RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU
CONGO
UNIVERSITÉ DE KALEMIE
FACULTÉ DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET DE
GESTION
Le rôle du port de Kalemie dans le
développement de district de Tanganika.« Du 01 janvier 2010 au
12 décembre 2011 »
251687424
Par YUMBA WA KUNGELANI Patient
Travail de fin de cycleprésenté en vue de
l'obtention de grade de gradué en sciences économiques et de
gestion.
ANNEE ACADEMIQUE 2012-2013
251689472
RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU
CONGO
UNIVERSITÉ DE KALEMIE
FACULTÉ DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET DE
GESTION
Le rôle du port de Kalemie dans le
développement de district de Tanganika. « Du 01 janvier
2010 au 12 décembre 2011 »
251688448
Par YUMBA WA KUNGELANI Patient
Travail de fin de cycle présenté en vue de
l'obtention de grade de gradué en sciences économiques et de
gestion.
Dirige par : assistant GodefroidNKALA DUBE
ANNEE ACADEMIQUE 2012-2013
251690496
ÉPIGRAPHE
Je vais invinciblement, que la science et la paix
triompheront de l'ignorance et de la guerre et que les peuples
s'entendront non pour détruire, mais pour édifier !
La science doit être la plus haute
personnification de la partie, parce que, de tous les peuples, celui
-là sera toujours le premier qui mouchera le premier par les
travaux de la pensée et de l'intelligence.
PASTEUR
IN MEMORIUM
A Notre regrettée KASONGO MUKUBU, mon père
doux a mes erreurs et qui me pardonniez mes fautes aux jours où trop
souvent mon coeur, de sagesse n'était plus l'hôte, qui m'avez dit
adieu tout bas, vos yeux dans les miens comme entrés qui êtes mort
entre mes bras, et que la terre de nos ancêtres vous soit douce et
légère.
A vous regretté: mon grand père YUMBA MATRIEN,
KASONGO MUKO MENANTANGA WA KASONGO Leone, YUMBA MWITAY, LUNDA , LUNGA
MUNTOKOLE.
Que la terre de nos ancêtres vous soit favorable
; reposez-vous en paix , le seigneur puisse vous pardonner vos
péchées et l'eternel DIEU vous réserve une place
dans le ciel .
DÉDICACE
A mon père YUMBA WA KUNGELANI matrien et A ma
mère MWAMBA KAZADI Belly pour m'avoir élevé dans
la dignité d'homme.
AVANT -PROPOS
Notre puissant travail , qui couronne trois
années d'étude de graduat à la faculté des
sciences économiques et de gestion , n'aurait pas
été ce qu'il est sans la collaboration des personnes
de bonne volonté .
Les années sont passées sur le banc
de l'école dans le souci de modifier , au prix de
succès et de rêves ineffables , l'avenir de tout un
être : voilà de quoi reconnaitre qu''une vie
d'homme , c'est une promesse à tenir , un fruit à faire
murir , une oeuvre à exécuter . il faut qu'on se
dise ; à l'issue de notre premier cycle d'études
universitaires , il nous est parfois prudent , en raison de mieux
gouverner la suite de rendre hommage , de congratulation , pourquoi pas
d'encourager ceux qui de loin ou de prés , nous ont
prêtemain forte dans cette vie durs labeurs .
A mon père YUMBA WA KUNGELANI matrien pour avoir
assuré mon instruction , ce travail te fasse voir le digne fruit
de ta prémonition , que tu trouves dans le repos de lourde
charge d'éducateur , témoigné par la réussite
de ton satellite projeté vers le monde du savoir.
A ma mère MWAMBA KAZADI Belly pour m'avoir
élevé dans la dignité d'homme.
Ouf ! Vraiment ta prémonition devait
s'avérer fondée pendant longtemps tu as dû supporter
mes accès. Tu t'es imposé de lourds sacrifices pour mes
études. Parce que tu voyais en moi un futur libérateur,
tu espérais en moi. Mais il fallait que j'acquière
la science à n'importe quel prix.
A mes grands frères et soeurs , NGOY WA
KUNGELANI Michou , MUKUBU KASONGO Jolie, MULONGO WA KUNGELANI et BONDO
Steven trouvent à travers ce travail mes sentiments de
profonde reconnaissance pour leur soutien tant moral que financier
qui m'a permis de poursuivre mes études universitaires . Que
Dieu les bénisse.
A mes petits frères et petites soeurs , MWAMBA
TRÉSOR, KASONGO DAVID , ANNIE MBUYA , ESTHER MUKUBU , pour tant
d'appréciation et de sacrifices.
Et particulièrement à nos compagnons de
lutte académique notamment MBUYU LUKAMATA ,MULUNDA SELENGE,
KAHENGA SOMPO, SAMINE MWINA et ZAINA LUMBU qu'ils trouvent à
travers ce travail ma gratitude pour leur soutien moral .
Nos principaux remerciements à l'assistant
Godefroid NKALA il a dirigé dans notre travail avec
équité et patience .sans ses lumineuses indications
et ses précieux conseils : nous n'aurions jamais mener
ce travail correctement .
Nous ne saurions passer sous silence la participation
du professeur KISIMBA KYA NGOY recteur de notre université de
Kalemie , professeur KALUNGA MWELA UBI , professeur MWALABA KASANGANA
, professeur MUKALAY MUTOMBO , professeur Gilbert MALEMBA , CT KAPONDA , CT
DIDIER MBAY , Assistant ÉRIC ,Assistant GERMAIN MBAYO , Assistant
BEATRICE KASOKOTA, qui exceptionnellement contribués à
notre formation.
Que tous ceux qui nous ont aidé et porté
dans leurs prières , ainsi que ceux qui ont toujours
souhaité le succès dans nos études trouvent notre
travail de fin de cycle , le témoignage de notre reconnaissance.
Je dédie ce travail.
YUMBA WA KUNGELANI Patient
INTRODUCTION
Le port de Kalemie joue un rôle crucial dans le
développementéconomique. Il est un centre d'attraction
desdifférentes activitéscommerciales, touristiques,
d'approvisionnement des produits vivriers et de commercialisation
transitent au travers ce port. Cette illustration justifie par l'importation
et l'exportation de certains produits provenant de la Tanzanie, la Zambie et
du Burundi comme facteur de développement économique dans le
District duSTanganika.
Il constitue le principal de passage des échanges
internationaux ,contribue à l'essor du commerce international,
façade maritime grâce à ses fonctions dans les
domaines suivants : commerce, transport monnaie et politique, mais
au-delà de ces fonctions le port est un véritable plaque
tournante qui imprime leur dynamisme à tous les secteurs
d'activités économiques.
Cependant, le port de Kalemie est confronté au
phénomène de l'ensablement qui empêche les grandes
unités navigantes d'accoster l'inaccessibilité du port suite
à l'ensablement mettra un grand nombre des personnes au
chômage, les armateurs seront obligés de mettre même
leurs unités navigantes par conséquent , le nombre des
travailleurs va baisser aussi puisqu'il faut diminuer les agents de la
société nationale de chemin de fer du Congo (SNCC)
oeuvrant au port. Cela provoquera la famine, la malnutrition, le
décès, le banditisme des personnes en chômage, le
mouvement d'ensablement crée une rareté des produits sur le
marché et maintien un système du déséquilibre
entre l'offre la demande pour les biens et services.
C'est pour cela que le présent travail portant sur :
« le rôle du port de Kalemie dans le
développement économique du District du
Tanganika » consistera à dégager le
rôle du port comme facteur du développement économique.
0.1. État de la question
L'état de la question est le dégagement du
niveau ou se trouve le débat scientifique sur l'objet sous examen.
Il provient de la vérification des résultats de la recherche
antérieur à travers toutes les documentations disponibles sur
la théorie se rapportant au thème choisi de l'étude.
L'objectif étant celui de choisir la pensée
des autres chercheurs au travers les qualités et les faiblesses
inhérentes à leurs recherches précédentes dans
le domaine en fonction avec notre étude sans éventer tous
leurs contenus .
Ainsi, comme nous pouvons le constater, il conviendra de
démontrer qu'en dehors de notre étude, plusieurs ont
déjà été effectuées. C'est pourquoi, nous
nous intéressonspremièrementà montrer qu'elles sont
les points essentiels des études menées par d'autres
chercheurs.
A cet effet, notre attention a été
attirée par la rechercheZUHURA MISEKE relative à « la
réhabilitation de l''infrastructure publique comme facteur du
développement d'une région : cas du port public de
Kalemie.»1(*)la
conclusion aboutie de son analyse prouve que l'infrastructure publique du port
de Kalemie a connu des politiques sans priorités clairement
définis et insuffisamment dotées en outils et financement pour
l'entretien, il est l'un de plus importants du pays se présente dans
les conditions particulièrement défavorables.
Les démarquassions qui existent entre ce travail et
le nôtre est que MonsieurZUHURA MISEKEa reposer son analyse sur la
réhabilitations des infrastructures de ce port tandis que notre
présente analyse table sur le rôle que joue le port de Kalemie
sur le plan économique.
0.2.
Problématique
La problématique se définit comme la
présentation d'un problème sous différents
aspects.2(*)
La problématiques peut encore se définir
comme étant la formulation de problème central ou de la question
principal qui guide la recherche, son contenu résume l'ensemble des
problèmes que soulèvent l'objet sous l'étude.3(*)
Ainsi pour notre part, la problématique apparait comme
un ensemble des questions que le chercheur se pose au tour d'un
problème en vue de le comprendre et l'explicité
Pour baliser l'objet de notre étude nous devons poser
un certain nombre des questions :
· Le port de Kalemie est-il un facteur du
développement économique du district du Tanganyika ?
· Est-ce que le port de Kalemie constitue un canal de
transmission des produitset dans quelle mesure peut-il améliorer les
conditions sociales de la population Kalemiard ?
Dans la recherche des éléments de
réponse à ces trois questions que notre travail trouvera son
intérêt.
0.3. Hypothèse
Le dictionnaire LA ROUSSE ENCYCLOPÉDIQUE
définit l'hypothèse avec RONGERE comme étant une
proposition à partir de laquelle on raisonne pour résoudre
un problème ; pour démontrer un
théorème.4(*)
Quant à nous, l'hypothèse définit est
comme étantuneréponseanticipé à une
inquiétude au niveau du phénomène social qui peut
être confirmé ou infirmer à la conclusion.
Connaissant que le niveau de la balance de paiement
(explicité par la différence entre importation et
exportation) peut positionner un pays, une ville, un territoire, un
district sur le plan des échanges. Le déplacement des humains,
biens et service demeure un aveu pour une bonne économie.
Au vu que le port de Kalemie constitue un centre des
différentes activités commerciales, touristiques,
d'approvisionnement des produits alimentaires et divers et est devenu la
source de production des recettes à travers un arsenal des
taxes ; nous pensons qu'il serait un facteur du développement
économique du District de Tanganika.
En outre, comme il lie les principaux points focaux et
favorise de passage des échanges internationaux, il serait ainsi un
canal de transmission des produits importés et exportés
parce, contribue à l'essor du commerce et au développement
économique du District du Tanganika.
0.4. Choix et intérêt du sujet
Plusieurs raisons président du choix d'un sujet et
ceux-ci varient entre elles selon les unes relèvent de la nature
objective des faits et que d'autres découlent de nos sentiments.
Dans notre étude scientifique comme celle que nous nous
proposons d'abord le présent travail, le choix du sujet
dépend en principe des motivations profondes qui hâtent le
chercheur sur un problème précis et dont la tentative de
solution constitue une de ses principales abutions. le sujet qui nous
est acceptés d'être développé est le
rôle du port de Kalemie dans le développement
économique du District du Tanganika , celle-ci qui a
trouvé notre option non seulement parce que nous sommes
dans une formation économique, mais le port de Kalemie est un
centre d'attraction des différentes activités commerciales
, touristiques, d'approvisionnement des produits alimentaires et divers.
Pour se faire, notre étude reposera essentiellement
sur un double intérêt. Il s'agira principalement sur le plan
scientifique et pratique.
Abordant l'intérêt scientifique , notre travail
nous permettra d'ajouter une connaissance à celle acquise, nous
contribuerons à l'évaluation de la science et non pas en
épuisant toute la matière à réflexion pour tout
chercheur, l'activité du chercheur doit se situer dans la
file des productions intellectuelles dont elle vise à
progresser ou avancer le débat au sein d'une discipline
donnée.
Sur le plan pratique en notre qualité de
rechercher, ce sujet n'est pas un fait aléatoire, il est plutôt
le résultat d'une double motivation, d'une part nous avons
été motivés de traiter cet aspect du
problème qui n'a jamais fait l'objet d'une étude approfondie
sur le District du Tanganikaet d'autre part de résultat d'une longue
observation des réalitéspalpables,inhérentes sur le
développement du district du Tanganika.
0.5. Méthodes et
techniques
a.
Méthodes
Tout travail de recherche scientifique doit
suivre des procèdes opératoires rigoureux adaptés aux
genres de problèmeposé.La méthode comme étant
l'ensemble des opérations intellectuelles par les quelles, une
discipline cherche à atteindre les vérités
qu'elle poursuit , les démontre et les vérifient.5(*)
En ce qui nous concerne, nous avons
utiliséla méthode inductive elle
permettrad'une partà partir des résultats issus de nos
simulations relatives au port de Kalemie, l'étendre sur toute
l'étendue de la République Démocratique Congo et d'autre
partde fournir une preuve concrète à la théorie
économique à partir d'un grand nombre des faits
particuliers.
b.
Techniques
Comme l'honnêteté scientifique l'exige, il nous
appartient d'utiliser certains moyens et outils de collecte des
données dans le but de démontrer et vérifier les
objectifs que nous poursuivons.
MPALA MBABULA définit la technique comme instruments
qui nous permet redécouvrir ou d'observer les faits et recueillir
des différentes données au renseignement sur ces faits. 6(*)
En ce qui concerne notre travail, nous avons recouru
à deux techniques suivantes :
· La technique d'observation indirecte
(documentaire)
· La technique d'interview
B.1. Technique
d'observation indirecte
La technique d'observation est l'opération au
cours de laquelle le chercheur entre personnellement et directement en
contact avec la réalité qu'il étudie.
Cette technique, elle est dite indirecte ou
documentaire consiste à consulter et /ou lire des
supports d'informations et des
renseignementsélaborésantérieurement par d'autres
chercheurs ou des tiers. Les données contenues dans ces supports
sont dites données de seconde main ; parce que le
chercheur n'accède pas personnellement à la
réalité qu'il étudie.
Cette technique nous a conduits à utiliser les
documents tels que les travaux de fin de cycle, les mémoires, les
livres, les revues et les articles dans les domaines qui
intéressent notre présente étude.
B.2. Technique
d'interview
L'interview est l'une de démarche qui consiste
à récolter dans renseignements sur une
matièregrâceà la communication verbale directe que
l'enquêteur assure avec l'acquêté.
Le processus se déroulede façon
délibérée et non sur fortuitement ou malencontreusement
famille, entre amis ou entre connaissances.
Elle est dite à question ouverte
permet à l'interrogé de s'exprimer librement ou mieux
communiquer le fond de sa pensée. Mais, elle est très difficile
à coder.Chercheur doit s'obliger de savoir ce dernier est
nécessaire vu le temps et les moyens financiers disponibles et
considérant les exigences fondamentales de l'étude. Au cas ou
l'utilisation du questionnaire ne se justifiait pas, le chercheur peut recourir
plutôt à des donnees statistiques déjà existantes
pour etayer son argumentation ou à des temoignages.
0.6. Délimitation du sujet
Tout travail scientifique doit être limité
afind'éviter toute dépassement éventuelle, cette
tâche ne serait facile en élaborant sans limite
spatio-temporelle, mais nécessitant des efforts
dépassant les moyens financiers du chercheur et
rassembler les informations qui traduisent tant soit peu la
réalité de l'entreprise.
A cet effet, sur le plan spatial,ilnous a été
indispensable de délimiter notre étudesurle port de
Kalemie ; tandis que sur le plan temporel, ce travail est reposé
sur une échéance allant de janvier 2010 à décembre
2011soit une période de 24 mois.
0.7. Plan sommaire
Outre l'introduction et la conclusion
générale, notre travail est subdivisé en trois
chapitres dont la première porte sur la revue de la
littérature ; le secondchapitre est axé sur le champ
d'application et approche méthodologique du travail et le
troisième porte sur la présentation des données,
l'analyse et l'interprétation des résultats.
0.8. Difficultés rencontrées
Aucun travail scientifique n'a nullement la
prétention d'être exempté des difficultés. Nous
avons connu des difficultés d'ordre morale matériel ;
notamment
· La réticence de la part des personnes
interrogées ou interviewées qui ne nous apportait que les
informations superficielles, l'accès à tous les documents
de l'entreprise ne nous a pas été accordé
· La carence des ouvrages dans les
bibliothèques et sur le marché nous a rendu la tâche
difficile à notre rédaction du travail.
Nonobstant ces difficultés auxquelles nous nous
sommes heurté ; nous avons quand même fourni un grand
effort en cherchant aux particuliers en vue d'avoir une
documentaire qui nous a permis d'élaborer ce travail.
CHAPITRE PREMIER : LA REVUE DE LA LITTÉRATURE
Dans le cadre de cette réflexion, nous avons
fait usage de certains concepts et approche théorique
qu'il échoit de donner au préalable leurs significations
conceptuelles afin de faciliter la compréhension du
présent travail.
I.1. Définitions des concepts
La définition des concepts dans une
démarche scientifique est une étape importante dans la
mesure où elle facilite la tâche au lecteur.
I.1.1. DÉFINITION DES CONCEPTS DE BASE
A.
Le développement économique : est définit
comme étant l'accroissement quantitatif de la production
accompagnée d'une amélioration quantitative du bien-être
de la population. Les aspects sont donc respectueusement la production
et le bien-être de la population. Les aspects se réalisent dans
un environnement qui change constamment pour toutappelerà être
préservé un tel souci, celui de préservationà
l'environnement a donné naissance à ce que l'on appelle
aujourd'hui développement durable ou soutenable plus encore
technique l'écodéveloppement.
§ Développement durable : selon A.
GENARD, le développement durable n'est pas un état
d'équilibre , mais plutôt un processus de changement dans
lequel l'exportation des ressources , le choix des investissements ,
l'orientation du développement technique , ainsi que le
changement institutionnel sont déterminés en fonction des
besoins tant actuels qu'avenir .7(*)En d'autres termes, un développement durable
est un développement où évoluent
systèmeséconomiques et biosphères de façon
à ce que la production issue du premier assure la
reproduction de la localité de ces facteurs.
· Développement
Le développement est une combinaison de changements
mentaux et sociaux d'une population qui la rendent apte
à faire croitre cumulativement et durablement, son produit
réel et global.8(*)
Les courants idéologiques, définissent le
développement de la manière suivante :
· les classiques le définissent comme
étant une augmentation du revenu par tête d'habitant aux
seins d'une société ;
· les libéralistes quant à
euxdéfinissentle développement comme étant un processus
spontané, il est le résultat des effets d'entraînement
entre secteurs;
· les marxistes en fin diront que le
développement est un processus au court du quel il doit y
avoir une augmentation de production de revenu par tête et une
distribution plus ou moins égalitaire.
· Économie : étymologiquement
l'économie signifie l'administration de la maison.
Nous définissons l'économie comme «Un
ensemble des activités d'une collectivité humaine
relative à la production, à la distribution et à la
consommation des richesses » ; c'est un système
régissant ces activités.9(*)
Dans une perspective marxiste, l'économie peut
être définit comme une science sociale qui étudie le
comportement d'individu et le groupe d'individu dans le processus
d'échange de consommation desbiens et services.10(*)
Pour PIGOU, l'économie est définieen termes de
bien être, en posant ainsi cette définition comme étude
de la maximisation de la production totale aux fins de
l'évaluation du niveau de vie.11(*)
B.
Port
Du latin portus, qui signifie l'abri naturel
ou artificiel pour les navires, aménages pour l'embarquement et le
débarquement du fret et des passagers.12(*)
Le port maritime, fluvial C'est l'installation permettant
l'embarquement et le débarquement, c'est-à-dire la rupture de
charge des marchandises ou des passagers entre les voies d'eau et
les voies terrestres. Un port est généralement défini
selon deux approches :
· Une approche
économique :
- Son trafic, ou
mouvement,généralementévaluéen tonnes de
marchandises (le fret) et en nombre de passagers par un.
Ce bilan total peut distinguer les changements
(sorties, ou exports) des déchargements (entrées, ou imports).
· Une approche
globale :
- Sa fonction : de passagers , de marchandises (port
pétrolier, port céréalier , port numeraliser pour
les minerais), de guerre d'embarquement pour l'exploitation (export) ou
de déchargement pour l'importation (import) ;
déplaisance (bateaux s de loisir), de pêche , d'attache
(immatriculation des bateaux), d'avitaillement (recharge des
réserves nécessaires au fonctionnement des navires).
I.1.2 Définition des concepts connexes
a. Exportation
Pour A. BEITON, l'exportation est définie au sens
strict comme une vente des marchandises par un résident à
un non-résident. Cependant la sortie de la marchandise du
territoire national donne lieu à une entrée correspondante
des devises au profit de l'agent économique
résident.13(*)
b. Importation
L'importation est définie au sens strict comme
un achat des marchandises par un résident à un
non-résident. Par cette définition, donne lieu à une
sortie correspondant au sens large on parlera de l'importation des
biens, des services et des capitaux. 14(*)
· Service Maritime : c'est un
organisme du ministère de transport et de communication qui
s'occupait de transport par voie d'eau. ce service a comme
rôle :
- Veiller à la santé des passages et de
l'équipage c'est-à-dire voir le matériel
anti-incendie.
- Veiller les matériels à l'état de
sécurité des bateaux et embarcations.
· Service lacustre : c'est un service qui
vit sur les bords du lac ou construit à proximité d'un
lac pour effectuer le mouvement de contrôle du port. même
chose que le service maritime joue aussi le rôle du
contrôle du port que le franc bord maximum est respectée
et il n'ya pas bord aucune marchandise qui ne figure sur le
manifeste de bord.
c. bateau :
Le bateau est un bâtiment de navigation,
bâtiment navigant sur les fleuves, les rivières ou canaux
(navire à la navigation maritime.15(*)
d. marchandise :
Tout objet, produit qui se vend et
s'achète. On appelle marchandise toute chose mobilière
faisant l'objet portant sur les spéculations négociants
ou marchands. Les opérations sont réelles lorsqu'elles
impliquent les livraisons de la marchandise, elles sont au contraire,
fictives lorsque les achats sont faits à terme, suivant
les cours avec la clause tacite que le vendeur ne livrera pas
et que l'acheteur ne prendra pas livraison.16(*)
I.2. APPROCHE THÉORIQUE
I.2.1 APPROCHE THÉORIQUE SUR LES TAXES PAYÉES
AU PORT
Les taxes constituent un moyen financier qui sert
à couvrir les charges de l'État, le rôle de ce
prélèvement est d'assurer le financement de
l'administration publique qui a une contrepartie positive sur le
développement socio-économique d'une entité
donnée du pays. La taxe est un
prélèvementpécuniaireopéré par
l'État sur les individus en charge d'unservicerendu. Les taxes
ont un objectif très important par ledéveloppement d'une
entité, développement doit tenir compte des moyens
financiers.
A. SERVICES OPÉRATIONNELS AU PORT
C'est vers les années 90 que les nombres
des services de l'État opèrent au port de Kalemie s'est
accru. Dans notre investigation, nous avons préfère de nous
servir de cette période comme ligne de démarcation pour
l'étude de ces différents services .
Les services de l'État fonctionnent au port
de Kalemie au Décret-loi n°036/2002 organismes publics
habilités, il s'agit notamment :
§ Direction générale des Douanes et
Accises (DGDA) ;
§ Direction générale de navigation
(DGM) ;
§ Office Congolais de Contrôle (OCC) ;
§ Hygiène publique
Il ya d'autres services qui perçoivent les taxes
au port de Kalemie il s'agit de :
§ L'environnement ;
§ Commerce extérieur ;
§ Commissariat maritime ;
§ Régie des Voies Fluviales ;
§ Quarantaine agricole et
§ Vétérinaire
A cela s'ajoutedes services d'institutions ou d'organismes
publics qui perçoivent de l'argent au port de Kalemie :
§ Agence nationale de renseignement (ANR)
§ Police nationale congolaise (PNC) et
§ La force navale.
B. SORTES DES TAXES PERÇUS AU PORT
DE KALEMIE
0. Pour le trésor public
· Les droits de douane et les droits d'accise
· La taxe sur la valeur ajoutée
· Divers taxes du ministère des transports et
communication.17(*)
1. Pour le compte des entités
décentralisées
· Les taxes provinciales : sur les produits
agricoles et miniers
· La taxe du territoire : sur tous les produits
C. LES SERVICES ET ORGANISMES AUTORISES EN
QUALITÉ DE TAXATEURS AU PORT
1. DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES ET
ACCISES(DGDA)
La direction générale des douanes et
accises dont l'ancienne appellation est office des douanes et
accises (OFIDA) a été créée en 1979 par COLBERT
dans le but de chercher l'argent.
La DGDA a été créée par le
décret n°09/49 décembre du 03 décembre 2009 du
premier ministre.
RÔLE : la DGDA a comme rôle :
- Perception des douanes, taxes et autres redevances
à caractère douanier et fiscal présents et avoir
et qui sont dus sur les marchandises du fait de leur importation ou
exportation de leur transit ou de leur séjour en entrepôt
douanier ;
- Perception des droits d'accès présents et
à venir ;
- Classification des marchandises ainsi que la
détermination de leur origine et de leur en douane à
l'importation ou exportation ;
- Application des législations connexes aux
frontières ;
- Contrôle des prix ex-usine des produits soumis
aux droits d'accises
- Conception et la mise en oeuvre des mesures visant
la facilitation et la sécurisation des échanges commerciaux,
ainsi que celles relatives à la production locale des
produits soumis aux droits d'accises ;
- Protection de l'espace économique national, en
particulier par l'application des normes aux frontières ;
- Application des législations connexes aux
frontières concernant la protection de l'environnement
conformément aux conventions internationales ;
- Protection de la société par la lutte contre
le trafic illicite des marchandises dangereuses, des déchets
toxiques et des produits qui appauvrissent la couche d'ozone et
- Lutte contre le blanchiment d'argent.
TAXATION
La DGDA fait payer les taxes sur les produits en entrant
et qui sortent du pays. Ces taxes sont les suivantes :
- Droit de consommation à l'importation ;
- Droits et taxes à l'importation ;
- Percepteurs diverses (commandes et pénibilité
en cas de fraude) ;
- Recetted'impôt.
2. OFFICE CONGOLAIS DE CONTRÔLE
(O.C.C)
L'office congolais de contrôle est une institution
des droits publics créée par l'ordonnance loi N°73/15 du
10/01/1974. Avant1974, le contrôle ans notre pays était
exercé général de surveillance qui jusqu'à
présent reste le mandataire de l'O.C.C à l'étranger.
18(*)
RÔLE : l'O.C.C a pour
rôle :
- Aider à arrêter la fraude fiscale par
la maitrise de la valeur en douane ;
- Aider l'État à déposer des
statistiques fiables dans le cadre du commerce international et dans
la production industrielle locale ;
- Aider l'État à maitriser sa balance
commerciale extérieure ;
- Soutenir l'État dans ses efforts de
développement intégral dans le contrôle de la
normalisation ;
- La constations des pertes ; dommages et / ou avaries,
des missions de surveillance pour compter divers donneurs
d'ordre ;
- Effectuer la réification de la qualité, de la
quantité et de la détermination du juste prix des marchandises
et des produits destinés à l'exportation
OCC est une institution de prestation des services , il
rend ses services à la population en effectuant les
contrôles : qualitatifs, quantitatifs, techniques en constant les
avaries , en effectuant les analyses de laboratoire de certains produits
après tous les contrôles, l'O.C.C fourni les données
statistiques au gouvernement ou le vend aux particuliers .
TAXATION
Les 4 agents de l'O.C.C sont affectés au port de
Kalemie, il ; procède au contrôle de qualité et
quantité, technique en constatant en cas d'avarie ou mauvaise
qualité des marchandises et déclarer impropre à la
consommation et devra détruire tout payement des frais de
contrôle est sanctionné par un reçu. L'agent verse 15%
de recettes encaissées au fisc à titre de taxe sur la
valeur ajoutée.
L'O.C.C ne perçoit les taxes au trésor public
que dans le domaine ci-après :
- Infraction ;
- Amandes transactionnelles ;
- Législations commerciales autorisation d'obtenir le
numéro import-export ;
- Taxes sur les licences validées.
§ Trafic frontalier : toutes les marchandises dont
la valeur FOB (free on board ; franco à bord) est
inférieure à 10.000$
2. De 0 à 500 $ frais de contrôle O.C.C
25$+TVA 25 $+ 4$ =29$ à payer
3. De 501 à 1000$ frais de contrôle 50$
25168537650$ +TVA 50$+8$ = 58$ à payer
4. De 1001 à 2499$ frais de contrôle 100$
251686400100$+TVA 100$+16 =116$ Total à payer.
Importation :
· De 2500$ à 10.000 $ frais de contrôle
200$
C'est pour le laboratoire, seulement les marchandises qui
concernent le labo.
· Plus de 10.000$
3. LA DIRECTION GÉNÉRALE DE
MIGRATIONS (DGM)
La direction générale de migration a
été créée par le décret-loi N°002/003
du 11 Janvier portant création et organisation de la DGM.19(*)
RÔLE : la direction générale de
migration a comme rôle d'exécuter la politique du gouvernement en
matière d'immigration et d'émigration. des étrangers et
de la police de frontière, l'exécution sur le sol congolais
et règlement sur l'immigration et l'émigration des
étrangers et de la police de frontière, l'exécution sur le
sol congolais et règlements sur l'immigration et
l'émigration. l'immigration s'occupe du port de Kalemie de la
circulation des personnes à l'entrée et à la sortie
du pays. c'est un service qui s'occupe également de la
sécurité. ce service délivre des documents permettant
aux personnes notamment : le laissez-passer
Taxation : ladirectiongénérale de migration
taxe :
- Le laissez-passer ;
- Le visa et
- L'autorisation de sortie.
4. COMMISSARIAT MARITIME
Le commissariat maritime est un organe du
ministère des transports et communication qui s'occupe de
transport par voie d'eau.
· RÔLE :
ü Veiller à l'État de sécuriser
des bateaux et embarcations tels que ceux-ci est définis à
l'article premier du code de la navigation fluviale et lacustre , annexe
à l'ordonnance n°66/96 du 24/03/1996 le contrôle se
résume à la vérification de la validité du titre
de sécurité (certificat de navigation ), cependant en cas
d'avarie grave en bateau ou en l'embarcation , il peut imposer la
répartition avant la délivrance du permis de sortie.
ü Veiller à la sécurité des
passagers et à bords c'est-à-dire voie le matériel
de sauvetage correspond aux indicateur de certificat de
navigabilité ;
ü Veiller à ce que le nombre des personnes
embarquées à quel être que ce soit une dépasse
pas le nombre autorisé au certificat de navigabilité ;
ü Contrôler que le franc à bord maximum
est répété et qu'il n'y a à bord aucune
marchandise qui ne figure sur le manifeste de bord ;
ü Ne contrôler que les membres d'équipage
embarqués figurent sur la liste des passagers ;
ü Vérifier à bord l'existence du permis
de navigation valablement pour le personnel ayant l'obligation d'en
posséder ;
ü Vérifier à bord les documents requis par
la loi Procéder aux enquêtes relatives aux accidents et
incidents de navigation ;
ü Veiller au maintien de la discipline à
bord ;
ü Veiller à la présence à bord et
bon état des agrès et matériels de bord
nécessaire au genre de navigation de l'unité (câble,
ancres, feux)
Taxation :
Le commissariat maritime perçoit deux types de
taxes :
a. Pour le trésor
public : taxe instituée par
arrêten°409/CAB/TC/002/95 de la 30/01/1995 portante majoration des
taux et redevances administratives des transports et communications. Sorties
des bateaux : un montant de 50.000 FC par bateau, 45.000 FC pour autres
embarcations ,50$ pour les bateaux étrangers. Les versements
s'effectuent à la Banque pour le compte du trésor public.
20(*)
b. Pour le compte de la
province : la taxe provinciale a été
instituée par l'arrêt provincial n°95/007 SHABA du
07/01/1995 portant modification de taux de la taxe provinciale sur le
transport des passagers des produits manufacturiers , miniers , vivriers et
d'élevage.21(*)
Produits vivriers :
ü Local + bagage : 250 FC le kg de poids
chargés ;
ü Importation : 250 FC le kg de poids
chargés ;
ü Exportation : 3 % du montant de la facture.
Produits miniers : à l'exportation : 3 % du
montant de la facture
Passagers : 3% de la valeur du billet. Il est à
noter que toutes les perceptions s'effectuent à la source. C'est
-à-dire, chez l'armateur et non directement chez les passagers ni
commerçant.22(*)
5. HYGIÈNE PUBLIQUE
§ Rôle : L'hygiène publique
apourrôle de protéger la population contre les maladies
transmissibles. l'activité principale du service s'exerce surtout
dans les ports et grands centres. au port de Kalemiel'hygiène
publique s'occupe :
- Du trafic international, c'est-à-dire des
arrivées et départs des voyageurs nationaux et intranets en
contrôlant le certificat international de vaccination contre le
choléra et la fièvre jaune ;
- L'inspection des bateaux : dans les bateaux , vivent
parfois des parasites, des insectes , des rats qui peuvent provoquer des
maladies dangereuses comme le peste . cette expression se fait deux
fois par an.
- Désinfecter les unités navigantes tels que
les bateaux, les boats, les pirogues.
§ Taxation : l'hygiènedélivre le
certificat international de vaccination qui coute 25.000FC, deux fois par
an. ce service procède à la désinfection et
dératisation des bateaux. Les frais varient entre 500 et 5.000FC
par m3 et par tonnage du bateau. Cet argent sert à
acheter les produits de désinfections. Les recettes des
certificats internationaux sont destinées au trésor.23(*)
I.2.2 THÉORIE DU DÉVELOPPEMENT
ÉCONOMIQUE
Le développement d'un pays n'est pas
partiellement et imparfaitement qualifiable. les divers changements
structurels qu'ils requirent , ne sont pas toujours du domaine de la
quantification mais sont plutôt du domaine qualificatif.
A. HIRSCHMAN soutient que « pas plus qu'il
n'existe un ensemble donné de conditionspréalables du
développement économique , il n'est possible de
définir un nome déterminé des caractéristiques
du retard . Ce que entrave le progrès ans un certain système
et a un stage peut lui être favorable et d'autres
circonstances ».24(*)L'activité économiqueet le
bien-être matériel et toujours important mais chacun sait que
le développement concerne plus que la seule croissance dans un
pays en développement. Ce dernier peut être mesuré
à l'aide d'indicateur comme :
- PIB (produit intérieur Brut) ;
- PNB (Produit National Brut) ;
- IDH (Indice de développement Humain) ;
- BIP (Baromètre des inégalités et de la
pauvreté) ; et
- IPH (indice de pauvreté Humaine).
Il existe cependant plusieurs options de base dans le
développementéconomiquecomme :
ü Une économie de développement à
domaine agricole
ü Une économie basée essentiellement sur
la production
ü Une politique axée sur les
possibilités commerciales.
Tout État qui cherche à se
développerdevraitfaire un choix pour ses politiques de
développement mettre en place, le système économique dans
lequel les activités économiques doivent s'effectuer en
rapport avec les objectifs qu'il s'est fixé.25(*)
Les aspects socio-économique du
développement, du point de vue social , nous résumons
ci-dessous les idées de BANYAKLI qui relève que trois
paradigmes explicatifs sont d'usage classique pour l'appréhension
du phénomène du développement correspondant à
trois courants d'analyse.
· Le paradigme des choix politiques qui
privilégie les variables idéologiques et sociopolitiques comme
cadre analytique.
Déterminant ou décisif du
phénomène de développement.
Le développement répond ainsi à un
engagement qualificatif du pouvoir politique du choix optimaux avec
comme charges principales ; la mobilisation de toutes les forces
productives , la prise en compte des intérêts de toutes les
réalisations sociales . l'État devient alors un cadre de
négociation et de conciliation répondait à une
multitude de situation de conflits entre les classes dominantes e
les nouvelles moyennes ou entre les acteurs capitalistes et les
acteurs sociaux démunis ou dominés.
· Le paradigme de nationaliste économique qui
répond à des considérations et préoccupations de la
logique économique de développement. les courants
libéraux de vie qui privilégie l'autonomie sociale de la
dynamique du développement.
· Le paradigme socioculturel qui se situé
l'analyse du développement au niveau de l'intégralité
socioculturel et l'épanouissement humain et social.
L'intégralité du processus de développement consiste
à l'édification d'un ordre social qualificatif par la
revalorisation de l'homme dans toutes ses conditions d'existence
matérielle et morale.26(*)
Dans la situation actuelle, la République
démocratique du Congo est confrontée à
desdifférentsproblèmes qui handicapent une exploitation
sécurisante des ports et une navigation des unités sur le
lac. Il ya lieu de noter que le port de Kalemie, l'un de plus
importants du pays, se présente dans des conditions
particulièrement défavorables ; difficulté de
navigation principalement les ensablements qui encombrent constamment
le port et exigent un entretien permanent et très couteux ainsi
le balisage ; manque de formation du personnel concerne ; le
problème du moyen de communication , entretien de l'installation
portuaire presque nul, la réhabilitation du port soulève des
difficultés d'ordre économiques et techniques que
l'État actuel de notre développement économique et de
la nature même de notre production exportable ne permet pas de
surmonter , c'est-à-dire que l'exécution dont elle est
extrêmement coûteuse et exige les matériels commandes
à l'étranger.
Tout ceci fait part de Kalemie à vocation
régionale pour mieux exercer sa vocation, plusieurs politiques
de développement économique ont été mises en
oeuvre pour aboutir aux objectifs ci-après :
Satisfaire aux exigences du trafic ;
Être un pôle attractif pour les trafics non
captifs grâce à une compétitive toujours accrue ;
Rester pour la République Démocratique du
Congo d'un élément moteur de développement
économique en suscitant les activités commerciales
diversifiées ;
L'installation du système d'information du
guichet et du commerce extérieur gage d'un véritable
guichet unique des formalités portuaires ;
Travailleur à réduire le délai et
le coût de passage portuaire excessifs et les conditions assez
rudes d'acheminement des marchandises vers l'arrière-pays.
A. LE RÔLE AUX ENTREPRISES DANS LE
DÉVELOPPEMENT RÉGIONAL27(*)
Effet productivité des entreprises locales
251629056251635200251634176251632128251631104
Effet milieu
251628032
Effet emploi
251627008
Effet multiplicateur lié aux marchés non
locaux
251625984
Rôle des services aux entreprises dans le
développement régional
251624960
Effet reconversion recomposition
251630080
1. Services aux entreprises et contributions
à l'emploi
Les services aux entreprises ont tout d'abord des
implications importantes pour la structure des emplois
régionaux , tant en termes qualificatifs qu'en termes qualificatifs
.ils sont non seulement une source substantielle de création
d'emplois à l'heure où les emplois manufacturiers stagnent ou
régressent , mais il s'agit en plus d'emplois hautement
qualifiés et à salaires élevés. cette
dimension emploi , en particulier dans sa composante qualitative , est
cruciale lorsque l'on sait que les ressources humaines sont de plus en
plus reconnues comme un facteur essentiel de
développementéconomique .
2. Services aux entreprises et base exportatrice
régionale
Les transformations de la base économique des
métropoles et des villes internationales, en modifiant ou
réinterprétant le schéma initial de la base
économique. Leur point commun est que le développement qui
serait celle des économies métropolitaines. Concernant les
importations et les exportations de service aux entreprises, eux
remarques doivent êtreformulées :
· La première remarque concerne l'estimation
du poids du commerce interrégionale et des exportations de
services aux entreprises.
· La deuxième remarque a trait deux effets
multiplicateurs générés par ces exportations.
En effet , de fortes exportations ne créent pas
automatiquement un effet multiplicateur important sur l'activité
locale si les revues d'exploitation ne sont pas majoritairement
injectés dans la région . Par conséquent, la part
des revenus d'exploitation générale par les services aux
entreprises et dépenser dans la zone d'importation est
élevée. Ce concept de productive vers la prise en compte
des effets des services aux entreprises sur fonctionnements de l'ensemble
du système productif.
3. Services aux entreprises et effet
compétitivité productivité
Il est aujourd'hui largement reconnu que les
sévices aux entreprises jouent un rôle stratégique dans
le système productif contemporain que certains autours
qualifient de « post-fordisme », de
« nouvelle modernité, industrielle » ou encore de
« production flexible ». de façon
générale, on peut dire que les services aux entreprises
jouent un rôle fondamental dans la mise en place des nouvelles
formes de production de gestion , d'organisation et de concurrence ; la
présence de telles activités favorise ainsi la relation de
nouveaux produits, l'adaptation d'innovation en d'autres termes , les
services aux entreprises deviennent donc une composante importante de
l'infrastructure appuyant la productivité et la réalité
des tissus productifs locaux .
4. Services aux entreprises et effet
reconversion
En agissant sur la reconversion des aires locales,
les services aux entreprises semblent également contribuer
à la transformation, à la modernisation et à la
diversification des structures économiques locales et
régionales. Corollairement, leur absence exerce des effets
« déprimants » qui contribuent à accentuer
la crise. parmi les effets dégagés dans les recherches ,
citons , entre autres , la limitation de l'accèsdes firmes
régionales à l'innovation , le détournement de la
demande régionale vers d'autres lieux mieux dotés en
services, l'inflation des coûts introduite par ce cours accru aux
prestations extrarégionaux, le freinage des capacités locales
de maitrise des processus de développement ou encore la
difficulté à retenir au niveau local la main d'oeuvre
qualifiée .
5. Services aux entreprises et effet milieu
Les services aux entreprises exercent enfin un
rôle clé dans le processus de croissance régionale en
participant à la création d'un environnement économique
capable d'activer d'autres activités. leur rôle
stratégique semble d'ailleurs moins tenir à leur
caractère exportateur ou à leur contribution directe
à l'emploi qu'à leur pouvoir d'attraction sur d'autres
activités, pouvoir qui semble deuils sont suffisamment riches en
activités et en compétences rares.
Ainsi , la présence des services aux entreprise
dans une ville région contribue à la création d'un
milieu fertile où toutes sortes d'entreprises pourront
prospérer , ils ont des surcroit un rôle de fixation. A ces
différents titres, les services aux entreprises deviennent un
composant développement économique et de sa maitrise, un facteur
essentiel de la dynamique urbaine et régionale.
6. Services aux entreprises et effet indirect
Les services Aux Entreprises, comme l'ensemble des
activités de service d'ailleurs , se caractérisent par une
contribution notable à l'emploi en RDC , cet emploi est
d'autant plus important qu'il n'est pas simplement lié à un
effet structure , mais égalementà un effet dynamique
significatif. Si toutes les entreprises, industrielles ou territoriales,
ont des besoins croissants en services, quel que soit le mode de
recours envisagé.
En effet , la contribution directe à l'emploi , les
services aux entreprises permettant de compenser , du moins
partiellement , les pertes d'emplois qui frappent actuellement la plus
part des secteurs industriels.
Ils représentent par ailleurs une base importatrice
ou exportatrice pour les zones d'urbanisation moyenne en
réalisant une partsubstantiellede leur chiffre d'affaires en dehors de
leur espace d'importation conquérant le rôle indirect des
services aux entreprises, notre enquêtedémontrequ'encore
très peu d'établissements sont capables d'estimer
l'importance des services aux producteurs pour leur fonctionnement, leur
compétitivité et leur productivité.
POINTEUR
251671040
GRUTIER
251670016
POINTEUR MAGASINIER
251675136
MAGASINIER LITIGE
251668992251684352251650560
CHEF DE BUREAU ADMINISTRATIF
251645440
CHEF DE PORT
251638272251683328251682304
MAGASINIER
251667968251680256251681280251679232
CORSU
251654656
CHEF MAGASINIER
251661824
DOCKER
251672064
ÉLECTRICIEN
251666944
MÉCANICIEN
251665920251678208
CHEF POINTEUR
251657728251677184251676160
CHEF DE DOCKER
251655680
CHEF DE GRUTIER
251656704251674112251673088251663872251664896
CAISSIER
251662848251647488251649536251660800
SOUS CHEF DE BEACH
251658752
CHEF DE BEACH
251659776251653632251648512251646464
CHGE
251652608251651584251640320251642368251643392251641344251639296ORGANIGRAMME DU PORT DE
KALEMIE
I.3. LE RÔLE DU PORT DE KALEMIE
I.3.1. SUR LE
DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE
Le port de Kalemie constitue
le point de passage des échanges internationaux. il contribue
à l'essor du commerce international et au développement
économique des nations , le façade maritime grâce
à ses fonctions dans les domaines suivants : commerce,
transport, emploi, monnaie et politique ; au-delàde ces
fonctions le port est un véritable plaque tournante qui imprime
leur dynamisme à tous les secteurs d'activités
économiques du pays et de l'étrangers.
Le port est une industrie qu'offre autant de
possibilité d'emploi que toute activité
économique de taille possède aussi de
débardeurs, les réparateurs des navires, pilotes, veilleurs
employés de toute sorte sans compter le personnel des firmes ,
c'est-à-dire les services rendus aux navires et à leurs
étrangers sont les meilleurs occasions de gagner des devises, les
bateaux au bout de ligne à chaque visite au port y apporte
une centaine somme de dollars sous forme de salaires, de
défenses d'approvisionnement et des fournitures diverses.
La capacité qu'au port public de Kalemie ne permet
plus, aux unités navigantes de la grande capacité d'accoster.
Les unités qui prenaient 800 tonnes , maintenant ils ne prennent
que 300 tonnes , d'où il ya baisse de rentabilité des
unités productives de la SNCC et d'autres particulières.
Suite à ce Pleauxd'ensablement, les unités de
grandes capacités font maintenant trois courses au lieu d'une
seule course pour les mêmes tonnages. Par conséquent, sur
le marché de Kalemie, on constate la hausse de prix sur les
produits et leur rareté.
I.3.2. SUR LE DÉVELOPPEMENT SOCIAL
Les armateurs connaissent beaucoup des
difficultés, leurs unités de grandes capacités ne
prennent plus de tonnage réel. Le personnel qui dépend
de ces unités subit des congés techniques
prématurés, suite au mouvement de navigation qui tourne en
ralentie, soit des bateaux connaissent de pannes causées de cet
ensablement.
L'inaccessibilité du port , suite à
l'ensablement mettra un grand nombre de personnes au chômage, les
armateurs seront obligés de mettre même leurs unîtes
aux arrêts, soit diminué le tonnage normal des
unîtes navigantes par conséquent , le nombre des travailleurs
va baisser aussi puisqu'il faut diminuer les agents de la SNCC
oeuvrant au port , et autres appelés débardeurs (dockers...)
vont travailler en rotation car le nombre de pause à diminuer.
Cela provoquera la famine, la malnutrition, les décès, le
banditisme des personnes en chômage.
I.3.3. LES RESSOURCES DU PORT
Pour mener ses activités, le port de Kalemie est
dotée diverses ressources dont les ressources matérielles,
les ressources financières et les ressources humaines.
A. Les ressources
matérielles :
Les engins de levage: cinq grues dont trois sont
électriquesde 3 tonnes à 20m et 5 tonnes à 10m, deux
grues à moteur diesel de 2,5 tonnes à 20m et 5 tonnes à
6m ; actuellement 7 grues électriques sont en services ;
un derrick électrique de 50 tonnes à 12m. La jetée
joue à la fois le rôle d'ouvrage de protection et
d'accostage qui correspond à sa face intérieur un poste de
200m. Le quai commerciale de 776 et parfois plus punir aux inondations
pour l'aire utilise le manoeuvre n'est que
20.000m2environs le champ libre en longueur ne permet pas
à remorquer d'entrer en toute sécurité
B. Les ressources
financières
Les ressources financières sont essentiellement
composées des avances reçues des clients, des crédits
fournisseurs, du capital social, des emprunts et du résultat non
distribué. elles proviennent aussi des prestations de services
qui sont liées aux activités (remorquage, veille de
sécurité , amarrage . pilotage ), les prestations sur les
marchandises et diverses autres prestations.
C. Les ressources humaines
Les ressources humaines c'est l'ensemble du personnel d'une
entreprise,grâceau personnel que l'entreprise fonctionne. le port
de Kalemie est composé de plusieurs agents reparties par
catégories socioprofessionnelle comme suit : le cadre , agent de
maitrise et de travailleur ordinaire etc.
CHAPITRE DEUXIÈME : CHAMP D'APPLICATION ET
APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE
Section 1. PRÉSENTATION DU MILIEU
D'ÉTUDE
II.1.1 SITUATION GÉOGRAPHIQUE
Le port de Kalemie est situé légèrement
au Sud de l'ouverture du lac Tanganyika sur la LUKUGA. Terminal du
réseau ferroviaire est de la SNCC, il a été
principalement conçu comme le transit comportant un minimum
d'aire de stockage.
Ouvert vers le Nord-Ouest c'est-à-dire
l'opposé de la direction de la houle. Le plan d'eau du port de
Kalemie est plus calme, abrite par façadeextérieuredu quai
principal. Le transit latéral de sédimentsdéplacés
par les vents du Sud, du Sud-est et Est n'affecte qu'une partie de la
rade.
Il est situé sur la rive Ouest du Tanganika, au
Nord de la province au Katanga. il constitue un élément
important du système multimodal de transport de province du Katanga,
du Kasaï oriental et occidental et du Maniema .il est situé
au terminus du chemin de fer Kabalo-Kalemie , Kabalo étant au
croisement desaxes Kamina et Kindu , il constitue également un
axe important de commun cation avec les ports de Moba (Katanga) ,
kalundu (Sud-Kivu), Bujumbura (Burundi), Kigoma (Tanzanie) et Mpulungu
(Zambie). C'est en outre le port de transit pour les marchandises
provenant de l'intérieur allant Dar-Es-Salaam.
L'exploitation du port est toutefois menacée par
l'ensablement causé par les couches d'eau marécageuses.
Un banc de sable s'est forme à
l'entrée du portde plus , une baisse du niveau d'eau du lac
Tanganyika contribue également à l'accostage des plusieurs
bateaux avec les plus grands tirant d'eau (4m ce qui correspond
à un tonnelage de 400 tonnes ) ne peuvent plus atteindre le port
. cette baise de niveau d'eau affecte évidemment l'arrêter
de bateau en pleine eau ou ils déchargent sur des petites
unîtes flottantes, ce qui prend du temps . C'est dangereux et
contraire aux règles de la navigation.
L'ensablement, la baisse n du niveau d'eau dans le lac
et le manque d'infrastructure diminuent fortement la capacité du
port. Ces opérations accroissent le prix des biens
transportés, un coût avant tout reporter sur les
consommations finales. La partie de la situation géographique, nous
a située la position du port vis-à-vis d'autres ports
de la région, ainsi nous passons au traitement historique du
port de Kalemie
II.1.2 HISTORIQUE DU PORT DE KALEMIE
Le port de Kalemie est un abri artificiel des
navires qui se trouve sur la rive droite de la Lukuga ceci se
situe à côté de la société nationale
de chemin de fer (SNCC) Kalemie au bord du lac Tanganyika entre la
rivière Lukugaet la rivière Kalemie.
Cependant , antérieurement vers 1913, Monsieur
MAURITZ en chef de section du chemin de fer de grands lacs (CFC) avait fait
les recherches et sondages entre la rivièreLukuga et la
rivièreKalemie.Leséléments réunis avaient
été soumis à une firme anglaise
spécialisée dans l'étude de la construction du port.
La CFL (chemin de faire de grands lacs) maitre d'oeuvre
à envisager de se bâtir le port dans la ville de Kalemie.
les étrangers principalement aux postes de direction , le port
une conception visant à transférer les produits de toutes
catégories en dehors de la ville ou dans la ville elle-même
et dans les pays.
La jetée du port d'Albertville qui atteignait la
longueur de 2000 mètres en 1916, fut prolongée à partir
de 1919, de même que son appartement de 234 mètres en 1922.
Quelques années plus tard , on imagine de remplacer l'appartement
de bois par le béton, et même d'y construire un magasin
de transit . Mais cette dernière réalisation ne se
caractériser pas avant 1942.
Après la guerre vue le transfert à la CFL
du port militaire et de ses annexes devenu commercial, ce dernier joua
dès lors un rôle essentiel dans l'expansion de la
localité. une convention conclue le 15 mai 1921 avec la grande
Bretagne avait rendu plus aisée le trafic le trafic entre le
Congo-belge et l'océan indien , et avait contribué à
renforcer considérablement son importance .
La Belgique recevait, en effet, des facilites
spéciales pour le transit des marchandises sur la ligne de
chemin de fer reliant Kigoma à Dar es Salam. Elle obtenait
également des emplacements réservés dans deux derniers
ports. En fin cette nouvelle voie était plus rapide et moins
pécaïre que celle de Matadi.
Quelques chiffres relatifs aux mouvements portuaires
démontrent l'expansion commerciale d'Albert ville. en 1922, les
entrées au port totalisent 2300 tonnes et les sorties 960
tonnes. En 1927 on atteint respectivement 20.056 tonnes et 27.406 tonnes.
Voici quelques exemples du tonnage
manutentionné à l'époque :
1. 1935 : 10.777 tonnes d'entrées pour 5993
tonnes de sortie. Total : 16770 tonnes
2. 1950 : 22498 tonnes d'entrées pour 74.473
tonnes de sorties : Total 96.971 tonnes
3. 1956 : 58.312 d'entrée pour 163.343 de
sortie : Total 221.665 tonnes
Nous constatons , à la lecture de ces chiffres
que le volume du trafic portuaire a plus que entrée 1950 et
1956, l'essentiel des sorties se fait en direction de Kigoma et
Bujumbura .
A. LA CONSTRUCTION DU PORT
La CFL maitre d'oeuvre à envisager de se
bâtir le port dans la ville d'Albert ville, présentement la
ville de Kalemie. ayant des étrangers aux postes de direction ,
le port de Kalemie une imagination qui visait à transférer
les produits de toutes catégories en dehors de la ville
même dans le pays.
Le port est construit sur une rade foraine, se compose
d'une mole de 328,85 mètres de longueur s'avançant dans le
lac vers le Nord-est du coté inferieur un appartement en
béton armé de 9,75m de longueur, constitue par deux
alignements droits de 225m et 150m faisant en deux angles de 15° du
coté extérieur nous avons les remblais et des
enchaînements de gros protègent l'ouvrage du côté
extérieur entre les houles et les lames .
Les côtés du fond a droit des
accostagesetà l'arête supérieur de la plate-forme sont
respectivement de 765,30m et 7750,50 le quoi a été
relevé à coté 776 et parfois plus de deux
allègues. La protection contre la houle et lames, bonne raison
sèche est assez précaireen saison des pluies par suite des
vents du Nord assez fréquents. Du port orienté dans une
direction Sud - Ouest, Nord-est est difficile par les vents dominants la
saison sèche de secteur Sud-est.
B. L'EXPLOITATION
La situation de l'infrastructure mécanique et
même du port est critique. Des cinq grues présentes dans le
port (dotant des années 50), trois seulement marchent mais
à capacité réduite (305). La cale du port n'est plus
fonctionnel quotidiennement.
Cela favorise l'abandon des bateaux qui nécessite
une réparation. Le porta le rôle de recevoir et expédier
les bateaux, en procédant aussi à leur chargement. l'horaire
de prestation est de 24/24 heures pour un port beaucoup plus
solliciter c'est-à-dire les agents travaillent par cause les
entrées et les sorties sont réglementaires , c'est
-à-dire clôturées par la voie routière et
ferroviaire. Il s'occupe aussi de manoeuvre de rade pour le
déplacement des bateaux.
Le port est équipé des engins de
malnutrition que sont de grues et des autos levers. Ils sont les
grues des grandes capacités et des aires de stockages, les grues
portiques sont celles qui soulèvent les (conteneurs, pièces
lourdes etc.). Il est devenu la source de production, recette. À
travers les taxes d'accostage, de séjoursdesunîtes navigantes,
taxes d'utilisation de grues, de stockages de produits dans les
magasins. Les opérations de manutention de marchandises en transit
passent par le lac vers le rail. Le port comporte également un
terminal pétrolier , une cale sèche et un spipway longitudinal
de lancement ,il favorise , pour le pays l'importation et l'exportation
des produits dont les consommateurs on besoin.
PARCOURS LACUSTRES
|
INTERNES
|
EXTERNES
|
|
Km
|
|
Km
|
Kalemie - Kabimba
|
56
|
Kalemie - Kigoma (Tanzanie)
|
136
|
Kalemie - Moba
|
136
|
Kalemie - Mpulungu (Zambie)
|
55
|
Kalemie - Kalundu
|
297
|
Kalemie - Bujumbura (Burundi)
|
312
|
Kalemie - Moliro
|
536
|
Kalemie - Rumonge (Burundi)
|
242
|
|
|
Kalemie - Nyanza (Burundi)
|
197
|
Source : journal d'entreprise SNCC « un mot
sur le trafic lacustre », juin 1988, p.2
II.1.3 ORGANISATION STRUCTURELLE ET FONCTIONNEMENT DU
PORT
Le port de Kalemie est une propriété de
l'État congolais gérée par la SNCC. L'entretien des
disques du chenal d'accès déjetés est la charge de
la RVF. Principale activité du port est liée au trafic
ferroviaire.
A. ORGANISATION STRUCTURELLE
La structure du port se présente de la
manière suivante :
1. Chef de port
2. Chef magasin
3. Le bureau recette
4. Le bureau administratif
5. Le bureau litiges du magasinier
6. Le chef Beach
B. ORGANISATION FONCTIONNELLE
1. LE CHEF DE PORT :
Le chef de port de Kalemie s'occupe :
- De la programmation de services
- De la supervision du déchargement des barges,
des wagons
- De la propriété des installations portuaires
- De la gestion du matériel.
Le chef de port est le coordinateur de tous les
travaux, il contrôle toutes les recettes nécessaires
encaissées sont versées à la caisse centrale
del'entreprise, qui à son tour verse à la banque.
2. LE CHEF MAGASIN : Le Chef magasin s'occupe
de l'entrepôt sage des marchandises, il gère toutes les
entrées et les sorties du magasin.
3. LE CHEF DU BUREAU RECETTE : le bureau
recette s'occupe de l'enregistrement de toutes les recettes
versées dans la caisse , notamment celle provenant des frais
d'accostage et location grues , il est tenu par un caissier.
4. LE BUREAU LITIGES DU MAGASINIER: le bureau
litiges gère tous les litiges en sa compétence et soumet les
résultats au Chef de port
5. LE BUREAU ADMINISTRATIF : le bureau administratif
traite tous les problèmes administratifs du port sous la
supervision directe du chef de port, le secrétariat y est
rattaché.
6. LE CHEF DE BEACH
Le chef de Beach assure les coordinations, la
répartition et la surveillance de toutes les manutentions
exécutées au port par son équipe.
Le chef de Beach fait rapport au chef de port :
- Élaborer le programme du jour ensemble avec
le chef de port
- Donner le programme du jour au Bachmann
- Assurer les responsabilités de toutes les
manutentions se trouve au port.
7. LE SOUS CHEF DU BUREAU
Le sous-chef du bureau assure la coordination, la
répartition et la surveillance des taches de son équipe.
8. LE CHEF DE SECTEUR ENTRETIEN
Le chef de secteur d'entretien s'occupe d'entretenir les
grues.
9. LE CHEF DOCKER
Le chef docker reçoit le programme auprès du
chef de Beach.
10. LE GRUTIER
Le grutier donne le programme du jour à son
équipe.
11. POINTEUR
Le pointeur place chacun à sa poste.
Section 2 APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE
II.2.1 Spécification du modelé
Un modèle est une représentation
mathématique issue d'une conception théorique. Le modèle
repose sur théorie préalable qui permet de privilège tel
aspect du réel, telle relation causale.
Pour ce qui est de notre étude, après l'analyse
des données par les tests appropriés28(*), nous sommes aboutis à
une conclusion selon laquelle le modèle à utiliser est celle de
la cointégration.
Partant de notre modèle relative aux importations et
l'indice de prix à la consommation,
La démarche pour la cointégration s'effectue de
la manière suivante :
Y=âo+â1X+u
Avec X= les importations (la variable exogène)
Y= l'indice de prix à la consommation (la variable
endogène)
âo et â1= les
paramètres du modèle estime
u= la variable aléatoire
De ce modèle, il est évident de passer par le
modèle à correction d'erreur.
Ainsi,
Yi=âo+â1Xi
+ui (1)
ui=Yi-âo-â1Xi
(2)
En décalant toutes les variables d'un indice t dans la
relation (2), nous obtenons :
ui-t=Yi-t-âo-â1Xi-t
(3)
L'équation (3) est dite relation à long
terme.
A court terme, nous aurons :
ÄYi=âo+â1ÄXi- ui (4)
La relation (3) et (4) donne
ÄYi=âo+â1ÄXi- (Yi-t-âo-â1Xi-t)
ÄYi=âo+â1ÄXi- Yi-t+ âo+ â1Xi-t
En posant âo et âo par á
â1 par
Par
D'ou
ÄYi=
á0+ 1ÄXi- 2Yi-t + 2Xi-t. (5)
De ce modèle, il faut que 2soit négative et il est
considéré comme étant la force de rappel vers
l'équilibre.
1représente
l'élasticitéà court terme.
Il montre que si les importations augment ou baisse de x%,
quels seront les implications dans le long terme.
II.2.2 test de validité de modèle
1. Test individuel de student
· Statistique de student calculé :
· Statistique de student théorique :
th= tá (n-k)
n : la taille de l'échantillon
k : nombre des paramètres de modèle ;
á : seuil de signification ;
n-k : degré de liberté.
Hypothèse
H0 : =0 ; les paramètres du
modèle sont non significatifs
H1: 0 ; les paramètres du modèle sont significatifs
a. Règle de décision
Si : tc th on accepte H1 etleparamètre du
modèle est significatifs ;
tc th on accepte H1 etleparamètre du
modèle est non significatif
2. Test global de Fisher
Ce test consiste à estimer les paramètres du
modèle d'une manière globale. Très souvent il est
utilisé lorsqu'il y a incompatibilité dans la prise de
décision sur les paramètres.
Pour la statistique calculée de Fisher FC=
Celle théorique est donnée par
Fth=F (n-k;k-1)
Hypothèses
Si FC Fthles paramètres du modèle sont globalement
significatifs ;
Si FC Fthles paramètres du modèle ne sont pas
globalement significatifs
3. Coefficient de
détermination
Dans un modèle le coefficient de détermination
consiste àévaluer le degré d'exploitation qui en
découle.
En pratique, un modèle est celui qui tient compte un
coefficient de détermination comprise entre 50% et 100%.
Statistiquement
Avec 50% R2 100%
4. Le coefficient de corrélation
Dans cette partie nous essayons de déceler la liaison
qui peut exister entre la variable endogène (l'indice de prix à
la consommation) et la variable exogène (les importations)
Pour ce faire le coefficient de corrélation se calculer
de la manière suivante
rxy=
251637248251636224Statistiquement pour calculer le coefficient
de corrélation :
tc=
th= n-k
5. Règle de décision
Si tc th , il ya liaison entre la valeur endogène entre la
valeur exogène ;
Sitc th , il n'ya liaison entre la valeur endogène entre la
valeur exogène
CHAPITRE TROISIÈME : PRÉSENTATIONDES
DONNÉES, ANALYSE ET INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS
Le port de Kalemie joue un rôle majeur dans
l'économie nationale en raison de l'intensité de flux qui
s'effectuent sur la plateforme portuaire, le niveau de
compétitivitéétantle plus élève, ceci impose
une amélioration de la quantité de prestations affectesà
une clientèle de plus en plus exigeante. Comme le port constitue le
point de passage des échanges commerciaux, il contribue à l'essor
du commerce international et au développementd'une région.
III.1. PRÉSENTATION DES DONNÉES
Le port de Kalemie joue un important rôle pour le
ravitaillement des produits vivriers, manufactures pour la survie de la
population non seulement de la ville de Kalemie mais aussi dans le district de
Tanganika et d'autres provinces de la République Démocratique
Congo.
a. Tableau n01 : Les
importations
Mois
|
Importations
|
2010:01:00
|
27,434
|
2010:02:00
|
23,256
|
2010:03:00
|
28,416
|
2010:04:00
|
31,213
|
2010:05:00
|
16,056
|
2010:06:00
|
24,654
|
2010:07:00
|
16,524
|
2010:08:00
|
16,956
|
2010:09:00
|
27,458
|
2010:10:00
|
19,909
|
2010:11:00
|
22,277
|
2010:12:00
|
19,502
|
2011:01:00
|
19,694
|
2011:02:00
|
24,661
|
2011:03:00
|
26,244
|
2011:04:00
|
23,41
|
2011:05:00
|
24,156
|
2011:06:00
|
27,149
|
2011:07:00
|
27,452
|
2011:08:00
|
26,851
|
2011:09:00
|
29,601
|
2011:10:00
|
30,174
|
2011:11:00
|
18,445
|
2011:12:00
|
26,572
|
b. Tableau n02 : indice de prix
à la consommation
Mois
|
IPC
|
2010:01:00
|
10,107
|
2010:02:00
|
10,107
|
2010:03:00
|
10,107
|
2010:04:00
|
10,107
|
2010:05:00
|
10,107
|
2010:06:00
|
10,107
|
2010:07:00
|
10,107
|
2010:08:00
|
10,107
|
2010:09:00
|
10,107
|
2010:10:00
|
10,107
|
2010:11:00
|
10,107
|
2010:12:00
|
10,107
|
2011:01:00
|
43,804
|
2011:02:00
|
43,804
|
2011:03:00
|
43,804
|
2011:04:00
|
43,804
|
2011:05:00
|
43,804
|
2011:06:00
|
43,804
|
2011:07:00
|
43,804
|
2011:08:00
|
43,804
|
2011:09:00
|
43,804
|
2011:10:00
|
43,804
|
2011:11:00
|
43,804
|
2011:12:00
|
43,804
|
Source : service des affaires économique
De ce tableau l'indice de prix à la consommation, nous
sommes parties de l'hypothèse selon laquelle le 121,29 de sa valeur
annuelle est divisée par 12 afin de déceler la moyenne mensuel
pour l'année 2010 et de même pour l'année 2011 ou le 525,65
divisé par 12 à donner la moyenne mensuel.
III.2. ANALYSE DES DONNÉES
A. ANALYSE
DESCRIPTIVE
ü Évolution des importations dans la ville de
Kalemie
SOURCE :
De cette figure, l'évolution annuelle des importations
de janvier 2010 à décembre 2011, nous avons constatéqu'au
court de cette échéance les importations dans la ville de Kalemie
ont enregistrés des énormes fluctuations. C'est le cas par
exemple en juin et juillet2010 ou il y a eu un fort accroissement des
importations, suivit d'octobre et avril de la même année. Tandis
qu'en 2011, une fluctuation quasiment faible constatée au court de
certains mois.
Dans l'ensemble c'est-à-dire de janvier 2010 à
décembre 2011 les biens et services importés dans la ville de
Kalemie plus précisément au port de Kalemie ont connue des
variations sans précèdent. Ces flux sont facteurs des plusieurs
intempéries qu'enregistre cette ville.
· évolution de l'indice de prix à la
consommation dans la ville de Kalemie
La figure ci-haut retrace l'évolution de l'indice de
prix à la consommation pour une période qui court de janvier 2010
à décembre 2011 dans la ville de Kalemie. De ce graphique, c'est
en 2011 ou le niveau générale de prix pour le panier de la
ménager à connue de surchauffe tout en passant de 10,107 à
47,08 respectivement.
A. ANALYSE STATISTIQUE
Partant de nos données ci-haut, après analyse
par les tests appropriés, le modèle adapté à ces
données est celui de la cointegration.
A cet effet, nous avions utilisé le logiciel Eviews
afin d'aboutir aux résultats fiable.
Après estimation, les résultats sont
consignés dans le tableau ci-dessous :
Variables
explicatives
coefficients
C la
constante 0.916225
t-stat-1.861747
LIM les importations (en
Log) -0.683611
T-stat
3.266319
LIPC(1) indice de prix à la consommation pour la
période précédente-0.848542
t-stat 9.207653
LIM(1) importations pour la
période précédente (en log)-0.159762
t-stat
1.41389
2R-scoefficient de détermination
0.865043
AdjustedR-squared
0.843734
Durbin-Watson stat 2.120517
Prob(f-stat)
0.000000
Observations
24
|
Source : de nos estimations cfr tableau
no 2 en annexe
L'équation du modèle : LIPC =
-0.916224564-0.683611*LIM-0.848542*LIPC(1)-0.159762*LIM(1)
III.3.
INTERPRÉTATIONS DES RÉSULTATS
Les résultats qui découlent de nos estimations
peuvent être interpréter de la manière suivante :
· L'impact de la variable importation
est négatif et est statistiquement significatif vu le t-stat
calculé(3,266319) qui est largement
supérieur celle de la table soit de 2,086au seuil de
5%. Le signe négatif associé au paramètre d'importation
illustre la relation inverse entre ce dernier et celui de l'indice de prix
à la consommation.
Ainsi, l'échéance allant de janvier 2010
à décembre 2011 a faits montre une évolution de l'indice
de prix à la consommation croissante soit en moyenne de 43,803 par
rapport à 10,107 de 2010.
· Dans le même ordre d'idée, la variable
indice de prix à la consommation pour la période
précédente a été statistiquement significatif
partant dela valeur de la statistique de student y afférents.
Connaissant que le paramètre « 1 » représente l'élasticité de
court terme dans ce modèle, ce qui veut tout simplement dire que toute
baisse de 6,83% se traduit par une augmentation de
10% de l'indice de prix à la consommation dans la ville
de Kalemie. Ceci traduit l'importance que joue ce port dans le processus de
ravitaillement des biens et services à la population.
Pour ce qui concerne la bonté du modèle, dans
son ensemble il est expliqué à 86,5% du coefficient de
déterminant (R2) et les paramètres du modèle
sont globalement significatifs car la probabilité associée
à la statistique de Fisher est de 0,000 soit inférieur à
5%.
CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
A.
CRITIQUES
· La présence de beaucoup de services intitules au
port ;
· Manque de possibilité d'accostage de
grands bateaux dans le port ;
· La monotonie dans les marchandises importes ;
· La prolifération de petits ports qui font
accoster les petits bateaux l'insu provenant de dirigeants politiques afin
d'exonération des différents marchandises importes ;
· Manque des exportations
B.
SUGGESTIONS
· Réduire les services oeuvrant
illégalement dans le port ;
· Que l'État procède aux modernisations et
à la réhabilitation des équipements et l'allégement
des taxes et frais pour promouvoir les échanges;
· Octroyer à la régie des voies fluviales
les moyens nécessaires pouvant lui permettre de baliser la route et les
abords du port, de draguer le port ainsi que effectuer les études
hydrocarbures ;
· Recrutement des agents qualifies pour ce
travail ;
· Rendre la gestion et l'entretien du port a la
société nationale de chemin de fer du Congo(SNCC) ;
· Les courants d'eaux autour du port de Kalemie et les
moyens de chargement déviation afind éviter les
tourbillonnements ;
· Rétablissement de la digue sur la rivière
Lukuga qui empêche le déversement d un grand débit d eaux
dans la rivière.
CONCLUSION
GÉNÉRALE
Nous sommes arrives aux termes de notre étude qui porte
surle rôle du port de Kalemie dans le développement
économique de district de Tanganika.
A cet effet, notre travail est subdivisé en trois
chapitre outre l'introduction et la conclusion générale. A tous
ces points, vu la complexité de notre travail, nous avons
été obliges dans le cadre de nos investigations de concilier la
théorie a la pratique en vue de mieux cerner notre
problématique.
§ Le chapitre premier porte sur la revue de la
littérature ou nous avons définit les concepts de base et
connexes pourront aider nos lecteurs à pouvoir appréhender le
sens des mots et tournures utilises dans notre étude ainsi que
l'approche théorique ;
§ Le chapitre deuxième est axe sur le champ
d'application et approche méthodologique, que nous avons
développe : la première section porte suer la
présentation du milieu d'étude ou nous avons la situation
géographique 'historique du port, et l'organisation structurelle et
fonctionnement du port et la deuxième section porte c'est l'approche
méthodologique ou nous avons épinglé la spéculation
du modèle, le test de validité de modèle et la
règle de décision ;
§ Le troisième chapitre porte sur la
présentation des données, l'analyse et interprétation des
résultats, le chapitre troisième celle qui donne un aperçu
de tout ce qui a été dans évoque dans les parties
précédentes.
Toutes ces notions que nous avons été a mesure
d'achever le présent travail et a l'aide des méthodes et
techniques ; nous avons utiliséla méthode inductive elle
permettrad'une partà partir des résultats issus de nos
simulations relatives au port de Kalemie, l'étendre sur toute
l'étendue de la République Démocratique Congo et d'autre
partde fournir une preuve concrète à la théorie
économique à partir d'un grand nombre des faits
particuliers et la technique d'observation indirecte ou documentaire elle nous
a permis de consulter et /ou lire des supports d'informations et des
renseignementsélaborésantérieurement par d'autres
chercheurs ou des tiers. Les données contenues dans ces supports
sont dites données de seconde main ; parce que le
chercheur n'accède pas personnellement à la
réalité qu'il étudie. Nous avons évoqués
dans l'introduction que nous y sommes arrivés; eu égard de ce qui
précède, nous sommes maintenant a même de conclure ce
travail en infirmant ou en confirmant les hypothèses que nous avons
soulèves dans l'introduction.
Partant de l'analyse que nous avons effectuée, nous
répondons par l'affirmative a la premier hypothèse connaissant
que le niveau de la balance de paiement (explicité par la
différence entre importation et exportation) peut positionner un
pays, une ville, un territoire, un district sur le plan des échanges. Le
déplacement des humains, biens et service demeure un aveu pour une bonne
économie. Cependant à la deuxième hypothèse nous
affirmons que le port de Kalemie constitue un centre des différentes
activités commerciales, touristiques, d'approvisionnement des produits
alimentaires et divers et est devenu la source de production des
recettes à travers un arsenal des taxes ; nous pensons qu'il
serait un facteur du développement économique du District de
Tanganika.
Nous tenons à souligner que le présent travail
n'a point la prétention d'être une oeuvre savante et qu'il
constitue une ébauche d'un sujet qui reste ouvert à d'autres
chercheurs. De ce fait, nous osons croire que nombreux sont ceux qui nous
emboiteront le pas pour nous compléter soit pour nous aider en apportant
des nouvelles suggestions et remarques pouvant permettre a l'entreprise de
pouvoir progresser.
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
1. A .Genard, économie
générale,2eéd col. économie,
Bruxelles 199 ;
2. Albert HIRCMAN, stratégies du
développement économique, éd. ouvrière,
New-York, 1961 ;
3. Galloup et F. Leloup, services aux entreprises et
développement régional, éd. DE BOECK
université, Bruxelles, 2006 ;
4. MPALA MBABULA, pour vous les chercheurs.
Directives pour rédiger un travail scientifique, d. Mpala, Lubumbashi,
2011.
B. TRAVAUX DE FIN DU CYCLE ET
COURS
1. Gilbert MALEMBA, cours des méthodes de
recherche en sciences sociales, G2 économie, UK ,2011-2012,
inédit ;
2. MWALABA KASANGANA, cours d'économie politique,
UNIKAL, 2010-2011, inédit
3. Xavier BAYEKE, cous d'initiation à la recherche
scientifique, G1économie, UNIKAL, 2010-2011 ;
4. ZUHURA MISEKE, la réhabilitation de l'infrastructure
publique facteur du développement économique : cas du port
de Kalemie, CUK, 2008-2009, TFC, inédit.
C. INTERNET
1. BANYAKU EPOTU, in www. Amazone.com
2. Fr. wikipedia.org/wiki/ problématique
3. Fr.wikipedia.org/wiki/hypothèse
4. www. Toupie /Dictionnaire /développement .htm
D. DICTIONNAIRE
1. A. BEITON et Cie, Dictionnaire de
sciences économiques, 2e éd. Armand colin,
Paris 2007, p.222
2. BAIROCHI, cité dans le lexique
d'économie 10 e éd Dalloz
3. Dictionnaire, nouveau Larousse universel 2,
éd LIBRAIRIE LAROUSSE, Paris
E. LOIS, ARTICLE ET AUTRES ARCHIVES
1. Archives du Commissariat Maritime Kalemie
2. Arrêté régional N°95/007/Shaba
le point 4 de cet article concerne le transport d'eau
3. Bureau du district de l'hygiène mars 2011
4. Bureau du commissariat maritime Kalemie
5. Décret -loi N°002/003 article 3
6. La nouvelle nomenclature budgétaire , la loi
budgétaire 2011, PRAIDEFI
7. Ordonnance loi N°73/15/ du 10 janvier 1974
ANNEXE
Tableau n01 : Base des données
Mois
|
Importations
|
IPC
|
2010:01:00
|
27,434
|
10,107
|
2010:02:00
|
23,256
|
10,107
|
2010:03:00
|
28,416
|
10,107
|
2010:04:00
|
31,213
|
10,107
|
2010:05:00
|
16,056
|
10,107
|
2010:06:00
|
24,654
|
10,107
|
2010:07:00
|
16,524
|
10,107
|
2010:08:00
|
16,956
|
10,107
|
2010:09:00
|
27,458
|
10,107
|
2010:10:00
|
19,909
|
10,107
|
2010:11:00
|
22,277
|
10,107
|
2010:12:00
|
19,502
|
10,107
|
2011:01:00
|
19,694
|
43,804
|
2011:02:00
|
24,661
|
43,804
|
2011:03:00
|
26,244
|
43,804
|
2011:04:00
|
23,41
|
43,804
|
2011:05:00
|
24,156
|
43,804
|
2011:06:00
|
27,149
|
43,804
|
2011:07:00
|
27,452
|
43,804
|
2011:08:00
|
26,851
|
43,804
|
2011:09:00
|
29,601
|
43,804
|
2011:10:00
|
30,174
|
43,804
|
2011:11:00
|
18,445
|
43,804
|
2011:12:00
|
26,572
|
43,804
|
Source : à partir de nos tableaux
no3,no4,no5 et no6
Tableau
n02 : Estimation par la cointégration
Dependent Variable: LIPC
|
Method: Least Squares
|
Date: 11/24/11 Time: 16:03
|
Sample(adjusted): 2010:01 2011:11
|
Included observations: 23 after adjusting endpoints
|
Variable
|
Coefficient
|
Std. Error
|
t-Statistic
|
Prob.
|
C
|
0.916225
|
0.492131
|
-1.861747
|
0.0782
|
LIM
|
-0.683611
|
0.107487
|
3.266319
|
0.0207
|
LIPC(1)
|
-0.848542
|
0.092156
|
9.207653
|
0.0000
|
LIM(1)
|
-0.159762
|
0.112995
|
1.413892
|
0.1736
|
R-squared
|
0.865043
|
Meandependent var
|
0.238968
|
Adjusted R-squared
|
0.843734
|
S.D. dependent var
|
0.250940
|
S.E. of regression
|
0.099198
|
Akaike info criterion
|
-1.626629
|
Sumsquaredresid
|
0.186964
|
Schwarz criterion
|
-1.429152
|
Log likelihood
|
22.70623
|
F-statistic
|
40.59528
|
Durbin-Watson stat
|
2.120517
|
Prob(F-statistic)
|
0.000000
|
Estimation par Eviews
TABLEAU NO3 : IMPORTATION
2010
MOIS
|
FARINE DE FROMENT
|
FARINE DE MAIS
|
RIZ
|
HUILE VÉGÉTALE
|
HUILE DE PALME
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
JANVIER
|
12627
|
8795
|
8795
|
8795
|
|
|
4389
|
32266
|
40
|
8207
|
FÉVRIER
|
7724
|
29133
|
29133
|
29133
|
|
|
520
|
6291
|
92
|
14836
|
MARS
|
9558
|
20534
|
20534
|
20534
|
1355
|
16400
|
19760
|
217360
|
8
|
1965
|
AVRIL
|
6260
|
18117
|
18117
|
18117
|
337
|
4978
|
13673
|
142865
|
|
|
MAI
|
500
|
|
|
|
140
|
1890
|
|
|
5
|
1228
|
JUIN
|
1530
|
11300
|
11300
|
11300
|
272
|
4296
|
|
|
15
|
3636
|
JUILLET
|
15073
|
|
|
|
324
|
5116
|
|
|
|
|
AOUT
|
64410
|
|
|
|
294
|
4642
|
41
|
451
|
|
|
SEPTEMBRE
|
6136
|
17963
|
17963
|
17963
|
930
|
24406
|
2001
|
22011
|
|
|
OCTOBRE
|
3300
|
|
|
|
749
|
19370
|
2035
|
22385
|
|
|
NOVEMBRE
|
5480
|
17959
|
17959
|
17959
|
627
|
18721
|
|
|
|
|
DÉCEMBRE
|
800
|
|
|
|
940
|
29770
|
1843
|
18672
|
|
|
TOTAL
|
75398
|
123801
|
123801
|
123801
|
5968
|
129589
|
44262
|
462301
|
160
|
29872
|
SOURCE : Rapport annuel, bureau statistique de la
DGDA/KALEMIE 2011
TABLEAU NO4: I IMPORTATION
2010(SUIT)
MOIS
|
BOISSON SUCRÉE
|
SUCRE
|
SEL MARIN
|
EAU VIVE
|
FRETINS
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
JANVIER
|
2517
|
25696
|
1273
|
27083
|
1600
|
16890
|
70
|
840
|
391
|
10602
|
FÉVRIER
|
1140
|
19145
|
|
|
4030
|
39879
|
|
|
3678
|
195010
|
MARS
|
350
|
2817
|
|
|
5146
|
41468
|
170
|
1079
|
2042
|
62793
|
AVRIL
|
1670
|
12509
|
8000
|
140400
|
6120
|
64373
|
403
|
4536
|
958
|
13341
|
MAI
|
2287
|
15485
|
|
|
4996
|
36771
|
|
|
2867
|
98921
|
JUIN
|
|
|
8000
|
163704
|
4378
|
37583
|
290
|
3363
|
6335
|
202432
|
JUILLET
|
3898
|
26542
|
|
|
2527
|
23134
|
|
|
700
|
50475
|
AOUT
|
660
|
4633
|
|
|
2700
|
28431
|
|
|
661
|
47455
|
SEPTEMBRE
|
2148
|
15078
|
899
|
7645
|
3187
|
33559
|
|
|
2296
|
148432
|
OCTOBRE
|
2150
|
16609
|
|
|
5408
|
56638
|
|
|
1394
|
335724
|
NOVEMBRE
|
3911
|
27959
|
8000
|
140760
|
9851
|
96129
|
|
|
|
|
DÉCEMBRE
|
1383
|
9680
|
|
|
8200
|
41982
|
|
|
2037
|
86718
|
TOTAL
|
22114
|
175784
|
26172
|
479592
|
58143
|
516837
|
933
|
9818
|
23359
|
1251903
|
SOURCE : Rapport annuel, bureau statistique de la
DGDA/KALEMIE 2010
TABLEAU NO5 : IMPORTATION
2011
MOIS
|
FARINE DE FROMENT
|
FARINE DE MAIS
|
RIZ
|
HUILE VÉGÉTALE
|
HUILE DE PALME
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
JANVIER
|
1663
|
12196
|
15800
|
23700
|
278
|
8804
|
|
|
3
|
8999
|
FÉVRIER
|
10835
|
79392
|
|
|
414
|
13111
|
3494
|
34999
|
67
|
20077
|
MARS
|
9539
|
29303
|
17870
|
268050
|
436
|
6903
|
|
|
|
|
AVRIL
|
3388
|
21795
|
|
|
1096
|
34710
|
|
1
|
120
|
35959
|
MAI
|
13540
|
111117
|
9000
|
135000
|
|
|
|
|
|
|
JUIN
|
4800
|
35190
|
12500
|
187500
|
411
|
13016
|
2886
|
28495
|
|
|
JUILLET
|
22046
|
104678
|
|
|
205
|
6492
|
|
|
183
|
54837
|
AOUT
|
8640
|
62078
|
11300
|
169500
|
1188
|
35197
|
|
|
|
|
SEPTEMBRE
|
12079
|
88839
|
18007
|
270105
|
313
|
9913
|
3375
|
38405
|
92
|
27568
|
OCTOBRE
|
9068
|
66474
|
24000
|
360000
|
940
|
24770
|
7945
|
113700
|
140
|
419252
|
NOVEMBRE
|
1460
|
10451
|
|
|
196
|
6207
|
|
|
|
|
DÉCEMBRE
|
7179
|
52651
|
|
|
314
|
9944
|
9647
|
106514
|
35
|
10488
|
TOTAL
|
104237
|
674174
|
108477
|
1627155
|
5791
|
169067
|
27347
|
322113
|
640
|
577180
|
SOURCE : Rapport annuel, bureau statistique de la
DGDA/KALEMIE 2011
TABLEAU NO6 : IMPORTATION
2011(SUIT)
MOIS
|
BOISSON SUCRÉE
|
SUCRE
|
SEL MARIN
|
EAU VIVE
|
FRETINS
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
QUANTITÉ
|
VALEUR
|
JANVIER
|
3522
|
25669
|
|
|
|
|
620
|
5922
|
1040
|
28924
|
FÉVRIER
|
1594
|
11215
|
|
|
8600
|
94035
|
70
|
422
|
4574
|
97641
|
MARS
|
1310
|
12736
|
7856
|
163269
|
9012
|
84466
|
200
|
878
|
128
|
11045
|
AVRIL
|
2113
|
14869
|
4000
|
82110
|
10400
|
15600
|
|
|
6607
|
238172
|
MAI
|
1475
|
10378
|
|
|
1580
|
90777
|
12000
|
84390
|
2005
|
141673
|
JUIN
|
2515
|
17698
|
|
|
8599
|
222389
|
400
|
2813
|
2310
|
279818
|
JUILLET
|
1700
|
11964
|
9996
|
205192
|
21114
|
168861
|
1035
|
12476
|
9317
|
223124
|
AOUT
|
2953
|
20330
|
12660
|
259980
|
16396
|
25278
|
|
|
10064
|
226278
|
SEPTEMBRE
|
1938
|
19268
|
|
|
4188
|
33738
|
1145
|
7399
|
2049
|
36777
|
OCTOBRE
|
4000
|
27798
|
|
|
3196
|
7878
|
160
|
1434
|
3227
|
63977
|
NOVEMBRE
|
2819
|
19838
|
|
|
876
|
40320
|
1200
|
8439
|
3302
|
82538
|
DÉCEMBRE
|
4627
|
25541
|
10000
|
207827
|
|
|
1529
|
8936
|
6967
|
129459
|
TOTAL
|
30566
|
217304S
|
44512
|
918378
|
83961
|
835811
|
18359
|
133109
|
51590
|
1559426
|
SOURCE : Rapport annuel, bureau
statistique de la DGDA/KALEMIE 2011
NB : farine de froment, farine
de maïs, sel marin et fretins : la
quantité exprimée en sacs et la valeur en dollars (USD)
Boisson sucrée, sucre : la quantité
exprimée en casiers et la valeur en dollars (USD)
Eau vive : la quantité exprimée en
cartons et la valeur en dollars (USD)
Huile de palme : la quantité exprimée en
fûts et la valeur en dollars (USD)
Huile végétale : la quantité
exprimée en bidons et la valeur en dollars (USD)
TABLE DES MATIÈRES
0.
INTRODUCTION
3
0.1.
Etat de la question
2
0.2.
Problématique
3
0.3.
Hypothèse
3
0.4.
Choix et intérêt du sujet
4
0.5. Méthodes et techniques
5
a. Méthodes
5
b. Techniques
5
0.6. Délimitation du
sujet
6
0.7. Plan sommaire
6
0.8. Difficultés
rencontrées
6
CHAPITRE PREMIER : LA REVUE DE LA
LITTERATURE
7
I.1. Définitions des
concepts
7
I.1.1. DEFINITION DES CONCEPTS DE BASE
7
A. Le développement
économique
7
B. Port
8
I.1.2 Définition des concepts
connexes
9
a. Exportation
9
c.
bateau
9
d.
marchandise
9
I.2. APPROCHE THEORIQUE
10
I.2.1 APPROCHE THEORIQUE SUR LES TAXES PAYEES AU
PORT
10
I.2.2 THEORIE DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
15
ORGANIGRAMME DU PORT DE KALEMIE
21
I.3. LE ROLE DU PORT DE KALEMIE
22
I.3.1. SUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
22
I.3.2. SUR LE DEVELOPPEMENT SOCIAL
22
I.3.3. LES RESSOURCES DU PORT
23
CHAPITREDEUXIEME : CHAMP D'APPLICATION ET
APPROCHEMETHODOLOGIQUE
24
Section 1. PRESENTATION DU MILIEU
D'ETUDE
24
II.1.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE
24
II.1.2 HISTORIQUE DU PORT DE KALEMIE
25
II.1.3 ORGANISATION STRUCTURELLE ET
FONCTIONNEMENT DU PORT
27
Section 2 APPROCHE METHODOLOGIQUE
29
II.2.1 Spécification du
modelé
29
CHAPITRE TROISIEME : PRESENTATIONDES DONNEES,
ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS
32
III.1. PRESENTATION DES DONNEES
32
III.2. ANALYSE DES DONNEES
34
A. ANALYSE DESCRIPTIVE
34
B.
ANALYSE STATISTIQUE
35
III.3. INTERPRETATIONS DES RESULTATS
36
CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
37
A.
CRITIQUES
37
B.
SUGGESTIONS
37
CONCLUSION GENERALE
38
BIBLIOGRAPHIE
39
ANNEXE
40
* 1ZUHURA MISEKE , la
réhabilitation de l'infrastructure publique comme facteur
de développement d'une région : cas du port de Kalemie,
TFC, UNIKAL 2008-2009, inédit
* 2Fr. wikipedia.org
/wiki/problématique
* 3 Gilbert MALEMBA,
méthodes de recherche en sciences sociales, G2 économie,
inédit
* 4Dictionnaire, nouveau
Larousse universel, éd. LIBRAIRIE LAROUSSE, Paris, p.202
* 5Xavier BAYEKE, cours
d'initiation à la recherche scientifique, G1 économie,
UK, 2010-2011, inédit
* 6MPALA MBABULA, L., pour
vous les chercheurs, directives pour rédiger un travail
scientifique, éd. Mpala, Lubumbashi, 2011, p.30
* 7A. Genard,
économie générale, col. Économie
2e éd, 1999, p. 294
* 8P. BAIROCHI, cité dans
le lexique d'économie 10 e éd Dalloz, p.262.
* 9MWALABA KASANGANA, cours
d'économie politique, UNIKAL, G1 ECO, 2010-2011, inédit
* 10 Marxiste, cité
par MWALABA KASANGANA, dans le cours d'économie politique, UNIKAL,
G1 ECO, 2010-2011, inédit
* 11 PIGOU, cité par
MWALABA KASANGANA, dans le cours d'économie politique, UNIKAL, G1
ECO, 2010-2011, inédit
* 12 Dictionnaire ,
nouveau Larousse universel, éd. LIBRAIRIE LAROUSSE, Paris,
p.65
* 13 A. BEITON et
Cie, Dictionnaire de sciences économiques,
2e éd. Armand colin, Paris 2007, p.222
* 14 A. BEITON et
Cie,op.cit, p.256
* 15 Dictionnaire,
nouveau Larousse universel 2, éd LIBRAIRIE LAROUSSE, Paris,
p.143
* 16 20. Dictionnaire,
op.cit, p.420
* 17La nouvelle nomenclature
budgétaire, la loi budgétaire 2011, PRAIDEFI
* 18Ordonnance loi
N°73/15/ du 10 janvier 1974
* 19Décret -loi
N°002/003 article 3
* 20 Archives du Commissariat
Maritime Kalemie
* 21Arrêté
régional N°95/007/Shaba le point 4 de cet article concerne
le transport d'eau
* 22Bureau du commissariat
maritime Kalemie
* 23Bureau du district de
l'hygiène mars 2011
* 24 ALBERTO HIRCHMAN,
stratégies du développement économique,
éd. ouvrière, new York, 1961, p.22.
* 25A. Genard,
économie générale, 2e éd. Col.
Économie, Bruxelles 1999, p.168.
* 26BANYAKU EPOTU, in www.
Amazone.com
* 27 C. GALLOU et F. LELOUP,
services aux entreprises et développement régional,
éd. DE BOECK université, Bruxelles, pp.164-167
* 28 Test de la racine
unitaire
|