[i]
Epigraphe
« Internet accélère l'avènement de la
société de marché, avec une poussée violente de
concurrence et de compétition ».
Alain Minc
[ii]
DEDICACE
À mes très chers parents Marc ONJI et Hozeme
MONKANGO pour les efforts, l'abnégation et les sacrifices endurcis afin
d'accomplir pleinement le noble devoir de mon éducation et
épanouissement social.
A mes frères et soeurs : Grace ONJI, Ange ABOMBELA,
Monsengo NSALE et Theddy MWANZA pour d'énormes sacrifices consentis
durant tout le parcours d'études supérieures.
ONJI KITOKO Aristote
[iii]
REMERCIEMENT
Nous sommes éblouies de joie en ce jour où par
le soutien et la grâce de Dieu nous mettons un terme à notre
premier cycle d'études supérieures effectuer avec bravoure
à l'institut supérieure de commerce de Bandundu.
Nous exprimons notre profonde gratitude à
l'égard de l'Assistant MALALA ATANDELE Tychique, qui nonobstant ses
multiples occupations n'a pas hésité d'assurer la direction de ce
travail. Ses riches conseils, sa disponibilité, ses remarques et
critiques constructifs nous ont été d'une grande utilité.
Qu'il veuille bien accepter nos vifs et sincères remerciements.
Nous ne pouvons pas quitter cette page sans remercier les
Chefs de Travaux MISSWAY KINDIA Josué, BIMA Glody, DIMBU Papy, OLEKO
KENEMO Paul, MALELA GABRIEL Vainqueur, TANGAMU Junior et LUKULANGA Berith mais
également les assistants, ATA NDANDULA, MWANDEKE Ashal, pour leurs
participations à la réussite de ce travail.
Qu'il nous soit permis de remercier le Professeur ABE PANGULU
Macaire et tous les autres membres du corps académique.
Nous sommes très reconnaissants envers tous nos
enseignants de l'ISC/Bandundu et plus particulièrement ceux de la
section informatique, car nous leur devons nos connaissances scientifiques.
Qu'ils trouvent ici le résultat d'un travail bien accompli.
Notre considération va également au Rév.
Fidèle LEZEME, Ir KIESE, Géorge NZANA, Berlin MONTONGA, Felicien
MONTONGA, AYINZA Yves, Diesel BALIZENI, Juvenal MBO SILIME, Belanga BAKINDO,
MBO ETIKO glorieux et à toutes les personnes qui d'une manière ou
d'une autre, de près ou de loin ont apporté leur savoir-faire
pour la réalisation de la présente oeuvre.
[iv]
LISTE DE FIGURE
Figure 1 Schema d'organisation du système dans une
entreprise. 7
Figure 2 Architecture à deux tiers 11
Figure 3 Architecture à trois tiers 11
Figure 4 Architecture n tiers. 12
Figure 5 Organigramme général 16
Figure 6 L'organigramme du service de publication de
résultats Erreur !
Signet non défini.
Figure 7 Fiche de cotation Erreur ! Signet non
défini.
Figure 8 Palmarès de classe Erreur ! Signet non
défini.
Figure 9 Palmarès de l'école Erreur !
Signet non défini.
Figure 10 Billet de vacance Erreur ! Signet non
défini.
Figure 11 Bulletin Erreur ! Signet non
défini.
Figure 12 Formalisme Erreur ! Signet non
défini.
Figure 13 Elaboration du diagramme de Flux Erreur !
Signet non défini.
Figure 14 Formalisme étape conceptuelle de donnée
Erreur ! Signet non
défini.
Figure 15 Présentation du MCD Erreur ! Signet non
défini.
Figure 16 Présentation modele conceptuel de
traitement. Erreur ! Signet
non défini.
Figure 17 Présentation MOD GLOBAL. Erreur !
Signet non défini. Figure 18 Schema de securité des
données de la procedure fonctionnelle
Erreur ! Signet non défini. Figure
19 Présentation du modèle logique de données brut
(MLDB)
Erreur ! Signet non défini. Figure 20
Présentation du modèle logique de données valide (MLDV)
Erreur ! Signet non défini.
Figure 21 (Ult 01) Page d'accueil Erreur ! Signet non
défini.
Figure 22 (Ult 02) Communiqué Erreur ! Signet non
défini.
Figure 23 (Ult 03) Publication Erreur ! Signet non
défini.
Figure 24 (Ult 04) Admin Erreur ! Signet non
défini.
Figure 25 presentation de MPD Erreur ! Signet non
défini.
Figure 26 Presentation du mpt - 65 -
Figure 27 Page d'acceuil - 71 -
Figure 28 présentation page communiqué - 71 -
Figure 29 Présentation de publication - 71 -
Figure 30 Presentation de billet de vacance - 72 -
Figure 31 Presentation Billet de vacance imprimé - 72 -
[v]
LISTE DE TABLEAUX
Tableau 1 : Ressources Humaines
|
26
|
Tableau 2 : Ressources Matérielles
|
26
|
Tableau 3: Dictionnaire de données
|
35
|
Tableau 4: Quantification des cardinalités multiples
|
45
|
Tableau 5: Tableau des cardinalités et taux de
participation
|
46
|
Tableau 6: Calcul du volume des objets
|
46
|
Tableau 7: Présentation des procèdures
fonctionnelles
|
50
|
Tableau 8: Presentation des procedures fonctionnelles
|
51
|
Tableau 9: Calcul du volume des tables
|
59
|
Tableau 11: Ressources matérielles
|
- 66 -
|
Tableau 12: Ressources Logicielles
|
- 66 -
|
[vi]
SIGLES ET ABREVIATIONS
1. CSS : Cascading style sheet
2. D.E : Directeur des Etudes
3. HTML : HyperText Markup Langage
4. http : Hypertexte Transfert Protocole
5. LAN : Local Area Network
6. MCD : Méthode Conceptuelle de Données
7. MCT : Méthode Conceptuelle de Traitement
8. MERISE : Méthode d'Etude et Réalisation
Informatique du Système d'entreprise ;
9. MLD : Modèle Logique de données
10. MLT : Modèle Logique de Traitement
11. MOD : Modèle Organisationnelle de Données
12. MOT : Modèle Organisationnelle de Traitement
13. MPD : Modèle Physique de données
14. MPT : Modèle Physique de Traitement
15. PHP : Hypertexte Preprocessor
16. S.I : Système d'Information
17. S.I.O : Système d'Information Organisationnel
18. S.O : Système Opérant
19. SP : Système de Pilotage
20. ULT : Unité Logique de Traitement
21. URL : Uniform Ressource Locator
22. WWW : World Wide Web
[- 1 -]
INTRODUCTION GENERALE
I. MISE EN CONTEXTE
Depuis plusieurs hégires, l'homme est passé du
statut de spectateur impuissant à celui d'acteur sur son environnement.
Le génie humain a développé au cours des siècles
des sciences et des technologies qui lui ont permis de survivre, de comprendre
son environnement et d'accroître sans cesse son pouvoir d'action.
D'où l'avènement de l'ordinateur, grâce auquel il est
désormais possible d'exécuter en un rien de temps, les lourdes
tâches qui, jadis furent difficiles si pas impossibles à
réaliser.
Avec l'entrée en scène du concept dit
entreprise, le recours à l'utilisation des ordinateurs devient une
pratique à moitié indispensable. Cela se justifie par le fait que
dans une entreprise digne de ce nom, le problème d'optimisation est un
champ de bataille quotidien : il faut minimiser les coûts et accroitre
les bénéfices ainsi que la productivité.
L'arrivée aujourd'hui de l'internet avec tous ses
services notamment le web, ouvre une nouvelle ère dans la communication
et le partages de ressources dans le monde entier qui devient en ce sens un
village planétaire.
Dans plusieurs pays, les entreprises ont désormais un
recours à l'internet pour la bonne gestion de leurs activités et
pour étendre leur reconnaissance au-delà de leurs
frontières physiques. Les sites web ont gagné en
fonctionnalités et sont par conséquent devenus des moyens de
communications quasiment incontournables.
C'est dans cette optique que le présent travail porte
sur la «Mise en place d'un système informatisé pour
la gestion de publication de résultats en ligne au sein de l'institut
KIKESA », afin de pousser cette institution vers son
émergence et vers un fonctionnement qui s'adapte au concept actuel de la
mondialisation qui prône la délocalisation des services pour
qu'elle atteigne réellement les différents objectifs qu'elle
s'assigne.
[- 2 -]
2. PROBLEMATIQUE
Il n'existe pas de recherche sans question fondamentale ou
sans problème que doit soulever le thème d'étude. La
problématique désigne l'expression de la préoccupation
majeure et des questions posées de façon précise avec
absolue clarté autour de l'objet de l'étude que le chercheur se
propose de mener. (1)
La gigantesque exposition des applications web a fait
émerger des réalités ; dans le cadre de notre travail, le
système d'information utilisé par notre établissement
scolaire est manuel et ne répond pas aux normes de la vie actuelle.
En outre, nous avons pu déceler quelques
problèmes repris ci-dessous lors de nos investigations au sein de
l'institut KIKESA qui handicapent le bon fonctionnent de sa gestion de
publication de résultats des élèves :
? Encombrement du bureau face à un
nombre important des élèves qui font la queue pour obtenir leurs
résultats à chaque fin d'année scolaire ;
? Difficulté d'accéder aux
résultats après publication ;
? Difficulté d'archivage des grilles de
côtes ;
? Difficulté de retrouver en un temps
opportun les côtes et les
résultats des élèves ayant
étudié dans les années antérieures ; ?
Un mode de publication des résultats qui nécessite une
présence
physique et ne favorise pas les élèves absents
;
Compte tenu de tous ces problèmes ci-haut
épinglés, il nous est raisonnable de formuler quelques
interrogatoires :
? Quelle solution proposée à l'institut KIKESA pour
lui permettre de pallier aux insuffisances du système en place ?
? Quels sont les avantages que pourraient procurer cette
solution?
Ce sont là, les questions auxquelles nous tenterons
d'apporter la lumière dans les lignes qui suivent.
(1) CAMPENHOU, L., Manuel de recherche en science
social, 2éme édition, Dunod, Paris 2005, P.12.
[- 3 -]
3. HYPOTHESE
Tout travail scientifique suppose une interprétation
anticipée des faits à étudier. Ainsi donc, dans les lignes
qui ont précédés, il a été question pour
nous de soulever non seulement les problèmes mais aussi avions-nous
posé une question qui, à ce stade nécessite des
réponses, bien sûr à titre provisoire. (2)
Vu l'importance du sujet choisi qui fait l'objet de notre
étude, le champ d'érudition de nos recherches se camperait autour
des questions posées dans la problématique qui nécessitent
bien évidemment plusieurs réponses provisoires.
Compte tenu de la problématique qui
précède, il est important pour nous de donner quelques
réponses provisoires en termes d'approche de solutions :
? Pour pallier aux insuffisances du
système en place que rencontre l'institut KIKESA, dans la gestion de
publication de résultats des élèves, nous pensons que la
mise en oeuvre d'une application web serait d'une importance capitale pour une
gestion efficace.
? Cette solution pourrait apporter les avantages
suivants :
? Faciliter la bonne gestion des
données en temps réel avec une sécurité accrue ;
? La rapidité dans l'exécution des
taches,
? Donner l'opportunité aux
élèves d'accéder à distance à tout moment
;
? La sauvegarde des informations sur des
supports informatiques de grande capacité.
(2) LAUBET, B., Initiation aux méthodes de
recherche en sciences sociales, éd.L'Harmattan, Paris, 2010, P.
85.
Comme tout projet qui doit avoir une durée de vie,
notre étude, s'étend de Mars 2022 en Octobre 2023 ;
[- 4 -]
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
A. CHOIX DU SUJET
Notre choix est porté sur la : Mise en place
d'un système informatisé pour la gestion de publication de
résultats en ligne au sein de l'institut KIKESA. Ce sujet n'est
pas choisi d'une manière fantaisiste. Cependant, le choix de ce sujet
est motivé par le souci d'améliorer le système en vigueur,
qui éprouve d'énormes difficultés de traitement et de
communication des informations.
B. INTERET DU SUJET ? Intérêt
Professionnel
Ce travail donnera un nouvel élan à l'institut
KIKESA, en informatisant ses données pour de pallier aux insuffisances
de méthode ancienne afin d'optimiser ce service avec un meilleur moyen
de publication de résultat en ligne.
? Intérêt personnel
Ce présent travail nous donne l'opportunité de
pratiquer toutes les notions apprises toute au long de notre cursus du premier
cycle en informatique de gestion.
? Intérêt scientifique
Ce travail sera une source de recherche pour d'autres
chercheurs qui consulteront pour entreprendre la recherche dans ce domaine.
5. DELIMITATION DU TRAVAIL
Etant donné que toute recherche scientifique doit
répondre aux critères de délimitation quoiqu'elle soit
pertinente, précise et concise. Cette délimitation nous permet de
spécifier notre travail afin d'avoir une précision et une
clarté scientifique, de ne pas être dans une
généralité des choses ; nous avons délimité
notre travail dans le temps et dans l'espace.
Dans l'espace, notre lieu d'investigation est
l'institut KIKESA. L'étude ne se limite que dans le
Mise en place d'un système informatisé pour la gestion de
publication de résultats en ligne au sein de l'institut kikesa.
[- 5 -]
6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
Chaque travail scientifique repose sur des méthodes et
techniques appropriées pour atteindre le but poursuivi.
6.1 METHODES
Une méthode désigne l'ensemble
d'opérations intellectuelles par les quelles une discipline cherche
à étudier les vérités qu'elle poursuit, les
vérifier et les démontrer. (3)
Nous avons utilisé :
? La Méthode Merise : c'est une
méthode de conception, de développement et de réalisation
de projets informatiques ; elle nous a guidé à l'analyse et au
traitement des informations liées à notre travail.
? La Méthode Historique : cette
méthode nous a servi à étudier les époques
antérieures à l'institut KIKESA, à expliquer, analyser et
interpréter certains faits passés.
6.2 TECHNIQUES
La technique est un ensemble des procédés qu'on
doit méthodiquement employer pour un art, pour une recherche dans un
métier. (4) Voici quelques techniques que nous avons
utilisées dans ce travail :
a) Technique documentaire
Cette technique nous a facilité la récolte de
données, par la lecture des certains documents ayant trait avec notre
sujet de recherche.
b) Technique d'observation directe
Cette technique nous a permis d'observer les
réalités en rapport avec notre sujet et en effectuant la collecte
des faits d'un phénomène dans leur déroulement naturel
directement, sans intermédiaire humain, en notant les résultats
de l'observation, sur le champ ou immédiatement après, sur des
fichiers.
(3) DUVERGER M., Méthode des sciences sociales,
Ed. P.U.F, paris, 1961, P. 15.
(4)
www.larousse.fr consulté le
15 Avril 2023 à 10h14.
[- 6 -]
c) Technique d'interview
Elle est une technique qui a pour but d'organiser un rapport
de communication verbale entre deux personnes (l'enquêteur et
l'enquêté) afin de permettre à l'enquêteur de
recueillir certaines informations de l'enquête concernant un objet
précis (5).
L'interview nous a permis de poser certaines questions aux
personnes concernées possédant les informations concernant notre
étude, l'entretien et la prise de connaissance par l'échange de
dialogue avec les utilisateurs du système étudie ont
été aussi nécessaire.
7. DIFFICULTES RENCONTREES
Nous avons été victime de beaucoup d'obstacles
lors de la récolte de données et lors de la recherche des
documents : les rendez-vous non respectés, indisponibilité de nos
interlocuteurs. Malgré toutes ces difficultés nous avons
été déterminés à récolter les
données pour rédiger le présent travail.
8. CANEVAS DU TRAVAIL
Hormis l'introduction générale et la conclusion
générale, notre travail a 3 chapitres, à savoir:
? CHAPITRE PREMIER : APPROCHES THEORIQUES ;
? CHAPITRE DEUXIEME : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
D'INFORMATION ;
? CHAPITRE TROISIEME: REALISATION DU SYSTEME.
(5) Albert Bruno, Les méthodes de sciences
sociales, Ed. Mont Chrétien, Paris, 1972, p.207.
(6) ROSNAY, J., Le système de gestion
informatique, éd. Eyrolles, Paris, 2003.
[7]
PREMIER CHAPITRE : APPROCHES THEORIQUES
INTRODUCTION
Dans ce nouveau chapitre nous allons définir les
concepts informatiques et autres qui sont liés à notre sujet,
pour rendre plus facile la compréhension à nos lecteurs. Puis
nous allons examiner l'état actuel du système afin de
déterminer si la mise en oeuvre d'un système informatisé
sera nécessaire. Alors pour ce faire, il est nécessaire de
comprendre comment le système actuel fonctionne et d'évaluer ses
performances, ses avantages et ses inconvénients. L'objectif est de
déterminer si le système informatisé serait
bénéfique pour améliorer la qualité, la
rapidité, l'efficacité de la gestion du système en
vigueur.
SECTION I : DEBLAYAGE CONCEPTUEL I.1 APPROCHES
D'INFORMATISATION
I.1.1 SYSTEME
Un système est un ensemble d'éléments en
interaction dynamique poursuivant un but commun. (6) Dans une
entreprise, le système est organisé en différents
systèmes appelés sous-systèmes. Que nous pouvons
énumérer :
? Le système de pilotage ;
? Le système d'information ;
? Le système opérant.
Ces sous-systèmes qui s'interagissent sont
représentés de la manière suivante :
Figure 1 Schema d'organisation du système dans une
entreprise.
[8]
? Le système pilotage est
constitué de décideur (prise de décision
stratégique à court et moyen terme et donne l'ordre au
système opérande).
? Le système opérant
(exécutants) exécute des ordres venant du système
de pilotage.
? Le système d'information est le
trait d'union entre les deux sous-systèmes précédents. Il
permet de traiter les informations. D'où le système d'information
est défini comme l'ensemble des informations circulant dans
l'entreprise.
I.1.2 SYSTEME D'INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUE
I.I.2.1. Le Système d'information
Le système d'information dans une entreprise est un
ensemble des informations qui y circulent ainsi que des moyens mis en oeuvre
pour les gérer. (7)
I.I.2.2. Le Système informatique
Le système informatique peut être défini
comme : l'ensemble des méthodes, algorithmes, ressources humaines,
matériels, logiciel (outil à grande échelle). Permettant
l'automatisation de traitement des informations. (8)
1.1.3 BASE DE DONNEES
Une base de donnée est définit comme un grand
fichier dans laquelle on retrouve de petits fichiers ayant de liens entre eux
renfermant des informations non répétitives, exhaustives et
permettant à plusieurs utilisateurs d'y accéder
simultanément. (9)
Une base de données doit répondre aux
critères suivants :
? L'exhaustivité :
l'exhaustivité implique la présence dans la base de
données de tous les renseignements possibles ayant trait aux
applications et aux besoins des utilisateurs;
? La non-redondance : elle implique la
présence d'un renseignement donné une fois et une seule dans la
base de données. C'est à dire : ce critère interdit
l'accès répétitif d'informations dans une base de
données.
? La structuration : c'est l'adaptation du
mode de stockage des renseignements aux traitements qui les exploitent et les
mettrons à jour, ainsi qu'au coût de stockage dans
l'ordinateur.
(7) GABRIEL P, Système d'information pour le
management, Ed. Willey, Paris 2012, P.17.
(8) Idem.
(9) DIMBU P. note de cours technique de base donnée, ISC
BDD édition 2022-2023 P 4.
[9]
I.1.4 SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
Un système de gestion de base de données est un
logiciel jouant le rôle d'interface entre l'utilisateur et la base de
données. (10) Il permet aux développeurs d'utiliser
les différentes fonctionnalités de la base donnée (mise
à jour, création, consultation, recherche etc.).
I.1.5. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR
Une architecture réseau représentant un mode de
dialogue
entre deux processus l'un client demandeur des services et
l'autre serveur fournisseur des services après traitement.
I.I.5.1. Définitions
L'architecture client-serveur est un modèle
d'architecture applicative où les programmes qui sont repartis entre
processus clients et serveurs communiquant par des requêtes avec
réponses. (11).
Ainsi, le fait d'interroger le serveur par le client,
constitue une requête et le service fournit au client par le serveur
constitue en retour une réponse.
I.I.5.2. Fonctionnement
L'architecture client/serveur fonctionne suivant ce
mécanisme :
? Le client émet une requête
vers le serveur grâce à son adresse IP qui désigne un
service particulier du serveur.
? Le serveur reçoit la demande et
répond à l'aide de l'adresse IP de la machine cliente et son
poste.
Il y'a trois acteurs principaux dans l'architecture qui sont : ?
Client
Un client est un système (programme, ordinateur)
demandant l'exécution d'une opération à un fournisseur des
services par l'envoie d'un message contenant le descriptif de
l'opération à exécuter et attendant la réponse
à cette opération par un message en retour.
Nous distinguons trois types de client :
? Client léger : Est une application
accessible via une interface web consultable à l'aide d'un navigateur
web.
(10) DIMBU P. Op cit P3.
(11) GARDARIN O., et GARDARIN, G., Le client-serveur,
édition Eyrolles, Paris, 1996, P.18
[10]
· Client lourd : Est une application
cliente graphique exécuté sur le système d'exploitation de
l'utilisateur possédant les capacités de traitements
évoluées.
· Client Riche : Est l'assemblage du
client léger et le client lourd dans lequel l'interface graphique est
décrite avec une grammaire basée sur la syntaxe XML.
? Serveur
Un serveur est un service permettant de répondre au
service de l'utilisateur ou encore Un Serveur est un système (Programme,
ordinateur de grande capacité) détendant des ressources qu'il met
à la disposition des autres ordinateurs (clients) d'un réseau.
On distingue plusieurs types des serveurs notamment :
· Les serveurs d'applications : Sont
des serveurs dans le quels sont stockées les applications web ;
· Les serveurs des Bases de
données: Sont des serveurs dans laquelle sont stockées
les différentes informations dans un grand fichier qui est la base des
données
· Les Serveurs des Fichiers : Sont des
serveurs dans lequel sont stockées les fichiers ;
· Serveurs messageries : Sont des
serveurs dans lequel sont stockées les messages;
· Serveurs des domaines : c'est sont
des serveurs qui traduit les noms de domaine en adresse IP
? Middleware :
Le middleware est un ensemble des services logiciels qui
assurent l'intermédiaire entre les applications et le transport des
données dans le réseau afin de permettre les échanges des
requêtes et des réponses entre client et serveur de manière
transparente. (12)
(12) BERTRAND P., Architecture des
réseaux,Ed.Ellipses, Paris, 2020, P.17
[11]
I.I.5.3. Type d'architecture client/serveur
I.I.5.3.1. Architecture à deux tiers
Ce type d'environnement caractérise les systèmes
client/serveur où le poste client demande une ressource au serveur qui
la fournit à partir de ses propres ressources ; En claire, le client se
connecte directement au serveur pour demander les services. (13)
Figure 2 Architecture à deux tiers
I.I.5.3.2. Architecture à trois tiers
Avec l'avènement de l'internet et le web l'architecture
client-serveur à évoluer vers l'architecture client-serveur
à 3 tiers.
? Le client (1er tiers) est le
responsable de la présentation, il utilise le navigateur web.
? Le serveur d'application
(2ème tiers) exécute le code applicatif.
? Le serveur de donnée
(3è tiers) supporte le SGBD il reçoit la requête
et fournie la réponse via le serveur d'application. (14)
Figure 3 Architecture à trois tiers
(13) MIRANDA S. et RUOLSA, Client-Serveur. Moteur SQL,Ed.
Middleware, Paris, 2011, p.115.
(14) Idem.
[12]
I.I.5.3.3. Architecture à n-tiers
En effet dans la plupart des applications le niveau
intermédiaire est une collection de composants qui sont utilisés
dans de nombreux traitements transactionnels. Ces composants peuvent être
situés sur un ou plusieurs serveurs physiques.
De plus chacun de ces composants effectue une petite tache et
c'est pourquoi cette partie intermédiaire est séparée en n
parties d'où le terme architecture n-tiers (15).
Figure 4 Architecture n tiers.
I.1.6. INTERNET
L'internet (International Network ou Interconnected Network)
est un réseau informatique qui relie des ordinateurs du monde entier
entre eux et qui leur permet d'échanger des informations. Il peut alors
être compris au sens de réseau des réseaux en ce sens qu'il
relie des millions d'ordinateurs dans le monde et qui n'appartiennent pas
forcément à un pays. Réseau mondial des réseaux
interconnectés par l'intermédiaire du protocole TCP/IP. Ses
débuts remontent en 1969, alors qu'il était au stade de projet
expérimental du ministère de la défense américain,
nommé ARPANET (Avanced Reseach Projects Agency NETwork) pour le
département américain de la défense dans le but de partage
des informations et pour tenter de mettre en place de réseaux capables
de survivre à une destruction partielle (due, selon le contexte
géopolitique de l'époque, à une attaque
nucléaire).
(15) GARDARIN O. et GEORGES, «
Client À Serveur », Edition Eyrolles, Paris 2010, P. 18.
[13]
Peu après, Vinton Cerf et Robert Kahn
développent les deux protocoles TCP (Transfer control
protocole) et IP (Internet Protocol) dans le but de rendre les protocoles de
transmission par paquets applicables à tous les types de systèmes
informatiques. Le travail de Kahn et Cerf constitue aujourd'hui la base de
toutes les communications sur Internet. C'est ce qui fait de ces deux auteurs
les principaux fondateurs de l'internet. (16)
I.I.6.1. LES SERVICES DE L'INTERNET
I.I.6.1.1. LE WEB
Le Web est également l'abréviation courante
de World Wide Web (www) autre appelé toile
d'araignée mondiale.
Le web est un ensemble volumineux des serveurs ou un grand
réservoir d'informations mise à la disposition des chercheurs
pour être exploité sur l'internet. Il peut aussi être
considéré comme une application d'internet, d'autres applications
sont des courriers électroniques, la messagerie instantanée...
Il est parfois définie comme un système
d'information multimédia utilisé sur l'internet et basé
sur la technologie de l'hypertexte, permettant de relier des serveurs et
d'accéder aux bases des données. Le web était
créé par le professeur Tim Berners-lee
en Mars 1989.
I.I.6.1.2. QUELQUES CONCEPTS RATTACHES AU WEB
 La Page web : Est un fichier ou un
document qui contient du texte, des images, des Vidéos et des liens a
d'autres pages, en outre, une page web est un document servi via le protocole
http.
 Le Site web : Est l'ensemble des
pages web relier entre elles grâce à des liens hypertextes.
 Le Protocole http : le http
(Hypertexte Transfert Protocole) est un Protocol de communication entre un
navigateur (client) et un serveur connecté sur internet, permettant le
transfert des pages web.
 Le Url (Uniform Ressource
Locator) est l'adresse web qui permet d'indiquer les ressources d'une
machine. (17)
 Le Moteur de recherche : est un
logiciel qui permet de retrouver ou
localisé des ressources (page web, images,
vidéos...) contenant l'information relative au mot clé de la
requête de l'utilisateur. EX: Google, Bing, Yahoo, Baidu, DuckduckGo,
Yandex...
(16) MALALA ATANDELE T., Note de cours de langage HTML et CSS,
G2 INFO, ISC/BDD, 2021-2022, P.6.
(17) ídem.
[14]
 Le Navigateur (Browser en anglais)
est un logiciel qui permet de visualiser les sites web. Le navigateur permet
d'interprété les codes des pages web (HTML ou CSS) en fin
d'afficher le résultat à l'écran. EX : Safari, Google
Chrome, Firefox...
I.1.7. Merise
La merise entre autre la méthode d'étude et de
réalisation informatique de système d'entreprise, est une
méthode de conception, de développement et réalisation des
projets informatiques. Donc elle nous permettra de concevoir notre
système.
1.2. CONCEPTS LIES AU SUJET
 Mise en place : en informatique, la
mise en place désigne l'ensemble des actions nécessaires pour
rendre un logiciel utilisable sur un ordinateur.
 Publication : Action de rendre
publique, de publier une information, une opinion.
(18)
 Résultat : ce qui est la
conséquence d'un acte, d'un phénomène soit Réussite
ou échec à un examen, un concours etc.
 Elève : Celui, celle qui
reçoit un enseignement dans un établissement scolaire
18
www.larousse.fr consulté le
29/04/2023 18 à 02h42
[15]
SECTION II : PRESENTATION DE L'INSTITUT KIKESA
II.1.SITUATION GEOGRAPHIQUE
L'institut KIKESA est situé au numéro 3 de
l'avenue de l'église, L'institut KIKESA est limité à l'Est
par l'avenue LUMUMBA et l'école Primaire BASOKO, à l'Ouest parla
SOBRABAND et la rivière KWILU À KWANGO, au nord par l'avenue de
l'Eglise et au Sud par l'ITP MOSALA, le couvent des Frères
Joséphites de Kinzambi et la SOBRABAND.
II.2. HISTORIQUE
Datant du temps colonial, institut KIKESA fut la toute
première école du diocèse de Kenge. Il formait les
moniteurs et instituteurs. Il a connu plusieurs appellations :
Ecole normale, institut saint jean baptiste de la salle,
institut serenkuma, avant de fixer sur l'actuelle appellation durant
l'année 1973 À 1974 De puis l'année scolaire 1966 À
1967, la direction de l'institut KIKESA a été confiée
à la congrégation des frères Joséphites de
Kinzambi.
A la section pédagogique s'est ajoutée la
section scientifique (math À physique) par l'arrêté
ministériel de 1975. Sur demande des parents, une nouvelle section a
été ajoutée en 2001À2002 : la section technique
commerciale et administrative.
A ce jour, l'institut a mis sur le marché de l'emploi
tant national que provinciale de nombreux diplôme qui défendent
valablement son honneur et sa réputation.
Tableau 1 : identification de l'école
Id section
|
Dénom.
|
R.G
|
Assoc.
|
Niveau
|
option
|
Adresse
|
3001.178
|
I.KIKESA
|
C.C
|
Diocèse de
Kenge
|
Secondaire cycle long
|
 LATIN-PHILO Â
PEDA GEN. Â BIO-CHIMIE Â
MATH À PHIS. Â COMM & GEST
|
I.KIKESA
B.P : 213 BDD
4,AV. DEL'EGLISE
Q/ SALONGO
C/BASOKO
GPS: LAT:: S-3-18'-44»
LON.:E-17-22'-3'
ALT. : 306 m
PREC. : 15,5 m
BANDUNDU
|
Tableau 2 : Structure de l'école
N° ORDRE
|
NOMBRE DES
|
7e
|
8e
|
3e
|
4e
|
5e
|
6e
|
Total
|
|
CLASSES
|
|
|
|
|
|
|
|
01
|
AUTORISEES
|
05
|
03
|
05
|
05
|
05
|
05
|
28
|
02
|
ORGANISEES
|
05
|
03
|
04
|
03
|
03
|
03
|
21
|
Arrêtés d'agrément :
 N° NIMEDUC/CABMIN/001/1024/2017 du
04/08/2017.
Source : Direction des études de KIKESA
[16]
II.3 OBJECTIFS DE L'INSTITUT KIKESA
a. Objectif principal
L'institut KIKESA a pour objectif d'amener la jeunesse
congolaise à une meilleure éducation en assurant un bon
enseignement.
b. Objectif spécifique
Le but poursuivi par l'institut KIKESA est de former le cadre
de demain que le monde a besoin.
II.4. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE
L'administration scolaire s'effectue
généralement selon la structure suivante :
? La préfecture ;
? La direction des études ; ?
Le secrétariat ;
? Les enseignants ;
? Direction de discipline, ?
Direction de l'internat,
II.5. ORGANIGRAMME GENERAL
SECRETARIAT
DIRECTEUR D'INTERNAT
DIRECTEUR DES ETUDES
DIRECTEUR DE DISCIPLINE
OUVRIER
|
Figure 5 Organigramme général
|
ENSEIGNANTS
|
[17]
II.6. JOB DESCRIPTION
1. La préfecture
En sa qualité d'encadrement : la préfecture est
le centre d'un groupe formé de professeurs, d'enseignants, animateurs
pédagogiques d'une communauté appelée Ecole.
Il écoute attentivement ce qui vient des
élèves et des parents et expose objectivement à ses
collaborateurs les problèmes qui se posent. Il rappelle les directives
de l'Etat mais sollicite les avis sur leurs applications. Il conforme les
opinions, pèse les arguments puis décide suivant
l'intérêt des élèves.
? ROLE :
Le rôle se situe à quatre niveaux dont :
? Le rôle d'éducation : c'est
À à À dire veiller à ce que l'enseignant
dispensé tende à développer chez l'enfant les valeurs
intellectuelles, éthiques et spirituelles ;
? Le rôle pédagogique : c'est
À à À dire doit consentir un effort un effort tout
spécial pour un encadrement efficace et adéquat de tout le
personnel sous ses ordres. Ça implique aussi, une étude et une
surveillance permanente des documents, de fréquences visites des
classes, établir des grille horaire, insister sur les réunions
pédagogiques régulières.
? Le rôle d'enseignant : c'est
À à À dire connaitre les valeurs professionnelles de ses
professeurs. Il se contente à prendre les notes tant positives que
négatives qui seront reportées sur le formulaire.
? Le rôle d'administrateur ; c'est
À à À dire une attention soutenue à la tenue des
documents des autorités du ministère principalement en
matière d'admission, d'effectifs des élèves, de passage et
de redoublement de classe, de délivrance des titres scolaires,
d'établissement d'horaires de cours, de relations avec les parents par
le biais de leur comité, des finances scolaires, etc...
2. La Direction des études
Le Directeur des études est chargé de la
pédagogie de l'école. C'est un service purement technique de
l'école en ce sens que c'est elle qui donne l'impulsion
pédagogique à toutes les activités de l'école.
Le directeur des études travail toujours en
collaboration avec le préfet, de qu'il reçoit les
instructions.
[18]
Il s'occupe notamment la :
? L'élaboration des attributions des
couts qu'il soumet à l'approbation
du préfet ;
? L'élaboration de l'horaire provisoire
des cours ;
? L'élaboration de la mise en place du
personnel enseignant et ouvrier
qu'il soumet également à l'approbation du
préfet ;
? La remise des documents pédagogique
à tous les enseignants ;
? Du contrôle des présences des
élèves et des enseignants ;
? Veiller à exécution des
programmes des cours.
3. La Direction de discipline
Le directeur de discipline assure l'ordre à
l'école. Dans cette optique, il veillera à ce que les punitions
ne perturbent pas l'ordre à l'école.
La direction de discipline est sous l'autorité
immédiate du chef d'établissement scolaire. Il a en outre comme
offices :
1) Faire exécuter les ordres du chef
d'établissement ;
2) Règle les petites palabres entre élèves
;
3) Revoir les parents des élèves pour les
questions disciplinaires ;
4) Distribuer et reprendre les manuels et fournitures scolaires
;
5) Faire le trait d'union entre les élèves et le
chef d'établissement ;
6) Faire observer la discipline.
4. Le Secrétaire
La secrétaire a pour tâches :
? Contrôler les présences des
enseignants pendant les heures des
cours ;
? L'élaboration du registre de la
présence des enseignants à l'école ;
? Etablir les duplicata des anciens
élèves ;
? Saisie et impression des lettres ;
? Gérer les correspondances.
5. Les enseignants
Dispense les enseignements aux élèves, pendant les
heures de cours et suivant l'horaire établi.
Ils sont sous la direction directe du directeur des
études.
[19]
SECTION III : ETUDE D'OPPORTUNITE III.1 DEFINITION ET
BUT
? Définition
Elle nous permet à définir le fonctionnement du
système existant et le critiquer afin de trouver ces défauts qui
bloquent le bon fonctionnement du système en place et les points
affirmatifs qui contribuent ainsi à son fonctionnement.
? Buts
Cette étude poursuit les buts suivants :
? Comprendre le système d'information existant de
l'entreprise et y prendre connaissance en détail dont celle souhaite
améliorer son fonctionnement ;
? Détecter les failles pouvant représenter un
réel handicap pour le développement de cette entreprise ;
? Proposer des solutions idéales, concrètes et
réalisables, en se référant aux objectifs de l'entreprise
en fixant comme plan de travail les domaines dont l'entreprise améliore
le rendement.
III.2 DESCRIPTION DES ACTIVITES DU SERVICE SPECIFIQUE
Ce service réalise les opérations suivantes :
? Etablissement de la fiche de cotation ;
? Transcription de cote ;
? Calcul de cotes des élèves ;
? Publication de résultat.
III.3 ORGANIGRAMME SPECIFIQUE
Préfet
Directeur des Etudes
Enseignants
Titulaires
Figure 6 L'organigramme du service de publication de
résultats
Source: Direction des etudes
[20]
III.4 ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL
Cette étude permet d'analyser les différents
postes qui interagissent au sein de ce service ou département qui
s'occupe de gestion de publication de résultat.
Voici les différents postes qui s'occupent de la
publication de
résultat :
· Préfecture ;
· Direction des études ;
· Enseignant.
III.5 ETUDE DES DOCUMENTS
Cette étude nous permet de répertorier tous les
documents utilisés pour la publication de résultats, Ainsi,
l'existence de chaque document doit être justifiée car il est
souvent constaté que les documents existent mais ne sont pas
utilisés.
III.5.1 RECENSEMENT DES DOCUMENTS
Notre investigation à l'institut KIKESA, nous a permis
de
recenser les documents suivants :
· Fiche de cotation ;
· Palmarès de chaque classe ;
· Palmarès général de l'école
;
· Bulletin ;
· Billet de vacance.
III.5.2 DESCRIPTION DES DOCUMENTS
a) ROLE DU DOCUMENT ? Fiche de cotation
C'est un document que le titulaire doit se servir pour le
calcul des points de chaque élève.
? Palmarès de classe
C'est un document qui nous sert à connaitre l'effectif,
la participation des élèves, le nombre de réussite, des
échecs et de calculer la moyenne de classe.
? Palmarès général de
l'école
C'est un document qui nous sert de calculer la moyenne de
toute l'école et connaitre le nombre des lauréats.
[21]
? Bulletin
Celui-ci nous permet connaitre les cotes de chaque
élèves périodes par période ainsi trimestre par
trimestre.
? Billet de vacance
Il permet aux élevés de connaitre le montant et
les conditions pour la rentrée scolaire prochaine ainsi que le
Pourcentage.
b) MODELE DES DOCUMENTS 1. Fiche de
cotation
|
|
P1 P2 EX TOT P3 P4 EX TO TOT
T GEN
|
2è me
SESSION
|
MAXIMA
|
% Sé/P
rof
|
N°
|
NOM ET POST À NOM
|
01
|
|
02
|
|
03
|
|
04
|
|
05
|
|
06
|
|
07
|
|
08
|
|
09
|
|
10
|
|
11
|
|
12
|
|
13
|
|
DIOCESE DE KENGE INST.
KIKESA BANDUNDU-VILLE
FICHE DE COTATION PERIODIQUE
ANNEE SCOLAIRE : 2022-2023 CLASSE : BRANCHE :
PROFESSUER : TITULAIRE :
Figure 7 Fiche de cotation
Source : Direction des Etudes
[22]
2. PALMARES DE CLASSE
N°
01
02
03
|
NOM ET POST À NOM
|
%
|
OBSERVATION
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N°
|
NOM ET POST À NOM
|
%
|
OBSERVATION
|
01
|
|
|
|
02
|
|
|
|
03
|
|
|
|
N°
|
NOM ET POST À NOM
|
%
|
Examen de 2ème SESSION
|
01
|
|
|
|
02
|
|
|
|
03
|
|
|
|
CLASSE : INSCRITS PARCIPANTS : REUSSITE : ECHEC :
ABANDONS :
A. PASSENT EN PREMIER SESSION :
C. DOUBLE LA CLASSE
B. PASSENT APRES LA DEUXIEME SESSION :
Titulaire : Qualification :
Figure 8 Palmarès de classe
Source : Direction des Etudes
[23]
3 PALMARES GENERAL
DIOCESE DE KENGE INST. KIKESA BANDUNDU-VILLE
N°
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
|
CLASSE
|
MOYENNE EN %
|
7e
|
65%
|
8e
|
55%
|
3e PEDA
|
70%
|
4e PEDA
|
54%
|
5e PEDA
|
74%
|
6e PEDA
|
58%
|
3e MATH-PHYS
|
61%
|
4e MATH-PHYS
|
62%
|
5e MATH-PHYS
|
73%
|
6e MATH-PHYS
|
58%
|
3e LAT PHILO
|
59%
|
4e LAT PHILO
|
51%
|
5e LAT PHILO
|
70%
|
6e LAT PHILO
|
58%
|
3è BIO-CHIMIE
|
58%
|
4 è BIO-CHIMIE
|
52%
|
5 è BIO-CHIMIE
|
56%
|
6 è BIO-CHIMIE
|
66%
|
N°
1
2
3
|
NOMS & POST-NOMS
|
S
|
CLASSE
|
%
|
ABOMBELA
|
F
|
5e MATH-PHYS
|
79%
|
ENGO BANGABOLIA
|
F
|
5e PEDA
|
74%
|
TOMOLOMBO NSENSE
|
F
|
8e MATH-PHYS
|
73%
|
LEZEME
|
M
|
3e PEDA
|
70%
|
I. PALMARES DES RESULTATS DE L'ECOLE
MOYENNE : 66,60%
II. LES LAUREATS
Figure 9 Palmarès de l'école
Source : Direction des Etudes
Source : direction des études
[24]
4. Billet de vacance
Figure 10 Billet de vacance
Source : Direction des Etudes
[25]
5. BULLETIN
Figure 11 Bulletin
[26]
III.6. ETUDE DES RESSOURCES DE TRAITEMENT DES
INFORMATIONS Cette étude nous a permis d'examiner les
différents moyens de traitement des informations.
a) RESSOURCES HUMAINES
Tableau 1 : Ressources Humaines
APPLICATION : Déploiement d'un système
orienté web pour la publication de résultat.
DATE DU JOURS : Le 20 Avril 2023
ANALYSTE Prog. : ONJI KITOKO Aristote
FICHE RESSOURCE HUMAINE
|
N°
|
NOM SERVICE
|
QUALIFICATION
|
NOMBRES
|
1.
|
Préfet
|
G3
|
1
|
2.
|
Directeur Des Etudes
|
L2
|
1
|
3.
|
Enseignants
|
G3
|
1
|
4.
|
Titulaires
|
L1, G3, D6
|
1
|
|
b) RESSOURCES MATERIELLES
Tableau 2 : Ressources Matérielles
APP APPLICATION : Déploiement d'un système
orienté web pour la
publication de résultat.
DATE DU JOURS : Le 20 Avril 2023
ANALYSTE Prog. : ONJI KITOKO Aristote
FICHE RESSOURCES MATERIELLES
|
N°
|
MATERIELS
|
MARQUE
|
Nbre
|
ANNEE
D'ACQUISITION
|
ETAT
|
1.
|
Chaise
|
Fauteuils
|
3
|
2013
|
Bon
|
2.
|
Table
|
Bois
|
4
|
2016
|
Bon
|
3.
|
Agrafeuse
|
Olympia
|
4
|
2013
|
Bon
|
4.
|
Etagère
|
Bois
|
5
|
2012
|
Bon
|
5.
|
Papier
|
-
|
-
|
-
|
Bon
|
6.
|
Calculettes
|
|
1
|
2015
|
Bon
|
7.
|
Farde
|
Chemise
|
-
|
-
|
Bon
|
8.
|
Stylo
|
-
|
-
|
-
|
Bon
|
9.
|
Ordinateur
|
HP
|
3
|
2019
|
Bon
|
10.
|
Imprimante
|
LaserJet
|
2
|
2019
|
Bon
|
(19) REIX R., Analyse en Informatique de gestion,
Ed. BORDAS, Paris, p.34
[27]
III.7 ETUDE DE CIRCUIT DES INFORMATIONS
III.7.1 NARRATION
Apres la passation des examens de fin d'année, Le
directeur des études établit les fiches de cotation et donne
à chaque titulaire de cours, celui-ci procède par la
transcription des côtes et ensuite, ils les remettent au directeur des
études. Ce dernier rassemble toutes les fiches venant de chaque
titulaires des cours, vérifie et transmet lesdites fiches à
chaque titulaire de classe. Celui-ci à son tour calcule les côtes
et le transcrit dans les bulletins, et il établit les palmarès
des résultats après les envoie au directeur des études
pour vérification. Après ce scenario, le directeur des
études transmet les bulletins, les fiches de cotation des
élèves ainsi que les palmarès au préfet, celui-ci
signe, insère le sceau de l'école, les renvoient au directeur des
études et fait la préparation de la proclamation. Le directeur
des études établit et signe les billets de vacances contenant les
côtes des élèves, puis, il le remet aux titulaires des
classes pour distribuer aux élèves.
III.7.2. DIAGRAMME DE FLUX
Le diagramme de flux permet de modéliser les flux
d'informations existant entre acteurs d'un domaine d'étude. En d'autres
termes, Un diagramme de flux représente graphiquement le cheminement des
données à travers les processus d'un système.
(19)
Il nous permet d'avoir :
? Une vue d'ensemble de la circulation de
l'information entre les acteurs qui participent à la réalisation
d'une activité définie.
? D'analyser les échanges
d'informations au sein du système d'information d'une organisation
(entreprise, administration ou association) et avec d'autres systèmes
d'information.
a) FORMALISME
Le diagramme de flux se présente sur base des
éléments suivants :
Figure 12 Formalisme
[28]
b) ELABORATION DU DIAGRAMME DE FLUX
Figure 13 Elaboration du diagramme de Flux
III.7.3 MATRICE DE FLUX
Tableau : matrice de flux
Flux
|
Acteur émetteur
|
Acteur récepteur
|
Tâches effectuées
|
1
|
Directeur des études
|
Titulaire de cours
|
Etablissement des fiches de cotation et envoi au titulaire de
cours.
|
2
|
Titulaire de cours
|
Directeur des études
|
Transcription de cote et remise de fiche de cotation.
|
3
|
Directeur des études
|
Titulaire de classe
|
Rassemblement de toutes les fiches
venant de chaque titulaires des cours,
vérifie et transmet lesdites fiches à chaque
titulaire de classe.
|
4
|
Titulaire de classe
|
Directeur des études
|
calcule les côtes et le transcrit les cotes dans les
bulletins, et il établit les palmarès des résultats
après les envoie la fiche chez le directeur des études.
|
5
|
Directeur des études
|
Préfet
|
Vérification et transmission auprès du
préfet.
|
6
|
Préfet
|
Directeur des études
|
Signature, insertion du sceau de l'école,
préparation de la proclamation et revoient au directeur des
études.
|
7
|
Directeur des études
|
Titulaire de classe
|
Réception, établissement et signature des
billets de vacance et le remet aux titulaires des classes.
|
8
|
Titulaire de classe
|
Elève
|
Réception du billet de vacance.
|
[29]
SECTION IV : DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT ET SCENARIOS DE
MISE EN OEUVRE.
IV.1 CRITIQUE DE L'EXISTANT
A ce stade, étant un analyste nous devons
dégager le point fort et la partie péjorative du système
existant afin de trouver une meilleure solution à ce problème.
IV.1.1. AU NIVEAU DE L'ORGANISATION ET DE GESTION
D'une manière générale, la publication de
résultat à l'institut KIKESA se passe bien et l'école
regorge un nombre important des élèves et bien organisé
même si le traitement des informations reste manuel et ne
répondent pas aux besoins des élèves.
IV.1.2. CRITIQUE DE CIRCULATION DES
INFORMATIONS
Les informations au sein de l'institut KIKESA se fait d'une
manière traditionnelle ou archaïque ce qui implique des anomalies
tels que : la lenteur de traitement des informations lié à la
publication des résultats, perte de temps ainsi que les
données.
IV.1.4 AU NIVEAU DES RESSOURCES MATERIELLES
L'institut KIKESA dispose de matérielles pour le
traitement des informations, or ce dernier n'est pas informatique afin
d'assurer un bon travail et efficace en son sein.
IV.2. SCENARIOS DE MISE EN OEUVRE
Après avoir constaté les difficultés qui
persistent au système existant, nous serons obligés de proposer
une solution tant manuelle qu'informatisé.
IV.2.1 SCENARIO DE REORGANISATION DU SYSTEME EXISTANT
En guise de solution, nous ne pouvons pas rejeter car
malgré l'innovation de l'informatique est toujours nécessaire que
l'être humain soit présent. C'est pour cela nous proposons aux
autorités de l'institut KIKESA ce qui suit :
? D'ajouter d'autres agents pour la
rapidité au sein de ce service ;
? Mettre en place les moyens efficaces pour
le traitement facile des informations ;
? Augmenter la prime des agents.
[30]
a) Avantages
? Matériels des travaux moins
coûteux ;
? En cas de coupure
d'électricité, le travail continuera sans difficulté
b) Contraintes
? Perte de temps dans la recherche des
données ;
? Mauvaise conservation des données
;
? Lenteur dans la restitution des
résultats ;
? Travail moins performant ;
? Insécurité des
données.
IV.2.2 SCENARIO D'INFORMATISATION
Nous proposons aux autorités de cet
établissement d'informatiser le système en place pour un bon
traitement qui sera efficace et sécurisé ainsi que la
fiabilité de la publication de résultat en ligne.
a) Avantages
? Traitement rapide et automatique des
données ;
? Fiabilité des résultats ;
? Bonne conservation des données ;
? Faciliter de mettre à jour les
données.
b) contraintes
? L'acquisition des matériels est
très coûteuse ;
? Le coût élevé de
l'entretien des matériels ;
? La consommation élevée de
l'énergie électrique et du carburant en cas de coupure
d'énergie pour alimenter le groupe électrogène.
IV.2.3 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION
En regardant les avantages que la solution informatique nous
offre, nous préconisons la solution informatique pour sa
fiabilité.
[31]
CONCLUSION PARTIELLE
Nous sommes arrivés à la fin de notre premier
chapitre qui porte sur l'approche théorique, il était
concentré aux concepts informatiques, leurs définitions, nous
avons aussi parlé de quelque notion de la programmation Web et la
présentation complète l'institut KIKESA.
Ce chapitre nous a également aidé à
connaitre les fonctionnements, l'organisation de l'institut KIKESA pour la
publication de résultat, son Historique, sa situation géographie.
L'étape suivante nous allons aborder notre deuxième chapitre qui
s'est intitulé : « conception du nouveau système
d'information ».
[32]
CHAPITRE II : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
D'INFORMATION
INTRODUCTION
La conception du nouveau système se fait étape
par étape pour mettre en place un système d'informatisation, elle
permet de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer.
SECTION I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
ORGANISE.
I.1.ETAPE CONCEPTUELLE DE DONNEES I.1.1. DEFINITION ET BUT
Le modèle conceptuel des données (MCD) est une
représentation statique de donnée qui a pour but d'écrire
de façon formelle les données qui seront utilisées par le
système d'information. Il s'agit donc d'une représentation des
données, facilement compréhensible, permettant de décrire
le système d'information à l'aide d'entités.
(20)
I.1.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE
Le formalisme adopté par la méthode (merise)
pour la description de données utilisée par le système
d'information est basé sur l'entité À association,
l'entité représente l'objet et association représente la
relation.
Une entité ou objet est représenté par un
rectangle reprenant le nom de l'objet et toutes ses propriétés
parmi lesquelles nous allons trouver l'identifiant qui est obligatoire
souligner ou précédé du symbole #.
Une relation est représentée par un cercle ovale
avec le nom de la relation ainsi que ses propriétés.
Cardinalité elle précise le nombre de fois une
entité ou objet participe dans une relation. Elle est composée de
deux parties (borne) maximum et minimum.
20 Encyclopédie informatique comment ça marche.
[33]
I.I.2.1. FORMALISME
Cardinalité
Objet A
Objet B
identifiant propriété 1
identifiant propriété 1
-
-
x,y
-
Relation
-
x,y
-
-
Propriété N
Propriété N
Cardinalité
Figure 14 Formalisme étape conceptuelle de
donnée
minimale
I.I.2.2. CONCEPTS DE BASE
Les concepts de base utilisés dans la
modélisation conceptuelle de données sont :
 Objet : est une entité concrète
ou abstraite ayant une existence autonome et présentant un certain
intérêt dans un domaine de gestion donné. Autrement dit
c'est un regroupement des propriétés. (21)
 Association ou relation : est un lien
sémantique entre plusieurs entités. Elle est souvent
exprimée sous forme de verbe à l'infinitif ou d'une locution
verbale et cela, dans un cercle ovale.
 Propriété (attribut ou
rubrique) : est une donnée élémentaire qui décrit
un objet ou une entité.
 Identifiant : c'est une
propriété permettant de distinguer une entité parmi tant
d'autres et sans ambigüité.
 Cardinalités : Elle permet de
caractériser le lien qui existe entre une entité et la relation
à laquelle elle est reliée. La cardinalité d'un objet par
rapport à une relation s'exprime par deux nombres appelés
cardinalité minimale et cardinalité maximale.
(21) CHRIST, J., Introduction de la base de
données, 6ème Ed. Thomson, Paris, 1998, P.11
[34]
? Contrainte de cardinalité : exprime le
nombre de fois minimum et maximum que l'objet participe dans une relation ;
? Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle
(CIF) : est une contrainte de cardinalité du type (0,1) ou
(1,1) d'une part et de (0, n) ou (1, n) d'autre part.
I.1.3. REGLES DE GESTION
En ce qui concerne la gestion de publication des
résultats des élèves, les règles de gestion
suivantes ont été prises en compte :
Règle 1 :
- Un titulaire publie un ou plusieurs résultats;
- Un résultat est publié par un et un seul
titulaire.
Règle 2 :
- Un élève consulte un ou plusieurs
résultat;
- Un résultat est consulté par un et un seul
élève ;
Règle 3 :
- Un élève étudie dans une et une seul
classe ;
- Dans une classe étudie un ou plusieurs
élèves.
Règle 4 :
- Un titulaire appartient à une ou plusieurs classe;
- Dans une classe appartient un et un seul titulaire.
Règle 5 :
- Un résultat concerne une et une seule classe;
- Une classe est concernée par un ou plusieurs
résultats.
Règle 6 :
- Une classe se trouve dans une et une seule option;
- Dans une option se trouve une ou plusieurs classes.
[35]
I.1.4. DICTIONNAIRE DE DONNEES
Tableau 3: Dictionnaire de données
N°
|
PROPRIETE
|
CODE PROPRIETE
|
TYPE
|
TAILLE
|
1.
|
Adresse_ titulaire
|
Adresse_ titulaire
|
C
|
35
|
2.
|
Application
|
Application
|
C
|
10
|
3.
|
code_classe
|
code_classe
|
N
|
10
|
4.
|
code_option
|
code_option
|
N
|
10
|
5.
|
conduite
|
conduite
|
C
|
10
|
6.
|
Décision
|
Decision
|
C
|
10
|
7.
|
Grade_tit
|
Grade_tit
|
C
|
20
|
8.
|
Id_résultat
|
Id_ result
|
N
|
10
|
9.
|
Libelle_classe
|
Lib_classe
|
C
|
35
|
|
10
|
Libelle_option
|
Lib_option
|
C
|
35
|
11
|
Mat_titulaire
|
Mat_ titulaire
|
N
|
10
|
12
|
Matriculr_Eleve
|
Matr_elev
|
N
|
10
|
13
|
Nom élève
|
Nom_elev
|
C
|
25
|
14
|
Nom_ titulaire
|
Nom_ titulaire
|
C
|
25
|
15
|
Place
|
Place
|
C
|
10
|
16
|
PostNom_élève
|
Postnom_elev
|
C
|
25
|
17
|
Post_ titulaire
|
Postnom_ titulaire
|
C
|
25
|
18
|
Sexe_élève
|
Sexe_elev
|
C
|
10
|
19
|
Sexe_ titulaire
|
Sexe_ titulaire
|
C
|
10
|
20
|
Pourcentage
|
Pourcentage
|
C
|
10
|
21
|
Tel_titeur
|
Tel_titul
|
C
|
15
|
I.1.5. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES OBJETS
Un objet est une entité concrète ou abstraite ayant
une existence autonome et présentant un certain intérêt
dans un domaine de gestion donnée. (22)
I.1 .5.1 . RECENSEMENT DES OBJETS
En ce qui concerne notre étude, nous avons recensé
les objets ci-
dessous :
? Elève ;
? Classe ;
? Titulaire;
? Résultat ;
? Option.
(22) Roche et Majorony, la Méthode Merise,
2e édition, Ex-Raller, Paris, 1998
[36]
I.1 .5.2. DESCRIPTION DES OBJETS
Tableau 5: Description des objets
N°
|
OBJETS
|
PROPRIETE
|
CODE
PROPRIETE
|
TYPE
|
TAILLE
|
ID
|
1.
|
ELEVE
|
Matricule_Eleve
|
Mat_elev
|
N
|
10
|
#
|
|
|
Nom élève
|
Nom_elev
|
C
|
25
|
|
|
|
PostNom_élève
|
Postnom_elev
|
C
|
25
|
|
|
|
Sexe_élève
|
Sexe
|
C
|
10
|
|
|
|
Tel_titeur
|
Tel_titeul
|
C
|
15
|
|
2.
|
CLASSE
|
code_classe
|
code_classe
|
N
|
10
|
#
|
|
|
Libelle_classe
|
Lib_classe
|
C
|
35
|
|
3.
|
TITULAIRE
|
Mat_titulaire
|
Mat_ titulaire
|
N
|
10
|
#
|
|
|
Nom_ titulaire
|
Nom_ titulaire
|
C
|
25
|
|
|
|
Post_ titulaire
|
Postnom_titulaire
|
C
|
25
|
|
|
|
Sexe_ titulaire
|
Sexe_tit
|
C
|
10
|
|
|
|
Adresse_ titulaire
|
Adresse_ titulaire
|
C
|
35
|
|
|
|
Grade_tit
|
Grade_tit
|
C
|
20
|
|
4.
|
OPTION
|
code_option
|
code_option
|
N
|
10
|
#
|
|
|
Libelle_option
|
Lib_option
|
C
|
35
|
|
5.
|
RESULTAT
|
Id_résultat
|
Id_ result
|
N
|
10
|
#
|
|
|
|
Pourcentage
|
Pourcentage
|
C
|
10
|
|
|
|
Décision
|
Decision
|
C
|
10
|
|
|
|
Place
|
Place
|
C
|
10
|
|
|
|
Application
|
Application
|
C
|
10
|
|
I.1 .6. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES RELATIONS I.1.6.1.
RECENSEMENT DES RELATIONS
En ce qui concerne notre étude, nous avons recensé
les relations ci-dessous :
 Publier ;
 Consulter ; Â
Etudier ;
 Appartenir ; Â
Concerner ; Â Trouver.
[37]
I.1 .6.2. DESCRIPTION DES RELATIONS
Tableau 6: Description des relations.
N°
|
relation
|
objets associes
|
Dim.
|
Propriétés
|
type
|
Taille
|
1.
|
Publier
|
Titulaire - Résultat
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
2.
|
Consulter
|
Elève - Résultat
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
3.
|
Etudier
|
Elève - Classe
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
4.
|
Appartenir
|
Titulaire - Classe
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
5.
|
Concerner
|
Résultat - Classe
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
6.
|
Trouver
|
Classe - Option
|
Binaire
|
-
|
-
|
-
|
|
I.1 .7. LES CONTRAINTES
Une contrainte est un ensemble des règles
spécifiant les valeurs permises pour certaines données,
éventuellement en fonction des autres données permettant
d'assurer une cohérence de la base de données. (23) Il
en existe plusieurs type de contrainte que nous pouvons énumérer
ci-dessous :
? Contrainte d'intégrité fonctionnelle
: Elle sert à minimiser le nombre de caractères à
stocker dans les mémoires de masse ; Elle permet aussi la recherche
rapide des informations dans la base de données.
? Contrainte de cardinalité : Elles
s'appliquent pour les cardinalités du type : 0, n et 1, n ou 1, n et 1,
n.
? Les contraintes d'intégrité
référentielle : Elles imposent que la valeur d'une
clé étrangère d'une table, existe comme valeur de
clé primaire dans la table à laquelle elle fait
référence.
I.1 .7.1 . CONTRAINTE DE CARDINALITE
Caractérise le lien qui existe entre une entité
et la relation à laquelle elle appartient. D'une manière
générale les différentes cardinalités sont :
0,1 : l'occurrence participe à la relation zéro ou
une fois ;
1,1 : l'occurrence participe à la relation une et une
seule fois ; 0,n : l'occurrence participe à la relation zéro ou
plusieurs fois ; 1,n : l'occurrence participe à la relation une ou
plusieurs fois.
(23) KITOKO, Notes de Cours de Méthode
d'Analyse Informatique II, G3 info,ISC/KIN, 2021, p.57 inédit
[38]
I.1 .7.2. CONTRAINTE D'INTEGRITE FONCTIONNELLE
On parle de contrainte d'intégrité fonctionnelle
(CIF) c'est lorsqu'il y'a dépendance d'une entité (objet) par
rapport à l'autre et est souvent représentée en paires.
(1,1)-(1,n) ou (0,1)-(0,n).
I.1.7.3. TABLEAU DESCRIPTIF DES CONTRAINTES
Tableau 7: Descriptif des contraintes.
N°
|
RELATIONS
|
OBJETS ASSOCIES
|
CARDINALITE
|
CIF
|
1
|
Publier
|
Titulaire - Resultat
|
(1,n) - (1,1)
|
Oui
|
2
|
Consulter
|
Eleve - Resultat
|
(1,n) - (1,1)
|
Oui
|
3
|
Etudier
|
Eleve - Classe
|
(1,1) - (1, n)
|
Oui
|
4
|
Appartenir
|
Titulaire - Classe
|
(1,n) - (1, 1)
|
Non
|
5
|
Concerner
|
Resultat - Classe
|
(1, 1) À (1,n)
|
Oui
|
6
|
Trouver
|
Classe - Option
|
(1, 1) À (1,n)
|
Oui
|
[- 39 -]
I.1.8. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Figure 15 Présentation du MCD
[- 40 -]
I.2. ETAPE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENTS
I.2.1. DEFINITION ET BUT
Le modèle conceptuel de traitement est un modèle
permettant de représenter de façon schématique
l'activité d'un système d'information sans faire
référence à des choix organisationnels ou des moyens
d'exécutions. C'est à dire qu'il permet de définir
simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand comment et
où. (24)
I.2.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE DU MCT
Le Formalisme E-O-R est utilisé par la méthode
MERISE et signifie « Evénement, Opération, Résultat
et Synchronisation ».
1i Evénement : Un événement est
défini comme un fait qui déclenche une action (opération).
Il est symbolisé par un cercle ovale.
1i L'opération : La réponse
à l'arrivé d'un événement est le
déclenchement d'un ensemble de traitement appelé
opération.
1i Résultat : C'est le produit de l'exécution
d'une opération. En d'autres termes, le résultat est la
réponse générée par une opération.
1i Synchronisation : c'est une condition booléenne
traduisant les règles de gestion qui doivent vérifier les
événements pour déclencher les actions. (25)
1i Règle d'émission : On parle
d'une règle d'émission C'est une condition, traduisant les
règles de gestion, qui permet d'exprimer des conditions de sortie des
résultats.
(24)
www. CommentCaMarche.net
consulter le 30 juin 2023 à 15h54.
(25) GERARD P., Modélisation de Systèmes
d'Information. Villetaneuse, Paris, 2012, P 33.
[41]
1.2.3. RECENSEMENT DES OPERATIONS
Avec l'étude menée dans ce travail, nous avons
recensé les opérations ci-après :
 Etablissement fiche de cotation ;
 Transmission et transcription cote ;
 Remise fiche de cotation ;
 Centralisation ;
 Etablissement palmarès ;
 Publication de résultat.
I.2.4. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENTS
(MCT)
Figure 16 Présentation Modèle Conceptuel de
Traitement.
[42]
I.3. ETAPE ORGANISATIONNELLE
Le niveau organisationnel implique la prise de
décisions concernant l'organisation des ressources humaines et
matérielles, notamment en définissant les sites et les postes de
travail (26).
Le modèle organisationnel des données est une
représentation des informations qui seront stockées
informatiquement, en utilisant le formalisme entité-relation. Il tient
compte des volumes, de la répartition et de l'accessibilité des
données, sans encore considérer les contraintes de structure, de
stockage et de performance liées à la technologie de stockage qui
sera utilisée.
Sur cette étude comme la méthode MERISE
sépare les données ainsi que le traitement dans ce cas nous
aurons (27) :
 Modèle organisationnel des
données (MOD) ; Â Modèle organisationnel
des traitements (MOT).
I.3.1. ETAPE ORGANISATIONNELLE DE DONNEES
La modélisation organisationnelle des données
consiste à inclure les éléments liés à
l'utilisation des ressources de stockage.
 La réparation dans l'organisation
; Â La modalité d'accès aux données
;
 La réparation d'exécution
de traitement en tenant compte de l'organisation.
Toutes ces préoccupations nous conduisent à
définir Deux niveaux de modélisation organisationnelle de
données.
? Le MOD Global, directement dérivé du
modèle conceptuel des données,
? Le MOD valide, spécifique à une unité
organisationnelle.
Le MOD valide est dérivé du modèle global
en prenant en compte des choix d'organisation, en particulier de
répartition
I.3.2. SCENARIOS D'ORGANISATION
Sur ce point nous pouvons citer quelques scripts de
manipulation de donnée qui sont beaucoup plus utilisé :
(26) ACSIOME, Modélisation dans la conception des
systèmes d'information, éd. Masson, Paris, 1989, P. 35.
(27) Idem.
[43]
? Create cette requête permet de créer un type de
donnée.
? INSERT : c'est une requête pour insérer ou ajouter
un enregistrement dans la base de donnée;
? SELECT : cette requête permet de sélectionner un
enregistrement ;
? UPDATE : permet de modifier un enregistrement ; ? DELETE :
Permet de supprimer un enregistrement.
I.3.3. PASSAGE DU MCD AU MOD
Il s'agit ici de choisir, à partir des données
formalisées sur le modèle conceptuel des données, celles
qui devront être effectivement mémorisées informatiquement
dans le système d'information informatisé. Le modèle
organisationnel des données ainsi obtenu est de niveau global et ne
prend pas en compte les choix d'utilisation reparties. Les règles de
passage du modèle conceptuel des données au modèle
organisationnel des données sont les suivantes :
1. Supprimer des éléments (entités,
relations, propriétés) qui ne seront pas mémorisés
informatiquement ;
2. Modifier certains éléments (entités,
relations, propriétés, cardinalités, etc.) compte tenu
du choix de mémorisation informatisé ;
3. Ajouter de nouvelles informations :
? Pour permettre de faire le lien entre les
données mémorisées et les données restées
manuelles ; par exemple la référence des fiches, des dossiers,
etc. ;
? Pour mémoriser des états du
système d'information, consécutifs au déroulement des
traitements dans le MOT.
En ce qui concerne notre domaine d'application, tous les
objets et relation de MCD seront mémorisables sur des supports
informatiques. D'où le MCD vaut le MOD global.
[44]
I.3.4. PRESENTATION DU MOD GLOBAL
Figure 17 Présentation MOD GLOBAL.
I.3.5. EVALUATION DU VOLUME DU MOD GLOBAL
Il s'agit ici de définir les caractéristiques et
les limites des propriétés, ainsi que les contraintes sur les
valeurs et le nombre d'occurrences des entités et des relations. Cette
quantification est statique et permet principalement d'estimer initialement le
volume de données à stocker. Le volume du MOD se fait
principalement au niveau du MOD global.
[45]
I.3.5.1. QUANTIFICATION DES CARDINALITES
MULTIPLES
Tableau 4: Quantification des cardinalités multiples
N°
|
Nom del'objets
|
Rubrique
|
Type
|
Taille
|
Total
|
1.
|
ELEVE
|
Matricule_Eleve
|
N
|
10
|
|
|
|
Nom élève
|
AN
|
25
|
|
|
|
PostNom_élève
|
AN
|
25
|
70
|
|
|
Sexe_élève
|
AN
|
10
|
|
2.
|
CLASSE
|
code_classe
|
N
|
10
|
|
|
|
Libelle_classe
|
AN
|
35
|
45
|
3.
|
TITULAIRE
|
Mat_titulaire
|
N
|
10
|
|
|
|
Nom_ titulaire
|
AN
|
25
|
125
|
|
|
Post_ titulaire
|
AN
|
25
|
|
|
|
Sexe_ titulaire
|
AN
|
10
|
|
|
|
Adresse_ titulaire
|
AN
|
35
|
|
|
|
Grade_ titulaire
|
AN
|
20
|
|
4.
|
OPTION
|
code_option
|
N
|
10
|
45
|
|
|
Libelle option
|
AN
|
35
|
|
5.
|
RESULTAT
|
Id_résultat
|
N
|
10
|
60
|
|
|
|
Pourcentage
|
AN
|
10
|
|
|
|
Décision
|
AN
|
10
|
|
|
|
Place
|
AN
|
10
|
|
|
|
Application
|
AN
|
10
|
|
|
|
Conduite
|
AN
|
10
|
|
A ce niveau, le travail du concepteur consiste à
quantifier les cardinalités maximales (n) afin de calculer la
cardinalité moyenne (CM) et le taux de participation (P). Pour y
arriver, les formules sont les suivantes :
P " CM= ((min+2 x Mo + max)/4)*P
 Max : la cardinalité maximale
 Mo : la valeur modale  Cm : la
cardinalité moyenne  P : Taux de participation
 Min : valeur minimale
[46]
La Cardinalité Moyenne d'un objet contenant la
cardinalité (1,1) est toujours égale à 1. Tandis que la
Cardinalité Moyenne d'un objet ayant pour cardinalité (0,1) est
égale au taux de Participation.
I.3.5.2. TABLEAU DES CARDINALITES ET TAUX DE PARTICIPATION
Tableau 5: Tableau des cardinalités et taux de
participation
RELATION
|
ENTITES
|
Min
|
Mo
|
Max
|
P
|
CM
|
Publier
|
Titulaire
|
1
|
125
|
150
|
0,83
|
83.20
|
Résultat
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Consulter
|
Elève
|
1
|
70
|
500
|
0,14
|
22,43
|
Résultat
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Etudier
|
Elève
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Classe
|
1
|
45
|
90
|
0.9
|
34
|
Appartenir
|
Titulaire
|
1
|
125
|
150
|
0,83
|
83.20
|
Classe
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Concerner
|
Résultat
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Classe
|
1
|
45
|
60
|
0.9
|
34
|
Trouver
|
Classe
|
1
|
-
|
-
|
-
|
1
|
Option
|
1
|
45
|
55
|
0.82
|
32.92
|
I.3.5.3. CALCUL DU VOLUME DU MOD GLOBAL
Le calcul de volume du MOD GLOBAL nous aide à prendre
des décisions sur les types de supports de stockages et à
déterminer les données qui seront stockées dans notre base
de données. Le volume obtenu sera multiplié par un coefficient
multiplicateur qui varie entre 2 et 3. Dans notre cas nous avons choisi un
juste milieu (2,5).
Calcul du volume des objets : Volume=Effectif * taille Tableau 6:
Calcul du volume des objets
Objet- Relation
|
Taille
|
Effectif
|
Volume
|
ELEVE
|
70
|
5010
|
350 700
|
CLASSE
|
45
|
450
|
20 250
|
TITULAIRE
|
125
|
1250
|
156 250
|
OPTION
|
45
|
450
|
20 250
|
RESULTAT
|
60
|
600
|
36 000
|
TOTAL
|
583 450
|
Volume Total du MOD global = 583 450 Octets x 2,5= 1 458 625
Octets
= 1424,43 Mo
[47]
? Répartition organisationnelle des données : MOD
locaux
La répartition organisationnelle des données est
nécessaire lorsque le système d'information doit être
utilisé sur plusieurs sites. Cependant, dans notre étude, toutes
les opérations du système d'information se déroulent sur
un seul site. Par conséquent, notre modèle organisationnel de
donnée est considéré comme local, mais nous allons tout de
même ajouter des mesures de sécurité pour protéger
les données.
? L'accessibilité et la prise en compte de la
sécurité du MOD
L'accessibilité des données d'un MOD local
s'exprime par les
actions élémentaires que peuvent effectuer sur ce
sous-ensemble de
données les traitements réalisés dans le
site organisationnel. Ces différents
types d'accès, en
Lecture ou consultation (L),
Modification ou écriture (M),
Création (C),
Suppression (S)
Sont précisés sur le MOD.
Pour ce qui est de la sécurité des
données définit des restrictions d'accès aux
données mémorisées pour certaines catégories
d'utilisateurs. Ces restrictions peuvent être un type limité
d'actions (L, M, C, S) soit aux entités, relations ou
propriétés du MOD global ou local, soit à une
sous-population des occurrences d'entités ou des relations. La
sécurité d'accès comprend la limitation d'actions à
certaines personnes et intègre aussi les aspects de
confidentialité. La sécurité d'accès passe par la
définition de catégories ou de profils d'utilisateurs.
Pour chaque profil, on précise les éventuelles
restrictions d'accès envisagées.
[48]
I.3.5.4.SCHEMA DE SECURITE DES DONNEES DE LA PROCEDURE
FONCTIONNELLE
L
C S
L
M
C S
L
C S
L
M C
Figure 18 Schéma de sécurité des
données de la procédure fonctionnelle
[49]
I.4. ETAPE ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS
Lors de l'étape organisationnelle du traitement, nous
divisions les opérations en procédures fonctionnelles, qi sont
une séquence de traitements déclenchés par un
évènement spécifique. Pour faciliter cela, nous associons
les procédures fonctionnelles à une heure de début et une
de fin dans un tableau. Cela nous permet de visualiser la séquence des
opérations et de planifier efficacement leur exécution.
Le MOT permet de représenter l'ensemble des traitements
en prenant en compte l'organisation de l'entreprise. Celle-ci sera
matérialisée par les postes de travail. Chaque poste de travail
correspond à une unité d'action élémentaire
dotée des moyens d'exécution : moyen en personnel et moyen de
traitement automatique selon les cas.
Il complète la description conceptuelle des traitements
en intégrant tout ce qui est d'ordre organisationnel dans le domaine
étudié.
Le Modèle Organisationnel des Traitements
précise ou répond aux 3 questions suivantes :
? QUI ? : consiste à définir
l'acteur qui fera le traitement :
o L'homme dans le cas d'une tâche manuelle,
o La machine dans le cas d'une tâche automatique,
o L'homme et la machine dans le cas d'une tâche
conversationnelle ou interactive (Semi-automatique).
? QUAND ? : consiste à définir
la périodicité du déroulement des tâches qui peut
être : journalière, hebdomadaire, décadaire,
mensuelle, trimestrielle, semestrielle, annuelle,
apériodique, etc.
? OU ? : permet de donner l'endroit où
se déroulera le travail. En effet, un poste de travail constitue
l'unité d'action élémentaire de l'entreprise qui est
identifiée soit par la fonction qu'elle remplit, soit par les moyens
qu'elle emploie
[50]
I.4.1. PASSAGE DU MCT AU MOT
Ce passage est ténu en respectant les conditions
suivantes :
1) ajouter les réponses aux questions QUI, QUAND et OU ?
;
2) ajouter pour chaque traitement :
o Le délai de réponse : temps Immédiat (I)
ou temps Différé (D) ;
o Le mode de fonctionnement : unitaire (U), par lot ou batch (L)
;
3) Transformer le vocabulaire : les opérations
deviennent des tâches et les processus des procédures
fonctionnelles. Plusieurs tâches exécutées dans un
même poste de travail deviennent une phase.
I.4.2. PRESENTATION DES PROCEDURES FONCTIONNELLES
Tableau 7: Présentation des procèdures fonctionnelles
PF
|
DEROU LEMEN T
|
TACHES/PHAS ES
|
CARATERES ORGANISATIO NNEL DE LA TACHE
|
POSTE DE TRAVAIL
|
LIEU
|
RESPON SABLE
|
RESSOU RCES
|
PF1
|
7h à 15h
|
Etablissement fiche de cotation
|
Directeur des études(D.E)
|
Directeur des
études(D.E)
|
Directeur des études(D. E)
|
Fiche
|
PF2
|
7h à 15h
|
Transmission et transcription
|
Titulaire de cours
|
Titulaire de cours
|
Titulaire de cours
|
Fiche
|
PF3
|
7h à 15h
|
Remise fiche de cote
|
Titulaire de cours
|
Titulaire de cours
|
Titulaire de cours
|
Fiche
|
PF4
|
7h à 15h
|
Centralisation
|
Titulaire de classe
|
Titulaire de classe
|
Titulaire de classe
|
Fiche
|
PF5
|
7h à 15h
|
Etablissement palmarès
|
Titulaire de classe
|
Titulaire de cours
|
Titulaire de cours
|
Palmarès
|
PF6
|
7h à 15h
|
Publication de résultat
|
Titulaire de classe
|
Titulaire de classe
|
Titulaire de classe
|
Résultat.
|
[51]
I.4.3. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Tableau 8:
Presentation des procedures fonctionnelles
DEROU L.
|
TACHES/PHASE
|
NATU RE
|
POSTE DE TRAVAI L
|
7h
15h
|
|
TM-U-I
TR-U-I
TM-U-I
TM-U-D
TR-U-D
TR-U-D
|
Directeu
r des études
Titulaire de cours
Directeu
r des études
Titulaire de classe
Directeu
r des études
Titulaire de classe
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
(28) PANET G.et LE TOUCHER R. Merise2 :
Modèle et techniques merise avancée, édition
organisation, Paris 2010, P 101.
[52]
SECTION II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
INFORMATISE.
A ce stade nous allons répondre à la question
« Comment » ce qui veut dire comment allons concevoir le
système d'information informatisé répondant aux
spécifications définies précédemment.
II.1. ETAPE LOGIQUE DE DONNEES
Le modèle logique des données consiste à
décrire la structure de données utilisée sans faire
référence à un langage de programmation. Il s'agit donc de
préciser le type de données utilisées lors des
traitements. Ainsi, le modèle logique dépende du type de base
donnée utilisé.
II.1 .1. DEFINITION ET BUT
A ce niveau il est question de produire le modèle
logique de données qui va décrire la structure permanente de
données dans un formalisme compatible avec l'implémentation
physique dans un SGBD. (28)
II.1 .2. PASSAGE DU MOD AU MLD
1) Règle pour les objets
? Les entités ou objets deviennent des tables ;
? Les propriétés des entités deviennent
des attributs ;
? Les identifiants des objets deviennent des clés
primaires des
tables.
2) Règles pour les relations
? 1er Cas : relation du type père-fils
: contrainte d'intégrité fonctionnelle (CIF).
Ce cas intervient, dans le MCD, lorsque nous retrouvons les
couples (0,1) ou (1,1), d'une part, et (0,n) ou (1,n) d'autre part. Il peut y
avoir les combinaisons suivantes :
(1,1) et (1, n) (0, n) et (1, 1) (0,1) et (1, n) (0, n) et (0,
1)
[53]
Dans ce cas, la relation disparait mais sa sémantique
demeure, car l'objet qui a la cardinalité (0,n) ou (1,n) est
considère comme père cède son identifiant à l'objet
fils (c.à.d. : l'objet ayant cardinalité (0,1) ou (1,1)) . Etant
données que le fils possède une clé primaire, celle
qu'elle hérite de son père est une clé
étrangère parce qu'elle est la clé primaire dans sa table
respective. Si la relation était porteuse des propriétés,
elles migrent vers la table fils.
? 2ème cas : les relations du type
autre que père et fils : contrainte d'intégrité
multiple (CIM). Ce cas intervient lorsqu'on a d'une part le couple (o,n) ou
(1,n), et d'autre part (o,n) ou (1,n). C'est-à-dire les combinaisons
ci-après :
(o,n) et (o,n) (1,n) et (1,n) (o,n) et (1,n)
Dans ce cas, la relation devient une table de lien qui aura
comme clé primaire la concaténation des identifiants des objets
qu'elle reliait. Et si la relation était porteuse des
propriétés, celles-ci deviennent des attributs de la nouvelle
table.
3ème cas : les relations du type monstre ou
fantôme : (1,1 À 1,1) : Dans ce cas, le père
cède son identifiant au fils et vice versa, ensuite, la relation
disparait.
[54]
II.1 .3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT
(MLDB)
Figure 19 Présentation du modèle logique de
données brut (MLDB)
(29) MVIBUDULU, JA , KONKFIE,LD.,
Technique de base de données, étude et cas,
2ème Ed. CRIGED, Kinshasa, 2012.
[55]
II.1.4. NORMALISATION DU MLD BRUT
La normalisation est un processus qui consiste à
éliminer les dernières redondances et les valeurs nulles dans une
table. En d'autre mot, la normalisation consiste à limiter le risque
d'incohérences potentielles.
Il existe cinq formes dites formes normales. Toutefois en
pratique l'on se limite uniquement aux trois premières formes normales
constituées des cas particuliers de la deuxième et
troisième forme normale. En plus, pour arriver à la
troisième forme normale, l'on est sûr d'avoir minimisé les
risques de redondance.(29)
Les formes normales
1ère forme normale (1FN)
Une table est en première forme normale si elle a une
clé primaire et que tous ses attributs non clés sont
élémentaires, c'est à dire non décomposables et non
répétitifs.
2ème forme normale (2FN)
Une table est en deuxième forme normale, si elle est
déjà à la 1FN et que ses attributs non clés
dépendent pleinement ou totalement de la clé primaire.
3ème forme normale (3 FN)
Une table est en 3ème troisième forme
normale lorsqu'elle est déjà en deuxième forme normale et
que ses attributs non clés dépendent directement de la clé
primaire sans transition. Garder dans la table initiale les attributs
dépendant directement de la clé primaire. Regrouper dans une
autre table, les attributs dépendants transitivement de la clé
primaire. L'attribut de transition reste dupliqué dans la relation
initiale, et devient la clé primaire de la nouvelle relation.
NB : En regardant tout ce qui précède, nous
constatons que la table Titulaire n'est pas à la 3ème
forme normale, car, l'attribut Adresse et grade dans la table Titulaire ne sont
pas élémentaires, ils sont décomposable. Mais les restes
des tables, respectent parfaitement les 3 formes normales.
[56]
II.1 .5. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES VALIDE
(MLDV)
Figure 20 Présentation du modèle logique de
données valide (MLDV)
[57]
II.1.6. SCHEMA RELATIONNEL ASSOCIE AU MLD VALIDE
# Script MySQL.
# Table: OPTION
CREATE TABLE OPTION(
Code_option Int NOT NULL ,
lib_option Varchar (10) NOT NULL
,CONSTRAINT OPTION_PK PRIMARY KEY (Code_option)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: ADRESSE
CREATE TABLE ADRESSE(
Code_adresse Int NOT NULL ,
avenue Varchar (35) NOT NULL ,
numero Varchar (10) NOT NULL ,
quartier Varchar (35) NOT NULL ,
commune Varchar (35) NOT NULL
,CONSTRAINT ADRESSE_PK PRIMARY KEY
(Code_adresse)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: GRADE
CREATE TABLE GRADE(
code_grade Int NOT NULL ,
lib_grade Varchar (10) NOT NULL
,CONSTRAINT GRADE_PK PRIMARY KEY (code_grade)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: TITULAIRE
CREATE TABLE TITULAIRE(
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Nom_titulaire Varchar (35) NOT NULL ,
post_titulaire Varchar (35) NOT NULL ,
Sexe Varchar (10) NOT NULL , Adresse_tit Varchar (35) NOT NULL
,
Grade_tit Varchar (35) NOT NULL ,
Code_adresse Int NOT NULL ,
code_grade Int NOT NULL
,CONSTRAINT TITULAIRE_PK PRIMARY KEY (Mat_titulaire)
,CONSTRAINT TITULAIRE_ADRESSE_FK FOREIGN KEY (Code_adresse)
REFERENCES ADRESSE(Code_adresse)
,CONSTRAINT TITULAIRE_GRADE0_FK FOREIGN KEY (code_grade)
REFERENCES GRADE(code_grade)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: CLASSE
CREATE TABLE CLASSE(
Id_classe Int NOT NULL ,
[58]
Lib_classe Varchar (35) NOT NULL ,
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Code_option Int NOT NULL
,CONSTRAINT CLASSE_PK PRIMARY KEY (Id_classe)
,CONSTRAINT CLASSE_TITULAIRE_FK FOREIGN KEY (Mat_titulaire)
REFERENCES TITULAIRE(Mat_titulaire)
,CONSTRAINT CLASSE_OPTION0_FK FOREIGN KEY (Code_option)
REFERENCES OPTION(Code_option)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: ELEVE
CREATE TABLE ELEVE(
Mat_elev Int NOT NULL ,
Nom_elev Varchar (25) NOT NULL ,
Postnom_elev Varchar (25) NOT NULL ,
Sexe_elev Varchar (10) NOT NULL ,
Id_classe Int NOT NULL
,CONSTRAINT ELEVE_PK PRIMARY KEY (Mat_elev)
,CONSTRAINT ELEVE_CLASSE_FK FOREIGN KEY (Id_classe)
REFERENCES CLASSE(Id_classe)
)ENGINE=InnoDB;
# Table: RESULTAT
CREATE TABLE RESULTAT(
Id_resultat Int NOT NULL ,
Pourcentage Varchar (10) NOT NULL ,
decision Varchar (10) NOT NULL ,
place Varchar (10) NOT NULL , Application Varchar (10) NOT
NULL ,
Conduite Varchar (10) NOT NULL ,
Mat_titulaire Int NOT NULL ,
Id_classe Int NOT NULL ,
Mat_elev Int NOT NULL
,CONSTRAINT RESULTAT_PK PRIMARY KEY (Id_resultat)
,CONSTRAINT RESULTAT_TITULAIRE_FK FOREIGN KEY (Mat_titulaire)
REFERENCES TITULAIRE(Mat_titulaire)
,CONSTRAINT RESULTAT_CLASSE0_FK FOREIGN KEY (Id_classe)
REFERENCES CLASSE(Id_classe)
,CONSTRAINT RESULTAT_ELEVE1_FK FOREIGN KEY (Mat_elev)
REFERENCES ELEVE(Mat_elev)
)ENGINE=InnoDB;
[59]
II.1.7. ESTIMATION DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEES
II.1.7.1. Calcul du volume des tables
On calcule le volume d'une table en multipliant l'effectif de
cette table par sa taille. D'où : N*Taille
Tableau 9: Calcul du volume des tables
TABLE
|
TAILLES
|
EFFECTIFS
|
|
|
VOLUME
|
ELEVE
|
70
|
5010
|
|
|
350 700
|
CLASSE
|
45
|
450
|
|
|
20 250
|
TITULAIRE
|
125
|
1250
|
|
|
156 250
|
OPTION
|
45
|
450
|
|
|
20 250
|
RESULTAT
|
60
|
600
|
|
|
36 000
|
GRADE
|
45
|
450
|
|
|
20 250
|
ADRESSE
|
125
|
1250
|
|
|
156 250
|
Total de volume des tables =
|
759 950
|
|
[60]
II.2. ETAPE LOGIQUE DES TRAITEMENTS
La modélisation logique de traitements est un processus
qui consiste à créer des représentations abstraites des
traitements informatiques dans un domaine donné. Cela comprend la
création de modèles et de schémas qui décrivent en
détail les différentes étapes nécessaires à
la construction d'une solution technique répondant aux
spécificités et aux besoins du modèle organisationnel des
traitements. En d'autres termes, il s'agit de concevoir des plans logiques pour
mettre en oeuvre des processus informatiques qui répondent aux besoins
et aux exigences du domaine traité.
II.2.1. CONCEPTION DU MLT
Le formalisme de la conception du MLT utilise les concepts
? Site organisationnel : c'est le lieu
où s'effectue un traitement autonome utilisant une ou plusieurs machines
logiques. ? Machine logique : Une machine logique est
définie comme un ensemble de ressources informatiques (matériel
et logiciel) capables d'exécuter des traitements informatiques de
façon autonome. ? Unité logique de traitement (ULT)
: c'est une partie d'une tâche
logique qui est exécutée d'une manière
autonome. ? Procédure logique : c'est un
enchainement logique de plusieurs unités logiques de traitement
effectué par une machine logique.
II.2.2. DECOMPOSITION DES TACHES DU MOT
Le Modèle Logique des Traitements (MLT) est une
représentation plus détaillée des traitements
informatiques par rapport au Modèle Conceptuel de Données (MCD).
Il permet d'ajouter des informations spécifiques qui ne sont pas
fournies dans le MCD, telles que la durée, les ressources, le lieu,
etc.
Le MLT répond aux questions suivantes : Qui?,
Où?, Comment?, Quand?,
Le MLT se concentre sur les opérations clés
nécessaires pour répondre aux besoins du domaine. Il peut inclure
une ou plusieurs opérations en fonction des exigences
spécifiques. Le MLT fournit des détails sur les
différentes étapes, les acteurs impliqués, les ressources
nécessaires, le calendrier et les lieux d'exécution des
traitements informatiques.
[61]
En résumé, le MLT étend les informations
fournies par le MCD en ajoutant des détails spécifiques sur les
différentes dimensions des traitements informatiques, afin de mieux les
modéliser et les planifier.
II.2.3. DESCRIPTION DES ULT II.2.3.1. UTL O1 : Page
d'accueil
ULT 01
Affiche des images de carrousel et historique de
l'institut
Démarrage du site de l'institut KIKESA
Page d'accueil
Accueil
Communiqué
ULT 04
ULT 02 ULT 03
publication
Admin
II.2.3.2. UTL O2 : COMMUNIQUE
Cette partie permet aux internautes/élevés de
connaitre toutes les nouvelles de l'école et les nombres des
élèves par chaque option.
ULT 02
option
Affiche des informations ayant trait avec l'école
ULT 02
ou
Communiqué
Quitter
ULT 02
Figure 22 (Ult 02) Communiqué
Figure 21 (Ult 01) Page d'accueil
[62]
II.2.3.3 : (UTL O3) Publication
Cette partie permet aux élèves et aux parents de
consulter le résultat à partir du site.
Figure 23 (Ult 03) Publication
II.2.3.4 : (UTL O4) Admin
ULT 03
Consultation de résultat valider
ULT 03
oui
Publication
Quitter
ULT 03
C'est la partie du gestionnaire (celui qui gère le site,
il a la possibilité d'ajouter, modifier, supprimer.
ULT 04
Gestionnaire du
site Publier Modifier supprimer
ULT 04
oui
Admin
Quitter
ULT 04
Figure 24 (Ult 04) Admin
[63]
II.3. ETAPE PHYSIQUE DE DONNES
II.3.1. DEFINITION ET BUT
Le but modèle physique des données (MPD) est le
transfert de la base de données dans le système de gestion de
base de données (SGBD) choisi pour la réalisation du
système d'information.
II.3.2. REGLES DE PASSAGE DU MLDV AU MPD
La mise en place du MLD nécessite trois principales
règles (En
d'autre terme, il s'agit de règles de passage de MLD vers
MPD) :
? Les tables deviennent des Fichiers
? La clé primaire devient la clé d'accès au
Fichier
? Les attributs deviennent des Champs.
II.3.3. PRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DE DONNEES
(MPD)
1. FICHIER CLASSE
2.
1. FICHIER ELEVE
FICHIER ADRESSE
[64]
4. FICHIER GRADE
5. OPTION
6. RESULTAT
7. TITULAIRE
Figure 25 presentation de MPD
II.4. ETAPE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS
Dans cette phase, nous sommes obligés de
présenter une solution technique pour construire l'application. Le
modèle physique de traitements se reconstruit à partir de
modèle logique de traitements.
[- 65 -]
II.4.1. PRESENTATION DU MPT
Page d'accueil
Retour
Page d'accueil
Option organisée
Objectif
Historique de
l'institut kikesa
Communiqué
Retour
Nombre des élèves par option
Publication
Retour
Page Admin
Admin
Retour
Login
Figure 26 Presentation du mpt
CONCLUSION PARTIELLE
Nous avons terminé ce chapitre consacré à
la conception du nouveau système d'information. Il nous a permis de
définir de manière exhaustive le futur système à
mettre en place. Maintenant que nous avons pleinement abordé la phase de
conception, il est temps de passer au chapitre suivant : réalisation du
système d'information.
[- 66 -]
TROISIEME CHAPITRE : REALISATION DU SYSTEME INTRODUCTION
L'objectif de ce chapitre est de mettre en oeuvre notre
nouveau du système d'information en prenant en compte la technologie
informatique de la solution retenue, afin de trouvé solution aux
problèmes évoqués ci-haut. (30)
La construction du nouveau système d'information est
une tâche complexe. Sa réalisation prend beaucoup de temps pour
modéliser, concevoir, programmer et tester le système. Elle
nécessite une analyse et une conception des données qui
constituent le point de passage de toute application mettant en oeuvre une base
de données.
SECTION I: DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE.
I.1. PRISE EN COMPTE DES RESSOURCES INFORMATIQUES
A. RESSOURCES MATERIELLES
Nous avons choisi un ordinateur pour développer cette
application dont ces caractéristiques sont les suivant :
Tableau 10: Ressources matérielles
Caractéristiques
|
Valeurs
|
Disque dur
|
500 Go
|
Processeur
|
Intel® Celeron® P4600
|
Fréquence du Processeur
|
4 GHz
|
Mémoire RAM
|
8 Go
|
Ordinateur
|
DELL
|
|
B. RESSOURCES LOGICIELLES
Voici les logiciels utilisés pour la mise en oeuvre de
cette application :
Tableau 11: Ressources Logicielles
Logiciels
|
Description
|
Système d'exploitation
|
Windows 10
|
Wamp server
|
Serveur Apache (Mysql)
|
Vs code
|
-
|
(30)
www.developpez.net,
Consulté le 29 juillet 2023 à 16 h 00'
[- 67 -]
I.2. CHOIX DE LA PLATE-FORME DE DEVELOPPEMENT ET DU
SGBD
Pour le développement de notre système, nous
avons utilisé différents langages et technologies ainsi qu'un
système de gestion de base de données. Les langages se regroupent
en trois catégories : les langages de programmation, le langage de
description des pages, le langage de stylisation des pages et les SGBD nous
avons choisi MySQL. En dehors des langages, nous avons également
utilisé des Framework et des utilitaires.
Concernant les langages de programmation, nous avons
utilisé JavaScript pour le front-end et PHP pour le back-end.
Pour la description de nos pages web, nous avons choisi HTML,
CSS a été utilisé pour la stylisation, tandis que du
côté SGBD nous avons utilisé MySQL.
Nous avons également fait appel à des
frameworks tels que Bootstrap. De plus, l'éditeur de texte Visual Studio
Code ainsi que WampServer et Chrome ont été utilisés.
I.3. BREVE PRESENTATION DU LANGAGE DE PROGRAMMATION
CHOISI 1.3.1 LANGAGE
? PHP
PHP: Hypertext Preprocessor, plus
connu sous son sigle PHP (sigle
autoréférentiel), est un langage de programmation libre,
principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiques via un
serveur web, mais pouvant également fonctionner comme n'importe quel
langage interprété de façon locale. PHP est un langage
impératif orienté objet (31).
PHP a permis de créer un grand nombre de sites web
célèbres, comme et Wikipédia. Il est
considéré comme une des bases de la création de sites web
dits dynamiques mais également des applications web.
31
https://fr.wikipedia.org/wiki/PHP
consulté le 15/08/2023 23h40
[- 68 -]
? JavaScript
JavaScript est un langage de programmation de scripts
principalement employé dans les pages web interactives et à ce
titre est
une partie essentielle des applications web. Avec
les langages HTML et CSS, JavaScript est au coeur des langages
utilisés par les développeurs web. Une grande majorité des
sites web l'utilisent et la majorité des navigateurs web disposent d'un
moteur JavaScript pour l'interpréter (32).
1.3.2 LANGAGE DESCRIPTIVE ET STYLE ?
HTML
Le HyperText Markup Language,
généralement
abrégé HTML ou, dans sa
dernière version, HTML5, est le langage de balisage
conçu pour représenter les pages web.
Ce langage permet d'écrire de l'hypertexte (d'où
son nom), de structurer sémantiquement une page web, de mettre en forme
du contenu, de créer des formulaires de saisie ou encore d'inclure
des ressources multimédias dont des images, des
vidéos, et des programmes informatiques. L'HTML offre
également la possibilité de créer des documents
interopérables avec des équipements très variés et
conformément aux exigences de l'accessibilité du web.
? CSS
Les feuilles de style en cascade,
généralement appelées CSS de
l'anglais Cascading Style Sheets, forment un langage
informatique qui
décrit la présentation des documents HTML et XML
(33). Les standards définissant CSS sont publiés
par le World Wide Web Consortium (W3C). Introduit au milieu des années
1990, CSS devient couramment utilisé dans la conception de sites web et
bien pris en charge par les navigateurs web dans les années 2000.
32
https://fr.wikipedia.org/wiki/JavaScript
consulté le 15/08/2023 23h45
33
https://fr.wikipedia.org/wiki/Feuilles_de_style_en_cascade
consulté le 16/08/2023 00h03
[- 69 -]
1.3.3 Framework
? Bootstrap
Bootstrap est une collection d'outils utiles
à la création du design (graphisme, animation et interactions
avec la page dans le navigateur, etc.) de sites et d'applications web. C'est un
ensemble qui contient des codes HTML et CSS, des formulaires, boutons, outils
de navigation et autres éléments interactifs, ainsi que des
extensions JavaScript en option. C'est l'un des projets les plus populaires sur
la plate-forme de gestion de développement Git Hub.
1.3.4 UTILITAIRE
? VISUAL STUDIO CODE
Visual Studio Code est un éditeur de
code extensible développé par Microsoft pour Windows, Linux et
MacOs.
Les fonctionnalités incluent la prise en charge du
débogage, la mise en évidence de la syntaxe, la complétion
intelligente du code (IntelliSense.), les snippets, la refactorisation du code
et Git intégré. Les utilisateurs peuvent modifier le
thème, les raccourcis clavier, les préférences et
installer des extensions qui ajoutent des fonctionnalités
supplémentaires.
Le code source de Visual Studio Code provient du projet
logiciel libre et open source VS Code de Microsoft publié sous la
licence MIT permissive, mais les binaires compilés constituent un
freeware, c'est-à-dire un logiciel gratuit pour toute utilisation mais
propriétaire.
[- 70 -]
? WAMPSERVER
WampServer (anciennement
WAMP5) est une plateforme de développement Web de type
WAMP, permettant de faire fonctionner localement (sans avoir à se
connecter à un serveur externe) des scripts PHP.
WampServer n'est pas en soi un logiciel, mais un environnement
comprenant trois serveurs (Apache, MySQL et MariaDB), un interpréteur de
script (PHP), ainsi que phpMyAdmin pour l'administration Web des bases
MySQL.
Il dispose d'une interface d'administration permettant de
gérer et d'administrer ses serveurs au travers d'un tray icon
(icône près de l'horloge de Windows).
La grande nouveauté de WampServer 3 réside dans
la possibilité d'y installer et d'utiliser n'importe quelle version de
PHP, Apache, MySQL ou MariaDB en un clic.
Ainsi, chaque développeur peut reproduire
fidèlement son serveur de production sur sa machine locale.
1.3.4 SGBD
? MySQL
MySQL (prononcer [
maj.?s.ky.?l]) est un système de
gestion de bases de données relationnelles (SGBDR). Il est
distribué sous une double licence GPL et propriétaire. Il fait
partie des logiciels de gestion de base de données les plus
utilisés au monde2, autant par le grand public (applications
web principalement) que par des professionnels, en concurrence avec Oracle,
PostgreSQL et Microsoft SQL Server.
Figure 29 Présentation de publication
[- 71 -]
SECTION II. PRESENTATION ET DEVELOPPEMENT DU LOGICIEL
II.1. CREATION DES INTERFACES
II.1.1 PAGE D'ACCEUIL
Figure 27 Page d'acceuil
II.1.2 PAGE COMMUNIQUE
Figure 28 présentation page communiqué
II.1.3 PUBLICATION
[- 72 -]
II.1.4 AFFICHAGE BILLET DE VACANCE
Figure 30 Presentation de billet de vacance
II.1.5 IMPRESSION DE BILLE DE VACANCE
Figure 31 Presentation Billet de vacance imprimé
[- 73 -]
II.2. ECRITURE DES CODES <?php
$bdd = new
PDO('mysql:host=localhost;dbname=kikesa;charset=utf8;',
'root', ");
if (isset($_POST['btn'])) {
$mateleve = $_ POST['mateleve'];
$req = $bdd->prepare('SELECT * FROM resul WHERE mateleve=
?');
$req->execute(array($mateleve));
if ($req->rowCount() > 0) {
$contenu=$req->fetch();
?>
<h1 class="text-center">BILLET DES VACANCES INSTITUT
KIKESA</h1> <div style="margin-top:10px; " class=" container
"><br><br>
<div class="container h4 text-center alert alert-info
fade-in"> <table>
<tr>
<th >INSTITUT KIKESA <br> BP 213
<br> BANDUNDU</th>
<h3>BILLET DES VACANCES</h3>
</tr>
<tr>
<td class="">
<p class="text-center">Chers parent de l'Eleves...
<strong><?php echo $contenu['nom']. " " .$contenu['postnom'];
?></strong> de la <strong><?php echo $contenu['clas']?>
</strong> eme annee votre Fils (fille) ... <strong><?php echo
$contenu['decision']?></strong> la classe pour avoir Obtenu
<strong><?php echo $contenu['pointobtenu']?> % </strong> des
points Le nouveau enseignement étant en baisse dans notre système
éducatif, nous vous demandons de prendre conscience de cette situation,
car chaque acteur du système a sa part de
responsabilité.</p>
CONCLUSION PARTIELLE
Nous avons terminé le chapitre consacré à
la réalisation du système, après avoir bien abordé
la conception au chapitre 2. Nous devons également mettre en place un
système d'information informatisé, comme mentionné
précédemment. Nous tenons également à signaler que
c'est le dernier chapitre de notre recherche.
[- 74 -]
CONCLUSION GENERALE
Nous avons terminé notre travail sur la mise en place
d'un système informatisé orienté web pour la gestion de la
publication des résultats à l'Institut KIKESA. En nous basant sur
les problèmes rencontrés lors de la gestion de cette publication,
nous avons décidé de créer une plateforme web qui
permettra aux élèves de consulter leurs résultats en
ligne, sans contraintes de lieu ou de temps.
Notre démarche méthodologique pour informatiser
ce système s'est appuyée sur les principes de la méthode
MERISE. Grâce à cette méthode, nous avons pu comprendre le
fonctionnement du système existant et concevoir et mettre en oeuvre un
nouveau système informatisé. Bien que nous reconnaissions que
notre travail n'est pas parfait du point de vue analytique et conceptuel, nous
sommes convaincus que la solution proposée répondra en partie aux
problèmes liés à la publication des résultats
scolaires.
Nous sommes fiers de notre travail et espérons que
l'Institut KIKESA prendra en considération notre réalisation.
Nous espérons ainsi pouvoir contribuer modestement à
l'amélioration de la gestion de l'institution dans ce domaine.
[- 75 -]
BIBLIOGRAPHIE
A. Ouvrage
1. Albert Bruno, Les méthodes de sciences
sociales, Ed. Mont Chrétien, Paris, 1972, p.207.
ROSNAY, J., Le système de gestion informatique,
éd. Eyrolles, Paris, 2003.
GARDARIN O., et GARDARIN, G., Le client-serveur,
édition Eyrolles, Paris, 1996, P.18
BERTRAND P., Architecture des réseaux,Ed.Ellipses,
Paris, 2020, P.17 MIRANDA S. et RUOLSA, Client-Serveur. Moteur SQL,Ed.
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Dimbu op cit 15p.
REIX R., Analyse en Informatique de gestion, Ed. BORDAS,
Paris, p.34 GARDARIN O. et GEORGES, « Client À Serveur
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GERARD P., Modélisation de Systèmes
d'Information. Villetaneuse, Paris, 2012, P 33.
PANET G.et LE TOUCHER R. Merise2 : Modèle et
techniques merise avancée, édition organisation, Paris 2010,
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MVIBUDULU, JA , KONKFIE,LD., Technique de base de
données, étude et cas, 2ème Ed. CRIGED,
Kinshasa, 2012.
Roche et Majorony, la Méthode
Merise, 2e édition, Ex-Raller, Paris, 1998
KITOKO, Notes de Cours de Méthode d'Analyse Informatique II, G3
info, ISC/KIN, 2021, p.57 inédit
B. Note de cours
Prof Yawudi MAYINZAMBIE note de cours Initiation à la
recherche scientifique G2
CT IYA BONZOLO B. note de cours MAI 1, ISC BDD édition
2021-2022 P 4.
DIMBU P. note de cours technique de base donnée, ISC BDD
édition 2022-2023 P 4.
MALALA ATANDELE T., Note de cours de langage HTML et CSS, G2
INFO, ISC/BDD, 2021-2022, P.6.
[- 76 -]
WEBOGRAPHIE
www.larousse.fr
https://fr.wikipedia.org/wiki/PHP
consulté le 15/08/2023 23h40
https://fr.wikipedia.org/wiki/JavaScript
consulté le 15/08/2023 23h45
https://fr.wikipedia.org/wiki/Feuilles_de_style_en_cascade
consulté le 16/08/2023 00h03
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bootstrap_(framework)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Visual_Studio
https://fr.wikipedia.org/wiki/WampServer
https://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Chrome
Www. CommentCaMarche.net
[- 77 -]
TABLE DE MATIERE
Epigraphe i
DEDICACE ii
REMERCIEMENT iii
Liste de figure iv
Liste de tableaux v
Sigles et Abréviations vi
0. INTRODUCTION GENERALE - 1 -
I. MISE EN CONTEXTE - 1 -
2. PROBLEMATIQUE - 2 -
3. HYPOTHESE - 3 -
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET - 4 -
A. Choix - 4 -
B. Intérêt du sujet - 4 -
5. DELIMITATION DU TRAVAIL - 4 -
5.1. DELIMITATION DANS L'ESPACE Erreur ! Signet non
défini.
5.2. DELIMITATION DANS LE TEMPS Erreur ! Signet non
défini.
6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES - 5 -
6.1 Méthodes - 5 -
6.2 Techniques - 5 -
7. DIFFICULTES RENCONTREES - 6 -
8. CANEVAS DU TRAVAIL - 6 -
PREMIER CHAPITRE : APPROCHES THEORIQUES 7
SECTION I : DEBLAYAGE CONCEPTUEL 7
I.1 APPROCHES D'INFORMATISATION 7
I.1.1 SYSTEME 7
I.1.2 SYSTEME D'INFORMATION ET SYSTEME INFORMATIQUE 8
1.1.3 BASE DE DONNEES 8
I.1.4 SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES 9
I.1.5. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR 9
I.1.6. INTERNET 12
1.2. CONCEPTS LIES AU SUJET 14
SECTION II : PRESENTATION DE L'ENTREPRISE 15
II.1 DENOMINATION ET SITUATION GEOGRAPHIQUE 15
A. Dénomination Erreur ! Signet non défini.
B. SITUATION GEOGRAPHIQUE 15
II.3 OBJECTIFS DE L'INSTITUT KIKESA 16
a. Objectif principal 16
b. Objectif spécifique 16
II.4. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE 16
II.5. ORGANIGRAMME GENERAL 16
II.6. JOB DESCRIPTION 17
SECTION III : ETUDE D'OPPORTUNITE Erreur ! Signet non
défini.
III.1 DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
III.2 DESCRIPTION DES ACTIVITES DU SERVICE SPECIFIQUE Erreur !
Signet non
défini.
III.3 ORGANIGRAMME SPECIFIQUE Erreur ! Signet non
défini.
III.4 ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL Erreur ! Signet non
défini.
[- 78 -]
III.5 ETUDE DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non défini.
III.5.1 RECENSEMENT DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non
défini.
III.5.2 DESCRIPTION DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non
défini.
a) ROLE DU DOCUMENT Erreur ! Signet non défini.
b) MODELE DES DOCUMENTS Erreur ! Signet non défini.
III.6 ETUDE DES RESSOURCES DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS Erreur
!
Signet non défini.
a) RESSOURCES HUMAINES Erreur ! Signet non défini.
b) RESSOURCES MATERIELLES Erreur ! Signet non défini.
III.7 ETUDE DE CIRCUIT DES INFORMATIONS Erreur ! Signet non
défini.
III.7.1 NARRATION Erreur ! Signet non défini.
III.7.2. DIAGRAMME DE FLUX Erreur ! Signet non défini.
III.7.3 MATRICE DE FLUX Erreur ! Signet non défini.
SECTION IV : DIAGNOSTIC DE L'EXISTANT ET SCENARIOS DE
MISE EN OEUVRE.
Erreur ! Signet non défini.
IV.1 CRITIQUE DE L'EXISTANT Erreur ! Signet non défini.
IV.1.1. AU NIVEAU DE L'ORGANISATION ET DE GESTION Erreur !
Signet non
défini.
IV.1.2. CRITIQUE DE CIRCULATION DES INFORMATIONS Erreur ! Signet
non défini.
IV.1.4 AU NIVEAU DES RESSOURCES MATERIELLES Erreur !
Signet non défini.
IV.2 SCENARIOS DE MISE EN OEUVRE Erreur ! Signet non
défini.
IV.2.2 SCENARIO D'INFORMATISATION Erreur ! Signet non
défini.
IV.2.3 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION Erreur ! Signet non
défini.
CONCLUSION PARTIELLE Erreur ! Signet non défini.
CHAPITRE II : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION ...
Erreur ! Signet non défini.
INTRODUCTION Erreur ! Signet non défini.
SECTION I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION ORGANISE. Erreur
!
Signet non défini.
I.1.ETAPE CONCEPTUELLE DE DONNEES Erreur ! Signet non
défini.
I.1.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
I.1.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE Erreur ! Signet non
défini.
I.1.3. REGLES DE GESTION Erreur ! Signet non défini.
I.1.4. DICTIONNAIRE DE DONNEES Erreur ! Signet non
défini.
I.1.5. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES OBJETS Erreur ! Signet non
défini.
I.1 .6. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES RELATIONS Erreur ! Signet
non
défini.
I.1 .7. LES CONTRAINTES Erreur ! Signet non défini.
I.2. ETAPE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENTS Erreur ! Signet non
défini.
I.2.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
I.2.2. FORMALISME ET CONCEPTS DE BASE DU MCT Erreur ! Signet non
défini.
1.2.3. RECENSEMENT DES OPERATIONS Erreur ! Signet non
défini.
I.2.4. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENTS (MCT)
Erreur ! Signet non défini.
I.3. ETAPE ORGANISATIONNELLE Erreur ! Signet non
défini.
I.3.1. ETAPE ORGANISATIONNELLE DE DONNEES Erreur ! Signet non
défini.
I.3.2. SCENARIOS D'ORGANISATION Erreur ! Signet non
défini.
I.3.3. PASSAGE DU MCD AU MOD Erreur ! Signet non
défini.
[- 79 -]
I.3.4. PRESENTATION DU MOD GLOBAL Erreur ! Signet non
défini.
I.3.5. EVALUATION DU VOLUME DU MOD GLOBAL Erreur ! Signet non
défini.
I.4. ETAPE ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet non
défini.
I.4.1. PASSAGE DU MCT AU MOT Erreur ! Signet non
défini.
I.4.2. PRESENTATION DES PROCEDURES FONCTIONNELLES . Erreur !
Signet non défini.
I.4.3. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRAITEMENTS Erreur !
Signet non défini.
SECTION II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE.
Erreur ! Signet non défini.
II.1. ETAPE LOGIQUE DE DONNEES Erreur ! Signet non
défini.
II.1 .1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
II.1 .2. PASSAGE DU MOD AU MLD Erreur ! Signet non
défini.
II.1 .3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT
(MLDB)
Erreur ! Signet non défini.
II.1.4. NORMALISATION DU MLD BRUT Erreur ! Signet non
défini.
II.1 .5. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES VALIDE
(MLDV)
Erreur ! Signet non défini.
II.1.6. SCHEMA RELATIONNEL ASSOCIE AU MLD VALIDE Erreur ! Signet
non
défini.
II.1.7. ESTIMATION DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEES Erreur !
Signet non défini.
II.2. ETAPE LOGIQUE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet non
défini.
II.2.1. CONCEPTION DU MLT Erreur ! Signet non défini.
II.2.2. DECOMPOSITION DES TACHES DU MOT Erreur ! Signet non
défini.
II.2.3. DESCRIPTION DES ULT Erreur ! Signet non défini.
II.3. ETAPE PHYSIQUE DE DONNES Erreur ! Signet non
défini.
II.3.1. DEFINITION ET BUT Erreur ! Signet non défini.
II.3.2. REGLES DE PASSAGE DU MLDV AU MPD Erreur ! Signet non
défini.
II.3.3. PRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DE DONNEES (MPD) Erreur
!
Signet non défini.
II.4. ETAPE PHYSIQUE DES TRAITEMENTS Erreur ! Signet non
défini.
II.4.1. PRESENTATION DU MPT - 65 -
CONCLUSION PARTIELLE - 65 -
TROISIEME CHAPITRE : REALISATION DU SYSTEME - 66 -
INTRODUCTION - 66 -
SECTION I: DEVELOPPEMENT DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE -
66
-
|
|
B. RESSOURCES LOGICIELLES
|
- 66 -
|
I.2. CHOIX DE LA PLATE-FORME DE DEVELOPPEMENT ET DU SGBD
|
- 67 -
|
I.3. BREVE PRESENTATION DU LANGAGE DE PROGRAMMATION CHOISI ...
|
- 67 -
|
1.3.1 LANGAGE
|
- 67 -
|
1.3.3 Framework
|
- 69 -
|
1.3.4 UTILITAIRE
|
- 69 -
|
1.3.4 SGBD
|
- 70 -
|
SECTION II. PRESENTATION ET DEVELOPPEMENT DU LOGICIEL
|
- 71 -
|
II.2. ECRITURE DES CODES
|
- 73 -
|
CONCLUSION PARTIELLE
|
- 73 -
|
CONCLUSION GENERALE
|
- 74 -
|
BIBLIOGRAPHIE
|
- 75 -
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[- 80 -]
|