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Étude d'une solution d'un réseau
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5111TOBIOR APHIT
4 Ma naissance et ma famille
Je suis DINGAMADJI Michael, né le 25/12/1990
à BEDJONDO au Tchad dans une famille chrétienne. Mon père
s'appelle ALLARASSEM GUIDIMBAYE Benjamin, technicien agronome à l'ONDR
(Office National pour le Développement Rural) et ma mère
NARHODJIM Odile, ménagère. J'ai une grande soeur, NENODJI
Grâce et un petit frère, LOUBADOUM Sosthène. J'ai une soeur
consanguine du nom REMADJI Éliane.
À l'âge où j'ai commencé
à parler, j'ai eu vraiment la peine à prononcer des mots.
J'articulais mal les mots, je les prononçais en hésitant et en
répétant la même syllabe avant de prononcer celle qui suit.
Ma mère a cru que je le faisais par exprès. Et pour cette raison,
j'ai été traité de manière sévère
pour bien articuler les mots. C'est plus tard qu'elle s'est rendu compte que je
souffre d'une anomalie naturelle «Le bégaiement».
C'était très difficile au départ, mais avec un peu de
chance et aux fruits d'un grand effort fourni, j'essaie de voiler cette
anomalie.
4 Au cours primaire
En 1995, j'ai été inscrit à
l'école primaire de BORO (une des villes économiques du Tchad) en
classe de CPI. Un an après, c'est-à-dire en 1996, mon père
a été affecté à KIABÉ dans le cadre de son
travail. J'ai donc eu à faire mes cours primaires deuxième
année (CP II) à KIABÉ une ville à l'extrême
Sud du Tchad.
En 1999, mon père fut affecté une
nouvelle fois à ELIBONGO. Et vu la qualité de la formation
scolaire dans ce milieu pendant ce temps, il a jugé utile que ma grande
soeur NENODJI Grâce et moi, venions continuer les études à
SARH (une des villes économiques du Tchad). Nous sommes donc
restés avec notre tante qui s'appelle ANATOU NGARYO dont NGARYO MBAILAOU
est le mari. Nous étions inscrits dans une école appelée
« École annexe », d'où j'ai fait les cours
élémentaires première année (CEI) et
deuxième année (CEII).
En 2001, mon père a été encore
affecté, mais cette fois si à DANAMADJI à 52 Km de Sarh.
On a rejoint donc nos parents en 2001. J'ai été inscrit à
l'école de DANAMADJI, et c'est dans cet établissement que j'ai
fait les cours moyens première année (CMI) et
décroché mon Certificat d'Étude Primaire
Élémentaire au Tchad (CEPET) au CMII en 2003.
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4 Au Lycée :
Dans la même ville, j'ai fait le lycée
de DANAMADJI, de 2004 à 2006 c'est-à-dire de la
hème en 4ème
En 2007, mon père a été
affecté à BEDJONDO. C'est là où j'ai réussi
à avoir mon Brevet d'Étude du Premier Cycle Tchadien (BEPCT) au
lycée de BEDJONDO. Dans le même lycée, j'ai fait la classe
de seconde unifiée. Et de là, j'ai été
orienté en classe de première scientifique (lè'
S). Terminé avec succès la classe de première Scientifique
en 2009, j'ai choisi continué en Terminal D. Conscient de mon avenir,
j'ai décidé volontairement de proposer à mon père
si je pouvais revenir à Sarh pour continuer mes études, car la
qualité de la formation dans cette région est appréciable.
C'est dans ce sens que malgré ses responsabilités, il a
décidé de me faire revenir à Sarh en 2010 dans un
lycée privé nommé « Lycée Collège
Humanité » (LCH).
Toujours hébergé par ma tante ANATOU
NGARYO, j'ai préparé mon Baccalauréat avec coeur et plein
d'espoir, Dieu merci j'ai eu a décroché le Baccalauréat en
cette même année (2010). Notons que durant tous mes parcours
scolaires, mon père ne cesse de me soutenir dans tous les sens
possibles, car je pense qu'il a espoir et confiance en moi. Donc je ne me
permets pas de le décevoir.
Personnellement, j'aime les études et donc
partout dans les classes où je fus admis, je fus le meilleur de ma
promotion ce qui confirmèrent si bien mes relevés de
notes.
4 Responsabilité à
l'église
À BEDJONDO (une sous-région du Tchad),
dans les années 2007 à 2009, les responsables de mon
église (l'église Assemblée Chrétienne du Tchad
(ACT) de BEDJONDO) m'ont confié une responsabilité. J'ai
été nommé le responsable de la jeunesse de cette
église. J'organisais les différentes activités qui se
passaient et je jouais l'intermédiaire entre la jeunesse et les
responsables de cette église. En 2010, j'assumais les mêmes
fonctions à l'église baptiste francophone de Sarh.
4 Mes études supérieures à
N'Djaména et expériences associées
Après le Bac, il m'a été
conseillé de faire la médecine. Mais assoiffé par les
nouvelles technologies, j'ai décidé de faire la
Télécommunication et Réseau. C'était dans ce sens
que j'ai été inscrit en première année de
Télécoms et Réseaux à l'Institut Supérieur
Polytechnique la « Francophonie » (ISPF) de N'Djamena au cours de
l'année académique 2010-2011. Je profite de
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cette occasion pour remercier ma tante NAHOGOUM
Djideti pour tes précieux conseils dans ce choix.
Je me souviens d'un oncle qui disait : « si tu
as choisi de faire la télécommunication, ce n'est pas du hasard,
car tu aimes trop bricoler les équipements électroniques et
j'espère que tu feras de grandes choses à l'avenir. Du courage !
»
Dans la maison, particulièrement
ma
grand-mère m'avait surnommé «
MAKANACIEN » qui veut dire mécanicien en bon français. Le
fait est que tout équipement électronique qui tombe en panne,
j'essayais de le réparer, et pour la plupart, je réussissais
à les rétablir. Ce qui m'excitait et me passionnait J'aimerais
que ma grand-mère soit encore là, mais hélas ! dit-on que
"la chose que tu aimes tant, Dieu aime lui aussi" alors paix à
son âme.
À N'Djamena (capitale du Tchad) je fus
hébergé par ma tante NAHOGUIM DJIDETI, DJIDETI Paul est donc son
mari. Comme ils faisaient l'Assemblée Chrétienne du Tchad la
Bonne Nouvelle (ACT/BN), j'ai aussi intégré cette église
avec eux.
En cette même année, j'étais
animateur du Centre de Culture Évangélique(CCE).
Peu de temps, après ma formation en
sonorisation, je fus technicien en sonorisation de cette église et
électricien pendant les fêtes de Noël et pendant les
cérémonies occasionnelles. Chose que j'ai faite jusqu'en
février 2014 avant de prendre la destination pour Bénin et plus
particulièrement Cotonou.
Dans ce centre, nous organisions la réunion
chaque samedi en vue de revoir, de proposer, de discuter des points de vue et
de trouver une solution pour la bonne marche de ce centre. Nous organisions
aussi les soirées de découverte des talents chaque lundi de 15h
à 17h30min. Ces soirées étaient meublées des
activités suivantes :
o Concert de louange par deux ou trois chorales cibles
;
o Les théâtres ;
o Les sketches ;
o Les récits ;
o Les poèmes ;
o L'exposé débat (surtout les
thèmes d'actualités) ;
o La projection de film ;
o Etc.
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Nous avons été formés en
leadership et dans cette optique, nous étions chargés d'organiser
un camp à chaque congé de pâque nommé « Camp
Shalom ». Tous les travaux organisés pendant ce Camp sont à
la charge des animateurs dont je faisais partie.
En ce qui me concerne comme tâche et métier
qui me furent attribués dans ce centre sont:
o L'organisation et l'animation d'une réunion
(à tour de rôle) ;
o La responsabilité du groupe
théâtrale;
o Le technicien en Sonorisation : pendant les
soirées de découverte, les sorties pour le camp, pour toutes les
demandes de sonorisation dans les quartiers et pour raisons
diverses.
o La maintenance en Informatique : pour tous les
équipements informatiques existants et pour tous nos clients. Disons
qu'on a un atelier pour la maintenance informatique. J'intervenais
également partout dans les entreprises où les besoins se
faisaient sentir (BAC, EPJ, EEMET, siège ACT, Primature ....) et
même dans les quartiers concernant les individus et les ateliers qui
eurent de problèmes particuliers ;
o L'électricien pendant les « Camps
Shalom ».
o Vu ma responsabilité dans ce centre, mon
niveau, et le centre en question, je me disais pourquoi ce centre n'a pas la
connexion internet. Pourquoi n'a-t-il pas un réseau informatique ? Et
pourtant il comptait presque une quarantaine de machines pour la formation
informatique et autres. J'avais commencé donc à mettre en place
des idées pour initier un projet de création d'un réseau
local informatique afin d'aboutir à l'intégration de la connexion
internet dans ce centre.
o Je regrette de ne pas pouvoir concrétiser
cette noble idée avant mon départ pour le Bénin pour des
raisons scolaires.
o Au cours de l'année c'est-à-dire juin
2011, j'ai ete initié à une notion de marketing pour un groupe
nommé « commando » par l'opérateur
téléphonique Airtel Tchad. J'ai passé une année
avec l'opérateur et en suite vue l'allure des cours à
l'école, j'étais obligé de quitter pour m'accrocher aux
études.
o De 2011 à 2013, j'ai eu à faire
plusieurs formations complémentaires en dehors de la formation
universitaire. Elles sont les suivantes :
o Formation en Informatique (Microsoft Word, Excel,
PowerPoint, Internet, et Environnement Windows2000/Xp/Vista/7),
etc.
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o Formation en « En Avant » (biblique) ;
o Formation en mise en place du Réseau sans fil LAN
(Local Area Network) et son administration ;
o Formation en Technique de Sonorisation niveau II ;
o Formation en Maintenance Informatique Niveau II.
o C'était justement en l'an 2013 que j'ai
décroché ma licence avec la mention très bien, et
j'étais majeur de ma promotion. Mon thème de soutenance
était donc la « Mise en place de la téléphonie IP via
VSAT au sein de l'Institut Supérieur Polytechnique la Francophonie
».
o Lors de la pratique, nous avions réussi à
mettre sur pied un réseau VOIP « Voice over Internet Protocol
», sanctionnant ainsi notre présentation par une moyenne de
17/20.
4 Mes études supérieures et ma
vie à Cotonou au Bénin
Après ma licence, je suis allé passer un petit
moment avec mes parents à Maro (une ville voisine de RCA : la
République centrafricaine). Après cela, j'ai jugé utile de
continuer mes études en master avec l'aide et le soutien de mon
père. C'était la raison de mon arrivée à Cotonou le
26 février 2014 avec mon inscription à l'Université CERCO
le 27 février 2014 pour la première année de Master en
Télécommunications et Réseaux.
En Mars 2014, j'ai adhéré le groupe UCTB (Union
des Chrétiens Tchadiens au Bénin) et UEESTB (Union des
Étudiants Élèves et Stagiaires Tchadiens au
Bénin).
Le 22 mars 2015, le nouveau bureau de l'UCTB a
été élu à l'église UEEB de Sikecodji pour le
mandat 2015. J'ai été nommé responsable de cette union
pour coordonner les activités de cette dernière pendant tout le
mandat.
Vers la fin de la première année de Master,
l'Institut CERCO a organisé le deuxième semestre à
l'étranger c'est-à-dire à Accra au Ghana, du 24 août
au 14 septembre 2014. Soit trois (03) semaines, dont j'ai eu l'honneur d'y
participer pour représenter mon groupe « groupe d'entreprenariat
».
Il y' avait au programme :
o Visites touristiques ;
o Semaine d'intégration ;
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o Soutenances des projets ;
o Réalisation des projets d'entreprenariat et
d'innovation sur place ;
o Différents modules de cours linguistiques avec
les enseignants spécialisés. Nous étions au total trois
pays à y participer à savoir :
o CERCO Bénin ;
o CERCO Burkina ;
o CERCO Côte d'Ivoire.
En dehors des intérêts scolaires, ce
voyage a été pour moi une occasion de me faire des amis
étrangers et de découvrir, connaître la ville d'Accra et
même visiter les parents qui y habitent.
Quand je devrai voyager pour Cotonou, le budget a
été réalisé et optimisé. Arrivée
à la destination, la réalité du terrain a changé
considérablement, mais il faudrait que je sois optimiste afin
d'atteindre l'objectif fixé. J'ai été accueilli par un
compatriote du nom de LAYA Exaucé. Il devrait libérer la chambre
et rentrer afm que je puisse occuper la chambre, mais la situation devenait de
plus en plus compliquée du jour au lendemain. C'est ainsi que j'ai
pensé anticiper le problème en cherchant une autre chambre
carrément. Il fut un vrai calvaire de chercher une chambre à
coucher à Cotonou. J'ai compté exactement une semaine avant de
trouver la chambre idéale c'est-à-dire une chambre qui est
probablement proche de l'Institut CERCO, qui ait une condition d'hygiène
acceptable, de l'eau potable, l'énergie électrique. Etc. Notons
qu'avec une semaine de recherche, j'ai visité au moins une quinzaine de
chambres. Chaque visite équivaut à au moins 2000 FCFA.
Sérieusement se fut mon premier désespoir, car ces
dépenses n'ont pas été prévues dans le
budget.
En Afrique centrale, on ne connaît pas le
système de loyer avec de caution. Je suis obligé de signer un
contrat de bail pour un an. En plus d'un an de loyer qui a été
payé, il est dans les règles des démarcheurs de leur payer
une valeur d'un mois de plus. Alors je n'ai pas échappé à
cette obligation.
Par la grâce de Dieu, j'eus eu ma propre
chambre. Mais à la fm du mois, j'ai encore eu d'autres problèmes
; les factures à payer : facture d'électricité, de l'eau,
de poubelle, de WC. Etc. Il n'eut m'été pas facile en toute
franchise. Premier mois, deuxième mois, troisième mois ... avec
ces factures qui devenaient une charge à part entière, dont les
parents, ignoraient son poids. J'avoue que chez moi au Tchad, ce n'est pas les
mêmes réalités. Il est dit dans notre dialecte «
Ngone aou mba ta oh ta mba » qui se traduit littéralement
par « si l'enfant voyage, il connaîtra la langue
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étrangère » ; la langue
étrangère ici est symbolisée par les expériences
qu'on peut acquérir hors de chez soi. Au final, je suis content de vivre
ces expériences dont je ne peux tout relater ici, car elles sont
devenues mes connaissances et mes expériences.
Bref, arriver au Bénin
précisément à Cotonou, un pays hospitalier, de paix et de
démocratie, ce n'était pas du gâteau.
Au milieu des études, il était question
d'effectuer un stage en entreprise. La lettre de recommandation a
été donnée par l'Institut CERCO, mais le grand
problème et le pire sont les décrochages de stages. Imaginons
rien qu'un stage académique non rémunéré en plus
aussi problématique de la sorte, combien de fois il serait difficile de
décrocher un travail ! J'ai une très bonne connaissance en
maintenance informatique et le système solaire, l'énergie
nouvelle et renouvelable. Je croyais que ça ferait l'affaire à
Cotonou, mais je me suis largement trompé. Toutes les portes que je
frappais étaient en béton. Si on cherche à savoir pourquoi
ce grouillement, c'est justement que je cherchais à ne pas être
tributaire de certaines choses. Dommage que ça n'a rien donné
comme fruit. Désolé.
Finalement c'est chose faite grâce à un
ami du nom Fanou Irsn, en ISI/CPI (Ingénierie de science d'information
et de conduite de projet informatique). On s'est connu réellement sur un
projet d'innovation à Accra, que j'ai décroché un stage
à Comtel Technologies. Une structure de prestation de service.
C'était dans cette société que je suis inspiré sur
le présent thème qui fait l'objet de la rédaction de ce
document.
Par ailleurs, on peut deviner sans doute en disant
que c'est parce qu'on est ses fils, qu'il nous aime, etc. C'est pourquoi il se
sacrifie pour la réussite de ses progénitures, mais en
réalité, lui seul connaît les raisons de ses sacrifices.
Que mon père Benjamin reçoit ici toutes mes gratitudes, car
j'avoue qu'il a joué un rôle de pionnier dans mes études.
La fois où il était mortellement accidenté, avec la perte
de l'usage de ses membres pendant quelques mois, j'étais
sérieusement inquiet à tel point que j'implorais constamment le
ciel de rendre prompt son rétablissement. C'est un coup vraiment
dur.
En parlant des expériences de voyage, au pays
j'ai beaucoup voyagé. Presque toutes les villes du Tchad ont
été visitées sauf les régions du Nord que je n'ai
pas eu la chance de visiter. De par le Tchad, le RCA, le Cameroun, le
Bénin, le Togo, le Ghana sont les pays que j'ai visités. Le
voyage se faisait soit par la voie terrestre, soit par la voie aérienne.
Au retour au pays, j'envisage passer par le Niger ou le Nigéria pour
compléter ma carte de voyage. Bientôt, la France sera
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ajoutée à la liste, car ma vision
stratégique est d'avoir un grade de docteur en science de l'information
et de la communication en France et principalement à Paris 8. D'autres
croiront que c'est un rêve, mais par la grâce de Dieu, se sera une
réalité. Comme disait un homme de Dieu, « la foi est une
arme très efficace que l'on ignore ».
En outre, sous le haut patronage de son excellence,
Dr Boni Yayi, Président de la République, Chef de l'État,
Chef du Gouvernement, par l'intermédiaire de Monsieur Étienne
Kossi, le ministre de la Communication et des Technologies de l'Information et
de la Communication (CTIC) j'ai eu l'honneur d'être invité
à prendre part à la cérémonie de lancement officiel
de mise en service de la station d'atterrissement du deuxième
câble sous-marin en République du Bénin (câble
sous-marin ACE : Africa Coast to Europe).
La cérémonie avait commencé
à 7h30 pour finir à 14h45. L'ouverture a été faite
par le discours de l'administrateur de Gie de câble ACE, en suite
l'intervention de Mme la représente de la banque mondiale qui faisait
suite au discours de Monsieur le Ministre de la Communication et des
Technologies de l'Information et de la Communication. Enfm le lancement
officiel de la mise en service du câble ACE proprement dit par le
président Boni Yayi. Après la cérémonie, une visite
a été organisée pour découvrir la station du
câble sous-marin ACE.