7. DIFFICULTES RENCONTREES
La non prise en compte d'autres variables afin de rendre
efficace la part des ressourcesminières sur la croissance
économique, par manque des données en séries
chronologiques. Nous avons notamment l'indice « rule of
law », « de la stabilité politique »,
« de la corruption ».
Avec Sala-I-Martin et Subramanian (2003), la volatilité
de prix des matières premières n'a aucun effet sur la croissance
économique. Comme mentionne le rapport de la Banque Mondiale (2008),
c'est un facteur qui échappe au contrôle du gouvernement et qui
influence la part des minerais à la croissance économique de la
RDC. Le rapport des exportations minières aux exportations des
marchandisesa été remise en cause par les auteurs (Sala-I-Martin
et Subramanian (2003) ; Isham et al. (2004) ; Bulte et al.
(2004)).Bien évidemment, nous n'avons pas pu rassembler les
données en séries.
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