JUIN 2016
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INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE
B.P: 67 GOMA
www.iscgoma.net
MISE EN PLACE D'UN SYSTEME D'INFORMATION
PARTAGE SOUS L'ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR POUR LA
GESTION D'ENREGISTREMENT DES IMPORTATIONS DES PRODUITS PHARMACEUTIQUES
DANS LA VILLE DE GOMA
«Cas de l'OCC/Goma»
Par TASIMWA KIVIKWAMO Christine
Mémoire présenté et défendu en vue de
l'obtention du grade de licencié en Informatique de Gestion
Option : CONCEPTION ET RESEAUX Directeur : CT SALUMU
MULENDA Encadreur: Assistant BYAMUNGU
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EPIGRAPHE
«La confiance n'exclut pas le
contrôle»
VLADIMIR Lénine
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DEDICACE
A nos très chers parents KIVIKWAMO KIMBULIMBULI et
KABUO Charlotte ; A nos frères, soeurs, cousins, cousines et amis.
TASIMWA KIVIKWAMO Christine
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REMERCIEMENTS
La rédaction d'un mémoire de fin d'étude
en Informatique de Gestion est un travail qui demande beaucoup de sacrifices de
la part du propriétaire et de celle d'un certain nombre de personnes.
Nous aimerions d'abord exprimer notre gratitude à
l'égard de l'ISC/Goma pour les enseignements dont nous sommes
bénéficiaire, mais d'avantage encore à l'égard de
tous les enseignants qui ont contribué à notre formation en
général et en particulier à notre Directeur le CT SALUMU
MULENDA qui a accepté de nous diriger.
Nous exprimons aussi nos remerciements à notre
encadreur l'Assistant BYAMUNGU SINDANO pour l'assistance qu'il nous a
témoignée, pour sa disponibilité, pour ses orientations et
conseils sans lesquels ce travail ne pourrait être
réalisé.
Nous ne pouvons pas manquer d'exprimer notre reconnaissance
envers nos parents le CT KIVIKWAMO KIMBULIMBULI et KABUO Charlotte pour nous
avoir donné la vie et financer notre formation de la maternelle
jusqu'à la dernière année de nos études
supérieures, qu'ils trouvent ici l'expression de notre gratitude.
Nous ne voudrons pas terminer ces lignes sans penser à
notre soeur Dorothée KIVIKWAMO, à notre ami Emmanuel ILUNGA et
nos camarades Jacqueline MWAJUMA, Espoir NGALUKIYE et Consolée MASIKA
pour avoir vécu ensemble tout au long de notre cursus
académique.
Que tous ceux qui ont participé, d'une manière
ou d'une autre a l'élaboration de ce mémoire et dont les noms
n'ont pas été cités trouvent ici notre profonde
gratitude.
TASIMWA KIVIKWAMO Christine
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SIGLES ET ABREVIATIONS
ARA : Avis de Refus d'Attestation
AV : Attestation de Vérification
BCC : Banque Centrale du Congo
BIVAC : Bureau of Inspection, Valuation, Assesment and Control
CA : Contrôle à l'Arrivée
CAE : Contrôle Avant Embarquement
CDP : Chef de Direction Provinciale
CDPA : Chef de Direction Provinciale Adjoint
CEEC : Centre d'Expertise d'Evaluation et de Certification des
substances minérales
CIF : Coast Insurance and Freight
CVE : Certificat de Vérification à l'Exportation
DAF : Division Administrative et Financière
DEX : Division d'Exportation
DGDA : Direction Générale des Douanes et Accises
DIRNOKI : Direction du Nord-kivu
DIVILABO : Division Laboratoire
EB : Exportation des Biens
EMIDOCS : Emission des Documents et Statistiques FOB : Free On
Board
IB : Importation des Biens
INSS : Institut National de Sécurité Sociale MPM :
Méthode de Potentiel Métra
ONG : Organisation Non Gouvernementale
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OZAC : Office Zaïrois de Contrôle
PB : Poids Brut
PF : Procédure Fonctionnel
PN : Poids Net
PU : Prix Unitaire
RDC : République Démocratique de Congo SCS :
Société Congolaise de Surveillance SGS : Société
Générale de Surveillance
SI : Système d'Information
UP : Unified Process
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INTRODUCTION
0.1. ETAT DE LA QUESTION
Après le choix de ce sujet, nous avons constaté
que nous ne sommes pas la seule à vouloir analyser ce
phénomène commercial, d'autres chercheurs s'y sont lancé
bien avant nous.
L'Organisation Mondiale de la Santé(OMS) signale qu'en
2009, 20millions de comprimés, flacons et sachets de médicaments
contrefaits et illégaux ont été saisis au cours d'une
opération de cinq mois coordonnée par l'Organisation
Internationale de Police Criminelle (INTREPOL) à travers la Chine et
sept pays d'Asie du Sud-Est. Trente-trois personnes ont été aussi
arrêtées et cent points de ventes fermés. Egalement une
série de descentes de Police a permis de mettre la main sur des
médicaments contrefaits pour une valeur de centaines de millions de
dollars et démasquer un réseau criminel qui alimentait des
consommateurs de tout le Moyen Orient. En Europe, enfin, des douaniers ont
saisi 34millions de comprimés contrefaits rien qu'en deux mois de 2009,
prise dont le Commissaire Européen à l'Industrie, Guenter
Verheugen a déclaré qu'elle avait dépassé nos pires
craintes.1
L'OMS renchérit que les résultats obtenus par
ces opérations détectives et répressives en chaine dans le
monde a permis de cerner peu à peu ce commerce illicite qui choque
jusqu'aux responsables de la règlementation qui connaissent bien le
problème. Elle estime que ces opérations ont à peine
effleuré la surface d'une industrie florissante de contrefaçons
des médicaments qui fait peser une menace croissante pour la sante
publique partout dans le monde. Ces mesures de contrôle de
répression ont franchi un pas supplémentaire avec le lancement,
en 2006, du Groupe Spécial International de Lutte
Anti-contrefaçons des Produits Médicaux (IMPACT en sigle
anglais). Celui-ci est composé des représentants d'organisations
internationales, d'organismes chargés du contrôle et de la
répression d'industrie pharmaceutique et d'organisations non
gouvernementales. Depuis lors les membres d'IMPACT collaborent dans le cadre
d'enquêtes pénales internationales et aident les
1 OMS, La menace croissante des contrefaçons de
médicaments, Bulletin de l'Organisation Mondiale de la Santé,
Volume 88, Avril 2010, pp 241-320 in www.who.int/../fr/
consulté le 23 février 2016 à 8h30
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pays à renforcer leurs propres systèmes de
détection et de répression de la contrefaçon des
médicaments2.
Aline Plançon d'INTERPOL précise que ces
études ne donnent qu'un aperçu de la situation, car les
faussaires font preuve d'une grande souplesse dans leur façon d'imiter
un produit et d'éviter que ce soit détecté. Elle ajoute
que les pays en développement constituent une cible évidente pour
les faussaires en raison du fait que le prix des médicaments licites est
souvent hors de portée du plus grand nombre et que les contrôles
sont plutôt laxistes.
C'est dans ces pays à faible revenu ou les faussaires
des pays à revenu plus élevé visent désormais les
marches les plus lucratifs des produits médicaux contrefaits et copient
des médicaments chers, très vendus, très demandés
et très consommés. Ce sont avant tout les profits potentiels
énormes à réaliser qui poussent à la
contrefaçon. Les criminels sont toujours à la recherche de ce qui
peut rapporter les plus d'argent, explique Sabine Kopp, Secrétaire
Exécutif par intérim d'IMPACT et Chef de Programme OMS de lutter
les contrefaçons.
Cette dernière observe que le commerce international
donne l'occasion aux faussaires d'introduire facilement leurs produits
médicaux contrefaits dans la chaine d'approvisionnement en
médicaments licites et d'en dissimuler la source. Ils falsifient
simplement les documents de livraison en ajoutant un zéro
supplémentaire à la quantité fournie ; puis ils
complètent la commande en y ajoutant leurs propres
boites3.
Dans un rapport publié en 2008 sur la
contrefaçon des médicaments, l'Office de Nations Unies contre la
Drogue (l'UNODC) a tenté d'évaluer la montée en puissance
du trafic. Tout en reconnaissant la difficulté de synthétiser des
statistiques issues de sources nationales diverses et de méthodologies
trop variées, l'UNODC a choisi un indicateur simple : la Chine. Compte
tenu du fait que ce pays est à l'origine des 2/3 de l'ensemble des
produits contrefaits qui circulent dans le monde l'UNODC indique que le taux de
croissance de la contrefaçon médicamenteuse en Chine est depuis
le
2 OMS, ibid., pp 241-320 in www.who.int/../fr/
consulté le 23 février 2016 à 9h00
3 PLANCON A. Cité par OMS, Opcit in
www.who.int/../fr/ consulté le 23 février 2016
à 8h35
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milieu des années 1990 de l'ordre de 15% par an. 60%
des médicaments sont consommés localement, mais 40% se dispersent
à l'international.
L'étude «Cracking Contrefait Europe»,
initiée par Pfizer dans 14 pays européens estime à plus de
10,5 milliards d'euros par an sur le marché parallèle des faux
médicaments en Europe. En France, ce dernier représenterait
près d'un milliard d'euros.
Le Center for medecines in the Public Interest des USA estime
lui que les ventes mondiales de médicaments contrefaits ont atteint
75milliards de dollars américains en 2010, soit 90% de hausse.
Le Word Economic Forum va plus loin encore et évalue
même la contrefaçon de médicaments à environ
200milliards de dollars ce qui en ferait premier secteur de trafics illicites
devant la prostitution et le marijuana. Le Pharmacentical Security Instute, qui
regroupe les directeurs de la sécurité de 26 laboratoires
pharmaceutiques, estime qu'ont été contrefaits en 2011, 523 types
de médicaments touchant tous les axes
thérapeutiques(anti-inflammatoires, antidouleurs, anticancéreux,
antiseptiques,...) sans parler du matériel médical (seringues,
stéthoscopes ,...)4
M. Hamel Vincent relève que la grande majorité
des médicaments à usages humains présents sur les
marchés pharmaceutiques des pays francophones d'Afrique centrale et
occidentale sont des produits importés. De même en ce qui concerne
les médicaments fabriqués localement, une partie de leurs
matières premières est importée. Les médicaments ne
sont plus disponibles en quantité suffisante dans les hôpitaux,
centres et postes de santé de secteurs aussi bien publics que
privés. Le manque de confiance des populations envers ces
dernières formations médicaux-sanitaires qui découle de
cette insuffisance des produits médicamenteux ouvre la porte aux
activités de ventes informelle et à la fraude des
médicaments dont la qualité, la quantité et la
conformité n'ont pas été contrôlées. Cela
favorise ainsi le commerce de contre bande pour l'introduction sur le
marché pharmaceutique des médicaments bon marché mais de
qualité douteuse,
4 UNODC, Contrefaçon des médicaments,
une atteinte à la santé publique, Juin 2014 p6 in
www.leem.org/sites/default/files/leem
consulté le 27 février 2016 à 8h00
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A cela s'ajoutent le programme d'ajustement structurel et le
désengagement de l'Etat du secteur social en général et de
son sous-secteur sanitaire en particulier. Ceux-ci ont
délégué l'entier financement des médicaments
à la bourse de leurs propres consommateurs dont la majorité est
paupérisée.
Suite à l'élévation du prix des
spécialités pharmaceutiques de l'Europe occidentale et de
l'Amérique du Nord, les pays d'Afrique subsaharien ont couvert leur
marché pharmaceutique à d'autres horizons.
Aujourd'hui, le contexte a évolué avec
l'utilisation un peu plus courante des médicaments
génériques à bas prix. La grande majorité des
médicaments importés via les réseaux illicites externes au
pays ne possède pas d'autorisation de mise sur le marché. Ces
produits peuvent être des contrefaçons, des malfaçons mais
aussi des vrai médicaments répondants aux standards de
qualité, innocuité et le gros de la provenance de ces
marchandises est attribués à quelques pays africains anglophones
(Nigeria, Ghana, Gambie) et au continent asiatique (Chine, Inde).
L'ONG «Pharmaciens Sans Frontières» a
publié les rapports édifiants sur l'arrivée des dons de
médicaments trop souvent inutilisables : médicament non
identifiable, périmé, mal acheminé ou tout simplement
inapproprié aux nécessités du pays.5
Quant à nous, nous avons orienté nos
investigations dans la Mise en place par l'OCC d'un système
d'information partagé sous l'architecture client-serveur pour
l'enregistrement des importations des produits pharmaceutiques dans la ville de
Goma. Notre application sera capable de nous fournir les résultats
suivants :
? La liste des produits importés par importateur ; ?
Liste des produits vérifiés par échantillonnage ; ? Liste
des tous les importateurs
0.2. PROBLEMATIQUE
Il est un fait bien établi que dans tous les pays du
monde les pouvoirs publics accordent à leur citoyens le droit d'exercer
librement le commerce national ou
5M.HAMEL Vincent, La vente illicite des
médicaments dans les pays en développement, analyse de
l'émergence d'itinéraire thérapeutique en part
entière situé en parallèle du recours classique aux
structures officielles de santé, Thèse de doctorat,
Faculté de Pharmacie, Université Claude-Bernard, Lyon 2006
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international en vue de procurer à leurs populations
les biens et les services dont celles-ci ont besoin pour leur subsistance.
Dans les pays en voie de développement, les
médicaments sont localement produits en quantité insuffisante qui
ne satisfait pas les besoins de la population consommatrice lorsque celle-ci
veut prévenir ou guérir les maladies auxquelles elle est
exposée.
C'est ainsi que les opérateurs économiques
exerçant leur métier dans le secteur pharmaceutique recourent
à l'importation des médicaments fabriqués par des pays
étrangers.
Ces importations de produits pharmaceutiques ne
s'opèrent pas sans l'autorisation ni le contrôle à leur
entrée dans les pays demandeurs.
En outre, il convient de signaler que l'informatique s'impose
comme une méthode moderne de gestion des ressources humaines,
financières et matérielles dans tous les domaines de la vie
nationale et internationale et dans le secteurs aussi bien public que
privé.
Ajoutons aussi que l'informatique est de plus en plus
utilisée dans tous les domaines d'activités y compris celui de
l'enregistrement des opérations auquel nous rattachons d'ailleurs notre
étude, et cela pour une meilleure gestion des différents
traitements exigés par cette activité de l'enregistrement des
opérations.
La RDC ne fait pas exception à ces pratiques modernes
de management. C'est pour cette raison que les pouvoirs publics de la RDC ont
créé l'Office Congolais de Contrôle auquel ils ont
assigné la mission de contrôle de qualité et de
conformité de tous les produits, y compris les produits pharmaceutiques
qui sont soit nationalement fabriqués, soit importés de
l'extérieur.
Pour faire de tout ce qui précède un objet de
recherche, nous avons intitulé notre mémoire de la manière
suivante : «Mise en place d'un système d'information partagé
sous l'architecture client/serveur pour la gestion d'enregistrement des
importations des produits pharmaceutiques dans la ville de Goma, cas de
l'OCC/Goma».
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En effet, les précautions qui s'imposent pour
l'intégralité du circuit de contrôle des médicaments
importés demandent une surveillance particulière que seuls les
professionnels qualifiés peuvent réaliser. C'est pour cette
raison que l'OCC se porte garant des exigences en terme de qualité et de
conformité. C'est dans cette optique que l'OCC a placé le service
importation pour contrôler via son laboratoire, la qualité et la
conformité en l'occurrence l'inspection, les essaies ou analyses des
médicaments en se référant aux standards nationaux,
régionaux et/ou internationaux.
Nous avons pu constater, en effet, pendant nos recherches que
l'ensemble de traitements au sein du service importation de l'OCC/Goma se fait
manuellement, ce qui engendre un certain nombre des problèmes tels que
la lenteur et le risque de perte d'informations. La meilleure façon pour
pallier à ce problème est l'informatisation afin d'assurer
l'accès instantanée aux données et une sécurisation
de ces dernières.
En outre, l'enregistrement des mouvements des importations des
produits pharmaceutiques à l'OCC/Goma est une opération qui prend
plusieurs jours voire plusieurs mois.
Lors de notre descente sur terrain, nous avons remarqué
que l'OCC se heurte aux problèmes suivants :
V' Utilisation d'un grand espace pour stocker les dossiers de
clients ;
V' La non connaissance de nombre de dossiers par client à
temps opportun ; V' La non connaissance de produits importés par client
;
V' La non détermination du nombre et nom de produit
contrôlé par client pour une période.
Au vu de tous ces problèmes, nous nous sommes posé
des questions suivantes :
1. Comment aider l'OCC à moderniser son système
d'enregistrement des importations des produits pharmaceutiques dans la ville de
Goma?
2. La mise en place d'un SI informatisé peut-elle
optimiser le système d'enregistrement des importations au sein de
l'OCC/Goma ?
C'est pourquoi au cours de notre recherche nous avons recouru
aux méthodes suivantes :
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0.3. HYPOTHESES
Par définition, l'hypothèse est définit
comme étant une proposition initiale à partir de laquelle on
construit un raisonnement.
Pour tenter de trouver les éléments de
réponses à ces deux questions, nous avons axé notre
étude sur les hypothèses ci-après :
1. Coupler à la procédure classique
l'utilisation de la procédure UP et le langage UML pourrait aider
l'OCC/Goma à construire une base des données qui faciliterait les
enregistrements des importations des produits pharmaceutiques en vue de les
gérer efficacement.
2. Cette deuxième hypothèse nous pousse
directement à l'objectif de ce travail qui est celui de produire une
application pouvant palier aux difficultés que connaît le service
importation de l'OCC/Goma lors de l'enregistrement des entrées des
produits pharmaceutiques. Cette application sera capable de faire sortir
automatiquement :
o La liste de produits importés par importateur ;
o La liste de produits vérifiés par
échantillonnage ;
o La liste de tous les importateurs.
0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
En faisant le choix de ce sujet, nous supposons que l'OCC
pourra bénéficier de l'application que nous allons concevoir. Ce
travail contiendra aussi un ensemble des données que les autres
chercheurs pourront utiliser. Enfin, à l'aide de ce travail nous avons
pu mettre en pratique les connaissances apprises à l'auditoire.
0.5. METHODES ET TECHNIQUES
UTILISEES
1. Méthodes utilisées
La méthode est une démarche organisée et
rationnelle de l'esprit pour arriver à un certain résultat.
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· La méthode MPM (Méthode de Potentiels
Métra) : cette méthode consiste en un graphe orienté dont
les sommets représentent les taches et les arcs représentent les
contraintes d'antériorité.
· La méthode UP (Unified Process) : elle est une
méthode générique, itérative et
incrémentale, contrairement à la méthode
séquentielle MERISE.
2. Techniques utilisées
S'agissant des techniques de recherche, nous avons fait
recours à la technique d'interview libre et la technique
d'observation directe : ces deux techniques nous ont aidés
à entrer en contact avec les travailleurs de l'OCC/Goma de la Division
Exploitation précisément dans le Service Importation. Nous avons
utilisé aussi la technique documentaire qui nous a
permis de consulter certains ouvrages, les TFC, les mémoires et les
notes de cours qui cadre avec notre sujet d'étude.
0.6. DELIMITATION DU SUJET
Notre étude va porter sur les importations des produits
pharmaceutiques enregistrés par l'OCC de 2010 en Avril 2015 dans la
ville de Goma, et l'application qui sera conçu sera utilisée
jusqu'à ce qu'on la juge d'obsolète.
0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la conclusion, notre présent
travail va comprendre quatre chapitres :
Le premier chapitre abordera l'analyse préalable. Le
second chapitre traitera sur le planning prévisionnel du projet. Le
troisième chapitre portera sur la modélisation du système
d'information en UML et le quatrième et dernier chapitre traitera sur la
présentation du système informatisé en SQL serveur et en
langage de programmation C#.
0.8. DIFFICULTES RENCONTREES
Comme tout travail scientifique, nous nous sommes butés
à plusieurs difficultés notamment la difficulté d'aborder
les agents de l'OCC/Goma suites à leurs multiples occupations, le moyen
financier très limités et le manque de l'énergie
électrique pour la saisie de nos idées.
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CHAPI. ANALYSE PREALABLE
I.1. DEFINITION DES QUELQUES CONCEPTS
a)L'IMPORTATION
Le terme importation désigne l'ensemble des achats des
marchandises à l'extérieur d'un pays. En d'autres termes, nous
pouvons dire qu'importer c'est faire entrer dans son pays les marchandises
achetées dans un autres pays.
Voici les types d'importation selon l'Office Congolais de
Contrôle :
? Importation définitive : c'est quand
la marchandise est consommée dans le pays importateur.
? Importation temporaire : c'est lorsque la
marchandise, après son utilisation, retourne dans le pays d'origine.
Prenons l'exemple des machines de la société SOBETRA pour la
construction des routes.
b)PRODUIT PHARMACEUTIQUE
Un produit pharmaceutique ou médicament est toute
substance ou composition présentée comme possédant des
propriétés curatives ou préventives à
l'égard des maladies humaines ou animales. On peut distinguer
différents types de médicaments selon leur utilisation, leurs
composants, leurs modes d'enregistrement règlementaire, etc.
Ces types de médicaments sont :
o Médicament générique
o Médicament bio similaire
o Médicament orphelin
o Médicament biologique
o Médicament à base de plantes
o Médicament essentiel.
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I.2. PRESENTATION DE L'OCC/GOMA
I.2.1. HISTORIQUE DE L'OFFICE CONGOLAIS DE
CONTRÔLE
C'est en 1949 que la Société
Générale de Surveillance « SGS », une multinationale
Suisse ayant son siège à Genève, a démarré
ses activités en République Démocratique du Congo
(à l'époque du Congo Belge).
A ce moment, ces activités de contrôle portaient
essentiellement sur les exportations des produits agricoles dits coloniaux tels
que le café, le cacao, le thé, le caoutchouc, le coton, les
plantes médicinales, etc. La plupart des contrôles initiés
par la Société Congolaise de Surveillance, filiale de la SGS,
étaient exercés par des arrangements de gré à
gré.
Il a fallu attendre l'année 1963 pour voir les
contrôles à l'importation et à l'exportation être
régis par la réglementation de change. Cependant, les
contrôles techniques visant la sécurité dans les milieux de
travail revêtaient déjà un caractère obligatoire.
Dans le cadre de grandes décisions prises pour
rétablir la République Démocratique du Congo (à
l'époque République du Zaïre) dans ses droits
légitimes et renforcer son indépendance économique, le
chef de l'Etat a ensuite interdit en date du 30 novembre 1973 à la
Société Congolaise de Surveillance d'exercer les activités
de contrôle sur le territoire congolais. Il lui était
reproché notamment le non-respect des lois et règlements du
pays.
Pour officialiser cette décision, les ordonnances-lois
suivantes furent signées :
0. l'Ordonnance-loi n°74/013 du 10 janvier 1974, portant
création d'une institution de droit public dénommée Office
Zaïrois de Contrôle et de Surveillance dissoute ;
1. l'Ordonnance-loi n°74/014 du 14 juillet 1974,
modifiant et complétant la loi n°73/009 du 05 janvier 1973 portant
dispositions particulières sur le commerce et rendant obligatoire, sous
la responsabilité exclusive de l'OZAC, le contrôle avant
l'expédition des exportations zaïroises et au débarquement
des importations Zaïroises.
Ces deux ordonnances-lois ont été
complétées par la Loi-cadre (ordonnance-loi) n°78/219 du 05
mai 1978.
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C'est depuis le 17 mai 1997, à l'avènement de la
3ème République que l'OZAC est devenu l'Office
Congolais de Contrôle, « OCC » en sigle.
I.2.2. MISSION DE L'OCC
Aux termes de l'Ordonnance-loi n°74/013, la mission
assignée à l'OCC consistait à :
V' effectuer le contrôle de qualité, de
quantité et de conformité de toutes les marchandises ;
V' effectuer le contrôle des prix de marchandises et
produits à l'importation et à l'exportation ;
V' analyser tous les échantillons des produits ;
V' effectuer le contrôle technique de tous les appareils et
travaux ;
V' prévenir des sinistres et procéder au constat
des dommages ou des avaries ;
V' gérer et exploiter des silos, magasins
généraux et entrepôts de douane ; V' faire toutes les
opérations quelconques se rapportant directement ou
indirectement à son activité légale, sauf
les opérations d'achat en vue de
la revente.
Après la promulgation de la loi n° 08/007 du 07
juillet 2008 portant dispositions générales relatives à la
transformation des entreprises publiques, la loi n° 78 -002 du 06 janvier
1978 portant disposition générales applicables aux entreprises
publiques a été abrogée.
Selon l'esprit de cette nouvelle loi, les entreprises publiques
sont selon le cas :
V' transformées en sociétés commerciales
V' transformées en établissements publics ou en
services publics dissoutes
En outre, elle précise à son article 13 qu'un
décret du Premier ministre délibéré en conseil des
ministres va établir la liste des entreprises publiques
transformées en sociétés commerciales, en
établissements publics ou en en services publics. Le même
décret détermine les statuts des établissements à
créer.
Vu le Décret n° 09/12 du 24 avril 2009
établissant la liste des entreprises publiques transformées en
sociétés commerciales, établissements publics et services
publics, l'OCC est demeuré un établissement public.
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Enfin, le Décret n° 09/42 du 03/12/2009 a
fixé le statut d'un établissement public à
caractère scientifique et technique dénommé Office
Congolais de Contrôle, « O.C.C » en sigle. Sa nouvelle mission
se trouve dans son article 4 qui dit que l'OCC a pour objet de procéder
en tant que tierce partie à l'évaluation de la conformité,
en l'occurrence l'inspection, la certification, les essais et analyses et
à la métrologie en se référant aux standards
nationaux, régionaux et internationaux. A cet effet, il effectue
notamment :
· le contrôle de tous les produits fabriqués
localement ;
· le contrôle de qualité de tous les
marchandises et produits à l'importation et à l'exportation au
niveau du guichet unique ;
· les essais ou analyses des échantillons des
produits importés ;
· le contrôle technique de tous les appareils et
travaux ;
· la vérification et l'étalonnage des
instruments des mesures ;
· la certification de la qualité des produits
autres que les matières précieuses,
· les contrôles techniques.
En outre, il assure la prévention et les constats des
sinistres ou avaries, gère et exploite les silos, magasins
généraux et peut accomplir toutes opérations quelconques
se rapportant directement ou indirectement à son objet social, sauf les
opérations d'achat en vue de la revente.
I.2.3. ORGANES DE GESTION DE L'OCC
Placé sous tutelle administrative du Ministère
National ayant le commerce extérieur dans ses attributions, l'OCC qui
jouit de l'autonomie administrative est géré par trois organes
ci-après :
Le Conseil d'Administration
Organe de conception, d'orientation, de contrôle et de
décision de l'office, le Conseil d'Administration définit la
politique générale, en détermine le programme,
arrête le budget et approuve les états financiers de fin
d'exercice.
Il est composé des cinq membres y compris le Directeur
général. La Direction Générale ou le
Comité de Gestion
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Organe de gestion quotidienne et courante de l'office, la
Direction Générale exécute le budget, élabore les
états financiers de l'office, dirige l'ensemble de ses services et met
en application les décisions du Conseil d'Administration.
Elle est composée des deux membres : le directeur
général et le directeur général adjoint ;
Le Collège des commissaires aux comptes
Ce troisième organe assure le contrôle des
opérations financières de l'office.
Il est composé de deux membres issus de structures
professionnelles distinctes et justifiant de connaissances techniques et
professionnelles éprouvées.
Ces deux membres sont nommés par un décret du
premier ministre pour un mandant de 5 ans non renouvelable.
I.2.4. ACTIVITES DE L'OCC
C'est de la mission décrite ci-dessus que se
dégage le profil de différentes activités de l'Office
Congolais de Contrôle telles que reprises dans les lignes qui suivent:
A. INSPECTION :
Pour être compétent dans le domaine de
l'inspection, l'OCC a mis en place une organisation conforme à
l'ISO/CEI/17020 et exerce cette mission dans les domaines ci-après :
1) Contrôle des importations Pour
contrôler les importations, l'OCC s'emploie à :
? effectuer la vérification de la qualité et de
la quantité ainsi que la détermination du juste prix
pratiqué sur le marché du pays d'origine ou de provenance des
marchandises importées ;
? constituer l'appui technique douanier visant la
sécurisation et la maximisation de recettes fiscales de l'Etat ;
2) Contrôle des exportations Dans ce
domaine, l'OCC :
- 20 -
+ constitue la garantie d'une qualité minimale
permettant la compétitivité des produits congolais sur le
marché international ;
+ effectue la vérification de la qualité, de la
quantité et de la conformité du juste prix des marchandises et
produits destinés à l'exportation ;
3) Métrologie
Pour le contrôle de la Métrologie, l'OCC
procède à :
+ la vérification de l'exactitude des instruments de
mesure utilisés dans le commerce (Métrologie légale) et
l'étalonnage des instruments de mesure utilisés dans le processus
industriel (Métrologie industrielle) ;
4) Contrôles techniques Dans ce secteur,
l'OCC effectue :
+ le contrôle technique de sécurité sur
les lieux de travail et de protection d'environnement ;
+ l'évaluation de la conformité des
unités fluviales et lacustres et des ouvrages en construction ou en
exportation ;
+ le contrôle technique automobile, le tout se
référant à l'ISO/CEI/17020 ;
5) Prévention et constat d'avaries
Dans ce domaine, l'OCC apporte aux assureurs les
éléments d'appréciation relatifs aux dommages et/ou
avaries survenus aux marchandises par :
+ la constatation des pertes, dommages et/ou avaries ;
+ les missions de surveillance pour compte de divers donneurs
d'ordre ;
+ des recours pour la préservation et la poursuite des
assureurs contre les tiers
responsables ;
+ des enquêtes et contre-expertises au profit des assureurs
étrangers pour leurs
assurés installés en RDC.
B. CERTIFICATION DES PRODUITS
L'OCC a mis en place une organisation conforme au guide
ISO/CEI/65 afin de :
? aider les industriels congolais à améliorer la
qualité et à les rendre compétitifs sur les marchés
extérieur et intérieur ;
? protéger la santé du consommateur face aux
risques que peuvent engendrer les produits issus de l'industrie locale de
mauvaise qualité ou non-conforme.
- 21 -
C. LABORATOIRE D'ESSAIS ET D'ECHANTILLONNAGES
Pour toutes sortes d'essais, l'OCC se conforme à la norme
ISO/CEI/17025.
Ces essais s'effectuent dans les laboratoires ci-après :
Laboratoire National de Métrologie
Il a pour mission :
· la conservation et la maintenance des étalons
nationaux de référence ;
· l'étalonnage des instruments de mesure par rapport
aux étalons de référence nationaux rattachés aux
étalons internationaux (traçabilité) ;
Laboratoire d'Essais
Il a pour mission :
· la détermination de la qualité par des
analyses physico-chimiques et/ou microbiologiques ;
· la détermination de la qualité des
matériaux par des essais mécaniques et non destructifs.
D. NORMALISATION
Dans ce domaine, l'OCC procède à :
· la participation à la formulation, à la
diffusion et à l'application des normes ;
· la gestion de la documentation et de l'information sur
les normes ;
· la coopération avec les organismes nationaux,
régionaux et internationaux de normalisation et de métrologie.
Toutes ces activités de l'OCC se concrétisent
dans une structure composée de 19 départements centraux au niveau
de sa direction générale et de 10 directions provinciales
à l'exception de la Province de Bandundu qui en est dépourvue car
sa charge de production reste réduite.
I.2.5. OBJECTIFS PRINCIPAUX DE L'OCC
Le pouvoir créateur a assigné à l'OCC les
objectifs principaux ci-dessous :
- 22 -
a) en faveur de l'Etat :
· aider l'Etat à juguler la fraude fiscale et
à maîtriser la balance de paiements extérieurs par le
contrôle des prix ;
· aider l'Etat à disposer des statistiques
fiables dans le commerce extérieur et à maîtriser la valeur
en douane de la marchandise ;
· soutenir l'Etat dans ses efforts de
développement intégral ;
b) en faveur de l'opérateur économique
:
· rassurer les importateurs, les exportateurs et les
assureurs ainsi que les fournisseurs de la qualité, de la
quantité, de la conformité et du prix réel des
marchandises et produits ;
· aider les opérateurs économiques et
industriels à s'assurer du respect des normes ;
c) en faveur du consommateur et de l'usager
:
· sécuriser et rassurer le consommateur et
l'usager de la qualité du produit identifié et retenu comme
propre à la consommation ou des ouvrages en chantier prêts
à être utilisés ;
· sécuriser l'usager sur le lieu de travail ;
· prévenir les atteintes à l'environnement
humain.
I.2.6. BREF APERCU SUR LA DIRECTION DU NORD-KIVU ET SA
STRUCTURE ORGANIQUE
I.2.6.1. HISTORIQUE
1) La direction provinciale de l'OCC/Nord-Kivu était
une agence créée en 1974, à l'époque de Monsieur
MUKOTA SUMBWE, PDG de l'Office Zaïrois de Contrôle de 1974 à
1980.
2) En 1990, l'agence est devenue un département
provincial dirigé par Mr YUMEMBUDI et ce après le
découpage du Grand Kivu en trois provinces. Deux agences ont
été également ouvertes à Beni et à
Butembo.
Le siège de la Direction du Nord-Kivu se situe sur
l`avenue du Gouverneur, n° 26, Quartier Les Volcans dans la Commune
Urbaine de Goma. Son champ d`action s`étend sur les Agences de Beni et
Butembo et sur les postes ci-dessous :
- 23 -
Ishasha, Munyaga, Bunagana, CTC, Aéroport de Goma,
Entrepôt DGDA, Equipe Mobile, Grande et Petite Barrières, Port
public et PAM.
En outre, ce siège comprend cinq divisions
structurées chacune en services et chacun de ceux-ci en bureaux.
A. La Division Administrative et Financière : elle a six
services à savoir :
· Service Administratif ;
· Service de Budget ;
· Service de Trésorerie ;
· Service de Comptabilité ;
· Service de Facturation.
· Service de Recouvrement
B. La Division Exploitation : elle a six services à
savoir :
· Service Importation ;
· Service Exportation ;
· Service Emission des documents et statistiques ;
· Service Commissariat d'Avarie ;
· Service Hydrocarbure ;
· Service Guichet Unique.
C. La Division Métrologie et Contrôle Technique :
elle a quatre services :
· Électricité ;
· Pression et Lavage ;
· Métrologie ;
· Navigation Intérieure ;
· un corps des Inspecteurs Techniques.
D. La Division Laboratoire : elle a cinq services ;
· Service Gestion des Dossiers et traitement des
Echantillons ;
· Service Produits Pharmaceutiques et Cosmétiques
· Service Agro-alimentaire ;
· Service Produits chimiques, Génie chimique et
minier et un corps des analystes.
E. Division Coordination des Agences,
DiviCoord
- 24 -
Les bureaux de 4 premières divisions
précitées sont répertoriés à la page
suivante sur l'organigramme de la Direction Provinciale de l'OCC/Nord-Kivu,
Siège de Goma.
I.2.6.2. ORGANIGRAMME DE LA DIRECTION PRONVINCIALE DE
L'OCC/NORD-KIVU/GOMA
- 25 -
3
7
4
8
5
9
6
10
|
39
|
62
|
69
|
84
|
11
|
|
|
|
|
40
|
93
|
70
|
85
|
12
|
|
|
|
|
|
13
|
|
2 30 34
|
14
|
|
|
24 31 35
|
|
|
15
|
|
|
|
|
25
|
32
|
36
|
|
16
|
|
|
|
|
26
|
33
|
37
|
|
17
|
|
|
|
|
|
27
|
|
38
|
|
|
|
18
|
|
|
|
|
28
|
|
|
|
|
19
|
|
|
|
29
|
|
|
|
|
20
|
|
|
|
|
|
21
|
|
|
|
22
|
|
49
|
54
|
|
59
|
|
50
|
55
|
|
60
|
|
|
51
|
|
|
|
|
56
|
|
|
52
|
|
|
61
|
|
57
|
|
|
48
|
|
|
|
|
|
|
|
53
|
|
58
|
|
4
4
45
46
47
64
65
66
67
68
4
4
75
73
74
77
76
71
72
78
79
80
81
82
83
87
89
91
92
86
88
90
26
LEGENDE
1 Chef de Direction Provinciale
2 Chef de Direction Provinciale Adjoint
3 Chef de Service Informatique et Télématique
4 Chef de Service Informatique et Télématique
Adjoint
5 Chef de Bureau Informatique
6 Bureau de Télématique
7 Secrétaire de Direction
8 Huissier
9 Chef de Bureau Relations Publiques
10 Chef de Division Administrative et Financière
11 Chef de Division Administrative et Financière
Adjoint
12 Secrétaire Division Administrative et
Financière
13 Chef de Service Administratif
14 Chef de Service Administratif Adjoint
15 Chef de Bureau Services Généraux
16 Chef de Bureau Médico -Social
17 Chef de Bureau Administratif
18 Chauffeur
19 Portier
20 Sentinelle
21 Jardinier
22 Réception
23 Chef de Service Comptabilité
24 Chef de Service Comptabilité Adjoint
25 Chef de Bureau Fiscalité
26 Chef de Bureau Facturation
27
27 Chef de Bureau Immobilisations et stock
28 Chef de Bureau caisse et banque/Siège
29 Chef de Bureau caisse et banque/Agences
30 Chef de Service Budget
31 Chef de Service Budget Adjoint
32 Chef de Bureau Budget d'investissement
33 Chef de Bureau Budget d'exploitation
34 Chef de Service Trésorerie
35 Chef de Service Trésorerie Adjoint
36 Chef de Bureau Recouvrement
37 Chef de Bureau Banques
38 Chef de Bureau Caisse
39 Chef de Division Exploitation
40 Chef de Division Exploitation Adjoint
41 Secrétaire Division Exploitation
42 Huissier Division Exploitation
43 Chef de Service Importation
44 Chef de Service Importation Adjoint
45 Chef de Bureau Contrôle à l'arrivée et
Banque des Prix
46 Chef de Bureau Contrôle Avant Embarquement
47 Corps d'inspecteurs et Pointeurs Import
48 Les Postes
49 Chef de Service Exportation
50 Chef de Service Exportation Adjoint
51 Chef de Bureau Export
52 Chef de Bureau Productions Locales et certifications des
produits
53 Corps d'Inspecteurs et Pointeurs Export
28
54 Chef de Service EMIDOCS et Statistiques
55 Chef de Service EMIDOCS et Statistiques Adjoint
56 Chef de Bureau Pool Encodeurs
57 Chef de Bureau Statistiques
58 Chef de Bureau Classement et Archive
59 Chef de Service Commissariat d'Avaries
60 Chef de Service Commissariat des Avaries Adjoint
61 Chef de Bureau Commissariat des Avaries
62 Chef de Division Métrologie et Contrôle
Technique
63 Chef de Division Métrologie et Contrôle
Technique Adjoint
64 Secrétaire Division Métrologie et
Contrôle Technique
65 Chef de Service Electricité
66 Chef de Service Pression et Levage
67 Chef de Service Métrologie
68 Corps d'Inspecteurs Techniques
69 Chef de Division Laboratoire
70 Chef de Division Laboratoire Adjoint
71 Secrétaire Laboratoire
72 Chef de Bureau Microbiologie
73 Huissier Laboratoire
74 Corps des Analystes
75 Garçon de Laboratoire
76 Chef de Service Produits Agricoles et Alimentaires
77 Chef de Bureau Produits Agricoles et Alimentaires
78 Chef de Service Produits de chimie, de Génie
Chimiques et Miniers
79 Chef de Bureau Produits Chimies, de Génie Chimiques
et Miniers
80 Chef de Service Produits Pharmaceutiques et
Cosmétiques
29
81
82
|
Chef de Bureau Produits Pharmaceutiques et Cosmétiques
Chef de Service Gestion des dossiers et traitement des
Echantillons
|
83
|
Chef de Bureau Gestion des dossiers
|
88
|
Chef de Service Hydrocarbure
|
84
|
Chef de Division Coordination
|
89
|
Chef de Bureau Hydrocarbure
|
85
|
Chef de Division Coordination Adjoint
|
90
|
Chef de Service Suivi Administratif & Financier
|
86
|
Chef de Service Suivi Exploitation
|
91
|
Chef de Bureau Suivi Administratif
|
87
|
Chef de Bureau Suivi Exploitation
|
92
|
Chef de Bureau Suivi Financier
|
I.3. ANALYSE DU METIER
I.3.1. PRESENTATION DU SERVICE IMPORTATION
Le Service Importation est l'un des services de la division
exploitation. Il est dirigé par un chef de service et son adjoint. Ce
service est chargé de toutes les activités de contrôle
liées aux importations de marchandises. Il est le centre
générateur des prestations et contribue à plus ou moins
70% sur les réalisations de la production des frais de contrôle de
l'OCC.
Les missions du Service Importation sont les suivantes :
V' exécuter et faire exécuter les instructions
conformément aux procédures en
vigueur ;
V' examiner les dossiers traités journalière ment
dans différents postes ;
V' procéder à l'élaboration des rapports
mensuels d'activité ;
V' livrer les autorisations de déchargement ou
d'enlèvement des marchandises
dans différents entrepôts de la place.
V' procéder à l'authentification des attestations
de vérification (A.V) ;
V' faire le suivi de la transmission de licence volet mandataire
à BIVAC ;
V' se rassurer de la conformité de la procédure de
contrôle des importations.
En bref, le Chef de Service Importation assure le suivi et la
coordination de tous
les bureaux de son service tout en créant un climat
harmonieux dans la chaîne de
commandement entre les chefs de bureaux.
Apres toutes les opérations, le rapport journalier est
envoyé au guichet unique pour la facturation.
30
TYPES D'IMPORTATIONS
Les importations sont classées selon le temps et selon la
procédure de contrôle. Selon le temps, nous avons deux types
d'importations :
? Importation définitive : c'est quand
la marchandise est consommée dans le pays importateur.
? Importation temporaire : c'est lorsque la
marchandise, après son utilisation, retourne dans le pays d'origine.
Prenons l'exemple des machines de la société SOBETRA pour la
construction des routes.
Selon la procédure de contrôle, nous avons aussi
deux types d'importations :
? Importation régulière : Une
importation est dite régulière quand elle est couverte par la
licence modèle « IB », c'est à dire importation des
biens et qu'elle est soumise à deux contrôles : contrôle
avant embarquement par un mandataire officiel de l'OCC, le BIVAC et un
contrôle à l'arrivée.
? Importation irrégulière : on
parle d'une telle importation quand la marchandise n'a pas été
contrôlée dans le pays fournisseur. Ici le contrôle commence
à l'entrée des marchandises dans le pays de destinations.
ETAPES DE CONTROLE DES MARCHANDISES
Voici les étapes de contrôle des marchandises en
cas de l'importation irrégulière
** Contrôle à la frontière :
il s'agit ici d'un contrôle documentaire (facture
définitive, le connaissement, la lettre de transport aérien, le
certificat de fumigation,...), contrôle de l'engin qui transporte la
marchandise (plaque et type). Ces renseignements permettent d'établir un
document appelé «Bordereau de transit».
** Contrôle dans l'entrepôt :
c'est le contrôle physique de la marchandise. Il se fait lors du
déchargement et il est sanctionne par un rapport journalier et un
rapport de pointage. Ce dernier rapport consiste au dénombrement des
colis.
31
Lors du déchargement des marchandises dans
l'entrepôt, le contrôle s'effectue en six étapes :
- identification du véhicule
- Identification de la nature de la marchandise
- identification de nombre des colis
- Vérification du poids de la marchandise
- vérification de l'état de l'emballage
- Vérification de la date de fabrication et la date de
péremption, c'est l'étape la plus importante de cette liste.
Signalons que la preuve de paiement de frais de contrôle
est le dernier document qui clôture le dossier. Mais l'on doit
vérifier si le paiement a été effectué
conformément à la qualité, à la quantité et
à la valeur.
Etant donné la lourdeur des tâches à son
sein, les charges du Service Importation ont été
structurées en bureaux ci-après outre celui de Ferri nouvellement
créé :
a) BUREAU CONTROLE AVANT EMBARQUEMENT
Ce bureau procède au traitement de dossiers de
marchandises contrôlées par BIVAC dans les pays fournisseurs
à travers les activités ci-dessous :
assurer le suivi de licences dans le système ISYS ;
assurer le contrôle des attestations de
vérification avant l'authentification par le chef de service ;
éditer et faire l'impression de licence volet mandataire
à transmettre à BIVAC ; écouter et prendre en
considération les attentes et réclamations des clients tant
externes qu'internes.
b) BUREAU OCC BIVAC (Cellule BIVAC)
Il est une courroie de transmission des informations entre l'OCC
et BIVAC. Ses missions sont :
32
recevoir toutes les licences modèle IB au bureau CAE et
les expédier à BIVAC ;
réceptionner les AV et les transmettre à la
Direction de l'OCC ;
vérifier aussi l'existence des AV ou des ARA chez BIVAC
pour des licences transmises endéans trois mois.
On appelle une licence l'intention d'un
opérateur économique de vouloir importer ou exporter la
marchandise.
c) BUREAU CONTROLE A L'ARRIVEE (CA)
Ce bureau traite les dossiers des marchandises
irrégulièrement importées, c'est à dire non
couvertes par l'AV et la licence. Autrement dit, ce contrôle s'applique
aux importations en provenance de la haute mer, les importations dont la valeur
FOB est inférieure à 2500USD, les importations des produits
pétroliers, les importations exemptées du contrôle
pré-embarquement et les importations qui, pour une raison quelconque ont
échappé au contrôle avant embarquement.
Ses missions consistent à :
assurer le contrôle de toutes les marchandises ayant
échappé au CAE et dont la valeur FOB est = à 2500$ ;
contrôler aussi toutes les marchandises dont la valeur
FOB est inférieure à 2500$ ;
assurer le contrôle des marchandises couvertes par les
arrêtés ministériels du gouvernement sous un régime
d'exonération ;
assurer le contrôle des marchandises des ONG ;
assurer la réception et l'enregistrement des dossiers
venant de différents postes ;
participer à l'élaboration des rapports mensuels
du service.
NB : Les effets militaires et toute autre marchandise
relevant de la défense nationale, les animaux vivants, les oeufs frais,
les marchandises acquises à l'aide de don et fonds externes en cas de
catastrophes échappent au CA.
d) BUREAU GESTION DES DOSSIERS
C'est un bureau qui gère les dossiers physiques des
marchandises à travers les missions suivantes :
33
procéder à l'enregistrement des AV reçues
par le Bureau CAE ;
procéder à la codification des dossiers à
classer dans un registre ad hoc ;
apurer les AV par les bordereaux CAE ;
enregistrer les AV authentifiées à remettre aux
clients ;
présenter les dossiers physiques auprès du chef de
Service Importation ou de
son adjoint en cas de nécessité ;
procéder à l'apurement des IB par rapport aux
AV.
e) BUREAU ECHANTILLONAGE
C'est un bureau qui fait jonction entre la Division Laboratoire
et le Service Importation de la Division Exploitation par le biais des missions
après :
recevoir des échantillons en provenance des
différents postes ;
prélever conjointement les échantillons des
produits pharmaceutiques avec
les pharmaciens de la Divilabo ;
transmettre les échantillons à la Divilabo pour y
être analysé ;
recevoir le rapport d'essai de dossiers y relatifs ;
se rassurer si les échantillons ont été
bien prélevés par les Inspecteurs de
conformité ;
récupérer les rapports d'essais au laboratoire et
les transmettre aux
importateurs et au parquet de grande instance comme tierce
partie.
f) BUREAU APUREMENT
C'est un bureau qui fait jonction entre les postes et le Service
Importation en ce qui concerne la vérification des dossiers
d'importation irrégulière. Il a pour mission de :
assurer les corrections éventuelles des rapports
journaliers et rapports de pointage mal établis ;
assurer la transmission des dossiers à la facturation ;
s'imprégner de la facturation faite par les postes frontaliers ;
se rassurer des dossiers des marchandises importées
irrégulièrement ;
vérifier les valeurs et quantité sur la facture
comptant et proposer le redressement si possible ;
recevoir les dossiers du bureau de Contrôle à
l'Arrivée et du Bureau Echantillonnage en vue de les transmettre
à la facturation.
34
En dehors de ces sept bureaux, le Service Importation
contrôle aussi les différents postes de la DIRNOKI
déjà précités.
Il est à noter que tous les postes sont chapeautés
par des chefs des postes et qu'on en distingue deux catégories à
savoir :
-les postes frontaliers qui assurent le
contrôle des entrées et des sorties des marchandises,
procèdent à la facturation des marchandises ayant une moindre
valeur douanière et au contrôle documentaire des marchandises;
-les postes des entrepôts publics
concédés et équipe mobile qui assurent le
contrôle physique des marchandises par l'assistance au
déchargement.
Il sied de remarquer que le Service Importation utilise les
documents requis et émis. Les premiers sont des documents que le
législateur congolais oblige Ex : la facture commerciale, la liste de
colisage, le certificat phyto-sanitaire, le certificat de fumigation, l'AV, la
licence... Les seconds sont les documents qui sont émis par l'OCC.
Le Chef de Service Importation a terminé le bref
aperçu sur son entité par la présentation de deux sortes
de facturation des prestations de l'OCC à l'importation :
o le minimum à facturer : il s'agit ici de la
marchandise qui a une valeur FOB égale ou inférieure à
10.000$. Ainsi, ces frais de contrôle de la facturation sont
répartis de la sorte :
? marchandise avec valeur FOB de 0 à 500$ : 25$ ;
? marchandise avec valeur FOB de 501 à 1000$ : 50$ ;
? marchandise avec valeur FOB de 1001 à 2499$ : 100$ ;
? marchandise avec valeur FOB de 2500 à 10.000$ : 400$
; (importation irrégulière) et 200$ (pour les ONG).
o la facturation ad valorem :
? le taux de 2% de la valeur CIF est appliqué pour tous
les dossiers d'importation régulièrement constitués et
dont la valeur FOB est certifiée supérieure à 10.000$ ;
35
? pour les marchandises dont la valeur FOB est
supérieure à 10.000$ mais sans AV, on calcule le taux à 4%
de la valeur CIF (dont 2% de pénalité)
36
CHAPII. PLANNING PREVISIONNEL DU PROJET
II.1. INTRODUCTION
Un projet informatique est un ensemble d'opérations,
tâches ou activités qui doivent permettre à l'ensemble des
membres concernés par celui-ci d'atteindre un objectif clairement
exprimable et présentant un caractère d'unicité. En
d'autres mots, afin de permettre à l'équipe ou au chef de suivre
le déroulement du projet de l'analyse à la réalisation.
Nous avons voulu décrire le planning prévisionnel et la
réalisation du projet avec les techniques de la recherche
opérationnelle, le plus précisément avec celle de la
théorie des graphes.
La connaissance des différentes tâches ne suffit
pas pour réaliser un projet. Il faut encore une parfaite connaissance
sur l'articulation des tâches, c'est-à-dire l'établissement
d'un plan complet d'action permettant de les réaliser en respectant les
conditions de coûts et de délais imposés. Et pendant son
déroulement, vérifier si le plan établi est
respecté et en cas d'écarts observés, chercher à le
réduire. Pour dire qu'il faut ordonnancer le projet.
Cette méthode d'ordonnancement d'un projet consiste
à organiser les activités en un planning optimal des taches en
prenant soin d'indiquer celles qui ne peuvent souffrir de retard sans
compromettre la durée totale du projet.
C'est ainsi que dans le cadre de ce mémoire, nous avons
utilisé la méthode d'ordonnancement avec la technique MPM.
La planification du projet étant une étape
incontournable et importante, quelques conseils sont à suivre pour
réussir à bien planifier son projet :
- Bien comprendre les objectifs de votre projet
- Bien cerner le périmètre du projet et les
livrables à réaliser
- Bien définir les tâches à accomplir pour
chaque phase
- Bien estimer la charge de chaque tache
- Bien ordonnancer les taches
- En déduire les délais nécessaires et les
dates de réalisation
6 SALUMU MULENDA, Cours de Méthodes de
conduites des projets informatiques, ISC/Goma, L2 Informatique et Gestion
2015-2016
37
? Bien utiliser un outil de planification pour formaliser
votre analyse et pour suivre le projet une fois lancé.
Objectifs du planning
Le planning nous sert à déterminer si les
objectifs du projet sont atteints. Il est un bon outil pour communiquer
l'avancement du projet et suivre cet avancement. Enfin, le planning vous
servira de base de travail pour déterminer l'affectation des ressources
à chacune des taches.
En synthèse, nous pouvons dire que les objectifs du
planning sont les suivants :
? Déterminer si les objectifs sont réalisés
ou dépassés ; ? Suivre et communiquer le lancement du projet
? Affecter les ressources aux taches6
II.2. DEFINITION DE QUELQUES CONCEPTS
? Le planning correspond aux dates pour
réaliser les activités, identifier les
jalons et atteindre les objectifs du projet. C'est
l'indispensable outil de la planification.
? La planification d'un projet c'est
l'activité qui consiste à déterminer et à
ordonnancer les taches du projet, à estimer leurs charges et à
déterminer les profils nécessaire à leur
réalisation.
? L'ordonnancement des tâches est
l'élaboration d'un plan d'action permettant de déterminer les
séquencements ou au contraire les parallélismes possibles entre
l'exécution des taches précédemment identifiées.
? Le chemin critique correspond à la
séquence des tâches qui déterminent la durée totale
du projet.
? La tâche critique est une tâche
du chemin critique dont la marge libre est nulle.
Une tâche est une action à mener
pour obtenir un résultat. Les taches sont parfois appelées aussi
activités, en vertu de traduction anglaise du terme «activity»
que l'on trouve dans les principaux logiciels de planification des projets
anglo-saxons.
38
II.3.TABLEAU D'IDENTIFICATION ET DENOMBREMENT DES
TACHES
CODE TACHE
|
DESIGNATION
|
DUREE en jrs
|
CONTRAINTE
|
A
|
Descente sur terrain et recueil de l'existant
|
10
|
-
|
B
|
Analyse de l'existant
|
5
|
A
|
C
|
Bilan ou critique de l'existant
|
3
|
B
|
D
|
Diagramme de cas d'utilisation
|
4
|
C
|
E
|
Diagramme de classes
|
4
|
D
|
E1
|
Diagramme d'objet
|
2
|
D
|
F
|
Diagrammeme de communication
|
4
|
E, E1
|
G
|
Diagramme d'état transition
|
3
|
F
|
H
|
Diagramme d'activité
|
6
|
G
|
I
|
Diagramme de paquetage
|
4
|
G
|
J
|
Diagramme de séquence
|
3
|
H,I
|
K
|
Diagramme de composant
|
6
|
J
|
L
|
Diagramme de déploiement
|
4
|
K
|
M
|
Proposition des solutions optimales
|
3
|
K
|
N
|
Réalisation de la Base des Données
|
4
|
L, M
|
O
|
Administration SQL et C#
|
4
|
N
|
P
|
Achat matériel
|
2
|
O
|
Q
|
Implantation des matériels et logiciel
|
5
|
P
|
R
|
Essai
|
1
|
Q
|
S
|
Formations des utilisateurs
|
6
|
R
|
II.4. DETERMINATION DES NIVEAUX
Niveaux
|
Codes taches
|
Contraintes
|
Niveau 1
|
A
|
-
|
Niveau 2
|
B
|
A
|
Niveau 3
|
C
|
B
|
Niveau 4
|
D
|
C
|
Niveau 5
|
E et E1
|
D
|
Niveau 6
|
F
|
E et E1
|
Niveau 7
|
G
|
F
|
Niveau 8
|
H et I
|
G
|
Niveau 9
|
J
|
H et I
|
Niveau 10
|
K
|
J
|
Niveau 11
|
L et M
|
K
|
Niveau 12
|
N
|
L et M
|
Niveau 13
|
O
|
N
|
Niveau 14
|
P
|
O
|
Niveau 15
|
Q
|
P
|
Niveau 16
|
R
|
Q
|
Niveau 17
|
S
|
R
|
Tableau des dates au plutôt, date au plutôt
tard, marge libre, marge total
39
II.5. CALCUL DE MARGE
Une marge c'est les délais dont peut être
retardé une tache sans allonger la durée d'une tache suivante ou
du projet entier.
Pour chaque tâche nous avons une date au plus tôt,
c'est la valeur située à gauche. Elle représente la date
ou la durée de fin au plus tôt de la tache
précédente et le début au plus tôt de la tache
suivante du même sommet.
Tandis que la date au plus tard c'est la valeur située
à droite. Elle représente la date ou la durée de fin au
plus tard de la tache précédente et le début au plus tard
de la tache suivante du même sommet.
La marge libre sur une tache est le retard que
l'on peut prendre dans sa réalisation sans retarder la date de
début au plus tôt de toute autre tâche suivante. Si l'on
dépassait la marge libre, certaines tâches suivantes sont
retardées. Mais cela reste sans incidence sur la durée du projet.
Sa formule de calcul est la suivante :
Si on considère que la tache A est située entre les
sommets a et b T(b) : date au plus tôt du sommet b. ( fin au plus
tôt de la tache A) T(a) : date au plus tôt du sommet a.
(début au plus tôt de la tâche A) D(A) : durée de la
tache A.
Alors marge libre de la tache A=[T(b)-T(a)-d(A) pour toutes les
taches situées entre les deux sommets.
Apres l'application de la formule, nous aurons la marge libre
ci-après :
Debut=0, A=0, B=0, C=0, E=0, E1=0, F=6, G=0, H=0, I=1, J=0, K=0,
L=0, M=0, O=0,
P=0, Q=0, R=0, S=0, Fin=0
La marge totale sur une tâche est le
retard que l'on peut prendre dans sa réalisation sans retarder
l'ensemble du projet et sous réserve que la tâche en question
commence à sa date au plus tôt. Si l'on dépasse la marge
totale d'une tache, le projet prend du retard. Elle se calcule par la formule
suivante :
Marge totale=date au plus tard + date au plus tôt
40
CODE TACHE
|
DUREE en jrs
|
CONTRAINTE
|
Date au plutôt
|
Date au plus tard
|
Marge libre
|
Marge total
|
A
|
10
|
-
|
0
|
0
|
0
|
0
|
B
|
5
|
A
|
10
|
10
|
0
|
0
|
C
|
3
|
B
|
15
|
15
|
0
|
0
|
D
|
4
|
C
|
18
|
18
|
0
|
0
|
E
|
4
|
D
|
22
|
22
|
0
|
0
|
E1
|
2
|
D
|
22
|
24
|
2
|
-2
|
F
|
4
|
E, E1
|
26
|
26
|
0
|
0
|
G
|
3
|
F
|
30
|
30
|
0
|
0
|
H
|
6
|
G
|
33
|
33
|
0
|
0
|
I
|
4
|
G
|
33
|
35
|
2
|
-2
|
J
|
3
|
H,I
|
39
|
39
|
0
|
0
|
K
|
6
|
J
|
42
|
42
|
0
|
0
|
L
|
4
|
K
|
48
|
48
|
0
|
0
|
M
|
3
|
K
|
48
|
49
|
1
|
-1
|
N
|
4
|
L, M
|
52
|
52
|
0
|
0
|
O
|
4
|
N
|
56
|
56
|
0
|
0
|
P
|
2
|
O
|
60
|
60
|
0
|
0
|
Q
|
5
|
P
|
62
|
62
|
0
|
0
|
R
|
1
|
Q
|
67
|
67
|
0
|
0
|
S
|
6
|
R
|
68
|
68
|
0
|
0
|
II.6. LA GRAPHE MPM
48 48
48
49
52
52
L
M
60
60
62
62
67
67
68
68
74
74
56
O
P
Q
R
S
Fin
4
6
5
56
22
22
0
0
début
18
18
0
A
0
10
15
24
22
E
10
B
15
C
E1
D
41
30
30
26
26
33
33
33
35
F
G
I
4
H
39
39
42
42
J
K
N
42
Après élaboration de la graphe MPM, nous pouvons
donner le chemin critique à suivre pour la réalisation de ce
projet : Début de
tâches-A-B-C-D-E-E1-F-G-H-I-J-K-L-M-N-O-P-Q-R-S-Fin tâches.
II.7. LE CALENDRIER DE REALISATION
CODE TACHE
|
DESIGNATION
|
Durée (jrs)
|
Date : du....au ...2016
|
A
|
Descente sur terrain et recueil de l'existant
|
10
|
Du 02/03 au 15/03
|
B
|
Analyse de l'existant
|
5
|
Du 16/03 au 22/03
|
C
|
Bilan ou critique de l'existant
|
3
|
Du 23/03 au 25/03
|
D
|
Diagramme de cas d'utilisation
|
4
|
Du 28/03 au 31/03
|
E
|
Diagramme de classes
|
4
|
Du 01/04 au 06/04
|
F
|
Diagrammeme de communication
|
4
|
Du 07/04 au 12/04
|
G
|
Diagramme d'état transition
|
3
|
Du 13/04 au 18/04
|
H
|
Diagramme d'activité
|
6
|
Du 18/04 au 20/04
|
J
|
Diagramme de séquence
|
3
|
Du 27/04 au 02/05
|
K
|
Diagramme de composant
|
6
|
Du 04/05 au 06/05
|
L
|
Diagramme de déploiement
|
4
|
Du 09/05 au 12/05
|
N
|
Réalisation de la Base des Données
|
4
|
Du 19/05 au 24 /05
|
O
|
Administration SQL et C#
|
4
|
Du 19/05 au 24/05
|
P
|
Achat matériel
|
2
|
Du 25/05 au 26/05
|
Q
|
Implantation des matériels et logiciel
|
5
|
Du 27/05 au 02/06
|
R
|
Essai
|
1
|
Du 06/06 au 06/06
|
S
|
Formations des utilisateurs
|
6
|
Du 07/06 au 14/06
|
II.8. TABLEAU D'ESTIMATION DE COUTS DE REALISATION
CODE TACHE
|
DESIGNATION
|
DUREE en jrs
|
Nombre de personne
|
Cout unitaire par personne
|
Cout total
|
A
|
Descente sur terrain et recueil de l'existant
|
10
|
2
|
10
|
200
|
B
|
Analyse de l'existant
|
5
|
2
|
20
|
200
|
C
|
Bilan ou critique de l'existant
|
3
|
3
|
20
|
120
|
D
|
Diagramme de cas d'utilisation
|
4
|
2
|
40
|
320
|
E
|
Diagramme de classes
|
4
|
1
|
40
|
160
|
F
|
Diagrammeme de communication
|
4
|
1
|
40
|
160
|
H
|
Diagramme d'activité
|
6
|
2
|
20
|
240
|
J
|
Diagramme de séquence
|
3
|
2
|
20
|
120
|
K
|
Diagramme de composant
|
6
|
2
|
20
|
240
|
L
|
Diagramme de déploiement
|
4
|
2
|
20
|
160
|
N
|
Réalisation de la Base des Données
|
4
|
3
|
20
|
240
|
O
|
Administration SQL et C#
|
4
|
3
|
30
|
360
|
P
|
Achat matériel
|
2
|
1
|
20
|
40
|
Q
|
Implantation des matériels et logiciel
|
5
|
3
|
50
|
750
|
R
|
Essai
|
1
|
2
|
50
|
100
|
S
|
Formations des utilisateurs
|
6
|
2
|
50
|
600
|
TOTAL
|
|
33
|
470
|
4010
|
43
II.9. DIAGRAMME DE GANTT
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
mars 2016
|
|
mai 2016
juin 2016
|
avr. 2016
|
ID Nom de tâche
|
Début
|
Terminer
|
Durée
|
|
|
|
|
1 A
|
02/03/2016
|
15/03/2016
|
|
|
|
|
|
2 B
|
16/03/2016
|
22/03/2016
|
|
|
|
|
|
3 C
|
23/03/2016
|
25/03/2016
|
|
|
|
|
|
4 D
|
28/03/2016
|
31/03/2016
|
|
|
|
|
|
5 E
|
01/04/2016
|
06/04/2016
|
|
|
|
|
|
6 F
|
07/04/2016
|
12/04/2016
|
|
|
|
|
|
7 G
|
13/04/2016
|
18/04/2016
|
|
|
8 H
|
18/04/2016
|
20/04/2016
|
|
|
9 I
|
21/04/2016
|
26/04/2016
|
|
|
CHAPIII. CRITIQUE DU SYSTEME D'INFORMATION
La critique du SI existant, aussi appelée diagnostic ou
analyse de l'existant, nous permet avant de concevoir un nouveau SI de bien
connaître l'entreprise qui l'utilisera. Elle est la phase très
essentielle dans tout travail scientifique car elle cherche d'une
manière objective à exhiber les performances et les failles qui
handicapent le bon déroulement des opérations dans
l'entreprise.
Le but de la critique de l'existant est d'établir un
diagnostic précis sur les procédures utilisées ; relever
les anomalies ; les qualités et les défauts du système
existant.
L'Office Congolais de Contrôle dispose d'un
équipement LAN qui lui permet l'interconnexion de ses ordinateurs
situés dans différents services. A part ce réseau LAN,
l'OCC dispose des dispositifs informatiques entre autre les ordinateurs, les
imprimantes, les scanneurs et les photocopieuses.
Malgré la présence de ces outils, L'OCC ne
bénéficie pas d'un service automatisé.
III.1. MODELISATION DU SYSTEME D'INFORMATION EN
UML
Dans la conception d'un système en UML, les
données sont subdivisées en deux modélisations :
· Modélisation structurelle ou statique : il s'agit
ici des données informatiques
regroupant les principales caractéristiques des
éléments du monde réel du
projet. A ce niveau les diagrammes ci-après sont
nécessaires :
- Diagramme de classes ;
- Diagramme d'objet ;
- Diagramme de composants,
- Diagramme de déploiement,
- Diagramme de paquetage,
- Diagramme de structure composite.
· Modélisation comportementale ou dynamique : ici il
s'agit de l'analyse des
données avec les diagrammes suivants :
- Diagramme de cas d'utilisation ;
- Diagrammes d'activité ;
- Diagramme de séquence ;
- Diagrammes de communication ou collaboration,
? Diagramme d'Etat transition.7
Pour ce qui est de notre travail, nous avons choisi quelques
diagrammes que nous avons jugés utiles pour notre sujet
d'étude.
> Le diagramme de classe représente les classes et
les relations statiques entre ces classes. Les concepts principaux à ce
niveau sont : classe, attribut, opération, visibilité,
association, héritage et dépendance.
> Le diagramme de séquence donne une vision
temporelle des interactions en objets en mettant l'accent sur l'ordonnancement
des échanges entre objets.
> Le diagramme de collaboration ou de communication donne
une vision spéciale des interactions en mettant l'accent sur les
liaisons entre les objets du système.
> Le diagramme d'activité décrive le flot de
contrôle interne aux opérations. A grande échelle, il
représente aussi les échanges entre objets.
> Le diagramme de composants met en évidence les
composants d'implémentation et leurs relations.
> Le diagramme de déploiement définit la
structure matérielle et la distribution des objets et des
composants.8
III.1.1. DIAGRAMME DE CAS D'UTILISATION
7 Emmanuel KALUME, Cours d'UML2, ISC/Goma,
L2Informatique et Gestion 2016
8 Laurent AUDIBERT, UML 2.0 (Département
Informatique, 1ere année), Institut Universitaire de Technologie de
Villetaneuse-Département Informatique, 2006, p22
Importateur
Accepter licence
Descendre sur le
terrain
Donner ordre aux
inspecteurs
Chef Serv Import
Controler l'engin
« Inclu »
Lire la date
Condition: {Si les produits sont déjà
expirés}
Point d'extension: Saisir les produits
« Etend »
d'expiration
* *
Saisir les produits
Dénombrer les colis
Inspecteur
Etablir un rapport
de pointage
« Etend »
Procédure
judiciaire
Analyser
l'échantillon
Prelever
l'échantillon
Condition:{Si produits non conforme}
Point d'extension: Procédure judiciaire
Etablir le rapport
d'échantillonnage
Etablir le rapport
d'analyse
Transmettre
l'échantillon au laboratoire
Laboratin
Transmettre le
rapport d'analyse
Ouvrir l'engin
Presenter licence
Mouvement des entrées des produits
pharmaceutiques
III.1.2. LE DIAGRAMME DE CLASSE
Produit
-Codeprod : string -Design :
string -Qte : float -DateExp :
Date +Get() : void +Set() :
void
1..*
Importer
-Code : String -Qte :
float
+Get() : void +Set() :
void
1
Echantillon
-CodeEch : string -Date :
Date +Get() : void +Set() :
void
1..*
Analyser
1
Inspecteur
1..1
Laboratin
-CodeLabo : string -NomLabo :
string -PostnomLabo : string
-ServiceLabo : string
+Get() : void +Set() : void
1..* 1..*
-CodeInsp : string -NomInsp :
string -PostnomInsp : string
-ServiceInsp : string
+Get() : void +Set() :
void
1..*
Prelever
III.1.3. DIAGRAMME DE COMPOSANTS
Bibliotheque de connection
Interfqce utilisateur
Fichier d'aide
Crystal rqpport, Repport wizard
Base de donnees
III.1.4. DIAGRAMME D'ACTIVITES
Inspecteur
Importateur
Laboratin
ChefServ.ImportPartition
1
Presentation licence
Licence acceptée
Donner ordre
[Produit
expiré]
Transmettre rapport analyse
Procedure judiciaire
[produit non
conforme]
Etablir un rapport d'analyse
copie pour l'importateur Copie pour le parquet
Trans,ettre échantillon au labo Analyser
échantillon
Dénombrer les colis
Etablir le rapport de pointage
Descente sur terrain
Controler le vehicule
verifier la date d'expiration
Tirer echantillon
Etablir rapport d'échant
[Produit
non expiré]
1
3
Chef ServImport
Chef DivExpl
2
4
8
7
6
5
Importateur
9
10
Directeur Provincial
Inspecteur
III.1.5. DIAGRAMME DE COMMUNICATION
Légende du diagramme de
communication
1. Présenter licence
2. Apposition signature et remise licence
3. Présenter licence signée
4. Enregistrement et classification licence
5. Présenter rapport global des entrées des
produits pharmaceutiques
6. Apposition signature
7. Présenter l'attestation de vérification
8. Remise photocopie AV signée
9. Ordonne la descente sur terrain
10. Tirage échantillon
III.1.6. DIAGRAMME DE DEPLOYEMENT
Inspecteur
191.192.140.0
191.192.140.2
255.255.255.240
Switch
Laboratin
191.192.140.3
255.255.255.240
191.192.140.4
255.255.255.240
Serveur Metier
Bibliotheque de connection
Fichier d'aide
Interface utilisateur
Crystal rqpport, Repport wizard
Base de donnees
Importateur
|
Chef Serv Import
|
Inspecteur
|
Laboratin
|
Presentation licence
Licence controlée et acceptée
Analyse de l'echan
Donner ordre
Dscente sur terrain et tirage echantillon
Transmettre
echant. au labo
III.1.7. DIAGRAMME DE SEQUENCE
III.2. PRESENTATION DE L'ARCHITECTURE
CLIENT/SERVEUR
Par définition, un client dans un
réseau informatique est un ordinateur qui envoie des demandes à
un serveur. Et un serveur est un ordinateur qui répond
de la manière automatique aux demandes envoyées par le client.
De nombreuses applications fonctionnent selon un environnement
client/serveur, cela signifie que les machines clientes contactent un serveur
qui leur fournit des services.
L'architecture client/serveur fonctionne selon le schéma
suivant :
CLIENT
CLIENT
Réponse Requête
Réponse
Requête
SERVEUR
Sur le schéma ci-haut, le client émet une
requête vers le serveur grâce à son adresse et le serveur
répond a l'aide de l'adresse machine et son port.
CHAP IV. PRESENTATION DU SYSTEME INFORMATISE
IV.1. PRESENTATION DE L'APPLICATION
? MENU PRINCIPAL
Le menu fichier nous permet de demander une aide
et peut aussi nous permettre de quitter l'application et le menu
rapport nous permet d'accéder aux états de sortie.
Interface Laborantin :
Ce formulaire apparait avec les différents boutons nous
permettant d'ouvrir nos interfaces utilisateurs.
Interface Importateur
Interface Echantillon du produit
Interface Echantillon du produit
Interface Inspecteur
Explication des objets
Dans chaque Interface nous avons différents boutons qui
sont :
? Le Bouton Enregistrer : permettant
d'enregistrer une nouvelle information dans la base des données.
? Le Bouton Modifier : permettant de modifier
une information déjà enregistrée dans la base des
données.
? Le Bouton Supprimer : permettant de supprimer
les données dans la base des données.
? Le Bouton Quitter : permettant de fermer le
formulaire concerné.
IV.2. PRESENTATION DES ETATS DE SORTIE
Notre objectif était de produire automatiquement :
- Liste des produits importés par importateur ;
- Liste des produits vérifiés par
échantillonnage ; - Liste des tous les importateurs
LISTE DES Pnoo0Is RA PARIMPenrATEuR
Nom etPosLvom Importme
ymos NDABANA SHUKURU MUTABAZI RICHARD SE MBA d;edo mtmdad;
Madelem Roberti..
yrs n 1 t n® p ~Q-
Total Page No:.
Current Page No.,
Zoom Factor 100%
° ul · I A · . H 4 w
· · a IY .n 41 nmsrmSL
OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE
u-sE OCC -
LISTE DES PRODUITS IMPORTES PAR LMPORTATEUR
Nom Importateur
Code produit
Designation
Dawa
Qu antite
1 120
MODE KAGAME
3
OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE
s-.f ·
it ccc st
LISTE DES PRODUITS IMPORTES PAR LMPORTATEUR
Code produit
|
Designation
|
Quantité
|
Nom Importateur
|
1
|
ASPIRINE
|
100
|
Junior NDABANA
|
2
|
Quinine
|
240
|
Junior ND.ABAN...
|
|
OFFICE CONGOLAIS DE CONTROLE
ccc
|
|
|
|
|
|
|
|
|
F((yFy uÿE
~i~C ~ii~R~LIG
|
|
iQFFuCE
v C'4M ·
m<. ·-- ·
|
LISTE DES PRODUITS IMPORTES PAR IMPORTATEUR
Code produit
|
Désignation
|
Quantité
|
Nom Importateur
|
2
|
Quinine
|
450
|
SHUKURU MUTABAZI
|
1
|
ASPIRINE
|
100
|
SHUKURU MUTABAZI
|
Voici en exemple quelques codes utilisés dans notre
application :
using System;
using System.Collections.Generic; using System.Linq; using
System.Text;
using System.Windows.Forms;
namespace TASIMWA_KIVIKWAMO_IMPORT_EXPORT
{
class Inspecteur
{
private string codeInspecteur; public string CodeInspecteur
{
get { return codeInspecteur; } set { codeInspecteur = value; }
}
private string nomInspecteur; public string NomInspecteur
{
get { return nomInspecteur; } set { nomInspecteur = value; }
}
private string postnomInspecteur; public string
PostnomInspecteur
{
get { return postnomInspecteur; } set { postnomInspecteur =
value; }
}
private string serviceinspecteur; public string
Serviceinspecteur
{
get { return serviceinspecteur; } set { serviceinspecteur =
value; }
}
private string codeEchantillon; public string CodeEchantillon
{
get { return codeEchantillon; } set { codeEchantillon = value;
}
}
//CONSTRUCTEUR DE SUPPRESSION
public Inspecteur(string codeInspecteur)
{
this.CodeInspecteur = codeInspecteur;
}
//CONSTRUCTEUR D'INSERTION
public Inspecteur(string codeInspecteur, string nomInspecteur,
string postnomInspecteur, string serviceinspecteur, string codeEchantillon)
{
this.CodeInspecteur = codeInspecteur; this.NomInspecteur =
nomInspecteur;
this.PostnomInspecteur = postnomInspecteur;
this.Serviceinspecteur = serviceinspecteur; this.CodeEchantillon =
codeEchantillon;
}
//METHODE D'INSERTION
public void insert_Inspecteur(Inspecteur inspe)
{
try
{
Connexion con = new Connexion();
con.connecter();
con.cmd =
con.co.CreateCommand();
con.cmd.CommandText = string.Format(@"insert into
tInspecteur select '" + inspe.codeInspecteur + "','" +
inspe.nomInspecteur
{
+ "','"+ inspe.postnomInspecteur +"','"+ inspe.serviceinspecteur
+"',(select codeEchantillon from tEchantillon where DesignationEchant='" +
inspe.codeEchantillon + "')");
con.cmd.ExecuteNonQuery();
con.deconnecter();
MessageBox.Show("Enregistrement avec succès");
}
catch( Exception ex){
MessageBox.Show(ex.Message);
}
}
//METHODE DE MODIFCATION
public void modifier_Inspecteur(Inspecteur inspe)
{
Connexion con = new Connexion();
con.connecter();
con.cmd =
con.co.CreateCommand();
con.cmd.CommandText = string.Format(@"Update tInspecteur set
nomInspecteur='" + inspe.nomInspecteur + "',postnomInspecteur='"
+ inspe.postnomInspecteur + "',serviceinspecteur='" + inspe.serviceinspecteur +
"',codeEchantillon=(select codeEchantillon from tEchantillon where
DesignationEchant='" + inspe.codeEchantillon + "') Where CodeInspecteur='" +
inspe.codeInspecteur + "'");
con.cmd.ExecuteNonQuery();
con.deconnecter();
MessageBox.Show("Modification effectuée!");
}
//METHODE DE SUPPRESSION
public void supprimer_Inspecteur(Inspecteur inspe)
{
Connexion con = new Connexion();
con.connecter();
con.cmd =
con.co.CreateCommand();
con.cmd.CommandText = string.Format(@"Delete from tInspecteur
Where CodeInspecteur='" + inspe.codeInspecteur + "'");
con.cmd.ExecuteNonQuery();
con.deconnecter();
MessageBox.Show("Suppression reussie!");
}
}
}
using System;
using System.Collections.Generic;
using System.ComponentModel;
using System.Drawing;
using System.Data;
using System.Linq;
using System.Text;
using System.Windows.Forms;
namespace TASIMWA_KIVIKWAMO_IMPORT_EXPORT
{
public partial class FrmInspecteur : UserControl
{
public FrmInspecteur()
{
InitializeComponent();
}
private void Enregistrer_Click(object sender, EventArgs e)
}
Inspecteur inspe = new
Inspecteur(codin.Text,no.Text,pono.Text,serv.Text,codec.Text);
inspe.insert_Inspecteur(inspe); Connexion cnx = new Connexion();
cnx.remplirDGV("select *from Inspection",dgvInspecteur); initialiser();
}
private void FrmInspecteur_Load(object sender, EventArgs e)
{
Connexion cnx = new Connexion();
cnx.remplirDGV("select *from Inspection", dgvInspecteur);
cnx.remplirCBO("select *from tEchantillon", codec, "DesignationEchant",
"DesignationEchant"); initialiser();
}
private void initialiser()
{
codec.Text = "";
codin.Clear(); no.Clear(); pono.Clear(); serv.Clear();
codin.Focus();
}
private void Modifier_Click(object sender, EventArgs e)
{
Inspecteur inspe = new
Inspecteur(codin.Text,no.Text,pono.Text,serv.Text,codec.Text);
inspe.modifier_Inspecteur(inspe); Connexion cnx = new Connexion();
cnx.remplirDGV("select *from Inspection",dgvInspecteur); initialiser();
}
private void dgvInspecteur_CellClick(object sender,
DataGridViewCellEventArgs e)
{
this.codin.Text=dgvInspecteur.CurrentRow.Cells[0].Value.ToString();
this.no.Text=dgvInspecteur.CurrentRow.Cells[1].Value.ToString();
this.pono.Text=dgvInspecteur.CurrentRow.Cells[2].Value.ToString();
this.serv.Text=dgvInspecteur.CurrentRow.Cells[3].Value.ToString();
this.codec.Text=dgvInspecteur.CurrentRow.Cells[4].Value.ToString();
}
private void Supprimer_Click(object sender, EventArgs e)
{
Inspecteur inspe = new Inspecteur(codin.Text);
inspe.supprimer_Inspecteur(inspe);
Connexion cnx = new Connexion();
cnx.remplirDGV("select *from Inspection", dgvInspecteur);
initialiser();
}
private void Quitter_Click(object sender, EventArgs e)
{
Dispose();
}
CONCLUSION
En grosso modo, notre travail intitulé «Mise en
place par l'OCC d'un système d'information partagé sous
l'architecture client-serveur pour l'enregistrement des importations des
produits pharmaceutiques dans la ville de Goma» a été
constitué de quatre chapitres
Pour y parvenir, nous nous sommes ainsi posé les
questions suivantes :
1. Comment aider l'OCC à moderniser son système
d'enregistrement des importations des produits pharmaceutiques dans la ville de
Goma?
2. La mise en place d'un SI informatisé peut-elle
optimiser le système d'enregistrement des importations au sein de
l'OCC/Goma ?
Les réponses à ces deux questions nous ont
servi de fil conducteur dans le cheminement de notre travail. Il s'agit des
hypothèses suivantes :
3. Nous estimons que coupler à la procédure
classique l'utilisation de la procédure UP et le langage UML pourrait
aider l'OCC/Goma à construire une base des données qui
faciliterait les enregistrements des importations des produits pharmaceutiques
en vue de les gérer efficacement.
4. Mettre en place une application pouvant palier aux
difficultés que connaît le service importation de l'OCC/Goma lors
de l'enregistrement des entrées des produits pharmaceutiques.
Ainsi, après analyse et étude tout en ayant
utilisé les méthodes MPM et UP plus différents diagrammes
de UML, nous avons trouvé que nos hypothèses ont
été confirmées et que notre application conçu en C#
a été capable de nous fournir les états de sortie suivants
:
- Liste des produits importés par importateur ;
- Liste des produits vérifiés par
échantillonnage ; - Liste des tous les importateurs
N'ayant pas la prétention d'avoir
décortiqué tous les problèmes concernant l'importation des
produits pharmaceutiques dans la ville de Goma, nous pensons avoir fait une
ouverture à la recherche pour d'autres chercheurs. Ainsi donc, nous leur
ouvrons la porte pour pouvoir nous compléter ou poursuivre cette
étude.
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
1. Dictionnaire, Larousse de poche, Paris 2010
2. Hugues BERSINI, La programmation orientée
objet, Paris 2013.
3. R. REIX, Exporter, Informatique appliquée
à la comptabilité et à la gestion, France 1980 ;
4. Laurent Audibert, Cours d'UML2.0 1ere
année, Paris 2006 ;
5. Stéphane BOURLIATAUX, Système
d'information de gestion, Paris 2008
6. Pascal ROQUES, UML2, Paris 2011
B. TRAVAIL DE FIN DE CYCLE
1. BARHOLERE RUSINGA Steven, De la protection des
consommateurs des produits pharmaceutiques vendus en vrac, Droit
économique et social, ULPGL/Goma 2008.
2. HAMEL Vincent, La vente illicite des
médicaments dans les pays en développement, analyse de
l'émergence d'itinéraire thérapeutique en part
entière situé en parallèle du recours classique aux
structures officielles de santé, Thèse de doctorat,
Faculté de Pharmacie, Université Claude Bernard, LYON 2006
C. COURS
1. SALUMU MULENDA, syllabus Méthode de conduite de
projets informatiques, cours inédit, ISC/Goma, L2Informatique et Gestion
2015 ;
2. Emmanuel KALUME, syllabus Conception des systèmes
d'information, cours inédit, ISC/Goma, L2Informatique et Gestion 2016
;
3. Cadet BUCE, syllabus SQL, cours inédit,
ISC/Goma, L1Informatique et Gestion 2014 ;
4. KYAMUVA Jérôme, syllabus laboratoire II,
cours inédit, L2Info et Gestion 2016.
5. MUDEKEREZA Emmanuel, Initiation à la recherche
scientifique, Cours inédit, ISC/Goma, G2Informatique et Gestion 2013
;
D. SITES WEB
1. www.google/importation des produits
pharmaceutiques.com
2.
www.memoireonline.com
3.
www.leem.org/sites/default/files/leem
4. www.who.int/../fr/
TABLE DE MATIERE
INTRODUCTION - 7 -
0.1. ETAT DE LA QUESTION - 7 -
0.2. PROBLEMATIQUE - 10 -
0.3. HYPOTHESES - 13 -
0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET - 13 -
0.6. DELIMITATION DU SUJET - 14 -
0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL - 14 -
CHAPI. ANALYSE PREALABLE - 15 -
I.1. DEFINITION DES QUELQUES CONCEPTS - 15 -
I.2. PRESENTATION DE L'OCC/GOMA - 16 -
I.2.1. HISTORIQUE DE L'OFFICE CONGOLAIS DE CONTRÔLE - 16
-
I.2.2. MISSION DE L'OCC - 17 -
I.2.3. ORGANES DE GESTION DE L'OCC - 18 -
I.2.4. ACTIVITES DE L'OCC - 19 -
I.2.5. OBJECTIFS PRINCIPAUX DE L'OCC - 21 -
I.2.6. BREF APERCU SUR LA DIRECTION DU NORD-KIVU ET SA
STRUCTURE
ORGANIQUE - 22 -
I.3. ANALYSE DU METIER 29
I.3.1. PRESENTATION DU SERVICE IMPORTATION 29
a) BUREAU CONTROLE AVANT EMBARQUEMENT 31
b) BUREAU OCC BIVAC (Cellule BIVAC) 31
c) BUREAU CONTROLE A L'ARRIVEE (CA) 32
d) BUREAU GESTION DES DOSSIERS 32
e) BUREAU ECHANTILLONAGE 33
f) BUREAU APUREMENT 33
CHAPII. PLANNING PREVISIONNEL DU PROJET 36
II.1. INTRODUCTION 36
II.2. DEFINITION DE QUELQUES CONCEPTS 37
II.3.TABLEAU D'IDENTIFICATION ET DENOMBREMENT DES TACHES 38
II.4. DETERMINATION DES NIVEAUX 38
II.5. CALCUL DE MARGE 39
II.6. LA GRAPHE MPM 40
II.7. LE CALENDRIER DE REALISATION 42
II.8. TABLEAU D'ESTIMATION DE COUTS DE REALISATION 42
II.9. DIAGRAMME DE GANTT 43
CHAPIII. CRITIQUE DU SYSTEME D'INFORMATION ii
III.1. MODELISATION DU SYSTEME D'INFORMATION EN UML ii
III.1.3. DIAGRAMME DE COMPOSANTS vi
III.1.4. DIAGRAMME D'ACTIVITES vii
III.1.5. DIAGRAMME DE COMMUNICATION viii
III.1.6. DIAGRAMME DE DEPLOYEMENT x
III.1.7. DIAGRAMME DE SEQUENCE xi
III.2. PRESENTATION DE L'ARCHITECTURE CLIENT/SERVEUR xii
CHAP IV. PRESENTATION DU SYSTEME INFORMATISE xiii
IV.1. PRESENTATION DE L'APPLICATION xiii
IV.2. PRESENTATION DES ETATS DE SORTIE xvi
CONCLUSION xxii
BIBLIOGRAPHIE xxiii
TABLE DE MATIERE xxiv
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