Le réchauffement climatique, mécanisme et conséquences sur les écosystèmes (biotope et biocénose).

USTHB

SCIENCE DE LA TERRE ET L'UNIVERS

GAT

Exposé sur :

Le Réchauffement climatique, mécanisme et conséquences sur les

écosystèmes

(Biotope et biocénose).

Présenté par :

- CHLIGHEM Moncef / B / 01

- HADDID Adel / B / 01

- YAGOUBI Tarek Ismail / B / 01

? PLAN :

1. Introduction : 1

2. Causes du réchauffement climatique : 2

4. Causes naturelles : . 2

2..1. Eruptions volcaniques : 2

4. Causes humaines : 2

2..1. Gaz a effet de serre : 2

4. H2O : 2

2..1..1. Rétroaction due a l'eau : 3

4. CO2 : 3

4. CH4 : .3

4. NO2 : .3

4. CFC's : .4

4. O3 : .4

4. SF6 : 4

3. Conséquences : ..4

4. Biodiversité : 4

4. Catastrophe : 5

4. Glacier et niveau d'eau : 5

4. L'eau douce : . 5

4. Le pergélisol : 5

4. Courants marins : 5

4. Santé de l'homme : 5

4. Solutions : 5

4..1. Conférence des parties COP : 6

4..2. Protocol de Kyoto : 6

4..3. COP21, Decembre2015 : 6

4..4. Taxes : 6

4..5. Engagements volontaires : 6

5. Engagement de l'Algérie : 7

6. Conclusion : 8

7. Bibliographie : 9

1. INTRODUCTION :

D'innombrables problèmes se posent à l'humanité : famine, rareté de l'eau potable, sida, paludisme, chômage, trafic de drogue, violences, et bien d'autres. Si graves qu'ils soient, tous ont en commun de ne concerner qu'une partie du genre humain, même s'il s'agit parfois de centaines de millions d'individus.

En revanche, l'éventualité d'un réchauffement planétaire, dû ou non aux activités humaines,

affecte la totalité de la vie sur Terre, hommes, animaux et végétaux confondus dans une même épreuve, Le monde de demain sera le reflet des choix d'aujourd'hui.

Ces mots relèvent un sens particulièrement concret lorsque l'on aborde la question des choix de société que pose le réchauffement planétaire.

Mais avant d'aborder le vif du sujet nous voudrions d'abord vous proposer un rappel sur l'apparition de la notion du réchauffement climatique, Climat viens du grec : (÷?1pá) signifie inclinaison du ciel, il désigne les conditions météorologiques moyennes d'une région donnée pendant une longue période. L'accroissement de la température moyenne ne pouvait venir que du rayonnement du soleil à lui seul alors le chercheur JOSEPH FOURIER a commencé ses recherche et c'est la en 1827 que le terme de gazes à effet de serre est apparu. Décrivant les gaz ayant la possibilité d'absorber puis de renvoyer les rayons infrarouge émis par le sol terrestre.

Le Climat ne se maitrise pas du jour au lendemain. Pour obtenir quelque résultats, de long efforts seront nécessaires et ce bien au-delà de la période couverte par les conventions internationales actuelles.

2. Causes du réchauffement climatique :

Les chercheurs autour du monde se sont mis d'accord que le changement climatique « réchauffement » Est réel est que ses causes sont liées au gaz à effet de serre comme le CO2, C114, NO2 et 112O qui enferment la chaleur à l'intérieur de l'atmosphère, en cas normal ils régulent la température de la planète permettant la vie sur terre : ils travaillent comme une couette qui régule la température et plus large la couette est plus température augmente.

Donc, plus la quantité de ces gaz augmente plus la température de la planète augmente.

Depuis la création de la terre le climat a été affecté par plusieurs facteurs que ça soit naturels ou humains,

due à cela la terre a enduré plusieurs ères différentes de l'âge glacial à l'âge modéré et d'autres ères assez chaudes.

2.1. CAUSES NATURELLES :

2.1.1. ERRUPTIONS VOLCANIQUES :

Des événements naturels tel que l'éruption volcanique peut affecter le climat, ils éjectent des quantités énormes de poussière et de gaz dans la partie supérieur de l'atmosphère de large quantités de dioxyde de carbone et dioxyde de soufre y sont inclûtes. Qui, en réaction photochimique causé par le rayonnement UV du soleil sont transformées en acide sulfurique et des particules de sulfates.

Ils restent dans la stratosphère « partie supérieur à 10km dans l'atmosphère » pendant plusieurs années avant de retomber dans les parties inférieures de l'atmosphère sous forme de pluies acétique. Pendant que les particules sont encore dans la stratosphère, eIles sont dispersées partout autour du globe renvoyant les rayons du soleil refroidissant les parties inférieurs de l'atmosphère.

En 1991 le mont Pinatubo en philippine a émis plus de 20 millions de tonnes de dioxyde de sulfure avec des quantités énormes de poussière causant la réduction du rayonnement solaire de 2%.

2.2. Causes humaines (ANTHROPIQUES) :

2.2.1. Gaz a effet de serre :

Les Gaz à effet de serre sont accusés d'être responsable du réchauffement climatique en cours depuis le milieu du XIX siècle, le CO2 rejeté dans l'atmosphère par la consommation des combustibles fossiles, est le principal accusé. Parmi les contributeurs à l'effet de serre, l'eau qui n'existe pas seulement sous forme gazeuse dans l'atmosphère mais sous forme condensée dans les nuages est souvent oubliée, il est vrai que son statut est particulier en raison de sa présence atmosphérique sous les trois états, gazeux, liquide et solide. Ce polymorphisme peut faire oublier qu'en état gazeux c'est un gaz à effet de serre.

2.2.1.1. L'EAU H2O :

Sous la forme vapeur « gaz » c'est le plus important gaz à effet de serre tant par sa contribution majeure que par sa présence quantitative. La concertation moyenne de l'eau atmosphérique est de 2500 ppm « partie par million », le sol terrestre ayant une certaine température, émet un rayonnement infrarouge vers l'espace. Une partie de ce rayonnement est intercepté et absorbé par les molécules d'eau contenues dans l'air, sous forme de vapeur le rayonnement absorbé est ensuite réémis dans toutes les directions et statistiquement, la moitié du rayonnement absorbé par les molécules d'eau est retournée vers le sol .Dans le cas des rayons émis par le soleil, l'eau dans ce cas-là et les gaz à effet de serre absorbent les rayonnements infrarouge, ainsi la chaleur est bloquée dans l'atmosphère et ne peux pas se libérer vers l'espace.

De grandes quantités de vapeur d'eau sont créées par les activités humaines telles que la création de l'énergie et la combustion.

2.2.1.1.1. Rétroaction due a L'eau :

La rétroaction positive liée à l'augmentation de la vapeur d'eau dans l'atmosphère en conséquence d'une augmentation de température est le principal facteur d'amplification retenu par les molécules.

L'eau qui est souvent oubliée lorsque l'on mentionne les contributeurs primaires à l'effet de serre terrestre se voit ainsi reconnaitre un rôle majeur. Bien qu'indirect, l'importance donnée à la rétroaction positive de l'eau est en effet toujours très supérieure à l'incidence direct du CO2.

2.2.1.2. Dioxyde de carbone (CO2) :

C'est le principale accusé et le seul dont les médias nous répètent les méfaits, le GIEC nous dit que la concentration du CO2 dans l'atmosphère croit rapidement, elle n'a jamais été aussi élevé depuis 800 000 ans et qu'elle va continuer à croitre dans les prochaines années si rien n'est fait pour le limiter.

Tout cela résulte du traitement et de l'usage des combustibles fossilisés tel que le pétrole, le charbon et le gaz naturel pour générer l'énergie. Ces derniers ont un très grand impact sur l'atmosphère plus que n'importe quelle autre activité humaine.

Globalement, la production d'énergie est responsable pour l'émission de 23 billion de tonnes de CO2 par an donc plus de 700 tonnes par seconde.

Le charbon est extrêmement plus endommageant pour l'atmosphère relâchant 70% plus de CO2 que la normale pour chaque unité d'énergie produite.

Et pour les forêts qui sont censés diminuer les dégâts de la pollution « l'émission du CO2 », sont en train de se faire détruire ou endommager à un rythme alarment.

2.2.1.3. Le Méthane CH4 :

La concentration atmosphérique moyenne du méthane est aujourd'hui inferieur a 2ppmv, cette concentration a connu au XX siècle une forte augmentation. Elle est actuellement 2.5 plus importante qu'elle ne l'était-il y'a 200 ans ! Mais elle est stationnaire depuis deux décennies.

L'une des sources permanente d'émission de méthane dans l'atmosphère est la fermentation microbienne de matière organique en absence d'oxygène, ce qui se produit dans les marais et les marécages, surtout dans les décharges mais cette fermentation se produit aussi dans le system digestif des bovins ;(les vaches pètent du méthane.....) Il peut être émis par l'exploitation minière du charbon et du pétrole ainsi que par les fuites dans l'exploitation et la distribution du gaz naturel.

Bien que la présence quantitative du méthane dans l'atmosphère soit faible. Elle ne peut être ignorée car le méthane est un gaz à effet de serre beaucoup plus efficace que le CO2 (20X)

Heureusement pour nous, le Méthane ne dure pas avant de se transformer en CO2.

2.2.1.4. L'oxyde d'azote N2O :

Sa concentration est de l'ordre de 300 ppbv, il provient de la dégradation de la matière organique azotée dans les sols ou les océans comme il peut résulter de la transformation des engrais minéraux ainsi que les fumiers.

Sa faible concentration ne devrait pas conduire à les négliger car une molécule d'oxyde d'azote est 300 fois plus efficace en effet de serre qu'une molécule de CO2.

2.2.1.5. Les chlorofluorocarbure plus connus sous le nom de CFCs :

Ininflammables et intoxique qui a conduit à leur emploi dans différents matériaux tels que dans les climatiseurs réfrigérateur, bombe aérosols et mousse d'isolation thermique, en 1987 ils ont été accusés de détruire la couche stratosphérique de l'ozone qui a conduit à l'interdiction de leur utilisation.

Ils ont été remplacé par les HFC (Hydrofluorocarbures) qui ne contenant pas le chlore mais qui ont une efficacité en terme d'effet de serre 5000 à 10000 fois plus efficace que le CO2.

Heureusement leur concentration dans l'atmosphère est inférieure à 1 ppbv.

2.2.1.6. L'ozone O3 :

Se concentre dans la stratosphère et dans la basse Atmosphère. L'ozone stratosphérique nous protège du rayonnement solaire UV alors que l'ozone troposphérique est un indicateur de pollution. Sa concertation varie de son altitude qui est entre 25 à 45 km d'altitude. Le rayonnement ultraviolet transforme l'O2 en O3 et sa concentration est de l'ordre 3ppmv.

La cause d'apparition d'ozone troposphérique est essentiellement due aux véhicules automobiles : la réaction entre l'oxyde d'azote formé dans les moteurs et le composé organique imbrulé dans le moteur conduit à la création de l'ozone.

2.2.1.7. L'hexafluorure de soufre (SF6) :

Utilisé dans la fabrication d'appareillage électronique haute tension. Son utilisation est très réduit ce qui rend sa concentration dans l'atmosphère assez négligeable mais son efficacité en terme d'effet de serre est redoutable (20 000 fois plus efficace que le CO2), et sa durée de vie est très longue c'est pourquoi il figure dans le Protocol de Kyoto.

3. Conséquences :

Il s'en va sans dire que la température moyenne augmente, au même moment les océans absorbent le CO2 et deviennent plus acides et moins accommodé pour accueillir de la vie maritime. Des tempêtes extrêmes et aléatoires, les vagues de températures sont plus fréquente, des températures record jamais atteintes au pare-avant suivi de chute de températures et pluies intances, le changement climatique risque également de modifier, voire de dérégler, les écosystèmes, ce qui rendrait encore plus difficile le contrôle des maladies infectieuses, car le changement climatique permet aux maladies de se propager, et même d'apparaître, dans les zones de faible prévalence ou non atteintes auparavant.

3.1. La biodiversité :

Les écosystèmes sont la base de toute vie minérale, végétale, animale et humaine, et ils sont essentiels à la survie de l'homme. La santé humaine est donc intimement liée aux écosystèmes. Sans eux, l'humanité ne peut survivre.

Le vivant est affecté par le changement climatique puisque des mouvements de milliers d'espèces sont enregistrés sur tous les continents. Ainsi, 39 espèces de papillons européens et nord-américains ont progressé jusqu'à 200 km vers le nord en 23 ans .Modification des cycles de vie, accroissement du risque d'extinction de certaines espèces vulnérables, déplacement des aires de répartition et réorganisation des interactions entre les espèces (fragmentation, compétition) en sont les principales conséquences.

Selon les biologistes, un réchauffement de 1°C se traduit par un déplacement vers le nord de 180 km (et de 150 m en altitude), en moyenne, des aires de répartition des espèces.

Comme on peut remarquer la baisse du nombre de pollinisateurs domestiques (abeilles) sauvage. Baisse de la quantité des massifs coraux causant la disparition de plusieurs espèces et de déserts marins.

3.2. Catastrophe :

Au cours des 10 dernières années, le nombre de catastrophes naturelles a triplé par rapport aux années 1960. Parallèlement, leur impact s'est aggravé en raison de l'augmentation de la concentration de la population dans les zones urbaines et du nombre de personnes vivant dans des zones à risque, de la topographie des lieux (par exemple les plaines, les côtes),

3.3. Glacier et niveau des eaux :

Les glaciers de montagne continuent leur régression généralisée et devraient avoir tous disparu d'ici 50 à 100 ans, ce qui entraînera des pénuries d'eau pour des millions de personnes qui en sont tributaires. Ce sera sans doute le cas en Asie dans la région Indu Kouch-Himalaya, où les glaciers fondent à une vitesse alarmante.

La fonte de la banquise arctique affectera la circulation thermohaline en introduisant de l'eau douce qui pourrait atténuer l'enfoncement des eaux salées et denses qui participent ensuite au réchauffement de l'hémisphère Nord.

3.4. L'eau douce :

La quantité d'eau douce a augmenté jusqu'à atteindre un niveau dévastateur à cause de la fonte des neiges de montages mais sans se reformer qui causera de la sécheresse dans plusieurs parties du globe

3.5. Le pergélisol :

Le pergélisol des régions polaires, subpolaires et montagneuses, un héritage issu de la dernière glaciation il y a 120 000 ans, devrait continuer de fondre, avec des glissements de terrain qui affecteront les infrastructures, les cours d'eau et les écosystèmes des zones humides.

Pendant ce temps le niveau des océans et des mères ne cesse d'augmenter certaines parties au littorale sont engloutis petit à petit.

3.6. Courants marins :

Le réchauffement global pourrait affaiblir le Gulf Stream, courant chaud qui adoucit en partie le climat de l'Europe occidentale entraînant pour le coup un refroidissement important sur l'Europe du Nord et la côte est des Etats-Unis de -5°C et cela affecte toutes les espèces maritimes se nourrissant de lui.

3.7. Santé humaine :

Le changement et la variabilité du climat nuisent à plusieurs des facteurs les plus cruciaux pour la santé : la propreté de l'air, la potabilité de l'eau, la suffisance alimentaire Le réchauffement du climat et 'accentuation de sa variabilité favorisent la transmission des maladies hydriques, à transmission vectorielle et d'origine alimentaire, toutes les conséquences retombent sur la santé de l'homme.

Le voyage d'espèces animales telle que les moustique cause le malaria. Le manque d'eau potable cause des pertes humaines à cause de la soif et du choléra.

4. Solutions :

Les scientifiques sont au courant que le réchauffement climatique est un fait et les médias n'y manquent pas de le rappeler à chaque fois au gens et essayer de les sensibiliser afin de réduire de son intensité climatique,

Ce qui a mené certains pays et chercheurs à se regrouper dans l'intention d'essayer de trouver des solutions convenables qui ne nuiraient pas l'évolution humaine et son économie.

4.1. Conférence des parties COP :

Crée en 1995, le COP se réunit tous les ans, les décisions qui y sont adoptées ponctuent les relations internationales non seulement dans le domaine du climat mais aussi dans celui de l'énergie et du développement.

Premier COP en 1995 tenue à Berlin a posé les bases des organismes nécessaires à la mise en oeuvre pratique de la convention.

4.2. Protocol de Kyoto :

Troisième COP tenue en Kyoto « Japon » en 1997 est la plus célèbre, elle est le véritable tournant de l'action international de la lutte contre le réchauffement climatique.

Les pays, ont conclu un accord de réduction d'émission de GES quantifiés de 5% pour les pays développés entre 2008 et 2012 par rapport à 1990.

Le protocole de Kyoto vise à la réduction de des émissions de CO2, CH4, N2O, HFC, PFC et de SF6.

4.3. Cop 21 paris, décembre 2015 :

· Sujets traités par l'accord :

- Atténuation (baisse des émissions de GES pour maintenir à 2°C) le réchauffement ; - Adaptation des sociétés aux dérèglements climatiques.

· Ambitions affichées par le pays organisateurs :

- trouver un accord équilibré qui tienne compte des besoins et capacités de chaque pays.

- mobiliser 100 milliard de dollar par ans par les pays développés à partir de 2020 pour parvenir à la réduction des changements climatiques .

4.4. Blue Petroleum BFS :

20 millions de barils de Blue Petroleum BFS par jour réduiraient de 20% les émissions de CO2 Cycle accéléré de conversion du CO2 en produits énergétiques.

Bio Fuels System a développé un procédé basé sur la capture et la conversion accélérée du CO2 en combustible, en utilisant des éléments comme l'énergie solaire, la photosynthèse et les champs.

électromagnétiques. Ce procédé de synthèse contrôlée nous permet d'obtenir un pétrole artificiel similaire au pétrole fossile, sans soufre, sans métaux lourds et réducteur de CO2 : en quelque sorte un pétrole propre.

Dans ce cas il est récupéré directement dans la cheminée d'industries polluantes et ne rejoindra plus l'atmosphère. Ainsi, 2.168 kg de CO2, principale cause de l'effet de serre sur la planète, sont utilisés pour chaque baril de Blue Petroleum BFS. De cette quantité, 938 kilos ne retourneront jamais dans l'atmosphère, même si le combustible est raffiné comme essence puis utilisé par un moteur.

4.5. Taxes :

Plusieurs taxes ont été mises par la TIPP pour limiter la production et la consommation du pétrole et de ses dérivés, dont les taxes sur le consommateur, sur la consommation « par litre d'essence par exemple », sur l'équipement « puissance du moteur (consommation /heure) », taxes sur le producteur.

4.6. Engagement volontaire :

Comme son nom l'indique, ceci est une initiative prise par certaines entreprises et pays tel que l'AERES qui est un regroupement de sociétés françaises voulant faire un changement concret en gardant leur capital et leur bénéfice.

5. Engagement de l'Algérie :

L'Algérie avait pris l'initiative de créer l'Agence nationale des changements climatiques depuis 2005, est reste déterminée à mettre en oeuvre une politique globale de lutte contre le changement climatique, classé comme "risque majeur" .

De ce fait, l'Algérie affirme Sa position à propos de ce problème et a rejoint plusieurs organisations visant à diminuer du degré du danger, car d'après des calculs faits par le PIB, l'Afrique est la plus touchée par le réchauffement climatique.

Elle est membre dans la BAD qui a un plan contre le réchauffement climatique qui consiste à financer ; un Développement résistant au changement climatique et développement à faible émission de carbone. Comme elle est aussi membre dans la COP et lui garde une grande estime.

De sa part, l'Algérie a commencé à exploiter les énergies vertes.

6. Conclusion :

«Un pour tous et tous pour un !» Cette devise si chère aux Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas est là pour nous rappeler que seuls nous ne pouvons rien réussir, mais qu'ensemble tout devient possible.

Nous sommes face au plus grand défi auquel l'humanité ait jamais été confrontée : le changement climatique. Si nous ne voulons pas connaître la triste destinée des dinosaures et des autres espèces animales disparues lors des cinq précédents épisodes d'extinction, nous devons profondément changer notre société. C'est une véritable révolution qu'il nous faut entreprendre, afin de transformer notre actuelle société de consommation en modèle de société durable. Si nous voulons offrir un monde respirable et vivable à nos enfants et petits-enfants, nous avons le devoir de protéger notre planète. L'innovation technologique rendra possible certains progrès, mais si nous n'agissons pas maintenant avant demain, La durabilité de notre espèce est en jeu, et ce n'est qu'en étant solidaires et en protégeant l'ensemble des écosystèmes que nous la garantirons.

Comme Albert pin a dit : « Ce que nous faisons pour nous même disparaît avec nous. Ce que nous faisons pour les autres et le monde est immortel et demeure ».

Alors laissons au monde futur ce que nous avons eu la chance de connaitre.

BIBLIOGRAPHIE :

Titre : climate resilient agriculture for ensuring food security 2015 Auteur : P. Parvathareddy

ISBN : 9788132221982

Titre : L'Homme est-il responsable du réchauffement climatique ? 2009

Auteur : Legendre, André ISBN : 978-2-7598-0383-5

Titre : gaz à effet de serre & changement climatique 2005 Auteur : René François bizec

Editeur : afnor

ISBN : 2-12-463023-7

Titre : Enjeux du changement climatique 2009

Auteur: Segovia-Kueny, Sandrine

Editeur: AFNOR http://general.fimaktabati.dz/catalog/index/publisher/90 ISBN: 978-2-12-465169-6

http://www.biopetroleo.com/france/ : site officiel de Blue pétroleum

http://www.notre-planete.info/terre/climatologie_meteo/changement-climatique-consequences : 1er média web en environnement, écologie, nature et sciences de la Terre, depuis 2001

Revue : Les Solutions pour le changements climatique la réponse de la Banque africaine de développement aux impacts en Afrique.

Résumé du 21 ^emme COP : DR.Yagouni Albert Pike : philosophe Américain