Université de
Lubumbashi
Faculté des sciences Agronomiques
Département de Phytotechnie
Mwamba Ilunga
Deuxième Grade
g
Année académique 2012-2013
Remerciements
Le bon déroulement de ce stage n'a été
possible que grâce au soutien de plusieurs personnes.
De manière sincère nous remercions au doyen de
la faculté des sciences agronomiques le Pr Dr Ir NGONGO LUHEMBWE Michel,
vice doyen charger de la recherche le Pr Dr Ir Mylor NGOY SHUCHA et le chef du
département de phytotechniele Pr Dr Ir NYEMBO KIMUNI Luciens, pour avoir
organisé les activités qui est le stage.
Nous adressons également nos remerciements à
toutes ces personnes. Dans l'impossibilité de les citer
nommément, notre profonde gratitude et notre reconnaissance vont
particulièrement à :
- L'Ingénieur Nicolas Tshunde, L'Ingénieur
Francis Kabwe et Monsieur Charl pour leur encadrement et leurs conseils pendant
le stage ;
- Mes Co-stagiaires Marlene Kisimba, Matthieu Mbuyi,
Trésor Mbaya, Célé Mwamza et Freddy Mutamana pour toutes
leurs suggestions ;
- Nous temoignons également notre profonde gratitude
à me parents : Ilunga Daniel et MusambeChristine pour le soutien
financier et le reconfort dans les moments difficiles ;
- Enfin, nous remercions la famille GéromeKaseba pour
avoir accepté de nous loger pendant notre stage.
Introduction
Pour clore le premier cycle des enseignements
supérieurs et universitaires, il est recommandé d'effectuer un
stage d'une durée d'un mois pour assurer une formation complète
aux étudiants. Raison pour laquelle, l'université de Lubumbashi
(UNILU), plus particulièrement la faculté des sciences
agronomiques a toujours eu le souci majeur d'accomplir sa mission de formateur
en envoyant les futurs ingénieurs concilié les notions
conceptuelles acquises à leurs pratiques trouvées sur terrains
C'est dans ce cadre que nous avons été soumis
à un stage de professionnalisation du 02octobre au 06 novembre 2012
à la ferme Bazano, lieu trouvé idéal pour parfaire notre
formation, au sein duquel les activités professionnelles
réalisées se rapportent aux théories apprises à
l'auditoire.
Ce présent rapport expose les différentes
activités que nous avons réalisées dans la ferme Bazano
dans les objectifs de mixer les théories à la pratique, d'initier
les futurs ingénieurs phytotechniciens aux différents travaux sur
terrain
Outre son introduction, sa conclusion et quelques suggestions,
le présent rapport est structuré en deux chapitres. Le premier
chapitre porte sur la présentation de la ferme Bazano et le
deuxième chapitre présente les activités
réalisées lors de notre stage
Chapitre 1 :
identification de le ferme Bazano
1.1. Historique
Vu la loi N°007/2002 du 11/07/2002, portant le code
minier et le décret N°035/2003 du 26/03/2003, portant le
règlement minier.
Le gouvernement provincial du Katanga par son
arrêté ministériel N°008/2008, du 22 mars 2008 portant
mesure d'encadrement de la production agricole dans la province exige à
toutes les entreprises minières d'exploiter au moins cinq cents
hectares afin de combler le déficit en denrée alimentaire
actuellement couvert par des importations.
C'est ainsi, en septembre 2007, le Groupe Bazano paya la ferme
de monsieur Maki, un exploitant agricole de Likasi qui exploité une
superficie de 500 ha. Lors de cette première campagne, les 500 ha furent
exploités et le rendement moyen était de 4,5 tonnes par hectare,
donc une production de 2250 tonnes pour l'année d'ouverture.
L'année suivante fut marquée par l'extension de
la ferme, cela par l'achat des fermes qui entourées celle de Monsieur
Maki, c'est ainsi la superficie de la ferme fut augmenté de 260% ;
c'est-à-dire de 500 hectare à 1800 hectares, mais seuls
24% (475hectares) de cette étendue furent exploités lors de
cette campagne agricole 2008-2009 et le rendement était de 5 tonnes par
hectare
Pendant la campagne agricole 2009-2010, la ferme poursuivi sa
politique d'extension de la ferme, c'est ainsi on augmenta 94% de superficie
comparativement à celle de l'année
précédente ; c'est ainsi on passa de 1800 hectares à
3500 hectares. Cette superficie était repartie comme suit : 1500
hectares destinés à l'élevage et 2500 hectares à la
production végétale. 660 hectares étaient exploités
cette année dont 60 hectares pour le maïs fourrager et 600 hectares
restants aux maïs destinés à la consommation humaine.
La campagne 2010-2011est caractérisé par
l'exploitation d'une très grande superficie, mais paradoxalement aussi
par une perte. Ceci s'explique par le fait que le coût de production
était supérieur au bénéfice. Cette campagne la
ferme avait exploitée 800 hectares dont 750 hectares pour la
consommation humaine et le reste au maïs fourrager. Cette situation a fait
que la ferme réduise la superficie exploité pour la campagne qui
prochaine à 500 hectares.
A part le maïs qui est la culture principale de la ferme
Bazano, cette ferme exploite aussi un verger d'agrume, une bananière et
un potager contenant le choux pommé, le piment, le céleri,
l'aubergine, le concombre, etc.
1.2. Localisation de la ferme Bazano
Les activités de la ferme Bazano sont
localisées dans la ceinture nord-est de la ville de Likasi, Bazano est
composé essentiellement de deux fermes à savoir ; la ferme
EX-WAKA, située sur la route Kolwezi, près du village Lwambo
à peu-près 22 km au nord-ouest de Likasi. Elle s'étend
sur presque 1000 ha et elle est toujours en jachère.et la ferme
EX-EVANGELATAS, située au nord-est de la ville de Likasi, sur la route
Mwandingusha à peu-près 10 km de Likasi. Elle est bordée
par la rivière Buluo du côté sud.
La ferme est située dans l'inter land minier de Likasi
compris dans le Katanga méridien délimité d'une part par
le parallèle 900°et 13° de la latitude sud et d'autre part par
le parallèle 25 et 26° de longitude Est.
Fig 1 : ferme bazano
Organisation de la ferme
Bazano
DIRECTEUR GENERALE DU GROUPE BAZANO (DIRECTEUR GENERAL)
DIRECTEUR DE BAZANO FARMING
(DIRECTEUR A LA FERME)
SERVICE ADMINNISTRTIF ET PERSONNEL
(IR AGRONOME)
DEPARTEMENT ELEVAGE
DISPENSAIRE VETERINAIRE
PHARMACIE ET SECRETARIAT
DEPARTEMENT AGRICOLE ET SECRETARIAT TECHNIQUE
GARAGE FERME
MAGASIN FERME
CONSTRUCTION METALLIQUE
CHEFS DES TROUPEAU
MANOEUVRES AGRICOLES
OPERATEURS ENGINS AGRICOLS
Chapitre 2 :
Activité menées en stage
Notre séjour n'a pas perturbé les
activités de la ferme, c'est ainsi nous avons effectué les
opérations qui étaient prévues pour la période
à laquelle nous étions en stage ; c'est ainsi lors de notre
stage nous avons effectué les opérations suivantes :
2.1. Repiquage
Le repiquage des plantes consiste à replacer en terre
des jeunes pieds semés en pépinière. Nos jeunes plantes
à repiquer étaient installé dans le serre bien avant notre
arrivé. Pendant notre stage, nous avons repiqué les plantules de
trois cultures dont ; le céleri, le piment et le concombre.
Avant de repiquer, quelques attentions particulières
méritent d'être observées pour que les racines ne
souffrent pas après transplantation. En premier lieu, disons que quand
on repique un plant, ses racines doivent être bien dirigées vers
le bas. Les racines repliées vers le haut vont mourir.
Pour éviter que les racines ne soient mal
orientées, on procède de la manière suivante :
- On a approfondi le trou de plantation, selon l'enracinement
de chaque culture ;
- On a raccourci le chevelu racinaire ;
- On a placé le plant profondément dans le
trou ;
- On a un peu remonté le plant pour placer le collet
exactement au niveau de la surface du sol et enfin on a tassé
complètement le sol.
Le piment a été repiqué à
l'écartement de 60 cm x 60 cm, le concombre aux écartements de
...... et le céleri a.......
Pour le céleri, nous avons précédé
le repiquage par l'habillage des jeunes plantes ceci pour réduire
l'évapotranspiration de ces jeunes plantes.
2.2. Lutte
phytosanitaire
En agriculture, la santé de la plante est une
préoccupation majeure. Lorsqu'une attaque d'insectes et/ou des maladies
apparaissent, c'est toute une partie de la production qui pourra être
perdu si l'on n'intervient pas le plus tôt possible.
Lors de notre stage, une attaque était
observée sur la culture de choux pommé et nous avons intervenu
avec deux produits ; dont le boxer qui est un insecticide et le Sionex
qui est un fongicide. Ces deux produits ont été associés
avant la pulvérisation selon les proportions suivantes :
En faisant le mélange, il faut toujours mettre le
produit dans l'eau, mais pas le contraire.
Le port d'une tenue de sécurité est de rigueur
avant de procéder par la pulvérisation, ceci pour éviter
toute l'intoxication de l'opérateur.
Après la pulvérisation, il est conseillé
de toujours laver le pulvérisateur avant de le déposer au
dépôt.
2.3. Hersage
Du fait que le terrain à herser était
très humide, parce que l'operateur qui était chargé
d'arrosage avait ouvert le système d'arrosage sans tenir compte de la
superficie qui devrait être hersé, nous avons arrêté
momentanément l'opération pour la reprendre deux heures
après que le sol se ressuie.
Pour herser nous avons utilisé une herse
présentant les caractéristiques suivantes :
- Chassie rectangulaire,
- Quatre rampes fixées en V concavité des
disques portées à l'inverse fasse latérale, l'une de
l'autre rampe,
- Douze disques crantés,
- Vérin hydraulique,
- Deux pneus tubeless
- Décrottoir pour chaque disque.
Nous avons à une profondeur d'environ 30 cm
2.4. Billonnage
Après le hersage, nous sommes passés directement
le billonnage sur le même terrain car c'était dans le potager.
Pour réaliser cette opération, nous avons utilisé le
Ranger.
L'écartement des disques du Ranger utilisé et
celui des roues arrières du tracteur étaient incompatible, car
lorsqu' on installait les billons, les roues arrières compacté
encore une partie des billons installés, c'est ainsi nous avons pris le
vribroculteur pour éliminer ces billons et atteler le Ranger sur un
autre tracteur dont l'écartement des roues arrières était
presque égal à celui du Ranger.
2.5. Nettoyage des
terrains
Etant donné que les sols tropicaux subissent beaucoup
d'altération, ces terrains aussi ne sont pas épargné,
c'est ainsi, après chaque labour, le nettoyage des terrains est
très nécessaire. il consiste à ramasser tous les produits
qui ont atteint leur stade final d'altération ainsi que les racines des
arbres restées dans le sol après abattage.
Ceci a pour but de préserver les semoirs lors du semis
car ces machines sont très sensibles aux chocs.
2.6. Entretien des
engins
Lors de notre stage, nous avons eu l'occasion de passer un
temps au garage. Ici nous avons participé à l'entretien du
semoir « MONOSEM »
Cet entretien consistait à remplacer les roulements des
roues pour éviter des mouvements indésirables lors du semis.
L'entretien du semis s'effectue généralement
quelques jours avant le début du semis pour s'assurer que la machine qui
est sur terrain est en bon état. Si o procède par l'entretien
avant, ....
2.7. Labour
Contrairement à la majorité des fermes locales
où le labour s'effectue par la charrue à disque, la ferme Bazano
effectue cette opération avec le « RIPER » sur
lequel une brise motte est attelée.
Avant de commencé le labour, l'incinération du
terrain est très importante : après la récolte, y a
toujours beaucoup de graines qui restent sur terrain et quand celle-ci restent
sur terrain ; il y aura beaucoup de poussés qui vont
étouffer la culture installée et à art cette raison, la
forme du « Ranger ne permet pas de travailler avec beaucoup de
pailles dans le terrain car celles-ci influencent la qualité du labour.
Le feu a pour but ici d'activer la dormance des graines et de nettoyer le
terrain pour permettre le passage du « Riper »
Lors du labour, la vitesse d'avancement du tracteur variait
entre 3,5 à 4.8 Km par heure, la largeur du travail était de1
mètre 20 centimètre et la profondeur était d'environ 50
centimètre.
L'utilisation du
« Riper » comme instrument du
labour s'explique par la nature du sol ; le sol est dur et avec
l'utilisation de la charrue à disque, les disque ne supporte pas la
force exercée et finissent par céder
2.8. Installation du
réseau pluviométrique et mesure des précipitations
Cette opération avait pour but de recueillir but de
récolter les quantités de précipitation tombée pour
ainsi décider du début de l'opération du semis, car pour
débuter avec le semis du maïs, il faut recueillir au moins 100 mm
de pluies.
Lespluviomètres doivent être installe de
façona pouvoir établir à partir de leurs relevés
des profils pluviométriquesdonnant la variation de la pluviosité
moyenne avec l'altitude. Il faut éviter l'interaction avec les obstacles
et des zones d'ascendance ou de remous susceptible de perturber sensiblement
les mesures. A part ces critères techniques, il faut tenir aussi compte
de la sécurité pour que les personnes mal intentionnées
ne viennent ajouter ou verser de l'eau avant le prélèvement de
la précipitation.
C'est ainsi, après l'étude de tous ces
paramètres, nous avons installé trois pluviomètres de la
manière suivante :
- Le premier dans le bloc 4 prêt du bureau administratif
de la ferme
- Le deuxième sur le point le plus élevé
de la ferme
- Le troisième dans le bloc 7 prêt d'une
habitation d'un travailleur
Après l'installation, on procédait par le
prélèvement après chaque pluie et lors de notre stage,
nous avons prélevé 61,5 mm de pluies dont les détails se
trouvent dans le tableau ci-dessous.
TABLEAU n°1 : Précipitations
journalières et moyennes de précipitation recueilli lors de
notre stage en millimètre
Date
|
Site
|
Précipitation
|
Moyenne journalière
|
21/10
|
Bloc 4
|
7
|
6,5
|
Bloc7
|
6
|
24/10
|
Bloc4
|
22
|
20
|
Bloc7
|
19
|
Colline
|
18
|
25/10
|
Bloc4
|
2
|
6, 3
|
Bloc7
|
4
|
Colline
|
13
|
30/10
|
Bloc4
|
1
|
2
|
Bloc7
|
1
|
Colline
|
4
|
31/10
|
Bloc4
|
15
|
6,6
|
Bloc7
|
4
|
Colline
|
1
|
01/11
|
Bloc4
|
9
|
14,5
|
Bloc7
|
26 ,5
|
Colline
|
8
|
02/11
|
Bloc4
|
8
|
5,6
|
Bloc7
|
7
|
Colline
|
2
|
Moyenne
|
|
61,5
|
2.9. Arrosage
Dans le potager ; il y a un réseau d'irrigation
qui est installé et celle-ci est constituée des tourniqués
qui permettent l'arrosage des cultures. Un agent est affecté a ce
service et est chargé de l'ouvrir chaque jour matin et soir.
2.10. Semis
2.10.1. Types de semences
utilisées.
Pour ce qui est de semences de maïs, la ferme Bazano
utilise les variétés suivantes :
- SEED CO 717 719
Caractéristiques
Variétés à cycle long, ayant des
épis long et grains volumineux et dont 50 kg de farine donnent 27 sceaux
(MEKA).
- PANAR 53
Caractéristiques
Variété à cycle moyen, ayant des grains
moyens et moins volumineux et dont 50 kg de farine donnent 17 sceaux MEKA.
2.10.2. Logique du semis
Lors du semis, on débute par semer les
variétés à cycle long pour ainsi terminer avec celles
à cycle court. Cette logique permet d'échelonner la
récolte dans le temps pour ainsi éviter des pertes de
production : car si toute la plantation arrivait à maturation au
même moment, il y aura des épis qui vont tomber et qui ne seront
pas récoltés.
2.11. Fertilisation
2.11.1. Type de fertilisant
utilisé
La ferme Bazano utilise les fertilisant organique et
minéraux.
Fertilisants organiques
La matière organique utilisé provient des
bêtes des bovins, ovins et caprins élevés dans la ferme et
ceux-ci doivent subir d'abord une décomposition avant de les
utiliser.
Fertilisants minéraux
Pour les fertilisants minéraux, la ferme est fournie
par l'entreprise Omnia basée en Afrique du Sud. Cette entreprise fourni
des engrais en fonction des carences du sol du après analyse. Les
analyses du sol sont effectuées chaque année après la
récolte.
Après analyse, les résultats ont
démontrés un excès de Potassium dans le sol, c'est ainsi
que l'entreprise à fournis les engrais suivants :
- Le NPK 2 :1 :0(30) + 0,5 Zn
C'est suite à l'excès de Potassium
observé dans le sol, mais qui n'est pas disponible aux cultures et le
Zinc jouera le rôle de mobiliser le potassium qui est immobile dans le
sol.
- Le Green Sulfate: 260 g N: 40 g S: 50
Ca.
Cet engrais est utilisé comme deuxième dose pour
ainsi stimuler la croissance des plantes
Généralement les sols tropicaux sont très
pauvre en en élémentsminéraux et demandent l'apport de ces
éléments par la fertilisation.
Pendant notre stage, nous avons fertilisé dans le
potager et dans la culture des maïs fourrager.
Dans le potager, généralement on fertiliser avec
la matière organique car celle-ci apporte progressivement les
élémentsminéraux et comme dans le potager bon nombre de
cultures ont un cycle très court et ne parviennent pas à puiser
tous les éléments qui sont à sa disponibilité, mais
notons que l'apport des matières organiques n'exclut pas un apport
supplémentaire d'engrais minéraux. C'est ainsi un apport
supplémentaire de NPK 2 :1 :0(30) + 0,5 Zn pour toutes
les cultures qui étaient installées selon leurs besoin
supplémentaire.
Pour le maïs fourrager, nous avons fertilisé 400
kg de NPK 10 :20 :10 et 300 kg le Green Sulfate (260 N : 40 S
50 Ca.) sur une superficie d'environ 6 hectares. L'excès d'azote se
justifie par le fait que le produit recherché c'est la partie
végétative de la plante pour nourrir les bêtes.
Cette culture était installée aux bordures des
blocs pour car elle sera récoltée avant
Conclusion
Ainsi, nous avons effectué notre stage de fin
d'étude d'ingénieuragronome en phytotechnie au sein de la
ferme « BazanoFarming ».
Lors de ce stage de 30 jours, nous avons pu mettre en pratique
nos connaissances théoriques acquises durant notre formation, de plus
nous nous sommes confrontés aux difficultés réelles du
monde de travail.
Après notre rapide intégration dans
l'équipe, nous avons eu l'occasion de réaliser plusieurs
opérationsqui ont constitué une mission de stage global.
Chacune de ces opérations, utiles à la ferme
était pour nous un apprentissage.
Nous gardons de ce stage un excellent souvenir, il constitue
désormais une expérience professionnelle valorisante et
encourageante pour notre avenir.
Nous pensons que cette expérience dans la ferme nous a
offert une bonne préparation à notre insertion professionnelle
car elle fut pour nous une expérience enrichississante et
complète qui conforte notre désir d'exercer notre futur
métier d'ingénieur agronome.
Enfin, nous tenons à exprimer notre satisfaction
d'avoir pu travailler dans des bonnes conditions matérielles
agréables.
Remerciements
0
Introduction
2
Chapitre 1 : identification de le ferme
Bazano
2
1.1. Historique
2
1.2. Localisation de la ferme Bazano
2
Organisation de la ferme Bazano
2
Chapitre 2 : Activité menées en
stage
2
2.1. Repiquage
2
2.2. Lutte phytosanitaire
2
2.3. Hersage
2
2.4. Billonnage
2
2.5. Nettoyage des terrains
2
2.6. Entretien des engins
2
2.7. Labour
2
2.8. Installation du réseau
pluviométrique et mesure des précipitations
2
2.9. Arrosage
2
2.10. Semis
2
2.10.1. Types de semences
utilisées.
2
2.10.2. Logique du semis
2
2.11. Fertilisation
2
2.11.1. Type de fertilisant utilisé
2
Conclusion
2
|