3.4. Eutrophisation et simulation des risques
écologiques
Malgré sa dimension cartographique réduite, le
golfe de Tadjourah ne pourra pas être épargné par
la pollution des diverses origines en particulier par le
phénomène de l'eutrophisation qui affecte les mers et les
océans de notre planète.
En effet, ce minuscule golfe n'a pas encore atteint le
niveau de l'alerte en terme de risque écologique majeur, car pour
l'instant, la pression faite par l'homme ou par des phénomènes
naturel n'ont visible ni sur ses rivages, ni dans sa biocénose, maisnous
vous rappelons que ce golfe appartient et entouré par des Étais
parmi les plus pauvres au monde qui pourraient mépriser la valeur et la
protection de la mer par conséquent, ce golfe intérieur peut
être touché un jour par des désastres écologiques
impressionnant due au naufrage de l'une des 160 supertankers pétroliers
qui empruntent cette seconde corridor maritime le plus importante au monde
(Bab-el-Mandeb) border par des régions géopolitiquement
instabledont le golfe de Tadjourah fait partie prenant des sous-zones maritimes
très sensibles aux crises environnementales. La nouvelle exploration du
gisement du pétrole dans le sud-est de haut golfe, des explorations qui
finiront par l'exploitation des ressources pétrolières qui
pourront avoir à long terme des terribles répercussions sur
l'équilibre de l'écosystème marin de tout le golfe
de Tadjourah, un écosystème qui était
déjà relativement fragilisé par la pollution issue des
grands centres urbains qui bordent le golfe.
En revanche, après désastres, les
opérations des nettoyages et des secours des faunes marines seront une
tache financièrement et techniquement lourde pour les États
riverains déjà traumatisés par d'autres fléaux que
les problèmes environnementaux.
Bref, il existe néanmoins un dispositif politique
sécuritaire de l'environnement peu performant, mais boiteux du
côté Djiboutien qui se caractérise par la présence
de ses gardes des côtes bien équipées et
épaulées, son ministère et ses lois respectables, ainsi
que des airs marins protégés sur plusieurs dizaines de
kilomètres et des parcs maritimes et bien évidemment avec l'appui
financier et technologique de la France et des État unis. Par
conséquent les efforts sont fournis, mais pourtant la panoplie du
ministère de l'environnement est toujours remise en cause tant sur les
feuilles que sur les terrains par les difficultés insurmontables,
ainsi les côtes Somaliens appartenant déjà à un
pays ruiné depuis deux décennies par une interminable guerre
clanique n'auront aucune chance d'être protégées et donc
ces côtes sont abandonnées aux toutes sortes de vice.
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