Résumé :
La plus grande vulnérabilité des femmes
vis-à-vis du VIH est due à des facteurs physiologiques et
biologiques mais également à des pressions sociales, culturelles
et économiques qui ne leur permettent pas d?assurer leur
prévention.
Les études montrent qu?il y a maintenant une
féminisation de la maladie. La notion de représentation sociale
de la maladie est un facteur très important dans la communauté
migrante. La connotation négative de la maladie, fait que les personnes
séropositives cachent leur sérologie aux membres de leur
communauté. Ces femmes cherchent constamment des stratégies qui
leurs permettront de vivre avec leur maladie au sein de leur famille. Mais
comment ces femmes gèrent-elles leur séropositivité au
sein de leur communauté ? La séropositivité est une chose
difficile à vivre. Quelle sont les conséquences de la
séropositivité sur la vie de ces femmes ? Quelle place
accordent-elles à la prévention et aux acteurs de la
prévention ? Ce mémoire, à travers le témoignage
des femmes cherche à faire une analyse des rapports sociaux autour de
l?infection du VIH/SIDA.
Mots clés : Femmes, Migrantes, VIH/SIDA,
Prévention, Représentations Sociales.
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