Contrôle de gestion: tableau de bord outil de performance et de pilotage( Télécharger le fichier original )par Imad Moutchou ESG Maroc - MBA audit et contrôle de gestion 2009 |
A- Le modèle pyramidal traditionnel :Ce vieux modèle propose trois niveaux inscrits dans une organisation hiérarchique traditionnelle. Niveau 1 : les décisions quelles qu'elles soient, prises par les décisions placés au sommet sont appelées grandes ou stratégiques. Niveau 2 : les décisions, quelles qu'elles soient, prises par les individus à la base, on les appelle petites opérationnelles. Niveau 3 : les autres décisions, qui ne sont prises ni à la base, ni au sommet on les qualifiés alors de moyenne, ou de tactique, voire, dans certains cas, de gestion6(*). (Les petites) ou bien les dites opérationnelles Les décisions dites stratégiques Sens de l'importance croissante (poids ; échéance ; standing des décideurs) Les décisions dites tactiques ou de gestion Source : J.L Lemoigne, les systèmes de décision dans les organisations, 1974, p63 Le modèle des trois niveaux La plupart des auteurs (I. Ansoff, J. Mèlèse) partent de deux niveaux simples a définir : les deux extrêmes, aisés a percevoir globalement : Ø Le niveau des décisions de planification stratégique ou sont sélectionnée les objectifs formels, définies les politique et arrêtés les enveloppes des ressources a mettre en oeuvre. Ø Le niveau des décisions d'exploitation ou des opérations par lesquelles on mène effectivement et efficacement a bien des taches spécifiquement prédéfinies. Il leur reste alors à définir le niveau intermédiaire comme étant celui des décisions qui n'appartiennent pas aux deux catégories précédentes. Ce niveau intermédiaire, c'est celui dans lequel peuvent être rangées la plupart des décisions prises par la plupart des cadres dans la plupart des organisations7(*). II- Classification par méthodeLes classifications par méthode, même si elles c'avèrent commodes par leur adéquation aux images familières de l'organisation, elles ne sont pas si importantes. On distingue alors entre : Ø Décisions programmées : formule a priori l'ensemble des prescription ou stratégies qui définiront la séquence des réponses du système considérée à un environnement plus ou moins complexe : les décisions répétitive, de routine, pour lesquelles on dispose d'une procédure définie. Ø Décisions non programmées ; les décisions nouvelles non structurées, dépendantes de la circonstance qui les nécessite8(*). La décision est alors u coeur du management des organisations. Or, l'efficacité d'un système interactif d décision dépend de plusieurs conditions : Ø Volume de la banque de données : le champs de la banque de données à laquelle le décideur doit avoir accès, doit être d'une taille suffisante pour le justifier tant économiquement que pratiquement. Ø Volume des calculs possibles : un système interactif pourra améliorer sensiblement un processus de décision si le nombre de traitement différents que le décideur doit demander est important/
* 6 - J.L.LEMOIGNE, 1974, p63-64. * 7 - L.J.Lemoigne, 1974, p 64-65. * 8 - L.J.Lemoigne, 1974, p 67-69. |
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