Les pays MENA ont connu des résultats flottantes
pour l'indicateur d'État de droit entre 2002-2010 marqué par
l'absence de l'application rigoureuse et stricte du droit compromet directement
le développement parce que cela favorise les pratiques de mauvaise
gestion et de corruption, ce qui décourage par suite les
investissements.
La situation s'est améliorée entre 2010 et 2014
généralement l'Etat de droit dans cette période des pays
MENA étudié est moyen et stable, ce qui reflète le respect
de règle de droit et l'efficacité du système judiciaire,
et ce également pour le cas de la Tunisie qui à réussi sa
transition démocratique.
4) Responsabilité et liberté de
parole
D'une façon générale, l'indice de
responsabilité et liberté de voix dans les pays MENA
étudié dans cette période reflète la faible
responsabilité de gouvernance et l'absence de liberté de
parole.
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