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Mémoire portant sur les connaissances des couples du quartier 7 sur les notions des méthodes contraceptives dans la commune de Ndjili en RDC

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par Eloge Modiri
Institut supérieur des sciences et santé de la Croix Rouge (ISSS/ CR ) - Diplôme en sciences infirmières 2012
  

Disponible en mode multipage

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    CHAPITRE I : LA PROBLEMATIQUE

    1.1. ENONCE DU PROBLEME

    Depuis toujours, il y'a eu existence des nombreuses méthodes pour espacer les naissances dans leurs couples. La méthode qui convient mieux dépend de ce qui est disponible, des besoins du couple et de ce qu'ils considèrent comme une méthode appropriée.

    NSANZANZA (2009) soutient que chaque couple devrait avoir l'occasion de connaître les différentes méthodes, variées certaines méthodes constituent une garantie presque totale contre le risque de grossesse.

    D'autre par contre sont moins fiables mais peuvent aider d'espacer les naissances.

    Certains pensent qu'une méthode artificielle ne devait être utilisée que pour empêcher la fécondation de l'oeuf, en revanche d'autre ne sont pas d'accord avec les méthodes qui empêchent l'oeuf fécondé de se fixés, dans l'utérus.

    D'autre par contre pensent que puisque plusieurs oeufs sont rejetés naturellement. Ces méthodes sont acceptables.

    Quant à BRONDE LEY (2010) Ces méthodes ne s'adressent qu'aux couples qui sont absolument sûrs qu'ils ne désireront jamais plus d'enfant. Elles impliquent la coupure des tubes qui conduisent les oeufs d'une femme et le sperme d'un homme. Elles ne modifient pas la vie sexuelle du couple, au contraire les méthodes aident les couples pour espacer leurs naissances.

    Le nombre des couples qui pratiquent actuellement la conception pour espacer les naissances plus le nombre de ceux qui ont un besoin non satisfaisant à la contraception si divers obstacles étaient éliminées (151) les programmes de planification peuvent faire d'avantage pour espacer les naissances.

    Dans l'ensemble du monde, la moitié du total de la demande potentielle de contraception demande de ce qui ne veulent plus d'enfant.

    En d'autre termes le niveau de la demande potentielle pour l'espacement des naissances est à peu près le même que celui de la demande qui vise la limitation des naissances.

    Cependant dans 45 pays parmi le 54 pays que compte le continent Africain, moins de la moitié de la demande potentielle d'espacement est satisfait, on peut conclure que les programmes de planification familiale ne répondent pas aux besoins de contraceptions des couples et des autres femmes qui veulent espacer les naissances et aussi à d'autres femmes qui veulent limités leurs naissances.

    Dans 54 pays étudiés moins du tiers de couples emploient la contraception pour espacer les naissances le recours à la contraception pour espacer les naissances va de 2% des jeunes couples au Pakistan et 29% au Zimbabwe.

    En Afrique subsaharienne, la contraception sert surtout à espacer les naissances parce que dans l'esprit de plusieurs traditions Africains, les femmes doivent avoir des nombreux enfants et l'espacement des naissances fait partie de la tradition Africaine.

    En République Démocratique du Congo et en particulier la ville de Kinshasa en dépit de l'existence du programme sur la planification des naissances désirables beaucoup des couples ne considèrent pas les méthodes de contraception à la fin des choses. Ils se retrouvent avec des enfants non désirés comme le soutient BRONDELEY.

    1.2. QUESTION DE RECHERCHE

    De ce qui précède, nous nous sommes posés la question de recherche suivante : ?les couples du quartier 7 ont-ils des connaissances suffisantes sur les notions des méthodes contraceptives?.

    1.3. Buts et objectifs

    1.3.1. Buts

    Le but de notre travail ou étude est d'évaluer le niveau des connaissances des couples sur les méthodes contraceptives.

    1.3.2. Objectifs

    Ø Recenser les écrits sur les méthodes contraceptives

    Ø Identifier les enquêtes de notre étude

    Ø Evaluer les connaissances des enquêtés au moyen d'un questionnaire.

    1.4. Intérêt de l'étude

    Ce présent travail nous aidera à approfondir nos propres connaissances sur les méthodes contraceptives aux décideurs politiques et éducatifs l'importance des couples qui s'élance précocement à la sexualité sur les méthodes contraceptives afin d'éviter (prévenir) des grossesses non désirables et pour bien espacer les naissances.

    Notre travail restera non seulement un document de référence pour les hommes des sciences et les personnels de la santé mais également une des donnés pour leurs études ultérieures.

    1.5. Délimitation du champ d'étude

    Les moyens et les temps nous est impartis, cela ne nous a pas permis d'atteindre tous les couples tant de la République Démocratique du Congo en générale que la ville province de Kinshasa en particulier, nous avons jugé bon pour des raisons pratique1 et proximité de circonscrire notre travail au quartier 7 dans la commune de N'djili ce travail couvre la période allant du 28 mars au 28 Avril.

    CHAPITRE II : LA REVUE DE LA LITTERATURE

    2.1. Définitions des concepts

    Ø Connaissance : c'est la manière de connaître ce que l'on a appris pour la première fois ; dictionnaire micro robert (2012)

    Ø Couple : selon Charles MARTEL MATONDO (1995). C'est l'union de deux personnes des sexes opposés qui date de 1 à 5ans dans un même toit conjugal ;

    Ø Méthodes contraceptives : ce sont des moyens techniques ou procédés pouvant empêcher de façon temporaire et réversible, la fécondation ou la maladie sexuellement transmissible (LUSAMBA NKEY, 2002).

    De notre part nous disons que les méthodes contraceptives sont des moyens bien appropriés capables d'empêcher la conception d'une manière réversible ou irréversible.

    Une méthode qui favorise l'espacement des naissances qui facilite l'arrivé des enfants désirées.

    2.2. Généralités sur les méthodes contraceptives

    2.2.1. Définition des méthodes contraceptives

    En effet les méthodes contraceptives sont des procédés pouvant empêcher la contraceptiond'une façon temporaire ou définitive.

    Pour KABASELE (2011) les méthodes contraceptives sont des procédés employés pour espacer les naissances, il soutient qu'il existe plusieurs méthodes de régulation des naissances mais nous allons parler des méthodes contraceptives naturelles et artificielles, et nous terminerons par un modèle conceptuel des écrits.

    2.2.2. Différentes méthodes contraceptives

    Pour TIETZE (1981), les méthodes contraceptives sont indiquées chez tous femmes désirant retarder ou espacer les naissances et cela pour différentes raisons l'étude, fortes conditions économique et social etc.

    Pour limiter les sollicitations de l'utérus pour des raisons du grand épuisement et pour éviter les accouchements trop nombreux avec toutes les conséquences néfastes que cela implique la contraception essentiellement indiqué :

    Les méthodes contraceptives sont classées en deux catégories :

    Ø Les méthodes contraceptives artificielles

    Ø Les méthodes contraceptives naturelles

    2.2.2.1. Les méthodes contraceptives artificielles

    Les méthodes contraceptives artificielles sont de moyens artificielles mécaniques de chimique capables d'empêche la conception de la nidation de l'oeuf secondé que la personne choisie selon son désir.

    Quant à nous, en considérant la nature des méthodes contraceptives, nous pouvons le définir comme étant des moyens utilisés pour éviter une grossesse en y ajoutant un apport extérieur à l'organisme humain ainsi nous le classons en quatre catégories :

    Ø Les méthodes des barrières mécaniques

    Ø Les méthodes hormonales

    Ø Les méthodes des barrières chimiques

    Ø Les méthodes chirurgicales

    2.2.2.1.1. Les méthodes des barrières mécaniques

    Elles empêchent le passage des spermatozoïdes vers l'utérus à ce stade TIETZE (Op cit) déclare que : « l'intérêt croissant que reçoive les contraceptifs vaginale chez la femme n'a pas trouvé l'équivalence, chez les médecins, en effet des nombreux praticiens n'ont que très peu d'expérience, ils considèrent que nécessaire à l'apprentissage de la patience est exclusif s'il s'agit là d'un travail procréatif parmi ces méthodes nous citons :

    Ø Les diaphragmes ou cape cervicale

    Ø Le capot ou condom

    Ø Les dispositifs intra utérus (D.I.U)

    Ø Le contraceptif LEA

    A. Le diaphragme ou cape cervicale

    Il s'agit d'un préservatif féminin sous forme d'une calotte en latex qui couvre le col et qui bloque l'entrée des spermatozoïdes. Il est toujours utilisé conjointement avec un spermicide (en mousse) qu'on place à l'intérieur du diaphragme lors du rapport sexuel, ils sont moins utilisés en Afrique.

    v Indication

    Empêche l'entrée de spermatozoïde, neutralise les spermes selon ZYLLA (2009).

    Pour le rendre plus efficace, il faut le recouvrir d'une crème spermicide pour l'utilisation la femme doit consulter le gynécologue.

    v Technique

    Couvrir totalement le col utérin avant le rapport sexuel selon VERSI, pour insérer le diaphragme on tient le diaphragme d'une main, le dôme est appuyé sur les deux côtés opposé de la couronne de telle sorte que le diaphragme se replie de l'autre main, écarter l'ouverture du vagin et insérer, le diaphragme se replie dans le canal vaginal, cette manoeuvre peut se faire débout un pied surélevé accroupie ou allongé sur le dos, après le rapport, il faut laisser le diaphragme en place pendant six heures à huit heures puis retirer au moment qui semble plus pratique.

    v Avantage

    Ø Très efficaces

    Ø Empêche la propagation des maladies sexuellement transmissibles

    Ø Peucontre-indication médicales

    Ø Innocuité presque totale

    ZYLLA (OP cit) affirme que l'utilisation du diaphragme est une méthode sans danger, on peut avoir un enfant dès qu'on ne les utilise plus, utiliser une crème spermicide, elle est efficace à 90% son taux d'échec est plus inférieur.

    v Inconvénients

    Le diaphragme présente extrêmement peu de danger entant que contraceptif, la femme peut avoir certains problèmes tels que : des réactions allergiques aux latex ou encore aux agents spermicides. Une irritation de la peau chez la femme et son partenaire, développe une infection des voies urinaires.

    v Contre-indication

    Chez les femmes :

    Ø Allergique de la calotte

    Ø Manque des personnes ayant reçues la formation nécessaire du diaphragme, ayant l'incapacité de la part de l'utilisation ou son partenaire.

    B. Le capot ou condom

    ZYLLA (Op cit) définit la capote comme étant une gaine très fine en latex qui est mise et déroule sur le pénis en érection et le recouvre totalement de façon à recueillir le sperme lors de l'éjaculation.

    Pour John HOPKINS (1999) le préservatif est un fourreau ou une enveloppe conçu pour recouvrir le pénis en érection.

    v Indications

    Les préservatifs sont appelé capote ou condom certain sont recouvertes d'une lubrifiant ou d'un spermicide conçu pour immobiliser le spermatozoïde afin de réduire la possibilité de concevoir en cas de fente ou rupture.

    v Technique

    Retirer le condom dans son emballage dérouler entièrement le rebord du condom avec le pomme demain gauche sur latétine après le rapport sexuel retire le condom à la base.

    v Avantages

    Dr ROBERT ALL & COLL (2009) soutient que le préservatif protège contre les infections sexuellement transmissibles (IST) il empêche la fécondation ou la nidation, en plus le condom :

    Ø Corrige les éjaculations précoces

    Ø Ne coûte pas cher et efficace

    Ø Réversible immédiatement

    Ø Disponible partout

    v Inconvénients

    Ø Perte d'érection chez certains hommes

    Ø Réduit le plaisir sexuel chez certains hommes

    Le préservatif peut provoquer le péris chez certains allergiques au latex ou du lubrifiant utiliser.

    Le préservatif peut par son imperfection ou rupture, parfois suite à une mauvaise manoeuvre provoquer par la fuite du sperme laissant la fécondité se réalisé, il peut diminuer les sensations rendant ainsi les rapports moins agréables pour l'un ou l'autre partenaire.

    Pour KABASELE(Op cit), le préservatif s'abime quand on le conserve longtemps s'il est exposé à une température élevée à la lumière solaire ou à l'humidité ou encore si on sert avec les lubrifiants à la base d'huile et à cet effet, il peut alors se déchirer durant les rapports sexuels.

    v Contre-indications

    Chez les hommes présentant certaines allergiques au caoutchouc.

    C. Les dispositifs intra-utérins

    ZYLLA (Op cit) définit D.I.U comme étant un petit dispositif en forme de T muni d'un fil de cuivre dispositif en métal ou plastique que l'on place dans l'utérus d'une femme afin d'obtenir un effet. Selon l'OMS il y a deux types de D.I.U :

    Ø D.I.U avec médicaments

    Ø D.I.U sans médicaments

    - D.I.U avec médicaments actuelle en usage comportent deux modèles à diffusion d'hormones disponibles seulement dans certains pays.

    - D.I.U sans médicaments actuellement en usage sont des boucles de lippes et anneau d'acier inoxydable simple et double.

    v Indication

    Expliquer à la patiente de la procédure d'insertion, ce qui l'aidera à se rendre puis insérer le D.I.U agit en modifiant l'endomètre, ce qui provoque un environnement favorable à l'implication de l'ovule fécondé dans l'utérus et la migration à des spermatozoïdes

    v Technique

    Selon R. BROWN et AL (1983) placer dans l'utérus du moment des règles puisque le col utérin est mou et le D.I.U va facilement être insère.

    v Avantages

    Pour le PSND (1986) le taux d'efficacité du D.I.U est généralement de 95 à 98%, le D.I.U est sans danger pour la plupart des femmes il est installé pendant deux ans avec les vérifications régulières tous les six (6) mois :

    Ø N'empêche pas le rapport sexuel

    Ø N'altère pas les lois maternelles

    Ø Ne fait grossir le cycle menstruel

    Ø Le retour facile à la fécondation des retraits

    v Inconvénients

    Les problèmes observés parfois dans cette méthode sont :

    Ø Trouble des règles abondantes douloureuse

    Ø Exige un examen gynécologique

    Ø Coûte cher

    Ø Provoque les poly ménorrhées et parfois une anémie légère

    Ø Gère le rapport sexuel

    Ø Il y a aussi des risque rares mais important tels que :

    - Les stérilets expulsent spontanément

    - Une grossesse se développe hors de l'utérus, la mère doit se faire opérée

    v Contre-indication

    Ø Les femmes ayants un petit utérus

    Ø Les femmes ayants des antécédents de grossesse extra utérine

    Ø Les femmes allergiques au cuivre

    Ø Les femmes ayants de règle abondants en cas de grossesse connue

    D. Le contraceptif LEA

    C'est un dispositif souple fait de silicone qui est inséré dans le vagin devant le col afin d'empêcher l'entrée des spermatozoïdes dans le col selon ZYLLA (Op cit).

    v Indication

    Empêche l'entrée de spermatozoïde ; selon VERSI (Op cit) pour le rendre efficace il faut l'utiliser conjointement avec le condom ou le spermicide avec consultation du gynécologue.

    v Technique

    Pour inséré le contraceptif LEA on doit le tenir avec les deux mains et introduire dans le vagin devant le col accompagnés du spermicide pour empêcher la pénétration des spermes insérer plusieurs heures avant les rapports sexuel.

    v Avantages

    Pour le C.P.F la méthode est sans danger et a une efficacité maximale, il est réutilisable, il offre une protection sur huit heures, il est discret protège contre les infections urinaires le taux d'échec augmente 8,7%.

    v Inconvénients

    Le contraceptif LEA n'offre aucune protection contre l'IST à mains d'être utilisée avec le spermicide, il ne protège pas contre la grossesse, il peut être difficile à insérer au début.

    v Contre-indication

    Pour les femmes allergiques à la silicone s'il est mal placé le partenaire sentira le LEA au rapport sexuel.

    2.2.2.1.2. Les méthodes hormonales

    Nous distinguons trois sortes des méthodes hormonales :

    Ø La méthode hormonale orale ou pilule

    Ø La méthode hormonale injectable

    Ø La méthode des implants

    A. A la méthode hormonale orale ou pilule

    Selon Pierre D (1989) la pilule comprimé anti conceptionnelpris par voie contenant des hormones en promotions variables qui empêchent la survenue de la grossesse. Ainsi, on distingue trois sortes de pilules :

    Ø Pilule combiné

    Ø Minipilule

    Ø Pilule segmentale (séquentielle)

    a. Pilule combinée

    A l'exemple de : avortât, séminal, moriday

    v Indication

    La pilule qui contient la progestérone et l'oestrogène, elle agit en inhibant mais n'arrête pas les règles.

    Si la femme prend la pilule combinée chaque jour ne produire pas d'ovule et aussi elle ne sera pas enceinte.

    v Technique

    La femme doit commencer à prendre la pilule de 5e jour des règles pour la pilule combinée, elle doit prendre chaque jour jusqu'à l'épuisement de la plaquette. Elle peut se reposer pendant une semaine, si elle utilise la plaquette qui contient 21 ou 22 comprime. Elle doit commencer immédiatement une nouvelle plaquette sans repos. La pilule doit se prendre à la même heure pour plus d'efficacité.

    v Avantages

    La pilule combinée réduit le nombre de GEU malgré l'inhibition de l'ovulation, réduit le risque des maladies inflammables du pelvis, réduit le risque de cancer de l'ovaire et de l'endomètre l'efficacité de la pilule combinée est de 98% en général

    Ø Pratique facile

    Ø N'interdit pas le rapport sexuel

    Ø Traite la poly ménorrhée et dysménorrhée

    Ø Améliore l'anémie

    Ø Prévint la grossesse extra utérine

    Ø Diminue la maladie de seins

    Ø Pilules segmentales

    v Inconvénient

    La pilule ne vous protège pas contre les IST et elle peut causer quelque effet secondaire, notamment le saignement irrégulier, un gain pondéral le maux de tête et la nausée.

    Ø Exige une utilisation continue et un emploi habituel

    Ø L'oublie augmente l'échec

    Ø Retarde le retour de la fécondité

    v Contre-indication

    Ø Femme qui allaite depuis moins de 6 mois

    Ø Femme ayant souffert de phlébite

    Ø Femme souffrant d`ictère

    Ø Femme ayant des saignements anormaux

    b. Muni pilule

    A l'exemple : ovrette

    v Indication

    La muni pilule progestative agit sur la glaire cervicale, elle induit la production d'une plaire épaisse qui empêche la pénétration du spermatozoïde. En autre, elle agit sur l'endomètre en provoquant des modifications qui empêchent la nidation.

    Chez certaines femmes, la muni pilule empêche l'ovulation.

    v Technique

    Elle est prise le premier jour de la menstruation

    v Avantage

    La muni pilule ne modifie pas la lactation et n'as pas d'effets secondaires comme d'autres contraceptifs, elle diminue les douleurs et la perte de sang menstruelle et à une efficacité de 95%.

    v Inconvénient

    Ø L'aménorrhée

    Ø Diminution du flux menstruelle

    Ø Parfois des saignements sont persistants

    v Contre-indication

    Ø Tout état grave pouvant s'aggravé par un contraceptif stéroïde ;

    Ø Des saignements non diagnostiqués de voies génitales ;

    Ø Une grossesse ;

    Ø Kyste ovarienne ;

    Ø L'anxiété continue sans contraception progressive.

    c. Pilule séquentielle

    Commence avec une oestrogène et ensuite le combiné pendant le même cycle, elle ne plus utilisé actuellement.

    - Pilule masculine (gossypol)

    La pilule est une action inhibitrice de la synthèse de la libration ou l'action gonadotrophine gênant le spermatozoïde.

    Pour ISEDO et HERMINA (1999) elle est fabriquée à partir d'un composé binaphtoleprovenant de l'huile de coton.

    v Avantage de gossypol

    Ce dernier rassure la stérilité temporaire par nécrospermie et l'oligospermie.

    Ø A deux ou trois moins de l'arrête de la pilule masculine la spermatogenèse redevient normale et la fécondité se rétablit ;

    Ø Elle est prise par voie entérale sans difficulté.

    La pilule masculine case parfois les nocifs suivants :

    Ø Asthénie générale

    Ø Nausée

    Ø Inappétence

    Ø Perte de libido

    Ø Lésions testiculaire définitives

    2.2.2.1.3. les méthodes des barrières chimiques

    Il s'agit des spermicides vaginaux et les mousses spermicide qu'on place dans l'organe génitale de sa femme qu'ont pour but de protège la femme contre la grossesse

    v Indication

    Neutralise et barre l'accès du spermatozoïde dans l'utérus.

    v Technique

    Appliquer dans le vagin 10 à 30 minutes avant chaque rapport sexuel.

    Les spermicides sont de produit qui tient les spermatozoïdes, il n'y a qu'un seul principal celui de placer la mousse spermicide dans le vagin pour tuer les spermatozoïdes pendant le rapport sexuel.

    v Avantages

    Ø Rendre le couple indépendant

    Ø Protégé contre MST

    Ø rapidement efficace

    Ø Sans danger

    Pour CorineMoncel (1995) ils se tolèrent bien très rarement des effets secondaires et l'on peut avoir un enfant dès qu'on les utilise plus et ils sont efficaces à 85%

    v Inconvénient

    Ø Demande la manipulation des organes sexuels

    Ø L'oubli entraine l'échec et cela entraine aussi l'allergique

    Ø Coûte cher

    2.2.2.1.4. La méthode chirurgicale ou stérilisation

    Pour Christophe TIETEZ (Op cit) la méthode chirurgicale ou stérilisation, consiste à une intervention chirurgicale en vue d'une contraception permanente

    v Technique

    Chez l'homme on fait la vasectomie qui consiste à effectuer deux coupures très fine au niveau des testicules puison coupe les canaux différents et les spermatozoïdes ne peuvent plus circuler l'activité sexuelle reste parfaitement normale si l'homme éjacule mais avec le sperme sans spermatozoïdes.

    Chez la femme : pour Corine Moncel (op cit) la ligature de trompe consiste à faire deux petites coupure à chaque côté de l'abdomen puis on attache à ligature les trompes des Fallopes et l'ovule est définitivement bloqué dans l'ovule il ne rencontrera plus jamais des spermatozoïdes bien que l'activité sexuelle reste parfaitement normale.

    v Avantage

    C'est une méthode sans risque, efficace à 100% et gratuit

    v Inconvénient

    La stérilité peut être considère comme étant irréversible il est possible qu'elle ne soit pas accepté dans tous les cultures, ici c'est l'éducation qui permettra d'obtenir la compréhension et le soutien nécessaire.

    Elle comporte des risques et des complications.

    2.2.2.2. Les méthodes contraceptives naturelles

    Bruno Enselne (1996) définit les méthodes contraceptives naturelles comme étant des méthodes par observation des différentes physiologies de la femme sur la possibilité repérer la date de sonovulation.

    Pour François Gouti (1954) dit que les méthodes contraceptives naturelles permettent un rapport sexuel complet, non fécondant et sans intervention d'aucune sorte de malaise.

    Elle reposent sur les principes selon lequel il ya chez la femme des périodes d'infécondité physique et que la femme n'est fécondable en général que pendant trois ou quatre jour de chaque cycle en somme, les méthodes sont celles qui empêchent la conception sans recours aux produits chimiques ni aux procèdes exogènes la fédération internationale d'action familiale (1985) déclare que les méthodes contraceptives naturelles présentent les moyens par lesquels le couples en se réservant de l'auto-observation quotidienne des symptôme qui indiquent les phases fécondes et infécondes du cycle menstruel et peut décider du moment de leurs rapports sexuels en fonction de leur désir de concevoir ou d'éviter une grossesse.

    Plusieurs de ces méthodes sont actuellement utilise avec succès par des nombreux couples et certains sont encouragés par les campagnes vigoureuses.

    Il s'agit plutôt des contrôles des signes physiologiques naturels et des symptômes afin de déterminer la période fécondé ; ainsi nous avons ici :

    Ø La méthode de température basale ;

    Ø Le changement de col ;

    Ø La méthode de la glaire cervicale ou méthode de Billings ;

    Ø Le coït interrompu ;

    Ø L'allaitement.

    2.2.2.2.1. La méthode de température basale

    Selon Corinne Moncel (op cit), la méthode de température basale permet de déterminer la date de l'ovulation mais après que celle-ci ait eu lieu.

    v Indication

    Pour TIETZE (op cit) changement de la température basale au cours du cycle soit un décalage 0,3 à 0,6 au moment de l'ovulation.

    v Technique

    Prélèvement quotidien de la température basale ou repos, dès le réveil avant de se lever à la même heure eu endroit et avec le même thermomètre (bouche, vagin ou anus).

    v Avantages

    Ø Sans effets secondaires ni complication ;

    Ø Développe la maîtrise de soi et de la sexualité ;

    Ø Ne fait pas appel aux personnels qualifiés ;

    Ø Très efficace si bien appliqué ;

    Ø C'est une méthode gratuit sans suivi médical et sans danger on peut choisi un enfant dès qu'on le souhaite.

    v Inconvénients

    Ø Exige la maîtrise des signes ;

    Ø Difficile d'appliquer et à comprendre ;

    Ø Longue période d'abstinence ;

    Ø Ne peut pas être appliqué par la femme avec cycle irrégulier ;

    Ø Une modification de l'état général (fatigue ou autre).

    Peut avoir une influence sur la courbe de température d'où la possibilité d'échec.

    2.2.2.2.2. Les changements du col de l'utérus

    Ils consistent en l'observation du col utérus et on voit la position du col s'il est tourné vers le haut ou vers le bas et la consistance du col.

    v Indication et technique

    Après avoir vidé la vessie la femme peut palper son col utérus dans la position qu'elle préfère en introduisant l'index et la majeur pour atteindre le col en haut et en arrière, la pulpe du doigt tourné vers l'avent.

    Pour C.L.E.R. (1982) elle observe si le col est en haut ou en bas parfois une pression de la main extension sur le bas du ventre et nécessaire pour mieux le sentir.

    Elle observe également sa consistance molle ou dure et son ouverture d'après l'inclinaison par rapport à l'axe de vagin en période fertile. Il est un bas dur, fermé et incline par rapport à l'axe de vagin.

    2.2.2.2.3. La méthode de la glaire cervicale ou Billings

    La méthode de Billings consiste en l'observation de la glaire circule dans ses différentes modifications.

    v Indication

    KABASELE K. (op cit) soutient que l'observation de la glaire cervicale, au départ consistant à découvrir la glaire par la sensation au niveau du vagin de la vulve.

    La femme sent qu'elle est seine au niveau du vagin : ce qui correspond à la période peu fertile lorsqu'elle se sent mouillé ce qui détermine la période très féconde.

    v Technique

    Ø Observer la glaire cervicale entre le pouce et l'index ;

    Ø S'abstenir des rapports sexuels à partir du jour où la femme observe que la glaire est filant ;

    Ø La méthode de la glaire cervicale est indiqué à toutes les couples motive à respecter la physiologie de la femme à s'abstenir des relations sexuelles pendant une période, chaque mois ;

    Ø La méthode peut être utilisée à n'importe quel âge et contre indiquée aux couples qui ne veulent;pas s'abstenir à des relations sexuelles pendant la période fertile et aux couples qui ne savent pas observer les renseignements nécessaires à la méthode.

    v Avantages

    Ø La méthode de Billings est une méthode naturelle qui est inoffensive ;

    Ø Elle ne coûte rien ;

    Ø Ellen est réversible.

    v Inconvénient

    Ø Elle est efficacement peu sûre ;

    Ø Elle exige une abstinence prolongée ;

    Ø Le prélèvement d'observation de l'échantillon peut paraître ennuyeux à certaines femmes ;

    Ø Cette méthode nécessite une certaine expérience pour déterminer le degré de mucus cervical ;

    Ø C'est une méthode très contraignante car la femme doit à tout moment s'auto observer.

    2.2.2.2.4. La méthode de cycle ou d'abstinence périodique

    Selon Zylla (op cit) dans la méthode d'abstinence périodique aussi appelée méthode d'Ogino-knauss, on situe en principe la méthode d'Ogino que le couple ne doit pas avoir des relations sexuelles plusieurs jour avant et plusieurs jour après la libération d'une ovule par l'ovaire.

    v Indication

    Elle se base sur l'ovulation qui se produit environ le jour avant le début de la menstruation suivant et s'abstinence pendant cette période.

    v Technique

    Employer un calendrier ordinaire ou un journal menstruel, enregistre la durée de chaque cycle au moins pendant une année pour être sûre de la durée de son cycle.

    Exemple : pour une femme qui a un cycle de 26 jours comme cycle court et de 34 jours comme cycle long.

    Selon Ogino : nous calculons les jours féconds en tenant compte de la formule suivant :

    F1 ou 1ér jour de fertilité

    F1=10 plus cycle cours moins 28 jours ou moins 18 jours

    F2 ou dernier jour de fécondité

    F2=17+ cycle long moins 28 ou cycle long 11

    F1=10+26 - 28

    = 36 - 28

    = 8

    F2=17+34 - 28

    =51 - 28

    =23

    Donc pour cette femme, du 8e jour ou 23eme jour de son cycle, elle doit s'abstenir de rapport sexuel car ce sont des jours féconds pour elle.

    Selon Knauss :se base sur la durée du corps journée qui est de 14jours

    F2=cycle moins 14 jours moins 1jours

    F1=26 - 14 - 3

    =12 - 3

    =9

    F2=26 - 14 +1

    =12+1

    =13

    Cette femme est fertile du 9eme jours aux 13eme jours

    v Avantage

    Ø Elle est sans effet secondaire ni complication

    Ø Elle ne coute rien

    Ø Accepter par des couples religieux

    C'est une méthode gratuite sans danger et sans suivi médical on peut choisir avoir des enfants dès qu'on le souhaite.

    v Inconvénients

    Ø La date d'ovulation peut varier dans le cycle ;

    Ø Souvent l'ovulation et la menstruation ne sont pas liées de façon précisé ;

    Ø Seulement pour les couples instruits ;

    Ø Exige un grand temps d'abstinence ;

    Ø Ne jamais l'appliquer après une maternité récente

    2.2.2.2.5. Coït interrompu ou retrait

    Le retrait comme méthode contraceptive est depuis longtemps utilisée comme technique d'espacement des naissances en Afrique dans des nombreuses communautés de se continent, il consiste une méthode traditionnelle.

    Un couple utilisant cette technique peut avoir des rapports sexuels de la manière choisi et acceptée par le couple jusqu'au moment où l'éjaculation est prête à se produire, c'est alors que l'homme retire sans verge du vagin ce qui empêche toute conception possible.

    v Indication

    L'éjaculation se produit en dehors des voies génitales féminines.

    v Technique

    Retrait de pénis avant l'éjaculation.

    v Avantages

    On a besoin ni de dispositif ni de produits chimiques et la méthode ne coute rien. Le coït interrompu nécessite ni naissance ni préparation et c'est une méthode naturelle qui ne nécessite pas d'artifice.

    v Inconvénient

    Pour le programme national de naissance désirable (1999)

    Ø Au cas où le reflexe ne serait pas optimum, l'éjaculation peut se réaliser à l'intérieur des organes féminins d'où il ya risque de fécondité ;

    Ø Cette méthode d'un taux d'échec de 30% à 35% ;

    Ø L'organisme peut être interrompu chez l'homme et s'accompagne de l'insatisfaction pour la femme de dépression et frigidité.

    Pour ISIDOREet HERMINA (1999), les inconvénients physiques sont :

    Ø L'organisme masculin peut être atteint ;

    Ø L'éjaculation précoce et risque et risque d'impuissance ;

    Ø Sentiment de frustration et d'anxiété chez l'homme.

    v Contre-indication

    Le manque de contrôle d'éjaculation ou éjaculation précoce constitue une contre-indication à l'utilisation de cette méthode comme méthode de régulation des naissances.

    2.2.2.2.6. Allaitement comme méthode contraceptive

    L'allaitement retarde des quelques mois les règles mais cela ne signifie pas qu'on ne peut pas être enceinte avant cette période selon la physiologie, alors de l'allaitement maternel, l'ovaire est au repos et il n'ya pas ovulation.

    v Indication

    Pour L'OMS (1979) il ya arrêt d'ovulation (G. blanc et oms 1979)

    v Technique

    Allaite d'une façon prolongée et exclusive

    v Avantages

    Ø Pas de préparation spéciale ;

    Ø Ne coute rien ;

    Ø Sans effets secondaire ;

    Ø Prêt à tout moment ;

    Ø Elle empêche efficacement la grossesse au moins de 6 mois et peut être plus long si la femme continue à donner le sein souvent jour et nuit.

    v Inconvénients

    Ø Moins efficace car l'ovulation peut réapparaître à n'importe quel moment ;

    Ø Moins sûre.

    Corinne Moncel (op cit) soutient que l'inconvénient à n'importe quel moment est que la femme ne sait pas exactement que son cycle remettra en place.

    Elle sera fécondée sans le savoir 14 jours avant la période des premières règles.

    2.2.3. Evaluation globale de toutes les méthodes contraceptives

    Nous devons tout de même reconnaitre que la contraception hormonale féminine progresse positivement à une meilleure adaptation, aux voies d'administrations des hormones et la découverte de progestatif de synthèse mieux tolérée

    Pour ISIDORE AGWILARE et HERMINA GABLES (1999) soutiennent quant à l'homme, l'infécondité provoque hormonalement se heurte à des graves difficultés comme l'atrophie testiculaire éventuellement ou la perte de la libido.

    Pour l'instant, aucune des méthodes contraceptivesutilisées n'atteint l'idéal de l'efficacité d'innocuité de simplicité et d'un coût accessible recherche pars les usages.

    2.2.4. Avantages de toutes les méthodes contraceptives

    Oms (1996) dit que les méthodes contraceptives doivent être du dossier mère-enfant enfin de réduire le taux de décès maternels et infantiles de différentes façons, et proposées aux clients pour réduire les risques de grossesses non désirées.

    Premièrement en amenant à une diminution des naissances puisque toute grossesse comporte certains risques et une charge familiale.

    Deuxièmement en aidant les couples à réduire le nombre des grossesses imprévue où involontaire et non désirées car de telles grossesses constituent toujours un risque à la santé de la mère parce qu'elle pouvait avoir recours à un avortement dans des mauvaises conditions avec les conséquences fâcheuses et produire une insatisfaction chez les autres membres de la famille.

    2.3. Etudes antérieures

    Selon l'étude menée par KALEMA Mélanie (2009), sur « opinion des femmes mariées sur les causes du non-respect de l'utilisation des méthodes naturelles de contraception » enquête menée au quartier Libuku, c/ Barumbu, elle a trouvé que 58% des femmes ont une opinion positive sur le respect de l'utilisation des méthodes naturelles de contraception qui permet d'évite les grossesses à n'importe quelle période.

    MBE NTANGU (2003) avait fait une étude sur « Problématique de l'utilisation des méthodes contraceptives par les étudiants de l'ISSS/CR » dont le chercheur avait trouvé que les étudiantes on utilisait les contraceptifs pour éviter les grossesses non désirées, les IST et leurs permettre de réussir et déterminer leurs études librement.

    Ø Méthodes naturelles

    Selon notre étude, c'est l'ensemble des pratiques traditionnelles utilisées en vue d'éviter les grossesses non désirées ou les naissances trop rapprochées.

    Ø Méthodes artificielles

    Selon notre étude, c'est l'ensemble des pratiques ou techniques, modernes utilisées pour éviter les grossesses non désirées et les naissances trop rapprochées ainsi que les maladies sexuellement transmissibles.

    2.4. Cadre de référence Conceptuel

    Connaissance des couples sur les notions des méthodes contraceptives

    Méthodes naturelles

    Méthodes artificielle

    Abstinence périodique

    Changement du col utérin

    Coït interrompu

    Température basale

    Glaire cervicale

    Allaitement maternel

    Préservatif

    D.I.U (stérilet)

    Spermicide

    Vasectomie

    Diaphragme

    Pilule

    Dispositif LEA

    Ligature des trompes

    CHAPITRE III : LAMETHODOLOGIE

    3.1. Description du lieu

    3.1.1. Dénomination

    Notre enquête c'est effectué au quartier 7 ; le quartier 7 est l'un de 13 Quartier qui constitue la commune de N'djili, le quartier fut créé vers les années 1968, c'est là où loge la maison communale et il est aussi le quartier commercial.

    3.1.2. Situation géographique

    Le quartier 7 se présente géographiquement comme suit :

    · Au nord par le quartier 2, 3, 4 ;

    · Au sud par le quartier 8 ;

    · A l'est par le quartier 1 ;

    · A l'ouest par le quartier 5, 6.

    3.1.3. Historique

    Dans le temps colonial, tous les bureaux des quartiers existant étaient regroupaient dans l'enceinte de la maison communale c'est-à-dire du quartier 1 au quartier 12 sauf le bureau du quartier 13 qui était à ce temps-là au cimetière du dit quartier.

    C'est vers les années 1968-1969 qu'il y a eu créationdu quartier 7.

    En 1968 que le quartier 7 s'est organisé malgré cela le quartier 7 est resté jusqu'à présent en entité administrativement déconcentrée, il dépend de la commune le tout premier chef du quartier 7est monsieur MAMPUTU SYLVAIN.

    Le quartier 7 compte une avenue qui est l'avenue Commercial et 9 rues qui sont : tombe, Gbadolite, Kamina, Ludisi, Bakis, Hôpital, Marché, Marechal et Mwana-Nkosi.

    3.1.4. Organisation fonctionnelle

    Notre recherche a été effectué dans la commune de N'djili plus précisément dans le quartier 7, notre cible était les couples dont nous avons scindé en deux catégories :

    1. Les couples dans les milieux religieux ;

    2. Les couples dans des différentes avenues.

    Les couples de la première catégorie ont répondu favorablement à nos questions, une partie trouvait que la sexualité est un sujet tabou et les autres nous ont répondu que les méthodes contraceptives ne sont pas appropriées aux chrétiens ou encore une méthode qui favorise la prostitution.

    Les couples de la deuxième catégorie, nous ont répondu avec beaucoup de facilité parce qu'ils nous ont pris avec beaucoup de considération, tout en leur promettant que note enquête était strictement basée sur les couples et nous garderons l'anonymat.

    3.2. Domaine de recherche

    Notre recherche se base sur le domaine psycho-social et médical dans la commune de N'djili Q7.

    3.3. Population et échantillon

    3.3.1. Population cible

    Pour OMANYONDO (2010), la population est définie comme un ensemble homogène dans lequel est tiré l'échantillon.

    C'est ainsi qu'on la désigne comme population cible, la population représente l'ensemble de sujet défini par des critères.

    Pour notre étude la population cible est constitué des couples habitant le quartier 7, le nombre ces couples est estimé à 160.

    3.3.2. Echantillon

    En ce qui concerne l'échantillon, ENGBONBGO (2007) ajoute que l'échantillon est un groupe des sujets d'une population cible représentant celle-ci :

    A. Critère d'inclusion

    o Etre ensemble pendant un temps

    o Etre présent le jour de notre enquête

    o Accepté de répondre à notre interrogatoire.

    B. Critère d'exclusion

    Tout couple ne répondant pas aux critères d'inclusion ci-haut était exclu de l'étude.

    C. Taille de l'échantillon

    Après l'application des critères d'inclusion et d'exclusion ci-haut, la taille de notre échantillon est de 100 couples, il s'agit donc d'un échantillon accidentel.

    3.4.Processus de collecte des données

    3.4.1. Méthode

    La méthode selon AKUMBA (2000) est un ensemble des opérations limitées et spécifique logiquement ordonnées relatives à un problème d'investigation donné.

    Dans notre étude, nous avons utilisé la méthode d'enquête prospective. Pour ENGBONGBO, cette méthode est comme étant une méthode de renseignement qui dépend de validité de l'exposé verbal et elle est l'ensemble des techniques de collecte de données.

    3.4.2. Technique

    La technique est défini par AKUMBA comme un ensemble des procédés ordonnés et mis au point scientifiquement permettant ainsi l'investigation et choisir une portion d'individu d'objet de mesure parmi la population mère à l'étude fait de rassemblé les informations sur un sujet donné.

    Pour notre étude nous avons reconnu à la technique d'interview.

    3.4.3. Instrument

    Nous avons défini l'instrument comme étant une fiche d'enquête reprenant les éléments de caractéristiques des couples au plus 10 ans, être présent le jour de notre enquête, être disponible à répondre aux questions.

    Pour notre travail, les questionnaires étaient utilisés comme instrument.

    3.4.4. Déroulement de l'enquête

    A. Démarche de l'enquête

    La lettre d'enquête pour la recherche reçue de la section de l'institut nous a donné l'accès sur le terrain d'enquête.

    Nous avons commencé par présenté notre lettre d'enquête pour la recherche délivrée par notre section des sciences infirmières à la commune auprès de qui nous avons reçu l'autorisation d'attendre le chef du quartier pour la recherche et la population cible pour effectuer notre enquête.

    Nous sommes descendus sur le terrain d'enquête muni de notre instrument en passant dans les différents endroits pour interviewer les couples jusqu'à ce que nous ayons atteint notre échantillon.

    Nous avons un guide d'entretien composé des questions sous base de notre schéma conceptuel. Cet instrument a été prétexte chez les couples dans le quartier et après ce prétexte, le questionnaire à subi une petite modification et il était prêt à être accepté.

    A chaque fois que nous présentons l'importance le but et la méthode de notre étude, nous étions autorisés d'entrer en contact avec les personnes concernées.

    B. Enquête proprement dite

    Pour réaliser ce travail, nous avions élaboré un questionnaire sur lequel nous avons enregistré l'identification, le statut et quelques séries de questions sur les méthodes contraceptives dans une optique de connaissance et de la pratique de la méthode.

    A ce sujet un item étant donné à chaque sujet qui constituait l'échantillon.

    3.5. Critère d'acceptabilité

    Compte tenu de la pertinence du sujet, nous arrêtons notre critère d'acceptabilité à 60% ou plus pour chaque variable et pour le total généraux.

    3.6. Plan d'analyse des données

    Le dépouillement a été manuel, nous avions mis toutes les réponses dans une feuille de dépouillement et nous avons ensuite fait recours aux calculs de pourcentage et de la moyenne selon les formules suivantes.

    Légende

    % : pourcentage

    Fi : fréquence initiale

    n : taille d'échantillon

    Fo : Fréquence observe

    3.7. Considération d'ordre éthique

    Nous avions procédés au respect de code éthique par rapport avec une étude psycho-sociale touchant l'intégrité physique et morale de la primipare. (Méthode contraceptif).

    3.8. Difficultés rencontrés

    Tout chercheur avisé à intérêt bien que tout travail de recherche scientifique a beaucoup de difficulté demande non seulement la disponibilité maisaussi de moyens.

    La République Démocratique du Congo, notre pays venant de traverser une période de turbulence caractérisée par une guerre d'agression et une crise multidimensionnelle qui s'en est suivre ne nous a pas rendu la tâche facile.

    Même le transport, nous a été difficile pour atteindre régulièrement notre directeur, nous avons aussi connu de problèmes de l'incompréhension, de ce terme « contraception ».

    Chez les couples répondants ce qui nous pris beaucoup de temps pour son explication.

    CHAPITRE IV : LAPRESENTATION, ANALYSE DES DONNEES ET INTERPRETATIONS DES RESULTATS

    4.1. Présentation des données

    Dans ce chapitre, nous servirons des différents tableaux pour présenter les différents résultats.

    Tableau I : présentation des enquêtes selon leur tranche d'âge

    Age

    FI

    %

    1 an

    3 ans

    5 ans

    7 ans

    10 ans

    40

    29

    15

    9

    7

    40

    29

    15

    9

    7

    Constat :Dans ce tableau, nous constatons que 40 soit 40% de nos sujets sont dans leurs première années de mariage, 29 soit 29% de nos sujets sont dans leur tranche de 3 ans de mariage, 15 soit 15% de nos sujet sont dans leurs tranches de 5ans de mariage, 9 soit 9% de nos sujets sont dans leurs tranche de 7 ans de mariage, soit 7% de nos sujets sont dans leur tranche de 10 ans de mariage.

    Tableau II : Présentation des enquêtes selon le niveau d'institution

    Niveau d'institution

    Fi

    %

    Femme et Homme non instruit

    Homme + femme non instruit

    Femme instruit + Homme non instruit

    Le deux instruit

    48

    21

    18

    23

    48

    21

    18

    23

    Constat : Sur un échantillon de 100 couples, 48 soit 48% sont non instruit, 21 soit 21% de nos couples nous montre que les maris sont instruit et non les femmes 18 soit 18% de nos couples, nous montre clairement que les femmes sont instruites et non leur maris, 23 soit 23% de nos couples sont instruits

    Tableau III : présentation des enquêtés selon leurs professions (occupation)

    Profession (occupation)

    FI

    %

    Les deux travaillent

    L'homme travail et non la femme

    La femme travaille et non l'homme

    Les deux ne travaillent pas

    20

    21

    25

    34

    20

    21

    25

    34

    Constat : Dans ce tableau, nous constatons que 20 soit 20% de nos sujets ont du travail, 21 soit 21% où l'homme travail et la femme ne travaillent pas, 25 soit 25% où la femme travaille et l'homme ne travaille pas, 34 soit 34 % de nos sujets nous montrent clairement que les deux sont sans emplois

    Tableau IV : présentation des enquêtes selon le nombre d'enfant

    Nombre d'enfant

    Fi

    %

    0-1 enfant

    2-3 enfants

    4 enfants et plus

    40

    50

    10

    40

    50

    10

    Constat : Dans ce tableau, nous constatons que 40 soit 40% de nos sujets ont 1 enfant soit aucun enfant, 50 soit 50% ont 2 à 3 enfants et 10 soit 10% de nos sujets ont au moins 4 enfants.

    Tableau V : Présentation des résultats sur les connaissances des méthodes contraceptives

    Réponse

    Fi

    %

    Oui

    Non

    45

    55

    45

    55

    Constat : Tel que nous remarquons dans ce tableau, la majorité de nos couples n'ont pas une idée sur les méthodes contraceptives où déjà utilise une si pas toutes.

    Remarque que 45 soit 45% aux 55 restants soit 55% elles en ont entendue dire mais sans explication.

    Tableau VI : Source de connaissance des couples sur les notions des méthodes contraceptives

    Sources des connaissances

    Fi

    %

    Médias

    Ecole

    Ami (e)

    Conjoint (e)

    Professionnel de santé

    10

    20

    38

    12

    20

    10

    20

    38

    12

    20

    Constat :Ce tableau nous renseigne sur les sources de connaissance des méthodes contraceptives, on remarque la fréquence initiale de 10 soit 10% des couples ont recueilli leur connaissance aux médias (télé, radio, etc.) 20 (fi) soit 20% des couples ont reçu l'information sur les méthodes contraceptives dans leurs vie écolière ou universitaire ou encore chez soit 12% reçoivent des connaissances chez leurs conjointes 38 soit 38% reçoivent des connaissances des méthodes contraceptives chez leurs amis (es).

    Tableau VII : Réponse des enquêtés sur les connaissances des méthodes contraceptives naturelles

    Méthodes naturelles

    F.A

    F.O

    %

    1

    2

    3

    4

    5

    6

    Abstinence périodique

    Changement du col

    Coït interrompu

    Température basale

    Glaire cervical

    Allaitement maternel

    100

    100

    100

    100

    100

    100

    10

    15

    23

    20

    10

    22

    10

    15

    23

    20

    10

    22

     

    Total pondéré de %

     
     

    17

    Constant : Tel que nous remarquons dans le tableau ci-haut elle nous montre que 22 à 22% parlent d'allaitement maternel, 10 soit 10% parlent de l'abstinence période 23 à 23% parlent du coït interrompu, 20 à 20% parlent de la température basale, 10 à 10% parlent du glaire cervicale, 15 à 15% répondant parlent du changement du col utérin la totale parlent de cette variable est de 17% dans l'ensemble.

    Tableau VIII : Réponse des enquêtés sur leurs connaissances des méthodes artificielles

    Méthodes artificielles

    F.A

    F.O

    %

    1

    2

    3

    4

    5

    6

    7

    8

    Diaphragme

    Préservatif

    Spermicide

    Vasectomie

    D.I.U

    Pilule

    Contraceptif

    Ligature de trompe

    100

    100
    100
    100
    100
    100
    100

    100

    10

    60

    1

    --

    --

    15

    --

    --

    10

    60

    1

    --

    --

    15

    --

    --

     

    Total pondéré de %

     
     

    11

    Constant : Les données ci-dessus révèlent que 60 soit 60% de nos couples ont une notion sur le préservatif, 10 soit 10% ont déjà utilisé le diaphragme, 1 soit 1% répondant par de spermicide, 15 soit 15% parlant de pilule quant au D.I.U, vasectomie et la ligature de trompe les gens n'ont pas assez des connaissances total pondéré de cette variable est de 11%.

    Tableau IX : Synthèse des connaissances des couples sur les notions des méthodes contraceptives

    Connaissance des méthodes

    F.A

    F.O

    %

    1

    2

    Méthodes naturels

    Méthode artificielle

    100

    100

    17

    11

    17

    11

    Total pondéré de %

     
     

    14%

    Constant :Tel que nous remarquons dans le tableau la moyenne général nous indique 17 soit 17% de nos couples qui ont des connaissances sur la méthode naturel et 11soit11% des couples ont les connaissances sur les méthodes artificielle, 14% est la moyenne générale de la connaissance des méthodes contraceptives.

    4.2. Interprétation des résultats

    Dans cette partie, nous essayerons d'interpréter les résultats obtenus dans l'analyse de chaque élément composant notre schéma conceptuel sur les connaissances des couples sur les méthodes contraceptives.

    Cette interprétation nous aidera à établir les liens entre les résultats obtenus par nos recherches.

    a. Connaissances de méthodes naturelles 

    D'après l'enquête nous venons de mener, nous avons constaté que parmi les 6 variables déterminées aucun n'as pu atteindre le seuil de notre critère d'acceptabilités fixe à 60% ou plus.

    La moyenne des résultats nous a donné 17% qui sont largement inférieur au seuil de notre critère d'acceptabilité fixe à 60% ou plus.

    Ce résultat très inférieure à notre critère d'acceptabilité nous prouve que nombreux des couples n'ont pas des connaissances suffisantes sur les méthodes naturelles des contraceptions. Ce qui justifie des nombreux cas des grossesses non-désirées dans la société qui amènent à des avortements criminel ou provoqués.

    b. Connaissances des méthodes artificielles

    Ils ressortent de l'enquête menée que parmi les variable analysés, nous avons constaté qu'une seule variable à atteints le seuil de notre critère d'acceptabilité fixé à 60% ou plus.

    Il s'agit de :

    - Préservatif (couple ou condom) avec 60% les autres éléments ne sont pas retenus dans cette étude pour n'avoir pas atteint le seuil de notre critère d'acceptabilité fixé à 60% ou plus. La moyenne de résultat de ce tableau est de 11% très largement inférieur à notre critère d'acceptabilités fixe à 60 ou plus ce qui prouve de plus que les couples ne donnent pas beaucoup d'importance à l'utilisation des méthodes artificielles des contraceptions, surtout compte tenu de niveau de vie de la population.

    Au 21eme siècle, dans la ville province de Kinshasa dans le quartier 7 commune de N'djili les contraceptives naturelles, c'est regrettable car le programme de naissance désirable (2008) soutient que chaque couples sont sensés de choisir une méthode de choix pour espacer les naissances.

    OMANYONDO citée par EKE OTSHI, soutient que le choix des méthodes contraceptives dépend de l'individu mais il est mieux d'utiliser les méthodes les plus simples.

    4.2.1. Conclusion

    Nous voici arrivé à la fin de notre étude réalisée sur « connaissances des couples sur les notions des méthodes contraceptives» étude mené au quartier 7 dans la commune de N'djili.

    Il a été question pour nous dans cette étude d'évaluer les connaissances des couples sur les notions des méthodes contraceptives. Pour atteindre le but de notre étude, nous nous sommes fixes les objectifs ci-après :

    - Recenser les éléments qui concernent les notions des méthodes contraceptives dans la littérature ;

    - Tirer une conclusion et proposer des solutions en vue d'aider nos enquêtes dans leur avenir ;

    - Déterminer des stratégies en vue d'évaluer les connaissances de nos enquêtes dans le domaine.

    Avec une population de 160 couples nous avons retenu 100 couples comme échantillon, nous avons fait appel à la méthode d'enquête prospective. La technique d'interview structurée et l'instrument de mesure un questionnaire et le critère d'acceptabilité fixe à 60% couplent.

    Après l'interprétation des résultats nous avons obtenu un résultat global de 14%largement inférieur à notre critère d'acceptabilités fixé à 60% ou plus. Ces résultats nous prouve l'insuffisance des connaissances que possèdent les couples habitant le quartier 7 de la commune de N'djili sur l'utilisation des méthodes contraceptives. Ce qui justifie le taux élevé des grossesses non désirées ainsi que des avortements criminels de leur quartier.

    Ainsi nous pouvons conclure que notre hypothèse est largement confirmée selon laquelle les couples du quartier 7 situé dans la commune de N'djili ont des connaissances insuffisantes sur les notions des méthodes contraceptives.

    4.2.2. Suggestion et recommandation

    En tenant compte de nos résultats et de notre conclusion nous faisons les recommandations suivantes :

    Ø Aux publiques 

    Tout le monde est sensé de connaître que les méthodes contraceptives constituent un problème de santé de la reproduction tout le monde doit s'impliquer pour atteindre un résultat visé qui est :

    ü Eviter les grossesses non désirées ;

    ü Se protéger contre l'IST (Infection Sexuellement Transmissible) ;

    ü Espacer les naissances 

    ü Epanouissement de la mère

    Ø Aux autorités 

    Que l'éducation sexuelle soit accélérée pour une meilleure application des méthodes contraceptives par le ministre de l'Enseignement Primaire et Secondaire et Humanitaire ou encore universitaire. Que les mamans puissent être bien encadré par le ministre de la Santé et du genre, famille et enfant d'aider les couples à régulariser leurs connaissances aux communautés et foyers respectifs.

    Ø Aux chercheurs

    Qu'une étude similaire soit menée dans d'autres quartiers, pourquoi pas d'autres villes, enfin de déterminer le niveau d'acceptabilité des méthodes contraceptives.

    Ø Au ministère de la santé

    De vulgariser et sensibiliser d'avantage la population sur les notions des méthodes contraceptives à travers les colloques les conférences, les séminaires, radio, télévision, pancartes, ateliers et d'autres car cela contribuerait à la :

    - Réduction tant soit peu de la mortalité materno-infantile ;

    - Limitation de la taille de la famille qui permettra d'avantage aux parents d'élever leurs enfants dans la famille d'une manière équilibrée.

    BIBLIOGRAPHIE

    OUVRAGES

    - BERTRAUD (1979), Rapport sur les naissances désirables en Zaïre, PNSD Kinshasa

    - BRONDE LEY (2012) conférence de la planification familiale en France

    - BROWN (1983) consultation de contraception en Afrique Ed. Norfolk, Virginia USA

    - CHARLES MARTEL (1995) la tâche de la famille chrétienne Ed. Paris, P15

    - CORINE MONCEL (1995) le guide de la famille Ed. Paris, N°1, P 31

    - C.L.E.R (1982) amour et famille Ed. Paris, P77

    - Dr ROBERT A. HATCHER N°D, MPH et CDL (2009) élément de la technologie de la contraception Ed.norfolk p.22

    - HOP KINS T (1999) la grossesse et les complications Ed. S. Paul

    - ISIDORE ANGULAR et HERMURA GABBLE (199) encyclopédie vie et santé guide de la famille Ed. Saint Feliz Madrid

    - Micro-Robert (2010) dictionnaire de la langue française Ed. De ROBERT France

    - NSAZANZA(2009) séminaire sur l'utilisation de la méthode fixée UNIKIN (inédit)

    - TIETZE (1982) méthodes contraceptives Ed. Norvège P15

    - OMS (1996) organisation de planification Ed. Saint Paul

    Notes de cours

    AKUMBA KINAYA (2009) notes de cours d'initiation à la recherche destinée aux étudiants de deuxième graduat ISTM /KIN

    MOKANGO CHARLENE (2011) notes de cours de santé publique destinée aux étudiants du deuxième graduat sciences infirmiers ISSS/CR inédit

    MULUMBA (2011) notes de cours gynéco et obstétrique deuxième graduat ISTM / KISANTU

    KABASELE(2011) notes de cours de planification familiale S.I. G3 accoucheuse ISTM / KISANTU

    Webographie

    ZYLLA (2009) la planification familiale ministère française, www.google.com

    Table des matières

    Mémorial Erreur ! Signet non défini.

    Socrate Erreur ! Signet non défini.

    Epigraphe Erreur ! Signet non défini.

    Dédicaces Erreur ! Signet non défini.

    Remerciements Erreur ! Signet non défini.

    Liste de tableaux Erreur ! Signet non défini.

    Liste des abréviations Erreur ! Signet non défini.

    Plan du travail Erreur ! Signet non défini.

    CHAPITRE1 : LA PROBLEMATIQUE Erreur ! Signet non défini.

    1.1. ENONCE DU PROBLEME 1

    1.2. QUESTION DE RECHERCHE 2

    1.3. Buts et objectifs 2

    1.3.1. Buts 2

    1.3.2. Objectifs 2

    1.4. Intérêt de l'étude 3

    1.5. Délimitation du champ d'étude 3

    CHAPITRE 2 : LA REVUE DE LA LITTERATURE 4

    2.1. Définitions des concepts 4

    2.2. Généralités sur les méthodes contraceptives 4

    2.2.1. Définition des méthodes contraceptives 4

    2.2.2. Différentes méthodes contraceptives 4

    2.2.2.2. Les méthodes contraceptives naturelles 14

    2.2.2.2.1. La méthode de température basale 15

    2.2.2.2.2. Les changements du col de l'utérus 16

    2.2.2.2.3. La méthode de la glaire cervicale ou Billings 16

    2.2.2.2.4. La méthode de cycle ou d'abstinence périodique 17

    2.2.2.2.5. Coït interrompu ou retrait 19

    2.2.2.2.6. Allaitement comme méthode contraceptive 20

    2.2.3. Evaluation globale de toutes les méthodes contraceptives 21

    2.2.4. Avantages de toutes les méthodes contraceptives 21

    2.4. Cadre de référence Conceptuel 23

    CHAPITRE3 : LAMETHODOLOGIE 24

    3.1. Description du lieu 24

    3.1.1. Dénomination 24

    3.1.2. Situation géographique 24

    3.1.3. Historique 24

    3.1.4. Organisation fonctionnelle 24

    3.2. Domaine de recherche 25

    3.3. Population et échantillon 25

    3.3.1. Population cible 25

    3.3.2. Echantillon 25

    3.4.Processus de collecte des données 26

    3.4.1. Méthode 26

    3.4.2. Technique 26

    3.4.3. Instrument 26

    3.4.4. Déroulement de l'enquête 27

    3.5. Critère d'acceptabilité 27

    3.6. Plan d'analyse des données 27

    3.7. Considération d'ordre éthique 28

    3.8. Difficultés rencontrés 28

    CHAPITRE 4 : PRESENTATION, ANALYSE DES DONNEES ET INTERPRETATIONS DES RESULTATS 29

    4.1. <Présentation des données 29

    4.2. Interprétation des résultats 32

    Suggestion et recommandation 35

    Conclusion 34

    BIBLIOGRAPHIE 36






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"Le doute est le commencement de la sagesse"   Aristote