III. 3. Administration du questionnaire
Pour administrer notre questionnaire, nous nous rendions dans
la commune retenue pour l'enquête.
Concernant la façon dont nous avons
procédé pour questionner les enquêtés, à
certains de ceux-ci, nous posions les questions en lingala et transcrivions
leurs réponses sur le protocole en français ; à d'autres,
nous remettions le questionnaire qu'ils remplissaient eux-mêmes en
français soit avec notre assistance, soit eux-mêmes.
III.4. Difficultés rencontrées
Bien qu'ayant obtenu l'aval du gérant de la COOPEC CEAC
de Matete pour effectuer notre enquête et portant une attestation de
recherche reçue des autorités académiques des
Facultés Catholiques des Kinshasa et une recommandation d'un
réseau de microfinance, nous avons été butée
à quelques cas de méfiance, voire de refus de dialogue de la part
des enquêtés.
Certaines personnes manifestaient une résistance pour
répondre à certaines questions qu'ils considéraient comme
confidentielles. Nous avions tout fait pour transcender ces méfiances,
résistance et refus.
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III.5. Dépouillement des données
Nous avons dépouillé les données de notre
enquête en utilisant l'analyse de contenu. Cette technique permet de
classifier les informations selon leurs contenus.
Pour faciliter l'interprétation des contenus des
réponses des enquêtés, nous avons quantifié ces
contenus en chiffres absolus, puis transformé ces derniers en
pourcentages.
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