.2.5. Sortes des sites web30(*)

Il existe deux types de sites : les sites statiques et les sites dynamiques.

v Sites statiques

Ce sont des « vitrines ». Les visiteurs peuvent voir le contenu du site mais ne peuvent pas y participer. Pour les réaliser, deux langages sont nécessaires : le (X) HTML et le CSS (en théorie, il est toutefois possible d'utiliser uniquement le HTML ou le XHTML).

- Le (X) HTML permet d'écrire le contenu de sa page ;

- Le CSS permet de la décorer.

v Sites dynamiques

Ces sites ne sont pas que des « vitrines » : Les visiteurs peuvent y participer. Pour les réaliser, on a également besoin du (X) HTML et du CSS, mais il faut aussi un autre langage qui crée dynamiquement les pages. Il existe plusieurs langages pour créer ces pages (JAVA, C#, PHP, Ruby, Python, etc.). Leurs rôles est d'analyser les requêtes des visiteurs pour ensuite fabriquer une réponse adaptée.

NB : Le nombre de sites Web est en progression constante. En 2005 et en 2006 ce nombre a augmenté rapidement grâce à la popularité croissante des blogs, des pages personnelles et des sites de petites entreprises.

2.2.6. Technologies mises en oeuvre pour un site web31(*)

Les technologies mises en oeuvre pour un site sont multiples. On peut les classer ainsi :

v Protocoles de communication :

- Hypertext Transfer Protocol (HTTP) ;

- Hypertext Transfer Protocol Secured (HTTPS).

v Formats de contenus web :

ü Formats de documents :

- Hypertext Markup Language (HTML) ;

- Extensible HyperText Markup Language (XHTML)

- Cascading Style Sheets (En français : Feuilles de Style en Cascade) (CSS)

ü Formats d'images graphiques. Utilisés pour agrémenter les pages et sont reconnus par tous les navigateurs web :

- Graphics Interchange Format (GIF) ;

- JPEG File Interchange Format (JFIF) ;

- Portable Network Graphics (PNG) ;

ü Autres formats souvent utilisés, requièrent un plug-in sur le navigateur pour fonctionner :

- Applets JAVA ;

- Macromedia Flash ;

- SVG.

ü Technologies Serveur : Ici nous pouvons citer :

- Serveur Side Includes (SSI) ;

- PHP : HyperText Preprocessor ;

- Java Server Pages (JSP) ;

- Java Server Faces (JSF) ;

- Common Grateway Interface (CGI) ;

- Active Server Pages (ASP).

2.2.7. Quelles sont les étapes de conception d'un site web?32(*)

La création d'un site web peut être confiée à une agence web ou faite soi-même. Si la création est confiée à une agence web, il est important en amont d'avoir défini un premier cadrage ou cahier des charges du projet. Pour développer un site web soi-même, il est possible d'utiliser un éditeur de pages web ; pour les développeurs web avertis, un simple éditeur de texte peut suffire. On peut aussi avoir recours à un système de gestion de contenu.

Sur cette question concernant la conduite d'un site web, nous allons développer les points suivants : le projet web lui-même, la mise en oeuvre du projet web, la conception, la réalisation, de consoles d'administration sur mesure.

1. Le projet web lui-même

· Déterminer l'objectif

L'objectif visé aura un grand impact sur la réalisation du projet. Selon le but, plusieurs éléments devront être adaptés comme le contenu, la mise en page, les outils offerts (sondages, formulaires, etc), etc. c'est alors aux concepteurs Web de pouvoir donner plus d'importance aux éléments les plus importants dont ceux pouvant générer des revenus.

· Identifier la clientèle ou visiteurs cibles

Connaître son public, ses visiteurs ou sa clientèle est un élément à ne pas négliger. Comme tout produit de consommation, un site web doit être adapté selon la tranche d'âge, le sexe et les habitudes du client ou du visiteur.

· Vérifier la rentabilité

Comme tout investissement, il est très apprécié quand celui-ci nous rapporte. Il faut donc tenter de savoir s'il est possible de monnayer son site web par différents moyens tels que des abonnements à des services offerts ou des bandeaux publicitaires.

· Evaluer les moyens financiers à engager

Avant de débuter la réalisation d'un site web, il est important de faire la demande d'une soumission. Pour ce faire, une rencontre entre le responsable de l'entreprise et les programmeurs web doit être faite pour discuter des grandes lignes du projet web. Ainsi, la soumission reflétera plus fidèlement les coûts (hébergement, programmation, etc.) à investir.

· Prévoir les coûts de mises à jour

Un site Internet/web est une énorme source d'information pour les visiteurs ou les clients. Il est très important de tenir celui-ci à jour. Il faut donc se questionner sur la façon dont seront faites les mises à jour. Deux méthodes s'offrent : un membre de son personnel via une console administrative sur mesure qui devra être développée ou un programmeur/technicien du dehors. Tous ces frais sont à prévoir dans le budget de réalisation du site web.

· Songer au contenu

Comme le but d'un site Internet est d'informer le consommateur, il est très important de connaître la structure et le contenu du site avant de commencer les étapes de conception. Il faut préalablement avoir déterminé la navigation (menus et sous menus) ainsi que le contenu (textes, images, vidéos, etc.) relié à chacune des pages.

2. La mise en oeuvre du projet web

· Rencontrer le chargé de projet

Avant de débuter toute chose, on doit rencontrer la personne qui se chargera de gérer son projet. Ensemble, on pourra discuter de ses attentes et de ses besoins par rapport à son site web. Le chargé de projet, à son tour, répondra à toutes les questions et aidera à prendre les bonnes décisions tout au long des étapes de conception de son site web.

· Réserver son nom de domaine

Son nom de domaine sera utilisé partout : carte d'affaires, publicité, etc. De plus, celui-ci a un impact direct sur son positionnement sur les moteurs de recherche. Il faut donc faire un choix judicieux. Le programmeur aidera à prendre la bonne décision.

· Choisir un hébergeur

Différents forfaits d'hébergement sont offerts selon son projet. Un membre de l'équipe de concepteurs web orientera le responsable de l'entreprise vers le forfait le plus adapté à son site web.

· Décider si une console administrative est nécessaire

Comme nous l'avions déjà signalé ci-haut, il faut savoir si un membre de son personnel s'occupera des mises à jour. Si oui, le développement d'une console d'administration sera nécessaire lors des étapes de conceptions du site web.

3. La Conception

· Préparer le référencement

Si on avait décidé d'investir dans le référencement de son site web, cette phase est primordiale. Plusieurs éléments, comme les mots-clés, seront utilisés au cours des prochaines étapes.

· Etablir la structure des pages XHTML

L'élaboration de la structure des pages est une étape très importante. Elle aura un impact sur le positionnement de son site web sur les différents moteurs de recherches ainsi que sur la vitesse de chargement de la page. Comme cela a aussi un effet sur la rapidité de l'affichage de sa page, les gens n'ont donc pas à attendre un long délai avant de pouvoir accéder à l'information recherchée.

· Définir l'arborescence des fichiers

Pour les intégrateurs et les programmeurs, cette étape est cruciale, car elle leur permet d'avoir une bonne structure de travail. Du même coup, cela permet de protéger certains fichiers sur le serveur comme des données ou des fichiers utilisés pour la programmation.

· Elaborer la charte graphique

La charte graphique est un outil de référence essentiel. Au courant de la phase de la création du visuel du site, le designer s'y réfèrera pour s'assurer que toutes les pages du site sont uniformes. C'est à cette étape que les premières esquisses sont faites et qu'elles seront présentées au responsable de l'entreprise pour approbation. Une fois le style et l'ambiance approuvés, la rédaction de la charte peut commencer.

· Elaborer le cahier de charge

Pour les intégrateurs web, le cahier de charges est un outil de référence précieux. A l'aide de celui-ci, ils s'assurent qu'aucun élément (animation, vidéo, formulaire, etc.) n'est manquant dans chacune des pages du site web.

4. La Réalisation

· Créer le visuel du site

C'est à cette étape que le design final du site web est élaboré à partir des premières esquisses. Une fois le visual approuvé, les développeurs peuvent débuter la conception des pages et l'intégration du contenu.

· Développer le système de gestion de contenu

Si on a pris la décision de faire ses mises à jour, il faut débuter la conception de la console administrative selon ses besoins.

· Créer les pages

Les intégrateurs peuvent commencer à monter les différentes pages du site web. Selon les éléments que l'on retrouve dans celles-ci, les programmeurs auront à se joindre au processus de développement.

· Effectuer des tests

Avant de passer à l'étape de mise en ligne, il faut faire passer une batterie de tests au site web. L'équipe en charge de ces tests s'assurera que tous les liens fonctionnent, que les formulaires s'envoient au bon endroit, etc.

· Mettre le site en ligne

Ceci est l'étape finale de la réalisation du site Internet. A partir de ce moment, son site web est accessible partout et en tout temps par tous ses clients ou visiteurs actuels et futurs.

· Instaurer un système de sauvegarde automatique

Une fois le site web terminé en ligne, il faut s'assurer d'avoir un système permettant d'automatiser la sauvegarde des informations de la base de données.

5. Suivi

· Faire de la publicité

Maintenant qu'on possède un site web, il faut alors le faire connaître. Pour ce faire, on peut investir dans la publicité (radio, télévision, etc.). Sinon, on peut faire sa propre publicité dans son commerce à l'aide d'affiches, de cartes d'affaires, de concours sur son site web, etc.

· Garder le contact

Comme expliqué précédemment, il est crucial de tenir votre site web à jour. Donc, faire des mises à jour le plus régulièrement possible. De plus, il est important de répondre aux courriels reçus via son site web pour garder le contact avec le client dans les plus brefs délais. Le client ou le visiteur doit toujours avoir l'impression d'être roi.

CONCLUSION PARTIELLE

Pour mettre un terme à ce chapitre consacré aux technologies web et aux sites web, nous disons que le web est un monde sans frontière qui est accessible en tout temps. Des gens de partout peuvent trouver son site web et consulter ses produits ou services.

CHAPITRE III : PRESENTATION DU LYCEE MARIE MERE DE L'ESPERANCE

INTRODUCTION

Le Lycée Marie Mère de l'Espérance est un établissement scolaire mixte privé, qui appartient à la Congrégation des Soeurs de Marie Mère de l'Espérance. Il s'agit d'une congrégation diocésaine de l'Archidiocèse de Kananga. Dès la création de cet établissement d'enseignement scolaire, l'objectif poursuivi reste la promotion humaine et chrétienne de futures élites de notre pays, la République Démocratique du Congo.

3.1. HISTORIQUE

Commençons par dire que le Lycée Marie Mère de l'Espérance est une école privée catholique oeuvrant au sein de la Province Ecclésiastique de Kananga. Elle fonctionne sous l'Arrêté Ministériel 0760/2005.

En effet, tout a commencé vers les années 1996, avec l'arrivée massive des refoulés du Katanga dont parmi eux se trouvaient les plus démunis et on a voulu créer une école pour compatir à leur malheur.

Dès ses débuts, l'école avait une vision philanthropique. Mais, à un moment donné, elle s'est trouvée devant une difficulté telle qu'il lui arrivait difficile de payer son personnel enseignant qui encadraient les élèves. Autrement dit, ces enseignants n'avaient pas la même vision que celle de la Promotrice, Soeur Thérèse NGALULA TUJIBIKILE, vision selon laquelle il s'agissait d'un travail bénévole pour aider nos compatriotes refoulés du Katanga. Donc, pour ces enseignants, ils devaient être payés afin de subvenir aux besoins de leurs familles respectives.

Vues toutes ces difficultés auxquelles la Promotrice en particulier et la Congrégation des Soeurs de Marie Mère de l'Espérance en général, ont pris la décision d'annexer d'autres sections en dehors de la Coupe et Couture cycle court au départ.

3.2. LES OEUVRES DEJA REALISEES

Depuis son existence au sein de l'Archidiocèse de Kananga, la Congrégation des Soeurs de Marie Mère de l'Espérance compte dans ses actifs :

- Plus de 5 couvents à travers la province : Kamayi Saint Alphonse, Tshilumba, Kananga 2, Ntambue Saint Bernard et Ndemba.

- Le Centre de Santé Marie Mère de l'Espérance Kamayi Saint Alphonse et le Centre de Santé Marie Mère de l'Espérance Tshilumba.

- Deux orphelinats : à Kamayi Saint Alphonse et à Tshilumba.

- Le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance, à Kamayi Saint Alphonse, 1996.

- Le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance Ntambue Saint Bernard.

- Le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance Tshilumba, créé en 2006.

3.3. LES OEUVRES A REALISER

Pour les jours qui viennent, la Congrégation des Soeurs de Marie Mère de l'Espérance projette de pouvoir construire les écoles, les centres de santé et autres oeuvres partout où se trouvent implantés ses couvents.

3.4. ACTIVITES ORGANISEES

1. Côté enseignement

Le Lycée Marie Mère de l'Espérance organise à son sein les enseignements suivants :

o La Maternelle

o Le Primaire

o Le Secondaire (1ère et 2èmeSecondaire)

o Les Humanités avec les Sections suivantes :

- Technique avec comme Option Commerciale Administrative, Coupe et Couture, cycle court et cycle long.

- La Pédagogie Générale.

2. Activités parascolaires

Plusieurs activités sont organisées, citons entre autres :

- La Danse ;

- Le football ;

- Les visites guidées ;

- Club de français et anglais.

3.5. SITUATION GEOGRAPHIQUE

Le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance se trouve implanté au quartier Kamayi Athénée, ville de Kananga, Province du Kasaï Occidental, en République Démocratique du Congo.

Pour la bonne localisation, notre Institution de Recherche, le Lycée Marie Mère de l'Espérance est bornée :

- Au Nord par l'Institut Pédagogique de Kananga, l'I.P.KA en sigle ;

- Au Sud par le Couvent des Soeurs de la Congrégation de Marie Mère de l'Espérance ;

- A l'Est par la Paroisse Catholique Kamayi Saint Alphonse et ;

- A l'Ouest par l'Ecole Primaire Kamayi.

3.6. ORGANIGRAMME

Note explicative de l'organigramme

Promotrice

Elle s'occupe de la mise en pratique de toutes les perspectives de l'école.

Préfet

Le préfet coordonne toutes les activités de l'école et fait le rapport à la Promotrice.

Directeur des études

Il reçoit les injonctions de la part du préfet pour les donner aux enseignants. Autrement dit, le Directeur des Etudes est le Chef du personnel ou le Conseiller Pédagogique.

Directeur de discipline

Il est chargé de maintenir les élèves dans l'ordre et dans la discipline.

Le Comptable

Il gère les entrées et sorties des fonds, relatives aux activités de l'école.

Enseignants

Etant éducateurs et représentants des parents des élèves à l'école, ils sont là pour donner cours aux enfants, selon les promotions et les options qui y sont organisées.

Sentinelle

Il travaille souvent la nuit ; son travail est de sécuriser les patrimoines de l'Ecole.

CHAPITRE IV. MODELISATION ET IMPLEMENTATION

Pour pouvoir réaliser notre application, nous devons concevoir un système d'information pour gérer des informations qui viendront des internautes ainsi que des informations internes du système dont les internautes auront besoins. Ce qui nous conduira donc à une modélisation (ensemble des étapes d'une méthode de développement du projet informatique de gestion). En ce qui concerne la modélisation, il y a plusieurs méthodes notamment l'Entité-Relation, l'U.M.L, la MERISE...

Quant à notre cas qui est la réservation d'inscription en ligne et aussi la diffusion des informations, notre choix est tombé sur l'utilisation de la méthode MERISE.

4.1. Modélisation avec la Méthode MERISE

Présentation générale de la Méthode MERISE

MERISE est une abréviation signifiant Méthode d'Etude et de Réalisation Informatique par les Sous Ensembles ou pour les Systèmes d'Entreprise. La méthode MERISE a comme objectif d'aider, de guider les SSII (Société de Service d'Ingénierie en Informatique), dans leurs phases d'analyse, de conception et le développement de l'applicatif.

Noblesse oblige, la création, l'étude et la mise en place de cette méthode nous les devons à une équipe de chercheurs et d'ingénieurs aixois (Jean Louis le Moine, Hubert Tardieu, Dominique Nancy, Henry Heckenroth, Daniel Pasco, Bernard Espinasse) qui en posèrent les bases dans les milieux des années 1970.

La méthode MERISE se caractérise par :

- Une approche systémique en ayant une vue de l'entreprise en terme de systèmes ;

- Une séparation des données (le côté statique) et des traitements (le côté dynamique) ;

- Une approche par niveaux.

1. Niveau conceptuel

Le plus invariant, le niveau conceptuel, définit les fonctions réalisées dans l'organisme. Il répond à la question QUE FAIT L'ORGANISME ? Il est déterminé par son activité.

1.1. Modèle Conceptuel de Communication (MCC)

Ce diagramme donne une vue d'ensemble (ou cartographie) de la circulation des informations (les flux) entre des acteurs internes ou externes qui participent à un domaine d'étude.

a. Domaine d'étude

Un domaine d'étude délimite le périmètre précis d'une ou de plusieurs activités au sein d'une organisation spécifique.

b. Acteur

L'acteur (interne ou externe au domaine d'étude) est un système actif intervenant dans le domaine d'étude au moyen des flux.

1.1.1. Présentation graphique du MCC du système d'étude

Candidat

Admin. Site Web (Reception)

Flux 1

Comptabilité

Flux 2

Flux 3

Flux 4

Flux 1 : Demande de réservation d'inscription

Flux 2 : Vérification de la date de validité

Flux 3 : Autorisation

Flux 4 : Réservation réussie

1.2. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT)

Le modèle de traitement est un zoom sur le modèle de communication de l'entreprise. Dans le modèle de communication, sont représentés les messages échangés entre intervenants. Dans les modèles de traitement, nous "voyons" comment un intervenant de l'entreprise réagit quand il reçoit ce message et quelle opération il effectue.

Pour illustrer cela à notre cas d'étude, notre graphique précédent va se représenter sous cette façon :

Demande de réservation

Date

ET

Si date < à 3 semaine avant la Rentrée Scolaire

1

KO

OK

Réservation réussie

Date expirée

1.3. Modèle Conceptuel de Données (MCD)

Le Modèle Conceptuel des Données introduit la notion d'entités, de relations et de propriétés. Il décrit de façon formelle les données utilisées par le système d'information. La représentation graphique, simple et accessible, permet à un non informaticien de participer à son élaboration. Les éléments de base constituant un modèle conceptuel des données sont :

a. L'Entité et toutes ses propriétés (les informations de base du système d'information) ;

Pour cette étude de cas, nous allons utiliser l' « approche directe » et non celle de la dépendance fonctionnelle parce qu'au final notre site va permettre seulement la réservation d'inscription et non l'inscription proprement dite car pour qu'il y ait inscription, il faut préalablement remplir tous les critères d'admission (paiement des frais d'inscription, contrôle de documents,...)

Ainsi, nous aurons comme Entités et propriétés suivantes :

1. Candidat (idcanditat, nom, postnom, nationalite, sexe, email)

2. Inscription (numéro_inscription, date_inscription, avis_direction)

3. Promotion (Code_promotion, libelle_promotion, section)

Une des propriétés soulignées de chaque Entité est bien l'Identifiant de l'Entité.

L'identifiant permet de connaître de façon sûre et unique l'ensemble des propriétés d'une occurrence qui participent à l'entité.

b. La relation est un lien sémantique entre une ou plusieurs Entités

Nous aurons donc ces relations :

1. Se réserver

2. Concerner

1.3.1. Représentation Graphique du MCD

1.3.2. Modèle Conceptuel de Données Valide (MCDV)

A l'étape précédente nous avons vu comment modéliser le réel perçu en modèle de données sans pour autant tenir compte de normalisation et pour que notre base de données soit implémentée, il faut le rendre valide en sorte qu'il y ait moins des erreurs possibles et tout cela en appliquant la normalisation.

En effet la normalisation consiste à éliminer les erreurs de la modélisation afin de rendre une Base de Données valide. Par là, on va enlever les informations redondantes en appliquant certaines règles. Cet ensemble de règles se nomme : les formes normales.

Cette théorie a été élaborée par E.F. Codd en 1970. Son objectif est d'éviter les anomalies dans les bases de données relationnelles :

· Problèmes de mise à jour.

· Suppression des redondances d'informations.

· Simplification de certaines contraintes d'intégrité.

Pour parfaire une base de données relationnelle, il est nécessaire de connaître les trois premières formes normales et la forme normale dite Boyce-Codd; Les suivantes ne sont que des extensions peu usitées. Mais à partir de la Troisième forme normale notre Base de Données est dite valide.

1. 1FN - Première forme Normale

Une relation est en première forme normale si :

o Tout attribut contient une valeur atomique (c.à.d. valeur non décomposable) ;

o Chaque entité doit avoir un identifiant (càd attribut ou ensemble d'attributs non répétitifs).

En appliquant cette forme normale dans notre structure du MCD, notre schéma va rester tel qu'il est puisque il n'y a pas un attribut répétitif et non plus celui qui est décomposable.

2. 2FN - Deuxième forme normale

Une relation est en deuxième forme normale si :

o Elle est en première forme normale.

o Si tous les attributs non clés ne dépendent pas d'une partie de la clé primaire.

Autrement dit, toute propriété de la relation doit dépendre intégralement de toute la clé.

Si on l'applique dans notre MCD, rien ne va changer et tout ça par ce que notre MCD respecte la deuxième forme normale.

3. 3FN - Troisième forme normale

Une relation est en troisième forme normale si :

o Elle est en deuxième forme normale.

o Si toutes les dépendances fonctionnelles par rapport à la clé sont directes (s'il n'y a pas de Dépendances Fonctionnelles transitives entre les attributs non clé).

Autrement dit, tous les attributs n'appartenant pas à la clé ne dépendent pas d'un attribut non clé.

En appliquant la troisième forme normale dans notre MCD, on remarque bien que la propriété section de la l'Entité Promotion ne dépend pas directement de son identifiant. Pour remédier à ça, nous allons décomposer cette propriété dans une nouvelle Entité et lui donner un identifiant code_section et une autre propriété que nous allons appeler libelleSection.

Notre MCD est maintenant valide et va se présenter comme suit :

1.4. Modèle Logique de Données (MLD)

Le Modèle Logique des Données (MLD) est la suite normale du processus Merise. Son but est de nous rapprocher au plus près du modèle physique. Pour cela, nous partons du Modèle Conceptuel des Données et nous lui enlevons les relations, mais pas n'importe comment, il faut en effet respecter certaines règles. Notre MLD est présenté de cette façon :

1.5. Modèle Physique de données (MPD)

Construire le Modèle Physique des Données consiste à transformer le Modèle Logique des Données en une suite de relations. Cette étape finalise le processus de traitement des données. L'implémentation des bases de données peut être réalisée de façon optimale.

Voici les relations (ou schéma relationnel) du modèle physique qui découlent du modèle logique précédent :

Section (Code-section, libelleSection)

Champ

Type

Taille

Clé

Code_section

Texte

5

Primaire

libelleSection

Texte

20

 

Promotion (Code_promotion, libelle_promotion, #Code_section)

Champ

Type

Taille

Clé

Code_promotion

Texte

5

Primaire

Libelle_promotion

Texte

20

 

Code_section

Texte

5

Etrangère

Candidat (Id, Nom, Postnom, Nationalite, Sexe, Email, Date_inscription, #Code_promotion)

Champ

Type

Taille

Clé

Id

Numérique

5

Primaire

Nom

Texte

15

 

Postnom

Texte

15

 

Sexe

Texte

1

 

Email

Texte

50

 

Code_promotion

Texte

5

Etrangère

Inscription (Numero_inscription, Id, Code_promotion, Date_inscription)

Champ

Type

Taille

Clé

Numero_inscription

Numérique

5

Primaire

Id

Numérique

5

Etrangère

Code_promotion

Texte

5

Etrangère

Date_inscription

Date Heure

12

 

4.2. Implémentation

L'implémentation consiste à développer ou réaliser une Application (Web, Client lourd, Mobile,...) ou un logiciel du système avec lequel les utilisateurs vont interagir. Pour arriver à la réalisation, il est indispensable pour une bonne conduite de projet, de faire le meilleur choix des outils à utiliser, notamment du Système de Gestion de Base de Données (SGBD), des langages de programmation et autres.

4.2.1. Choix du SGBD

Pour atteindre notre objectif, le choix nous pousse à penser et à adopter un SGBD du type relationnel qui s'adapte bien à l'architecture Client-serveur et aussi qui propose une capacité de stockage importante des informations. Pour cela, nous avons adopté le SGBD du type relationnel qui est le MySQL et pourquoi ?

Parce que :

o Il est gratuit ;

o Il dispose d'une capacité de stockage des informations jusqu'à 16 To et il tourne bien dans un environnement Client-serveur.

o Son hébergement est moins couteux par rapport à d'autres SGBDR notamment l'Oracle.

4.2.2. Langages

Pour la réalisation d'une Application Web Dynamique et Interactif, plusieurs technologies doivent être appliquées ou mises en oeuvre :

o Le langage de balisage HTML 5, nous permettra de structurer le contenu de nos pages.

o Le PHP qui est non seulement un langage mais toute une plateforme nous permettra de dynamiser nos pages et de générer des états de réservations des inscriptions grâce à la classe FPDF.

o Le CSS comme langage de Style, nous permettra de réaliser la mise en forme de notre Site Web, les chartes graphiques et une bonne ergonomie Web. Créer un carrousel de rubrique à l'entête de notre Site Web.

4.2.3. Choix d'un Nom de Domaine (DNS)

L'accès à un site web ou à un blog se fait par un nom de domaine. Ce domaine possède donc un nom et une extension (.com, .fr, .net, etc.), ce qui donne : www.nomdomaine.com. C'est ce qui permettra à n'importe qui possédant un navigateur et une connexion à Internet d'accéder à notre Site Web.

Une fois que notre choix est arrêté, nous devons acheter ce nom de domaine. La plupart des offres courent sur un an. Au terme de cette année, nous recevrons un e-mail nous demandant si nous souhaitons continuer à posséder ce nom de domaine. Nous allons donc nous procurer notre nom de domaine chez un "registrar", c'est-à-dire une société où nous pourrons enregistrer ce nom de domaine. Nous allons voir par la suite que nous devrons également acheter un hébergement. Et il se trouve qu'aujourd'hui de nombreux hébergeurs nous proposent un pack complet nom de domaine + hébergement. Nous avons donc deux possibilités :

o Hébergement et nom de domaine chez un même prestataire. Il nous est alors possible de prendre une solution « tout en un », hébergement + nom de domaine. C'est probablement la solution la plus simple et le moins onéreuse.

o Hébergement et nom de domaine chez deux prestataires distincts. Ici nous avons la possibilité de prendre un hébergement chez un prestataire et un nom de domaine chez un autre. L'avantage c'est que nous pourrons gérer notre hébergement indépendamment de notre nom de domaine et ainsi en changer facilement.

4.2.4. Hébergement

Un hébergement est un endroit distant par le quel nous allons uploader tous les fichiers qui constituerons notre Site Web. Il s'agit d'un Serveur de stockage distant connecté en permanence à l'Internet.

De fait, les seules conditions que notre espace d'hébergement doit remplir pour faire fonctionner normalement notre Site sont les suivantes :

o Avoir PHP en version 5.2 (ou une version supérieur) ;

o Avoir MySQL en version 5.0 (ou une version supérieur).

4.2.5. Un Logiciel FTP

Pour nous connecter à notre hébergement, nous aurons besoin d'un logiciel FTP qui utilisera les informations récoltées précédemment auprès de l'hébergeur. Notre choix se repose sur FileZilla par ce qu'il est gratuit et assure avec efficacité d'uploading.

4.2.6. Présentation du site web

L'application est un site Web, l'exécution se fait par l'accès à la page principale, c'est la page d'accueil qui est réservée aux visiteurs du site, elle contient des interfaces faciles à manipuler. L'organisation des pages est réalisée en utilisant les tables et les feuilles de style CSS.

1. Interface d'accueil

Cette page offre un aperçu général de l'application web. Elle contient, en dehors du menu Accueil, cinq autres menus afin de permettre à tout utilisateur d'avoir toutes les informations relatives à sa demande. Parmi ces menus, nous citons : Actualité, Inscription, Administration, Historique et Photos.

2. Interface Actualité

Il s'agit d'une interface abritant différentes informations, surtout les plus récentes sur le Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance.

3. Interface Contact

Elle contient un formulaire dans lequel n'importe quel visiteur, qu'il soit de Kananga ou d'ailleurs, sans tenir compte de sa situation géographique, peut se faire identifier afin de solliciter une inscription. Le visiteur, une fois inscrit, toutes ses coordonnées seront envoyées dans la base de données.

Ceci est la base de données conçue en MYSQL Server dans laquelle seront conservées toutes les informations concernant les élèves inscrits sur l'interface de Contact :

4. Interface Administration

Comme son nom l'indique, il s'agit de l'espace réservé au seul Administrateur du site. Pour accéder aux informations contenues dans cette interface, il est donc recommandé d'introduire son login et son password correctement. Au cas contraire, il y aura un message d'erreur pour dire que vous n'avez pas le droit d'accéder aux informations contenues dans cette interface. Si les conditions sont remplies, on affiche plusieurs informations, entre autres une liste des élèves inscrits pour toutes les promotions, ainsi que la suppression ou la modification des certaines informations. Bref, c'est une zone très capitale.

5. Interface Historique

Pour tout utilisateur cultivé, voulant savoir un peu plus sur l'historique et l'évolution du Complexe Scolaire Marie Mère de l'Espérance, cette page est conçue pour lui permettre d'y trouver sa place.

6. Interface Photos

Ici, vous avez la possibilité de découvrir les images et leurs intitulés en rapport avec les activités scolaires ou administratives de l'école. Ci-dessous, nous vous présentons quelques échantillons des photos que contient cette interface.

Quelques codes sources

Page d'accueil

<!doctype html>

<body style="background:blue">

<html lang="fr">

<head>

<meta charset="utf-8" />

<title>Inscription en ligne des élèves</title>

<link rel="stylesheet" href="style.css">

<link rel="stylesheet" href="style2.css">

<link rel="stylesheet" href="style3.css">

<link rel="stylesheet" href="style4.css">

</head>

<body>

<header>

<span class="l"> <img src="photo/kanku.PNG" align="left" alt="Belle image" id="logo" width=10% /></span>

<span class="l"> <img src="photo/espérance.PNG" alt="Belle image" id="logo" width=50% /></span>

<span class="l"> <img src="photo/kanku.PNG" align="right" alt="Belle image" id="logo" width=10% /></span>

<section>

<nav id="id2">

<span class="c1"><a href="index.php">Accueil</a></span>

<span class="c1"><a href="Actualite.php"> Actualite</a></span>

<span class="c1"><a href="cible.php"> Inscription</a></span>

<spanclass="c1"><a href="Administration.php">Administration</a></span>

<span class="c1"><a href="Historique.php" rel="nofollow">Historique</a></span>

<span class="c1"><a href="Photos.php">Photos</a></span>

<section>

<center>

<aside class="cl1">

<img src="photo/avenir22.png" width=200px height=100px/ >

<h4> Comment trouver le Complexe Marie mère de l'espérance</h4>

Ne vous inquitez pas pour nous trouver,

la référence est simple, venez juste au

quartier Kamayi, derrière l'Institut Pédagogique

de Kananga....<br/>

<nav><span class="c1"><a href="GEO.PHP"> Lire la suite</a></span></nav>

</aside>

<aside class="cl1">

<img src="photo/avenir33.png" width=200px height=100px/ >

<h4>Vous voulez savoir plus sur le complexe scolaire Marie mère de l'espérance</h4>

Appelée aussi Mamu wa ditekemena en dialecte, est une école catholique implantée dans l'Archidiocèse de Kananga.

Pour plus d'informations, contactez...

<nav><span class="c1"><a href="CATHOLIQUE.PHP"> Lire la suite </a></span></nav>

</aside>

<aside class="cl1">

<img src="photo/avenir2.jpg" width=200px height=100px/ >

<h4> Les élèves du Complexe en plein examen</h4>

Comme vous pouvez le voir avec nous, ces élèves de 5ème Année Commerciale Administrative

passent l'examen de Géographie. Ils travaillent sous une haute surveillance. Quelle discipline!

<nav><span class="c1"><a href="lire.PHP"> Lire la suite</a></span></nav>

</aside>

<aside class="cl1">

<img src="photo/log1.PNG" width=200px height=100px/ >

<h4> Les élèves de Coupe et Couture, 4ème année, en plein cours </h4>

Ces jeunes filles, convaincues de la formation qu'elles reçoivent

au Lycée Marie Mère de l'Espérance, prennent leur dictée avec

passion mais sans passion...

<nav><span class="c1"><a href="Actualite.html"> Lire la suite </a></span></nav>

</aside>

</center>

</section>

<aside id="id5>

</aside>

</article>

<section class="class2">

<article>

</article>

</section>

<footer>

<center>

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<span style="color:blue"> <b> <h5><blink> <a href="programme.PHP">Cliquer sur ce lien pour accéder au programme scolaire 2014-2015</a></blink></h5>

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<span class="l"> <img src="photo/fac.PNG" align="left" alt="Belle image" id="logo" width=10% /></span>

<span class="l"> <img src="photo/google2.PNG" align="left" alt="Belle image" id="logo" width=10% /></span>

<span class="l"> <img src="photo/Draprdc.GIF" align="left" alt="Belle image" id="logo" width=10% /></span>

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</FONT>

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</html>

Interface Inscription

<!doctype html>

<html lang="fr">

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<meta charset="utf-8" />

<title>Inscription en ligne des élèves</title>

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<link rel="stylesheet" href="style2.css">

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<header>

<h2> FORMULAIRE D'INSCRIPTION </h2>

</header>

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<span class="c1"><a href="index.php">Accueil</a></span>

<span class="c1"><a href="Actualite.php"> Actualite</a></span>

<span class="c1"><a href="cible.php"> Contact</a></span>

<span class="c1"><a href="Administration.php">Administration</a></span>

<span class="c1"><a href="Historique.php" rel="nofollow">Historique</a></span>

<span class="c1"><a href="photos.php">Photos</a></span>

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<table style="background:#80BFFF">

<form action="cible2.php" method="POST">

<section class="classe">

<br/>

<body style="background:yellow">

<h1><u><i> <B><center>IDENTITE DE L'ELEVE A INSCRIRE</center> </B></i></u></h1><br/>

<center>

<aside class="s">

<span class="classe1"> Matricule : </span><br/><br/>

<span class="classe1"> Nom : </span><br/><br/>

<span class="classe1">Post nom :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Prénom :</span><br/><br/>

</aside>

<aside class="s">

<span class="classe1"><input type="text" name="Matricule"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Nom"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Postnom"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Prenom"/></span><br/><br/>

</aside>

<aside class="s">

<span class="classe1">Sexe :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Pays :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Province :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Ville :</span><br/><br/>

</aside>

<aside class="s">

<span class="classe1"><select name="Sexe">

<option value="question" selected>Quel est ton sexe?<br> </option>

<option value="M">M<br></option>

<option value="F">F<br></option></span><br/><br/>

<br/><br/><input type ="reset"value="Annuler"></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Pays"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Province"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Ville"/></span><br/><br/>

</aside>

<aside class="s">

<span class="classe1">Lieu de naissance :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Date de naissance :</span><br/><br/>

<span class="classe1"> Classe :</span><br/><br/>

<span class="classe1">Option :</span><br/><br/>

</aside>

<aside class="s">

<span class="classe1"><input type="text" name="Lieu_de_naissance"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Date_de_naissance"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Classe"/></span><br/><br/>

<span class="classe1"><input type="text" name="Option_choisi"/></span><br/><br/>

</aside>

<br/>

</center>

<table border=0 align=left>

<tr>

<td><input type="submit" value="Enregistrer" width=180% height=70%/></td>

<td><input type="reset" value="Initialiser" width=180% height=70%/></td>

<td><input type="file" onKeydown="JOINDRE('Cliquez sur Parcourir');this.value=this.value;return false;"/>

</tr>

</table><br/><br/>

<h3 align=left> <span style="color: "> VOICI LES DERNIERS INSCRITS: </h3>

<?php

$ch=new PDO('mysql:host=localhost; dbname=ajm', 'root', '');

$requete=$ch->query('SELECT Matricule, Nom, Postnom, Prenom FROM eleve ORDER BY ID DESC LIMIT 0, 3');

while($affichage=$requete->fetch())

{

echo '<strong>'. " Matricule: ".htmlspecialchars($affichage['Matricule']).'<br/>';

echo '</strong>'."Nom, Post nom et Prenom: ".htmlspecialchars($affichage['Nom'])." ".htmlspecialchars($affichage['Postnom']). " ".htmlspecialchars($affichage['Prenom']).'<br/>'.'<br/>';

}

$requete-> closeCursor();

?>

</form>

</section>

<footer>

<center>

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SAINTE MARIE MERE DE L'ESPERANCE

</aside>

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<nav><span class="c1"><a href="cible3.php"> Webmasters</a></span></nav>

</aside>

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L'école secondaire la mieux repitée

</aside></center>

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</footer>

</section></body>

</html>

CONCLUSION GENERALE

Ce travail de fin de cycle a illustré des étapes d'une conduite de projet pour aboutir à la réalisation d'un site web dynamique institutionnel avec le mécanisme des préinscriptions en ligne des candidats dans un Etablissement Scolaire qui est le Complexe Scolaire Lycée Marie Mère de l'Espérance.

Le premier chapitre a parlé des Notions sur le Réseau Informatique et l'Internet. Ce chapitre nous a montré comment est-ce que le Réseau Informatique est indispensable pour toute application Web, car nous ne pouvons jamais parler du site web sans qu'il y ait la présence d'Internet et ce dernier appartient à la grande famille des Réseaux Informatiques.

Le deuxième chapitre qui, est consacré aux Technologies Web et au site web nous a présenté des différentes technologies à mettre en oeuvre pour la réussite d'un projet qui respecte aux standards web. La conduite de projet web nous a aidé à la bonne pratique pour qu'au final notre site web soit un bon projet qui peut subir d'évolution aisément et aussi qui tienne compte de la dimension juridique.

Le troisième chapitre nous a familiarisé avec l'organisation de notre étude de cas en ce qui concerne sa présentation, son fonctionnement et les activités organisées en son sein.

Le chapitre final qui est consacré à la Modélisation et l'implémentation nous a permis de modéliser le réel perçu de notre étude de cas. C'est dans ce chapitre que nous avons programmé et réalisé notre Site Web dynamique des préinscriptions en ligne.

Ce travail est une réussite pour toute organisation qui désire implanter le mécanisme non seulement des préinscriptions en ligne mais également de toute autre activité apparentée.

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES CONSULTES

1. André BEAUCHAMP, La foi à l'heure d'Internet, Ed. Fides, Paris, 2001, p.57.

2. Benjamin BAYART, « La neutralité du réseau : Extrait du livre La Bataille Hadopi », Framablog, Paris, Octobre 2009, pp. 24-29.

3. Gary B. Shelly, Mark Frydenberg, Web 2.0: Concepts, Technologies and Applications, Springer, Mancher, 2007, p. 12.

4. Jacques Vallée, Au coeur d'Internet : Un pionnier français du réseau examine son histoire et s'interroge sur l'avenir, Ballard, Paris, p. 6, 2003.

5. NOUHA BACCOUR SELLAMI, « Protocoles des Réseaux », A.U, Tunis, 2010 - 2011, pp. 36 - 49.

II. NOTES DES COURS

6. Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Cours des Réseaux Informatiques, G2 Informatique, U.KA, 2012-20

7. Alice TSHIELA NKUNA, Cours d'Internet, G2 Informatique, U.KA, 2011 - 2012.

8. Nobla TSHILUMBA, Cours de programmation Web, G3 Informatique, U.KA, 2013 - 2014.

9. Jean-Didier BATUBENGA, Cours de HTML, G2 Informatique, U.KA, 2012 - 2013.

III. SITES WEB

10. Fr.wikipedia.org/wiki/Reseau-Informatique.

11. Https://www.google.cd.search?q=categories+des+reseaux+informes

12. Fr.wikipedia.org/wiki/topologie_de_reseau.

13. Fr.wikipedia.org/wiki/categorie=Materiel_de_Reseau_informatique.

14. www.samomoi.com/reseaux informatiques/architecture_reseau.

15. http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/dico/d'Internet-3983.

16. http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet

17. Fr.wikipedia.org/wiki/Maillage_de_l'ifrastructure_Internet_

18. en_France.

19. Http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_Web

20. Http://www.aidice_web.com/accueil/technologie_web_et_les meilleurs_pratiques.php.

21. http://www.enzoci.com/importance_contenu_web.php

TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE...................................................................................................................................................................I

DEDICACE....................................................................................................................................................................II

AVANT-PROPOS.........................................................................................................................................................III

INTRODUCTION 1

1. PROBLEMATIQUE 1

2. HYPOTHESE 2

3. OBJECTIF DU TRAVAIL 3

4. CHOIX ET INTERET DU SUJET 3

5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES 4

5.1. METHODES 4

5.2. TECHNIQUES UTILISEES 4

6. DELIMITATION DU SUJET 4

6.1. Délimitation dans le temps 4

6.2. Délimitation spatiale 4

6.3. Délimitation dans le domaine 5

7. SUBDIVISION DU TRAVAIL 5

8. DIFFICULTES RENCONTREES 5

CHAPITRE I : NOTIONS SUR LES RESEAUX INFORMATIQUES ET L'INTERNET 6

I.1. RESEAUX INFORMATIQUES 6

1. Définition 6

2. Brève historique des réseaux informatiques 7

3. Catégories des réseaux informatiques 8

3.1. LES LAN 8

3.2. LES MAN 9

3.3. LES WAN 9

4. TOPOLOGIE DES RESEAUX INFORMATIQUES 9

4.1. Topologie en bus 9

4.2. Topologie en étoile 10

4.3. Topologie en anneau 10

4.4. Topologie en arbre 10

4.5. Topologie maillée 11

5. Le matériel réseau 11

5.1. Le support de communication 11

5.2. Le Coupleur (Carte réseau) 12

5.3. Le Commutateur/Concentrateur 12

5.4. Le Modem 12

5.5. La Passerelle (Routeur) 12

5.6. Le Firewall 13

5.7. Le Serveur NAS 13

5.8. Dispositif d'alimentation sans interruption (Onduleur) 13

5.9. Le Serveur 13

6. Organisation du réseau 14

6.1. Le réseau client/serveur 14

6.2. Le réseau poste à poste (Peer to Peer) 14

7. Protocole de communication pour les réseaux 15

7.1. Adresse IP 15

7.1.1. Constitution d'une adresse IP 15

7.1.2. Adresse réseau et adresse machine 16

7.1.3. Types d'adressage 16

7.1.4. Classe d'adresses 16

7.1.5. Masque réseau 17

I.2. INTERNET 17

I.2.1. Définition et terminologie 17

I.2.2. Historique de l'Internet 18

I.2.3. Technique et fonctionnement 21

I.2.4. Connexions grand public 21

I.2.5. Infrastructures matérielles 22

I.2.6. Protocoles logiciels 23

CONCLUSION PARTIELLE 23

CHAPITRE II. LES TECHNOLOGIES WEB ET LES SITES WEB 24

2.1. LES TECHNOLOGIES WEB 24

2.1.1. INTRODUCTION 24

2.1.2. GENERALITES SUR LES TECHNOLOGIES WEB 24

2.1.3. HISTORIQUE DES TECHNOLOGIES WEB 25

2.1.4. DESCRIPTION DU FONCTIONNEMENT 27

2.2. LES SITES WEB 29

2.2.1. Qu'est-ce qu'un site web ? 30

2.2.2. A quoi sert un site web ? 30

2.2.3. Que trouve-t-on sur le web ? 31

2.2.4. Quelle est l'importance du contenu d'un site web ? 31

2.2.5. Sortes des sites web 31

2.2.6. Technologies mises en oeuvre pour un site web 32

2.2.7. Quelles sont les étapes de conception d'un site web? 33

1. Le projet web lui-même 33

2. La mise en oeuvre du projet web 34

3. La Conception 35

4. La Réalisation 36

5. Suivi 37

CONCLUSION PARTIELLE 37

CHAPITRE III : PRESENTATION DU LYCEE MARIE MERE DE L'ESPERANCE 38

INTRODUCTION 38

3.1. HISTORIQUE 38

3.2. LES OEUVRES DEJA REALISEES 38

3.3. LES OEUVRES A REALISER 39

3.4. ACTIVITES ORGANISEES 39

1. Côté enseignement 39

2. Activités parascolaires 39

3.5. SITUATION GEOGRAPHIQUE 40

3.6. ORGANIGRAMME 40

Note explicative de l'organigramme 41

CHAPITRE IV. MODELISATION ET IMPLEMENTATION 42

4.1. Modélisation avec la Méthode MERISE 42

Présentation générale de la Méthode MERISE 42

1. Niveau conceptuel 42

1.1. Modèle Conceptuel de Communication (MCC) 43

1.1.1. Présentation graphique du MCC du système d'étude 43

1.2. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) 43

1.3. Modèle Conceptuel de Données (MCD) 44

1.3.1. Représentation Graphique du MCD 45

1.3.2. Modèle Conceptuel de Données Valide (MCDV) 45

1. 1FN - Première forme Normale 46

2. 2FN - Deuxième forme normale 46

3. 3FN - Troisième forme normale 47

1.4. Modèle Logique de Données (MLD) 47

1.5. Modèle Physique de données (MPD) 48

4.2. Implémentation 49

4.2.1. Choix du SGBD 49

4.2.2. Langages 50

4.2.3. Choix d'un Nom de Domaine (DNS) 50

4.2.4. Hébergement 51

4.2.5. Un Logiciel FTP 51

4.2.6. Présentation du site web 51

1. Interface d'accueil 51

2. Interface Actualité 52

3. Interface Contact 53

4. Interface Administration 54

5. Interface Historique 56

6. Interface Photos 57

CONCLUSION GENERALE 63

BIBLIOGRAPHIE 64

TABLE DES MATIERES 65

* 1 Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Cours des Réseaux Informatiques, G2 Informatique, U.KA, 2012-2013 et dans www.wikipedia.org/wiki/réseau_Informatique , le 21/3/2014 à 20h.

* 2 Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op.cit.

* 3 www.wikipedia.org/wiki/réseau_Informatique , le 12/2/2014 à 10.

* 4 Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op.cit. et dans Https://www.google.cd/search?=categories+des+réseaux+Informatiques, le 12/2/2014 à 10h.

* 5 www.wikipedia.org/wiki/topologie_de_réseau, le 14/03/2014, à 9h et Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op.cit.

* 6 Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op.cit et www.wikipedia.org/catégorie_matériel_de_reseau_informatique, le 19/03/2014 à 14h.

* 7 Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op.cit et dans www.samomoi.com/reseauxinformatiques/architecture_reseau, le 20/3/2014.

* 8 Soeur Alice TSHIELA, Cours d'Internet, G1 Informatique, U.KA, 2011-2012 ; Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Cours des Réseaux Informatiques, G2, U.KA, 2012-2013 ; NOUHA BACCOUR SELAMI, « Protocoles des Réseaux », A.U., 2010-2011, pp. 36-49.

* 9 Soeur Alice TSHIELA, Cours d'Internet, G1 INFO, U.KA, 2011-2012 ; Benjamin BAYART, « La neutralité du réseau : Extrait du livre La bataille Hadopi », Framablog, Octobre 2009, pp. 24-29 ; http://www.futura-sciences.com/magasines/high.tech/infos/dico/d/internet.

* 10 Idem

* 11 Idem

* 12 Soeur Alice TSHIELA, Cours d'Internet, G1 INFO, U.KA, 2011-2012 et dans http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet.

* 13 Soeur Alice TSHIELA, Op.cit ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet; André BEAUCHAMP, La foi à l'heure d'Internet, Editions Fides, 2001, p. 57.

* 14 Jacques VALLE, Au coeur d'Internet : un pionnier français du réseau examine son histoire et s'interroge sur l'avenir, Ballard, 2004, p. ; Revue L'Ere d'Internet Les enjeux d'un réseau global, Dossier Pour la Science, n°66, Janvier-mars, 2002.

* 15 Fr.wikipedia.org/wiki/Moillage_de_l'infrastructure_internet_en_france ; David FAYON Clés pour Internet, chap.1 « Histoire et principes du réseau », Fayard, 2001, pp.12-16.

* 16 www.wikipedia.org/wiki/Internet; Pascal MULUMBA TSHIBOLA, Op. cit.

* 17 Gary B. SHELLY, Mark FRYDENBERY, Web 2.0: Concepts, Technologies and Applications, Springer, 2007, pp. 27-31.

* 18 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 19 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 20 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 21 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 22 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 23 Soeur Alice TSHIELA, Cours d'Internet, G1 INFO, U.KA, 2011-2012.

* 24 http://fr.wikipedia.org/wiki/Technologies_web, le 22/4/2014, 18h.

* 25 BATUBENGA MUAMBA NZAMBI JD, Cours de (X) HTML, G2 INFO, U.KA, 2012-2013.

* 26 Idem.

* 27 Http://www/aidici_web.com/accueil.tachnologie_web_et_les_meilleures_pratiques.php, le 28/5/2014, 19h.

* 28 Http://www/aidici_web.com/accueil.tachnologie_web_et_les_meilleures_pratiques.php, le 28/5/2014, 19h.

* 29 Http://www.enzoci.com/importance-contenu-web.php, le 28/5/2014, 19h.

* 30 BATUBENGA MUAMBA NZAMBI, JD, Cours de (X) HTML, G2 INFO, U.KA, 2012-2013.

* 31 Http://fr.wikipedia.org/wiki/site_web. le 28/5/2014, 19h.

* 32 Https://google.cd/search.q=enzo+maintenance+des+sites le 01/6/2014, 11h ; http://fr.wikipedia.org/wiki/site_web le 01/6/2014, 12h; BATUBENGA MUAMBA NZAMBI JD, Op.cit ; et d'après l'article du Magazine Comment ça marche, n°32, février 2013.






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