RAPPORT DE LICENCE
DEDICACES
Nous dédions ce travail à nos parents, pour leur
soutient et les sacrifices qu'ils ne cessent de faire montre dans le but de
nous assurer un avenir sans embuches.
Que ce travail soit le fruit de notre profonde gratitude.
REMERCIEMENTS
Les rédacteurs du présent rapport tiennent
à remercier vivement tous les dirigeants du département de
Géographie, pour nous avoir ouvert un environnement propice à
notre épanouissement académique, ainsi que leur soutient moral.
Il s'agit notamment du Dr. IYA Moussa (Doyen de la FALSH) ; Dr. J.P NDAME
(vice-Doyen chargé de la programmation) ; Pr. M. TCHOTSOUA (chef du
département de géographie). Notre gratitude s'adresse aussi
à tous nos enseignants qui, tout au long de notre parcours
académique, nous ont enrichis intellectuellement et psychologiquement.
Il s'agit notamment de : Dr. NGONE, Dr. LOULEO J., Dr. WAKPONOU A., Dr.
BITA Charles Alain (de la Faculté des Sciences Economiques et des
Gestions).
Nous n'oserons oublier notre encadreur et enseignant, M.
BRILTEY BAKULAY, pour l'efficacité et la constance du soutien qu'il a
apporté au fonctionnement de ce groupe.
Les rédacteurs remercient collectivement l'ensemble des
participants actifs et assidus de la population du quartier Burkina, en
soulignant la richesse tant des apports issus du maire de la commune de
Ngaoundéré Ier, du délégué de la
CAMTEL, que des amis et frères.
RESUME
Le quartier Burkina est l'un des quartiers de la ville de
Ngaoundéré animé par une population composite de part leur
appartenance ethnique, et de leurs différentes classes sociales.
Cependant, depuis le début des années 70, un besoin en
infrastructures urbaines se fait de plus en plus sentir dans l'ensemble des
quartiers de la ville de Ngaoundéré et dans les quartiers
récents, y compris Burkina. Et l'une des principales manifestations de
ce manque est la mise en place, par la population locale, des ponts et beaucoup
d'autres infrastructures. Afin d'évaluer les différentes
infrastructures présentes et absentes dans le quartier, nous avons
procédé à des observations directes sur le terrain, et par
des enquêtes. Les observations et les enquêtes ont permis
l'identification ou l'évaluation du potentiel infrastructurel du site
d'intérêt. Le suivi des discutions et des observations ont permis
de comprendre la situation du quartier par rapport aux actions entreprises par
les services locaux et la nécessité de ces infrastructures pour
le développement du quartier. Le quartier Burkina est doté d'un
minimum d'infrastructures locales (une rue principale, abduction en eau
potable, desserte en électricité etc.). Mais l'initiative de leur
mise en place relève d'un effort de la population et des élites
locales. Cette situation est liée à sa position
géographique (relief accidenté ne favorisant pas leur mise en
place). Le rôle de l'Etat, par l'aménagement des ponts et des
voies de communication, se fait peu sentir.
Mots clefs : Burkina, Infrastructures,
Occupation anarchique, Agent, Urbanisation.
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