Sommaire
SOMMAIRE 1
LISTE DES ABBREVIATIONS 5
INTRODUCTION GENERALE 6
I PRESENTATION DE L'ECOLE N ATIONALE D'INFORMATIQUE(ENI)
7
1. Localisation et contact 7
2. Organigramme 7
3. Missions et historique 7
4. Domaines de spécialisation 9
5. Architecture de la pédagogie 9
6. Filières de formation existante et diplômes
délivrés 10
7. Relations partenariales de l'ENI avec les entreprises et les
organismes 11
7.1 Au niveau national 11
7.2 Au niveau international 12
8. Ressources humaines 13
9. Projets et perspectives de développement
institutionnel (2010-2014) 13
II PRESENTATION DE LA DIRECTION GENERALE DES IMPOTS
14
2.1. COORDONNEE : 14
2.2. HISTORIQUE : 14
2.3. OBJECTIFS : 14
2.4. MOYENS : 15
2.5. ORGANIGRAMME 15
III. PRESENTATION DU PROJET 17
3.1. Analyse de l'existant 17
3.1.1Equipements informatiques de la division informatique 17
3.2 PRESENTATION DETAILLEE 20
3.3 MOYENS NECESSAIRES POUR LA MISE EN OEUVRE 21
IV.CONCEPTION AVANT PROJET 23
4.1. SCENARII POSSIBLES 23
4.2. DESCRIPTION DES SCENARII 23
4.1.1. SCENARIO 1 23
4.1.2. SCENARIO2 : 24
4.1.3. SCENARIO3 24
4.3. Choix des outils de développement 25
4.4. Choix de la méthode 25
V.ANALYSE CONCEPTUEL 26
5.1. Introduction 26
5.2. Présentation du modèle conceptuel des
données 26
5.2.1. L'entité 27
5.2.2. La relation : 27
5.2.3. L'héritage entre entités 28
5.3. Elaboration du modèle conceptuel des données
29
5.3.1 Les règles de gestion 29
5.3.2 Le dictionnaire des données : 30
5.3.3 Le modèle conceptuel des données 32
5.4. Elaboration du modèle logique de donnée(MLD)
33
5.4.1. Règle de passage du MCD au MLD 33
5.4.2. Le Modèle Logique des Données 33
VI.PRESENTATION DES OUTILS 35
6.1. Présentation de Oracle 10g 35
6.1.1. Historique 35
6.1.2. Les composants d'Oracle 37
6.1.3. Les outils d'administrations d'Oracle 37
6.1.4. Les outils de développement d'Oracle 38
6.2. Les fonctionnalités d'Oracle 38
6.2.1. Les fichiers physiques d'une base Oracle 40
6.2.2. Les processus d'Oracle 41
6.2.3. Dictionnaires de données d'Oracle 43
6.2.4. Les différentes vues d'Oracle 43
6.3. Présentation du langage PL/SQL 44
6.3.1. Pourquoi PL/SQL ? 45
6.3.2. Architecture de PL/SQL 47
6.3.4. Syntaxe de PL/SQL 49
6.4. Présentation de Windev 51
6.4.1 Concept de base de Windev 51
6.4.2 Base de programmation 52
VII. REALISATION 54
7.1 Architecture du système 54
7.2. Administration Oracle 10g : 54
7.2.1. Création espace disque logique 54
7.2.2. Création d'une table 56
7.2.3. IMPORT/ EXPORT Base ORACLE 59
7.3. Création d'un projet sous Windev 59
7.3.1. Projet Windev 59
7.3.2 Création d'un RAD 61
7.3.3 Création d'un Exécutable 64
7.3.4 Création de l'installation 65
7.4. Accès ODBC Oracle 67
7.4.1. Création d'une source de donnée ODBC 67
Et le remplir comme ci-après 68
7.4.2. Script de configuration de ODBC sous Windev 69
7.5. Quelques menus proposés par l'application 69
7.5.1. Le fenêtre d'authentification 69
7.5.2. Le menu principale 70
7.5.3. Menu Employé 71
CONCLUSION 74
BIBLIOGRAPHIE 75
GLOSSAIRES 76
ANNEXE 78
LISTES DES FIGURES 81
LISTES DES TABLEAUX 83
LISTE DES ABBREVIATIONS
CCNA Cisco Networking Academy
DBA DataBase Administrator
DBCA DataBase Configuration assistant
DBWR DataBase Writer or Dirty Buffer Writer
DDL Data Definition Language
DEA Diplôme d'étude Approfondie
DGI Direction Générale des
Impôts
ENI Ecole Nationale de l'Informatique
HTML HyperText Markup Language
HTTP HyperText Transfer Protocol
IHM Interface Homme Machine
IRD Institut de recherche pour le
développement
INPG Institut National Polytechnique de
Grenoble
LGWR Log Writer
LMD Licence - Master - Doctorat
MCD Modèle Conceptuel des
Données
MCT Modèle Conceptuel des Traitements
MLD Modèle Logique des Données
MOPT Modèle Opérationnel des
Traitements
MOT Modèle Organisationnel des
Traitements
MPD Modèle Physique des Données
OCI Oracle Call Interface
OLAP Online Analytical Processing
PHP Preprocessor Hypertext Page
PL/SQL Procedural Language/Structured Query
Language
SGA System Global Area
SGBD Système de Gestion de Base de
Données
SGBDR SGBD Relationnel
SQL Structured Query Language
INTRODUCTION GENERALE
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication ouvrent un large champ des possibilités dans la gestion
des ressources humaines, mais exigent pour être mises en oeuvre avec
succès, des moyens matériels et logiciels.
Actuellement, la DGI ne dispose pas encore d'un outil logiciel
pour gérer ses ressources humaines, les besoins se font donc sentir au
niveau de la direction sur la nécessité de mettre en place un
système d'information automatisé pour gérer les ressources
humaines afin de contrôler efficacement les informations liées aux
employés de la direction. D'où la naissance de ce projet.
Ce présent travail intitulé «Mise en place
d'un système d'information pour la gestion des ressources humaines
» a donc, non seulement une dimension technique, mais aussi une dimension
humaine et organisationnelle. En effet, pour la DGI, il s'agit de mettre en
place des pratiques de travail améliorant le traitement de l'information
et ainsi que l'efficacité des activités.
Dans cette optique, il est essentiel d'utiliser une
méthode d'analyse et de conception qui reproduit et organise de
manière efficace les informations, les activités ainsi que les
besoins de l'utilisateur.
En partant de cette perspective, nous mènerons ainsi ce
projet en 3 étapes : la première partie permettra de cerner le
domaine de l'étude, la deuxième partie abordera en détails
la conception en se basant sur l'analyse de l'existant, et la troisième
partie permettra, enfin, de voir la manière dont a été
réalisée l'application
I PRESENTATION DE L'ECOLE N ATIONALE
D'INFORMATIQUE(ENI)
1. Localisation et contact L'École
Nationale d'Informatique se situe à Tanambao Fianarantsoa, sa
boîte postale est
1487 avec le code postal 301, son téléphone est 75
508 01 et son adresse électronique est
eni@univ-fianar.mg.
2. Organigramme
Figure 1 : Organigramme de l'ENI
3. Missions et historique
L'Ecole Nationale d'Informatique constitue à l'heure
actuelle la pépinière des élites
informaticiennes malgaches. On peut considérer cette Ecole
Supérieure comme la vitrine et la mesure de l'avancée
technologique du Pays.
Elle se positionne dans le système socio-éducatif
malgache comme le plus puissant vecteur de diffusion et de vulgarisation des
connaissances et des technologies informatiques. Créée par le
Décret N° 83 185 du 24 mai 1983, l'ENI est le seul
Etablissement universitaire professionnalisé du pays ayant pour
mission de former des Techniciens
Supérieurs, des Licenciés en informatique et des
Ingénieurs informaticiens de haut niveau, aptes à répondre
aux besoins et exigences des entreprises, aussi bien nationales
qu'internationales
L'implantation de cette Ecole Supérieure de technologie
de pointe dans un pays en voie de développement et dans une province
à tissu économique et industriel faiblement
développé, n'a pourtant pas empêché de former des
spécialistes informaticiens de bons niveaux recherchés par les
sociétés et les organismes.
Depuis sa création jusqu'à aujourd'hui, l'ENI
placée sous la tutelle de l'Université de Fianarantsoa a
formé et déversé sur le marché de l'emploi :
13 promotions d'Analystes Programmeurs, soit 447
diplômés. 22 promotions d'Ingénieurs Informaticiens, soit
554 diplômés.
13 promotions de Techniciens Supérieurs en Maintenance des
Systèmes Informatiques, soit 310 diplômés.
Soit en tout 1311 diplômés.
La filière de formation d'Analystes Programmeurs a
été créée en 1983, et a été
gelée par la suite en 1996.
La filière de formation d'ingénieurs a
été ouverte à l'Ecole en 1986.
La filière de formation de Techniciens
Supérieurs en Maintenance des Systèmes Informatiques a
été mise en place à l'Ecole en 1996 grâce à
l'appui matériel et financier de la Mission Française de
Coopération dans le cadre du Programme de Renforcement de l'Enseignement
Supérieur (PRESUP).
Une formation pour l'obtention de la certification CCNA et/ou
Network+, appelée « Cisco Networking Academy à Madagascar
», en 2002-2003, a été créé grâce au
partenariat avec Cisco System et l'Ecole Supérieure Polytechnique
d'Antananarivo (ESPA). Cette formation n'existe plus actuellement.
Une formation doctorale a été ouverte depuis
l'année universitaire 2003-2004 avec une parfaite coopération
entre l'Université de Fianarantsoa (ENI) et celle de Toulouse.
Finalement une formation en licence professionnelle en
informatique ayant comme
options
(Administration des systèmes et des réseaux,
génie logiciel et base de données) a été ouverte
pendant l'année universitaire 2007-2008.
La filière de formation de Techniciens Supérieurs
en Maintenance des Systèmes Informatiques a été suspendue
en 2008.
4. Domaines de spécialisation
· Génie logiciel et base de données
· Maintenance des systèmes informatiques
· administration des systèmes et des
réseaux
· Modélisation environnementale et Système
d'Information Géographique
5. Architecture de la pédagogie
L'ENI forme des Licenciés et des Ingénieurs
directement opérationnels au terme de leur formation respective. Ce qui
oblige l'Ecole à entretenir des relations de collaboration
étroites et permanentes avec les entreprises et le monde professionnel
de l'Informatique à Madagascar.
La responsabilité de l'Ecole pour cette
professionnalisation des formations dispensées implique de
- Suivre les progrès technologiques et
méthodologiques en Informatique (recherche
appliquée, veille technologique, technologies
Réseau, Multimédia, Internet,...).
- Prendre en considération dans les programmes de
formation les besoins évolutifs des
entreprises et des autres utilisateurs effectifs et potentiels,
de la technologie informatique.
Cependant la professionnalisation ne peut se faire en vase
close ; elle exige une «orientation client » et une «
orientation marché ». Ce sont les entreprises qui connaissent le
mieux leurs besoins en personnel informatique qualifié. Ces entreprises
partenaires collaborent avec l'ENI en présentant des pistes et des
recommandations pour aménager et réactualiser
périodiquement les programmes de formation. Ainsi, dans le cadre de ce
partenariat avec les sociétés dans les divers bassins d'emploi en
Informatique, elle offre sur le marché de l'emploi des cadres de bon
niveau, à jour et directement opérationnels.
L'architecture des programmes pédagogiques à
l'Ecole s'appuie sur le couple théoriepratique :
- des enseignements théoriques et pratiques de haut niveau
sont dispensés intramuros à l'Ecole,
- des voyages d'études sont effectués par les
étudiants nouvellement inscrits et ayant passé une année
d'études à l'Ecole,
- des stages d'application et d'insertion professionnelle sont
pratiqués en entreprise
chaque année par les étudiants au terme de chaque
formation académique à l'Ecole. Les stages effectués en
entreprise par les étudiants de l'ENI sont principalement des stages de
pré embauche.
Ces stages pratiques assure à l'Ecole un taux moyen
d'embauche de 97%, six mois après la sortie de chaque promotion de
diplômés.
6. Filières de formation existante et
diplômes délivrés
- Cycle licence en informatique spécialisé en
administration des systèmes et des réseaux, puis en génie
logiciel et base de données, aboutissant au Diplôme Universitaire
de licenciés informaticiens. L'effectif des étudiants en
année universitaire 2009 - 2010 :
L1 (Première année de Licence ) : 63
L2 (Deuxième année de Licence) : 53
L3 (Troisième année de Licence) : 52
- Cycle de formation d'Ingénieurs Informaticiens avec des
compétences en Gestion, Systèmes et réseaux, de niveaux
Baccalauréat + 5. Les effectifs des étudiants en 2009-2010 :
o ING2 (Deuxième année de la formation
d'ingénieur) : 49 o ING3 (Troisième année de la
formation d'ingénieur) : 46
- La formation en DEA en informatique organisée en
partenariat avec l'Université Paul Sabatier de Toulouse. Les trois
meilleurs étudiants de la promotion effectuent les travaux de recherche
à Toulouse. Cette formation est un élément du
système de formation de troisième cycle et d'études
doctorales qui sera mise en place progressivement à l'ENI.
- Une formation non diplômant en CISCO ACADEMY, soutenue
par les Américains, avec une certification CCNA. Les effectifs des
étudiants dans le système depuis sa création :
o CISCO Première promotion 2002/2003 : 28
o CISCO Deuxième promotion 2003/2004 : 5.
Le recrutement d'étudiants à l'ENI se fait
chaque année uniquement par voie de concours d'envergure nationale,
excepté celui concernant le « Cisco Academy » et celui de la
DEA, qui font l'objet de sélections de dossier de candidature.
Bien qu'il n'existe pas au niveau international une
reconnaissance écrite et formelle des diplômes
délivrés par l'ENI, les diplômés de l'Ecole sont
bien accueillis dans les Institutions universitaires étrangères.
Des étudiants diplômés de l'Ecole poursuivent actuellement
leurs études supérieures en 3ème cycle dans plusieurs
Universités françaises, notamment à l'IREMIA de
l'Université de la Réunion, à l'Université LAVAL au
Canada, à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne en
SUISSE, à l'Ecole Doctorale STIC (Science de la Technologie de
l'Information et de la communication) de l'Ecole Supérieure en Science
Informatique de l'Université de Nice Sophia Antipolis.
7. Relations partenariales de l'ENI avec les entreprises
et les organismes 7.1 Au niveau national
Les stages pratiqués chaque année par ses
étudiants mettent l'Ecole en relation permanente avec plus de 300
entreprises, sociétés et organismes publics et privés
nationaux et internationaux.
Parmi ces Etablissements, on peut citer : , ACCENTURE Maurice,
AIR MAD, AMBRES ASSOCIATES, AUF, B2B, Banque Centrale, BFV SG, BIANCO, BLUE
LINE, BNI-CL, BOA, CEDII Fianar, CEM, Central Test, Centre Mandrosoa Ambositra,
CNA, CNRIT, COLAS, COPEFRITO, Data Consulting, PHARMACIE DES PLATEAUX Fianar,
D.G. Douanes Tana, DLC, DTS, FID, FTM, GNOSYS, IBONIA, IFIR des
paramédicaux Fianar, INGENOSYA, INSTAT, IOGA, JIRAMA, Lazan'i Betsileo,
MADADEV, MADARAIL, MAEP, MECI, MEF, MEN, MESRES, MFB, MIC, MICROTEC, MININTER,
MIN TélCom et Nouvelles technologies, NEOV MAD, NY HAVANA, OMNITEC,
ORANGE , OTME, PRACCESS, QMM Fort-Dauphin, SECREN, SIMICRO, SNEDADRS Antsirabe,
Société d'Exploitation du port de Toamasina, Softewell, Strategy
Consulting, TACTI, TELMA ,
ZAIN, WWF,...
L'organisation de stages en entreprise contribue non seulement
à assurer une meilleure professionnalisation des formations
dispensées, mais elle accroît également de façon
exceptionnelle les opportunités d'embauche pour les
diplômés.
Les diplômés de l'ENI sont recrutés non
seulement par des entreprises et organismes nationaux, mais ils sont aussi
embauchés dans des organismes de coopération internationale tels
que l'USAID MADAGASCAR, la Délégation de la Commission
Européenne, la Banque Africaine de Développement (BAD), la
Mission Résidente de la Banque Mondiale, la Commission de l'Océan
Indien, etc.
7.2 Au niveau international
Entre 1996 et 1999, l'ENI a bénéficié de
l'assistance technique et financière de la Mission Française de
Coopération et d'Action Culturelle dans le cadre du PRESUP.
La composante du PRESUP consacré à l'ENI a
notamment porté sur :
- une dotation en logiciels, microordinateurs, équipements
de laboratoire de
maintenance et de matériels didactiques ;
- la réactualisation des programmes de formation assortie
du renouvellement du fond de la bibliothèque ;
- l'appui à la formation des formateurs ;
- l'affectation d'Assistants techniques français.
Et depuis le mois de mai 2000, l'ENI fait partie des membres
de bureau de la Conférence Internationale des Ecoles de formations
d'Ingénieurs et Techniciens d'Expression Française (CITEF).
L'ENI a signé un accord de coopération
interuniversitaire avec l'IREMIA de l'Université de la Réunion,
l'Université de RENNES 1 et l'Institut National Polytechnique de
Grenoble (INPG).
Depuis le mois de juillet 2001, l'ENI abrite le Centre du
Réseau Opérationnel (Network Operating Center) du point
d'accès à internet de l'Ecole et de l'Université de
Fianarantsoa. Grâce à ce projet américain financé
par l'USAID Madagascar, l'ENI et
l'Université de Fianarantsoa sont maintenant
dotées d'une Ligne Spécialisée d'accès permanent
à INTERNET. Par ailleurs, depuis 2002, une nouvelle branche à
vocation professionnelle a pu y être mise en place, en partenariat avec
Cisco System.
Enfin et non des moindres, l'ENI a noué des relations
de coopération avec l'Institut de Recherche pour le Développement
(IRD). L'objet de la coopération porte sur la Modélisation
environnementale du corridor forestier de Fianarantsoa. Dans le même
cadre, un atelier scientifique international sur la modélisation des
paysages a été organisé à l'ENI au mois de
Septembre 2008.
Comme l'ENI constitue une pépinière incubatrice de
technologie de pointe, d'emplois et d'entreprises, elle peut servir
d'instrument efficace pour la lutte contre la pauvreté.
De même que l'Ecole permet de renforcer la position
concurrentielle de la Grande île sur l'orbite de la mondialisation
grâce au développement des nouvelles technologies.
8. Ressources humaines - Directeur : Monsieur
Fontaine RAFAMATANANTSOA
- Chef de Département de la Formation Théorique :
Monsieur Venot RATIARSON
- Chef de Département de la Formation Pratique : Monsieur
Cyprien RAKOTOASIMBAHOAKA
- Nombre d'Enseignants permanents : 12
- Nombre d'Enseignants vacataires : 10
- Personnel administratif et technique : 19
9. Projets et perspectives de développement
institutionnel (2010-2014)
· Restructuration du système pédagogique de
l'Ecole selon le schéma LMD (Licence Master Doctorat),
· Mise en place à l'Ecole d'un Département de
Formation de 3ème cycle et d'études doctorales en
Informatique,
· Création à l'Ecole d'une Unité de
Production Multimédia, d'un club de logiciel libre Unix.
II PRESENTATION DE LA DIRECTION GENERALE DES IMPOTS 2.1.
COORDONNEE :
Direction Générale des
Impôts-Immeuble des Finances et du
Budget
Antaninarenina - Antananarivo (101) BP: 863
Tél: 22 335 50/22 287 08
E-mail:Dgimpots@moov.mg
|
|
2.2. HISTORIQUE :
De 1975 jusqu'à 1997, la Direction des Impôts et
la Direction des Douanes étaient dirigées par une seule Direction
Générale dénommée «Direction
Générale des Régies Financières (DGRF)». La
Direction chargée des Impôts était divisée en 3
services pratiquement indépendants : service des contributions directes,
service des contributions indirectes et services de l'enregistrement et du
timbre. En 1998, la Direction générale des impôts (DGI) a
été créée et les 3 ex-services fusionnés.
Actuellement, selon la capacité contributive des contribuables ou leurs
localisations territoriales, ils peuvent s'adresser soit aux centres fiscaux
(CF), soit aux services régionaux des entreprises (SRE), soit encore
à la direction des grandes entreprises (DGE)
2.3. OBJECTIFS :
Comme dans toute société
démocratiquement structurée, pour le financement des services
publics et des programmes de développement en partie, la contribution de
tout un chacun (à travers le paiement des impôts) est
indispensable. Depuis 2007 la Direction Générale des Impôts
a mis en oeuvre la stratégie et plan d'actions pour la réforme de
l'administration fiscale (2007-2011) dont les orientations stratégiques
consistent en une administration fiscale plus efficace, plus
simple et tournée vers un meilleur service au public.
Dans cette réforme, l'administration fiscale s'est
engagée à :
+ Mobiliser des recettes budgétaires pour répondre
aux objectifs du Gouvernement
+ définir une politique fiscale propice à
l'investissement et à l'intégration régionale + moderniser
ses structures et procédures
2.4. MOYENS :
Bien que limités, le renforcement des moyens servira
en priorité les réformes engagées conformément
à la stratégie de réforme. Il s'agit d'adapter les moyens
aux enjeux. Conformément à la stratégie de réforme,
le logiciel SIGTAS, système intégré de gestion des
impôts, sera étendu dans un premier temps dans les services
régionaux des entreprises. Depuis 2007, dans le cadre de la mise en
oeuvre de la réforme un plan de communication externe et interne a
été appliqué
Des centres de gestion agrées, seront mis en places en
partenariat avec les organisations professionnelles pour fournir : assistance
techniques, formation, statistiques fiables, à leurs adhérents
outre l'aide pour l'élaboration de leurs déclarations
fiscales.
2.5. ORGANIGRAMME
Direction Générale des Impôts
Services Centraux
Service de la Brigade d'Inspection
Service de Recherche et d'Investigation
Service de Pilotage et de Suivi des Reformes
Etudes de la Législation Fiscale
Contrôle Fiscale et Contentieux
|
|
Coordination des Operations
|
|
Service de Recherche et d'Investigation
|
|
|
|
|
|
|
Service de la Programmation des Vérifications
Fiscales
|
|
|
|
|
|
Service Centrale de Lutte contre la
Fraude
|
|
Service du
Contentieux et des Poursuites
|
|
Service des Statistiques et d'Intégration des
Données
Service d'Appui et de Formation
Service des Etudes et de la Documentation
Services Opérationnels
Direction Régionale des Impôts
Direction des Grandes Entreprises
Figure 2 : Organigramme de la DGI
III. PRESENTATION DU PROJET
Le présent rapport de stage a été
élaboré dans le cadre d'un stage au sein du Service de Pilotage
et de suivi des Réformes de la Direction Générale des
Impôts. L'intérêt de cette application pour la DGI est
certain, plus particulièrement pour le Service Administratif et
Financier(SAF). En effet cette application va permettre une meilleure
maîtrise et un gain de temps pour le suivi et le contrôle de ses
employés.
3.1. Analyse de l'existant
La gestion des ressources humaines n'existe pas encore au sein
de la DGI. La saisie des informations concernant les employés se font
donc manuellement.
3.1.1Equipements informatiques de la division
informatique o Ordinateurs
Marque
|
Caractéristiques
|
Nombres
|
NEC
|
Intel Pentium (D) CPU 3.00 GHz
2 Go de RAM, 180 Go de Disque Dur
|
03
|
FUJITSU computers SIEMENS
|
Intel(R) Core (TM) 2 Duo 2.40 GHz
,1 Go de RAM, 156 Go de Disque Dur
|
10
|
|
Tableau 1 : liste des machines
Notons aussi la présence d'imprimante, un onduleur, une
photocopie, un scanneur et d'un Switch 10/100 Mbps 8 ports au sein de la
Division informatique pour le partage de connexion Internet dont leur marque,
leur type et leur puissance sont illustrés respectivement par les
tableaux suivante :
o Imprimantes :
Marque
|
Type
|
Nombre
|
HP LaserJet 1022
|
Laser
|
03
|
|
Tableau 2 : Liste des Imprimantes o
Onduleurs :
Marque
|
Puissance
|
Nombre
|
Unitek
|
04 1000 VA
|
05
|
Intex
|
02 1050 VA
|
|
Tableau 3 : liste des Onduleurs o
Photocopie:
Marque
|
Type
|
Nombre
|
Toshiba
|
Laser
|
01
|
|
Tableau 4: Liste de Photocopie o
Scanneur :
Marque
|
Nombre
|
HP Scan jet 2400
|
01
|
|
Tableau 5: Liste de Scanneur
o Switch
Marque
|
Fabriquant
|
Nombre
|
Catalyst 1803
|
CISCO
|
02
|
|
Tableau 6: Liste de Switch
o Existant logiciel
Le Système d'exploitation (SE) utilisé au sein
de La division informatique est le Microsoft Windows Xp, pour le traitement de
texte, et le suivi du dossier : les agents de la division optent l'utilisation
de Microsoft Office (Word 2007, Excel 2007).
Pour la division Informatique, elle utilise un logiciel que
l'on appelle « SIGTAS», système intégré de
gestion des taxes qu'est une suite de modules intégrés qui permet
aux gouvernements d'informatiser l'administration des taxes, impôts et
brevets grâce à un système d'information unique et complet.
Il a été développé pour répondre aux besoins
des pays en développement et en émergence désireux
d'accroître le contrôle des revenus de l'État en se dotant
de systèmes automatisés.
o Connexion Internet et Réseau local de la
division informatique
La division informatique bénéficie d'une
connexion Internet abonnement, cette dernière se fait par Boucle Local
Radio, leur fournisseur étant GasyNet. Cinq (05) machines sont
connectées à Internet suivant l'architecture ci-dessous :
Figure 3 : Architecture du réseau actuel de la
division informatique
3.2 PRESENTATION DETAILLEE
Un Système d'information de gestion des ressources
humaines est une interface entre la gestion des ressources humaines (GRH) et
les technologies de l'information et de la communication (TIC).
Il combine la gestion des ressources humaines, et en particulier
ses activités basiques et administratives avec les moyens mis à
disposition par les TIC.
Dans l'ensemble, la fonction « ressources humaines
» comprend toujours une part importante des tâches
administratives et répétitives dans la plupart des
organisations
Une gestion efficace du « capital humain
» est devenue une opération nécessaire pour la
DGI.
Plusieurs modules peuvent être inclus dans la GRH mais
nous ne considérons que quelques uns d'entre eux dont :
· La gestion des personnelles : permettant de recueillir
les informations concernant : > L'état civil de l'employé
> La famille de l'employé
> Les études, formations et diplômes de
l'employé
> La situation administrative de l'employé
> Le statut de travail de l'employé
> Connaissance linguistique de l'Employé
· La gestion des carrières : permettant de
rassembler les informations sur :
> Les activités professionnelles (Changement de
travail, Affectation, poste de l'employé)
> L'évolution de carrière de l'employé
> Les reclassements de l'employé
> Les avancements
> Les distinctions honorifiques de l'employé
D'une part, la direction ne dispose pas jusqu'à
maintenant d'une application permettant de faire un suivi précis de son
personnel, les fichiers manuels utilisés jusqu'alors se
révélant difficiles à gérer et d'autant non
accessibles directement aux dirigeants.
D' autre part, il existe beaucoup de logiciels sur le
marché, que ce soit gratuit ou payant mais leurs fonctionnalités
ne sont pas toujours adaptées aux besoins de la DGI.
Ainsi, il est primordial de garder un niveau de
professionnalisme assez relevé d'où l'idée de
réaliser une application de gestion des ressources humaines.
Afin de pouvoir conserver et retrouver facilement les
informations entrées. L'application va utiliser une base de
données. La création d'une base de données est une chose
complexe qui demande une analyse poussée. Merise convient parfaitement
à la conception et à la modélisation du système
d'information étudiée.
3.3 MOYENS NECESSAIRES POUR LA MISE EN OEUVRE
Pour réaliser le projet, ont été
utilisés les moyens logiciels et matériels suivants de la DGI
:
Un PC avec la configuration suivante :
o Marque : NEC
o CPU : Intel Pentium IV 3Ghz
o RAM : 2 Go
o HDD : 160 Go
o OS : Windows XP Professionnel Service Pack 3
Un serveur de base de données Oracle
o Outil : Oracle SQL*plus
o Distribution : Oracle Entreprise Manager (10g)
o RAM : 2Go
o HDD : 160 Go Logiciels :
o SGBD : Oracle 10g
o Outil de développement : Windev 9 et Windev 14 o Outil
d'analyse et de conception : Win'Design
IV.CONCEPTION AVANT PROJET
Afin d'atteindre les objectifs du projet, divers scenarii ont
été envisagés, nous allons discuter les points
négatifs et positifs de chaque proposition et en dégager la
solution finale.
Le choix du scenario final a été basé sur
:
La possibilité d'utiliser une application utilisée
par plusieurs utilisateurs La rapidité d'exécution
Le facteur sécurité
4.1. SCENARII POSSIBLES
SCENARIO
|
DESCRIPTION
|
Achat du logiciel AdequasysHR
|
AdequasysHR est une solution globale de gestion des
ressources humaines, édité par la société
américaine AdequasysHR
|
Application web : PHP/MySQL
|
PHP est un langage de scripts permettant de faire avec une rare
facilité des pages web
|
Application web : WINDEV/ORACLE
|
L'application proposée par Windev
fournit des pages dynamiques qui facilitent la
création des applications d'entreprise complexes
|
|
4.2. DESCRIPTION DES SCENARII
4.1.1. SCENARIO 1 : Achat du logiciel
AdequasysHR qui fournit les services indispensables à la gestion des
ressources humaines. Le tout assemblé dans une base de donnée
unique afin d'assurer la cohérence des données.
Avantages :
· Gain de temps considérable pour la mise en
place
· Base de données intégrées dans les
équipements réseaux donc ne nécessitant aucune
intervention d'administrateur de base de données
· Outil sûr car élaboré par des
professionnels
Inconvénients :
·
Cout élevé
· Non-conformité du produit aux besoins
spécifiques de DGI
· Solution non personnalisable.
4.1.2. SCENARIO2 : Développement dune
application web dynamique en utilisant PHP et MySQL.
Avantages :
· Le langage PHP est un langage fiable, performant et
riche en termes de fonctionnalités, il est capable de s'interfacer
facilement avec nombreux SGBDR tels que MySQL, Oracle,... et il est utilisable
sur la majorité des systèmes d'exploitation.
· MySQL est sans doute le SGBDR gratuit le plus populaires
du moment, ceci est dû à sa facilité d'emploi et a à
sa rapidité ;
· Rapidité de mise en oeuvre et disponibilité
de milliers de code sources PHP gratuits et prêts à utiliser.
Inconvénients :
· PHP est un langage interprété et non
adapté pour le gros projet, il est par ailleurs assez difficile de
mettre en place une politique de sécurité acceptable à
moins d'être un adepte depuis de longues années.
· Risques d'incompatibilité lorsqu'on passe d'une
version de PHP à une autre et difficulté de maintenance de
l'application.
4.1.3. SCENARIO3 :
Développement d'une application en utilisant Windev et
Oracle
Avantages :
· Gain de temps considérable pour la mise en
place
· Base de données centralisée
· Oracle est sans doute le SGBDR le plus fort du moment,
tous les avantages de la puissance de Oracle est disponible a travers cette
application
· L'application est théoriquement
sécurisée par défaut avec Oracle
Inconvénients
· Coût élevé
· Difficulté de maintenance et de mise en oeuvre
· Consommateur en ressources
4.3. Choix des outils de développement
Pour mener à bien le projet, le troisième
scenario a été retenu par souci d'unicité du projet et
à la sécurité procurée par Oracle ce qui est
d'ailleurs la préoccupation première de la DGI. En outre, Oracle
convient parfaitement au projet du fait qu'il y a des importants volumes
d'informations à stocker dans la base car il s'agit de gérer tous
les employés de la DGI dans toute la grande île et que Windev
propose de créer simplement une application qui peut s'interfacer
facilement avec le SGBD Oracle. Windev permet également l'utilisation
des ordres SQL. De plus Windev propose également un développement
plus rapide, et plus économique
4.4. Choix de la méthode
La conception d'un système d'information n'est pas
chose aisée car il faut réfléchir à l'ensemble de
l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de conception
nécessite des méthodes permettant de mettre en place un
modèle sur lequel on va s'appuyer.
La méthode de conception Merise a été
choisie pour la raison qu'elle permet de construire un système
d'information automatisé efficace, flexible et adapté à
l'entreprise.
Elle offre une démarche qui permet de décrire le
système à étudier sous forme de modèle qui facilite
la compréhension et la maîtrise du projet à
réaliser.
La méthode Merise est basée sur la
séparation des données et des traitements à effectuer en
plusieurs modèles conceptuels et physiques mais dans notre étude,
nous nous intéressons principalement au modèle conceptuel des
données. Sans ce dispositif stable, l'établissement peut
être rapidement dépassé par le volume d'information qu'elle
gère
V.ANALYSE CONCEPTUEL
5.1. Introduction
Le système d'information d'une entreprise est
l'ensemble des informations qui y circulent ainsi que l'ensemble des moyens mis
en oeuvre pour les gérer. L'objectif d'un système d'information
est de restituer l'information aux utilisateurs concernés à un
moment donné sous une forme concise afin de faciliter une prise de
décision, d'effectuer des traitements relatifs a ces informations.
L'idéal pour un système d'information serait d'être
automatisé, mais avant d'y parvenir les informations devront être
formalisées d'où l'utilité d'une méthode
spécifique.
Les méthodes d'études des systèmes
d'information ont pour objectif de décrire ces systèmes à
l'aide de modèles, puis de réaliser les systèmes
informatisés qui en découlent : Merise est l'une de ces
méthodes.
Merise sépare nettement l'étude en deux : les
données et les traitements ; elle est en plus basée sur
différents concepts d'abstraction régis par des règles
précises et suivant une démarche à plusieurs types.
Elle comprend notamment les niveaux d'abstractions suivants :
· Conceptuel (MCD, MCT) : décrivant l'invariant
du système c'est-à-dire la représentation des
données, les règles de gestion correspondantes et les traitements
à réaliser sur ces données ;
· Organisationnel ou logique (MOT, MLD) : décrit les
ressources dont il faut disposer et l'organisation à mettre en place
pour manipuler ces données ;
· Physique (MPD, MOPT) : décrit les techniques
à utiliser pour sauvegarder les données et réaliser les
traitements.
· Merise s'appuie sur l'analyse de l'existant pour
monter les modèles correspondants aux différents niveaux
d'abstraction et grâce aux critiques de l'existant, le concepteur
élabore les modèles futurs qui vont former le système
d'information automatisé.
5.2. Présentation du modèle conceptuel des
données
Au niveau conceptuel on décrit la partie statique du
système par le Modèle conceptuel des données
(ou MCD), il a pour but de représenter de façon
structurée les données qui seront utilisées par le
système d'information. C'est un schéma qui formalise les
dépendances ou relations entre les différents données du
système d'information. Il décrit uniquement la sémantique
des données et non ce qu'on peut faire avec.
Le MCD utilise plusieurs formalismes pour représenter les
données dont :
5.2.1. L'entité
Une entité est la représentation d'un
élément matériel ou immatériel ayant un rôle
dans le système que l'on désire décrire. (Ex : un
employé). Une entité regroupe les objets contenant les
mêmes caractéristiques. Ces informations sont appelées
attributs ou propriétés. On crée
une entité lorsqu'il possède plusieurs occurrences. Une
entité est identifiée par un libellé et possède au
moins une propriété. Elle est représentée par le
formalisme suivant :
Formalisme :
Figure 4 : Représentation d'une
entité
Les identifiants
Un identifiant est un ensemble de propriétés
(une ou plusieurs) permettant de désigner une et une seule
entité, c'est-à-dire qu'il permet de distinguer les occurrences
d'une entité type. (Ex : le numéro matricule identifie les
occurrences d'une entité Employé)
5.2.2. La relation :
Une relation ou association représente les liens
sémantiques qui peuvent exister entre plusieurs entités. Il est
souvent représenté par un verbe. Une association possède
parfois des propriétés. Il en existe plusieurs à savoir
:
· Une relation réflexive relie une
même classe d'entité
· Une relation binaire relie deux classes
d'entité
· Une relation ternaire relie trois
classes d'entité
· Une relation n-aire relie n classes
d'entité
Formalisme :
Figure 5 : Représentation d'une
relation
Les cardinalités
C'est le nombre minimum et maximum de fois (min, max) qu'une
occurrence de l'objet participe aux occurrences de la relation. La
cardinalité d'une relation est donc composée d'un couple de
nombres comportant une borne maximale et une borne minimale, intervalle dans
lequel cardinalité d'une entité peut prendre sa valeur. Les
cardinalités traduisent les règles de gestion de l'entreprise.
Les concepts de Merise peuvent s'avérer insuffisants dans
certains cas, d'où l'introduction des concepts étendues avec
Merise2.
5.2.3. L'héritage entre
entités
Un héritage est crée lorsque plusieurs
entités possèdent a moins une propriété identique.
Une entité mère appelée sur-type est utilisé pour
factoriser les informations communes aux entités filles appelées
aussi sous-types. Le sous-type hérite alors de toutes les
propriétés du sur-type et il peut posséder en plus
posséder en plus des propriétés spécifiques.
Par exemple :
· Sur-type : PERSONNE (id personne, nom, prenom,
adresse)
· Sous-type : ETUDIANT (niveau)
· Sous-type : ENSEIGNANT (grade)
Les contraintes sur associations
Merise/2 permet de représenter des contraintes qui
déterminent les conditions d'appartenance d'une occurrence à une
entité spécialisée.
Les deux contraintes de base sont :
· La couverture : une occurrence de l'entité
générique doit appartenir à l'une ou l'autre des
entités spécialisées (contraire : non couverture) ;
· La disjonction : toute occurrence d'une entité
spécialisée n'appartient qu'à une seule et même
entité spécialisé. (contraire : non disjonction).
On distingue les types de contraintes spécifiques
suivantes :
· La contrainte d'exclusion sur entités
spécialisées spécifie qu'une occurrence d'une
entité mère appartient à une et une seule entité
spécialisée à la fois et peut n'appartenir à aucune
entité spécialisé ;
· La contrainte de partition sur deux relations exprime que
toute occurrence de l'entité pivot participe toujours à l'une ou
l'autre association mais jamais aux deux simultanément
5.3. Elaboration du modèle conceptuel des
données 5.3.1 Les règles de gestion
Les règles de gestion regroupent les contraintes
imposées par le système sur les relations entre les
données. Les règles suivantes régissent les données
du système étudié
RG01 : Un employé est soit un
fonctionnaire, soit un contractuel
RG02 : Un employé peut avoir plusieurs
enfants ou aucun
RG03 : Un employé peut être
avancé plusieurs fois aux cours de sa carrière
RG04 : L'avancement concerne un échelon
ou une classe
RG05 : Un employé peut être
reclassé plusieurs fois au cours de sa carrière
RG06 : Un reclassement concerne un grade
RG07 : un employé peut être
affecté plusieurs fois au cours de sa carrière
RG08 : un employé peut suivre plusieurs
formations ou aucune
RG09 : Un employé peut occuper plusieurs
postes au cours de sa carrière
RG10 : un employé a un numéro
matricule unique
RG11 : Un employé appartient à une
catégorie à un échelon et à une classe
RG12 : Une formation suivie avec succès
donne droit à un certificat ou à un diplôme
RG13 : Un employé peut avoir plusieurs
distinctions honorifiques ou aucun
RG14 : On ne peut accéder au
système sans être authentifié avec un privilège
approprié
RG15 : Un employé doit savoir au moins
une langue étrangère
RG16 : Un employé doit avoir un
régime matrimonial
RG17 : Un employé peut avoir un ou
plusieurs diplômes
RG18 : Un employé est
intégré une et une seule fois au cours de sa carrière
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
5.3.2 Le dictionnaire des données :
Le dictionnaire des données recense et décrit
l'ensemble des propriétés qui seront utilisées pour
dresser le modèle conceptuel des données.
RUBRIQUE
|
SIGNIFICATION
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
AdresseEmploye
|
Adresse de l'Employé
|
AN
|
50
|
AnneeReclassement
|
Année de reclassement de l'employé
|
N
|
10
|
AdresseConjoint
|
Adresse du conjoint de l'employé
|
AN
|
50
|
CertificatObtenu
|
Certificat obtenu par l'employé
|
AN
|
25
|
Classe
|
Classe de l'employé
|
AN
|
15
|
ComprisLangue
|
Langue compris par l'employé
|
AN
|
20
|
DateCIN
|
Date du CIN de l'employé
|
D
|
-
|
DateNaiss
|
Date de Naissance de l'employé
|
D
|
-
|
DateNaissEnfant
|
Date de naissance de l'employé
|
D
|
-
|
DateEffet
|
Date d'effet de l'avancement de l'employé
|
D
|
-
|
DatePasseport
|
Date du Passeport de l'employé
|
D
|
-
|
DateEntreeAdmin
|
Date d'entrée en administration de l'employé
|
D
|
-
|
DateDiplome
|
Date d'obtention du diplôme de l'employé
|
D
|
-
|
DateArrete
|
Date de l'arrêté de l'évolution de
carrière de
l'employé
|
D
|
-
|
DatePriseService
|
Date de Prise de service par l'employé
|
D
|
-
|
DateArreteDist
|
Date de l'arrêté de la distinction honorifique de
l'employé
|
D
|
-
|
DebutContrat
|
Date du début de contrat
|
D
|
-
|
Decision
|
Décision de l'évolution de carrière de
l'employé
|
AN
|
100
|
DernierEmploi
|
Dernière emploi de l'employé
|
AN
|
50
|
DescCategorie
|
Description de la catégorie de l'employé
|
AN
|
20
|
DureeContrat
|
Durée de contrat de l'employé
|
AN
|
10
|
DureeFormation
|
Durée de formation de l'employé
|
AN
|
10
|
Echellon
|
Echelon de l'employé
|
AN
|
20
|
EcrireLangue
|
Langue écrites par l'employé
|
AN
|
25
|
EmailEmploye
|
Adresse e-mail de l'employé
|
AN
|
100
|
FinContrat
|
Date de la fin du contrat de l'employé
|
D
|
-
|
IndiceActuel
|
Indice actuel de l'employé
|
N
|
10
|
IdAvancement
|
Identificateur de l'avancement
|
AN
|
4
|
IdCategorie
|
Identificateur de la catégorie de l'employé
|
AN
|
4
|
IdConjoint
|
Identificateur du (de la) conjoint(e) de l'employé
|
AN
|
4
|
IdContrat
|
Identificateur du contrat
|
N
|
4
|
IdDistinction
|
Identificateur de la distinction honorifique
|
AN
|
4
|
IdEnfant
|
Identificateur de l'enfant de l'employé
|
AN
|
4
|
IdFormProf
|
Identificateur de la formation professionnelle
|
N
|
4
|
IdGrade
|
Identificateur du grade de l'employé
|
AN
|
4
|
IdIntegration
|
Identificateur de l'intégration de l'employé
|
AN
|
4
|
IdLangue
|
Identificateur de langue
|
N
|
4
|
IdNature
|
Identificateur de la nature de la formation
|
AN
|
2
|
|
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
IdLieu
|
Identificateur du lieu
|
AN
|
4
|
IdPoste
|
Identificateur du poste
|
N
|
2
|
IdRegime
|
Identificateur du régime matrimonial
|
N
|
2
|
IdStatutContrat
|
Identificateur du statut de contrat
|
N
|
2
|
Indice
|
Indice de l'employé
|
AN
|
10
|
LibDiplome
|
Libellé du diplôme
|
AN
|
50
|
LieuNaiss
|
Lieu de naissance de l'employé
|
AN
|
40
|
LibLangue
|
Libellé de langue
|
AN
|
20
|
LieuDiplome
|
Lieu d'obtention du diplôme
|
AN
|
50
|
LibRegime
|
Libellé du régime matrimonial
|
AN
|
20
|
LibContrat
|
Libellé du contrat
|
AN
|
25
|
LibStatut
|
Libellé du statut de contrat
|
AN
|
20
|
LibDistinction
|
Libellé de la distinction honorifique
|
AN
|
25
|
LibGrade
|
Libellé du grade
|
AN
|
20
|
LieuFormation
|
Lieu de la formation professionnel
|
AN
|
20
|
LibNature
|
Nature de la formation professionnelle
|
AN
|
25
|
LibFormProf
|
Libellé de la formation professionnelle
|
AN
|
25
|
LibPoste
|
Libellé de la poste
|
AN
|
25
|
LibLieu
|
Lieu
|
AN
|
50
|
LieuCIN
|
Lieu du CIN
|
AN
|
50
|
NumMatricule
|
Numéro matricule de l'employé
|
AN
|
20
|
NomEmploye
|
Nom de l'employé
|
AN
|
50
|
NumCIN
|
Prénoms de l'employé
|
AN
|
50
|
NumPasseport
|
Numéro du passeport de l'employé
|
AN
|
20
|
NumTelEmploye
|
Numéro téléphone de l'employé
|
AN
|
20
|
NomConjoint
|
Nom du (de la) conjoint(e) de l'employé
|
AN
|
50
|
NomEnfant
|
Nom de l'enfant de l'employé
|
AN
|
50
|
NomParent
|
Nom du parent de l'employé
|
AN
|
100
|
OccupationEnfant
|
Occupation des enfants de l'employé
|
AN
|
50
|
PrenomEmploye
|
Prénoms de l'employé
|
AN
|
100
|
PrenomConjoint
|
Prénoms du (de la) conjoint(e) de l'employé
|
AN
|
50
|
PrenomEnfant
|
Prénoms de l'enfant de l'employé
|
AN
|
50
|
ParleLangue
|
Langues parlées par l'employé
|
AN
|
25
|
PrenomParent
|
Prénoms du parent de l'employé
|
AN
|
50
|
ProfessionConjoint
|
Profession du (de la) conjoint(e) de l'employé
|
AN
|
50
|
RefArrete
|
Référence de l'arrêté de
l'évolution de carrière
|
AN
|
100
|
RefArreteDist
|
Référence de l'arrêté de la
distinction honorifique
|
AN
|
100
|
StatutParent
|
Statut du parent de l'employé
|
AN
|
20
|
SitFamille
|
Situation de famille de l'employé
|
AN
|
20
|
SexeEmploye
|
Sexe de l'employé
|
AN
|
10
|
SexeConjoint
|
Sexe du (de la) conjoint(e) de l'employé
|
AN
|
10
|
TitreAcquis
|
Titres acquis suivant diplôme
|
AN
|
25
|
TypeEvolution
|
Type d'évolution de carrière
|
AN
|
50
|
|
Tableau 7 : Dictionnaire des données
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
AN : Alphanumérique
N : Numérique
D : Date
5.3.3 Le modèle conceptuel des données
Figure 6 : Modèle Conceptuel des
Données
5.4. Elaboration du modèle logique de
donnée(MLD)
C'est une représentation du système tel qu'il sera
implémenté dans l'ordinateur. Il est indépendant d'un
système particulier. On l'obtient à partir du MCD.
Il utilise les concepts :
· Relation : est un ensemble d'attributs
significativement associés ;
· Clé d'une relation : c'est
l'attribut qui va servir à identifier une relation, il est par
convention souligné ;
· Clé étrangère : est
un attribut d'une relation qui est soumis à une contrainte
d'intégrité référentielle par rapport à une
clé d'une autre relation.
Formalisme : NOM_RELATION : (clé, attribut1,..., attribut
n, clé étrangère#)
5.4.1. Règle de passage du MCD au MLD
a) Tout entité devient une relation dans la quelle les
propriétés sont traduites en attributs et la clé primaire
devient la clé de la relation
b) Toute association binaire de cardinalité maximum
à 1 induit la création d'une clé étrangère :
la clé de la relation mère devient clé
étrangère de la relation fille ;
c) Toute association de cardinalités maximum à n
devient une relation telle que :
· Les attributs de la relation traduisent les
propriétés de l'association
· Les identifiants sont individuellement clés
étrangères de la relation créée.
5.4.2. Le Modèle Logique des Données
En appliquant les règles citées
précédemment, le MCD est traduit au MLD qui suit
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Figure 7 : Modèle Logique des
Données
34
VI.PRESENTATION DES OUTILS 6.1. Présentation de
Oracle 10g
Avant tout, Oracle est un
système de gestion de base de données relationnel (SGBDR) fourni
par Oracle Corporation. Il a été développé par
Lawrence Ellison, accompagné d'autres personnes telles que Bob Miner et
Ed Oates.
6.1.1. Historique
Avant la présentation détaillée de la
base de données Oracle 10g, on va d'abord voir en quelques lignes son
historique.
Donc, Software Development Laboratories a été
créé en 1977. En 1979, SDL change de nom en devenant Relational
Software, Inc. (RSI) et introduit son produit Oracle V2 comme base de
données relationnelle. La version 2 ne supportait pas les transactions
mais implémentait les fonctionnalités SQL basiques de
requête et jointure. Il n'y a jamais eu de version 1, pour des raisons de
marketing, la première version a été la version 2.
Celle-ci fonctionnait uniquement sur les systèmes Digital VAX/VMS.
· En 1983, RSI devient Oracle Corporation pour
être plus représentative de son produit phare. La version 3
d'Oracle, entièrement réécrite en langage de programmation
C, est publiée. Celle-ci supportait les transactions grâce aux
fonctionnalités de commit et
rollback. C'est aussi à partir de cette
version que la plate-forme Unix est supportée.
· En 1984, la version 4 d'Oracle apparaît, supportant
la cohérence en lecture (read consistency).
· Début 1985, Oracle commence à
intégrer le modèle client-serveur, avec l'arrivée des
réseaux au milieu des années 1980. La version 5 d'Oracle supporte
donc les requêtes distribuées.
·
En 1988, Oracle met sur le marché son ERP1 -
Oracle Financials basé sur la base de données relationnelle
Oracle. Oracle version 6 supporte le PL/SQL, le verrouillage de lignes
(row-level locking) et les sauvegardes à chaud
(hot backups, lorsque la base de données est
ouverte).
· En 1992, la version 7 d'Oracle supporte les contraintes
d'intégrité, les procédures stockées et les
déclencheurs (triggers).
· En 1995, acquisition d'un puissant moteur
multidimensionnel, commercialisé sous le nom d'Oracle Express.
· En 1997, la version 8 introduit le développement
orienté objet et les applications multimédia.
· En 1999, la version 8i est publiée dans le but
d'affiner ses applications avec Internet. La base de données comporte
nativement une machine virtuelle Java.
· En 2001, Oracle 9i ajoute 400 nouvelles
fonctionnalités et permet de lire et d'écrire des documents
XML2.
À partir de la version 9i, intégration du
moteur OLAP au sein de Oracle : le moteur Oracle express est dorénavant
référencé au sein de l'option Oracle OLAP. Les
données multidimensionnelles sont accessibles à partir du langage
SQL.
· En 2003, la version 10g est publiée. Le
g signifie « grid
» ; un des atouts marketing de la 10g est en effet qu'elle supporte le
« grid computing ».
· En 2005, vers la fin novembre, une version
complètement gratuite est publiée, la « Oracle Database 10g
Express Edition ».
· En 2005, rachat de Siebel.
· En 2007, rachat de Hyperion Solutions et sortie de la
version 11g le 11 juillet.
1 Enterprise Resource Planning
2 Extensible Markup Language
·
En 2008, rachat de BEA Systems.
La base de données Oracle
10g Standard Edition est une base de données
complète destinée aux petites et moyennes entreprises exigeant de
bénéficier des performances, de la disponibilité et de la
sécurité de la base de données leader à un tarif
économique. Utilisable sur serveur en cluster ou non pouvant comporter
jusqu'à quatre processeurs, la base de données Oracle
10g Standard Edition constitue la solution
idéale pour développer et déployer des applications de
base de données de façon rentable.
Elle intègre la solution Oracle Real Application
Clusters, RAC. Real Application Clusters vous permet de mettre en oeuvre une
stratégie de haute disponibilité pour tout type d'application. En
cas de défaillance de l'un des noeuds, l'autre noeud continue de
fonctionner normalement. En outre, si vous avez besoin d'un surcroît de
puissance de traitement, vous pouvez ajouter un autre serveur sans avoir
à déconnecter les utilisateurs.
6.1.2. Les composants d'Oracle
Outre la base de données, la solution Oracle est un
véritable environnement de travail constitué de nombreux
logiciels permettant notamment une administration graphique d'Oracle, de
s'interfacer avec des produits divers et d'assistants de création de
bases de données et de configuration de celles-ci.
On peut classer les outils d'Oracle selon diverses
catégories :
· Les outils d'administration
· Les outils de développement
· Les outils de communication
· Les outils de génie logiciel
· Les outils d'aide à la décision
6.1.3. Les outils d'administrations d'Oracle
Oracle est fourni avec de nombreux outils permettant de
simplifier l'administration de la base de données. Parmi ces outils, les
plus connus sont :
·
Oracle Manager (SQL*DBA)
· Network Manager
· Oracle Enterprise Manager
· Import/Export : un outil permettant d'échanger des
données entre deux bases Oracle
6.1.4. Les outils de développement d'Oracle
Oracle propose également de nombreux outils de
développement permettant d'automatiser la création d'applications
s'interfaçant avec la base de données. Ces outils de
développement sont :
· Oracle Designer
· Oracle Developer
· SQL*Plus : une interface interactive permettant
d'envoyer des requêtes SQL et PL/SQL à la base de données.
SQL*Plus permet notamment de paramétrer l'environnement de travail
(formatage des résultats, longueur d'une ligne, nombre de lignes par
page, ...)
· Oracle Developper : il s'agit d'une suite de produits
destinés à la conception et à la création
d'applications client-serveur. Il est composé de 4 applications :
o Oracle Forms (anciennement SQL*Forms) : un outil permettant
d'interroger la base de données de façon graphique sans
connaissances préalables du langage SQL. SQL*Forms permet ainsi de
développer des applications graphiques (fenêtres, formulaires,
...) permettant de sélectionner, modifier et supprimer des
données dans la base.
o Oracle Reports (SQL*ReportWriter) : un outil permettant de
réaliser des états o Oracle Graphics : un outil de
génération automatique de graphiques
dynamiques pour présenter graphiquement des statistiques
réalisées à partir
des données de la base
o Procedure Builder : un outil permettant de développer
des procédures, des fonctions et des packages
6.2. Les fonctionnalités d'Oracle
Oracle est un SGBD permettant d'assurer :
·
La définition et la manipulation des données
· La cohérence des données
· La confidentialité des données
· L'intégrité des données
· La sauvegarde et la restauration des données
· La gestion des accès concurrents
Outre ces fonctionnalités, il possède aussi de
nombreux avantages à savoir :
· Richesse fonctionnelle
· Fonction d'audit évolué
· Row level storage security (RLSS) : permet de ne faire
apparaître que certaines lignes des tables pour un utilisateur/une
application donné.
· Intégration LDAP3, SSL4,
Unicode; réplication intégrée; capable de mapper un
fichier plat en table
· Parallélisme, caches nommés; haute
disponibilité; grande possibilité de tuning
· Compression des backups
· Procédures stockés en PL-SQL (langage
propriétaire Oracle, orienté ADA) ou ... en JAVA (depuis la
8.1.7) ce qui peut s'avérer utile pour les équipes de
développement.
· Assistants performants via Oracle Manager Server,
possibilité de gérer en interne des tâches et des
alarmes
· Gestion centralisée de plusieurs instances
· Concept unique de retour arrière (Flashback)
· Pérennité de l'éditeur : avec plus
de 40% de part de marché, ce n'est pas demain qu'Oracle
disparaîtra
· Réglages fins : dans la mesure ou l'on connait
suffisamment le moteur, presque TOUT est paramétrable.
· Accès aux données système via des
vues, bien plus aisément manipulable que des procédures
stockées.
3 Lightweight Directory Access Protocol
4 Secure Sockets Layer
·
Interface utilisateur remaniée et extrêmement riche,
permettant - enfin ! - le tuning fin de requêtes par modification des
plans d'exécution.
· Architecture Multi-Générationelle (MGA)
· Services Web, support XML
· Ordonnanceur intégré
6.2.1. Les fichiers physiques d'une base
Oracle
Les fichiers physiques d'une base Oracle permettent de
stocker de manière persistante les données manipulées par
Oracle, tandis que la mémoire sert à optimiser la vitesse de
fonctionnement de la base de données.
On distingue généralement deux types de fichiers
:
· Les fichiers servant à stocker les informations de
la base. Tous ces fichiers sont des fichiers binaires, ce qui signifie
qu'ils sont inexploitables avec un éditeur de texte.
· Les fichiers destinés à la configuration et
au fonctionnement de la base Oracle
Oracle a défini une architecture permettant de
définir une méthode d'organisation standard des fichiers de la
base Oracle. Cette architecture est nommée OFA
(Optimal Flexible Architecture).
Les fichiers d'une base de données Oracle sont les
suivants :
· Les fichiers de données (dont
l'extension est .dbf). Ces fichiers contiennent l'ensemble des
données de la base (les tables, les vues, les procédures
stockées, ...).
· Les fichiers Redo Log (dont l'extension
est .rdo ou .log). Ces fichiers contiennent l'historique des modifications
effectuées sur la base de données
· Les fichiers de contrôle (dont
l'extension est .ctl). Ces fichiers permettent de stocker les informations sur
l'état de la base de données (emplacement des fichiers, dates de
création, ...)
Une base de données Oracle nécessite au minimum un
fichier de données, deux fichiers redo Log et un fichier de
contrôle.
6.2.2. Les processus d'Oracle
Le fonctionnement de la base Oracle est régi par un
certain nombre de processus chargés en mémoire permettant
d'assurer la gestion de la base de données.
On distingue généralement deux types de processus
:
· les processus utilisateurs (appelés aussi
user process ou noyau
oracle)
On distingue deux types de processus utilisateurs :
o Oracle Server Code, aussi appelé
noyau d'Oracle, est chargé
d'interpréter et d'exécuter les requêtes SQL, ainsi que de
gérer la mémoire et les fichiers de données
o Code spécifique de l'outil,
l'implémentation qui exécute réellement les commandes
SQL.
· Les processus systèmes (oracle
process).
Les processus Oracle (processus système) se classent en
deux catégories :
o Les processus serveurs (process server)
gérant les requêtes des utilisateurs provenant des connections
à la base de données générées par des outils
tels que SQL*Plus. Le processus serveur est chargé de la communication
entre la SGA5 et le processus utilisateur. Il permet ainsi
d'analyser et d'exécuter les requêtes SQL des utilisateurs, de
lire les fichiers de données et de placer les blocs de données
correspondants dans la SGA.
o Les processus d'arrière-plan
(background process) chargés d'assurer le fonctionnement interne du SGBD
Oracle (gestion de la mémoire, écriture dans les fichiers,
...).
Un processus utilisateur est créé pour chaque
programme exécuté par un utilisateur (par exemple Oracle Forms ou
Server Manager) afin de fournir l'environnement nécessaire à
l'exécution de celui-ci. Le processus utilisateur ainsi
créé communique avec les processus systèmes à
travers le programme interface.
5 System Global Area
Chaque processus a pour nom
ora_nomduprocessus_SID où SID
représente le nom de l'instance à laquelle le processus est
associé.
Les 4 principaux processus systèmes sont :
· DBWR (DataBase
Writer ou Dirty Buffer Writer), le
processus chargé d'écrire le contenu des buffers dans les
fichiers de données
· LGWR (Log
Writer), le processus chargé d'écrire le contenu
des buffers dans les fichiers Redo Log
· PMON (Process
Monitor), le processus chargé de nettoyer les ressources,
les verrous et les processus utilisateurs non utilisés
· SMON (System
Monitor), le processus chargé de vérifier la
cohérence de la base de données et éventuellement sa
restauration lors du démarrage si besoin
Il existe également d'autres processus d'importance
secondaire :
· CKPT
(CheckPoint), le processus chargé
d'écrire le contenu des buffers dans les fichiers de données
· RECO
(Recoverer), il s'agit d'un processus optionnel
permettant de résoudre les transactions interrompues brutalement dans un
système de bases de données distribuées (par exemple un
système de réplication de bases de données)
· ARCH
(Archiver). Ce processus est optionnel et n'existe
qu'en mode ARCHIVELOG. Il permet de dupliquer les
fichiers Redo-Log dans un espace d'archivage.
· Dnnnn
(Dispatcher, nnnn
représente une suite de nombre entiers) : Ce processus est optionnel et
n'est présent que dans les configurations MTS (multi-threaded server).
Il permet de router les requêtes des postes clients-serveurs distants
vers les autres serveurs. Il existe au moins un processus Dnnnn pour chaque
protocole de communication
· Snnnn
(Server, nnnn
représente une suite de nombre entiers) : Ce processus est n'est
également présent que dans les configurations MTS. Il permet de
recevoir les demandes de connexions distantes envoyées par le processus
Dnnnn d'un serveur distant.
·
LCKn (Lock) est un
processus de verrouillage utilisé lorsque Oracle Parallel Server est
installé.
6.2.3. Dictionnaires de données
d'Oracle
Le dictionnaire de données Oracle représente le
coeur de la base de données. Il s'agit d'un ensemble de tables
systèmes contenant les informations relatives à la structure de
la base de données :
· Utilisateurs de la base (ainsi que leurs
privilèges et leur rôle)
· Noms et caractéristiques des objets contenus dans
la base (tables, vues, index, clusters, triggers, packages, ...)
· Contraintes d'intégrité
· Ressources physiques allouées à la base
· ...
Le dictionnaire est créé au moment de la
création de la base et est mis à jour.
Il appartient à l'utilisateur
SYS, mais l'utilisateur
SYSTEM, c'est-à-dire l'administrateur de la
base, possède des droits de lecture sur des vues du dictionnaire. Enfin
le dictionnaire de données est conservé dans le tablespace
SYSTEM.
Le dictionnaire de données sert principalement dans deux
situations :
· afin de vérifier la syntaxe et les
privilèges sur une requête SQL (pour le DDL, Data
Definition Language)
· Afin d'obtenir des informations sur la structure de la
base de données
6.2.4. Les différentes vues d'Oracle
De nombreuses vues permettent à des utilisateurs
d'accéder à certaines parties du dictionnaire de données.
Les vues fournissent à l'administrateur de la base le meilleur moyen
pour obtenir les caractéristiques techniques de celle-ci.
Les vues du dictionnaire de données sont
classées par famille et nommées en fonction de l'appartenance
à une de ces familles. Voici la liste de ces familles de vues :
· Les vues USER (dont le nom commence
par USER_) donnent des informations sur tous les
objets logiques dont l'utilisateur connecté est propriétaire
(tables, index, vues, procédures, ...)
· Les vues ALL (dont le nom commence
par ALL_) fournissent des informations sur les objets
pour lesquels l'utilisateur a un droit d'accès, c'est-à-dire les
objets de la base créés par l'utilisateur ainsi que tous les
objets accessibles par cet utilisateur.
· Les vues DBA (dont le nom commence
par DBA_). Ces vues sont réservées
à l'administrateur de la base (DBA, DataBase
Administrator) afin de lui fournir des informations sensibles sur
tous les objets de la base de données.
Les vues V$ (dont le nom commence par
V$_) sont des vues dynamiques permettant d'avoir des
informations sur l'état courant de l'instance de la base de
données de son démarrage à son arrêt. Elles
permettent par exemple de connaître les fichiers physiques actuellement
utilisés par la base (logs, rollback segments, ...).
6.3. Présentation du langage PL/SQL
Le langage PL/SQL est un langage L4G (un langage de
quatrième génération), fournissant une interface
procédurale au SGBD Oracle. Le langage PL/SQL intègre
parfaitement le langage SQL en lui apportant une dimension
procédurale.
En effet, le langage SQL est un langage déclaratif non
procédural permettant d'exprimer des requêtes dans un langage
relativement simple. En contrepartie il n'intègre aucune structure de
contrôle permettant par exemple d'exécuter une boucle
itérative.
Ainsi le langage PL/SQL permet de manipuler de façon
complexe les données contenues dans une base Oracle en transmettant un
bloc de programmation au SGBD au lieu d'envoyer une requête SQL.
De cette façon les traitements sont directement
réalisés par le système de gestion de bases de
données. Cela a pour effet notamment de réduire le nombre
d'échanges à travers le réseau et donc d'optimiser les
performances des applications.
D'autre part le langage PL/SQL permet de faire appel à
des procédures externes, c'està-dire des procédures
écrites dans un autre langage (de troisième
génération, généralement le langage C).
Le langage PL/SQL permet de définir un ensemble de
commandes contenues dans ce que l'on appelle un "bloc" PL/SQL. Un bloc PL/SQL
peut lui-même contenir des sous-blocs. La syntaxe PL/SQL est simple et
lisible.
Il offre un moyen d'identifier et de traiter les
éventuelles erreurs à l'aide du mécanisme des exceptions.
En cas d'erreur, celle-ci est automatiquement transmise à un bloc
EXCEPTION permettant de la traiter. PL/SQL définit en standard un grand
nombre d'exceptions (c'est-à-dire que PL/SQL prédéfinit un
grand nombre de types d'erreurs).
De plus il est possible de définir vos propres
exceptions, ce qui offre de nombreuses possibilités.
6.3.1. Pourquoi PL/SQL ?
Le langage SQL est un langage "ensembliste",
c'est-à-dire qu'il ne manipule qu'un ensemble de données
satisfaisant des critères de recherche. PL/SQL est un langage
"procédural", il permet de traiter de manière conditionnelle les
données retournées par un ordre SQL.
Le langage PL/SQL, abréviation de
"Procedural Language extensions to SQL", comme son nom l'indique, étend
SQL en lui ajoutant des éléments, tels que :
Les variables et les types.
Les structures de contrôle et les boucles. Les
procédures et les fonctions.
Les types d'objets et les méthodes.
Ce ne sont plus des ordres SQL qui sont transmis un à
un au moteur de base de données Oracle, mais un bloc de programmation.
Le traitement des données est donc interne à la base, ce qui
réduit considérablement le trafic entre celle-ci et
l'application.
Combiné à l'optimisation du moteur PL/SQL, cela
diminue les échanges réseau et augmente les performances globales
de vos applications.
Toutes les bases de données Oracle comportent un moteur
d'exécution PL/SQL. Comme Oracle est présent sur un très
grand nombre de plates-formes matérielles, le PL/SQL permet une grande
portabilité des applications. Le langage PL/SQL est simple
d'apprentissage et de mise en oeuvre. Sa syntaxe claire offre une grande
lisibilité en phase de maintenance des applications. De nombreux outils
de développement, en dehors de ceux d'Oracle, autorisent la
programmation en PL/SQL dans la base de données.
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Ci-après un schéma simple illustrant l'envoie des
requêtes PL/SQL d'un client vers le serveur oracle :
Figure 8 : Requête PL/SQL vers un
serveur
6.3.2. Architecture de PL/SQL
Le moteur de base de données, Oracle,
coordonne tous les appels en direction de la base. Le SQL et le PL/SQL
comportent chacun un "moteur d'exécution" associé, respectivement
le SQL STATEMENT EXECUTOR et le PROCEDURAL STATEMENT EXECUTOR.
Lorsque le serveur reçoit un appel pour exécuter
un programme PL/SQL, la version compilée du programme est chargée
en mémoire puis exécutée par les moteurs PL/SQL et
SQL. Le moteur PL/SQL gère les structures mémoire
et le flux logique du programme, tandis que le moteur SQL transmet à la
base les requêtes de données.
Le PL/SQL est utilisé dans de nombreux produits Oracle,
parmi lesquels : Oracle Forms et Oracle Reports ;
Oracle Application Express
Oracle Warehouse Builder ;
Les programmes PL/SQL peuvent être appelés à
partir des environnements de développement Oracle suivants :
SQL*Plus ;
Oracle Enterprise Manager;
les pré compilateurs Oracle (tels que Pro*C, Pro*COBOL,
etc.) ; Oracle Call Interface (OCI) ;
Server Manager;
Java Virtual Machine (JVM).
Un bloc PL/SQL peut être traité dans un outil de
développement Oracle (SQL*Plus, Oracle Forms, Oracle Reports). Dans ce
cas, seules les instructions sont traitées par le moteur PL/SQL
embarqué dans l'outil de développement, les ordres SQL
incorporés dans les blocs PL/SQL sont toujours traités par la
base de données. Ci-suit un schéma simple illustrant
l'architecture de PL/SQL :
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Figure 9 : Architecture de PL/SQL
6.3.4. Syntaxe de PL/SQL
Tout langage de programmation possède une syntaxe, un
vocabulaire et un jeu de caractères. Le langage PL/SQL est une
série de déclarations et instructions. Chaque instruction se
termine par « ; » elle peut être
répartie sur plusieurs lignes, afin de la rendre plus lisible.
Il est préférable de ne pas avoir plus d'une
instruction ou déclaration par ligne. Les programmes PL/SQL
sont écrits sous forme de blocs de code définissant
plusieurs sections comme la déclaration de variables, le code
exécutable et la gestion d'exceptions (erreurs).
Le code PL/SQL peut être stocké dans la base sous
forme d'un sous-programme doté d'un nom ou il peut être
codé directement dans SQL*Plus en tant que "bloc de code anonyme",
c'est-à-dire sans nom. Lorsqu'il est stocké dans la base, le
sous-programme inclut une section d'en-tête dans laquelle il est
nommé, mais qui contient également la déclaration de son
type et la définition d'arguments optionnels.
Le langage PL/SQL peut contenir les instructions SQL de type
Langage de Manipulation de
Données, mais il ne peut comporter aucune instruction
du Langage de Définition de
Données.
De plus, la gestion de la transaction est identique qu'on
travaille en SQL ou en PL/SQL.
La structure type d'un bloc PL/SQL est la suivante :
[DECLARE]
... BEGIN
... [EXCEPTION]
... END ;
Lorsqu'on exécute une instruction SQL dans SQL*Plus,
elle se termine par un point-virgule. II ne s'agit que de la terminaison de
l'instruction, non d'un élément qui en est constitutif. A la
lecture du point-virgule, SQL*Plus est informé que l'instruction est
complète et l'envoie à la base de données
Dans un bloc PL/SQL, tout au contraire, le point-virgule n'est
pas un simple indicateur de terminaison, mais fait partie de la syntaxe
même du bloc. Lorsque vous spécifiez le mot-clé «
DECLARE» ou « BEGIN »,
SQL*Plus détecte qu'il s'agit d'un bloc PL/SQL et non d'une instruction
SQL. Il doit cependant savoir quand se termine le bloc. La barre oblique «
/ », raccourci de la commande SQL*Plus « RUN
», lui en fournit l'indication.
6.4. Présentation de Windev
Windev est un AGL (Atelier de Génie Logiciel) complet
permettant de développer une application complet Windows dans des
nombreuses domaines comme : gestion, industriel,...
Windev est un outil de développement complet qui
intègre tous les outils nécessaires au cycle de
réalisation d'une « application ».
Contrairement à d'autres langages de
développement traditionnels, il n'est pas nécessaire de
rechercher ou de rajouter des modules pour concevoir, tester et installer une
application
6.4.1 Concept de base de Windev
Windev permet de créer simplement une application. Mais
que recouvre exactement une application ?
Une application est un outil qui permet de réaliser des
tâches, des actions
automatiquement. Une application est constitué d'un
programme exécutable(ou d'un ensemble de programme exécutable)
Un programme exécutable est un fichier
composé d'éléments directement manipulables par
l'utilisateur.
Pour créer un exécutable, Windev propose de
créer un « Projet ». Un projet relie entre
eux les différents éléments du programme, et les organise.
C'est à partir du projet que pourra être créé le
programme exécutable.
Si l'application manipule des données, Windev permet de
définir la structure de la base de données grâce à
l'analyse. L'analyse de Windev contient la description des
fichiers que l'on nomme souvent table dans la base de données. Ces
fichiers contiendront les données de l'application.
La description des fichiers dans l'analyse n'entraine pas leur
création. Les fichiers de données sont crées physiquement
uniquement à l'exécution de l'application
Un ou plusieurs projets Windev peuvent être liés
à la même analyse. Dans ca cas, on parle d'analyse
partagé
6.4.2 Base de programmation
6.4.2. 1.Les différents types de variables
:
Windev propose des différentes types de variables
(booléen, entier, monétaire, chaîne, date, heure,
durée, dateheure, durée, variant, tableau, structure, ...)
La syntaxe à utiliser pour déclarer un variable est
très simple : il suffit d'indiquer le nom de la variable et son type
:
NomVariable EST UN(e) TypeVariable
Exemples :
NomEmploye est une chaîne
Indice est un entier
6.4.2.2 Les instructions de base
Le WLangage permet de gérer les instructions
conditionnelles du type :
. SI, SINON, FIN pour effectuer un test sur une
condition
. SELON, CAS, FIN pour exécuter une ou
plusieurs actions selon les différents résultats d'un test sur
une condition.
6.4.2.3. Les instructions de boucle :
Le WLangage propose plusieurs possibilités pour
gérer les boucles
POUR, FIN pour un nombre d'itération
déterminé.
TANTQUE, FIN pour un nombre d'itération
indéterminé et dont la condition de la sortie est testée
au début de la boucle.
BOUCLE, FIN pour un nombre d'itération
indéterminé et dont la condition de la sortie est testée
dans la boucle. L'instruction SORTIR permet de sortir de cette boucle.
Le WLangage propose également des boucles de type POUR
TOUT, FIN permettant de parcourir les éléments d'un champ, les
chaînes de caractères, les enregistrements des fichiers.
6.4.2.4 Procédures et fonctions
Côté programmation, il existe les procédures
et les fonctions : Les fonctions renvoient un résultat
Les procédures servent à exécuter un
traitement spécifique.
Windev permet de gérer simplement les deux types de
traitements, de manière identique : Sous Windev il n'y a pas de
différence entre fonction et procédure
VII. REALISATION
7.1 Architecture du système
Voici l'architecture du système à mettre en
oeuvre
Figure 10 : Architecture du système
> Le client est un poste de travail
> La machine distante est une machine sur laquelle est
installé Microsoft Server 2003 > Le serveur de base de donnée
hébergera le SGBDR Oracle 10g
7.2. Administration Oracle 10g :
7.2.1. Création espace disque logique
Oracle est un SGBDR très puissant et avec des niveaux de
sécurité élevé. L'Administration d'une Base de
Donnée Oracle demande beaucoup de rigueur et d'attention.
Avant de créer quoi que ce soit sur Oracle, il faut tout
d'abord crée ce que l'on appelle « Schéma »
Pour cela il faut définir l'espace disque logique que
notre Base de donnée va occuper.
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Figure 11 : Création Espace disque
logique
Cet espace disque logique se divise lui-même en deux
catégories que l'on appelle « Tablespace »:
+ Il y a ce que l'on nomme espace disque logique permanent qui
va contenir les données permanent de notre base. On peut définir
nous même sa taille(en Megaoctet). Pour notre part on l'a appelé
« BAZIKO »
+ Il y a aussi ce que l'on appelle espace disque logique
temporaire, sa taille est logiquement inferieur à la taille de l'espace
logique permanent, celui-ci va contenir les données temporaires de notre
base. Pour notre part on l'a appelé « BAZIKO _TMP»
Figure 12 : Visualisation de l'espace disque
logique
7.2.2. Création d'une table
Apres avoir crée un utilisateur avec un
privilège approprié, on peut maintenant crée les
différents tables de notre application. Deux solutions s'offrent
à nous pour la création des tables :
Soit les créer manuellement avec ce menu
Figure 13 : Création d'une table
Soit les créer a l'aide des scripts « *.sql »
via Oracle SQL *Plus comme ce portion de code
CREATE TABLE EMPLOYE
(
NUMMATRICULE NUMBER(10) NOT NULL, ID_INTEGRATION NUMBER(2) NOT
NULL, ID_REGIME NUMBER(4) NOT NULL,
NOMEMPLOYE VARCHAR2(50) NULL, PRENOMEMPLOYE VARCHAR2(50) NULL,
NUMCIN CHAR(20) NULL,
DATECIN DATE NULL,
LIEUCIN CHAR(32) NULL,
NUMPASSEPORT CHAR(20) NULL,
DATEPASSEPORT DATE NULL,
ADRESSEEMPLOYE VARCHAR2(32) NULL,
|
EMPLOYE_INTEGRATION
CREATE INDEX I_FK_
ON EMPLOYE (ID_
INTEGRATION ASC)
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
SITFAMILLE CHAR(32) NULL,
NUMTELEMPLOYE CHAR(32) NULL,
EMAILEMPLOYE CHAR(100) NULL, DATEENTREEADMINISTRATION DATE NULL,
DERNIEREEMPLOI CHAR(32) NULL,
SEXEEMPLOYE CHAR(10) NULL,
INDICEACTUEL CHAR(10) NULL,
STATUTEMPLOYE CHAR(32) NULL
, CONSTRAINT PK_EMPLOYE PRIMARY KEY (NUMMATRICULE)
) ;
-- INDEX DE LA TABLE EMPLOYE
;
CREATE INDEX I_FK_EMPLOYE_REGIME_MATRIMONIA
ON EMPLOYE (ID_REGIME ASC)
;
57
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Pour notre part, on a choisi la deuxième option et avait
obtenu les tables de notre projet suivant :
En laçant le script de création dans Oracle SQL
*Plus
Figure 14 : Création des tables sous Oracle
SQL*Plus
Si tout s'est bien passée on devra avoir les messages
suivantes «Table crée, Index crée »
Figure 15 : Liste de tables
créées
7.2.3. IMPORT/ EXPORT Base ORACLE
Pour importer une base de données Oracle, on utilise la
suite commande suivant :
Syntaxe : imp user/motdepasse file= nomfic.dmp fromuser= user
touser= nouveau utilisateur log=nomfichierjournal.log.
Dans notre cas on a procédé comme suit :
D:\>imp onja/onja
file=sauvebase.dmp fromuser=onja touser=onja log=implog.log
Notre base s'appelle « orcl 4». Pour notre cas, on a
choisi de conserver le même schéma pour faciliter l'export de la
base
Pour exporter la base, il suffit de taper la suite de commande :
D:\>exp onja/onja@orcl4
file=sauvebase.dmp full=Y
Notre fichier de sauvegarde s'appelle « sauvebase
.dmp»
7.3. Création d'un projet sous Windev
7.3.1. Projet Windev
Pour créer le projet :
a) Sélectionner l'option fichier «
Nouveau..Projet ». L'assistant de création du projet se lance, tous
les renseignements indiqués dans cet assistant pourront être
modifié par la suite.
b) Le premier plan de l'application permet de saisir le nom du
projet, son emplacement et sa description
Figure 16 : Assistant de création du
projet
c) Les différentes étapes de l'assistant sont
indiquées a gauche de l'assistant. Ces étapes sont directement
cliquables
Afficher l'écran suivant
d) Utiliser une Base de données externe
Figure 17 : Choix de la source des
données
e) Indiquer le mode de connection à la base de
données
Figure 18 : Sélection de la base
source
7.3.2 Création d'un RAD
Qu'est ce qu'un RAD ?
RAD sont les initiales de « Rapid Application Development
»
Le RAD permet de construire automatiquement une application.
Un module RAD de Windev s'appuie sur ce que l'on appelle « analyse
». Une analyse contient la définition des structures des
fichiers manipulés dans le traitement.
Le module RAD est constitué d'un assistant dans le quel on
peut choisir le modèle de l'application à générer
et les principales options de fonctionnement de l'application.
Génération du RAD
Pour lancer la génération du RAD :
a)
On sélectionne l'option « Atelier..RAD Application
Complet ». l'assistant de génération RAD se lance.
b) On sélectionne le modèle à utiliser pour
la génération RAD : par exemple : « Pattern RAD Jet Tames
». Passer à l'écran suivant.
c) On sélectionne les fichiers de l'analyse qui vont
être prise en compte :
Figure 19 : Choix des fichiers pour le RAD
Afficher l'écran suivant.
d) Les points d'entrés de l'application correspondent aux
entrées disponibles dans le menu
Figure 20 : Point d'entrée pour le RAD
Afficher l'écran suivant
e) Indiquer si les tables générer dans les
fenêtres de l'application doivent permettre la saisie ou non
Afficher l'écran suivant
f) Pour chaque fichier il est possible d'associer une image.
g) Indiquer si le menu automatique doit intégrer
l'application
Figure 21 : Choix des options du menu
Afficher l'écran suivant et ainsi de suite jusqu'à
en obtenir « Terminer »
7.3.3 Création d'un Exécutable
Pour créer l'exécutable
a) Sélectionner l'option «
Atelier..Générer l'exécutable Windows 32bits »
N.B : Windev permet également la création des
exécutables 64 bits et des exécutables Linux
b) L'assistant de création de l'exécutable se
lance. Un premier écran présentant des tests automatiques est
affiché. Dans notre cas tous les tests automatiques ont
été passés avec succès. Passer l'écran
suivant
c) L'écran suivant permet de décrire les
options générales de l'exécutable :
· Le nom de l'exécutable
· Le nom de l'icône associé à
l'exécutable
· L'image de l'introduction
d) Passer l'écran suivant. Pour le fonctionnement de
l'exécutable, nous garderons l'option par défaut.
e) L'écran suivant permet de définir les messages
d'erreurs de l'application. Nous garderons le message d'erreur par
défaut
f) L'écran suivant permet de définir l'utilisation
de MCU (Macro Code Utilisateur) dans notre application. Nous garderons l'option
par défaut et passer à l'écran suivant
g) L'écran suivant permet de dire si l'exécutable
prendra en compte les patchs. Passer l'écran suivant.
h) L'écran suivant permet de gérer les langues de
l'exécutable, nous garderons l'option par défaut.
i) L'écran suivant récapitule tous les fichiers
qui seront intégré dans la bibliothèque de
l'exécutable. Ce sont les éléments du projet qui peuvent
être manipulé par l'utilisateur final
j) L'écran suivant concerne le Framework Windev.
Passer l'écran suivant
k) L'écran suivant concerne le centre de
réutilisabilité. Ce centre est intéressant si
l'application doit être déployée au sein même de
l'entreprise.
l) L'exécutable est créé, il est possible de
le lancer immédiatement, pour vérifier son fonctionnement.
7.3.4 Création de l'installation
La création de l'installation est une opération
très simple sous Windev : un assistant nous permet de définir les
choix principaux. Si les options proposées par assistant ne suffisent
pas, il est possible d'utiliser l'éditeur de l'installation.
Pour créer le programme d'installation :
a) Sélectionner l'option « Atelier.. Créer la
procédure d'installation. L'assistant de création
d'exécutable d'installation se lance. Nous avons déjà
créé l'exécutable, cliquer directement dans l'assistant
sur l'intitulé « Aide des nouveautés »
b) Un écran s'affiche proposant de créer la page
de nouveautés
Figure 22 : Création de la bibliothèque
et de l'installation
Cette option permet de créer un fichier d'aide pour
présenter à l'utilisateur final des nouveautés de la
version. Lors d'une première installation, ce fichier peut correspondre
à l'aide du logiciel
c)
L'écran suivant permet de définir les
éléments qui seront automatiquement intégrés au
fichier d'aide. Passer l'écran suivant
d) Valider le message. L'exécutable est automatiquement
créé, et le système d'aide créé. Cliquer sur
l'option « Poursuivre la création de procédure
d'installation »
Figure 23 : Création et procédure
d'installation
L'aide est automatiquement compilé
e) Choisir le mode d'installation :
· Installation autonome pour une application
indépendante, installé et lancé sur chaque poste
· Installation avec mise a jour automatique, pour
installation sur un poste serveur. Les applications seront installés a
partir du serveur. En cas de mise a jour, seul une mise a jour du serveur est
nécessaire.
Passer l'écran suivant
f) Choisir une installation standard
g) Dans les paramètres de base de données, cocher
les options nécessaires
h) Dans le module complémentaire, conserver les options
suivantes
Figure 24 : Création de l'installation
Nous allons choisir les outils optionnels à installer
et inclure le désinstallateur. Grâce au désinstallateur.
Les utilisateurs pourront désinstaller l'application depuis le
gestionnaire de programmes Windows. Passer à l'écran suivant
i) Valider. Le programme d'installation est automatiquement
créé.
j) Tester immédiatement le programme d'installation
créé 7.4. Accès ODBC Oracle
7.4.1. Création d'une source de donnée
ODBC
On a utilisé l'accès ODBC tout au long notre
projet. Un accès via ODBC direct utilise un standard d'accès
multi-bases. Cette couche est en générale déjà
installée sur les versions récentes de Windows.
Pour créer une source de données ODBC, aller
dans « panneau de configuration..Performance et maintenance », puis
aller dans « Outils d'administration », cliquer sur le raccourci
« Sources de données (ODBC), choisir l'option « ajouter
». Le menu s'affiche
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
Figure 25 : Création d'une source de
données
Et le remplir comme ci-après
Figure 26 : Configuration du pilote ODBC pour
Oracle
7.4.2. Script de configuration de ODBC sous Windev
GLOBAL
gTypeConnexion est une chaîne // Pour ODBC
gnIdConnexion est un entier // Identifiant de connexion
gTypeConnexion = "ODBC"
gnIdConnexion = SQLConnecte("odbcwd",
"onja","onja","orcl4",gTypeConnexion)
// Nom source de donnée utilisateur oracle
SI gnIdConnexion = 0 ALORS // mot de passe oracle
SQLInfoGene() //nom de la base oracle Erreur("Impossible de se
connecter à la base ODBC",SQL.MesErreur) FinProgramme()
FIN
7.5. Quelques menus proposés par l'application
7.5.1. Le fenêtre d'authentification
Figure 27 : Fenêtre d'authentification
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
|
|
Ce menu gère directement les utilisateurs crées
dans Oracle, et les sources des données ODBC pour s'y connecter
7.5.2. Le menu principale
Figure 28 : Menu principale de l'application
Mise en place d'un système d'information pour
la gestion des ressources humaines
7.5.3. Menu Employé Ajout d'un employé
Figure 29 : Ajout d'un employé
Description du scenario nominale :
<DEBUT>
01 : Apres avoir authentifié
02 : Le système affiche le menu principal
03 : La personne responsable spécifie l'opération
à faire
04 : L'opération choisie est «
Nouveau..Employé»
05 : Le système invite la personne responsable à
remplir le formulaire.
6: La personne responsable saisit les informations relatives au
nouvel employé.
7: la personne responsable demande au système
d'enregistrer le nouvel employé.
8: Le système vérifie la validité des
données saisies
09:Le système enregistre le nouvel employé.
11 : Le système informe de la réussite de
l'opération d'enregistrement. 12: Le système affiche à
nouveau le menu « Employé »
<FIN>
Description des scenarii alternatifs
A1 : L'opération choisie est «
Modifier»
A1.1 : Le système invite à sélectionner
l'employé dont on désire modifier les données. A1.2 : la
personne responsable sélectionne l'employé dont les
données sont à modifier. A1.3: la personne responsable modifie
les données.
A2: L'opération choisie est la «
supprimer».
A2.1 : Le système invite à sélectionner
l'agent à supprimer.
A2.2 : la personne responsable sélectionne
l'employé à supprimer.
A2.3 : la personne responsable valide la suppression de
l'employé après confirmation. A2.4 : Le système informe de
la réussite de l'opération.
Consulter employé
Figure 30 : Visualisation des employés
CONCLUSION
On rappelle que le but du projet a été de
concevoir et de réaliser une application permettant de faire la gestion
des ressources humaines de la DGI.
Ce projet apporte une certaine organisation au niveau de la
direction, et facilite le travail du service administratif et financier dans le
suivi des informations sur les employés de la DGI.
Bien que trois mois a été trop court pour
réaliser une telle application, cela ne nous a pourtant pas
empêché de mener a terme ce projet. Mais on peut toujours
améliorer le système selon les besoins de l'utilisateur.
Plusieurs étapes ont été suivies pour
aboutir aux résultats attendus à commencer par l'analyse de
l'existant, puis la conception et la modélisation par la méthode
Merise. Le langage Windev et le SGBD Oracle ont été les
principaux outils de l'implémentation
La réalisation de ce projet nous a apporté une
nouvelle connaissance sur la SGBDR Oracle ainsi que sur le langage de
programmation Windev et nous a donné aussi une notion sur la
manière dont on doit gérer les ressources humaines. Ce stage a
été une expérience enrichissante pour le stagiaire car il
a permis à la fois d'appliquer les connaissances théoriques et
d'augmenter les acquis en matière de compétences techniques mais
surtout de nous familiariser et d'avoir un aperçu ce qu'est vraiment le
métier d'un ingénieur informaticien sur le milieu professionnel.
Cela nous a permis aussi d'acquérir une expérience presque
complète au sein d'un grand établissement qui a son importance,
avec une envergure non négligeable dans son domaine au niveau nationale
telle que la DGI.
BIBLIOGRAPHIE
Supports de cours :
[1] : Professeur RAMAMONJISOA Bertin Olivier MERISE
ING2
[2]: Monsieur Venot RATIARSON
SGBD
ING2
Site web:
[1]:
www.developpez.net
[2]:
www.oracle.com
[3]:
www.pcsoft.com
[4]:
www.commentcamarche.com
GLOSSAIRES Base de données
Une base de données est un ensemble de tables, de
relations et de procédures écrites en SQL (Structured Query
Language), c'est aussi un ensemble de données à sauvegarder et
à sécuriser, un espace où on peut enregistrer des
informations, les retrouver et les faire traiter automatiquement par un
ordinateur.
Client
Ordinateur qui accède aux données stockées
sur le serveur pour les exploiter. Conception
Phase du processus du développement d'un logiciel dont
l'objet principal est de décider la façon d'implémenter le
système. Pendant la phase de conception, des décisions tactiques
et stratégiques sont à prendre afin de satisfaire aux exigences
fonctionnelles et de qualité voulue pour le système.
Connexion
Procédure permettant à un utilisateur de se mettre
en relation avec un système Informatique et, si nécessaire, de se
faire reconnaître de celui-ci.
Génie logiciel
Ensemble des activités de conception et de mise en oeuvre
des produits et des procédures tendant à rationaliser la
production du logiciel et son suivi.
Modèle
Représentation simplifiée de la
réalité étudiée. Quel que soit son niveau de
complexité, un bon modèle doit être aussi fidèle que
possible à l'objet ou au système modélisé.
Requête
Ordre envoyé à un SGBD pour récupérer
des données d'une base des données.
Schéma
Représentation graphique faite en vue d'usage pratique ;
une forme de dessin dont les aspects structurels sont valorisés en vue
d'une interprétation non équivoque.
Serveur
Ordinateur détenant des ressources particulières et
qu'il met à la disposition d'autres ordinateurs par
l'intermédiaire d'un réseau.
Système de gestion de base de
données
Pour une base de données, logiciel permettant d'introduire
les données, de les mettre à jour et d'y accéder.
ANNEXE
Script d'affichage des employés
FONCTION ExecSelectTable(pWhereTable="",pOrder="",pMax=1000,
pMode="Affiche",pNomTable="TABLE")
Commande est une chaîne NumCol est un entier
Commande = "SELECT "+...
"EMPLOYE.NUMMATRICULE ,"+... "EMPLOYE.ID_INTEGRATION ,"+...
"EMPLOYE.ID_REGIME ,"+...
"EMPLOYE.NOMEMPLOYE ,"+... "EMPLOYE.PRENOMEMPLOYE ,"+...
"EMPLOYE.NUMCIN ,"+...
"EMPLOYE.DATECIN ,"+...
"EMPLOYE.LIEUCIN ,"+...
"EMPLOYE.NUMPASSEPORT ,"+... "EMPLOYE.DATEPASSEPORT ,"+...
"EMPLOYE.ADRESSEEMPLOYE ,"+... "EMPLOYE.SITFAMILLE ,"+...
"EMPLOYE.NUMTELEMPLOYE ,"+... "EMPLOYE.EMAILEMPLOYE ,"+...
"EMPLOYE.DATEENTREEADMINISTRATION ,"+... "EMPLOYE.DERNIEREEMPLOI
,"+... "EMPLOYE.SEXEEMPLOYE ,"+... "EMPLOYE.INDICEACTUEL ,"+...
"EMPLOYE.STATUTEMPLOYE ,"+... "EMPLOYE.DATENAISS ,"+...
"EMPLOYE.LIEUNAISS "+...
"FROM EMPLOYE"
// Ajoute le WHERE de filtre de liaison passé en
paramètre à la fenêtre SI pWhereFiltre<>"" ALORS
Commande+=" WHERE "+pWhereFiltre
SI Position(Commande,"WHERE")>0 ALORS
SI pWhereTable<>"" ALORS Commande+=" AND "+pWhereTable
SINON
SI pWhereTable<>"" ALORS Commande+=" WHERE "+pWhereTable
FIN
// Ajoute le ORDER BY
SI pOrder<>"" ALORS Commande=Commande+" ORDER BY
"+pOrder
// Exécute la commande
SI SQLExec(Commande,"RE QTABLE")=Faux ALORS
SQLErreur("RE QTABLE",Commande) RENVOYER Faux
SINON
SELON pMode
CAS "Affiche" // Affichage
TableSupprimeTout(pNomTable) SQLTable("RE QTABLE",pNomTable,pMax)
{pNomTable}..Nouveau=Faux
CAS "Creation", "Modif" // Création ou Modif
|
// Affecte dans les colonnes de la table de visu SI SQLFetch("RE
QTABLE") = 0 ALORS
SI pMode="Création" ALORS TableAjoute(pNomTable)
{pNomTable}={pNomTable}..Occurrence
FIN
NumCol=0
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","NUMMATRICULE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","NUM MATRICULE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","ID_INTEGRATION",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","ID_I NTEGRATION"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","ID_REGIME",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","ID_REGIM E"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","NOMEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","NOME MPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","PRENOMEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","P RENOMEMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","NUMCIN",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","NUMCIN"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","DATECIN",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","DATECIN"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","LIEUCIN",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","LIEUCIN"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","NUMPASSEPORT",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","NU MPASSEPORT"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","DATEPASSEPORT",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","DA TEPASSEPORT"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","ADRESSEEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","A DRESSEEMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","SITFAMILLE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","SITFAMIL LE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","NUMTELEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","NU MTELEMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","EMAILEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","EMAI LEMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","DATEENTREEADMINISTRATION",NumCol,SQLTypeColonne("E
MPLOYE","DATEENTREEADMINISTRATION"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","DERNIEREEMPLOI",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE"," DERNIEREEMPLOI"))
|
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","SEXEEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","SEXE EMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","INDICEACTUEL",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","INDIC EACTUEL"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","STATUTEMPLOYE",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","ST ATUTEMPLOYE"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","DATENAISS",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","DATENAI SS"))
NumCol++;
SQLAffChamp("RE
QTABLE","LIEUNAISS",NumCol,SQLTypeColonne("EMPLOYE","LIEUNAISS
"))
FIN
// Fermeture de la requête SQLFerme("RE QTABLE")
FIN RENVOYER Vrai
FIN
|
LISTES DES FIGURES
Figure 1 : Organigramme de l'ENI 7
Figure 2 : Organigramme de la DGI 16
Figure 3 : Architecture du réseau actuel de la division
informatique 20
Figure 4 : Représentation d'une entité 27
Figure 5 : Représentation d'une relation 27
Figure 6 : Modèle Conceptuel des Données 32
Figure 7 : Modèle Logique des Données 34
Figure 8 : Requête PL/SQL vers un serveur 47
Figure 9 : Architecture de PL/SQL 49
Figure 10 : Architecture du système 54
Figure 11 : Création Espace disque logique 55
Figure 12 : Visualisation de l'espace disque logique 55
Figure 13 : Création d'une table 56
Figure 14 : Création des tables sous Oracle SQL*Plus
58
Figure 15 : Liste de tables créées 58
Figure 16 : Assistant de création du projet 60
Figure 17 : Choix de la source des données 60
Figure 18 : Sélection de la base source 61
Figure 19 : Choix des fichiers pour le RAD 62
Figure 20 : Point d'entrée pour le RAD 63
Figure 21 : Choix des options du menu 63
Figure 22 : Création de la bibliothèque et de
l'installation 65
Figure 23 : Création et procédure d'installation
66
Figure 24 : Création de l'installation 67
Figure 25 : Création d'une source de données 68
Figure 26 : Configuration du pilote ODBC pour Oracle 68
Figure 27 : Fenêtre d'authentification 69
Figure 28 : Menu principale de l'application 70
Figure 29 : Ajout d'un employé 71
Figure 30 : Visualisation des employés 73
LISTES DES TABLEAUX
Tableau 1 : liste des machines 17
Tableau 2 : Liste des Imprimantes 18
Tableau 3 : liste des Onduleurs 18
Tableau 4: Liste de Photocopie 18
Tableau 5: Liste de Scanneur 18
Tableau 6: Liste de Switch 18
Tableau 7 : Dictionnaire des données 31
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