CHAPITRE I : LA PROBLEMATIQUE
1.1. ENONCE DU PROBLEME
Depuis toujours, il y'a eu existence des nombreuses
méthodes pour espacer les naissances dans leurs couples. La
méthode qui convient mieux dépend de ce qui est disponible, des
besoins du couple et de ce qu'ils considèrent comme une méthode
appropriée.
NSANZANZA (2009) soutient que chaque couple devrait avoir
l'occasion de connaître les différentes méthodes,
variées certaines méthodes constituent une garantie presque
totale contre le risque de grossesse.
D'autre par contre sont moins fiables mais peuvent aider
d'espacer les naissances.
Certains pensent qu'une méthode
artificielle ne devait être utilisée que pour empêcher la
fécondation de l'oeuf, en revanche d'autre ne sont pas d'accord avec les
méthodes qui empêchent l'oeuf fécondé de se
fixés, dans l'utérus.
D'autre par contre pensent que puisque plusieurs oeufs sont
rejetés naturellement. Ces méthodes sont acceptables.
Quant à BRONDE LEY (2010) Ces méthodes ne
s'adressent qu'aux couples qui sont absolument sûrs qu'ils ne
désireront jamais plus d'enfant. Elles impliquent la coupure des tubes
qui conduisent les oeufs d'une femme et le sperme d'un homme. Elles ne
modifient pas la vie sexuelle du couple, au contraire les méthodes
aident les couples pour espacer leurs naissances.
Le nombre des couples qui pratiquent actuellement la
conception pour espacer les naissances plus le nombre de ceux qui ont un besoin
non satisfaisant à la contraception si divers obstacles étaient
éliminées (151) les programmes de planification peuvent faire
d'avantage pour espacer les naissances.
Dans l'ensemble du monde, la moitié du total de la
demande potentielle de contraception demande de ce qui ne veulent plus
d'enfant.
En d'autre termes le niveau de la demande potentielle pour
l'espacement des naissances est à peu près le même que
celui de la demande qui vise la limitation des naissances.
Cependant dans 45 pays parmi le 54 pays que compte le
continent Africain, moins de la moitié de la demande potentielle
d'espacement est satisfait, on peut conclure que les programmes de
planification familiale ne répondent pas aux besoins de contraceptions
des couples et des autres femmes qui veulent espacer les naissances et aussi
à d'autres femmes qui veulent limités leurs naissances.
Dans 54 pays étudiés moins du tiers de couples
emploient la contraception pour espacer les naissances le recours à la
contraception pour espacer les naissances va de 2% des jeunes couples au
Pakistan et 29% au Zimbabwe.
En Afrique subsaharienne, la contraception sert surtout
à espacer les naissances parce que dans l'esprit de plusieurs traditions
Africains, les femmes doivent avoir des nombreux enfants et l'espacement des
naissances fait partie de la tradition Africaine.
En République Démocratique du Congo et en
particulier la ville de Kinshasa en dépit de l'existence du programme
sur la planification des naissances désirables beaucoup des couples ne
considèrent pas les méthodes de contraception à la fin des
choses. Ils se retrouvent avec des enfants non désirés comme le
soutient BRONDELEY.
|