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Conception et réalisation d'un outil de dimensionnement, de planification et de paramétrage d'un réseau UMTS.

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par Landry Dieu-Merci Mpah II
Université de maroua - Ingénieur de Conception de télécommunications 2014
  

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II.3.2. Calcul de la capacité en Downlink

Les équations en downlink sont plus compliquées que ceux en Uplink. En uplink, la séparation entre couverture et capacité est facile, ce qui n'est pas le cas pour le Downlink. La principale différence entre les deux liens, est qu'en Downlink, les utilisateurs partagent une source commune (la puissance). Pour cela, le rayon d'une

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cellule ne dépend pas uniquement du nombre d'utilisateurs actifs mais aussi de leur distribution géographique [4].

D'autre part, bien que les codes utilisés dans une cellule soient orthogonaux, les canaux en downlink ne peuvent pas être parfaitement séparés à cause de la propagation multitrajet ; Cela veut dire que qu'une partie de la puissance émise par la station de base sera considérée comme interférence. L'interférence en downlink est causée par les stations de base voisines, utilisant des codes non orthogonaux à ceux de la station serveuse ainsi donc tout dépend des positions des mobiles [4].

II.3.2.1 Les courbes en Downlink

Les équations établies pour le calcul de la capacité en downlink sont compliquées et difficiles à utiliser, en downlink, des courbes basées sur ces équations sont générées. Ces courbes représentent la charge de la cellule (M/Mmax) en fonction du rayon de la cellule.

Ces courbes peuvent être utilisées pour trouver la charge que peut supporter une cellule pour un rayon donné. En downlink, le Mmax est donné par la relation suivante:

(III.1)

Avec :

. :(C/I) cible pour le downlink (en linéaire),

. w: facteur d'orthogonalité dans la cellule,

. f: facteur d'interférence intercell en downlink,

. SHO: fraction des utilisateurs qui sont en soft/softer handover,

. AS: nombre de stations de base en soft handover,

. ?: gain moyen du soft handover,

. GDTX : gain de transmission discontinue en downlink.

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II.3.2.2. Le facteur d'interférence f

Le facteur d'interférence f en downlink est différent de celui en uplink parce qu'il dépend de la position des stations mobiles dans la même cellule et dans les cellules voisines. Ce facteur dépend alors de la distribution du trafic, des caractéristiques de la propagation des ondes, de l'évanouissement et des caractéristiques des antennes.

Le tableau (8) montre des valeurs mesurées de f en downlink pour des configurations différentes de sites.

Configuration du site

F

Omni

0.48

Tri sectoriel

0.72

Six secteurs

0.84

Tableau 5: Valeurs recommandées de f en downlink [4]

II.3.2.3. Les valeur de SHO

Cette variable est utilisée pour modéliser la fraction d'utilisateurs en soft/softer handover. Des valeurs recommandées de SHO et de ? sont données dans le tableau:

 

Configuration du site

 

Omni

Tri sectoriel

Six sectoriel

?

0.67

0.67

0.68

SHO

23%

26%

29%

Tableau 6: Valeurs recommandées de SHO et de [4]

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"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore