In memoriam
AMONGELO ONANGA Berthe, notre
regrettée grand-mère maternelle,...Alors qu'on avait encore
besoin de toi dans la famille, mais hélas ! Tu as voulu te
séparer de nous pour traverser votre Jourdain, semblable à un
arbre coupé dont l'ombrage faisait encore du bien à des milliers
des personnes ; la mort est une évidence, mais mourir
brusque, ça devient un choc insupportable et inexpliqué.
ABOLALUETE MBWEMBEMBO Eugène, notre
professeur de politique monétaire et d'analyse des structures et
systèmes économiques, alors que vous m'aviez guidé sur le
choix de ce sujet et montré la bonne volonté d'assurer la
direction dudit travail, mais la surprise de l'au-delà a produit un
arrêt de continuité. Et avec un coeur rempli d'amertume, je vous
dédie le présent travail à titre posthume.
EPIGRAPHE
« Et l'athlète n'est pas couronné,
s'il n'a combattu suivant les règles. Il faut que le laboureur travaille
avant de recueillir les fruits ».
2 TIMOTHEE. 2 : 5 - 6 (La sainte bible,
traduction LOUIS SEGOND)
DEDICACE
A Jésus-Christ, mon Divin Sauveur et
Seigneur ;
A BARUTTI KASONGO Léonard, mon Pasteur ;
A Albert MUSAKA FUIN'ABI mon Papa;
A Yvette NDONGO OLANDZO ma Maman;
A Olive NDONGO MATSHI ma tente maternelle;
A Alain EBOMA NDONGO mon grand frère;
A Devinci MUSAKA BIKON'SER mon petit frère;
A celle qui passera le reste de sa vie avec moi ;
A toi la Reine dans l'ombre, Roselyne EBOMA ITOMBO LOKULI ma
belle soeur, votre médiation auprès de votre mari, votre
hospitalité et votre sympathie à ma faveur, le rôle
joué de facilitatrice à des moments parfois que je ne pouvais
penser à mon égard, me pousse à te dire un grand merci,
vous êtes plus qu'une belle soeur, c'est-à-dire une yaya (grande
soeur), que le seigneur vous garde plus longtemps......
L'auteur
Remerciements
Ce travail a été effectué dans le cadre
d'un mémoire au sein de la Faculté des Sciences Economiques et de
Gestion pour l'obtention du diplôme de Licence en Sciences Economiques,
spécialité Economie Monétaire.
Ces remerciements s'adressent tout d'abord à tous les
enseignants de la faculté des Sciences Economiques et de Gestion de
l'université de Kinshasa.
La rédaction de cette étude à
été dirigée par la Professeure Marie-Brigitte NKOO
MABANTULA, elle nous a inspirée et orientée dans ce
domaine. Son dévouement, son soucie de former les jeunes, sa rigueur, sa
disponibilité, sa patience ont été l'objet de notre
admiration pendant toute la durée de nos études de licences.
Nous saurions combien remercier le Chef des Travaux
Paul LUWANSANGU, conseillé du Vice Primature et
ministère du budget qui, en dépit de ses préoccupations
multiples, a bien accepté d'être le second directeur de ce
mémoire. Ses remarques et conseils nous amenèrent parfois
à revoir notre position. Il nous a inspiré, orienté et a
donné à cette investigation le présent visage ; il a
suivi et dirigé nos premiers pas parfois tâtonnants dans ce
domaine.
Au cours de nos recherches, nous avions
bénéficié de l'aide d'un bon nombre des personnes.
Nous remercions l'assistant Alain MALATA
KAFUNDU, responsable des services de monnaie et crédit à
la Banque Centrale du Congo, d'avoir mis à notre disposition toute la
documentation relative à notre travail, d'avoir accepté de
répondre à certaines de nos questions.
Nos remerciements vont également à Alain
EBOMA NDONGO, expert comptable et avocat près la cour, pour ses
multiples conseils et encouragements.
Nous pouvons avouer qu'un travail de ce genre ne peut
être la tâche d'une seule personne, il est le fruit des efforts des
biens d'autres personnes avec la collaboration desquelles on est arrivé
à confectionner ces quelques pages. Au terme de ce cycle de licence, nos
remerciements s'adressent aussi à nos parents : Françoise
NDONGO ONANGA, Hortence NDONGO APUWA, Marie AGNES YANAMA NKIESINA, Pascaline
NDONGO NKOLO, Olive NDONGO MATSHI et à Maman Yvonne MISANGA.
Nos remerciements s'adressent encore de manière
profonde aux frères, soeurs, cousins et connaissances qui, de loin ou
de près, nous ont été d'un grand soutien à l'instar
de Abdoul William MUSAKA, Aimé BITI, Aimé Monie NZIALIKOMBE,
Alexis NZIALIKOMBE, Becky MANDEMBO, Bénédicte MIANDA,
Cédric MBOYO, Deborah BOTULU, Esther Olive EBOMA, FabiolaNIAMBELA,
Fidèle BOTULU et sa chère épouse Sylvie NGALULA, Florence
MUSAKA, Glodie AMBWA,Hermelyne NYOMPETE, J.B. MUSAKA et sa chère
épouse Philomène KIMUESA, Jadot MUPARI, James BABA, Jeancy
ENGANGAMBA, Joël MANDEMBO, Joël MOLULU, Jolie LOFONDO, Judith MUSAKA
KINDAN', Julliot MONGELO, Juvinci KAZADI, Kennedy INGALA, Nelly LOKULI, Nick
MIKADO, Ordi MIKADO, Père Zoé MUSAKA, Pierrot MUYEMBA, Roselyne
MUSAKA LOKULI, Sarah IBIO, Schadrac BAITOAPALA, Soeur Nicole NZIKI, Yvette LELE
et tous ceux qui me connaissent retrouvent nos sincères remerciements,
la reconnaissance exprimant la grandeur d'âme.
Pour leur assistance dans la recherche documentaire et, parce
qu'ils ont toujours partager beaucoup d'intérêt à discuter
avec moi sur ce travail, je remercie tous mes compagnons de lutte et amis, et
plus particulièrement : Blaise MAKUMBA, Blanchard NGENGA, Bienvenu
MUAKA, Boris NZELA, Christelle BAMBI, Christelle KANGILA, Christian TAMBWE,
Christian TSHIMANGA, Dieu Merci SAMBI, Hugues BAYIFUTA, Huguette ALOKA, Johnson
TESE et sa fiancée Nancy FERUZI, Loguas LOWENGA, Michael SAMBA, Nahomie
MAHOKA, Paul BOODJI, Placide LOKOTE, Platini NGWE, Rachel TSHILANDA, Sylvain
DIEKUPUNA, Toussaint DWEME, Steeve NAVAL, Yorlie TUFUANISA et Yves MBUTA.
Qu'il me soit permis d'exprimer ma sincère gratitude
à l'honorable Diacre MIKADO, Honorable Diacre Richard NGOY, notre
maître de première année primaire Mr N'KWENGO, notre madame
de troisième année primaire Maman Vivianne NGUDI NGYAMBA, notre
professeur de français en quatrième année des
humanités scientifiques Rodin MUKUNDA, Freddy MAYONI, Jacques MUKUNA,
Papy BODIS, Ghislain MASIKINI, Wesley PULU et sa chère épouse
Lycie Gombo, Jérémie NZABA, Papy KAYAYA, Jonas MOLULU et sa
chère épouse Rebecca KANIMBA.
Que tous ceux dont l'aide nous a été
précieuse pour la réalisation de ce mémoire, mais dont les
noms n'ont pas pu être cités ici, ne se sentent pas
lésés, ni oubliés, au contraire qu'ils trouvent à
travers ce paragraphe l'expression de nos vifs et très chers
remerciements pour leurs services rendus qui nous ont été
indispensables, car dit-on le silence est plus éloquent que le
verbe.
Hugues Salomon MUSAKA BABABO
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