2. Des conséquences sociales
À long terme, l'alcool a également des effets
négatifs sur le plan affectif, social et professionnel :
- Problèmes de relations avec le conjoint et les
enfants (chicanes, mauvais traitements, non-respect de la parole
donnée).
- Troubles émotifs et comportementaux chez les
enfants.
- Absentéisme ou baisse marquée de rendement au
travail.
- Difficultés financières
3. Les avantages de la consommation d'alcool
Ø Des os plus solides
La bière contient des niveaux élevés de
silicium, et ces derniers sont liés à la santé des os
Une étude a été menée par L'université
Marien ngouabi ainsi que plusieurs autres centres.
Elle s'intéressait aux hommes et aux femmes d'un
certain âge qui avaient bu un ou deux verres de bière par
jour.Fait surprenant, c'était justement ceux qui présentaient une
densité osseuse plus élevée ! Cependant, boire plus
de deux verres par jour est associé à un risque
élevé de fractures. Il faut donc faire attention et
modérer sa consommation.
Ø Un coeur plus sain
Plus de cent (100) études ont montré que la
consommation modérée de bière diminue le risque de crises
cardiaques ainsi que les décès liés aux
maladies CARDIO VASCULAIRE On parle d'une réduction de 25 à
40% ! Une ou deux bières par jour peut aussi aider à
augmenter les niveaux de HDL, le « bon » CHOLESTEROL.
C'est ce dernier qui nous aide à prévenir
l'obstruction des artères (lorsqu'elles se bouchent).
Ø Des reins plus sains
Une étude finlandaise a constaté que les hommes qui
ont bu une canette de bière par jour ont réduit leur risque de
développer des CALCULS RENEAUX de 40%.
Une théorie existe d'ailleurs à ce sujet. La forte
teneur en EAU de la bière contribuerait à maintenir le
travail des REINS, tandis que le houblon trouvé dans la
bière nous aide à prévenir la formation de calculs.
Ø Un cerveau plus sain
Les chercheurs disent qu'une bière par jour peut nous
aider à contrôler la maladie d'Alzheimer'
ainsi
que diverses démences qui sont dans la même ligne.
Ø Moins de risque de cancer
Lorsque l'on fait cuire de la viande, on produit sans le vouloir
des amines hétérocycliques (AHC), qui sont des agents
cancérigènes. Une étude a révélé que
lorsque l'on fait mariner la viande avec de la bière, on peut retirer
jusqu'à 70% de ces agents !
Ø Plus de vitamines
Une étude congolaise a constaté que les buveurs de
bière présentaient des taux plus élevés
de vitamines B6 par rapport aux autres. On parle d'environ 30% de
plus. La bière contient également de la vitamine B12 et de
l'acide folique.
Ø Idéale contre les AVC
La bière nous aide à prévenir la formation
de caillots sanguins. Ce qui bloque le flux sanguin vers le coeur, le cou
et le cerveau.
Par conséquent la bière réduit donc les
risques d'AVC.
Ø Moins de risque de diabète
Les chercheurs ont découvert que l'alcool augmente la
sensibilité à l'insuline, ce qui contribue à nous
protéger contre le diabète.
Ø Une pression artérielle plus
basse
Les buveurs de bière modérés sont moins
susceptibles de développer une hypertension
artérielle. N'oublions pas qu'il s'agit d'un facteur de risque pour
les crises cardiaques.
Ø Une meilleure espérance de vie
La consommation modérée de bière
empêche environ 26 000 décès par an. Comment?
Ses bienfaits réduisent les maladies cardiaques, les
AVC et le diabète. Notre santé est
donc préservée!
Pendant des années, les buveurs de vin ont
savouré pleinement cette boisson sans sentiment de culpabilité.
En effet, il est scientifiquement prouvé que le vin rouge peut nous
aider à nous protéger des maladies du coeur.
Mais de récentes recherches montrent aujourd'hui
que la bière peut aussi être bonne pour la santé
! Voilà pourquoi nous vous proposons de découvrir les
bienfaits de la bière dans cet article.
Toutefois, n'oubliez pas que la clé pour
récolter les avantages de la bière, c'est la modération
! C'est-à-dire une seule bière de 340 ml par jour pour
les femmes, et deux pour les hommes.
On le sait tous, la consommation excessive d'alcool peut
endommager notre foie, et peut même entraîner des
problèmes tels que le cancer ou des maladies cardiaques.
3. Inconvénient de la consommation l'alcool chez
les jeunes
L'adolescence est le temps de toutes les découvertes
.Parmi elles figurent, la rencontre avec l'alcool.
C'est ainsi que la consommation d'alcool devient une
étape incontournable des fêtes ou des sorties.
Chaque année, les jeunes paient un lourd tribut
à l'alcool. Accidents de la route, comportements violents, rapports non
protégés, échec scolaire sont souvent la
conséquence d'un verre de trop.
La consommation nocive et dangereuse d'alcool constitue un
facteur de risque de violence chez les jeunes, peu importe que ces derniers en
soient les auteurs ou les victimes.
Les manifestations de cette violence sont multiples, qu'il
s'agisse d'intimidation, d'actes violents perpétrés par des
bandes, d'agression sexuelle ou de bagarres dans les rues, les bars et les
boîtes de nuit.Cette violence frappe autant les jeunes victimes que les
jeunes agresseurs, et ses conséquences risquent d'être
dévastatrices.
En moyenne, tous les jours, la violence interpersonnelle
fauche 565 jeunes gens âgés de 10 à 29 ans, surtout de sexe
masculin.
En outre, pour chaque décès imputable à
cette violence, on compterait de 20 à 40 jeunes dont les blessures
nécessitent des traitements hospitaliers.
Aucun secteur de la société n'échappe aux
conséquences de la violence chez les jeunes, laquelle cause des
préjudices aux collectivités et impose un énorme fardeau
aux services publics.
Les décideurs et les praticiens d'un large
éventail d'organismes doivent donc s'attaquer en priorité
à la consommation nocive d'alcool et à la violence chez les
jeunes.
À cet égard, les professionnels de la
santé publique jouent un rôle de premier plan dans la
création de partenariats et l'adoption de mesures de
prévention.
La présente fiche de renseignements explique
brièvement l'apport de l'alcool à l'éclosion de la
violence chez les jeunes, cerne l'ampleur du problème, décrit les
facteurs de risque de participation des jeunes à des actes violents
liés à l'alcool, énonce les mesures de prévention
à prendre et précise le rôle qui incombe à la
santé publique.
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