I
EPIGRAPHE
« Tout est changement, non pour ne plus
être mais pour devenir ce qui n'est pas encore
».
Epictète
II
AVANT-PROPOS
L'histoire de la République Démocratique du
Congo est teintée de multiples affrontements entre les
intérêts tant nationaux qu'internationaux sur ses richesses
naturelles qui sont d'une extrême abondance. De ce fait, la gestion ainsi
que la répartition des richesses ont toujours posé
problème dans ce vaste Etat au coeur de l'Afrique. On y trouve
généralement une importante partie de la population vivant dans
des conditions d'extrêmes pauvreté et d'autre part, les
allégations de corruption, de mégestion et de
détournements font toujours aussi scandale. Ceci illustre à
suffisance l'état de santé économique d'un Etat en besoin
de développement. Dans la poursuite de cet idéal, la
présente étude a porté sur une possible opportunité
de développement qui s'offre à la RD Congo au travers de la
ratification à l'Accord instituant la Zone de Libre-Echange Continentale
Africaine (ZLECAf) dans le cadre de l'Union Africaine. Cette opportunité
constitue une énième interpellation tendant à remettre en
cause le fonctionnement des institutions du pays pour un développement
économique considérable. La RD Congo pourrait-elle faire face aux
enjeux d'une zone de libre-échange impliquant la suppression progressive
des barrières tarifaires et non tarifaires. Sachant que les recettes
douanières compte beaucoup pour ses finances. Ce sont ces
inquiétudes qui nous ont poussé à étudier les
contours juridiques et économiques de la ZLECAf dans le cadre du
présent mémoire de Licence.
III
REMERCIEMENTS
La réalisation d'une telle oeuvre n'a été
possible que par la mise en commun de différentes bonnes volontés
que nous tenons à mentionner ici. Nos vifs remerciements s'adressent de
ce fait :
Au Bon Dieu qui nous a accordé le
souffle de vie, la santé et la disposition nécessaire pour
répondre aux exigences de notre recherche.
A nos parents, SIMBA NYEMBO Dieudonné
et KABONVE LUMBU NYEMBO Marie dont l'assistance, le
dévouement et le sacrifice ont été sans failles à
notre égard.
A notre cher directeur de mémoire, Professeur
NGOY DJIBU Laurent pour la direction de qualité qu'il a
daigné apporter à notre mémoire.
Et enfin, à nos autorités académiques et
décanales qui nous ont disponibilisé les cadres de recherches
adéquats et aux personnes qui de loin ou de près, ont
contribué à la rédaction du présent
mémoire.
IV
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