Organisation et fonctionnement d'un service comptable au sein d'une entreprise publique. Cas de l'office des routes sud Kivu.( Télécharger le fichier original )par Anuarité CIBALONZA MWEZE Institut Supérieur de Commerce de Bukavu - Graduat 2015 |
0.3.2. HYPOTHESEL'hypothèse est une réponse à titre provisoire, laquelle doit être vérifiée ; donc c'est une proposition ou une explication que l'on se contente d'énoncer sans prendre une position sur son caractère véridique, c'est-à-dire sans affirmer ou la nier. L'hypothèse constitue alors une simple supposition, appartenant au domaine du possible ou du probable1(*). Etant définie comme proposition de réponse aux questions que l'on se pose à propos de l'objet de la recherche, formulées en des termes tels que l'observation et l'analyse fournissent une réponse ; ainsi, nous émettons les hypothèses suivantes : - L'organisation du service comptable de l'Office des Routes est satisfaisant car ce service fonctionne d'une manière hiérarchique et présente une comptabilité qui respecte la règle de prudence, et qui satisfait aux obligations de régularité, de sincérité et de transparence inhérentes à la tenue, au contrôle, à la présentation et à la communication des informations qu'elle a traitées. - Les états financiers de l'Office des Routes sont présentés d'une manière saine c'est-à-dire respectent les règles de régularité et sincérité car l'élaboration de ses derniers exigent qu'il ait les livres justifiants les différents opérations. L'information comptable contenue dans les états de synthèse de l'Office des Routes fait l'objet d'une mission régulière des commissaires aux comptes, dans le but d'en certifier la sincérité et le reflet de l'image fidèle. Cette information est également à la base de la tenue régulière de l'assemblée générale des actionnaires, organe suprême de l'entreprise, qui tient compte de l'information comptable dans des décisions importantes concernant les nouvelles orientations. * 1 A.BIROU, vocabulaire pratique des sciences sociales, éd. Ouvrière, Paris, 1996, P. 28. |
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