EPIGRAPHE
Un des défis que la
communauté international doit relever est de faire en sorte que tout le
monde puisse partager les gains potentiels de la mondialisation, en particulier
les pays et les populations les plus pauvres. De nombreux pays en
développement ont fait la preuve de leur volonté
d'intégrer rapidement dans le système commercial
multilatéral, souvent à cout
considérable.
Malheureusement jusqu'à
présent, les avantages qu'ils ont retiré de cette
intégration sont très inferieurs à leur espoir et à
la rumeur de la protestation se fait toujours plus forte.
KOFFI
A.ANNAN
SEC.
Général de l'ONU
IN MEMORIAM
Si la mort était une
personne, nous mènerions une lutte sans relâche pour
l'anéantir ainsi l'empêcher d'emporter ceux qui nous sont chers.
Malgré nous, elle est une force invisible et irrésistible qui
atteint et frappe jeune et vieux, juste et injuste. Elle ne requiert la vie de
personne, c'est donc une force qui nous dépasse. Un passage
obligé par tous ceux qui respirent.
A toi cher grand-père
ALINOTI, que le destin divin a arraché à notre affection et que
nous vous portions comme trésor dans nos coeurs. Notre désir
ardent de vouloir vous garder longtemps parmi nous fut déjoué par
le projet de la providence. Nous vous promettons une brillante réussite
en guise de souvenir. Mais hélas ! Vous n'avez pas attendu vivre
tout ceci avec nous.
Nous n'oublions pas aussi nos grands
parents, oncles et cousins défunts : TS'HEKA KASONGO, KASONGO
ASSANI, AZIZA NANGOMBE, KIANA ABEMBA, SADIKI et tous les frères et
soeurs de familles de prés ou de loin que vos âmes reposent en
paix. Vous nous avaient quittés sans goutter la succulence de cette
oeuvre.
Qu'il vous plaise du fond de notre
coeur de recevoir ici nos panégyriques posthumes et d'éloges de
votre solitude.
ALINOTI WA KABILA
Loth
DEDICACE
La simplicité et l'humilité sont
deux qualités humaines qui attirent la sympathie car elles sont
l'expression de la réalité.
Une fierté exceptionnelle a mon grand
frère MUYUMBA WA KABILA Digital qui en dépit de la charge
familiale, s'est dépenses sans compter pour mon devenir n'en
déplaise la conjecture et les aléas de la vie. Jour et nuit,
à la lutte pour la réussite avec une patience, une diplomatie et
une persévérance extraordinaire pour qu'un monument soit debout
dans notre famille. Que ce travail te comble des bénédictions et
des bonheurs dans l'avenir.
Une mention spéciale à mon
père KABILA KASONGO Alphonse, toi qui a pris soins de mes études
durant l'an zéro de mon existence jusqu'aujourd'hui. Devenu ce que tu
as voulu « une élite ». Grande est mon
affection pour te dédier cette oeuvre qui fait la preuve de tes
sacrifices.
A toi ma mère SIYAONA KATUNDA Jeanne
Kabila, grâce à ta patience et à tes conseils spirituels,
je suis devenu ce que je suis « une élite ». Que ce
travail soit pour toi ma fierté.
A toi ma soeur YUMBA WA KABILA Carine que j'ai
toujours aimée sans cesse. Que cette oeuvre prouve en toi ton affection
et ton amour.
A mes frères et soeurs de famille :
KASONGO WA KABILA, KABILA WA KABILA, TS'HEKA WA KABILA, TAMBULA WA KABILA,
AZIZA WA KABILA, N'KULU WA KABILA, BISHINDO WA KABILA. Que ce travail fasse
votre honneur.
A mes neveux et nièces, KABILA, JEANNE,
ANASTASIE, ALICIA et les deux jumeaux MUSEMWA et MUKAWA. Que ce travail reste
comme une marque dans vos vies
A tous mes amis et connaissances en particulier
MUJING KANYIMB, BANZA KYONI, KALUNGA FUNGA MALI, MULADJA WALUKUNGA et SIMON
KANDA. Que cette oeuvre vous comble des joies.
Une marque particulière à ma fleur
de vie APOLINE MAGAPI Clarice que j'ai toujours portée dans mon coeur.
Trouve ici les sentiments de mes dédicaces.
Que le règne, la puissance et la gloire
appartient au seul vrai Dieu tout puissant à qui je dédie
cette oeuvre scientifique qui est une gloire de ma vie.
ALINOTI WA KABILA
Loth
AVANT- PROPOS
L'analyse de l'impact de la
mondialisation sur le développement des Etats africains cas de la
république démocratique du Congo était notre souci majeur
d'études depuis les temps qui ont précédés notre
information scientifique. Cela s'est manifeste par la mise de notre
volonté à l'élaboration de ce travail scientifique qui met
en exergue notre connaissance accumulée par l'étude après
notre formation universitaire.
Ainsi nous avons voulu présenter
cette approche scientifique par les moyens qui y sont
développés, lesquels se montrent par la vision de la
redynamisation et l'adaptation de l'économie africaine en
générale et congolaise en particulière face à
d'autres cieux mondiaux.
C'est alors qu'au terme de notre cycle de
graduat en sciences politiques et administratives à l'université
de Kalemie UNIKAL en sigle, il parait opportun de remercier et d'exprimer notre
gratitude à toute personne qui nous a aidées d'une manière
ou d'une autre dans la réalisation de ce travail.
Nous remercions infiniment l'assistant
KALOMBO Vincent notre directeur, pour son sens de père scientifique et
son souci pour notre formation, malgré ses grandissimes tâches, a
accepte d'assurer la direction de ce travail.
Nous ne pouvons pas rester muet sans
remercier également madame le recteur KISIMBA KYA NGOY qui nous a
accueilli dans les lignes de conduite scientifique et a fait de nous un
échelon de la connaissance.
Les témoignages de notre gratitude
s'adressent aussi à tous les professeurs, chefs de travaux et assistants
de la faculté des sciences sociales, département des sciences
politiques et administratives à l'université de Kalemie et de
toutes les universités de la république démocratique du
Congo où d'ailleurs pour leur enseignements et publications nous
gratifient et qui ont cogités notre esprit et la soif du savoir.
La reconnaissance est la seule vertu qui nous
reste gratuite. De cela, nous sommes très reconnaissants envers tous
ceux qui nous ont encouragés et nous ont redonnés l'espoir
d'étudier. Nous leur devons une fière chandelle. Un grand merci
à tous ce qui nous sont chers par le sang, l'alliance, l'amitié
ou par la foi.
Chers parents, nous vous devons ce que nous
sommes.
ALINOTI WA KABILA Loth
INTRODUCTION GENERALE
I. OBJET D'ETUDE
1. DEFINITION DU SUJET
L'objet d'étude de notre travail est de bien
parfaire une nouvelle phase du développement par l'intégration du
système de capitalisme mondial connu sous le nom de la mondialisation
fondée sur ces quatre principes clés fondamentaux (
l'impérialisme ,le Capitalisme ,le communisme et la libre concurrence),
contribuent en l'enrichissement de ce mécanisme d'exploitation et de
domination rendant très difficile le développement de l'Afrique
en General et en partie la RDC à tel enseigne que les conditions de vie
de cette dernière ne font que se détériorer
1(*).
Apres avoir procédé à une analyse
sur l'état de la mondialisation qui est sans doute le résultat de
la colonisation, l'expansion du capitalisme impérial, du communisme et
de la libre concurrence. Soucieux de contribuer à la démarche
scientifique des peuples africains en général et les congolais en
partie, nous avons la préférence de choisir le sujet
intitulé « l'impact de la mondialisation sur les
développements des Etats africains (cas de la
RDC) ».
2. DELIMITATION DU SUJET
L'orthodoxie scientifique exige, certes, de
conférer à ce travail de notre année d'étude de fin
de cycle une délimitation spatiale- temporaire.
a) du point de vue spatial, nous avons eu le
souci d'occuper notre choix sur le continent africain en générale
et en particulier la RDC dans le souci scientifique de dénicher
l'histoire de la mondialisation en Afrique depuis l'époque coloniale
jusqu'aux années soixante qui font le départ d'une
modernité africaine, et de montrer l'impact de la mondialisation
à cette majeur partie d'où la RDC en fait partie importante.
b) Du point de vue temporaire, étant
donnée l'envergure de notre travail, nous avons tiré notre
attention sur l'année 2000, qui est une année au court de
laquelle la mondialisation a traverser plusieurs dimensions en Afrique dont les
dimensions politique, scientifique, technologique, culturelle, religieuse,
linguistique et économique qui est une dimension à importance
capitale pour notre travail. Cette dimension est la libéralisation des
échanges commerciaux au niveau mondial depuis 2000 jusqu'en 2005 qui est
une période constituée d'une forte ouverture des marchés
vers l'extérieur du continent par un véritable taux
d'échange économique.
II. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Tout travail scientifique doit avoir les
appréciations dans tous les sens. Comme il est utile pour tout
étudiant de troisième graduat à la soumission d'un travail
de fin de cycle, il doit présenter dans son travail le point de vue
personnel, social, et scientifique :
1. du point de vue personnel, nous osons
croire que notre travail cadre bien avec notre formation de politologue
administratif ou nous sommes appelés à montrer l'impact de la
mondialisation en Afrique en générale et en partie prioritaire la
république démocratique du Congo et à prouver la mauvaise
pénétration de la mondialisation en Afrique pour démontrer
comment cette modernité qui est devenue une épine dorsale pour le
continent africain. Pour ce faire, il apparait nécessaire de prendre un
certain nombre des dispositions pour évaluer l'impact de la
mondialisation sur les préoccupations majeures de la république
démocratique du Congo et connaitre la facette négative et
positive de la mondialisation qui sont liées essentiellement à
des ajustements politiques, économiques et sociaux. Cependant, avec les
faiblesses conjoncturelles, le pays tout comme le continent africain est
handicapés par cette modernité.
2. du point de vue social, comme chaque
peuple à ses génies, c.à.d. des individus qui, à
partir de leur étude des faits réunissent des connaissances
scientifiques auxquels il est confronté et de satisfaire certains
besoins qui il ressent. Pour tout dire, nous voulons simplement interpeller la
conscience de peuple africain et congolais pour qu'il puisse comprendre
l'avènement du sous- développement causé par la
colonisation qui est le fruit primaire de cette mondialisation.
3. du point de vu scientifique,
l'intérêt de notre travail tient au chercheur que nous sommes,
puissions mettre en pratique nos théories apprises tout au long de nos
trois ans d'étude universitaire et apporter ainsi notre modeste
contribution à l'édification de la science pour que les
générations futures puissent s'en servir. Ce travail apporte
scientifiquement un internet bénéfique à notre
génération car le monde d'aujourd'hui est sous le coup de la
modernité, et qu'il revient à nous chercheur scientifique de bien
s'en servir de cette innovation.
III. ETAT DE LA QUESTION
L esprit humain ne récent jamais la
curiosité de savoir mais éprouve aussi les besoins de bien
appréhender l'événement, la soif de synthèse.
Aussi cherche-t-t il un recul en vue de synthétiser l'information, de
lui confier un cadre de référence, d'insérer correctement
dans la vision globale permettant d'en apprécier la situation, la
signification et la portée de la mondialisation face au
développement des Etats africains.
Il est vraie que dans notre pays qu'est la
république démocratique du Congo, il existe déjà
des travaux ayant traités des aspects de notre sujet d'étude
portant sur « l'impact de la mondialisation au développement
des Etats africains cas de la RDC ».
C'est notamment les cas de «
l'économie de la république démocratique du Congo face
à la mondialisation » présenté par NGOY MWAMBA
ALBERT2(*).
Dans son mémoire, il se penche sur les relations qui existent entre
l'économie et les nouvelles innovations d'échanges commerciaux
que la mondialisation attend comme déterminisme économique, car,
d'après lui, c'est l'économie qui soutient tout l'édifice
(social, économique, politique),il est important de noter qu'Albert ne
fait jamais de formation, mais établit des relations entre les
phénomènes économiquement un pays qui semble ne pas
être ouvert économiquement puisque sa production est mondialement
faible.
Dans le même cadre d'idée, KAYUMBA
MABANGA dans « l'importance de l
`Harmonisation sociale comme facteur de la mondialisation
économique. » 3(*) Dans son travail de fin de cycle, il
montre l'importance de la mondialisation qui est une source de
développement à travers une harmonie sociale.
Mais il oublie que les pays envoie de
développement manquent des moyens signifiant pour avancer les desseins
des grandes envergures en vue de palier à l'économie
nationale.
Pour ce faire, notre démarche se veut par le
simple fait que nous lançons une analyse de projection sur l'impact de
la mondialisation en cherchant de comprendre si celle-ci n'aurait jamais eu des
préjudices en Afrique et en partie prioritaire la RDC du fait de la non
prise en charge du critère objectif de viabilité. D'ou, la
mondialisation consacre ainsi l'avènement de l'économie
universelle.
IV. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
1. PROBLEMATIQUE
La problématique constitue dans tout travail
scientifique me s étapes importante et incontournable dans la relation
d'un travail scientifique.
Elle est définie comme un
procédé flexionnel, l'art d'élaborer et de poser
clairement les problèmes et aussi de les résoudre en suivant leur
transformation dans la réflexion scientifique4(*).
C'est aussi la formation des problèmes ou de la question
principale qui guide la recherche5(*).
De notre part, elle est une interrogation ou un
cheminement des questions que le chercheur se pose au sujet qui l'importe. De
ce fait ; la problématique étant définie, comme tout
travail scientifique doit contenir nécessairement des problèmes
voici quelques précipitations majeures qui intéressent nos
sens.
- Du point de vue économique, quel est l'impact de la
mondialisation au développement de l'Afrique et en partie la
RDC ?
- La mondialisation est-elle le stade suprême du
développement économique en RDC ?
2. HYPOTHESE
A toute question correspond une réponse .Pour
mieux avancé dans son étude, le rechercher propose des
réponses provisoires aux questions qu'il se pose.
A la lumière de notre problématique, nous
pensons que l'Afrique à traverse trois étapes importantes dont
colonisation, des indépendances et la nouvelle mondialisation .Pourtant
avec l'absence de moyens économique sur d'immenses parties de continent
africain, de manque d'esprit d'hommes politique etc. L'économie en
Afrique a pris de proportions démentielles et de dysfonctionnement
généralisé de système de la mondialisation. En plus
notre continent et la RDC en partie évolue incontestablement à
l'envers des développements économiques et de la
modernité sur lequel s'appuie la mondialisation
Par ailleurs, l'idée de dire que la
mondialisation est le stade suprême du développement
économique africain, c'est grâce à la colonisation que
certains états africains ont été économiquement
ouverts dans le monde. C'est notamment les cas de la RDC qui, à partir
de l'an 1999, a tente se rattraper économiquement par l'arrivée
au pouvoir du feu président LAURENT DESIRE KABILA.
V. METHODE ET TECHNIQUE DE RECHERCHE.
Tout travail scientifique ne peut se
prétendre être scientifique s'il n'a pas été
concis dans une méthode bien définie et adéquate. Le terme
méthode signifie un ensemble des précédés
utilisés pour découvrir la vérité.
Dans le cadre de notre travail, nous avons
opté pour les méthodes descriptives qui sont des pistes courantes
applicables au niveau de tables des disciplines des sciences sociales. Elles
fournissent des formules des combinaisons que le chercher adopter au contour de
son étude dans sa discipline et à la notre de l'objet qu'il
étudie 6(*) parmi ces méthodes descriptives, nous
avons préfère la méthode structural.
1. la méthode structurale : cette
méthode nous a parmi de bien cerner le fait de la mondialisation comme
un ensemble ordonnée des éléments. La mondialisation
entant que processus, cette méthode nous a aidée a bien
dénicher l'origine de ce phénomène économique en
Afrique et en partie la RDC a travers l'impérialisme et le
néo-colonialisme qui ont fait introduire le concept de la mondialisation
sur le continent africain. C'est grâce aussi à cette même
méthode que nous sommes parvenus à évaluer
l'économie de la RDC face à ce fléau de la mondialisation
par l'analyse des structures économique qui se sont
déroulées depuis 2000 jusqu'en 2005.
2. TECHNIQUE
Il est important que tout travail scientifique ne
peut se c constituer sans avoir l'appui d'une technique.au fait dans l'esprit
scientifique, nous avons fait recours aux technique suivantes.
1. technique de commentaire : qui nous a
permis d'enrichir notre travail pour les écrits existant. A la rigueur
que tient un travail nous avons eu le courage de consulter des ouvrages des
articles, des recueils et les sites internet relatifs à notre travail.
2. interview : est une technique de
recherche qui consiste à récolter des renseignements sur une
matière grâce a la communication verbale directe que
l'enquêteur assure avec l'enquête7(*). Il
peut être :
· interview d'opinion : qui
consiste à dénicher les avis ou les attitudes d'une
société donne a une autre nous avons fait recourt à cette
technique pour découvrir le développement économique de
la RDC par des opinions reçues
VI. PLAN SOMMAIRE
Hormis l'interdiction et la
conclusion, notre travail portera sur trois
chapitres :
1. CHAPITRE I.
Généralité.
2. CHAPITRE II. Structure
économique de la RDC
3 CHAPITRE III. Impacte de
la mondialisation face au développement
Des Etats
africains en particulier la RDC
CHAP.I.
GENERALITE
SECTION 1. DEFINITION DES CONCEPTS DE BASE
1. IMPACT
Définir le mot impact, nous semble un peu
difficile. Mais nous avons donné quelques définitions
particulières d'après certains ouvrages. Selon le dictionnaire
la rousse l'impact est un fait produit par un corps projectile. Mais
d'après le contexte, l'impact est un fait qu'a connu la mondialisation
en Afrique à travers phénomènes dont la colonisation, la
civilisation etc.
2. MONDIALISATION.
La mondialisation est le processus d'ouverture
de testes les économies nationales sur un marché devenu
planétaire. Elle est favorisée par l'interdépendance entre
les hommes, le dérèglement, la libéralisation des
échanges la délocalisation de l'activité, la
fluidité des mouvements financières, le développement des
moyens des transport , de télécommunication ... le terme
mondialisation est surtout utilise dans le domaine économique , mais
elle touche a toutes les activités humaines :industrie ,service ,
commerce , politique , sociale ... elle concerne aussi la communication et les
échanges entre tous les individus de la terre devenue un village
planétaire entre différentes culture .
Bien qu'étant de nature
économique, le terme mondialisation est souvent mis en regard de
l'environnement humain et pointe particulièrement aux manifestations
perceptibles que sont la mondialisation économique et le changement par
la diffusion mondiales des informations. D'ou, la mondialisation prétend
se définir, d'après LAURENT CARASE,8(*) comme un processus historique d'extension des
systèmes capitalistes a l'ensemble de l'espace géographique
mondiale. Pour la part d' OLIVIER 9(*)DOLIFUS ,la mondialisation est l'échange
généralisé de notre les différentes parties de la
planète MICHEAL FEDOI , quand a lui , il pense que la mondialisation
recouvre un ensemble de phénomènes : développement
des échanges internationaux , distributions communication a
l'échelle planétaire sans oublier le rôle de l'anglais
comme langue véhicule et le sentiment accus de l'appartenance a un monde
qui repose plus que jamais sur de multiple et complexe entre pays
10(*)
Apres avoir passé en revue quelques
définitions des auteurs classique sur la mondialisation qui a
progressé de façon spectaculaire en raison de la croissement
rapide valeur d'après les auteurs ,elle se manifeste par
l'interdépendance croissante des économies et l'expansion des
échanges et des interaction humaines ce phénomène touche
un nombre croissant de personnes dans la plus par des domaines avec des effets
qui exigent le transfert des échanges internationaux de biens de main
d'oeuvre et de connaissance .
Par contre, nous pensons définir la
mondialisation comme un accès d'une partie des populations parfait
éloignées d'une part et aussi la prise de conscience par les pays
développés dans leur ensemble de la diversité des cultures
au niveau mondial.
3. DEVELOPPEMENT
Le terme développement ne peut pas
être compris sans son antipode « sous développement
« ce dernier est un terme apparu dans le département d'état
américain et désignait l'aide financière accordée
aux colonies ainsi qu'au pays ravages par les calamites naturelles
Au regard de toutes ces circonstances, le
développement se définit comme un processus, un ensemble de
stratégie à la fois économique, politique, sociale et
culturelle dont le but est de mettre fin au mécanisme de domination, de
dépense et de miserisation massive de façon rationnel les
ressources devant conduire a l'amélioration des conditions de vie de
population 11(*)
Pour le professeur MWAMBA SINONDA, le
développement est la capacité d'une société de
produire les biens et services delà majorités de ces
membres12(*) le développement est un terme tel
que : la politique, l'économie, le social et le culturel.
D'où le développement
économique désigne les évolutions positives dans les
changements structurels d'une zone géographique une ou d'une
population : démographique, techniques, industriel, sanitaires,
culturels, sociaux ... le développement économique s'associe
aussi ou progrès.
Au fait, le développement durable se
définit comme un développement qui répond aux besoins Dun
présent sans compromettre la capacité de
générations futures de reprendre aux leurs. lue
développement durable s'appuis sur une vision a long terme a la prise
de décisions repos e sur un ensemble de principe permettant de conjuguer
les enjeux environnementaux , économique , et sociaux ,en vie d'un
développement responsable quant au développement social qui est a
comprendre comme un processus participatif de production sociale il se
construit avec le plus grand nombre des acteurs d'un même territoire sur
une stratégie de definitio0n négociée d'un projet
d'amélioration de promotion durable
4. ETAT.
Définir l'état n'est pas une
chose aisée car la notion de l'état varie selon les auteurs et
selon les ouvrages. D'âpres MARK WEBER l'état est un territoire
revendique avec sucée par son propre compte le monopole de la violace
légitime 13(*)
D'après le juriste CARRE MALBERG,
définit l'Etat comme une communauté d'hommes, fixée sur un
territoire propre et possédant une organisation d'as résulte
pour le geste envisage dans ses rapports avec ses membres une puissance
suprême d'action , de commandement et vde coopération14(*) . Cet auteur
sou ligne ainsi la double acception de la notion d'état qui correspond a
un mode d'organisation sociale territorialement et a un ensemble d'institutions
caractérisées par la de tentions du monopole l'édiction de
la règle de droit et de l'emploi de la force publique
Quant à l'encyclopédie encarta,
l'état est une forme d'institutionnalisation du pouvoir politique,
autorité souveraine s'exerçant sur l'ensemble d'un peuple dans
les limites d'un territoire déterminer15(*)
Le dictionnaire la rousse quant à elle
ajuste que un état est une entité politique constituer d'un
territoire délimitée par des frontières d'une population
et d'un pouvoir institutionnalisé16(*)
Pour bien différencier l'Etat à
l'état, avec majorité `il désigne la personne morale de
droit politique as public, sur le plan juridique représente une
collectivité, un peuple une nation à l'intérieur ou
à l'extérieur sur le quel elle exerce le pouvoir suprême,
la souveraineté 17(*)
Avec minuscule un état dans la science
physique désigne une évaporation ou le passage de l'eau de
l'état liquide à l'état gazeux. Il peut aussi
désigne une situation morale ou physique d'un individu .en politique un
état est une situation économique qui se déroute entre
états.
Ainsi, nous pouvons définir l'état
avec majuscule comme une organisation politique qui, a travers les institutions
établies, règlement les rapports entre le membre d'une
société.
5. AFRIQUE.
L'Afrique est un continent, regroupant 53 pays
repartis sur cinq régions géographiques constitue par l'Afrique
du nord, l'Afrique de l'ouest, l'Afrique centrale, l'Afrique de l'est et
l'Afrique australe. Le continent africain est traversée des par et
d'autre de l'équateur. Il est délimitée a l'est par
l'océan indien et la mer rouge, au nord par la mer
méditerrané, a l'ouest par l'océan atlantique, la pointe
sud du continent marque lab. séparation entre les océans indiens
et atlantique. Elle couvre une superficie d'environ 30 million de km carre elle
est séparée de l'Europe par le détroit de Gibraltar et de
l'Asie par le canal de suez.
6. REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
La République démocratique du Congo
est un pays du continent africain située en Afrique central. Sa capitale
est Kinshasa. Elle est bordée par la république du Congo à
l'ouest, la r publique centre Afrique et le sud soudant au nord, l'Ouganda, le
Rwanda, le Burundi, la Tanzanie à l'est, la Zambie et l'Angola au sud
Par ailleurs, elle s'étend sur une
superficie de 2.344 .885 km carre .elle occupe l'immense cuvette correspondant
au bassin du fleuve Congo qui donne son unité au pays par l'ampleur de
son bassin. La République démocratique du Congo compte sept
groupes ethniques et prés de trois cent groupes .les principaux groupes
majoritaires sont les b bantous et les pygmées.
CHAPITRE. II.LES STRUCTURES ECONOMIQUES DE LA
RDC
Apres une décennie parsemée des guerres, dites
de libération et d'agression, il revient maintenant aux peuples
congolais de réfléchir sur l'avenir, mieux encore le devenir et
l'intégration dans la mondialisation en passant par l'économie
comme facteur de développement durable.
Comment le peuple congolais pourra t il
retrouver l'espoir d'une vie décentrement et humainement acceptable ou
les problèmes de la faim, de la malnutrition, du charge, de
l'analphabétisme numérique auront disparu.
Ce sujet scientifique qui parle sur la
mondialisation, introduit en république démocratique du Congo par
le truchement de la colonisation depuis les années 1909 à
l'époque ou le pays était sous le contrôle occidental. A la
une, l'impact de la mondialisation comme analyse sur l'économie
congolaise qui, au court de quatre dernières décennies,
relève des traits susceptibles pour marquer durablement son
évolution future au regard de ses relations avec les restes processus
du monde engagé dans le développement durable.
Il s'agit d'une part de la prédominance
technologique archaïque à très faibles productivités
dans tous les secteurs d'activités économiques et d'autres part
de la faiblesse des moyens logistiques modernes indispensables pour la
défense de la production rurale locale face à la concurrence
internationale qui s'accroit au jour le jour grâce à la
modernisation dû au développement et à l'ouverture des
frontières économique résultant d'une part de l'expansion
et de l'internationalisation des moyens de communications électronique
,connu sous le nom de la mondialisation ou de la nouvelle technologie
informatique et de la communication et d'autre part , de grands ensembles
économiques régionaux et continentaux.
La république démocratique du Congo,
à l'instar de la majorité des pays africains, continue à
s'enliser dans des circuits économiques désuètes,
animée par des entreprises décadentes dont beaucoup fonctionnent
à peine, disons, au dixième de leurs capacité
installée. Il y a donc lieu de craindre que la république
démocratique du Congo, prise isolement par ce coup fort de la, mauvaise
main d'oeuvre publique, ne puisse jamais être à mesure de se faire
sortir dans ce phénomène du sous développement
Au regard de ce qui précède, nous
constatons que la république démocratique du Congo est un pays
des pays sous développés en afrique, pauvre et moins
avancée économiquement, d'où la nécessite de notre
travail. Les congolais pensent que les investissements et les problèmes
de développement doivent être résolus par d'autres
qu'eux-mêmes. Cette phase confirme la valeur de la
décentralisation qui veut la participation populaire pour qu'il y ait
développement. Dans les mêmes ordres d'idée, nous
constatons qu'un peuple ne peut s'engage sur la voie du développement
que s'il accepte de se développer18(*).
Ceci nous amène à poser la question
de comprendre qu'est ce le développement ? Au moment ou la
république démocratique du Congo vient de faire un pas en avant,
en utilisant la décentralisation comme mode de gestion, la grande
préoccupation reste à savoir comment elle peut aboutir au
développement. D'où le développement est alors
défini comme une amélioration qualitative et durable d'une
économie et de son fonctionnement. Il est la combinaison des changements
mentaux et sociaux d'une population qui peut la rendre à faire croitre
cumulativement et durablement son produit réel global.19(*)
SECTION.I. NOTION DU SOUS DEVELOPPEMENT
Le développement s'oppose au sous
développement. Pour mieux cerner la définition du
développement décrit ci haut, il est bon d'énoncer un
ensemble des critères permettant de définir le sous
développement. Selon R.J ALEXANDRE, les caractéristiques
essentielles des nations sous développées sont au nombre des
sept, et que chaque pays sous développé ne les a pas toutes les
sept mais ils ont tout au moins une20(*). Il s'agit notamment de :
1. Un faible revenu réel par habitant ;
2. Une économie en déséquilibre ;
3. Des ressources naturelles inutilisées ou
exploitées par des nations fortement industrialisées ;
4. Une économie aux structures plus traditionnelles
orientées dans le sens d'une économie des
marchés ;
5. Des équipements relativement peu importants par
rapport a une main d'oeuvre abondante ;
6. Un sous emploi structurel ;
7. La conviction largement rependue dans la population du pays
elle-même que celui -ci est sous développé.
La situation de la république
démocratique du Congo, comme nous l'avons présenté en
passant, illustre parfaitement la définition du sous
développement et s'oppose au développement. D'où l'impact
de la mondialisation au développement de la république
démocratique du Congo.
SECTION.II NOTION DU DEVELOPPEMENT
Le développement est, d'après
l'assistant J. J. MUNGA21(*), analysée en tenant compte de deux
aspects notamment :
- Un aspect quantitatif ;
- Un aspect qualitatif.
Pour analyser le développement ou dire
que ce pays est développé, il y a deux critères de mesure
(PIB, IDH), ainsi nous distinguons six groupes de pays :
1. Le s pays moins développés : IDH <
300$
2. Les pays sous développés : IDH <
500$
3. Les pays envoient de développement : IDH <
1000$
4. Les pays développés mais pauvres : IDH
> 1000$
5. Les pays développés riches : IDH
+ 2000$
6. Les pays super développés : IDH
> 3000$
Pour obtenir une telle dynamique des progrès
de la société comme un tout vivant, il faut opérer des
changements dans le comportement et la mentalité des individus qui la
compose. Bref elle ne sera possible que grâce à l'autorité
en charge de la situation concernée car le développement doit
être endogène et introverti.
A cet effet, le développement socio-
économique est le résultat des plusieurs causes. Ces causes sont
de nature tant quantitative que qualitative. Les économistes se sont
intégrés à une interrogation sur les origines de ces
évolutions, en ce qui concerne le développement socio
économique, les contributions ne sont toutes fois multipliées
que depuis le début des années 195022(*). Le
développement se base sur :
- L'utilisation des ressources locales ;
- La capacité de contrôler le processus
d'accumulation ;
- Le contrôle de l'innovation ;
- La capacité des réactions aux pressions
extérieures
- La capacité d'introduire des formes
spécifiques des régulations sociales au niveau local ;
- Les actions territoriales conscientes qui influencent
l'émergence ou la localisation d'activités économiques.
Par action, il faut entendre tout acte volontaire et réfléchi
d'acteurs régionaux.
L'expansion économique de l'unité
nationale décentralisée s'en ressent. Elle peut toute fois
également être influencée par les phénomènes
involontaires. De ces deux facteurs découlent les facteurs
suivant :
· Les investissements privés ou publics, dont le
contrôle échappe souvent aux entités ;
· La présence d'un moyen de transport national
(lac ou fleuve) ;
· L'approximative avec le marché en amont et en
aval de la production est généralement non
négligeable ;
· L'offre de travail, sa disponibilité, sa
qualité, son cout sont aussi parmi les facteurs ;
· La qualité de l'environnement ;
· Le moyen de communication tels que route, autoroute, et
voies d'accès, port et aéroports des adducteurs, d'intrants tels
que l'eau, l'électricité...
· La législation économique et sociale, la
réglementation en matière d'aménagement du territoire,
l'attitude des autorités publiques, la sécurité et de
manière plus spécifique, la fiabilité, la fiscalité
et les aides publiques.
· Une organisation efficiente de la production
industrielle en réseaux de petites et moyennes entreprises
localisées.
En outre, il faut noter d'autres facteurs qui ne
sont pas économiques, il s'agit notamment de changement de
mentalité. 23(*)
SECTION.III. LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU
CONGO
FACE AUX ENJEUX
MONDIAUX.
La république du Congo devient de plus en
plus un territoire ou se joue des enjeux mondiaux de tout genre. Avec la
flambée de prix des ressources naturelles, la diminution des ressources
en cas douce, la montée en flèche de prix des produits
alimentaires et des matières premières agricoles, le pays se voit
contrant à élaborer une stratégie cohérente pour
tirer son épingle du jeu.
Ce pays est un stade ou se joue toutes les
conséquences possibles de la mondialisation. quand nous nous plongeons
à étudier la structure économique congolaise, nous
comprenons que , grâce à sa grandeur , ce pays à la
capacité de soutenir toute l'Afrique , mais aujourd'hui emboitée
par les enjeux mondiaux.
SECTION.IV. LES STRUCTURES ECONOMIQUES DE LA
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
1. L'AGRICULTURE
Avec 80 millions d'hectares des terres
cultivables, le Congo pourrait nourrir prés d'un tiers de la population
mondiale.24(*) Les exportations agricoles que ne
représentent qu'environ 10 pourcent du produit national bruit (PIB) en
2006, contre 40 pourcent en 1960. Jadis, florissant avec une production plus
réduite, le secteur agricole aujourd'hui de la république
démocratique du Congo, totalement paralysée, connaît une
asthénie de production conduisant 73 pourcent de la population
congolaise à vivre en insécurité
alimentaire.25(*) Les importations des
denrées alimentaires (produits de première nécessite)
augmentent et les exportations de produits de rente baissent.
La production s'est en effet réduite
depuis quelques années à des activités de subsistance
malgré des conditions naturelles favorables (environ 97 pourcent des
terres arables bénéficient d'une saison culturale de plus d'huit
mois dans une année.
De plus ,34 pourcent du territoire national sont
de terres agricoles dont 10 pourcent sont mises en valeur. ce problème
sectoriel, particulièrement lié à la production,
relève de problème d'accès au marchés,
d'évacuation des produits, des conservation, de la perte de mains
d'oeuvre agricole (suite aux conflits et aux maladies endémiques) et des
semences de qualité de l'utilisation de techniques inappropriées
et du manque d'instrument de travail adéquats.26(*) Cependant
l'agriculture reste le principal secteur de l'économie et du
développement d'un pays en voie de développement et comprend les
mécanismes qui bloquent ce pays à améliorer son
économie agricole.
2. L'ELEVAGE
Au niveau de l'élevage en république
démocratique du Congo, les capacités potentielles varient entre
30et 40 millions de bovins avec une charge totale de 1/6 a ½ pendant toute
l'année, n'est pas encore la priorité du
gouvernement27(*). Ce secteur est peu développé
au pays en raison des conditions naturelles qui ne sont pas favorables à
l'élevage du gros bétail sur une grande partie du territoire.
Par ailleur, la foret dense n'a pas de
pâturage et la trypanosomiase, véhiculée par le mouche
tsé-tsé, servit à l'état endémique dans la
plupart des régions basses du pays. Les régions montagneuses de
l'est et du sud est sont, en revanche propices à l'elevage. Le
bétail venant des pays voisins. Cet élevage est pratiqué
par des populations de pasteurs spécialisés ou par quelques rares
ranches modernes. Les éleveurs traditionnels et les soins
vétérinaires sont peu pratiqués. Les effectifs du bovin
ont été estime au niveau national à environ 1993 et 18
pourcent en 1995. Outre ce troupeau, dans presque tous les villages, un petit
Chapel de caprins de porcs, d'animaux de basse cour (valouses) vit en
liberté autours des cases et à la périphérie des
villes.
D'une manière générale,
même si la viande, surtout les morceaux « nobles »,
est de moins en moins consommés par les couches
défavorisées, qui privilégient les bas morceaux ,la poule
( 1000 tonnes importées mensuellement) ou le poisson bon marché
dans leur alimentation ,la production de viande et de volaille demande de
recourir aux importations . De même les productions d'oeufs et de lait
est très insuffisante.28(*)
3. L'INDUSTRIE
Par definition, l'industrie est l'ensemble des
activités qui ont pour objet la transformation de matière
premières en produit fini.29(*) .elle ,comme l'agriculture contribue aussi au
développement par création d'emploi, la vérification et la
modernisation de l'économie ( progrès technique , formation des
hommes..), la transformation structurelles ( développement du
salarié classé par développement ,les échanges
monétaires , l'urbanisation ... ce secteur industriel en
république démocratique du Congo n'a contribué pour 5,6
pourcent au produit intermédiaire bruit (PIB) en 2003 . autrefois
important, il est actuellement composé de quelques petites usines dans
le textile , 'agroalimentaire ,la chimie et le secteur des biens
d'équipement . toutes les branches de production ont souffert de la
crise qui frappe le pays . les industries manufactures ont été
coupées de leurs sources d'approvisionnement en matières
premières et de leurs débouchées en produits fini . elles
n'utilisent qu'entre 15 et 17 pourcent des capacités productives
installées.30(*).
Pour que la république
démocratique du Congo soit capable de se développer au nouveau
national, il y'a trois stratégies d'industrialisation qui pourront
développer le pays. Il s'agit de31(*):
1. La stratégie d'industrialisation par
substitution de l'importation: qui consiste à remplacer
progressivement les importations par une production locale. cette politique a
été adoptée par des pays de l'Amérique du sud. le
grand problème qui empêche au pays de pratiquer cette strategie,
c'est par ce qu'il n'y a pas la production contre la concurrence des produits
importés aux produits exportés produits exportées pour que
son économie s'améliore, mais elle ne doit pas aussi être
rigoureuse aux investisseurs locaux qu'aux produits importés.
2. La stratégie d'industrialisation
industrialisant: qui consiste dans la mise en place d'industrie
motrice dont les effets d'entrainement sur les restes de l'économie sont
importante. Il s'agit principalement de la stratégie, la
métallurgie et la chimie lourde. Cette stratégie favorise es
milieux par la création d'autres usines en amont et en aval, la
république démocratique du Congo doit à tout pris
apprendre à pratiquer cette stratégie pour son compte du
développement. c'est par la création des usines que le pays peut
émerger au développement.
3. La stratégie d'industrialisation par
valorisation: qui consiste dans le développement des
marchés d'exportation sur les marches mondiaux. Cette stratégie
à deux volets;
- L'industrialisation par substitution des
exportations: qui consiste à remplacer l'exportation des produits
bruits en produit fini
- L'industrialisation par promotion des exportations
: qui est une stratégie consistant à remplacer les
exportations manufactures peu élaborés par des nouvelles à
forte valeur ajoutée.
Les obstacles de l'industrie en
république démocratique du Congo
Le grand problème qui empêche le
pays de se développer, c'est parce que le peuple congolais en
majorité préfèrent les produits finis importés
qu'aux produits finis exportés localement. Il y a encore
l'étroitesse du marché intérieur du pourvoir d'achat de la
population. Et ce qui bloque de plus le pays c'est cette thésaurisation
administrative. C'est-à-dire l'administration congolaise veut
épargner son capital qui investir son économie dans la
création des usines, pâturage....
4. LE SECTEUR SERVICE
Ce secteur en république
démocratique du Congo est dominé par les transports et les
télécommunications. Timidement, il a commencé à
attirer des investisseurs. Le secteur tertiaire a représenté 27,9
pourcent du produit intérieur bruit en 205 et affiché un taux de
croissance réel de 7,8 pourcent essentiellement du aux bonnes
performances des transports, des communications et des services
financiers.32(*) Le
secteur de service au pays est un secteur trop négligé dans le
sens que le pays a longtemps souffert des guerres de rebellions.
5. SECTEUR INFORMEL
L'économie de la république
démocratique du Congo est aujourd'hui bien plus pauvre qu'elle ne
l'était à l'independance. La désorganisation de l'offre et
l'érosion presque continue de la demande l'ont entrainée depuis
les années 1970 dans une spirale négative provoquant
l'information de secteur entier, voire leur criminalisation jusqu'à ce
que le pays s'installe dans une économie de guerre à la fin des
années 1990.33(*)
En 1990, selon un rapport de la conférence
nationale souveraine, le secteur informel représentait prés de 60
pourcent des activités économiques. 12 ans après, il est
évident que ce secteur présente plus de 8 pourcent des
activités 34(*)
Selon les statistiques du droit
international du travail, la population oeuvrant dans l'économie
informelle est estimée à 19871347 personnes soit 72 pourcent de
la population en âge actif. La part de l'économie informelle dans
la création s'est accrue continuellement au point de devenir le secteur
dominant de la république démocratique du Congo.35(*)
L'économie informelle en république
démocratique du Congo revêt plusieurs formes. bien que le volume
de production de ce secteur a grandement augmenté, le secteur informel
congolais ne joue pas un rôle essentiel dans l'économie nationale
, fournissant des revenus minimum à ses employés.36(*)
6. LE SECTEUR PRIVE
Le secteur privé a évalué,
depuis environ trois décennies dans un environnement
particulièrement difficile. En effet , depuis les années 1970
,les efforts conjugués de l'effondrement des cours de cuivres et du
crash pétrolier sur l'économie , les mesures suicidaires de
zaïrianisation et de la radicalisation , ainsi que des grèves
régulières et du climat d'insécurité
généralisée des années 1990 ont contribué
à briser l'essor des secteurs productifs , en installant un climat de
méfiance , particulièrement auprès des operateurs
économiques expatriés entrainant ainsi la fuite des capitaux.
Les pillages de 1991 et 1993 ainsi que les guerres
de 1996 et de 1998 ainsi que les conflits armés ont également
conduit à la destruction de l'outil de production et ont eu comme
corollaire le découragement des investisseurs étrangers et le
tarissement de l'aide publique au développement, principale source de
financement de l'investissement public.
SECTION .V. LA POLITIQUE ECONOMIQUE DE LA RDC
La situation économique et
financière de la république démocratique du Congo qui a
prévalu à la fin du siècle dernier, à amener
l'économie à une très profonde dégradation. Aucun
plan de l'économie n'y a échappé. Un taux de croissance
négatif (atteignant même -4,3 pourcent en 1990 à -11,4
pourcent en 2000) et un taux d'investissement qui s'élevait à 8,5
pourcent en 1997 est tombé à 4,5 pourcent en 2000 ne pouvaient
avoir que comme conséquence une paupérisation
considérable de la population congolaise 37(*)
Le revenu par tète est tombé de 85950
franc congolais qui vaut 191 dollars américains en 1990 à 36000
franc congolais qui vaut 80 dollars américains en 2000. L'inflation est
demeurée très vive, atteignant par exemple 3642 pourcent en 1991,
9796,9 pourcent en 1994 et, plus récemment 511 pourcent en 2000. Les
finances publiques se sont soldées constamment par d'importants
déficits ouverts essentiellement par les avances de la banque centrale
du Congo.38(*)
La monnaie nationale a perdu l'essentiel de sa
valeur sur le marché des échanges; en dépit de multiples
reformes monétaires. L'hyperinflation et la dépréciation
monétaire consécutives à l'expansion
inconsidérée des liquidités intérieures, ont
inséparablement contribué à l'effritement du pouvoir
d'achat des ménages.
Confronté aux déséquilibres
macroéconomiques à la montée considérable de
l'endettement et à la depression, le pays s'est vu être contraint
dans les décennies 70 et 80, à adopter une gamme de politiques
recommandées par le fond monétaire international et la banque
mondiale.
Des politiques de stabilisation mêlées
aux mesures de globalisation conjoncturelles n'ayant pour fin que le
rétablissement de l'équilibre budgétaire et des paiements
extérieur ont été appliqués dans les
premières années avant d'être complétés plu
tard par des politiques structurelles. Quelle que soit l'analyse faite, les
approches monétaires de la balance des paiements et de l'absorption se
rejoignent pour designer, au Congo, comme caisse principale du
développement externe, le financement monétaire de l'Etat
à l'occasion de ses déficits budgétaires récurrents
et important.
En revenche, la situation économique de la
république démocratique du Congo demeure encore précaire,
comme pourraient en témoigner des déficits budgétaires du
dernier trimestre de l'année 2005. Et le pays occupe, en 2005 selon la
banque mondiale la 178 position, c'est-à-dire la dernière place
sur la liste des pays du monde considérées d'après leurs
capacité à offrir de facilites de faire des affaires.
CHAPITRE .III. IMPACT DE LA MONDIALISATION FACE AU
DEVELOVELOPPEMENT DES
ETATS AFRICAINS
EN
PARTICULIER LA RDC
Apres une longue analyse de la situation
économique de la république démocratique du Congo dans les
différents domaines, il revient maintenant de faire ressortir l'impact
de la mondialisation au développement du continent africain et de la
république démocratique du Congo.
De ce fait, il est utile, dans ce
troisième chapitre, de tracer une ligne négative au
développement du continent africain pendant son intégration dans
la mondialisation. Bien de gens pensent que quand on évoque le terme
mondialisation, on a toujours tendance de voir le coté positif et
pourtant le cote positif n'apporte que des fruits à une minorité
des gens .seulement peu qui en profitent et nombreux crèvent dans le
sous développement.
A cet effet, comme ce troisieme chapitre parait
être vaste dans l'analyse, nous avons eu l'audace de relever certains
points importants pour enlever les contraintes de la mondialisation au peuple
africain et en particulier la république démocratique du Congo.
La nécessite nous est de donner l'apport et la facette négative
de la mondialisation au développement de la république
démocratique du Congo et pousser les dirigeants africains et congolais
de prendre conscience aux actes pour l'Afrique s'intègre au rang du
développement durable.
SECTION.I. L'AFRIQUE SOUS L'IMPACT DE LA MONDIALISATION
Comme nous l'avons décrit ci haut, la
mondialisation traduit l'extension géographique des échanges
commerciaux, mais également l'extension du domaine de ces
échanges. Elle ne concerne plus simplement les marchandises, mais
englobe aussi les capitaux, la main d'oeuvre, les services, la
propriété intellectuelle, les oeuvres d'art etc.
Elle désigne l'expansion et
l'articulation tantôt harmonieuse, des liens d'interdépendance et
des situations qui découlent entre nations, activites humaines et
système politique et sociaux, soit un processus historique par lequel
des individus, des activités humaines et systèmes politiques et
sociaux vivent leur dépendance mutuelle et échanges
matériel autant qu'immatériel s'accroît sur des distances
significatives a l'échelle planétaire39(*).
Néanmoins, l'utilisation du terme comme tel
s'est généralises dans les années 1980, à une
époque ou les contraintes liées au développement des
échanges commerciaux et financiers entre économie nationale sont
devenues plus fortes et ont réduit les marges de manoeuvres des
politiques économiques des Etats.
Par ailleurs, les historiens signalent
plusieurs phases dans le phénomène d'internationalisation de
l'économie mondiale depuis la période d'ouverture des
échanges avec le commerce au long cours et à la conquête
du XIX en siècle. Chaque phase est marquée par des progrès
techniques dans le navire maritime puis aérienne, le
développement des télécommunications couplées
à l'informatique (marine à voile, à vapeur, train à
grande vitesse, télégraphe, internet...) 40(*)
Ensuite, le volume des marchandises
échangées et des données transmises ont été
à chaque phase multipliées d'un facteur élevé et la
croissance des échanges a systématiquement dépassé
la croissance de la production intérieure entre 1990 et 1998 le commerce
mondial a aussi progressé de façon spectaculaire en raison de
l'accroissement rapide de flux de capitaux et de développement des
bourses de valeur dont une bonne partie de transactions se fait
désormais en ligne c.à.d. à peu prés en temps
réel.
Enfin, dans la dernière phase la
mondialisation semble se déplacer vers le domaine de la courante,
affecter les modes de vie et les oeuvres de l'esprit et le mise en relation
directe. De partie du monde en un même moment et la possibilité
d'interactivité.
L'Afrique n'a pas bonne presse de nos
jours d'où tant que le produit intérieur brut de toute l'Afrique
ne représente que deux pourcents de celui du monde, soit à peu
prés le produit intérieur bruit d'un pays
développé.
Et pourtant l'Afrique est vaste plus que
cela car refuse de mourir. Ce que elle est fondée sur un solde de
valeurs qui, depuis cinq siècles, l'empêche de disparaitrait
41(*)
Elle a survécu aux effets de
l'esclavagisme ainsi qu'aux problèmes de la colonisation et de la guerre
froide, à présent elle affronte sans résignation ni
défaitisme le joug de la mondialisation. Le parcours d'analyse pour
tirer l'origine de ce terme remonte aux années 1900. Ce terme, en
Afrique tiré son origine dans les années de la civilisation et de
la colonisation a travers la traite de noir, l'esclavagisme et la
discrimination raciale.
Par ailleurs, la colonisation parmi ces
trois étapes citées ci haut est caractérisée par
l'éveil de la conscience du peuple africain à l'abandon des
cultes traditionnels africains.
Par contre la période des
indépendances marque la phase du libéralisme du continent
africain face à la traite et l'esclavagisme. Cette période a
donné accès aux continent de s'ouvrir mondialement et de trouver
sa place sur la scène international.
Mais enfin, la période de la nouvelle
mondialisation détermine un coup d'envoi au développement du
continent africain qui, longtemps était un sujet d'expérience, et
d'exploitation des ressources naturelles aux colons, commerce à se
ranger parmi les pays développés. Mais ce continent est
freiné encore à cause de conflit armées qui s'opposent et
des massacres grandissants qui s'augmentent du jour au jour.
Dans l'ouvrage, l'Afrique dans la
mondialisation42(*) MKHAR
DIOOF développe l'origine de la mondialisation en Afrique dans
l'histoire du continent et montre la continuité de la mondialisation.
Selon lui la mondialisation est introduite en Afrique par le truchement de la
découverte et de la civilisation est une source de développement
de continent africain
SECTION.II. LA MONDIALISATION ECONOMIQUE ET SON
IMPACT
EN AFRIQUE
La mondialisation économique en
Afrique est repartie dans plusieurs volets très constants selon les
pays considérés. Les pays en développement ne constituent
pas un bloque au niveau mondial, c'est ainsi qu'on peut constituer quatre
groupes des pays.
II.1.LES NOUVEAUX PAYS INDUSTRIALISE
Ce sont des pays qui s'industrialisent depuis
l'année 1960 qui se fondait sur le produit manufacturés.
Ces pays semblent être les grands gagnants de la
mondialisation économique car profitant d'une main d'oeuvre
qualifiée et à faible cout. Le bilan du développement
économique pour ces pays est très contraste. C'est à
partir du début de 1980, ces nouveaux pays industrialisés sont
dénommés les pays émergents parmi ces pays il y
a :
- les dragons asiatiques : la
Corée du sud, le Singapour le Taiwan et l'état cité de
Hongkong
- le tigre asiatique :
Malaisie, taillande, indonesie, philipine
- les jaguars sud
américain : le brésil, argentine, chili et
Mexique. 43(*)
On ajoute à cette liste la chine, l'inde et les
pays de l'Europe centrale et orientale. Ces pays émergents ont un PIB
à celui des pays du nord ils sont caractérisés par :
· un produit intérieur but par habitant est
élevé à celui des pays du nord
· leur croissance économique est rapide dans
l'insertion ou dans les circuits commerciaux et financiers internationaux.
· Leur niveau de vie et l'infrastructure à
tendance à celui du nord mais ça dépasse parfois
En Afrique, on a que peut de pays qui sont
rangé parmi ces pays émergents. Ces nouveaux pays
industrialisés c'est le cas de:
- l'Afrique du sud ;
- l'Egypte,
- Maroc ;
- Tunisie
Ces pays d'Afrique ont aussi une tendance des vies
comme celle du nord. Malgré que ces pays soient
développés, ils subissent aussi le coup de vent de la
mondialisation qui ravage le continent africain par des manifestations
populaires qui sont devenus un phénomène courant dans ces pays du
Maghreb. Ce qui justifie que ces pays sont sous le coup de la mondialisation.
44(*)
II.2. LES PAYS EXPORTATEURS DES PETROLES
Ces pays sont des pays qui ont une
tendance semblable à celle des pays développés grâce
à leur économie pétrolier qui leur fait entre dans la
scène internationale malgré leur productivité de
pétrole, ces pays ne sortent jamais du sous développement car
leur revenu pétrolier est mal géré ou de la
manière la plus inefficace. Ces pays sont sous l'impact de la
mondialisation parmi eux il y a :
- la Lybie ;
- l'Algérie.
Même si ils ont un produit
intérieur bruit (PIB) élevée, ces pays n'ont qu'une base
de production la mono exportation pétrolière c.à.d. ils ne
considèrent que la production commercialisée et laissent passer
la production informelle et la production autoconsommée qui deviennent
leur aider à se rattraper dans la mondialisation45(*)
II.3. LES PAYS A REVENU INTERMEDIAIRE
Ces pays subissent le vent de la
mondialisation. Ils sont classés entre les pays du nord et les pays
sous développés car leur produit intérieur bruit par
habitant est supérieure à 465 dollar américain et
inferieur à 9386 dollars américain. Leur niveau de vie est plus
élevé que celui des pays à faible revenus c.à.d.
par habitant est inferieur à 765 dollar américain. Ils ont un
accès des habitants à plus de biens et services, mais la
majorité ne parvient à subvenir à leurs besoins
essentiels46(*). Ces pays
sont :
- Algérie ;
- Egypte ;
- Lybie ;
- Maroc ;
- Tunisie ;
- Botswana ;
- cap vert ;
- Gabon ;
- guinée-équatoriale ;
- Namibie ...
II.4. LES PAYS LES MOINS AVANCES
Ces pays sont groupés par la
manière le pays pauvre et le plus faible de la planète car leur
indice de développement humain est inferieur à 0,4 pourcent, la
part de l'industrie dans l'économie inferieur à 10 pourcent et le
taux d'alphabétisation est inferieur à 20 pourcent. 47(*)
Il y a au monde de pays moins
avances cinquante parmi le quel trente quatre en Afrique dont la
république démocratique du Congo en fait partie la toute
dernière avant la somalie sur le plan économique, ces pays
restent largement en dehors du processus du développement. 48(*)
SECTION.III.LES FACTEURS DU SOUS - DEVELOPPEMENT EN
AFRIQUE
En Afrique, il y a des facteurs qui
provoquent le sous développement du continent parmi lesquels :
1. les facteurs
exogènes :49(*) ce sont ces facteurs qui sont à la base du
sous développement de l'Afrique grâce à leur mauvaise
gestion parmi ces facteurs il y a :
· la colonisation : qui
est un facteur de blocage pour le développement de l'Afrique. cette
colonisation a été à la source du sous
développement de pays du sud. c'est même le blocage de l'industrie
naissante du tiers monde à la dualisation des articulations des
économies du sud. la RDC a aussi été ravagée par
ces facteurs.
· la dépendance
externe : est un facteur des sous développement qui
engage les dirigeants africains de se laisser gérer par les puissances
extérieurs. c.à.d. c'est lorsque l'économie d'un pays est
dirigée vers l'extérieur.
2. les facteurs endogènes : qui
sont aussi des facteurs du sous développement provoqué par le
climat tropical. parmi ces facteurs il y a :
· le facteur physique :
qui est un facteur naturel, c'est le climat tropical qui ne fournisse pas
l'effort humain à la créativité intellectuelle et
économique de satisfaire ces besoins ici l'homme africain ne fournit
aucun effort pour satisfaire ses besoins.
Le climat tropical est
aussi insalubre car il favorise la prolifération de la nature qui
provoque des maladies, des microbes et insectes qui affaiblissent l'homme
africain .il y a aussi la vulnérabilité des sols tropicaux qui
sont défrichés rapidement et enfin la chaleur et
l'humidité.
· les facteurs socio
culturels 50(*): socialement l'Afrique centrale est appauvri par des
pratiques religieuses et traditionnelles qui mettent cette contrée sous
développée parmi ces facteurs, il y a :
a. la religion : qui est une pratique
sous développante que les auteurs soulignent, mais les pratiques
religieuses .car elle considère l'Eglise comme une place pour se
refugier et pour se faire sortir de la misère. c'est la religion qui
anesthésie le développement de l'Afrique.
b. les structure socio
culturelle traditionnelles : ces facteurs enlèvent
l'individu africain l'esprit de s'enrichir c.à.d. il y a manque de
volonté de promotion personnelle et le manque d'esprit d'entreprise qui
provoque deux facteurs d'abord les dépenses ostentatoires et la
solidarité africaine.
c. les facteurs politiques : qui sont
l'incapacité du pouvoir publique qui stimule la dynamique du
développement et l'instabilité politique qui provoque le coup
d'état des rebellions, des guerres civiles, des manifestations ... aussi
la mal gouvernance qui provoque le détournement des fond publique et
enfin la compradorisation des dirigeants qui sont au service de ceux qui ses
soutiennent.
Leurs ressources principales économiques
restent l'agriculture dominée par les stratégies protectionnistes
des pays riches. C'est le cas du continent africain en particulier la RDC qui
est abolie par la mondialisation.
L'analyse de l'économie congolaise face
à la mondialisation relève, au court de ces quatre
décennies, deux traits caractéristiques susceptibles de marquer
durablement son évolution future au regard de ses relations avec le
reste du monde engagé dans le processus de la mondialisation.
Pour la RDC , il s'agit d'une part de la
prédominance des modes d'organisation technologique archaïque
à très faible productivité dans tous les secteurs
d'activités économiques et d'autre part de la faiblesse des
moyens logistiques modernes indispensables pour la défense de la
production rurale locale face à la concurrence internationale qui
s'accroit au jour le jour .
Comme le point de départ attire beaucoup
notre attention sur l'évolution de la mondialisation économique,
la RDC, à l'instar de la majorité des pays africains, continue
à s'enliser dans les structures économiques
désuètes , animée par des entreprises décadentes
dont beaucoup fonctionnent à peine au deuxième de leurs
capacité installée .
SECTION.IV .IMPACT DE LA MONDIALISATION AU
DEVELOPPEMENT DES ETATS
AFRICAINS
Disons d'emblée que la mondialisation en
Afrique est la cause principale du sous développement. Dans ce sens
l'Afrique ne prend pas place à ce stade car la mondialisation l'emboite
du jour le jour. Par l'entendre, la mondialisation. Par ailleurs, la
mondialisation exploite l'Afrique tout en supposant une partie
considérable des capitaux s'y jettent pour profiter du continent.
Autant que réel, l'Afrique n'est en
réalité pas véritablement mondialisée. Certains
auteurs se réjouissent et mettent, de manière paradoxale
d'ailleurs bien des maux de l'Afrique sur le dos de la mondialisation.
51(*)
L'Afrique est bien au coeur de la mondialisation,
mais une mondialisation inégale, subie plutôt que choisie. C'est
pour quoi le poids de l'Afrique dans les échanges économiques
mondiaux est insignifiant, mais le continent ne reste pas pour au tant
à l'écart de la mondialisation.
A l'échelle du monde, l'Afrique comble les
indicateurs économiques, socio et environnementaux défavorables,
aux quels s'additionnent de multiples conflits locaux, des problèmes de
gouvernances et une place marginale dans la mondialisation .en
réalité, le continent africain n'est pas homogène en terme
de développement et les situations ne sont pas figées. La
persistance des formes de décollage économique existent.
Malgré la persistance des problèmes aigus. De même on ne
peut plus considérer que l'Afrique est à l'écart du
monde. Le continent est largement placée en relation subordonnée
dans les échanges mondialisés, mais des exemples d'adaptation aux
mutations liés à la mondialisation doivent être
soulignés même si là encore, les réalités du
continent sont très hétérogènes.
A priori l'Afrique est en marge de la
mondialisation. Le continent ne produit que 1 % des richesses mondiales et ne
compte que pour trois pourcent des importations et des exportations à
l'échelle planétaire. Il faut ajouter que 80% des exportations
sont limités à deux à trois produits. De ce fait, la part
de l'Afrique et en réalité de l'Afrique subsaharienne, a
dominée d'un tiers dans le commerce mondial depuis les années
1950. De plus les Etats africains ne sont réellement
intégrés à la mondialisation que grâce à
leurs ressources leurs produits agricoles.52(*)
Toute fois, la mondialisation se manifeste de
plusieurs façons en Afrique :
- par les métropoles qui sont les relais locaux de la
mondialisation,
- par la mondialisation sauvage avec trafics illégaux
ou non réglés d'armes, de diamants de drogue de déchets
toxiques et par la mondialisation liée au secteur informel.
L'intégration de l'Afrique dans la
mondialisation toujours été dirigée par des puissances
extérieurs, les cas sont multiples et nous en connaissons tous. À
ce stade, les défis restent nombreux pour que l'Afrique sorte du sous
développement et s'intègre dans le rang des pays
émergents.
Pour l'heur, l'Afrique doit maitriser la
croissance démocratique et la croissance urbaine, subvenir aux besoins
alimentaires et sanitaire des populations. Elle doit aussi surmonter
l'instabilité politique et progresser dans une voie de
l'intégration internationale. le développement durable qui n'est
pas pour l'instant une priorité pour les dirigeants africains, devra
mieux être pris en considération pour assurer en passage vers un
monde développé.
SECTION.V.LE CONGO SOUS LE COUP DE LA
MONDIALISATION.
Disons que la république
démocratique du Congo est un immense patrimoine de la taille d'un sous
continent soit 2.344.885 km carré, avec des richesses naturelles et
culturelles extraordinaires .aujourd'hui sous le coup de la mondialisation,
elle subit des difficultés dans l'angle économique et politique.
Cette innovation que l'on appelle mondialisation à des faits positifs et
négatifs
Positivement parlant , depuis
l'indépendance que la RDC a été libérée sous
le joug colonial qui l'avait longtemps dresse mais à présent
grâce à la modernité que le peuple congolais s'est
organisé pour prendre une place dans la mondialisation mais
négativement , la RDC , après s'être libérée
du joug colonial , a pris les choses en main , mais vers les année 1990
le pays perd sa place au rang mondial à cause de l'instabilité
politique qui était un frein pour le démarrage au
développement du pays .
Sous ce même circuit de
l'instabilité politique, la république démocratique du
Congo est un véritable pays de contraste : 3% des terres
cultivées ne parvient pas à nourrir toutes la population dans
trente pourcents et cinquante pourcents des femmes et des enfants souffres de
la malnutrition chronique. Plus de seize mille personnes vivent en situation
d'insécurité alimentaire permanente, soit plus de vint trois
pourcent de la population.
Le chômage touche plus de
93% de la population congolaise malgré un taux croissant de 6% par an
depuis 2009 et un salaire légal minimum de 45000 franc congolais qui
vaut 100 dollar américain en 2002, mais selon le rapport publie par le
programme des nations unies pour le développement (P.N.U D)53(*) plus de quatre vint pourcent
de la prolation vivaient encore sous le toit de la pauvreté de 900 franc
qui vaut deux dollars américain par jour cette portion n'a pas varie
jusqu'en 2013. 54(*)
Ce même rapport montre
comment la RDC est sous le seuil de la mondialisation en mesurant l'indice
synthétique intègrent l'expérience de vie à la
naissance, les niveaux d'instruction reflétant la durée moyenne
de scolarisation et le taux d'alphabétisations de la population.
Au niveau éducatif, le
développement n'a pas des faits, car le pays ne fait qu'engloutir aux
lieus d'avancer le programme des natio9ns unies pour le développement
dans un autre rapport, souligne que la RDC est le 185em pays et le dernier de
tous les pays étudies dans le monde. En 2001 le taux de scolarisation
est passé ide 70% à 50% en 2009 en raison d'une forte croissance
de la population, incapacité croissante des parents pour s'acquitter du
devoir des enfants et la baisse de la qualité d'instruction. 55(*)
Au niveau de la vie
économique et politique, la mondialisation telle qu'elle se
présente aujourd'hui avec ses multiples mutations, n'augure rien de bon
pour les pays qui se développent à vue à face aux pulsions
des moments et qui n'ont aucune vision stratégique d'avenir. En effet,
le néocolonialisme avec sa locomotive qui est au pays en voie de
développement, de multiples opportunités à saisir . Bien
qu'il soit difficile à l'heure actuelle, au pays comme la
république démocratique du Congo, de vivre en autarcie ni
d'entrée en guerre contre les forces du capitalisme, il est
néanmoins possible d'agir au niveau interne sur la manifestation de la
mondialisation. Ce pays est désacralisé par la mondialisation
dans tous les domaines.
Partant du développement de la
république démocratique du Congo , nous estimons que prés
de 20% de la population vivent en milieu rural avec comme activités
principales : l'agriculture , la pèche et l'élevage ce qui
fait que la majorité des entités territoriales
décentralisées se trouvent en milieu rural . il s'agit des
secteurs et des chefferies. cependant, cette population vit dans une
pauvreté précaires et une situation absolument critique
malgré les potentialités immenses qu'offre le milieu
rural.56(*)
Au regard de ce qui
précède, nous constatons que la république
démocratique du Congo est un pays sous développé, pauvre
et moins avancée dans le monde. D'où la nécessitée
de se développer. Comme la décrit d'une manière simple,
la république démocratique du Congo comme le titre le
déclare, est un pays qui vit en rebours du développement et qui
repousse ce système de la mondialisation.
Nous sommes certains que ce pays
vit encore au temps du 14 siècle alors même que le monde
d'aujourd'hui est un monde qui vit sous le coup de ce problème que mon
pays subit , il faut chercher des pistes des solutions possibles qui peuvent en
faire de ce pays un monde à part ailleurs.
SUGGESTION
La mondialisation doit être
considérée par les pays africains en général
et la république du Congo en particulier comme un
phénomène capitaliste et un vent violant qui vient emporter ou
déséquilibrer leur trésor public. Autrement dit
,l'avènement de la mondialisation de l'économie qui dans sa
conception exclut toute l'idée de contrainte à la libre
circulation des produit par les particuliers qui sont les barrières
commerciaux créant les contraintes à la circulation des
marchandises qui sont supprimées.
Cela entraine comme conséquence au niveau
de finance publique des recettes fiscales dans la mesure où la plupart
réalisent le gros de leurs enveloppes à travers les recettes
fiscales extérieurs (importation et exportation). C'est le cas
notamment de la république démocratique du Congo.
En guise de solution au problème de
développement de notre pays , développement que l'on peut
autocentré, nous avons proposé que les nouvelles autorités
du pays comprennent qu'il importe , pour réussir ,de rompre avec
l'économie extravertie ,d'harmoniser nos politiques économiques
et sociales ,de moderniser et de multi nationaliser nos entreprises existantes
, d'effectuer une diversification des nos industrielles d'avoir une bonne
gouvernance dans la gestion des affaires publiques et de redéfinir nos
relation politico-économiques avec l'extérieur.
Le professeur Jean Marie VAN PARYS pense
que : « le développement de l'Afrique noire est
beaucoup moins à l'heure actuelle, une question des compétences
et des capitaux qu'une question des moralités et
d'éthique.57(*) » c'est-à-dire le
développement de l'Afrique n'est pas seulement une question des majeures
et des compétences mais celle aussi de l'éthique et de la
moralité. ainsi pour reconstruire l'Afrique il faudra compter sur
conversion au double registres « du faire et de
l'être » et non une Afrique caractérisée par cet
esprit de dégénérescence : le chacun pour soi, le
morcellement tribal ou ethnique , ce qui nous conduis dans le sous
développement.
Le projet du « nouvel ordre
mondial » se situe au point des convergences et des divergences de
deux sociétés que l'Afrique ne peut à ce niveau
suivre : l'un parce qu'elle produit la mort, l'autre parce qu'elle
préfère à la vie des mensonges lucratifs or le negro
africain veut la vie. Il la veut en abondance, pour lui et pour les siens c'est
adire pour tous.
En fin l'Afrique aussi ne peut compter sur ses ailes
pour voler, pour se conduire. Il ne s'agit pas ni de reproduire l'occident en
Afrique ni non plus de lui opposer le mythe d'une Afrique éternelle et
autosuffisante. Il faudrait donc un multilatéralisme global et les
règles globales fiables dans les domaines des politiques
monétaires, des investissements directs, du transfert des capitaux, de
la concurrence internationale, de la protection de l'environnement des normes
de travail et de la lutte contre la corruption
C'est dans ces conditions seulement que nos Etats
pourront bénéficier du bienfait de la mondialisation qui pourra
nous permettre de réaliser un développement autocentré et
établir des relations non de dépendance mais de
l'interdépendance réelle entre les Etats de la planète et
au court duquel chaque Etat pourrait avoir quelque chose à dire et non
par être vu comme un simple spectateur qui n'entend que les autre en
l'occurrence des Etats riches.
CONCLUSION
Au terme de notre travail scientifique, il
est mieux de rappeler notre préoccupation majeure qui a porté sur
" l'impact de la mondialisation au développement des Etats africains
cas de la république démocratique du Congo".
L'unique objectif que nous avions poursuivi
était celui de montrer de quelle manière l'Afrique en
générale et la république démocratique du Congo
étaient une colonie de la mondialisation.
Pour mieux enrichir notre travail, nous
avions eu l'audace de recourir aux techniques documentaires qui nous ont
permis à mettre au claire notre problème. Notre travail se
structure au tour de trois chapitres:
Le premier chapitre était une
élucidation générale de la définition du sujet tout
en donnant le sens clé à chaque mot thème de notre
travail.
Le deuxième chapitre s'est
focalisé plus sur les structures économiques de la
république démocratique du Congo face aux enjeux de la
mondialisation. Cette dernière a un impact négatif dans le sens
que la république démocratique du Congo, à l'instar de la
majorité des pays africains continue à s'enliser dans des
circuits économiques désuètes, animée par des
entreprises économiques décadentes dont beaucoup fonctionnent
à peine , disons , au dixième de leurs capacité
installée.
Il y a donc lieu de craindre que la
république démocratique du Congo, prise isolement par ce coup
fort de la mauvaise main d'oeuvre politique ne puisse jamais être
à mesurer de se faire sortir dans ce phénomène du sous
développement.
De ce fait, la république
démocratique du Congo, son économie, est emboitée dans
l'agriculture, l'élevage, l'industrie, le secteur formel et informel
etc. Tous ceux domaines ne font que se redressent vers le sous
développement au lieu de prendre un train vers le
développement.
Mais quand à l'impact positif de la
mondialisation sur le développement économique de la
république démocratique du Congo, il y a encore
possibilité de se rattraper vers un monde développée. Car
ce pays a un sol riche et un espace inoccupée pour sa culture. Le moyen
facile pour se ranger dans la mondialisation, il nous faut d'abord lutter
contre la concurrence économique tout en commençant à user
des ressources nationales pour sortir de cet esclavagisme du commerce
international.
Finalement, par une considération
générale au troisième chapitre, nous avions mis un terme
à notre réflexion scientifique. Dans ce chapitre nous avions
développé que l'Afrique est les fruits de trois étapes
importantes de la mondialisation dont :
- La colonisation;
- La période des indépendances;
- La nouvelle mondialisation.
Malheureusement, la plupart pour ne pas dire la
majorité des pays africains jouent un rôle encore marginal dans
ces institutions, même lorsque des aspects déterminants de leur
développement sont sous l'impact de la mondialisation.
Nous avions ensuite démontré que
malgré les nombreux effets des dirigeants africains au lendemain des
indépendances et les opportunités offertes par la globalisation,
l'afrique n'a pas su tirer son épingle de l'emprise de la
mondialisation. La fin de la colonisation avait libérée des
nouvelles énergies et les dirigeants étaient résolus a ce
que leurs pays se rattrapent le monde développé.
Quant à sa production économique et
commerciale, l'Afrique n'a pas une bonne presse des nos jours. Le produit
intérieur bruit de toute l'Afrique ne représente que deux
pourcent de celui du monde soit à peu prés le produit
intérieur bruit d'un pays développé.
Pour ce faire, l'afrique vaut plus que cela, car
malgré tout elle vit encore, travaille, résiste et refuse de
mourir. Ce qu'elle est fondée sur un socle de valeur qui, depuis cinq
siècles, l'empêche de disparaitre.
Par ailleurs, contrairement au développement de
l'Afrique, la république démocratique du Congo est, par un
constat, un pays sous développé, pauvre et moins avancé du
monde.
Partant de son économie, nous osons croire que
ce pays vit encore sous le coup de la tendance coloniale, esclavagisme
économique dans tous les domaines. Les pays occidentaux tiennent
à gérer ce pays à la place de congolais eux-mêmes
De toutes ces considérations, il résulte
que, bien que la mondialisation nous permet de nous ouvrir à des
nouvelles technologies et peut nous apporter des capitaux à travers les
multi nationalisme, elle reste une nouvelle forme de l'impérialisme, car
la coopération n'y est pas d'égal à égal. Les pays
puissants et riches restent ou les deviennent puissants de plus en plus.
Notre constat confirme l'idée selon laquelle la
mondialisation n'est qu'un instrument à la portée de l'occident
qui renferme ainsi la dépendance des pays pauvres à
l'égard des pays riches, dans la mesure ou les structures
économiques de ces derniers restent toujours extravertis et
périphériques.
BIBIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. OLIVIER DOLFUS, la mondialisation, paris, presse des
sciences politiques ,1997
2. PHILIPPE DIOREAU, la mondialisation que sais-je ?
paris, coll., 2005
3. M.DEJARDIN et B.FRIPIAT, une description a priori des
facteurs de développements économique régional et local,
paris, 2013
4. BONGO PASCAL, repenser le développement en Afrique,
2011
5. M.DIOUF, l'Afrique dans la mondialisation, paris,
éd, mont saint Agnon, 2008
6. ALEXANDRE, comment développer l'Afrique ?,
paris, âme, 1965
7. ADRIEN MULUMBATI NGASHA, manuel de sociologie politique,
Lubumbashi, éd affricha, 2002
8. J.M.VAN PARYS, une nouvelle éthique pour l'Afrique,
paris casset, le monde de l'éducation, 1999.
9. Encyclopédie encarta ,2009
10. Dictionnaire le grand Larousse, paris, 2009
11. Dictionnaire de droit public, ed, 2009
12. Dictionnaire la toupie, paris, 2010
II. LES SITE INTERNET
1. Wikipedia, l'Afrique dans la colonisation
2. Wikipedia, l'économie de la république
démocratique du Congo
3. Wikipedia, conférence souveraine
4. Wikipedia, organisation internationale du travail
5. Google, rapport publié en 2004 par PNUD
6. Google, la mondialisation en Afrique, rapport publié
par PNUD, 2010
7. Google, les pays les moins développés au
monde, rapport publié par PNUD, 2002
8. Google, les indices de développement humain, rapport
publié par PNUD 2001
9. Google, rapport sur les pays les moins avancés, N.U,
NY,2006
III. TFC et MEMOIRES
1. NGOY MWAMBA Albert, l'économie de la RDC face
à la mondialisation, mémoire, UNILU, 2006
2. KAYUMBA MAMBANGA, importance de l'harmonisation sociale
facteur de la mondialisation, TFC, UNILU, 2001
3. LUNDA BULULU, l'impact douanier en RDC face aux recettes
publiques, mémoire, UNIKIN, 1995
IV. NOTES DE COURS
1. MALEMBA NSENKILA GILBERT, cours des méthodes de
recherche en science sociale, G2 SPA, UNIKAL, 2010-2011
2. MALEMBA NSENKILA GILBERT, cours de sociologie politique, G3
SPA, UNIKAL, 2012-2013
3. JEAN JACQUES MUNGA, aménagement du territoire, G3
SPA, UNIKAL, 2012-2013
4. SINONDA, économie de développement, G3SPA,
UNIKAL, 2012-2013
TABLES
DE MATIERES
1.
EPIGRAPHE................................................................................I
2. IN
MEMORIAM...........................................................................II
3.
DEDICACE................................................................................III
4.
AVANT-PROPOS........................................................................IV
5. INTRODUCTION
GENERALE........................................................1
6. OBJET
D'ETUDE.........................................................................1
7. DEFINITION DU
SUJET.................................................................1
8. DELIMITATION DU
SUJET...........................................................1
9. CHOIX ET
INTERET....................................................................2
10. ETAT DE LA
QUESTION...............................................................3
11. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE..............................................4
·
Problématique.............................................................4
·
Hypothèse..................................................................4
12. METHODE ET
TECHNIQUE...........................................................5
·
Méthode....................................................................5
·
Technique..................................................................5
13. PLAN
SOMMAIRE........................................................................6
14. CHAPITRE.I.
GENERALITE..........................................................7
· section. I. définition des concepts des
bases.........................7
1.
impact...................................................................7
2.
mondialisation........................................................7
3.
développement........................................................8
4.
Etat.....................................................................9
5.
Afrique.................................................................10
6. République démocratique du
Congo............................10
15. CHAPITRE.II. LES STRUCTURES ECONOMIQUES DE LA RDC
.......11
· Setion.I. notion du sous
développement.............................12
· Section. II. notion du
développement...............................13
· Section.III. la RDC face aux enjeux
mondiaux...................14
· Section IV. Les structures économiques de
la RDC..............15
1.
Agriculture...........................................................15
2.
Elevage................................................................15
3.
Industrie..............................................................16
4. Secteur
service.......................................................17
5. Secteur
informel....................................................18
6. Secteur
privé.........................................................18
· Section.V.la politique économique de la
RDC.....................19
16. CHAPITRE.III. I MPQCT DE LA MONDIALISATION FACE
AU DEVELOPPEMENT DES ETATS AFRICAINS EN PARTICULIER LA
RDC...........................................................................................20
· Section. I. l'Afrique sous l'impact de la
mondialisation...........................................................20
· Section. II. la mondialisation économique
et son impact en
Afrique..................................................................20
1. Les nouveaux pays
industrialisés................................22
2. Les pays exportateurs du
pétrole................................23
3. Les pays à revenu
intermédiaire.................................24
4. Les pays les moins
avancés........................................24
· Section.III. les facteurs du sous
développement en Afrique...25
· Section. IV. impact de la mondialisation au
développement des Etats
africains............................................................27
· Section. V. le Congo sous le coup de la
mondialisation...........................................................28
17.
SUGGESTION..........................................................................30
18.
CONCLUSION..........................................................................32
19.
BIBLIOGRAPHIE.....................................................................34
20. TABLE DES
MATIERES............................................................36
* 1 ASS.JEAN JACQUES,
aménagement du territoire, UNIKAL, G2SPA, 2012, inédit
* 2 NGOY MWAMBA
ALBERT, l'économie de la république
démocratique du Congo face à la mondialisation,
mémoire, UNILU ,2006.
* 3 KAYUMBA MABANGA,
importance de l'harmonisation sociale facteur de la mondialisation, TFC,
G3, spa, 2001.
* 4 MALEMBA N'SAKILA. Cours
de méthode de recherche en science sociale.
G2SPA.UNIKAL.2011.inédit.
* 5 Idem
* 6 MALEMBA NSAKILA,op-cit
* 7 Ibidem
* 8 LAURENT CARASE
l'évolution de la mondialisation, paris, mont saint, 1985, p 7
* 9 OLIVIER DOLIFUS, la
mondialisation, paris, presse des sciences politiques, 1997, p 8.
* 10 MICHEAL FEDOI cité
par Adrien MULU MBATI NGASHA dans manuel de sociologie politique ;
Lubumbashi, éd. Africa, p 209
* 11 JEAN JACQUES MUNGA,
aménagement du territoire, UNIKAL ,2012-2013, inédit
* 12 Prof. MWAMBA SINONDA
* 13 MARK WEBER, M.WEBBER
cité par MALEMBA dans le cours de sociologie politique, G3 SPA ;
UNIKAL. 2012-2013, inédit
* 14 CARRE MALBERG cité
par MALEMBA, idem
* 15 L'encyclopédie
encarta, éd. 2009
* 16 Le dictionnaire la
rousse, paris, 2009, p 390
* 17 Le dictionnaire du droit
public, éd. 2012, p224
* 18 LUNDA BULULU, l'impact
douanier en RDC face aux facteurs de développement, mémoire,
2004
* 19 JOHN BRENARD et ANDRE
GELEBAN cite par Prof/ SINONDA, op-cit
* 20 R.J.ALEXANDRE,
* 21 Jean Jacques MUNGA,
op-cit
* 22 M.DEJARDIN ET B.FRIPIAT,
une description à priori de facteurs de développement
économique régional et local. Consulté le 02.06.2013.
www.google.com
* 23 LUNDA BULULU, op-cit
* 24 Journal de l'observateur,
N. 2280 du 28 jan.2008, le secteur agricole.
* 25 PUNUD, op-cit
* 26 Journal de l'observateur,
op-cit
* 27 Le paradis ou le droit
fera la loi, écho, nov.2010, économie en Afrique, 2005-2006
* 28 Le paradis ou le droit
fera la loi, op-cit
* 29 Prof SINONDA. Op-cit
* 30 Prof SINONDA, idem
* 31 Ibidem
* 32
www.wikipédia.com,
économie de la RDC, consulté le 04.06.2013
* 33 Prof SINONDA, op-cit
* 34
www.wikipédia.com
Conférence souveraine, consulté le 05.06.2013
* 35
www.wikipédia.com,
Organisation international du travail
* 36 Prof SINONDA, op-cit
* 37
www.wikipédia.com ,
économie de la RDC
* 38
www.google.com, Rapport
publié en 2004 par PNUD
* 39
www.google.com, la mondialisation en
Afrique, rapport public par PNUD
* 40 MALEMBA, op-cit
* 41 BONGO pascal, repenser
le développement en Afrique, N.378, p541
* 42 M. DIOUF, l'Afrique
dans la mondialisation, Paris, éd. Mont-saint; aignan, p13, 2008
* 43 Prof:SINONDA, economie de
developpement, G3 SPA, UNIKAL,2013,inédit
* 44 Idem
* 45 Rapport publié par
PNUD, les indices de developpement humain en afrique,2010,p17
* 46 Prof SINONDA,op-cit
* 47 R.J.ALEXANDRE,comment
developer un pays?,paris,mqme,1965,p14
* 48 PNUD,ibidem
* 49 DEJARDIN et FRIDIAT,
une description a priori de facteurs de developpement economique local et
regional,2010
* 50 ibidem
* 51 Wwww.wikipedia.com ,
l'afrique dans la colonisation
* 52 PAM, l'économie
africaine, revue, publié en 2002,p4
* 53 PNUD,op-cit,2002
* 54 PNUD,op-cit
* 55 PNUD,le developpement au
niveau edicatif en RDC,2001
* 56 C/N/U/C/D. Rqpport 2006
sur les pqys les moins avancé ; developer les capacités
productives;N/U.?/Y.p130
* 57 Prof. Jean Marie VAN
PARYS ; une nouvelle éthique, paris, crasset, le monde de
l'éducation, 1999,322