4.2. Interprétation
des résultats
Dans cette partie, nous essayerons d'interpréter les
résultats obtenus dans l'analyse de chaque élément
composant notre schéma conceptuel sur les connaissances des couples sur
les méthodes contraceptives.
Cette interprétation nous aidera à
établir les liens entre les résultats obtenus par nos
recherches.
a. Connaissances de méthodes
naturelles
D'après l'enquête nous venons de mener, nous
avons constaté que parmi les 6 variables déterminées aucun
n'as pu atteindre le seuil de notre critère d'acceptabilités fixe
à 60% ou plus.
La moyenne des résultats nous a donné 17% qui
sont largement inférieur au seuil de notre critère
d'acceptabilité fixe à 60% ou plus.
Ce résultat très inférieure à
notre critère d'acceptabilité nous prouve que nombreux des
couples n'ont pas des connaissances suffisantes sur les méthodes
naturelles des contraceptions. Ce qui justifie des nombreux cas des grossesses
non-désirées dans la société qui amènent
à des avortements criminel ou provoqués.
b. Connaissances des méthodes artificielles
Ils ressortent de l'enquête menée que parmi les
variable analysés, nous avons constaté qu'une seule variable
à atteints le seuil de notre critère d'acceptabilité
fixé à 60% ou plus.
Il s'agit de :
- Préservatif (couple ou condom) avec 60% les autres
éléments ne sont pas retenus dans cette étude pour n'avoir
pas atteint le seuil de notre critère d'acceptabilité fixé
à 60% ou plus. La moyenne de résultat de ce tableau est de 11%
très largement inférieur à notre critère
d'acceptabilités fixe à 60 ou plus ce qui prouve de plus que les
couples ne donnent pas beaucoup d'importance à l'utilisation des
méthodes artificielles des contraceptions, surtout compte tenu de niveau
de vie de la population.
Au 21eme siècle, dans la ville province de
Kinshasa dans le quartier 7 commune de N'djili les contraceptives naturelles,
c'est regrettable car le programme de naissance désirable (2008)
soutient que chaque couples sont sensés de choisir une méthode de
choix pour espacer les naissances.
OMANYONDO citée par EKE OTSHI, soutient que le choix
des méthodes contraceptives dépend de l'individu mais il est
mieux d'utiliser les méthodes les plus simples.
4.2.1. Conclusion
Nous voici arrivé à la fin de notre étude
réalisée sur « connaissances des couples sur les
notions des méthodes contraceptives» étude mené au
quartier 7 dans la commune de N'djili.
Il a été question pour nous dans cette
étude d'évaluer les connaissances des couples sur les notions des
méthodes contraceptives. Pour atteindre le but de notre étude,
nous nous sommes fixes les objectifs ci-après :
- Recenser les éléments qui concernent les
notions des méthodes contraceptives dans la littérature ;
- Tirer une conclusion et proposer des solutions en vue
d'aider nos enquêtes dans leur avenir ;
- Déterminer des stratégies en vue
d'évaluer les connaissances de nos enquêtes dans le domaine.
Avec une population de 160 couples nous avons retenu 100
couples comme échantillon, nous avons fait appel à la
méthode d'enquête prospective. La technique d'interview
structurée et l'instrument de mesure un questionnaire et le
critère d'acceptabilité fixe à 60% couplent.
Après l'interprétation des résultats nous
avons obtenu un résultat global de 14%largement inférieur
à notre critère d'acceptabilités fixé à 60%
ou plus. Ces résultats nous prouve l'insuffisance des connaissances que
possèdent les couples habitant le quartier 7 de la commune de N'djili
sur l'utilisation des méthodes contraceptives. Ce qui justifie le taux
élevé des grossesses non désirées ainsi que des
avortements criminels de leur quartier.
Ainsi nous pouvons conclure que notre hypothèse est
largement confirmée selon laquelle les couples du quartier 7
situé dans la commune de N'djili ont des connaissances insuffisantes sur
les notions des méthodes contraceptives.
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