Exposée: contraintes et facteurs de vulnérabilités et de crises liés à l'eau .( Télécharger le fichier original )par Adrien Diatta UCAD ( institut des sciences de là¢â‚¬â„¢environnement) - master1 gestion des ressources naturelles et du développement durable 2015 |
CONCLUSIONLes projections pour la demande globale en eau d'ici 2050, s'établissent à +55%, une hausse en grande partie due à une augmentation des besoins industriels et aux taux de croissance démographique. Ces statistiques alarmants dus à son caractère vulnérable de l'eau doivent nous guider sur la mise en place de politique de gestion intégrés et participatives décente ressource. Dans ce contexte, le défi auquel nous faisons face est celui de la connaissance et de la répartition, afin de répondre de manière équitable, tout en faisant face à une pression grandissante d'origine économique, au risque accru de pénurie. L'Afrique a été reconnue comme le continent le plus vulnérable aux changements climatiques. Une adaptation au changement climatique qui appelle à la résilience du climat devrait être au coeur de toute activité de développement. Compte tenu de l'importance des ressources en eau et des infrastructures hydrauliques dans le développement économique et social du monde, il faudrait investir suffisamment pour s'adapter au changement climatique afin d'assurer leur disponibilité et leur utilisation durable. Schaubergerdisait (l'eau est le sang de la terre, le support de toute vie) SOURCES :Christian Bouquet, « Conflits et risques de conflits liés à l'eau en Afrique », Les Cahiers d'Outre-mer [En ligne], 255 | Juillet-Septembre 2011, mis en ligne le 01 juillet 2014, consultéle 18 décembre 2016. URL : http://com.revues.org/6283 ; DOI : 10.4000/com.6283 SOURCE : Extrait du premier Rapport mondial sur la mise en valeur de l'eau dans le monde, réalisé conjointement par 23 organismes des Nations Unies dont le PNUE. BARON C., MAILLEFERT M. (2011) Une lecture institutionnaliste de la gouvernance de l'eau potable : des terrains d'Afrique de l'Ouest francophone aux faits stylisés, Régions&Cohésion, Volume 1, Issue 3, Winter, 7-33. BONNASSIEUX A., COLLETIS G., CAPELLER W., BARON C., COLLETISSALLES M., OLIVIER S., SALLES D. (2005) Conflits d'usage et conflits de représentation de l'eau en Afrique. L'exemple du Burkina Faso, in Construire des gouvernances : entre citoyens, décideurs et scientifiques, Publication MOST-Unesco, Ed. PIE-Peter Lang, 101- LORRAIN D. (2003) Les quatre compétitions dans un monopole naturel : qu'est-il en train d'arriver au secteur de l'eau ?, Flux, n°52-53, 69-86. MEI L. (2008) La gestion de l'eau dans les villages périurbains de Ouagadougou (Burkina Faso). Étude sociogéographique comparative, Doctorat de Géographie tropicale, Université Bordeaux 3, janvier. PROGRAMME RESO (1997) Inventaire des ressources en eau. Problèmes et conflits liés à l'exploitation de l'eau, t.11, Ministère de l'Environnement et de l'Eau du Burkina Faso et Groupement Sahelconsult/F.E. T, Ouagadougou. OLIVIER DE SARDAN J.-P., ELHADJI DAGOBI A. (2001) La gestion communautaire sert-elle l'intérêt public ? Le cas de l'hydraulique villageoise au Niger, Politique Africaine, 80, 153-158.TIDJANI ALOU M. (2006) Les mini-adductions d'eau potable dans la région de Maradi (Niger) : la gestion d'un bien public, Études et travaux du LASDEL, n°42.TRAORÉ R. (2002) Stratégies et innovations en matière de gestion de l'eau : cas du bassin versant du Nakambé au Burkina Faso, Mémoire de DEA « Espaces, Sociétés, Logiques économiques », Université de Toulouse Le Mirail/Enfa/Ensat. Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1919_demande_eau_forte.php |
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