A toute ma famille et particulièrement à ma
chère épouse DINOKO MATONDO Lili et à mes chers
enfants : WALUMONA MUNIANGI Bénély, WALUMONA KISOKO Dan,
WALUMONA DINOKO Chancelvie et WALUMONA MALASHI Christvie,
Je dédie ce modeste travail.
AVANT-PROPOS
En ce moment privilégié de notre formation
scientifique, nous tenons à exprimer nos sincères remerciements
à tous ceux qui, d'une manière ou d'une autre, ont apporté
leur pierre à l'édifice de ce document.
Nos remerciements vont en premier lieu, à
Messieurs les chef de Travaux MANANGA ma MBUMBA César , Directeur de
Cabinet au Commissariat Général aux Mines du Bas-Congo, et
NZUNGU NZUNGU Benoît, Coordonnateur des Sections à l'ISC/Matadi
,respectivement Directeur et Codirecteur de cette dissertation parce que, en
dépit de leurs multiples occupations, ont accepté notre travail
et l'ont dirigé avec patience, compétence et
expérience.
Leurs remarques furent un encouragement pour
l'amélioration de la qualité de notre travail. Leurs sollicitudes
ont été constantes et, au delà du rôle traditionnel
des Directeurs, ils nous ont entourés de générosité
à l'effet d'atténuer nos difficultés.
En deuxième lieu, à tous les Membres du Corps
académique pour avoir assuré notre formation et à
tous nos amis et collègues qui nous ont aidés par leurs
conseils.
Enfin, nous ne passerons pas sous silence, tous ceux dont
leur manque d'amour du prochain nous avait motivé d'étudier avec
ardeur.
Nous voudrions que tous ceux qui nous sont chers, daignent
trouver ici un témoignage de notre gratitude et l'expression de nos
sentiments affectueux.
INTRODUCTION
A. PROBLEMATIQUE
L'oeuvre que nous expérimentons, en tant que
particulier est une pierre qui permettra à l'Administration fiscale de
maîtriser le traitement des données déclarées.
C'est ainsi que nous parlons d'essai d'une plate-forme
informatique à la Direction Générale des Impôts,
étant donné que personne n'ignore qu'il existe de bureaux de
conception de projets informatiques avec tous les moyens adéquats leur
alloués.
Notre plate-forme, en terme d'activité, jouera un
rôle moteur dans le développement économique de notre pays.
Etant donné que les contribuables sont des partenaires
privilégiés de la Direction Générale des
Impôts (DGI), il incombe à cette dernière de créer
des mécanismes de facilitation dans le traitement des informations
provenant de leur système déclaratif et ce, en optimisant les
délais de traitement et en améliorant les relations d'affaires
avec eux.
A ce jour, les échanges des informations entre la DGI
et ses partenaires s'effectuent par supports papier communément
appelés « Déclaration », en amont et en aval, «
Note de perception ». Ces imprimés sont mis à la
disposition des contribuables, gratuitement, sans tenir compte du coût
lié à leur impression.
Cette situation a pour conséquences :
- les frais organisationnels qui pèsent lourd, avec le
poids culturel du papier ;
- la difficulté au niveau de la consultation de la
situation fiscale consolidée.
Face à ce constat et compte tenu de l'impérieuse
nécessité de créer un partenariat dynamique entre acteurs
de développement, on peut cogiter autour des préoccupations
ci-après :
- peut-on envisager, au niveau de l'Administration fiscale, la
mise en oeuvre d'un système de partenariat facilitant les
échanges des données déclaratives par voie
électronique ?
- dans l'évaluation des objectifs opérationnels
des services d'administration, a-t-on atteint l'intégration interne et
externe des systèmes d'informations ?
A ce niveau de réflexion, il nous parait
prématuré de nous prononcer sur le mode de gestion des flux, des
documents de la structure ainsi que la procédure de sécurisation
du courrier dit « sensible ».
B. HYPOTHESES, INTERET ET CHOIX DU SUJET
Ce travail qui porte sur « l'Essai de la mise en
place d'une plate-forme informatique » constitue une réponse
aux besoins internes de l'Administration fiscale et surtout de faire des
propositions équilibrées entres les différents
intervenants.
Pour améliorer la gestion des déclarations de
l'impôt, une solution à envisager serait, à notre avis,
l'instauration d'un système informatisé de gestion fiable, comme
cela existe dans certains pays comme la France, la Belgique, etc., lequel
système permettra de gérer, en temps réel, avec le maximum
de souplesse et de sécurité, les opérations
imposables.
En effet, les déclarations des impôts via
Internet pourraient garantir la suppression des espaces de stockage physique,
une économie financière et un gain de temps.
Le choix de ce thème vise à mettre en relation
toutes les notions théoriques acquises en pratique, en
s'imprégnant de tous les éléments qui entrent en ligne de
compte dans le projet.
Etant donné que la D.G.I est à ce jour, l' un
des piliers sur lequel le Gouvernement de la République s'appuie pour
renflouer les caisses de l'Etat, la mise en place notamment d'une
déclaration électronique aura le bénéfice de
minimiser les risques de fraude et/ou d'évasion fiscale ; cela aura
comme effet d'entraînement une plus grande mobilisation des recettes au
profit du Trésor et une forte impulsion en faveur d'un
développement socio-économique national.
C. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
Pour la mise en oeuvre de notre base de données, nous
avons recouru aux méthodes : analytique, structuro fonctionnelle et
historique.
La méthode analytique, par le biais d'analyse Merise,
consistait à décomposer les éléments afin de les
définir un à un et d'en dégager les
spécificités, ce qui nous a permis de décortiquer les
différentes déclarations aux impôts.
La collecte des données fera appel aux techniques
traditionnelles, à savoir les techniques documentaires, l'interview et
l'observation participante.
D. CANEVAS DU TRAVAIL
Outre l'introduction et la conclusion, notre travail comprend
deux parties.
La première présente le cadre organisationnel
de la D.G.I tout en mettant en exergue la Direction provinciale du Bas-Congo
qui va nous servir de champ d'application de notre travail.
La seconde partie, plus technique, énonce quelques
théories sur le concept site électronique, sa constitution, son
mode de gestion pour aboutir à la réflexion sur la
création d'une plate forme d'échange de données
informatiques à la D.P.I.
D. LISTE DES ACRONYMES
AER : Avertissement Extrait de
Rôle
B.C : Bas Congo
B.E.N.P : Bon d'Etablissement de la Note de
Perception
B.S : Bénéfice de
Société
C.D.I : Centre Des Impôts
C.N.R.S : Centre national Des Recherches
Scientifiques
C.B : Chef de Bureau
C.D.I : Centre Des Impôts
D .G : Directeur
Général
D.G.A : Directeur Général
Adjoint
D.G.C : Direction Générale
des Contributions
D.G.I : Direction Générale des
Impôts
D.P.I : Direction Provinciale des
Impôts
E.D.I : Echange de Données
Informatisées
E.F.I : Echange de Formulaires
Informatisés
F.A.I : Fournisseur d'Accès
Internet
I.B.P : Impôt sur les
Bénéfices et Profits
I.C.A : Impôt sur le Chiffre
d'Affaires
I.E.R.E : Impôt Exceptionnel sur les
Rémunérations des Expatriés
I.M : Impôt Mobilier
I.P.R : Impôt Professionnel sur les
Rémunérations
I.R.L : Impôt sur les Revenus
Locatifs
LAN : Local Area Network
M.C.D : Modèle Conceptuel de
Données
M.L.D.R : Modèle Logique de
Données Relationnelles
N : Numérique
N.C : Note de Calcul
N.P : Note de Perception
O.L : Ordonnance- loi
OFIDA : Office des Douanes et Accises
P.C : Personnal Computer
S.G.B.D : Système de Gestion de Base
des Données
T = TXT : Texte
T.V.A : Taxe sur la Valeur
Ajoutée
WWW : World Wide Web
PREMIERE PARTIE : CADRE ORGANISATIONNEL DE LA
D.G.I.
L'évolution économique de toute nation est
tributaire au degré de l'organisation de son appareil administratif.
Depuis longtemps, l'objectif de recherche de
productivité apparaît dans les préoccupations de
l'Administration fiscale. Ses préoccupations visent la recherche de
l'efficacité de ses actions, de ses structures, des agents et des moyens
techniques, ce qui justifie la création de la Direction
Générale des Contributions par l'Ordonnance - loi n° 88/039
du 10 mars 1988.
Le but poursuivi par cette réorganisation était
de rendre les services des contributions réellement performants par la
réduction, si non la suppression de toutes les carences qui
handicapaient le fonctionnement.
CHAPITRE I. : DE LA
DIRECTION GENERALE DES CONTRIBUTIONS (D.G.C.) A LA DIRECTION GENERALE DES
IMPOTS (D.G.I.).
1.1 Cadre
juridique
La D.G.I., alors D.G.C, prend ses sources juridiques
de :
- l'Ordonnance n° 88/039 du 10 mars 1988 portant
création de la D.G.C.
- l'Ordonnance - loi n° 89 /100 du 12 mai 1989
fixant organisation et cadre organique de la D.G.C.,
- l'Ordonnance loi n° 89/099 du 12 mai 1989 portant
réglementation d'administration relative au personnel de carrière
de la D.G.C.,
- l'Ordonnance loi n° 89/101 du 12 mai 1989 modifiant et
complétant l'ordonnance n°88/O39 du 10 mars 1988 portant
création de la D.G.C.,
La législation fiscale nationale se fonde
essentiellement sur les Ordonnances-lois :
- n° 69/006 du 10 février 1969 telle que
modifiée et complétée à ce jour, relative à
la contribution réelle ;
- n° 69/007 du 10 février 1969 telle que
modifiée et complétée à ce jour, relative aux
contributions cédulaires sur les revenus ;
- n° 059 du 05 décembre 1969 telle que
modifiée et complétée à ce jour, relative à
la contribution sur le chiffre d'affaires ;
- n° 69/007 du 10 février 1969 telle que
modifiée et complétée à ce jour, relative à
la contribution exceptionnelle sur les rémunérations
versées par les employeurs à leur personnel expatrié.
Les quatre textes sont réunis dans le Code des
contributions, comportant chacun sa propre disposition de
procédure.
La loi 004/2003 du 13 mai 2003 portant réforme de
procédure complète et modifie certains aspects des textes ci
évoqués.
1.2 Historique sur la
D.G.I
Après l'accession du pays à
l'indépendance, la Direction des Contributions n'était qu'une
Direction ordinaire du Ministère des Finances et relevant de
l'autorité du Secrétaire Général des Finances.
Cette Direction, à la tête de laquelle on
trouvait un Directeur,
était caractérisée par :
- des structures administratives et infrastructures non
adaptées à l'évolution démographique et
économique du pays ;
- un allongement de délai et circuit de transmission
des informations aux autorités ;
- une moindre autorité des responsables de ces
services ;
- un budget commun avec les autres Directions du
Ministère des finances ;
- un personnel insuffisant en qualité et
quantité ;
- l'absence de contrôle direct des Services
régionaux des contributions qui étaient placées sous
l'autorité du Chef des finances ;
- l'absence de délégation de pouvoir.
Tous les éléments sus évoqués ont
poussé le Législateur à la création de la
Direction Générale des Contributions, par l'ordonnance- loi
n° 88/039 du 10 mars 1988.
Le vocable « contributions » fut
adopté lors de la réforme de 1969 pour atténuer la
charge émotive liée à l'impôt. Son
caractère passif ne répondait pas à la notion d'une
obligation existante dans la définition de l'impôt.
L'impôt est, pour rappel, un prélèvement
pécuniaire obligatoire et sans contrepartie que l'autorité de
l'Etat effectue sur les citoyens afin de faire face à ses
dépenses publiques.
On constate que le vocable
« contribution » avait provoqué un effet
démobilisateur dans le chef des contribuables, faisant croire qu'aucune
contrainte n'était plus attachée aux droits dus au
Trésor public.
C'est ainsi que pour mieux symboliser la contrainte
attachée à la participation de chaque citoyen aux charges
publiques , la loi 005/2003 du 13 mars 2003 restaurait le terme
« impôt » à son article
1er.
Considérant la nécessité d'adapter la
nouvelle dénomination « Impôt » et les
structures de la Direction Générale des Contributions en vue
d'une plus grande efficacité dans la mobilisation des recettes
fiscales, c'est le Décret n° 017/2003 du 02 mars 2003 qui
crée la Direction Générale des Impôts et donne, en
annexe, l'organigramme de la D.G.I.
1.3. Organigramme de la
Direction Générale des Impôts
« D.G.I »
Voir annexe 1
CHAPITRE II :
FONCTIONNEMENT DES SERVICES DE LA DGI
La D.G.I comprend deux types des services à
savoir :
- les Services Administratifs et
- les Services Fiscaux.
2.1 Les Services
Administratifs :
La gestion des biens et celle du personnel sont
assurés, à titre principal respectivement par la Direction des
Services Généraux et celle des Ressources Humaines.
Des délégations de crédit sont cependant
allouées aux Directions Provinciales et les fonds correspondant sont mis
à leur disposition, par virement, dans un compte ouvert en leur nom.
Concernant la gestion du personnel, les Directions
Provinciales n'ont qu'un pouvoir de proposition, celui de décision
étant dévolu à l'autorité supérieure.
2.2 Les Services
Fiscaux :
Les Services fiscaux sont ceux qui gèrent l'impôt
et sont communément appelés « Services
techniques ».
2.2.1 Impôts
enrôlés
Tout commence par le dépôt de la
Déclaration dans les délais légaux, par les contribuables,
auprès d'une part, de la Direction de la Taxation et Documentation quand
il s'agit de la Direction Centrale et, d'autre part, auprès de la
Division de la Taxation et Documentation, au niveau des Provinces.
Les Services enregistrent les Déclarations et
procèdent à la taxation. Ils transmettent par la suite celles
taxées au Service informatique qui procède au calcul du montant
de l'impôt et établit le Rôle par utilisation des moyens
informatiques.
Le Rôle est ensuite transmis, après
vérification de la saisie, au Directeur Général ou au
Directeur Provincial, selon le cas, qui rend exécutoire.
Les Déclarations exploitées sont ensuite
retournées au Service de la Taxation et Documentation pour le classement
dans les dossiers des contribuables.
Le Rôle est transmis au Service de Recouvrement
compétent qui informe le contribuable du montant dont il est redevable
et l'invite de payer avant l'échéance.
En cas de paiement, l'article de Rôle est apuré.
Si le paiement est tardif, des pénalités de retard sont
réclamées au redevable en sus du principal.
Si le contribuable ne s'exécute pas, des
procédures de recouvrement forcé sont engagées à
son endroit consistant à le mettre en demeure, puis à saisir ses
comptes bancaires ou ses biens pour les vendre selon les possibilités
qu'offre sa situation particulière.
LE FLUX DES INFORMATIONS :
IMPOTS ENROLES
100
TAXATION
C.B. TAXATION
|
200
C.B. DOCUMENTATION
|
300
DVISION INFORMATIQUE
|
400
DIRECTEUR
|
500
RECEVEUR
|
600
CHEF DE CELLULE DROITS EMIS
|
700
ENCODEUR
|
800
CONTRIBUABLES
|
DECL
101
101
N.C.
Rôle
AER
301
Rôle
AER
401
801
AER
B.E.N.P.
601
601
AER
|
|
|
|
|
|
|
|
101
- Réception de la déclaration
- Enregistrement de la déclaration
- Exploitation
- Etablissement de la note de calcul pour enrôlement
- Transmission de la note de calcul à l'informatique
- Remise d'une copie de la déclaration au contribuable
- Transmission des 2 copies à la documentation
|
201
- Réception des deux copies de déclaration
- Classement des déclarations dans le dossier unique du
contribuable
|
301
- Réception de la note de calcul
- Enrôlement des impôts
- Etablissement ou émission du rôle et des extraits
de rôle
- Transmission du rôle et des AER au Directeur
- Transmission de notes enrôlées à la
documentation
|
401
- Réception du rôle et des AER
- Exécution du rôle
- Apposition du sceau
- Transmission au Receveur des impôts
|
501
- Réception du rôle et des AER
- Enregistrement
- Expédition des AER au contribuable
- Classement du rôle
|
601
- Réception de l'AER
- Remise de l'AER au contribuable
- Etablissement du bon d'établissement de la note de
perception
- Enregistrement du BON
- Expédition du B.E.N.P. à l'encodage
|
- 701
- Réception du B.EN.P.
- Etablissement de la note de perception
- Remise de la note de perception au contribuable
- Expédition du B.EN.P. au chef de cellule droit
émis
|
801
- Réception de l'AER
- Demande de la note de perception au près du chef de
cellule
- Classement de l'AER
|
|
Rôle
AER
601
Rôle
AER
501
DECL
AER
802
N.C.
701
B.E.N.P
701
N.P.
|
|
102
|
202
|
302
|
402
|
502
|
602
|
702
|
802
|
DECL
DECL
201
301
N.C.
801
N.C.
301
Rôle
AER
501
B.E.N.P.
701
N.P
802
BENP
602
|
- Réception de la note de perception pour effectuer le
paiement
- Classement de la Note de Perception et Preuve de Paiement.
|
|
|
|
|
|
|
202
- Réception de la note de calcul
- Classement de la note de calcul
|
- 602
- Réception B.EN.P.
- Enregistrement du numéro de la note de perception
- Classement du B.E.N.P.
|
|
AER
N.C.
B.E.N.P.
DESCRIPTION DES TACHES POUR LES
IMPOTS ENROLES
Numéro d'ordre
|
Code poste
|
Code Tâche
|
Code opération
|
Description
|
01
02
03
04
05
06
07
|
100
200
300
400
500
600
700
|
101
201
202
301
401
501
601
602
701
|
101.1
101.2
101.3
101.4
101.5
101.6
101.7
201.1
201.2
202.1
202.2
301.1
301.2
301.3
301.4
301.5
401.1
401.2
401.3
401.4
501.1
501.2
501.3
501.4
601.1
601.2
601.3
601.4
601.5
602.1
602.2
602.3
701.1
701.2
701.3
701.4
|
Réception de la déclaration (3 exemplaires)
Enregistrement de la déclaration
Exploitation
Etablissement de la note de calcul pour enrôlement
Transmission de la note de calcul à l'informatique
Remise d'une copie de la déclaration au contribuable
Transmission des 2 copies à la documentation
Réception des deux copies de déclaration
Classement des déclarations dans le dossier unique du
contribuable
Réception de la note de calcul
Classement de la note de calcul
Réception de la note de calcul
Enrôlement des impôts
Etablissement ou émission du rôle et des extraits de
rôle
Transmission du rôle et des AER au Directeur
Transmission de notes enrôlées à la
documentation
Réception du rôle et des AER
Exécution du rôle
Apposition du sceau
Transmission au Receveur des impôts
Réception du rôle et des AER
Enregistrement
Expédition des AER au contribuable
Classement du rôle
Réception de l'AER
Etablissement du bon d'établissement de la note de
perception (B.E.N.P.)
Enregistrement du B.EN.P.
Remise de l'AER au contribuable
Expédition du B.E.N.P. à l'encodage
Réception B.E.N.P.
Enregistrement du numéro de la note de perception
Classement du B.E.N.P.
Réception du B.EN.P.
Etablissement de la note de perception
Remise de la note de perception au contribuable
Expédition du B.EN.P. au Chef de cellule droit
émis
|
08
|
800
|
801
802
|
801.1
801.2
801.3
802.1
802.2
|
Réception de l'AER
Demande de la note de perception auprès du Chef de
cellule
Classement de l'AER
Réception de la note de perception pour effectuer le
paiement
Classement de la Note de Perception et Preuve de Paiement.
|
2.2.2 Les impôts
spontanés
Il s'agit des impôts qui doivent être payés
spontanément sans que les services n`adressent au préalable un
avis de paiement au contribuable.
Le paiement se fait directement à la banque dans le
délai prévu par la loi fiscale, après
l'établissement d'une Note de perception par le Service de
Recouvrement.
En cas de retard, les pénalités sont
réclamées en sus de principal. Ces paiements s'accompagnent des
déclarations qui sont exploitées pour s'assurer de la justesse
effectuée avant d'être transmises au Service de la Taxation et
Documentation compétent pour classement.
En vue de s'assurer de la conformité des revenus
déclarés par les contribuables, la Direction de Contrôle
Fiscal programme des missions de contrôle sur place, c'est-à-dire
chez les contribuables.
Les vérifications se terminent par une procédure
de redressement, la rédaction d'un rapport circonstanciel et
l'établissement de la Note de Calcul à transmettre à
l'informatique pour émission de rôle en vue de la mise en
recouvrement des impôts établis.
Les Services de Recherche et recoupement vérifient les
déclarations déposées et détectent les
contribuables défaillants.
Cette structure est chargée d'exploiter tous les
renseignements en la possession du Service, de collecter les informations
extérieures sur place chez les contribuables dans les services publics,
auprès des entreprises nationales, etc. afin de procéder à
des recensements physiques en parcourant les villes pour détecter
l'existence des contribuables non répertoriés.
Cependant, tout contribuable s'estimant injustement imposer ,
après le contrôle fiscal, une taxation d'office ou sur sa
déclaration, est habilité à formuler un recours
auprès du Directeur Général ou du Directeur Provincial
selon le cas.
L'Inspection des Services a pour mission :
- l'animation des services par l'action du conseil
d'assistance des agents ;
- la vérification des services, en s'assurant de
l'application, par les agents des dispositions de textes légaux et
réglementaires et en descellant les lacunes et les insuffisances des
services et en faisant des propositions au Directeur Général
100
Chef de cellule
|
200
Encodeur
|
300
Chef de S/Cellule
|
400
Chef de Bureau documentation
|
500
Contribuable
|
Dépôt de la déclaration
101
DECL
102
DECL
301
DECL
301
DECL
102
NOTE P
DEC
DEC
DECL
|
|
|
|
|
101
- Réception de la déclaration
- Vérification des éléments imposables
- Apposition du cachet ou visa
- Transmission de la déclaration à l'encodage
- Enregistrement de la déclaration
|
201
- Réception de la déclaration
- Etablissement de la note de perception
- Transmission de la déclaration au Chef de cellule
- Transmission de la note de perception (une copie) au Chef de
cellule
- Classement de la deuxième copie de la note de
perception
|
301
- Réception de la déclaration
- Enregistrement dans le registre de l'impôt
concerné
- Remise d'une copie de la déclaration au contribuable
- Transmission de la 2e copie de la déclaration à
la taxation et documentation
- Classement de la 3e copie.
|
401
- Réception de la déclaration
- Enregistrement de la déclaration
- Exploitation de la déclaration
- Classement dans le dossier unique du contribuable
|
500
- Réception de la déclaration
- Réception de la note de perception
- Paiement effectué à la banque
- Classement de la note de perception accompagnée de son
bordereau de paiement.
|
|
LE FLUX DES INFORMATIONS DE
DROITS SPONTANES
DECL
201
DECL
102
102
NOTE P
DECL
- DECL
NOTE P
+ BORD
DECL
401
501
201
DECL
NOTE P
|
102
- Réception de la déclaration et de la note de
perception
- Enregistrement du numéro de la note de perception
- Transmission de la déclaration au Chef de sous- cellule
des impôts spontanés
|
DECL
301
NOTE P
501
301
DESCRIPTION DES TACHES POUR LES
IMPOTS SPONTANES
Numéro d'ordre
|
Code poste
|
Code tâche
|
Code opération
|
Description
|
01
02
03
04
05
|
100
200
300
400
500
|
101
102
201
301
401
501
|
101.1
101.2
101.3
101.4
101.5
102.1
102.2
102.3
201.1
201.2
201.3
201.4
201.5
301.1
301.2
301.3
301.4
301.5
401.1
401.2
401.3
401.4
501.1
501.2
501.3
501.4
|
Dépôt de la déclaration et réception
de la déclaration
Vérification des éléments imposables
Apposition du cachet ou visa
Enregistrement de la déclaration
Transmission de la déclaration à l'encodage
Réception de la déclaration et de la note de
perception
Enregistrement du numéro de la note de perception
Transmission de la déclaration au Chef de sous cellule
droits spontanés
Réception de la déclaration
Etablissement de la note de perception
Transmission de la déclaration au Chef de cellule
Transmission de la note de perception (une copie) au chef de
cellule
Classement de la deuxième copie de la note de
perception
Réception de la déclaration
Enregistrement dans le registre de l'impôt
concerné
Remise d'une copie de la déclaration au contribuable
Transmission de la 2e copie de la déclaration à la
taxation et documentation
Classement de la 3e copie.
Réception de la déclaration
Enregistrement de la déclaration
Exploitation de la déclaration
Classement dans le dossier unique du contribuable
Réception de la déclaration
Réception de la note de perception
Paiement effectué à la banque
Classement de la note de perception accompagnée de son
bordereau de paiement.
|
CHAPITRE III : LES
OBLIGATIONS FISCALES ET LES DIFFERENTES DECLARATIONS
Le système fiscal est l'ensemble de dispositifs mis en
place par le législateur pour rendre possible l'imposition des richesses
sous toutes ses formes.
En République Démocratique du Congo, le
système fiscal est déclaratif et le Législateur donne la
possibilité au contribuable de déclarer conformément aux
règles comptables et fiscales en vigueur, les revenus
réalisés, les biens acquis, les impôts perçus pour
le compte du Trésor public.
3.1 Les obligations
fiscales
La loi n° 004/2003 du 13 mars 2003 portant réforme
des procédures fiscales, en ses articles 1 à 5 du Titre I, nous
parle des obligations déclaratives.
Les déclarations sont souscrites dans les conditions,
délais et modèles fournis ou prévus par l'Administration
des impôts.
Toute personne physique ou morale, exonérée ou
non, redevable d'impôts, droits, taxes, acomptes ou précomptes
perçus par l'Administration des impôts, est tenue de se faire
connaître dans les quinze jours qui suivent le début de ses
activités, en formulant une demande d'un Numéro d'Impôt.
En cas du décès de redevable, les
déclarations doivent être souscrites par ses héritiers,
légataires et donataires universels ou par les mandataires qui doivent
justifier du mandat général ou spécial, en vertu duquel
ils agissent.
3.2 Les documents
utilisés dans le cadre du travail
N°
|
CODE
|
DESIGNATION
|
VOLUME
|
SUPPORT
|
01
|
NOTE PERC
|
Note de perception
|
2 exemplaires
|
papier
|
02
|
DECL IPR
|
Déclaration IPR
|
3 exemplaires
|
papier
|
03
|
DECL ICA
|
Déclaration ICA
|
3 exemplaires
|
papier
|
04
|
DECL IRL
|
Déclaration IRL
|
3 exemplaires
|
Papier
|
05
|
DECL IM
|
Déclaration IM
|
3 exemplaires
|
Papier
|
06
|
DECL BS
|
Déclaration BS
|
3 exemplaires
|
papier
|
3.2.1 Les différentes
déclarations fiscales
Les déclarations fiscales sont des formulaires qui
permettent au contribuable de fournir à l'Administration des
impôts, les éléments de sa situation imposable ainsi que
les montants y relatifs.
Ces éléments peuvent être le revenu, le
patrimoine, un capital, une transaction, un service, un bien ou une personne
humaine elle-même imposable soit dans le chef du redevable, soit dans le
chef d'une tierce personne.
Pendant l'exercice des activités, les
déclarations à souscrire par les redevables sont de deux
sortes :
- les déclarations d'information portant sur la mise
à jour du dossier du contribuable ;
- les déclarations périodiques souscrites
à des échéances fixées par la loi.
Les contribuables sont tenus de respecter ces obligations sous
peine d'encourir les sanctions prévues par la loi.
Tableau récapitulatif
N°
|
DECLARATION DE L'IMPOT
|
ECHEANCE
|
01
|
Impôt foncier
|
Avant le 1er février
|
02
|
Impôt sur le véhicule
|
A la mise en usage
|
03
|
Impôt sur la superficie des concessions minières
et d'hydrocarbures
|
Au plus tard le 1er février de l'exercice,
pour les éléments dont il est titulaire au 1er
janvier
|
04
|
Impôt sur les revenus locatifs
|
Au plus tard le 1er février de
l'année qui suit celle de la réalisation des revenus
|
05
|
Impôt sur les bénéfices et profits
|
Au plus tard le 31 mars de l'année qui suit celle de la
réalisation des revenus
|
06
|
Impôt professionnel sur les rémunérations
et de l'impôt exceptionnel sur les rémunérations du
personnel expatrié
|
Chaque mois, dans les dix jours qui suivent le mois au cours
duquel les rémunérations ont été versées ou
mises à la disposition des bénéficiaires
|
07
|
Impôt sur le chiffre d'affaires à
l'intérieur
|
Au plus tard le 15 du mois qui suit celui de la
réalisation des affaires
|
08
|
Impôt sur le chiffre d'affaires à
l'exportation
|
Au plus tard le 5 de chaque mois
|
09
|
Impôt mobilier
|
Dans les 10 jours du mois suivant celui du paiement ou mises
à la disposition des bénéficiaires.
|
3.2.2 Contenus des
Déclarations :
Les déclarations fiscales contiennent
généralement les éléments ci-après :
a) Identification du contribuable :
- Nom ou raison sociale ;
- Sigle ;
- Adresse physique ;
- Numéro impôt ;
- Numéro identification nationale ;
- Adresse postale ;
- N° téléphone ;
- Adresse E-mail.
b) Identification des Impôts (déclaration
servant au calcul des impôts) :
- Nature de l'impôt ;
- Exercice auquel se rapporte l'impôt ;
- Numéro de dépôt de la
déclaration ;
- Les éléments d'imposition
c) Le mode de paiement et le
montant :
- Espèces ;
- Avis de certification ;
- Chèques ;
- Virement.
d) Identification du mandataire :
- Nom du mandataire ;
- Qualité du signature ;
- La date de dépôt ;
- Sceau de l'entreprise.
c). Les cases réservées à
l'Administration :
- Numéro de la quittance ;
- Date de la quittance ;
- Cachet de l'Administration.
Les déclarations se rapportant à l'Impôt
sur les Bénéfices et Profits sont accompagnées des annexes
(états financiers : bilan, tableau de formation des
résultats, tableau de financement, tableau de
réévaluation, procès-verbaux des Assemblées
Générales, etc.)
3.2.3. DESCRIPTION DES
DOCUMENTS
1. Note de Perception est un document permettant au
contribuable d'effectuer le paiement auprès d'une institution
financière agréée par la Banque Centrale pour le compte
du Trésor public.
DESCRIPTION :
APPLICATION :
LA GESTION DE NOTE DE PERCEPTION
CODE : GESNOTE
|
FICHE DESCRIPTIVE
DE LA NOTE DE PERCEPTION
|
Etude Realisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
NUMNOTE
ENTFIS
NUMCOMPT
NOMRS
NUMIMPOT
FORMJUR
ADRESSPH
NATIMPOT
IMPUTA
PER
DATEXIG
MONTPRINCP
MONTPEN
NUMART
NOMAGCO
DATENOTE
NUMBORD
DATEBORD
NUMORV
DATEORV
NOMBANQ
NUMCHEQ
NOMAGPERC
|
NUMERO NOTE DE PERCEPTION
ENTITE FISCALE
NUMERO COMPTE DU RECEVEUR
NOM OU RAISON SOCIALE
NUMERI - IMPOT
FORME JURIDIQUE
ADRESSE PHYSIQUE
NATURE DE L'IMPOT
IMPUTATION
PERIODE
EXIGIBILITE (DATE D'EXIGIBILITE)
MONTANT PRINCIPAL
MONATNT PENALITE
NUMERO ARTICLES DES ROLES
NOM DE L'AGENT CODIFICATEUR
DATE DE LA NOTE DE PERCEPTION
NUMERO BORDEREAU DE VERSEMENT
DATE BORDEREAU DE VERSEMENT
NUMERO ORDRE DE VIREMENT
DATE ORDRE DE VIREMENT
NOM DE LA BANQUE
NUMERO CHEQUE
NOM DE L'AGENT PERCEPTEUR
|
06
04
50
09
06
40
15
08
08
10
14
14
06
20
08
08
08
07
08
15
07
20
|
N
N
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
DATE
DATE
N
N
N
AN
DATE
N
DATE
N
DATE
AN
N
AN
|
2. DECLARATION
2.1 : DECLARATION MENSUELLE DES IMPOTS PROFESSIONNELS
ET EXCEPTIONNELS SUR LES REMUNERATIONS
APPLICATION :
LA GESTION DE DECLARATION
CODE : GESDEC
|
FICHE DESCRIPTIVE
DE LA DECLARATION I.P.R./I.E.R.E.
|
Etude réalisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
SERV
NUMDEPOT
SALMOIS
ANNEE
NOMRS
SIGLE
ADRESSPH
NUMIMP
UMIDNAY
ADRESSPOST
NUMTEL
ADRESSEMAIL
CATSAL
NOMB
SALVERS
MONTIPR
MONTIER
TOTIMPOT
MONTTOT
MODEPAIE
MONTPAYE
NUMQUIT
DATE QUIT
NOMSIGN
QUALSIGN
|
SERVICE
NUMERO DE DEPOT
SALAIRE DU MOIS
ANNEE
NOM OU RAISON SOCIALE
SIGLE
ADRESSE PHYSIQUE
NUMERO IMPOT
NUMERO IDENTIFICATION NATIONALE
ADRESSE POSTALE
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE-E-MAIL
CATEGORIE SALAIRIE
NOMBRE DU PERSONNEL
SALAIRES VERSES
MONTANT IPR
MONTANT IER
IMPOT TOTAL DU
MONTANT TOTAL A PAYER
MODE DE PAIEMENT
MONTANT PAYE
NUMERO QUITTANCE
DATE DE LA QUITTANCE
NOM DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
QUALITE DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
|
15
05
15
04
50
10
40
15
07
30
10
20
30
04
10
10
10
10
10
25
10
08
08
20
20
|
AN
N
AN
DATE N
AN
AN
AN
AN
AN
AN
N
AN
AN
N
N
N
N
N
N
AN
N
AN
DATE
AN
AN
|
2.2. : RELEVE DE LA RETENUE
SUR LES LOYERS
APPLICATION :
LA GESTION DE LA DECLARATION
CODE : GESDEC
|
FICHE DESCRIPTIVE
DU RELEVE DE LA RETENUE SUR LOYERS
|
Etude réalisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
SERV
NUMDEPOT
PER
NOMRS
SIGLE
ADRESSPH
NUMIMPO
NUMIDNAT
ADRESSPOST
NUMTEL
ADRESSEMAIL
NOMRS/BA
NUMIMP
ADRESSGEO
PER
MONTLOY
RETDUE
MODEPAIE
MONTPAT
NOMSIGN
QUALSGN
NUMQUIT
DATEQUIT
|
SERVICE
NUMERO DE DEPOT
PERIODE
NOM OU RAISON SOCIALE
SIGLE
ADRESSE PHYSIQUE
NUMERO-IMPOT
NUM2RO IDENTIFICATION NATIONALE
ADRESSE POSTALE
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE-E-MAIL
NOM OU RAISON SOCIALE BAILLEUR
NUMERO IMPOT BAILLEUR
ADRESSE GEOGRAPHIQUE
PREIODICITE (Mensuelle, Trimestrielle, Semestrielle,
annuelle)
MONTANT DU LOYER
RETENUE DU = 20%
MODE DE PAIEMENT (Espèces, Avis de vérification,
Chèque certifié, Virement)
MONTANT PAYE
NOM DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
QUALITE DU SIGNAYAIRE DE LA DECLARATION
NUMERO QUITTANCE
DATE DE LA QUITTANCE
|
15
05
15
50
10
40
15
07
30
10
20
50
15
40
02
10
10
02
10
20
20
08
08
|
N
N
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
N
AN
AN
AN
AN
AN
N
N
AN
N
AN
AN
AN
DATE
|
2.3 : DECLARATION MENSUELLE DE L'IMPOT SUR LE CHIFFRE
D'AFFAIRES A L'INTERIEUR
APPLICATION : LA GESTION DE LA DECLARATION
CODE : GESDEC
|
FICHE DESCRIPTIVE DE LA DECLARATION MENSUELLE DE
L'IMPOT SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES A L'INTERIEUR
|
Etude réalisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
SERV
NUMDEPOT
CHIFFAFFMOIS
NOMRS
SIGLE
ADRESSPH
NUMIMP
NUMIDNAT
ADRESSPOST
NUMTEL
ADRESSEMAIL
ACTIV
CHIFAFTOT
CHIFAFEXO
CIFAFIMP
TAUX
ICADU
MONTOT
MODEPAIE
NUMQUIT
DATEQUIT
NOMSIGN
QUALSIGN
|
SERVIE
NUMERO IMPOT
CHIIFRE D'AFFAIRES DU MOIS
NOM OU RAISON SOCIALE
SIGLE
ADRESSE PHYSIQUE
NUMERO IMPOT
NUMERO IDENTIFICATION NATIONELE
ADRESSE POSTALE
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE-E-MAIL
ACTIVITES (Vente, Prestations de service, Travaux
immobiliers)
CHIFFRE D'AFFAIRES TOTAL
CHIFFRE D'AFFAIRES EXONERES
CHIFFRE D'AFFAIRES IMPOSABLES
TAUX
IMPOT SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES DU
MONTANT TOTAL A PAYER
MODE DE PAIEMENT (Espèces, Avis de certification,
Chèque certifié, Virement)
NUMERO QUITTANCE
DATE DE LA QUITTANCE
NOM DU SIGNATIARE DE LA DECLARATION
QUALITE DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
|
15
05
10
50
10
40
15
07
30
10
20
40
10
10
10
05
10
10
25
08
08
20
|
AN
N
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
N
AN
AN
N
N
N
AN
N
N
AN
AN
DATE
AN
|
2.4. DECLARATION DE L'IMPOT MOBILIER
APPLICATION : LA GESTION DE LA DECLARATION
CODE : GESDEC
|
FICHE DESCRIPTIVE DE LA DECLARATION DE L'IMPOT
MOBILIER
|
Etude réalisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
NUMIMP
ANNEE
NUMRS
ADRESSPH
NATREV
MONTREVIMP
DATEATTR
TAUX
MONTIMP
ACCROI
NUMBORD
NOMSIGN
QUALSIGN
|
NUMERO IMPOT
ANNEE DE PAIEMENT
NOM OU RAISON SOCIALE
ADRESSE PHYSIQUE
NATURE DES REVENUS d'action, obligations ou parts quelconque
MONTANT DES REVENUS IMPOSABLES
DATE D'ATTRIBUTION OU MISE EN PAIEMENT
TAUX
MONTANT DE L'IMPOT
ACCROISSEMENT ET MAJORATION
NUMERO BORDEREAU
NOM DE LA SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
QUALITE DE LA SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
|
15
04
50
40
40
10
08
05
10
10
08
20
20
|
AN
N
AN
AN
AN
N
DATE
AN
N
N
N
AN
AN
|
2.5. DECLARATION DE L'IMPOT SUR LES BENEFICES ET
PROFITS
APPLICATION : LA GESTION DE LA DECLARATION
CODE : GESDEC
|
FICHE DESCRIPTIVE DE LA DECLARATION DE L'IMPOT SUR LES
BENEFICES ET PROFITS
|
Etude réalisée par MWANA-PAPA
|
CODE
|
DESIGNATION
|
TAILLE
|
NATURE
|
SERV
NUMDEPOT
NUMRS
SIGLE
ADRESSPH
NUMIMP
NUMIDNAT
ADRESSPOST
NUMTEL
ADRESEMAIL
PROPROF
PROIMP
PERSFISC
TAUX
MONTIMP
DEDUI
MONTTOT
MODEPAIE
MONTPAY
NUMQUIT
DATEQUIT
NOMSIGN
QUALSIGN
|
SERVICE
NUMERO DE DEPOT
NOM OU RAISON SOCIALE
SIGLE
ADRESSE PHYSIQUE
NUMERO IMPOT
NUMERO IDENTIFICATION NATIONALE
ADRESSE POSTALE
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE-E-MAIL
PRODUIT ET PROFIT
PROFITS IMPOSABLES (Bénéfices imposables)
PERTE FISCALE
TAUX DE L'IMPOT
MONTANT DE L'IMPOT
A DEDUIRE
MONTANT TOTAL A PAYER
MODE DE PAIEMENT (Espèces, Avis de certification,
Chèques certifié, Virement)
MONTANT PAYE
NUMERO QUITTANCE
DATE DE LA QUITTANCE
NOM DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
QUALITE DU SIGNATAIRE DE LA DECLARATION
|
15
05
50
10
40
15
07
30
10
20
10
10
10
05
10
10
10
25
10
08
08
20
20
|
AN
N
AN
AN
AN
AN
AN
AN
N
AN
N
N
N
AN
N
N
N
AN
N
AN
DATE
AN
AN
|
DEUXIEME PARTIE : LA
MISE EN PLACE D'UNE PLATE-FORME D'ECHANGE DES DONNEES INFORMATIQUES
Introduction :
Une plate-forme1(*) est, en informatique, une base de travail à
partir de laquelle on peut écrire, lire, utiliser, développer un
ensemble de logiciels2(*).
Elle peut être composée :
· du
matériel :
x86,
x86-64,
SPARC,
PowerPC,
IA-64, etc.
· du
système
d'exploitation :
Linux, Unix, Windows, Mac OS
X, ou un simple
noyau parfois
temps réel, etc.
· des
outils
logiciels :
o de développement :
compilateurs,
éditeur de
liens, bibliothèques,
débogueurs,
éditeur de
texte, ou bien
Java ou
.Net, etc.
o de SGBD :
MySQL,
PostgreSQL,
Oracle,
etc.
o d'un serveur web :
Apache,
IIS,
etc.
o d'un serveur d'applications :
Jonas,
Tomcat,
JBoss, etc.
Exemples :
· Lorsqu'on parle de plate-forme
Linux ou Windows, il peut
s'agir du
système
d'exploitation uniquement ou bien de l'ensemble formé du
système d'exploitation et du
matériel
informatique sous-jacent.
· Lorsqu'on parle de plate-forme web, il peut s'agir du
logiciel serveur web, de ce même logiciel avec son système
d'exploitation sous-jacent, du logiciel serveur web avec son système
d'exploitation et son matériel, d'un ensemble de machines avec serveur
web, ou encore d'un même ensemble en tenant compte des infrastructures
réseau et connectivité à Internet.
· Lorsqu'on parle de plate-forme logicielle, il s'agit
souvent, comme le précise la définition, d'une base de travail
appliquée à un contexte particulier, par exemple l'analyse
d'images, le calcul intensif, la génomique.
Les plates-formes informatiques sont
généralement conçues, développées,
construites, mises en service et maintenues par des
constructeurs
informatiques.
Dans le cas des plates-formes logicielles, elles sont
plutôt maintenues par les organismes qui hébergent la base de
travail et les logiciels associés.
Notre plate forme reposera sur un réseau Internet et
permettra aux différents acteurs (contribuables et Administration
fiscale) munis de leur code d'accès personnel (password) de communiquer
et d'échanger, en temps réel, des données
évolutives et complètes sur les éléments imposables
à déclarer par l'intermédiaire d'un serveur commun
interactif.
Le site principal d'exploitation fiscale jouera un rôle
moteur dans les échanges de données à partir d'une
déclaration électronique modèle unique en s'appuyant sur
le système informatique développé à la
D.P.I./Bas-Congo.
Dans la phase opérationnelle, la D.P.I, lors du
lancement du projet , via Internet , au grand public, et pour en garantir le
succès, dotera les utilisateurs d'un Central d'appel efficace sous forme
d'assistance téléphonique, offrant des plages horaires
d'ouvertures étendues (de 8 à 20 heures en semaines, par
exemple).
Ce central sera ultérieurement ouvert aux utilisateurs
informatiques internes et pourrait être étendu, après
évaluation, aux gestionnaires, toutes catégories confondues.
CHAPITRE IV :
PRESENTATION DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS DU BAS-CONGO (
D.P.I/BC)
Une des onze Directions Provinciales de la Direction
Générale des Impôts, la Direction provinciale du Bas
Congo, a son siège à Matadi, sur l'avenue de la Poste, au n°
7, Commune de Matadi.
La D.P.I/BC n'a pas une mission particulière si ce
n'est que celle lui reconnue par la Direction Générale,
c'est-à-dire chargée d'exercer toutes les missions et
prérogatives en matière fiscale, en l'occurrence, celles
relatives à l'assiette, au contrôle, au recouvrement et au
contentieux des impôts, taxes, redevances et prélèvements
à caractère fiscal.
Elle exerce ses prérogatives de manière
exclusive sur toute l'étendue de la province du Bas Congo, et est
chargée des tâches non dévolues à l'Administration
centrale et à la Direction des Grandes Entreprises (DGE).
Dirigée par un Directeur Provincial, elle est
structurée comme suit :
- L'Inspection de Services qui est rattachée au
Directeur Provincial ;
- Six Divisions dont ;
01. Ressources Humaines et des Services
Généraux,
02. Taxation et Documentation,
03. Contrôle Fiscal,
04. Recouvrement,
05. Contentieux,
06. Informatique.
- Onze Centres des Impôts (CDI), à
savoir :
01. Matadi ,
02. Nzamvu ,
03. Kinzao-Mvuete ,
04. Boma,
05. Tshela,
06. Muanda,
07. Kimpese,
08. Inkisi,
09. Kasangulu,
10. Luozi,
11. Mbanza-Ngungu.
4.1. ORGANIGRAMME DE LA
DIRECTION PROVINCIALE DU BAS-CONGO
MATADI
NZAMVU
KASANGULU
INKISI
MBANZA NGUNGU
KIMPESES
LUOZI
KINZAU-MVUETE
BOMA
MOANDA
TSHELA
Bur. Ser. Génér.
Bur. Personnel
Bur. Mainten.
Bur. Taxation
Bur. Docum.
Bur. Rech.
Bur. Contr. appli
Bur. Préc.
Bur. Rec.
Bur. SAAF
Bur. Cont.
Bur. vehic
Bur. Informat°
CENTRE DES IMPOTS
Bur. Suivi des Appl.
DIRECTEUR PROVINCIAL
INSPECTION
SECRETARIAT
CELLULE D'APPOINT
DIVISION :
RESS. HUMAINES & SERV. GENER.
DIVISION : INFORMATIQUE
DIVISION :
TAXATION & DOCUMENTATION
DIVISION :
CONTROLE FISCAL
DIVISION : RECOUVREMENT
DIVISION : COTENTIEUX
Source : D.P.I/Bas Congo,Division
Ressources humaines
4.2 LE SYSTEME INFORMATIQUE
DE LA D.P.I /BC
4.2.1. Bref historique
L'introduction de l'outil informatique à la Direction
Provinciale des Impôts/ Bas-Congo ne date que de 1992.
Avant cette période, l'Administration fiscale utilisait
des machines mécanographiques, très archaïques, dans la
réalisation des tâches informatiques traditionnelles et ce, avec
pour conséquence, un rendement très faible à cause de
l'inefficience de l'outil de travail.
C'est seulement en 1997que la D.P.I / BC s'est vue
dotée des premiers ordinateurs, de marque GATWAY, en remplacement des
vieux matériels sus évoqués.
L'objectif était d'automatiser toutes les tâches
manuelles au niveau des enrôlements, des apurements et des
dégrèvements.
Le programme de gestion était développé
en DBase III plus.
En 2001, le parc matériel a été enrichi
par l'acquisition d'une dizaine d'ordinateurs de MICRO COM, qui a vu la gestion
s'étendre des enrôlements à la gestion d'immatriculation
des véhicules.
La même année, il y a eu une dotation de machines
COMPAQ et la mise sur pied d'un réseau local (LAN) qui prenait en compte
la gestion des « Notes de perception ».
L'année 2007 a connu l'interconnexion entre la DPI/BC
et le Guichet unique de l'OFIDA/BEACH par le réseau V.P.N (virtual
personnal network). Faute de paiement, le signal fut interrompu six mois plus
tard par le fournisseur.
La DPI a reçu, par la suite, quelques
équipements informatiques de type HP L1706. Cette nouvelle donne a
permis de lancer le projet d'attribution de « numéro
d'impôt » qui est resté jusqu'à aujourd'hui peu
performant.
A propos des logiciels appliqués à l'instant, le
service utilise DBase IV et Access pour sa
gestion informatique.
Actuellement, la qualité des échanges
d'informations et la transmission des données entre les services devront
faire l'objet d'une révisitation aux fins d'endiguer les blocages qui
génèrent, à la longue, des désagréments
importants face à des contribuables innocents.
Toutefois, le besoin persiste au regard du nombre de services
à couvrir et à fournir.
4.1.2. Les existants
informatiques
a. Matériels
1 serveur COMPAQ PROLIANT ML570 doté de quatre
processeurs Pentium XEOM cadence à 700 Mhz ;
15 micro-ordinateurs type COMPAQ DESK de 866Mhz/20Gb et 128Mb
de RAM ;
2 imprimantes matricielles EPSON LEQ 2080 ;
1 imprimante laser marque CANON PC-D340 H12256
b. Progiciels et logiciels maison3(*)
Le serveur du réseau local « LAN »
du centre de traitement informatique (CTI) a été installé
avec le Windows Serveur 2003, et les autres ordinateurs (clients) par le
Windows XP et d'un antivirus AVG.
Deux logiciels sont exploités au niveau du centre de
traitement informatique (CTI) DPI/BC :
- DBase IV pour la gestion des enrôlements, des
apurements, du répertoire, du personnel ainsi que de la gestion de la
note de perception.
- VBA pour l'édition de la liste de notes des
perceptions émises journellement et l'attribution du numéro
d'impôt aux contribuables.
c. Ressources humaines
Le responsable du CTI l est chargé de la coordination,
de l'animation, de prévision, de l'organisation du travail et de la
gestion des équipements.
Il est secondé par un Chef de Bureau qui s'occupe de la
maintenance et du suivi des applications.
Nombre d'agents
|
Grade
|
Fonction
|
Niveau d'étude
|
Observation
|
1
|
Chef de Divi- sion
|
Chef du CTI
|
G 3 EFI
|
Analyste programmeur
|
1
|
Attachée de Bureau de 1ère classe
|
Chef de Bureau ad intérim
|
L 2 ISIPA
|
Concepteur
|
1
|
Agent de Bureau de 1ère classe
|
Analyse des applications
|
G3
|
Analyste programmeur
|
CHAPITRE V :
CONCEPTION DE LA DECLARATION ELECTRONIQUE AUX IMPOTS
Introduction :
L'expérience concluante de la déclaration
électronique à la Taxe sur la Valeur Ajoutée
« T.V.A. » , en France, nous amène à son
essai d'application dans notre pays etc., plus précisément ,
au sein de notre Administration fiscale.
La déclaration aux Impôts est donc un
préalable à ce projet susceptible de révolutionner les
relations entre l'Administration fiscale et les contribuables.
Pour rappel, la télé déclaration
(déclaration électronique) n'est qu'une déclaration
téléchargée et télétransmise par voie
d'Internet, à travers un site web et ,dans le cas d'espèce, le
site de la D.P.I.
Aussi, dans le cadre du développement par voie
électronique, l'Administration fiscale pourra mettre en oeuvre une
nouvelle structure dénommée « TELE
DECLARATION » avec pour vocation, de permettre aux opérateurs
économiques de « télé
déclarer » leurs éléments imposables.
Ceux-ci doivent être introduits de façon
conviviale au moyen d'un formulaire électronique, via le Net, dans le
système fiscal ou peuvent être transmis directement à
partir du poste de travail de l'opérateur économique, dans
l'ordinateur de la D.P.I.
En nous référant au Bulletin officiel des
impôts, D.G.I. n° 171 du 25/09/2001 de la France, nous pouvons
proposer deux scénarios de procédure pour la
télétransmission des données :
1. la procédure E.F.I. (Echange de
Formulaires Informatisés), accessibles sur Internet.
A partir du site de l'administration fiscale, elle conduit
à l'acquisition d'un certificat numérique, une sorte de passeport
électronique qui permet au redevable d'authentifier sa
signature ;
2. la procédure E.D.I (Echange de
données informatisées) transmettra les données
déclaratives soit par un mandataire agissant pour compte de son client,
soit par le redevable lui-même.
La procédure télé déclaration vise
à dématérialiser l'ensemble des données
actuellement servies sur toutes les déclarations de l'impôt. Le
formulaire dématérialisé est servi et
déposé selon les mêmes règles d'assiettes
applicables aux déclarations papiers.
5.1. PROCEDURE DE
« TELE DECLARATION » (Echange de formulaire
informatisé)
Le service est accessible sur le site D.PI. Le redevable devra
s'identifier ensuite, entrer dans un espace personnalisé dans lequel il
peut saisir lui-même ses données déclaratives dans un
formulaire intelligent, mettant en oeuvre des contrôles de
cohérence et des calculs automatiques.
Après vérification, le redevable confirme les
données saisies, les transmet enfin à la D.P.I.
Cet envoi comporte une signature électronique
authentifiée par un certificat numérique qui doit être
protégé par un mot de passe.
Un Avis de dépôt de la tété
déclaration accusant la réception de la transmission, et la note
de perception sont restitués au souscripteur par l'Administration
fiscale.
L'accusé de réception sera délivré
en ligne et restera consultable et imprimable à tout moment sur le site.
Le redevable saisit son numéro d'abonnement et
présente le Certificat numérique4(*) de la personne habilitée pour
représenter l'entreprise.
Signalons en passant que le certificat numérique doit
être délivré par le Ministère National des Finances.
Le couple « Numéro d'abonnement _ Certificat
numérique » présenté, génère par
le serveur, l'attribution d'un Numéro de déclaration qui
sera affiché sur le formulaire de souscription et qui, à l'issue
de cette opération, doit être imprimé.
Les éléments sont personnels à
l'entreprise ; ce qui garantit la plus grande sécurité dans
le mode d'accès sur le serveur.
5.2. PROCEDURE DE SECURITE
L'Administration fiscale doit fournir un accès
centralisé et sécurisé, offrant toutes les garanties de
confidentialité ainsi que la protection de la vie privée des
citoyens et des entreprises.
La télé déclaration devra veiller
à s'appuyer sur une architecture de transfert sécurisé. Il
s'agit de :
1. l'authentification de l'émetteur, garantie par
l'emploi du Certificat numérique ;
2. l'Avis de réception du dépôt qui
rassure le redevable de la bonne réception, par la DGI, du fichier
transmis (transmission à l'adresse électronique du
contribuable) ;
3. l'impression de la Déclaration et de la Note de
perception qui est déclenchée par la présentation du
Numéro impôt et de la signature numérique.
En matière de sécurité, signalons que le
Certificat numérique dont question, doit être assuré par
l'entreprise elle-même par le choix de son support (logiciel, carte
à puce, etc. .) et son mode de conservation.
Il est à noter qu'en cas de dysfonctionnement
technique du système, le recours à une déclaration papier
doit intervenir exceptionnellement, après contact avec l'Administration
fiscale.
5.3. LE PRE-REQUIS DU
SYSTEME TELE DECLARATIF
L'accès au serveur de la télé
déclaration @ nécessite actuellement la configuration hardware et
software suivante :
- un micro-ordinateur Pentium M doté de :
- un navigateur ( ex : Internet Explorer version 5.5
ou supérieure ,
- un logiciel Acrobat Reader, version 4.0 ou
supérieure, pour la consultation des informations sur le
serveur ;
- un accès Internet permettant la connexion au serveur
de la télé déclaration ;
- Un lecteur de cartes à puces si le Certificat
numérique est intégré dans une carte à puces,
- un Certificat numérique intégré dans
une carte à puces.
5.4. MODALITES DE
SOUSCRIPTION A LA TELE DECLARATION
Nous situant encore à une étape
expérimentale de notre étude, nous estimons qu'une
adhésion sur le serveur télé déclaration @ est
nécessaire pour avoir un Numéro abonnement.
C'est seulement après que le requérant pourra
acquérir le Certificat numérique, suivi de l'édition du
formulaire de souscription.
5.5 : CONCEPTION DE LA
BASE DE DONNEES
5.5.1 : ENTITE -
ASSOCIATION
Nous avons vu au second chapitre de la première partie
de notre travail, toutes les déclarations utiles.
Pour mémoire, il s'agit notamment des
déclarations : IPR, ICA, IRL, BS, IM. Celles-ci peuvent être
regroupées dans la mesure où leurs informations sont
homogènes.
De cette fusion, nous obtenons une seule entité,
à savoir : « DECLARATION » et
ce, au regard de sa définition par Cyril GRUAU qui déclare
`qu'une entité est une population homogène5(*)
Aussi, nous avons comme entités :
1. AGENT
2. CONTRIBUABLE
3. DECLARATION
4. PAIEMENT
DESCRIPTION SEMANTIQUE DES OBJETS OU ENTITES
N°
|
NOM OBJET
|
PROPRIETES
|
IDENTIFIANT
|
CODE PROPRIETE
|
TAILLE
|
NATURE
|
01
|
AGENT
|
NUMERO MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FONCTION
|
#
|
NUMATR
NOMAG
POSTNAG
GRADE
FONCT
|
6
15
15
10
25
|
N
AN
AN
AN
AN
|
02
|
CONTRIBUABLE
|
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITE
ADRESSE
NUMERO TELEPHONE
E-MAIL
|
#
|
NUMIMPOT
RAISOC
FORJUR
SECTACT
ADRESS
NUMTELP
E-MAIL
|
09
50
10
30
40
10
20
|
AN
AN
AN
AN
AN
AN
AN
|
03
|
DECLARATION
|
NUMERO DECLARATION
NATURE DE L'IMPOT
ELEMENT IMPOSABLE
MONTANT DECLARE
TAUX DE L'IMPOT
MONTANT A PAYER
DATE DECLARATION
PERIODE DECLAREE
|
#
|
NUMDECL
NOMIMPOT
ELIMPOS
MONTDECL
TAUX
MONTAPAY
DATEDECL
PERDECL
|
05
15
25
10
3
10
8
20
|
N
AN
AN
N
N
N
D
N
|
04
|
PAIEMENT
|
NUMERO NOTE
MODE DE PAIEMENT
MONTANT PAYE
DATE PAYEMENT
|
#
|
NUMNOTE
MODPAIE
MONTPAYE
DATEPAYE
|
8
25
10
8
|
AN
AN
N
D
|
PRESENTATION DES ENTITES (OBJETS)
AGENT
NUMERO MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FRONCTION
CONTRIBUABLE
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITES
ADRESSE
NUMERO TELEPHONE
E-MAIL
DECLARATION
NUMERO DECLARATION
NATURE DE L'IMPOT
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
TAUX DE L'IMPOT
MONTANT A PAYER
DATE DECLARATION
PERIODE DECLAREE
PAIEMENT
NUMERO NOTE
MODE DE PAIEMENT
MONTANT PAYE
DATE PAYEMENT
1
2
3
4
Pour une cohérence du modèle, une entité
et ses attributs ne doivent traiter que d'un seul sujet.
Ceci dit, passons à la cardinalité d'une
entité dans une association qui précise le nombre minimum et
maximum de fois qu'une entité participe dans l'association.
5.5.2. PRESENTATION DU MODELE
CONCEPTUEL DES DONNEES BRUTES
AGENT
NUMERO MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FRONCTION
PAIEMENT
NUMERO NOTE
MODE DE PAIEMENT
MONTANT PAYE
DATE PAYEMENT
CONTRIBUABLE
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITES
ADRESSE
NUMERO TELEPHONE
E-MAIL
DECLARATION
NUMERO DECLARATION
NATURE DE L'IMPOT
ELEMENT DECLARE
BASE DECLARE
TAUX DE L'IMPOT
MONTANT A PAYER
DATE DECLARTION
PERIODE DECLAREE
SOUSCRIRE
CONSTATER
DECLENCHER
RECEPTIONNER
EFFECTUER
(0,n) (1,1)
(0,n) (0,1) (1,1)
(0,n)
(1,1) (1,n)
(1,1) (0,n)
FIGURE 2 - Cardinalités
N.B. :
§ Il convient de noter que la seule difficulté
pour déterminer correctement les cardinalités est, comme on le
sait, de poser les questions dans le bon sens.
Par exemple, autour de l'association
souscrire ;
- côté contribuable, la question est
« combien des déclarations au minimum et au maximum peut
souscrire un contribuable ? » la réponse est entre
zéro et plusieurs, c'est-à-dire au minimum la participation est
optionnelle tandis qu'au maximum elle est obligatoire ;
- côté déclaration, la question est
« combien des contribuables peuvent souscrire une
déclaration ? » et, cette fois-ci, la réponse est
entre un et un seul contribuable. Ici, la participation est,
c'est-à-dire qu'une déclaration est souscrite par un et un seul
contribuable.
§ L'entité « DECLARATION »
avec son attribut montant à payer est un attribut calculable qu'il faut
retirer du schéma (au niveau de l'administration). Néanmoins, le
montant déclaré (Base déclarée) n'est pas
calculable au niveau de l'administration.
Ainsi :
DECLARATION
NUMERO DECLARATION +PERIODE DECLAREE
NATURE DE L'IMPÖT
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
TAUX DE L'IMPOT
MONTANT A PAYER
DATE DECLARATION
DECLARATION
NUMERO DECLARATION + PERIODE DECLAREE
NATURE DE L'IMPÖT
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
TAUX DE L'IMPOT
DATE DECLARATION
DEVIENT
FIGURE 3 - Normalisation de l'entité
« Déclaration »
§ En respect de la première forme normale, un
attribut ne peut prendre qu'une valeur et non pas un ensemble ou une liste de
valeurs.
Or, l'attribut nature de l'impôt de
l'entité « DECLARATION » prend plusieurs valeurs, ce
qui justifie la création d'une entité supplémentaire en
association avec la première.
DECLARATION
NUMERO DECL+PER DECL
NATURE DE L'IMPÖT
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
TAUX DE L'IMPOT
DATE DECLARATION
PERIODE DECLAREE
IMPOT
NUMERO IMPUTATION
NATURE DE L'IMPOT
TAUX DE L'IMPOT
1ère FORME
DECLARATION
NUMERO DECL+PERDECL
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
DATE DECLARATION
CONCERNE
(1,n) (1,1)
FIGURE 4 -
Même cas pour l'entité
« CONTRIBUABLE » avec l'attribut
« Adresse »
COMTRIBUABLE
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITES
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE
E-MAIL
ADRESSE
NUMERO ADRESSE
ADRESSE RUE
ADRESSE VILLE
ADRESSE E-MAIL
E-MAIL
1ère FORME
CONTRIBUABLE
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITES
NUMERO TELEPHONE
OCCUPER
(1,n) (1,n)
FIGURE 5 -
5.5.3. PRESENTATION DU MODELE
CONCEPTUEL DES DONNEES VALIDES
CONTRIBUABLE
NUMERO IMPOT
RAISON SOCIALE
FORME JURIDIQUE
SECTEUR D'ACTIVITES
NUMERO TELEPHONE
ADRESSE
NUMERO ADRESSE
ADRESSE RUE
ADRESSE VILLE
NUMERO TELEPH
E-MAIL
DECLARATION
NUMERO DECL+PERDECL
ELEMENTDECLARE
BASE DECLAREE
DATE DECLARATION
APPARTENIR
SOUSCRIRE
(1,1) (0,1) (1,n) (1,1)
(1,1)
(0,1)
EFFECTUER
DECLENCHER
(0,n)
CONCERNE
(1,n)
(1,1)
PAIEMENT
NUMERO NOTE
MODE DE PAIEMENT
MONTANT PAYE
DATE PAYEMENT
IMPOT
NUMERO IMPUTATION
NATURE DE L'IMPOT
TAUX DE L'IMPOT
AGENT
NUMERO MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FONCTION
CONSTATER
(0,n) (1,1)
(1,n)
RECEPTIONNER
(1,1)
(0,n)
ETABLIR
(1,n)
FIGURE 6 - Schéma entité - associations
normalisées.
5.5.4. BASES DE DONNEES
RELATIONNELLES
Suivant la figure 6 ut supra, notre MCD peut être
traduit en différents systèmes logiques et notamment les bases de
données relationnelles qui proposent une version plus concrète
pour modéliser la situation.
Lorsque des données ont la même structure, par
exemple les renseignements relatifs aux contribuables, on peut les
organiser en table dans laquelle les colonnes décrivent les champs en
commun et les lignes contiennent les valeurs de ces champs pour chaque
enregistrement.
Exemple :
CONTRIBUABLE
|
NUMERO IMPOT
|
RAISON SOCIALE
|
FORME JURIDIQUE
|
SECTEUR D'ACTIVITE
|
NUMERO TELEPHONE
|
C05A0112G
A0706150T
C05A0021H
A0710953P
|
AFRO BUSINESS
STE NAAS
IT.S
G.C.A.
|
S.P.R.L.
S.P.R.L
S.P.R.L
S.P.R.L
|
COMMERCE GENERAL
COMMERCE GENERAL
EXPLOITATION OFF SHORE
COMMISSIONNAIRE EN DOUANE
|
|
5.5.4.1. PASSAGE DU MCD AU
MLD
Première règle: `Toute
entité devient une relation dans laquelle les attributs traduisent les
propriétés de l'entité, la clé primaire traduit
l'identifiant de l'entité'. D'où :
ADRESSE : (Numéro
adresse, adresse rue, adresse ville, e-mail)
CONTRIBUABLE : (Numéro
impôt, raison sociale, forme juridique, secteur
d'activités)
DECLARATION : (Numéro décl+Per
décl, élément déclaré, base
déclarée,date déclaration)
PAIEMENT : (Numéro note, mode
de paiement, date paiement, montant payer)
AGENT : (Numéro
matricule, nom agent, post nom agent, grade fonction)
IMPOT : (Numéro
imputation, nature impôt, taux de l'impôt)
Deuxième règle : à
appliquer pour traduire le MCD en MLDR, est ` qu'une association binaire de
type (1,n) disparaît et sera transcrite par l'ajoute d'une clé
étrangère dans la table qui supporte le couple de
cardinalité (0,1) ou (1,1) qui référence la clé
primaire de l'autre table'.
Exemple :
DECLARATION
NUM DECL+Perdecl
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
DATE DECL
AGENT
NUMMATR
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FONCTION
RECEPTIONNER
(0,n) (1,1) (1,1)
DECLARATION
NUM DEPOT+Perdecl
ELEMENT DECLARE
BASE DECLAREE
#NUMATR
DATE DECL
AGENT
NUMMATR
NOM
POSTNOM
GRADE
FONCTION
Devient
Figure 7
L'association de type " plusieurs à plusieurs" se
réécrit en créant une relation particulière dont la
clé primaire formée par la concaténation des identifiants
des entités associées.
IMPOT
NUMERO IMPUTATION
NATURE DE L'IMPOT
TAUX DE L'IMPOT
AGENT
NUMERO MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FONCTION
GERER
ETABLIR
(1,n) (1,n)
ETABLIR
# NUMERO IMPUTATION
# NUMERO MATRICULE
IMPOT
NUMERO IMPUTATION
NATURE DE L'IMPOT
TAUX DE L'IMPOT
AGENT
NUM MATRICULE
NOM AGENT
POSTNOM AGENT
GRADE
FONCTION
Devient
Figure 8
IMPOT : (Numéro
imputation, nature de l'impôt, taux de l'impôt)
AGENT: (Numéro matricule, nom agent, post nom agent,
grade, fonction)
ETABLIR : (# numéro imputation,
# numéro matricule)
Une association de dimension supérieure à 2 se
réécrit selon la règle n°3.
Dans notre cas, nous n'avons pas une telle association.
Ainsi la traduction de notre MCD en un MLDR se
représente de la maniérée suivante :
5.5.4.2. PRESENTATION DU
MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES (MLDR).
Figure 9 : Schéma relationnel






DECLARATION
Numéro Dépôt+Per
decl
Elément déclaré
#Numéro impôt
#Numéro matricule
#numéro matricule
#Numéro note
Base déclarée
Date déclaration
ETABLIR
#Numéro matricule
#Numéro Imputation
IMPOT
Numéro Imputation
Nature impôt
Taux de l'impôt
#Numéro décl+per decl
PAIEMENT
Numéro Note
Mode de paiement
Date paiement
Montant payé
#Numéro matricule
#Numéro impôt
AGENT
Numéro Matricule
Nom agent
Post nom agent
Grade
Fonction
CONTRIBUABLE
Numéro Impôt
Raison sociale
Forme Juridique
Secteur d'activités
N° Téléphone
# Numéro adresse
ADRESSE
Numéro adresse
Adresse rue
Adresse ville
Numéro téléphone
e-mail
Ainsi, nous avons les tables ci-dessous :
2. ADRESSE : (Numéro
adresse, adresse rue, adresse ville, numéro
téléphone, e-mail)
3. CONTRIBUABLE : (Numéro
impôt, raison sociale, forme juridique,
secteur
d'activités n° téléphone, # numéro
adresse).
4. AGENT : (Numéro
matricule, nom agent, post- nom agent,
grade, fonction, # code
service)
5. PAIEMENT : (Numéro
note, mode de paiement, date paiement
, montant payé, # numéro matricule, # numéro
impôt)
6. DECLARATION : (Numéro
décl, élément déclaré, Base
déclarée,Date déclaration,période
déclarée, # numéro
matricule, # code
service, #numéro note.)
7. IMPOT : (numéro
imputation, nature de l'impôt, taux de l'impôt#
numéro déclaration)
8. ETABLIR : (# numéro
matricule, # numéro imputation)
Il importe d'observer que le niveau logique est une
représentation du système tel qu'il sera implémenté
dans des ordinateurs , ce qui n'est pas à confondre avec son
implémentation physique en machine (avec Access ou Oracle par
exemple).
5.5.5. IMPLEMENTATION DU MODELE
LOGIQUE
Un modèle physique de données est
l'implémentation particulière du modèle logique de
données, par un logiciel6(*).
La traduction d'un MLD relation en modèle physique est
la création d'une base de données hébergée par un
SGBD relationnel particulier (par des requêtes SQL de type CREATE TABLE
et ADD CONSTRAINT).
Il peut s'agir d'une base de données ORACLE, SQL
Server, ACCESS, etc.
Dans le cas d'espèce, nous avons jeté notre
dévolu sur ACCESS.
Cette traduction précise notamment le stockage de
chaque donnée à travers son type et sa taille (en octets ou en
bits).
Ainsi donc, les tables deviennent des fichiers, les attributs
des champs dont le type alphanumérique se transforme en type texte.
ADRESSE.mdb
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
04
05
|
Numadressl
Adressrue
Adressville
Numtel
e-mail
|
T
T
T
T
T
|
30
20
15
13
20
|
|
TOTAL
|
98
|
AGENT.mdb
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
04
05
06
|
Numatr
Nomag
Postnag
Grade
Fonct
Numimput
|
T
T
T
T
T
T
|
6
15
15
10
25
7
|
|
TOTAL
|
78
|
CONTRIBUABLE.mdb
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
04
05
06
|
Numimpôt
Raisoc
Forjur
Sectact
Numtel
Numadress
|
T
T
T
T
T
T
|
9
50
10
30
13
30
|
|
TOTAL
|
142
|
ETABLIR.mdb
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
|
Nummatr
Numimput
|
T
T
|
6
7
|
|
TOTAL
|
13
|
PAIEMENT.mdb
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
04
05
06
|
Numnote
Modepaie
Datepaie
Montpayé
Nummatr
Numimpôt
|
T
T
D
N
N
T
|
8
25
8
10
8
9
|
|
TOTAL
|
68
|
DECLARATION.MDB
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
04
05
06
07
08
09
|
Numdecl+Perdecl
Elltdecl
Numimpôt
Numatr
Numnote
Basedecl
Datedecl
Natimpot
|
T
T
T
N
T
N
D
T
|
25
25
9
6
8
15
8
20
|
|
TOTAL
|
118
|
IMPOT.MDB
|
N°
|
CHAMPS
|
TYPE
|
TAILLE
|
01
02
03
|
NumiImput
Natimpot
Numdecl+Perdecl
|
T
T
T
|
8
20
25
|
|
TOTAL
|
53
|
5.5.6. CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE
5.5.6.1. Modèle
conceptuel de traitement (MCT) :
Nous analysons tous les traitements qui seront
exécutés dans notre base de donnée, ainsi que leurs
fonctions majeures.
Tableau de gestion de processus E-O-R. (Evénement -
Opération - Résultat)
N°
|
EVENEMENT
|
OPERATIONS
|
RESULTAT
|
LIBELLE
|
TACHE A EXECUTER
|
1
|
Dépôt de déclaration
|
Vérification de déclaration
|
- Réception déclaration
- Vérification déclaration
|
Déclaration vérifiée
|
2
|
Déclaration vérifiée
|
- Etablissement Note de Perception
|
- Etablissement Note de Perception
|
Note de Perception établie
|
3
|
Note de Perception établie
|
Remise de Note de Perception
|
- Remise de la Note de Perception au contribuable 1 exemplaire
- Classement d'un exemplaire
|
Contribuable notifié
|
Présentation du M.C.T.
Dépôt déclaration
DIV REC
02 ETABLISSEMENT NOTE DE PERCEPTION
- ETABLISSEMENT N.P.
- Remise N.P. au contribuable
OK K.O
01 VERIFICATION DECLARATION
- Réception déclaration
- Vérification déclaration
OK K.O
Déclaration vérifiée
Déclaration non vérifiée
Contribuable notifié
Contribuable non notifié
5.5.6.2. Modèle
organisationnel de traitement :
Le MOT précise le poste de travail, associé
à la nature de tâches décrété en terme de
degré d'automatisation et de répartition de tâche.
Notre MCT sera enrichie par deux éléments pour
donner le MOT
- l'affectation de traitement aux postes de travail
- le niveau et le type d'automatisation (manuel ou
automatique)
DEROULEMENT
|
PROCEDURE FONCTIONNELLE
|
NATURE TACHES
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Dépôt déclaration
DIV REC
02 ETABLISSEMENT N.P.
- ETABLISSEMENT N.P.
- Remise N.P. au contribuable
OK K.O
01 VERIFICATION DECLARATION
- Réception déclaration
- Vérification déclaration
OK K.O
Déclaration vérifiée
Déclaration non vérifiée
Contribuable notifié
Contribuable non notifié
Mensuel
Mensuel
|
|
Manuelle
Automatique & manuelle
|
DIV. REC
DIV. REC
|
5.5.6.3. Modèle
logique de traitement :
La procédure logique commence par un début de
procédure et termine par une fin de procédure et ce,
après avoir identifié et recensé toutes les
opérations qui feront l'objet d'un traitement automatique.
Dans notre cas, c'est la déclaration et la note de
perception.
5.5.6.4.
Présentation du Modèle logique de traitement
Début Procédure
FDECL
F. DECLARATION
FIMPOT
FIMPOT
NP
ENREGISTREMENT DES DONNEES
Affichage maquettes
Saisie de données
EXIT OK ANNULER
1
ETABLISSEMENT NOTE DE PERCEPTION
Affichage maquettes
Saisie de données
Edition N.P.
EXIT OK ANNULER
2
Fin Procédure
FADRESSE
F. DECLARATION
FCONTRIBUA
FADRESSE
F. DECLARATION
FCONTRIBUA
FPAIEMENT
5.5.6.5 Le modèle physique de traitement :
Le MPT décrit les spécificités des
différents modules de traitement
(l'architecture du programme)
Présentation du MPT
GESTION DECLARATION
MENU DE DEMARRAGE
MENU PRINCIPAL
CONSULTATION
SAISIE
MISE A JOUR
EDITION
QUITTER
SAISIE
SERVICE
AGENT
CONTRIBUABLE
DECLARATION
NOTE DE PERCEPT°
RETOUR AU M.P.
CONSULTATION
DECLARATION
N.P.
RETOUR AU M.P.
EDITION
DECLARATION
N.P.
RETOUR AU M.P.
MISE A JOUR
AJOUTE
SUPPRESSION
MODIFICATION
RETOUR AU M.P.
AJOUTE
SERVICE
AGENT
CONTRIBUABLE
DECLARATION
NOTE DE PERCEPT°
RETOUR AU M.P.
SUPPRESSION
SERVICE
AGENT
CONTRIBUABLE
DECLARATION
NOTE DE PERCEPT°
RETOUR AU M.P.
MODIFICATION
SERVICE
AGENT
CONTRIBUABLE
DECLARATION
NOTE DE PERCEPT°
RETOUR AU M.P.
5.5.7. UN SITE POUR LA
D.P.I/BC
Etant donné qu'un des objectifs assigné à
notre travail consiste à réduire la paperasserie
procédurière entre la DGI et ses partenaires dans les
opérations de déclaration, un site Internet pour
l'Administration fiscale contribuera à alléger ces charges. La
rapidité et l'accessibilité, vingt quatre heures sur vingt
quatre, sont deux atouts supplémentaires à l'actif de ce
système.
Pour mémoire, un site Internet est un ensemble de pages
HTML, reliées entre elles, généralement consacrées
à un sujet déterminé et qui sont portées
à la libre connaissance de la communauté des internautes7(*).
Bien plus, Internet est un réseau d'ordinateurs
répartis dans le monde (world) entier et reliés entre eux par des
câbles téléphoniques, des fibres optiques, des liaisons
satellites, des câbles sous-marins8(*).
Une fois connecté, l'ordinateur de l'Administration
fiscale fera partie intégrante du réseau, à l'instar des
centaines de milliers d'autres qui envoient et réceptionnent des
données de la toile (web).
Internet offre plusieurs services dont :
- le World Wide Web (w.w.w) : toile de taille mondiale.
C'est un service qui nous permet de consulter des sites qui affichent des
données, des images, de l'animation sur tout sujet imaginable ;
- le courrier électronique (e.mail ou
courriel) : permet d'échanger des textes, des documents, des
images,des fichiers, des bases de données, etc. ;
- les serveurs de fichier : vous
récupérez, sur votre ordinateur des fichiers (images, textes,
programmes, musiques) mis à votre disposition par des ordinateurs
spécialisés. etc.
Pour créer son site, la DPI doit impérativement
souscrire, à titre onéreux, un abonnement auprès d'un
Fournisseur d'Accès Internet (FAI).
La conception d'un site web doit être une
démarche participative, orientée vers les utilisateurs, c'est
-à- dire qu'elle doit, se faire en concertation avec un ensemble de
représentants de la DPI et de ses bénéficiaires, en vue
d'obtenir une satisfaction maximale des utilisateurs.
L'Administration fiscale, par le canal de ses experts, devra
mettre en oeuvre :
- un logiciel de création,
- un nom de domaine9(*),
- un hébergeur et, enfin,
- publier et référencier le site.
Il existe plusieurs types de noms de domaines dont voici,
à titre exemplatif, une liste partielle des extensions possibles et leur
signification:
.com : pour les sites à caractère
commercial
.net : activité liée à Internet
.org : site sans objet commercial (organisation)
.edu : site en relation avec l'éducation
.info : sites à vocation informationnelle
.biz : sommerce électronique (business)
.can : site canadien
.qc.ca : site québécois
.us : site américain
A ce stade, il sied de noter que, techniquement, il n'y a pas
de différence entre les extensions. Ceci dit, les internautes essaient
souvent de deviner le « .com » parce qu'elle est la plus
sollicitée.
Dans le cas de la DPI, son système d'informations
étant constitué d'un réseau d'ordinateurs, c'est le
serveur qui hébergera son site, compte tenu de la grande capacité
de sa mémoire de masse et de sa ligne de connexion à très
haut débit.
Concernant la codification par les contribuables du
formulaire de déclaration, l'on prendra soin de le faire accompagner
d'un manuel de procédure d'utilisation afin de permettre une meilleure
compréhension de son utilisation (rubriques obligatoires et
facultatives, codification proprement dite, etc.).
En dernier plan, le site de la DPI doit être
référencé dans les annuaires, c'est-à-dire indiquer
aux moteurs de recherche et annuaires, l'existence du site.
5.5.8. FORMULAIRE DECLARATIF
« DECLARATION ELECTRONIQUE »
Le formulaire offre une manière conviviale de saisir
les données. Il minimise les erreurs de saisie par sa grande
ressemblance avec un document papier, et comporte des champs provenant de
plusieurs tables, ce qui nous évite de passer d'une table à
l'autre lors de l'entrée des données10(*).
Par des tables, des requêtes et des formulaires, nous
exploitons au mieux nos bases de données en uniformisant et en
simplifiant la saisie des données.
Le formulaire proposé est élaboré avec
les Assistants formulaires instantanés et nous avons continué
à le personnaliser en Mode création.
Deux requêtes furent crées à partir des
certaines tables.
- Requête Contribuable (table Adresse et table
Contribuable)
- Requête Déclaration (table déclaration
et table impôt)
LES OBJETS DE LA BASE DE DONNEES


LES REQUETES

 

a
LES FORMULAIRES



ETAT

MENU GENERAL PRINCIPAL

PROGRAMMATION DU MENU PRINCIPAL
Option Compare Database
Private Sub Form_Open(Cancel As Integer)
' Minimize the database window and initialize the form.
' Move to the switchboard page that is marked as the default.
Me.Filter = "[ItemNumber] = 0 AND [Argument] = 'Par
défaut' "
Me.FilterOn = True
End Sub
Private Sub Form_Current()
' Update the caption and fill in the list of options.
Me.Caption = Nz(Me![ItemText], "")
FillOptions
End Sub
Private Sub FillOptions()
' Fill in the options for this switchboard page.
' The number of buttons on the form.
Const conNumButtons = 8
Dim con As Object
Dim rs As Object
Dim stSql As String
Dim intOption As Integer
' Set the focus to the first button on the form,
' and then hide all of the buttons on the form
' but the first. You can't hide the field with the focus.
Me![Option1].SetFocus
For intOption = 2 To conNumButtons
Me("Option" & intOption).Visible = False
Me("OptionLabel" & intOption).Visible = False
Next intOption
' Open the table of Switchboard Items, and find
' the first item for this Switchboard Page.
Set con = Application.CurrentProject.Connection
stSql = "SELECT * FROM [Switchboard Items]"
stSql = stSql & " WHERE [ItemNumber] > 0 AND
[SwitchboardID]=" & Me![SwitchboardID]
stSql = stSql & " ORDER BY [ItemNumber];"
Set rs = CreateObject("ADODB.Recordset")
rs.Open stSql, con, 1 ' 1 = adOpenKeyset
' If there are no options for this Switchboard Page,
' display a message. Otherwise, fill the page with the
items.
If (rs.EOF) Then
Me![OptionLabel1].Caption = "Il n'y a aucun
élément pour cette page de Menu Général"
Else
While (Not (rs.EOF))
Me("Option" & rs![ItemNumber]).Visible = True
Me("OptionLabel" & rs![ItemNumber]).Visible =
True
Me("OptionLabel" & rs![ItemNumber]).Caption =
rs![ItemText]
rs.MoveNext
Wend
End If
' Close the recordset and the database.
rs.Close
Set rs = Nothing
Set con = Nothing
End Sub
Private Function HandleButtonClick(intBtn As Integer)
' This function is called when a button is clicked.
' intBtn indicates which button was clicked.
' Constants for the commands that can be executed.
Const conCmdGotoSwitchboard = 1
Const conCmdOpenFormAdd = 2
Const conCmdOpenFormBrowse = 3
Const conCmdOpenReport = 4
Const conCmdCustomizeSwitchboard = 5
Const conCmdExitApplication = 6
Const conCmdRunMacro = 7
Const conCmdRunCode = 8
Const conCmdOpenPage = 9
' An error that is special cased.
Const conErrDoCmdCancelled = 2501
Dim con As Object
Dim rs As Object
Dim stSql As String
On Error GoTo HandleButtonClick_Err
' Find the item in the Switchboard Items table
' that corresponds to the button that was clicked.
Set con = Application.CurrentProject.Connection
Set rs = CreateObject("ADODB.Recordset")
stSql = "SELECT * FROM [Switchboard Items] "
stSql = stSql & "WHERE [SwitchboardID]=" &
Me![SwitchboardID] & " AND [ItemNumber]=" & intBtn
rs.Open stSql, con, 1 ' 1 = adOpenKeyset
' If no item matches, report the error and exit the
function.
If (rs.EOF) Then
MsgBox "Une erreur s'est produite lors de la lecture de
la table d'élément du Menu général."
rs.Close
Set rs = Nothing
Set con = Nothing
Exit Function
End If
Select Case rs![Command]
' Go to another switchboard.
Case conCmdGotoSwitchboard
Me.Filter = "[ItemNumber] = 0 AND [SwitchboardID]="
& rs![Argument]
' Open a form in Add mode.
Case conCmdOpenFormAdd
DoCmd.OpenForm rs![Argument], , , , acAdd
' Open a form.
Case conCmdOpenFormBrowse
DoCmd.OpenForm rs![Argument]
' Open a report.
Case conCmdOpenReport
DoCmd.OpenReport rs![Argument], acPreview
' Customize the Switchboard.
Case conCmdCustomizeSwitchboard
' Handle the case where the Switchboard Manager
' is not installed (e.g. Minimal Install).
On Error Resume Next
Application.Run "ACWZMAIN.sbm_Entry"
If (Err <> 0) Then MsgBox "Commande non
disponible."
On Error GoTo 0
' Update the form.
Me.Filter = "[ItemNumber] = 0 AND [Argument] = 'Par
défaut' "
Me.Caption = Nz(Me![ItemText], "")
FillOptions
' Exit the application.
Case conCmdExitApplication
CloseCurrentDatabase
' Run a macro.
Case conCmdRunMacro
DoCmd.RunMacro rs![Argument]
' Run code.
Case conCmdRunCode
Application.Run rs![Argument]
' Open a Data Access Page
Case conCmdOpenPage
DoCmd.OpenDataAccessPage rs![Argument]
' Any other command is unrecognized.
Case Else
MsgBox "Option inconnue."
End Select
' Close the recordset and the database.
rs.Close
HandleButtonClick_Exit:
On Error Resume Next
Set rs = Nothing
Set con = Nothing
Exit Function
HandleButtonClick_Err:
' If the action was cancelled by the user for
' some reason, don't display an error message.
' Instead, resume on the next line.
If (Err = conErrDoCmdCancelled) Then
Resume Next
Else
MsgBox "Une erreur s'est produite lors de
l'exécution de la commande.", vbCritical
Resume HandleButtonClick_Exit
End If
End Function
5.5.9. ALGORITHME DE LA
DECLARATION
L'algorithme est une procédure de résolution
d'un problème énoncé sous la forme de série
d'opérations à effectuer, c'est une suite logique de petites et
courtes phrases qui traduisent les actions et les conditions nécessaires
pour résoudre un problème.11(*)
10. Début
20. Ouverture F Decl
30. Initialisation de la zone de travail
40. Saisie code d'accès
50. test code accès « code d'accès
valide ? »
Si oui, aller à 60 ;
Si non, message d'erreurs : code incorrecte.
60. Lecture F decl
70. Test « es ce que c'est la fin du
fichier » ?
Si oui , aller à 120
Si non aller à 80
80. Traitement `saisie de données'
90. Mise à blanc
100. Transfert de données
110. Ecriture, aller à 60
120. Fin du travail
5.5.10. ORDINOGRAMME DE LA
DECLARATION
L'ordinogramme est en fait une représentation de
façon symbolique et conventionnelle d'un algorithme
MESSAGE
Code incorrect
DEBUT
Ouverture FDECL
RAISOC = FORJUR = SECTAT = ELTDECL =
« »
NATIMPOT = NUMIMPOT = « »
BASEDECL = TAUX = MONTPAYE = 0
Introduire Code Accès
Code Accès valide ?
/*
Lire FDECL
EOJ
RAISOC ZRAISOC
FORJUR ZFORJUR
SECTAT ZSECTAT
ELTDECL ZELTDECL
NATIMPOT ZNATIMPOT
NUMIMPOT ZNUMIMPOT
BASEDECL ZBASEDECL
TAUX ZTAUX
MONTPAYE ZMONTPAYE
MAB
OUI
OUI
NON
NON
ECRIRE 1 LIGNE
5.5.11. PROGRAMMATION DE LA
DECLARATION
Option Compare Database
Private Sub Commande33_Click()
On Error GoTo Err_Commande33_Click
Dim stDocName As String
stDocName = "Enregis"
DoCmd.RunMacro stDocName
Exit_Commande33_Click:
Exit Sub
Err_Commande33_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande33_Click
End Sub
Private Sub Commande34_Click()
On Error GoTo Err_Commande34_Click
Dim stDocName As String
stDocName = "Envoie"
DoCmd.RunMacro stDocName
Exit_Commande34_Click:
Exit Sub
Err_Commande34_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande34_Click
End Sub
Private Sub Commande35_Click()
On Error GoTo Err_Commande35_Click
DoCmd.PrintOut
Exit_Commande35_Click:
Exit Sub
Err_Commande35_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande35_Click
End Sub
Private Sub Commande36_Click()
On Error GoTo Err_Commande36_Click
Dim stDocName As String
stDocName = "impression"
DoCmd.RunMacro stDocName
Exit_Commande36_Click:
Exit Sub
Err_Commande36_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande36_Click
End Sub
Private Sub Commande37_Click()
On Error GoTo Err_Commande37_Click
DoCmd.Close
Exit_Commande37_Click:
Exit Sub
Err_Commande37_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande37_Click
End Sub
Private Sub Commande77_Click()
On Error GoTo Err_Commande77_Click
Dim stDocName As String
stDocName = "QUITTER APPLICATION"
DoCmd.RunMacro stDocName
Exit_Commande77_Click:
Exit Sub
Err_Commande77_Click:
MsgBox Err.Description
Resume Exit_Commande77_Click
End Sub
CONCLUSION
Alors que l'expérimentation d'attribution d'un
numéro impôt par voie électronique est en phase
d'évaluation, nous proposons à l'Administration fiscale, par le
biais de ce modeste travail, de tester une adresse Internet unique pour joindre
les services des impôts.
Par cette dernière, les contribuables pourront remplir
leurs déclarations en ligne à partir d'un seul formulaire
disponible sur le futur site de la DPI.
Depuis sa création par l'Ordonnance n° 88-039 du
10 mars 1988, modifiée par le Décret n° 017/2003 du 02 mars
2003, la Direction Générale des Impôts, aussi bien sur le
plan national que provincial, reçoit, en matière
déclarative, plusieurs modèles de Déclaration des
impôts et ce, sur support papier.
Ces déclarations sont déposées soit
à la Division de Recouvrement, pour les impôts spontanés,
et à la Division de la Taxation et Documentation, pour les impôts
constatés (à enrôler).
Enfin de compte, il s'ensuit un traitement manuel pour aboutir
à la délivrance d'une Note de Perception informatisée.
Il revient de souligner qu'un service qui, de prime abord,
contraint les opérateurs économiques à payer les
impôts, n'attire sans doute pas la sympathie de ces derniers. C'est un
paramètre qui pèse lourd dans les rapports que les citoyens
contribuables entretiennent avec l'Administration fiscale.
Si l'on admet que la grande majorité consent à
payer l'impôt, en retour, qu'attend-t- elle de ceux qui le
récolte ?
C'est dans cette évidence que, nous avons estimé
qu'améliorer les relations entre les contribuables et le fisc, est un
enjeu fondamental.
Voila pourquoi nous avons voulu à travers ce travail ,
adapter le modèle de gestion de l'Administration fiscale aux nouveaux
outils d'Internet en vue d'améliorer le mécanisme de suivi des
déclarations, d'une part. D'autre part, nous avons été
amené à cogiter sur la manière dont sont
exécutées les tâches en vue de redéfinir les
relations qui peuvent être entretenues avec les partenaires de la DGI en
général et ceux de la DPI, en particulier.
En collaboration avec ces partenaires
privilégiés, notre travail a débouché sur une
conception d'un système de traitement, en temps réel, des
déclarations aux impôts, en uniformisant dans un modèle
unique et électronique appelé « Déclaration
électronique aux impôts ».
Ce système est conçu comme un agencement des
facteurs matériels, humains, organisationnels et logiciels
destinés à assurer des fonctions spécifiques au niveau des
contribuables.
L'exploitation de la base de données s'effectuera
à partir du couple `Numéro abonnement _ Numéro
impôt'.
Les nouvelles technologies de l'information et de la
communication sont indispensables au développement de l'Administration
fiscale et des services qu'elle devra proposer aux citoyens.
C'est en suivant cette évolution que nous avons
entrepris ce travail, intitulé d'ailleurs `Essai de mise en place d'une
plate forme informatique D.G.I.-Opérateurs économiques', avec
pour but principal de simplifier la procédure de déclaration par
voie électronique.
Pour y arriver, nous l'avons subdivisé en deux grandes
parties. La première s'est appesantie sur le cadre organisationnel de la
DGI. Elle a été reparties en trois chapitres dont le premier a
porté sur la présentation de la DGI, le second , de son
fonctionnement et le troisième, des obligations fiscales et des
différentes déclarations.
La seconde partie a été consacrée
à la mise en place d'une plate forme d'échange des données
déclaratives, subdivisée à son tour en deux chapitres,
à savoir : la présentation de la Direction provinciale des
Impôts du Bas-Congo, cadre de notre travail et enfin, la conception de la
Déclaration électronique aux Impôts.
Loin de nous l'ambition de réaliser ce projet si
ambitieux, et, compte tenu de l'insuffisance des ressources intellectuelles
pouvant nous guider soit dans la partie de conception et implémentation
du site, soit dans celle de création d'interfaces avec les contribuables
géographiquement dispersés dans notre champ expérimental ,
nous sommes toutefois convaincu de l'intérêt que les uns et les
autres pourraient manifester à cette étude et apporter une pierre
pour que la D.G.I puisse se doter de ce système .
BIBLIOGRAPHIE
I. TEXTES LEGAUX
- Ordonnance-loi n° 88/039 du 10 mars 1988 portant
création de la D.G.C.
- Ordonnance-loi n° 89/100 du 12 mai 1989.
- Ordonnance-loi n° 89/099 du 12 mai 1989.
- Ordonnance-loi n° 89/101 du 12 mai 1989.
- Ordonnance-loi n° 69/006 du 10 février 1969.
- Ordonnance-loi n° 69/007 du 10 février 1969.
- Ordonnance-loi n° 59/ du 05 décembre
1969.
- Loi 004/2003 du 13 mai 2003.
- Décret n° 017/2003 du 09 mars 2003
- Bulletin officiel des Impôts, DGI-France n° 171 du
25/09/2001 relatif à la télédéclaration.
II. OUVRAGES
GABAY, J., Apprendre et pratiquer Meise, Masson,
Paris,1989.
GRIGORIEFF, G.V., Les collections informatiques, Nouvelles
Editions Marabout, D.L. avril 2000 / n° 3272
GRUAU, C., Conception d'une base de données, cyriel
Gruau@ensmp.fr, Corrigé du 13
juillet 2006.
MARTIN , D., Bases de données :
méthodes pratiques, Bordas, Paris, 1977.
MATHERON, J.P., Comprendre Merise, Ey roller, 1994.
REIX, R., L'analyse en informatique de gestion, Bordas
management, Paris
III. NOTES DE COURS
KINKUNGA, P., Note de cours d'algorithme, ISC/Matadi, G2
Info/Soir, 2007-2008.
IV. REVU
MUKENDI MUBIKAYI, Nouveau système de traitement des
recettes en temps réel, in flash impôt, Revue
« MPAKO » n° 33, Mars 2008, p11-12
V. INTERNET
http://www.wilkipedia.org/wiki/pgr.informatique
Windows 97
Marabout-n@net.courrier.com,
Windows 98 et Internet, Ed. Marabout, Avril 2000.
Annexes
Organigramme de la Direction Générale
des Impôts « D.G.I »
1. SERVICES CENTRAUX
A. DIRECTION GENERALE
- Directeur Général
- Directeur Général Adjoint chargé
des finances
- Directeur Général Adjoint chargé
de l'administration
* Services rattachés à la Direction
Générale
1ère Division : Division
Administrative : 1Chef de Division (coordonnateur des
Secrétariat DG et DGA) ;
- Secrétariat DG ;
- Secrétariat DGA.
2ème Division : Cellule
technique : 10 Inspecteurs des impôts
* INSPECTION DES SERVICES
1. Inspecteur- coordonnateur (Directeur)
- Secrétariat ;
- Brigades (60 Inspecteurs) ;
- Brigade de l'audit des services ;
- Brigade du suivi de l'encadrement des services ;
- Brigade d'enquêtes et de la contre vérification
fiscale.
B. DIRECTIONS CENTRALES
1ère Direction :
Direction des Ressources humaines
1ère Division :
Ressources humaines
Bureau :- Gestion du personnel ;
- Paie ;
- Formation ;
- Archives.
2e Division - Affaires
sociales.
- Relation Publiques, Voyages et Loisir ;
- Santé.
2ème Direction :
Direction de la gestion budgétaire et des Services
Généraux
1ère Division : Gestion
budgétaires
- Bureau : Gestion des crédits ;
- Budget des défenses ;
2ème Division : Services
Généraux
Bureau : - Gestion des Immeubles et
meubles ;
- Gestion des matériels ;
- Gestion des fournitures et imprimés :
- Gestion du charroi et expédition.
3ème Direction :
Direction de l'informatique
1ère Division : Etude du
développement
Bureau : - Elaboration et suivi du schéma
directeur d'informatisation ;
- Etudes et conception des applications.
2ème Division : Exploitation
Bureau : - Gestion du système ;
- Maintenance.
4ème Direction :
Direction des Etudes de la Législation et du Contentieux
secrétariat
1ère Division : Etudes et
communication
- Secrétariat ;
Bureau : - Etudes fiscales ;
- Vulgarisation et services ;
- Relations fiscales.
2ème Division : Législation
et contentieux
- Secrétariat
Bureau : - Législation ;
- Contentieux ;
- Régimes fiscaux d'exceptions .
3ème Division : - Statistiques
- Secrétariat
Bureau : - Statistique et budget de
recettes ;
- Elaboration des rapports.
5ème
Direction : Direction de la Taxation et de la
Documentation
1. Directeur
2. Secrétariat
1ère Division : Taxation
- Secrétariat
Bureau : - Gestion du système
déclaratif ;
- Suivi des opérations
d'assiette.
2ème Division : Documentation
- Secrétariat
Bureau : - Identification et gestion des
répertoires ;
- Elaboration des monographies
professionnelles.
6e Direction : DIRECTION
DU CONTROLE FISCAL
1. Directeur
2. Secrétariat
1ère Division : Programmation
Bureau : 1. Coordination des programmations ;
2. Statistiques .
2ème Division : Recherche et
contrôle fiscal
- Secrétariat
Bureau : 1. Recherche et recoupement ;
2. Stratégie et
procédures des contrôles ;
3. Suivi des opérations des
contrôles.
7e Direction : DIRECTION
DU RECOUVREMENT
1. Directeur
Secrétariat
1ère Division : Recouvrement
Secrétariat
Bureau : 1. Stratégies et procédures de
recouvrement ;
2. Suivi des recettes ;
3. Statistiques .
2ème Division : Poursuites
Secrétariat
Bureau : 1. Suivi des restes à
recouvrer ;
2. Poursuites.
2. DIRECTIONS OPERATIONNELLES
2.1. DIRECTION DES GRANDES ENTREPRISES
1. Directeur
Secrétariat
Cellule d'appoint et du contentieux.
Ière Division : Ressources humaines
et services généraux
Bureau : 1. Gestion des Ressources
Humaines ;
2. Services Généraux ;
3. Informatique.
2ème Division : Informations et
liaisons
Secrétariat
Bureau : 1. Accueil et Information ;
2. Liaison ;
3ème Division : Gestion
Secrétariat
Bureau 1. Immatriculation et tenue des dossiers ;
2. Gestion des comptes des contribuables.
4ème Division : Contrôle
fiscal
Secrétariat
Bureau : 1. Recherche ;
2. Coordination de
contrôle ;
3. Brigade de contrôles
externes.
5ème Division : Recouvrement
Secrétariat
Bureau : 1. Paiement ;
2. Centre de traitement du recouvrement et
saisie ;
3. Poursuites et contentieux du
Recouvrement ;
4. Antennes Provinciales.
2.2. DIRECTION URBAINE DE KINSHASA
- Directeur ;
- Secrétariat ;
- Inspection.
1ère Division : Ressources
humaines
Secrétariat
Bureau : 1. Gestion du personnel ;
2. Affaire sociales.
2ème Division : Services
généraux
Secrétariat
Bureau : 1. Budget des dépenses et Gestions
des crédits ;
2. Services généraux.
3ème Division : Informatique
Secrétariat
Bureau : 1. Suivi des applications ;
2. Maintenance.
4ème Division : Taxation et
documentation
Secrétariat
Bureau : 1. Taxation ;
2. Documentation.
5ème Division : Contrôle
fiscal
Secrétariat
Bureau : 1. Recherche ;
2. Coordinateur de contrôle Brigades
de contrôles externes.
6 ème Division :
Recouvrement
Secrétariat
Bureau : 1. Recettes urbaines et
statistiques ;
2. Précompte ;
3. Apurements et attestations
fiscales.
7 ème Division : Contentieux
Secrétariat
Bureau : 1. Instruction des
Réclamation ;
2. Information des Contribuables.
8 ème Division :
Véhicules
Secrétariat
Bureau : 1. Immatriculation ;
2. Mutation ;
3. Archives et Déclaration Véhicules.
2.3. DIRECTIONS PROVINCIALES
- Directeur ;
- Secrétariat ;
- Inspection.
1ère Division : Ressources Humaines
et Services Généraux
Secrétariat
Bureau : 1. Gestion du personnel et affaires
sociales ;
2. Services généraux.
2 ème Division : Informatique
Secrétariat
Bureau : 1. Suivi d'application ;
2. Maintenance.
3 ème Division : Taxation et
documentation
Secrétariat
Bureau : 1. Taxation ;
2. Documentation.
4 ème Division : Contrôle
fiscal
Secrétariat
Bureau : 1. Recherche ;
2. Coordination de contrôle ;
3. Brigades de contrôles Externe.
5 ème Division : Recouvrement
Secrétariat
Bureau : 1. Recette provinciales ;
2. Précompte ;
3. véhicules ;
4. Apurement et attestation Fiscales.
6 ème Division : Contentieux
Secrétariat
Bureau : 1. Instruction des
réclamations ;
2. Information des contribuables.
2.4. CENTRE DES IMPOTS
2.4.1. Centre des Impôts de type A
Secrétariat
1ère Bureau : Informatique
Cellule : 1. Suivi des applications ;
2. Maintenance.
2ème Bureau : Taxation
Documentation Recherche et Recoupement
Cellule : 1. Enregistrement et
codification ;
2. Identification et Gestion des
Répertoires ;
3. Gestion des dossiers et suivi des
Déclarations des Impôts spontanées ;
4. Gestion des quartiers
fiscaux :
- Recensement ;
- Recherche ;
- Recoupements et vulgarisations.
3 ème Bureau : Contrôle
Fiscal
Cellule : 1. Contrôle sur
pièces et programmation ;
2. Vérification ;
4 ème Bureau : Recouvrement
Secrétariat
Cellule : 1. Recette et
statistiques ;
2. Attestations fiscales et Apurement ;
3. Gestion du précompte.
2.4.2. Centre des Impôts de type B
Secrétariat
1ère Cellule : Informatique
2èmeCellule : Taxation,
Documentation, Recherche et Recoupements
Sous Cellule : 1. enregistrement et
codification ;
2. Identification et Gestion des
Répertoires ;
3. Gestion des dossiers et suivi des
déclaration des Impôts spontanées ;
4. Gestion des quartiers Fiscaux
(Recensement, Recherche, Recoupements et vulgarisation).
3 ème Cellule : Contrôle
Fiscal
Sous cellule : 1. Contrôle sur pièces et
programmation ;
2. Vérification ;
4 ème Cellule : Recouvrement.
Sous cellule : 1. Recette et statistiques ;
2. Attestations Fiscales et
Apurement ;
3. Gestion du précompte.


TABLE DES MATIERES
DEDICACE
................................................................................................I
AVANT-PROPOS
II
INTRODUCTION
1
CHAPITRE I. : DE LA DIRECTION GENERALE DES
CONTRIBUTIONS (D.G.C.) A LA DIRECTION GENERALE DES IMPOTS (D.G.I.).
5
1.1 Cadre juridique
5
1.2 Historique sur la D.G.I
6
1.3. Organigramme de la Direction
Générale des Impôts « D.G.I »
7
CHAPITRE II : FONCTIONNEMENT DES SERVICES DE
LA DGI
8
2.1 Les Services Administratifs :
8
2.2 Les Services Fiscaux :
8
2.2.1 Impôts enrôlés
8
LE FLUX DES INFORMATIONS : IMPOTS ENROLES
10
DESCRIPTION DES TACHES POUR LES IMPOTS ENROLES
13
2.2.2 Les impôts spontanés
14
LE FLUX DES INFORMATIONS DE DROITS SPONTANES
16
DESCRIPTION DES TACHES POUR LES IMPOTS
SPONTANES
19
CHAPITRE III : LES OBLIGATIONS FISCALES ET LES
DIFFERENTES DECLARATIONS
21
3.1 Les obligations fiscales
21
3.2 Les documents utilisés dans le cadre du
travail
21
3.2.1 Les différentes déclarations
fiscales
22
3.2.2 Contenus des Déclarations :
23
3.2.3. DESCRIPTION DES DOCUMENTS
24
2.2. : RELEVE DE LA RETENUE SUR LES LOYERS
26
DEUXIEME PARTIE : LA MISE EN PLACE D'UNE
PLATE-FORME D'ECHANGE DES DONNEES INFORMATIQUES
30
CHAPITRE IV : PRESENTATION DE LA DIRECTION
PROVINCIALE DES IMPOTS DU BAS-CONGO ( D.P.I/BC)
32
4.1. ORGANIGRAMME DE LA DIRECTION PROVINCIALE
DU BAS-CONGO
33
4.2 LE SYSTEME INFORMATIQUE DE LA D.P.I /BC
34
4.2.1. Bref historique
34
4.1.2. Les existants informatiques
35
CHAPITRE V : CONCEPTION DE LA DECLARATION
ELECTRONIQUE AUX IMPOTS
37
5.1. PROCEDURE DE « TELE
DECLARATION » (Echange de formulaire
informatisé)
38
5.2. PROCEDURE DE SECURITE
38
5.3. LE PRE-REQUIS DU SYSTEME TELE DECLARATIF
39
5.4. MODALITES DE SOUSCRIPTION A LA TELE
DECLARATION
39
5.5 : CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES
40
5.5.1 : ENTITE - ASSOCIATION
40
5.5.2. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES BRUTES
42
5.5.3. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES VALIDES
45
5.5.4. BASES DE DONNEES RELATIONNELLES
46
5.5.4.1. PASSAGE DU MCD AU MLD
46
5.5.4.2. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
RELATIONNELLES
(MLDR)...................................................................................................
49
5.5.5. IMPLEMENTATION DU MODELE LOGIQUE
51
5.5.6. CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
INFORMATISE
54
5.5.6.1. Modèle conceptuel de traitement
(MCT) :
54
5.5.6.2. Modèle organisationnel de
traitement :
56
5.5.6.3. Modèle logique de
traitement :
57
5.5.6.4. Présentation du
Modèle logique de traitement
57
5.5.7. UN SITE POUR LA D.P.I/BC
59
5.5.8. FORMULAIRE DECLARATIF
« DECLARATION ELECTRONIQUE »
61
5.5.9. ALGORITHME DE LA DECLARATION
77
5.5.10. ORDINOGRAMME DE LA DECLARATION
77
5.5.11. PROGRAMMATION DE LA DECLARATION
79
CONCLUSION
81
BIBLIOGRAPHIE
84
Annexes
85
TABLE DES MATIERES
92

* 1 L'Office québécois de la
langue française [2005] l'écrit en un seul mot :
« plateforme ». Toutefois, le mot
« plate-forme » est accepté comme une variante
graphique. De plus, les termes « plateforme » et
« environnement » sont souvent utilisés pour
définir la même chose.
* 2
http://fr.wikipedia.org/wiki/plate-forme.
* 3 Dans le souci d'avoir un
seul centre d'attribution du numéro d'impôt, la Direction
Générale des Impôts a opté pour la technologie sans
fil (Réseau WI-FI) dont le serveur se trouve à Kinshasa et la
base de données est unique pour tout le pays.
* 4 Le Certificat
numérique n'est autre qu'un fichier électronique comparable
à un passeport dématérialisé, contenant un certain
nombre de données personnelles sur son détenteur.
* 5 C.GRUAU, Conception d'une
base de données,
Cyril.Gruau@ensmp.fr,corrigé
du 13 juillet 2006
* 6 GABAY,J., Apprendre et
pratiquer Merise,Paris, Masson, 1989.
* 7
http://www.ccim.be/ccim328/html/site.html
* 8 G.v. Grigorieff, Les
collections informatiques, Nouvelles éditions Marabout, 2000 p2
* 9 Selon
Frédéric Ducharme, un nom de domaine est une composante de
l'adresse d'un site web.
* 10 in Microsoft
press : l'Essentiel Microsoft Access 2003, p157,novembre
2003,France.
* 11 P. KIKUNGA , cours
d'algorithme, G2 INFO/soir, ISC Matadi, 2008.
|