Sigles, Acronymes et Lexique de termes
3-tiers, architecture à trois
niveaux est l'application du modèle plus général
qu'est le multi-tiers. L'architecture logique du système est
divisée en trois niveaux ou couches : présentation,
métier, données.
A2A (Application to Application) :
caractérise l'échange d'information entre deux applications de la
même entreprise.
API (Application Programming Interface) :
interface pour les applications permettant de communiquer.
B2B (Business to Business) :
caractérise le type de commerce électronique conduit entre
entreprises.
B2C (Business to Consumer) :
caractérise le type de commerce électronique conduit entre une
entreprise et une personne privée.
BAM (Business Activity
Monitoring) : comprend l'acquisition, l'agrégation,
l'analyse et la présentation en temps réel de données
associées à des processus d'entreprise.
BEA MessageQ :
BPDM (Business Process Definition
Metamodel): proposition de l'OMG.
BPEL : langage de description des
procédures d'entreprise. Ce langage a été défini
dans sa version 2.0 par une spécification du consortium OASIS à
la fin du mois de mars 2007.
BPM (business process managment) :
approche consistant à modéliser informatiquement les processus
métiers de
l'entreprise, aussi bien dans leur aspect applicatif
qu'humain.
BPMI : Business Process Management
Initiative) : consortium de standardisation.
BPML (Business Process Modeling Language) :
langage basé sur XML, permet de modéliser les processus
métier.
BPMN (Business Process Management Notation):
premier standard du Business Process Management.
BRMS (Business rules management system) :
système de gestion des règles métier
C/C++ : langage de programmation
existant depuis 1985 et largement utilisé depuis 1995, non
propriétaire, et permettant la programmation sous de multiples
paradigmes comme, par exemple, la programmation procédurale, la
programmation orientée objet.
CICS (Customer Information Control
System) : système qui permet d'effectuer des
opérations transactionnelles (en général consultation ou
mise à jour de bases de données ou de fichiers) avec une
très grande économie de moyens.
CIM (Computation Independent Model) :
parfois appelé Business Model, il s'agit de représenter
l'entreprise.
Architecture client/serveur : mode de
communication entre plusieurs ordinateurs d'un réseau qui distingue un
ou plusieurs postes clients du serveur (actifs): chaque logiciel client peut
envoyer des requêtes à un serveur (passif).
COM (Component Object Model) : composant
utilisé en programmation pour permettre le dialogue entre programmes,
très présent dans le monde Microsoft Windows.
Communication asynchrone (Asynchronous Communication)
: type d'échange non bloquant dans lequel une application
envoie un message à l'autre sans attendre la réponse, afin que
les applications puissent opérer indépendamment.
Communication synchrone (Synchronuous
Communication) : type d'échange bloquant dans lequel une
application envoie un message à l'autre en attendant la réponse,
de telle sorte que les applications opèrent en dépendance.
Compensation : mécanisme de
retour arrière par exemple lorsqu' un traitement de virement
échoue en cours de route. Si un mouvement de débit a
déjà été créé sur le compte
d'origine, alors la compensation sera de créditer de la même somme
le compte.
Datawarahouse : entrepôt de
données qui se caractérise par des
données orientées « métiers » (...)
non volatiles (...) présentées selon différents axes
d'analyse ou « dimensions ».
DTD (Document Type Definition) :
document permettant de décrire un modèle de document SGML ou
XML
EAI (Intégration d'applications
d'entreprise) : architecture intergicielle permettant à
des applications hétérogènes de gérer leurs
échanges.
EAM (Enterprise Architecture Modeling) :
outil de modélisation de l'architecture d'entreprise.
Eclipse : IDE libre d'IBM, fonctionnant
à partir de plugin spécifiques.
EDI (Electronic Data Interchange) :
échange de données électroniques organisées selon
des messages à plusieurs niveaux, avec en-têtes de trois
caractères et des codages longueur - champ, standardisé dans les
années 80.
Edifact (Échange de données
informatisées pour l'administration, le commerce et le transport) :
norme des Nations unies décrivant des modalités
techniques pour l'échange de données informatisé (EDI)
dans différents secteurs industriels.
Endpoints : point d'accès
à un service.
ERP (Enterprise Resource Planning) ou
Progiciel de gestion intégré (PGI)
ESB (Enterprise Service Bus) : est une
architecture fonctionnant comme un bus entre des clients et des fournisseurs de
services
EJB (Enterprise
JavaBeans) : Extension des JavaBeans permettant
de réaliser des composants réutilisables sur n'importe quelle
plate-forme Java.
ETL (Extract, Transform and Load) :
technologie informatique permettant d'effectuer des synchronisations
(« alimentation », « extraction », « transformation
», « constitution » ou « conversion », souvent
combinés) massives d'information d'une base de données vers une
autre
FIX (Financial Information
eXchange) : standard de message développé dans le but
de faciliter les échanges d'informations relatifs aux transactions
boursières.
Hash-coding : Technique logicielle
permettant d'attribuer un emplacement de mémoire grâce à un
calcul faisant intervenir directement l'Information à ranger ou à
retrouver.
HL7 (Health Level 7) : standard qui
devient internal, définissant un format pour les échanges
informatisés de données cliniques, financières et
administratives entre systèmes d'information hospitaliers.
Http (HyperText Transfer Protocol): dans
le protocole de transfert Hyper Texte, une méthode est une commande
spécifiant un type de requête demandant au serveur d'effectuer une
action. Cette action concerne une ressource identifiée par l'URL qui
suit le nom de la méthode. SSL est une forme sécurisée de
HTTP.
Hub : point central où convergent
les informations du système.
IBM WebSphere MQ, anciennement MQ
Series est une famille de logiciels, développé par IBM
depuis 1992. Service de messagerie inter-applicative (ou MOM : Message Oriented
Middleware), permettant la communication entre différentes applications,
via l'utilisation de files d'attente.
IDE (Environnement Intégré de
Développement) : Outils se présentant comme un
ensemble de consoles intégrées qui permet la gestion
complète du cycle de vie des composants techniques et fonctionnels
entrant dans la composition d'un système d'information conforme à
une architecture SOA.
ITIL (Information Technology Infrastructure
Library) : ensemble de 5 ouvrages recensant les bonnes pratiques
en matière informatique (la dernière version : Version 3,
est sortie en mai 2007). On trouve le berceau d'Itil en Angleterre dès
la fin des années 1980. Le gouvernement Thatcher souhaite mettre en
concurrence systématique les prestations informatiques internes des
services publics avec l'offre du marché (Market testing).
Java : langage de programmation
orienté objet avec la particularité principale que les logiciels
écrits en java sont très facilement portables sur plusieurs
systèmes d'exploitation tels que Unix, Microsoft Windows, Mac OS ou
Linux avec peu ou pas de modifications.
JCA (Java connector architecture) :
solution de J2EE pour résoudre le problème d'intégration
entre le monde J2EE et le système d'information d'entreprise
JBI (Java Business
Intégration) : spécification normalisant ces
intégrations via un jeu d'API permettant à tout fournisseur de
pouvoir se connecter à un conteneur JBI pour échanger des
messages avec le reste du SI.
JMS (Java Message Service) : Interface
Java standard d'accès à un système de messagerie (ex MOM)
pour l'échange fiable de messages entre applications ou machines. Noter
que JMS ne standardise pas le système de messagerie utilisé.
JVM (Java Virtual Machine,
en français Machine virtuelle Java) : machine virtuelle
permettant d'interpréter et d'exécuter le bytecode Java.
KAI (Key Agility Indicator) : notion
d'évaluation de l'agilité avancée par Tami Cannizzaro,
directeur SOA chez IBM.
Legacy System : vieux Mainframe
plébiscités par les utilisateurs qui refusent parfois de changer
d'application auxquels ils sont attachés
Liberty Alliance : aussi connu sous le
nom de Project Liberty, projet réunissant depuis 2001
des acteurs industriels, informatiques, bancaires et gouvernementaux sous la
forme d'un consortium afin de définir des spécifications de
protocoles de fédération d'identité et de communication
entre services web.
M2M (machine to machine) : technologie
permettant des communications entre machines sans intervention humaine.
Mappage (mapping) : définition
d'une correspondance entre deux objets de même nature mais pas de
même forme.
MDA (Model driven
architecture,) : Démarche de réalisation de
logiciel, proposée et soutenue par l'OMG. C'est une variante
particulière de l'ingénierie dirigée par les
modèles. Le principe de base du MDA est l'élaboration de
modèles indépendants de plate-formes (Platform Independent
Model, PIM) et la transformation de ceux-ci en modèles
dépendants de plates-formes(Platform Specific Model, PSM) pour
l'implémentation concrète du système. Les techniques
employées sont donc principalement des techniques de modélisation
et des techniques de transformation de modèles.
MOM (Message Oriented Middleware) :
système de messagerie pour la transmission de messages entre
applications.
Monde clos : Hypothèse selon
laquelle tout ce qui n'est pas dit est faux.
Netbeans : IDE libre en java
édité par SUN et open source depuis 2000.
OASIS : consortium mondial qui travaille
pour la normalisation et la standardisation de formats de fichiers ouverts
basés notamment sur XML. Créé en 1993, il compte 3500
membres faisant partie de 600 organisations dans 100 pays.
OASIS est structuré en groupes de travail
appelés les Technical Committees.
OMG : organisme à but non
lucratif, créé en 1989 à l'initiative de grandes
sociétés (HP, Sun, Unisys, American Airlines, Philips...).
Aujourd'hui, l'OMG fédère plus de 850 acteurs du monde
informatique. Son rôle est de promouvoir des standards qui garantissent
l'interopérabilité entre applications orientées objet,
développées sur des réseaux
hétérogènes.
Ontologie : cherche à
représenter le sens des concepts d'un domaine et les relations qui les
lient.
ORB : s'apparente à un bus
permettant les échanges de messages entre objets.
Orchestration : système qui
permet de superviser les chaînes applicatives dont les maillons sont des
services. L'orchestration assure la succession des tâches, le
contrôle de la bonne exécution, les reprises en cas d'incident.
OW2 : ObjectWeb est un consortium actif
d'industriels internationaux (INRIA, Bull, France Télécom, Thales
Group ou Red Hat) engagé en matière de Commerce
électronique, d'EAI, de Services web. Il s'engage sur le respect de
standard de l'OMG (Object Management Group), le JCP (Java Community Process ),
OSGi (Open Services Gateway initiative).
OWL : est un dialecte XML basé
sur une syntaxe RDF. Il fournit les moyens pour définir des ontologies
Web structurées.
OWL-S : OWL pour les services.
Pare-feu : élément du
réseau, qui a pour fonction de faire respecter la politique de
sécurité en définissant quels sont les types de
communication autorisés ou interdits.
Parseur (Parser) : module analysant et
décodant les balises d'un document XML afin de permettre à
l'application utilisant ce parseur de traiter les données.
PDM (Plateform Description Model) :
correspond au modèle de transformation du PIM vers le PSM.
Petals : bus d'entreprise orienté
services (ESB) hautement distribué, construit sur les
spécifications JBI. Le projet est dirigé par EBM Websourcing, et
développé selon les orientations du consortium OW2.
PRA (Plan de Reprise
d'Activité) : plan permettant d'assurer, en cas de crise
majeure ou importante d'un centre informatique, la reconstruction de son
infrastructure et la remise en route des applications.
QOS : La qualité de service (QoS,
Quality of Service) est la capacité à véhiculer
un type de trafic donné, en termes de disponibilité,
débit, délais de transmission etc ...
RDF : langage de base du Web
sémantique.
RDF-S : RDFS fournit des
éléments de base pour la définition d'ontologies ou
vocabulaires destinés à structurer des ressources RDF.
Référentiel de
Méta-données : sert à décrire
l'ensemble des règles, définitions, transformations et processus
associés à une donnée.
Réification : action de
transposer une abstraction en un objet concret.
Rose : Logiciel de modélisation
UML édité par Rational Software. Il permet de
générer automatiquement du code Java, C++ ou Visual Basic
à partir du modèle objet.
RPC (Remote Procédure Call) :
protocole permettant de faire des appels de procédures sur un ordinateur
distant à l'aide d'un serveur d'application.
Scalabilité : capacité
d'un composant à être utilisé sur des plates-formes
beaucoup plus petites et plus grosses.
Service Web (Web Service) : groupe de
fonctions accessibles par un client Web en SOAP, codées en WSDL.
Servlet : application Java qui permet de
générer dynamiquement des données au sein d'un serveur
HTTP.
SMA (systèmes multi-agent) :
ensemble d'agents situés dans un certain environnement et interagissant
selon une certaine organisation. Un agent est une entité
caractérisée par le fait qu'elle est, au moins partiellement,
autonome. Ce peut-être un processus, un robot, un être humain,
etc...
SOAML (Service-oriented architecture Modeling
Language) : Langage de modélisation SOA.
Soap (Simple Object Access
Protocol) : protocole de RPC orienté objet bâti sur
XML. Il permet la transmission de messages entre objets distants, ce qui veut
dire qu'il autorise un objet à invoquer des méthodes d'objets
physiquement situés sur un autre serveur. Le transfert se fait le plus
souvent à l'aide du protocole HTTP, mais peut également se faire
par un autre protocole, comme SMTP.
Taxonomie ou taxinomie : science qui a
pour objet de décrire les organismes vivants et de les regrouper en
entités appelées taxons afin de pouvoir les identifier puis les
nommer, et enfin les classer.
Tuxedo (Transactions for Unix, Extended for
Distributed Operations) : logiciel middleware destiné
à gérer les transactions dans un environnement distribué
pour systèmes Unix, conçu en 1983.
UDDI (Universal Discovery, Description and
Integration) : spécification d'accès en langage XML
à un catalogue de services offerts par des fournisseurs de services,
permettant à un consommateur de services de localiser et d'obtenir les
caractéristiques de services dont il a besoin afin de pouvoir invoquer
les fournisseurs de ces services.
UML (Unified Modeling
Language ou langage de modélisation unifié) :
langage graphique de modélisation des données et des traitements.
Pour approfondir : http://www.uml.org.
UPMS (UML Profile and Metamodel for
Service) : spécification de l'OMG appliquée aux
Services via les profils UML.
URI (Uniform Resource Identifier) :
chaîne de caractères identifiant une ressource sur un
réseau
Workflow : décrit le circuit de
validation, les tâches à accomplir entre ldifférents
acteurs d'un processus, les délais, les modes de validation, et fournit
à chacun des acteurs les informations nécessaires pour la
réalisation de sa tâche
WS-Federation : spécification
développées par BEA Systems, BMC Software, CA, Inc., IBM, Layer
7 Technologies, Microsoft, Novell, définissant les mécanismes de
sécurité.
WS-I (Web Services
Interoperability) : consortium d'industriels de l'industrie du
logiciel : BEA, IBM, Microsoft, Oracle, HP, SAP, INTEL et SUN)
oeuvrant à la promotion de l'interopérabilité entre
plate-formes par la rédaction des spécifications des Services Web
annotés : WS-*. Le WS-I a été initié en
2000.
WSDL (Web Services Description Language)
: normalisation regroupant la description des éléments permettant
de mettre en place l'accès à un service web. Pour cela il utilise
le langage XML, dans sa version 2.0 approuvé par le W3C.
W3C (World Wide Web Consortium) organisme de
normalisation a but non-lucratif, fondé 1994. Consortium actif dans la
promotion des technologies Web telles que HTML, XHTML, XML, RDF, CSS, PNG, SVG
et SOAP, le W3C n'émet aucune norme, mais des recommandations
considérés comme des standards industriels.
XMI (XML Metadata Interchange) :
définit un format d'échange standard entre ateliers logiciels.
XML (Extensible Markup
Language) : méta-language
développé par le W3C permettant de définir des langages de
marquage de documents ou de messages, au centre d'un ensemble de standards
dédiés à la communication dans les systèmes
d'information.
XPDL (XML Process Definition Language) :
standard de la Workflow Management Coalition qui permet de définir un
processus métier avec XML, pour ensuite l'utiliser dans un moteur de
workflow.
XSD (XML Schema Description) :
recommandation par le W3C en mai 2001 est un langage de description de format
de document XML permettant de définir la structure d'un document XML.
Zero Latency : L'information doit ou est
immédiatement disponible à un autre point du système.
|