EPIGRAPHE
La raison d'être de notre profession n'est pas
simplement de satisfaire notre curiosité intellectuelle, mais de fournir
les bases analytiques et empiriques à des meilleures politiques.
Il ne suffit pas de blâmer les dirigeants politiques
pour l'efficacité patente de ces politiques. Nous devons
également nous demander si tout va bien dans notre profession. Nous
devons enseigner à nos étudiants plus d'histoire et y consacrer
plus de temps, utiliser plus l'analyse comparative des phénomènes
dans différents pays, nous avons un souvenir que les
mathématiques sont instruments et non une fin en soi et que, pour
influencer les responsables chargés d'élaborer les politiques,
les idées doivent être traduites des équations en langage
courant.
Nous devions résister à la tentation
d'être constamment en quête d'idées nouvelles qui sont,
presque par définition d'une importance secondaire par apport aux
phénomènes qui coûtent réellement.
Et avant tout, nous devrions nous attacher à
réaliser la synthèse, de manière à être
compris par les responsables chargés d'élaborer les politiques de
celles de nos connaissances qui demeurent acquises et qui est
résisté à l'épreuve du temps.
Steph Marris : «Managering the world economy: will
we even learn?»
Essays in international finance Princeton, N° 155, 1984.
IN MEMORIAM
Si la mort était une personne, nous mènerions
une lutte sans relâche pour l'anéantir et ainsi l'empêcher
d'emporter ceux qui nous sont chers.
Mais hélas, elle est une force invisible et
irrésistible qui atteint et frappe jeune et vieux, juste et injuste.
Elle ne requiert la vie de personne, c'est donc une force qui nous
dépasse. Un passage obligé pour tous ce qui respire.
Chers parents, feu Philémon YAV et maman Abeti KASANG
en ce jour où nous arrivons à la fin de notre parcourt
estudiantin, il aurait fallu que vous soyez présents pour vivre ce grand
jour, mais dommage ! Le destin s'est décidé autrement et la
mort vous a arraché brusquement de notre affection. Que vos âmes
reposent en paix.
Chères soeur et belle-soeur, Françoise KAVUT,
toi dont la mort a arraché de notre affection, trop tôt tu nous a
quitté mais sincèrement à jamais nous te porterons dans
nos coeurs.
A vous chers Professeurs et chef des travaux, le feu
Professeur KABEYA LUBILANJI et le feu chef des travaux KESANGALA, à vous
nous envoyons des reconnaissances dans le monde de l'au-delà pour avoir
des fois enrichis notre conscience. A jamais vous serez présent dans
notre esprit. Que la terre de nos ancêtres et de la République
Démocratique du Congo vous soit douce et légère et que vos
âmes reposent en paix.
Que les âmes de tous ceux qui nous sont chers et qui ont
disparu reposent en paix.
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