INSTITUT SUPÉRIEUR DE COMMERCE
DÉPARTEMENT DES SCIENCES
INFORMATIQUES
B.P 387
LUBUMBASHI


CONCEPTION ET REALISATION D'UN SYSTEME D'ATTRIBUTION
DES PLAQUES D'IMMATRICULATION DES AUTOMOBILES
CAS DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS
LUBUMBASHI
KISHIKO WA ILUNGA Edouard
Mémoire présenté et défendu en vue
de l'obtention de grade de Licencié en Sciences Informatiques de
Gestion
Option : Conception des Systèmes
d'information
Juillet 2019
INSTITUT SUPÉRIEUR DE COMMERCE
DÉPARTEMENT DES SCIENCES
INFORMATIQUES
B.P 387
LUBUMBASHI


CONCEPTION ET REALISATION D'UN SYSTEME D'ATTRIBUTION
DES PLAQUES D'IMMATRICULATION DES AUTOMOBILES
CAS DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS
LUBUMBASHI
KISHIKO WA ILUNGA Edouard
Mémoire présenté et défendu en vue
de l'obtention de grade de Licencié en Sciences Informatiques de
Gestion
Option : Conception des Systèmes
d'information
Directeur : Professeur Pascal SEM MBIMBI
Co-directeur : CT. KIBOYA
Année Académique 2018-2019
ÉPIGRAPHE
Je trouvais un registre généalogique de ceux qui
étaient montés les premiers, et j'y vis écrit ce qui
suit.
Néhemie 7 :5
DÉDICACE
A l'éternel notre Dieu tout puissance, lui qui nous
donne le souffle de vie.
A vous mes très chers parents : François
ILUNGA MUTAMBA et LENGE SENGA Joceline pour tant de sacrifice et d'amour pour
nous, vous êtes de plus beaux cadeaux et exemples pour nous, car vous
êtes capables d'aller au-delà de notre force, pour vos soutiens et
encadrements à notre égard, disons merci.
A mes frères et soeurs : MBUYU Belinda, NGOMBE
Justin, NGOMBE Astrid, SENGA Arthur, Franc ILUNGA, SANGA
Bénédicte, LENGE Joceline, BIKAYO Francine, Fhilo, Blaise MUTAMBA
et à la grande famille ILUNGA, sans oubliez MIKOMBE Graciélla,
disons merci à vous.
REMERCIEMENTS
Au terme de notre travail scientifique, qu'il nous soit permis
de dire merci à tous ceux qui de près ou de loin ont
contribués à notre formation et à la réalisation de
ce travail. Nous voudrions à travers quelques lignes adresser nos
sincères remerciements :
A vous monsieur le Professeur Pascal SEM MBIMBI et monsieur le
Chef de travaux KIBOYA, qui malgré vos multiples occupations vous vous
êtes dévoué aux suivi de l'élaboration de ce
travail, disons merci à vous.
Aux autorités académiques et scientifiques ainsi
que tous les professeurs, chefs de travaux et assistants de l'ISC/LUBUMBASHI,
pour nous avoir encadrés, formés et taillés, faisant de
nous des gens utiles à la société.
Aux amis et collègues de lutte : Yves BEZENGE,
KABWE Patrick, Dojet MULAJ, BANZA Nicole, Niclette MBANGALA, Carole, Joël
KAJE et à tous ceux dont leurs noms ne sont pas
cités ci-haut, nous exprimons toute notre profonde gratitude et
disons merci à tous.
Nos remerciements à tous nos collègues de
promotion ayant passé ensemble une, deux ou toutes les cinq
années de notre parcours académique d'études
supérieures.
TABLE DES MATIERES
ÉPIGRAPHE
I
DÉDICACE
II
REMERCIEMENTS
III
TABLE DES MATIERES
IV
LISTE DES TABLEAUX
V
LISTE DES ABRÉVIATIONS
VI
LISTE DE FIGURES
VII
NOTE DE SYNTHÈSE
IX
CHAPITRE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE
1
1.1. LE PHÉNOMÈNE
OBSERVE
1
1.2. LA REVUE DE LITTERATURE
2
TABLEAU DE SYNTHÈSE DES LECTURES
RÉALISÉES
4
1.3. LA PROBLEMATIQUE
10
LA QUESTION DE RECHERCHE
10
1.4. HYPOTHÈSE
10
1.5. L'OBJECTIF POURSUIVI
11
1.6. METHODOLOGIE DE RECHERCHE
11
1.6.1. LES MÉTHODES ET TECHNIQUE DE
COLLECTE DES DONNÉES
11
1.7. LA JUSTIFICATION DE LA
RECHERCHE
15
1.7.1. Choix du sujet
15
1.7.2. Intérêt du
sujet
15
1.8. DELIMITATION DE L'ETUDE
16
1.9. LA STRUCTURE DU MEMOIRE
17
CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE
18
2.1. DÉFINITION DES CONCEPTS
OPÉRATOIRES
18
2.2. THEORIES EXPLICATIVES
18
CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE
21
3.1. LA PRÉSENTATION DU CHAMPS
EMPIRIQUE : DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS (D.P.I)
21
3.1.2. Aperçu historique
21
3.2.3. STRUCTURE DE
LA DPI
23
CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE
25
4.1. LA SITUATION ACTUELLE DE LA
D.G.I
25
4.2. PHASE D'ANALYSE
26
A. ANALYSE DE BESOINS
26
B. Identification et présentation des
besoins
27
H.
Spécification détaille de cas
d'utilisation
32
J. ANALYSE DU
DOMAINE
33
4.3. PHASE DE CONCEPTION
42
4.4. CHOIX TECHNIQUES
45
A. Le langage de
programmation
45
B. CONSTRUCTION DE
LA BASE DE DONNEES
47
a) Le système
de gestion des bases de données
47
4.5. INTERFACES ET CODES
48
A.
INTERFACES
48
B. QUELQUES
CODES
51
DISCUSSIONS
54
RECOMMANDATIONS
54
CONCLUSION GÉNÉRALE
55
BIBLIOGRAPHIE
56
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Tableau de synthèse des lectures
réalisées
Tableau 2 : Recensement des besoins
LISTE DES
ABRÉVIATIONS
NTIC : Nouvelles Technique de l'Informatique et de la
communication
DPI : Direction Provincial des Impôts
UP : Unified Process
UML : Unified Modeling Language
OMG : Object Management Group
SGBD : Système de Gestion de Base de
Données
MySQL : My Structured Query Language
HTML : Hyper Text Markup Language
ISC : Institut Supérieur de Commerce
BPM : Business Process Management
DGI : Direction Générale des Impôts
IHM : Interface Homme Machine
PHP : Pré HyperText Processor
CSS : Cascadind Style Sheet
LISTE DE FIGURES
Figure 1. ORGANIGRAMME
1
Figure 2 : Identification des
acteurs
30
Figure 3 : Identification des cas
d'utilisation métier
30
Figure 4 : Diagramme de cas
d'utilisation
31
Figure 5 : Digramme de
classe
35
Figure 6 : Diagramme de classe
participante
36
Figure 7 : Diagramme de Séquence
Système
38
Figure 8 : Diagramme de Séquence
Détaillé
38
Figure 9 : Diagramme d'activité
de navigation
41
Figure 10 : Diagramme d'interaction
IHM
43
Figure 11 : Diagramme de classe de
conception
44
Figure 12 : Représentation logo
PHP
45
Figure 13 : Représentation logo
Sublime Text2
46
Figure 14 : Représentation logo
Macromedia Dreamweaver8
46
Figure 15 : Représentation logo
Entreprise Architect
46
Figure 16 : Représentation logo
PhpMySql
47
Figure 17 : Structure de la base de
données
47
Figure 18 : Lancement du Wamp
Server
48
Figure 19 : Interface
d'Authentification
49
Figure 20 : Interface
d'Accueil
49
Figure 21 : Interface
Client
50
Figure 22 : Interface
Catégorie
50
Figure 23 : Interface
Automobile
51
L'Institut Supérieur de Commerce n'attend
donner ni approbation, ni improbation aux opinions émises dans ce
mémoire. Ces opinons doivent être considérées comme
propre à nous.
NOTE DE SYNTHÈSE
Notre mémoire se concentre sur l'étude, la
conception et la réalisation d'un système d'attribution de
plaques d'immatriculation pour le compte de la DPI/Haut-Katanga
L'objectif que nous poursuivons au sein de l'entreprise DPI
est celle de comprendre les dysfonctionnements du modèle de la tenue de
la gestion des plaques d'immatriculation et décrire le système
relatif à l'informatisation des plaques d'immatriculation.
La méthode UP (Unified Process) ou processus
Unifié (en Français) est l'approche utilisée pour
développer le logiciel itératif et incrémental,
centré sur l'architecture, conduit par les cas d'utilisation et
piloté par les risques pour résoudre le dysfonctionnements dans
la gestion du système d'attribution des plaques à la DPI.
UP est une méthode générique de
développement de logiciel qui recourt au langage de modélisation
des aspects logiciels et métiers qu'on appelle UML (Unified Modeling
Language)
Pour mettre fin aux dysfonctionnements de gestion de la
distribution des plaques d'immatriculation des automobiles, nous avons
proposés à la direction provinciale des impôts ;
l'intégration d'une application informatique de gestion des plaques
soutenue d'une base de données qui garantirais la sauvegarde et la
meilleure conservation des informations, la sécurité et le
partage de données sous le respect des contraintes fonctionnelles et
organisationnelle de l'entité.
Mot clés : Application, méthode UP, gestion
des plaques et immatriculation
CHAPITRE 1. INTRODUCTION
GÉNÉRALE
1.1.
LE PHÉNOMÈNE OBSERVE
L'évolution technologique est devenue aujourd'hui
unphénomènevraimentincontournable et elle a permis aux grandes
firmes de
réaliserdestâchescomplexesquelquesoitledomainedanslequelellesévoluent,
de diminuer le temps de certains traitement, soit de voir leur temps de
production sensiblement diminuer.
Soucieux de diminuer le temps de travail et de maximiser le
profit, une nouvelle science dite informatique a tant apporté sa
contribution dans le domaine scientifique, médical, ou autre.
La science informatique a révolutionné toutes
les entreprises récentes qui ont tendance à changer leur
système de gestion, car elle traite l'information d'une manière
automatique et rationnelle à l'aide d'un outil
appelé « Ordinateur ». Cette science se trouve
aujourd'hui au coeur de grandes firmes et même à la portée
de tous.
L'ordinateur modifie sensiblement les habitudes de travail
dans toutes les institutions où il est utilisé et permet
l'obtention d'une grande rigueur dans la prise de décision.
C'est depuis quelques années que le système
informatique a connu son évolution et son intégration dans tous
les domaines de gestion, l'informatique est devenue une réalité
quotidienne. Avec l'arrivée des nouvelles technologies de l'information
et de la communication (NTIC en cigle), l'informatique s'est répandue
dans tous les domaines. Car elle est devenue un outil fiable utilisant
l'ensemble de moyens, de méthodes et techniques pour le traitement
efficace de l'information. Grace à l'évolution de l'informatique,
tous les responsables des entreprises, institutions et sociétés
peuvent se procurer une application informatique pour la gestion d'un certain
nombre de tâches de leurs organisations d'une manière
adéquate, efficace et sécuritaire.
Partant sur les phénomènes observés,
notre question de départ constitue pour nous les points de
dysfonctionnements dans l'institution qui gère les plaques
d'immatriculations c'est pourquoi, il sera en mesure de répondre
à la question :
Comment organiser, mettre fin et améliorer les
dysfonctionnements observés dans la tenue des plaques d'immatriculations
à la DPI ?
Vues ces observations et en tant que chercheurs, nous avons
désiré mener nos recherches sur un thème
intitulé « Conception et réalisation d'un
système d'attribution des plaques d'immatriculation des
automobiles. » Cas de la DPI/Lubumbashi
Car la plaque d'immatriculation est un outil public à
deux rôles dans une nation, premièrement elle est une
imprimée de valeur financière et en second lieu, un outil de
sécurité et symbole de souveraineté nationale.
1.2. LA REVUE DE LITTERATURE
A ce stade, nous pouvons définir la revue de
littérature étant comme un passage en revue des écrits
antérieurs ayant un rapport immédiat ou lointain avec l'objet
d'étude du chercheur. Cela veut tout simplement dire qu'un chercheur
scientifique ne peut entreprendre une recherche qu'après avoir
consulté certains travaux rédigés par des
précurseurs abordant le même objet d'étude sous un autre
angle.
La revue de littérature a une importance capitale et
remarquable dans la recherche scientifique, une investigation de grande
envergure débute par la lecture spécialisée tant sur les
considérations théoriques qu'empiriques du thème
retenu.
Disons que nous ne sommes pas le premier ou le dernier
à aborder ce sujet dans le domaine de l'informatique
particulièrement en conception de systèmes d'informations. Il y a
d'autre chercheurs qui ont parlé à l'un des aspects de notre
sujet tel que :
v Ryan-placide LUHINZO NTUTANE (Mémoire, Kinshasa
2015), dans son mémoire intitulé « la
problématique de gestion et de l'attribution des plaques
d'immatriculations en République Démocratique du Congo : cas
de la ville province de Kinshasa 2012. Il dit que la plaque est l'image de
l'Etat et elle permet à l'Etat de générer de recettes
publiques, de quantifier et d'identifier tous les engins circulant sur le sol
national, est-ilconclut en disant que la plaque d'immatriculation en RDC
demeure jusque-là difficile ou peut être négligée
par les animateurs des institutions politiques et administratives.
v NUMBI KASONGO Andy(Mémoire, ISC 2014) ; Analyse
et conception d'une application de gestion de vente de plaque
d'immatriculation. L'auteur avait comme problème, la lenteur dans
l'exécution des tâches, la perte du temps, perte de certaines
informations et dossiers. Et comme solution, il avait proposé de mettre
au point un outil informatique de gestion de données en mettant sur pied
un logiciel approprié à la gestion de vente des plaques
d'immatriculation des automobiles.
v KAPONGO MUTUILA Samuel(mémoire ISC, 2015) qui a
travaillé sur le thème : Conception et création d'un
site web de livraison des plaques dans une institution publique. Il a
soulevé dans sa problématique que l'outil informatique est-il
indispensable à la DPI pour résoudre les problèmes de
gestion ? et quel moyen faut-il mettre en place pour atteindre un grand
public? En hypothèse il a proposé la création d'une
application web qui serait la solution adéquate pour une extension de la
clientèle en dehors de la ville de Lubumbashi. Ainsi, dans son travail
il a tenté de prévoir le mode de paiement et il a prévu un
mode de paiement pour arriver à l'entière satisfaction du client,
en ce qui concerne le paiement dans son cas, il a opté pour Airtel-Money
et M-Pesa qu'il ait les deux comptes beaucoup utilisés dans le milieu
que nous sommes.
v Hinde ANOUAL (Thèse de doctorat, Université
Mohammed V-Agdal, 2012) dont le thème est : Détection et
localisation de texte dans les images de scènes naturelles :
Application à la détection des plaques d'immatriculation
marocaines. L'auteur a dit que l'être humain peut reconnaître les
objets sans faire de très grands efforts. Cependant, la reconnaissance
d'objets dans les images représente une tâche très
difficile dans la vision par ordinateur. La tâche de détection des
plaque d'immatriculation des véhicules représente un grand
défi des images de véhicule, à cause des différents
formats des plaques, les différents styles, la prise de vue et la
variation des conditions d'éclairage lors de l'acquisition des images de
véhicules. Il a proposé deux méthodes de détections
de textes dans les images. Ces méthodes se basent sur les
sous-tâche suivantes : la tâche de localisation basée
sur la texture et la tâche de vérification du texte basée
sur la caractéristique du gradient du texte présent dans l'image.
L'auteur a eu comme problèmes suivant : 1. Taille du texte :
le problème de différence de tailles des caractères de
textes bien que le nombre maximal de niveaux est égale à 3, ceci
est insuffisant à cause de la forte variation de la taille de texte. 2.
Orientation de texte : la plupart des méthodes proposées
supposent que l'orientation des textes est horizontale ou verticale, elles sont
applicables aux textes incrustés et se prêtent mal à la
détection de textes en scène. 3. Complexité du fond :
la complexité de l'arrière-plan dans les images rend la
tâche difficile pour les méthodes de segmentation, surtout pour
les textes en scène.
Et comme méthode, il a utilisé l'approche par
segmentation et regroupement spatial : ce sont des méthodes qui
segmentent directement les images en des régions et qui regroupent les
régions de caractères en des mots. Elles sont connues sous les
noms des méthodes `` Bas vers haut'' (Bottom-up) puisqu'elles partent du
bas vers le haut pour identifier les petites structures et regrouper celles-ci
afin de former des régions. Ces méthodes se basent sur les
caractéristiques de couleurs, les niveaux de gris des pixels des
régions, ou encore sur la différence du contraste avec le fond
Comme approche, il a utilisé l'approche basée
sur la texture et l'apprentissage des propriétés textuelles. Ces
approches portent de l'observation que ce texte est considéré
comme une zone dense de caractéristiques, à laquelle on peut
assimiler une texture comportant des motifs plus ou moins
régulières et qui peut distinguer le texte du fond de l'image.
Quant à nous, nous nous démarquons de nos
prédécesseurs à l'élaboration d'une application qui
sera installer sur place et sera capable de garder pendant plus longtemps les
informations dûes aux plaques d'immatriculations des automobiles
à la DPI/Haut-Katanga.
TABLEAU DE SYNTHÈSE
DES LECTURES RÉALISÉES
Type de document
|
Auteur (année)
|
Titre de document
|
Idées retenues
|
Ouvrage
|
Modeste KAZENGE (2008)
|
Informatique Générale
|
Ce livre est organisé en quatre volets : dont le
premier volet tente de démystifier le fonctionnement de l'ordinateur en
soufflant au lecteur son architecture générale.
Deuxième volet décrypte un paquet de programmes
spéciaux que nous expliquons du point de vue de l'utilisateur : que
le système d'exploitation ; véritable chef d'archiste du
fonctionnement de cette machine fascinante.
Troisième volet : concerne l'organisation d'un
Centre de Traitement Informatique (CTI). Découvrir comment au fil du
temps le CTI est amené à se concentrer sur l'administration
système, réseau et base des données, pendant que le
développement des applications tend à devenir un terrain de
collaboration dirigé par les utilisateurs, les informaticiens offrant
leur technicité.
Quatrième volet : tente de démêler la
question de la maintenance des équipements et les rapports avec les
sociétés de services.
|
Ouvrage
|
MBABULA (2017)
|
Pour vous chercheur, directives pour rédiger un travail
scientifique suivi de recherche scientifique sur internet
|
La recherche scientifique et la présentation du fruit
de cette recherche se font suivant des exigences de fond et de forme.
La méthode se conçoit, et la présentation
s'apprend.
L'auteur a proposé à tous ceux qui ont à
rédiger un travail scientifique et/ou à présenter
publiquement sur un support papier ou autre, le fruit de leurs
réflexions ou de leurs recherches dans un domaine quelconque.
|
Ouvrage
|
Eyralles(2003)
|
Bases de données
|
Ce livre présente une synthèse des principes et
des techniques actuels en matière de base de données. Il traite
des bases de données relationnelles et des bases de données
objet. Ces paradigmes sont au coeur des systèmes d'information
d'aujourd'hui.
Les bases de données jouent un rôle sans cesse
croissant dans les systèmes d'informations d'entreprise, qu'il s'agisse
d'applications de gestions traditionnelles (comptabilité ventes,
décisionnel...) ou d'applications intranet, e-commerce ou de gestion de
la relation client.
|
Ouvrage
|
ANGOT(1992)
|
Système d'information de l'entreprise.
|
L'apprentissage de l'informatique est souvent abordé
sous l'angle de la technique de l'ordinateur ; or cette approche est
à la fois réductrice et partiellement inexacte.
L'auteur présente le fonctionnement de l'entreprise au
moyen de l'analyse des flux de la mécanique générale, il
met en évidence le rôle majeur de l'informatique dans ce processus
et aborde systématiquement de grands concepts de gestion qu'il relie les
uns aux autres de manière logique et harmonieuse.
|
Ouvrage
|
Clouse (2008)
|
Algèbre Relationnelle. Guide pratique de conception
d'une base de données relationnelle normalisée
|
Les évolutions technologiques ont permis, au fil des
données, de rendre les systèmes de plus en plus performants et de
plus en plus intuitifs à l'usage.
Ainsi, aujourd'hui, tout employé d'une entreprise
utilise au moins une application informatique reposant sur une base de
données. Les types de base de données ont aussi
évolué pour répondre même aux besoins les plus
pointus des utilisateurs comme une base de données objet,
datawarehouse,... mais ces bases de données sont toutes des
évolutions d'un seul type original : la base de données
relationnelle.
Aujourd'hui, la base des données est devenue le support
incontournable du système d'information d'une entreprise, car elle
répond aux objectifs de qualité de l'information, de
sécurité, de facilité de gestion pour les informations.
|
Ouvrage
|
DJUNGU (2013)
|
Outils et Langages du Web N.O
|
De nos jours, l'internet, réseau des réseaux,
est devenu un facteur puisant d'échange de toute sorte de connaissances
et un moyen simple pour la publicité de son entreprise à
l'échelle du globe. Cette infrastructure met beaucoup des services
à la disposition des internautes (e-mail, chat, forum de discussion,
téléphonies sur ip, visioconférence,...) cependant, tous
ces services reposent sur le web.
Dans cette bibliothèque virtuelle mondiale, nous y
trouvons presque tout. Dès lors, il devient intéressant d'inviter
un public aussi large que possible à comprendre les arcanes du web et
d'apprendre non seulement à recevoir de l'information, mais aussi
à participer, collaborer et publier sur cette plateforme.
L'objectif de ce livre est de susciter une forte participation
des utilisateurs dans la conception des sites Web disposant des interfaces plus
agréables, intelligentes et ergonomiques. Dès lors, il
présente dans un style clair et très pédagogique les
principales évolutions du web, ses outils et langages
|
Ouvrage
|
COHEN(2000)
|
Dictionnaire de gestion
|
Ce dictionnaire propose au lecteur trois possibilités
complémentaires d'utilisation
. Il consiste tout simplement dans la consultation des 142
articles présentés dans l'ordre alphabétique. Elle permet
de parcourir, au fil d'une lecture électrique les grands domaines de la
gestion présentés ici de façon extensive sinon
exhaustive
. Il fait appel à la consultation de l'index dont les
entrées permettent une découverte plus analytique du contenu des
articles. Grâce à près de 1000 entrées, le
dictionnaire permet alors de vérifier ou de retrouver une
définition, une formule de calcul, les analyses de bases relatives
à l'entrée choisie.
. sur l'établissement d'un véritable programme
de lecture qui permet la découverte méthodique des grands
domaines de la gestion grâce à l'étude systématique
de tous les articles relatifs à chacun de ces domaines. En se
référant à la liste thématique des articles, le
lecteur peut sélectionner des grappes cohérentes et utiliser ce
dictionnaire comme un véritable ouvrage d'initiation à la
gestion.
Ce dictionnaire ne se réduit ni à un lexique, ni
à un aide-mémoire, ni à un répertoire de
formulation technique. Pour chacun des thèmes abordés, il associe
la présentation des développements opérationnels, la
discussion de leurs conditions d'application et, plus encore, une interrogation
sur le sens des concepts et des instruments proposés.
|
Ouvrage
|
Goetter
|
CSS 2 Pratique du design web
2e édition
|
Ce livre est né du constat d'un déséquilibre
entre la vigueur de la communauté
francophone en matière de feuilles de styles CSS et la
pauvreté de l'offre en
matière de documentation dans la langue de Molière.
Il faut en général se contenter
de traductions d'articles et de quelques sites ou forums
spécialisés dans le
domaine des standards et des feuilles de styles (vous trouverez
en annexe une liste
de sites de référence). Aucun manuel original de
conception web en CSS n'a
encore été publié, et les ouvrages des
experts
Malgré plusieurs années d'existence, la conception
de sites web à l'aide des
feuilles de styles CSS (Cascading Style Sheets) n'en est encore
qu'à ses balbutiements.
En effet, certaines techniques anciennes - dont la fameuse mise
en page à
l'aide de tableaux - reste encore solidement ancrée dans
nos habitudes.
|
Mémoire
|
Ryan-placide LUHINZO NTUTANE
|
La problématique de gestion et de l'attribution des
plaques d'immatriculations en République Démocratique du
Congo : cas de la ville province de Kinshasa 2015.
|
Il dit que la plaque est l'image de l'Etat et elle permet
à l'Etat de générer de recettes publiques, de quantifier
et d'identifier tous les engins circulant sur le sol national, et-il conclu en
disant que la plaque d'immatriculation en RDC demeure jusque-là
difficile ou peut être négligée par les animateurs des
institutions politiques et administratives.
|
Mémoire
|
NUMBI KASONGO Andy
|
Analyse et conception d'une application de gestion de vente de
plaque d'immatriculation, ISC, 2014
|
. L'auteur avait comme problème, la lenteur dans
l'exécution des tâches, la perte du temps, perte de certaines
informations et dossiers. Et comme solution, il avait proposé de mettre
au point un outil informatique de gestion de données en mettant sur pied
un logiciel approprié à la gestion de vente des plaques
d'immatriculation des automobiles.
|
Mémoire
|
KAPONGO MUTUILA Samuel
|
Conception et création d'un site web de livraison des
plaques dans une institution publique ISC, 2015
|
Il a soulevé dans sa problématique que l'outil
informatique est-il indispensable à la DPI pour résoudre les
problèmes de gestion ? et quel moyen faut-il mettre en place pour
atteindre un grand public ? En hypothèse il a proposé la
création d'une application web qui serait la solution adéquate
pour une extension de la clientèle en dehors de la ville de Lubumbashi.
Ainsi, dans son travail il a tenté de prévoir le mode de paiement
et il a prévu un mode de paiement pour arriver à l'entière
satisfaction du client, en ce qui concerne le paiement dans son cas, il a
opté pour Airtel-Money et M-Pesa qui sont les deux comptes beaucoup
utilisés dans le milieu que nous sommes.
|
Thèse
|
Hinde ANOUAL
|
Détection et localisation de texte dans les images de
scènes naturelles : Application à la détection des
plaques d'immatriculation marocaines.Thèse de doctorat,
Université Mohammed V-Agdal, 2012
|
L'auteur a dit que l'être humain peut reconnaître
les objets sans faire de très grands efforts. Cependant, la
reconnaissance d'objets dans les images représente une tâche
très difficile dans la vision par ordinateur. La tâche de
détection des plaque d'immatriculation des véhicules
représente un grand défi des images de véhicule, à
cause des différents formats des plaques, styles, la prise de vue et la
variation des conditions d'éclairage lors de l'acquisition des images de
véhicules. Il a proposé deux méthodes de détections
de textes dans les images : la tâche de localisation basée
sur la texture et la tâche de vérification du texte basée
sur la caractéristique du gradient du texte présent dans
l'image.Et comme méthode, il a utilisé l'approche par
segmentation et regroupement spatial : ce sont des méthodes qui
segmentent directement les images en des régions et qui regroupent les
régions de caractères en des mots.
Comme approche, il a utilisé l'approche basée
sur la texture et l'apprentissage des propriétés textuelles
|
1.3. LA PROBLEMATIQUE
Selon Luc Van et Raymond Quivy(2011), définit la
problématique comme une approche théorique qu'on décide
d'adapter pour traiter le problème posé par la question du
départ, elle est une manière d'interroger les
phénomènes étudiés.
Comme la recherche est naît toujours de l'existence d'un
problème à résoudre ou à clarifier, nous nous
sommes rendu compte à travers les échanges des paroles avec les
personnels de la direction provinciale des impôts (DPI) que cette
dernière se trouve confrontée à certains problèmes
des gestions particulièrement dans la gestion du système
d'attribution des plaques d'immatriculation dont lorsqu'il faut passer à
la demande des plaques, les informations sont écrites manuellement et
stockées dans des registres, avec ça on enregistre toujours les
pertes de documents au moins trois par an vue la condition de travail des
personnelles chargés à cette tâche. La lourdeur lors de
l'enregistrement des opérations, redondance de données.
Et dont un grand nombre de véhicules circulent sans ou
manque des plaques d'immatriculation, ce qui entraîne les
difficultés d'identifiée certains véhicules. La tendance
qu'à plusieurs institutions, entreprise et personnes ; celle de
vouloir identifier leurs automobiles.
Dès nos jours, il est difficile de faire confiance aux
plaques d'immatriculations attachés aux différents
véhicules en circulation car elles ne procurent aucun gage de
sécurité, elles sont récupérées sur les
véhicules déclassés et remplacés aux
véhicules en état de circuler, et ces phénomènes
crée des difficultés pour identifier un véhicule enfuit
après avoir causé des dégâts.
LA QUESTION DE RECHERCHE
Nous pouvons définir la problématique comme
étant l'ensemble des questions essentielles qu'un chercheur se pose dans
une recherche scientifique ou la problématique est l'ensemble des
problèmes, de questionnement soulevé par l'objet
d'étude
Le Larousse défini la problématique comme
l'ensemble de questions qu'une science ou une philosophie se pose dans un
domaine particulier.
Eu égard à ce qu'on a soulevé dans les
phénomènes observés, nous nous posons les questions
ci-après :
Ø Quel est le mécanisme à mettre en place
pour améliorer la gestion informatisée d'un système
d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles ?
Ø Comment pouvons-nous réorganiser le
système de gestion des plaques d'immatriculations au sein de la DPI pour
faire face aux difficultés rencontrées?
1.4. HYPOTHÈSE
Les hypothèses sont des réponses provisoires
à la (ou aux) question(s) posé(s) dans la
problématique.
L'Hypothèse est une idée directive, une
tentative d'explication des faits formulés au début de la
recherche destinée à guider l'investigation et à
être abandonnée ou maintenue d'après les résultats
de l'observation (Floribert Kitaba, Cours de Méthode de Recherche
Scientifique, ISC, G2 Info ; 2016)
Nous, nous définissons l'hypothèse d'un travail
scientifique comme l'ensemble des réponses anticipées ou
provisoires à la question posée dans la problématique.
Après passation en revue du système de plaques
d'immatriculations, nous suggérons les réponses
ci-après :
Ø Pour améliorer le système d'attribution
des plaques d'immatriculations des automobiles, la conception et gestion d'un
système d'attribution des plaques d'immatriculations serait un
mécanisme idéal pour pallier aux difficultés qu'à
la gestion des plaques d'immatriculations à la DPI/Haut-Katanga ;
ainsi que la création d'une base de données qui contiendrait
toutes les informations nécessaires, serait garantie par le logiciel que
nous mettrons au point.
Ø En élaborant un système informatique de
gestion d'attribution des plaques d'immatriculations, nous pourrions
réorganiser le système de gestion des plaques d'immatriculation
des automobiles au sein de la DPI/Haut Katanga.
Ces réponses sontprovisoires et elles sont à
infirmer ou à confirmer à la fin du travail après avoir
fait l'analyse.
1.5. L'OBJECTIF POURSUIVI
En s'appuyant sur l'analyse de cas des plaques
d'immatriculations des automobiles (étude de cas), l'objectif principal
de notre étude ou nous avons pour but de comprendre les
difficultés de modèle de la tenue de la gestion des plaques et
décrire le système relatif à l'informatisation des
plaques d'immatriculation des automobiles à la DPI et proposés
une piste de solution qui sera peut-être utilisable dans les jours qui
suivent.
1.6. METHODOLOGIE DE
RECHERCHE
1.6.1. LES MÉTHODES ET
TECHNIQUE DE COLLECTE DES DONNÉES
A. LES MÉTHODES DE COLLECTE DES DONNÉES
Selon Lwimba(1970), la méthode est définie comme
l'ensemble d'opérations intellectuelles par les quelles une discipline
cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les
démontrer et les vérifier.
La méthode est une démarche scientifique qui
consiste à analyser les données, à les comprendre, les
sélectionner et à les interpréter en vue d'atteindre les
objectifs fixés.C'est aussi l'ensemble de modèles, règles
ou opérations conduisant un problème à une solution
concrète.
Il existe plusieurs méthodes de collecte de
données, mais nous avons choisi :
- Méthode analytique : cette méthode nous a
permis de comprendre les fonctionnements du système existant.
- Méthode Structurale : quant à elle, elle
nous a permis de voir les éléments en étagement,
superposés les uns les autres au sein de l'entreprise. C'est une
méthode qui consiste également à considérer les
éléments dans une totalité parfois en conflit dont la
solution ne proviendrait pas de l'extérieur.
- Méthode fonctionnelle : elle nous a permis de
connaitre,d'analyser la structure et le fonctionnement de l'entreprise en
question
B. LES TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES
Les techniques sont les moyens aux quels un chercheur fait
recours pour récolter les données nécessaires à
l'élaboration d'un travail scientifique. Nous avions utilisés
comme techniques :
- La Technique Documentaire : elle nous as permis de
récolter certaines données nécessaires pour
élaborer ce présent travail. Cette technique procède par
la consultation des ouvrages, des travaux de fin de cycles, des notes de cours,
des livres et autre documents en rapport avec notre domaine d'étude.
- La Technique d'Interview : quant à elle, elle
nous a permis d'être tête à tête avec
l'enquêté pour lui poser des questions en vue de recueillir des
informations relatives à notre sujet de recherche.
- La technique d'Observation Directe (participation) :
quant à elle, elle nous a permis de nous rendre compte de la situation
actuelle de l'entreprise. Et lorsque nous étions descendus sur terrain
pour nous entretenir avec les différents agents de la DPI, nous avions
vu la manière dont les informations sont traitées dans le domaine
de la ténu des plaques.
- La technique par questionnement : cette technique nous
a permis aussi de récolter les informations par la suite des questions
déposées à la direction technique.
C. LES MÉTHODES ET TECHNIQUE D'ANALYSE DES
DONNÉES
Pour l'élaboration de ce présent travail, nous
avions opté le choix sur la méthode analytique et descriptive, en
l'occurrence de la méthode UP (Unified Process). Elle
est une méthode générique de développement des
logiciels. Générique veut dire qu'il est nécessaire
d'adapter UP au contexte du projet, de l'équipe, du domaine et de
l'organisation.
Le Processus Unifié est un processus de
développement moderne, itératif, efficace sur des projets
informatiques de toutes tailles. Très complet, il couvre l'ensemble des
activités, depuis la conception du projet jusqu'à
l'évolution d'un système existant. (Ruphin NYAMI, cours de
conception du système d'information, ISC, 2019, P26).
Le processus unifié (UP, pour Unified process) est un
processus de développement logiciel « itératif et
incrémental, centré sur l'architecture, conduit par les cas
d'utilisation et piloté par les risques »
· Itératif et incrémental : le projet
est découpé en itérations de courte durées (environ
1 mois) qui aident à mieux suivre l'avancement global. A la fin de
chaque itération, une partie exécutable du système final
est produite, de façon incrémentale.
· Centré sur l'architecture : tout
système complexe doit être décomposé en parties
modulaires afin de garantir une maintenance et une évolution
facilitées. Cette architecture (fonctionnelle, logique,
matérielle, etc...) doit être modélisée en UML et
pas seulement documentée en texte.
· Piloté par les risques : les risques
majeurs du projet doivent être identifiés au plus tôt, mais
surtout levés le plus rapidement possible. Les mesures à prendre
dans ce cadre déterminant l'ordre des itérations.
· Conduit par les cas d'utilisation : le projet est
mené en tenant compte des besoins et des exigences des utilisateurs. Les
cas d'utilisation du futur système sont identifiés,
décrits avec précision et priorisés).
UP fait recours au langagede modélisation des aspects
logiciels et métiers qu'on appelle UML.
UML (Unified Modeling Language) dont la traduction en
français est le (Langage de Modélisation Unifié), qui
permet de communiquer avec certains concepts et avec plus des clartés
que d'autres outils de modélisation
UML est un langage pour spécifier, visualiser,
construire et documenter les artefacts des systèmes logiciels, ainsi que
pour la modélisation d'entreprises et des systèmes non
logiciel
C'est un langage de modélisation graphique à
base de pictogrammes conçu pour fournir une méthode
normalisée pour visualiser la conception d'un système. Il est
couramment utilisé en développement logiciel et en conception
orientée objet (Ruphin NYAMI, cours de conception du système
d'information, ISC, 2019, P22).
UML est une méthode de modélisation objet issue
de la fusion des méthodes BOOCH, OMT et OOSE. Principalement issu des
travaux de Grady Booch, James Rumbaugh et Ivar Jacobson, UML était
créée pour faire face à la complexité croissante
des systèmes d'informations dont la principale avancée
résidait dans la programmation orientée objet
UML est à présent un standard adopté par
l'OMG (Object Management Group) qui a eu comme objectif de définir une
notion standard utilisable dans le développement des applications
informatiques basées sur l'objet.
UML se décompose en plusieurs parties dont :
a) Les vues : ce sont les observables du système.
Elles décrivent le système d'un point de vue donné, qui
peut être organisationnel, dynamique, temporel, logique,... En combinant
toutes ces vues, il est possible de définir le système complet.
Nous avons :
- Vue des cas d'utilisation (use-case view) : c'est la
description du modèle vu par les acteurs du système ; elle
correspond aux besoins attendus par chaque acteur (c'est le quoi et le qui).
- Vue logique (logical view) : c'est la définition
du système vu de l'intérieur. Elle explique comment peuvent
être satisfaits les besoins des acteurs (c'est le comment)
- Vue d'implémentation (implementation view) :
cette vue définit les dépendances entre les modules.
- Vue des processus (process view) : c'est la vue
temporelle et technique, qui met en oeuvre les notions de tâches
concurrentes.
- Vue de déploiement (deployement view) : quant
à elle, elle décrive la position géographique et
l'architecture physique de chaque élément du système
(c'est le où).
b) Les diagrammes : ce sont des ensembles
d'éléments graphiques. Ils décrivent le contenu des vues,
qui sont des notions abstraites. Ils peuvent faire partie de plusieurs vues.
Les diagrammes sont dépendants hiérarchiquement
et se complètent, de façon à permettre la
modélisation d'un projet tout au long de son cycle de vie. Il existe
quatorze depuis UML 2.3.
- Diagrammes de structures ou diagrammes statiques, on y
trouve :
· Diagramme de classes : représentation des
classes intervenant dans le système.
· Diagramme d'objets: représentation des instances
de classe (objets) utilisées dans le système
· Diagramme de composants: représentation des
composants du système d'un point de vue physique, tels qu'il sont mis en
oeuvre.
· Diagramme de déploiement :
représentation des éléments matériels (ordinateurs,
périphérique,...) et la manière dont les composants du
système sont répartis sur ces éléments
matériels et interagissent entre eux.
· Diagramme des paquets : représentation des
dépendances entre les paquets (un paquet étant un conteneur
logique permettant de regrouper et d'organiser les éléments dans
le modèle UML), c'est-à-dire entre les ensembles de
définitions.
· Diagramme de structure composite :
représentation sous forme de boîte blanche les relations entre
composants d'une classe
· Diagramme de profils : spécialisation et
personnalisation pour un domaine particulier d'un meta-modèle de
référence.
- Diagramme de comportement et dynamique
· Diagramme de cas d'utilisation :
représentation des possibilités d'interaction entre le
système et les acteurs.
· Diagramme états-transition :
représentation sous forme de machine à état fini le
comportement du système ou de ses composants.
· Diagramme d'activité :
représentation sou forme de flux ou d'enchaînement
d'activités
· Diagramme de séquence :
représentation de façon séquentielle du déroulement
des traitements et des interactions entre les éléments du
système et ou de ses acteurs
· Diagramme de communication : représentation
de façon simplifiée d'un diagramme de séquence se
concentrant sur les échanges de messages entre les objets
· Diagramme global d'interaction :
représentation des enchaînements possibles entre les
scénarios préalablement identifiés sous forme de
diagrammes de séquences
· Diagramme de temps : représentation des
variations d'une donnée au cours du temps
c) Les modèles d'éléments : ce sont
les éléments graphiques des diagrammes. Ces
éléments s'appliquent à tous les diagrammes
ci-haut :
- Un stéréotype est une marque de
généralisation notée par des guillemets, cela montre que
l'objet est une variété d'un modèle
- Un classeur est une annotation qui permet de regrouper des
unités ayant le même comportement ou structure. Un classeur se
présente par un rectangle conteneur, en traits pleins
- Un paquet regroupe des diagrammes ou des unités
- Chaque classe ou objet se définit
précisément avec le signe « :: ». ainsi
l'identification d'une classe X en dehors de son paquet ou de son classeur sera
définie par « Paquet A::Classeur B::Classe X ».
1.7.
LA JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE
Il convient d'évoquer les raisons qui nous ont
poussés à mener cette étude et l'intérêt
qu'elle présente.
1.7.1. Choix du sujet
Le choix d'un sujet de recherche scientifique n'est pas un
fait du hasard, car le choix doit être nécessairement la
conséquence de ce que le chercheur envisage étaler comme projet,
et il y a toujours un fait qui pousse le scientifique à opter pour tel
ou tel sujet selon les objectifs poursuivis par ce dernier.
Le choix de ce sujet a été motivé par la
façon dont on gère le système d'attribution des plaques
d'immatriculations des automobiles à la direction provinciale des
impôts.
Voyant que certains véhicules circulent sans
plaques ; cela a suscité en nous cette envie de pouvoir apporter
notre contribution à la direction provinciale des impôts dans le
domaine de la gestion te la conception d'un système d'attribution des
plaques des automobiles.
1.7.2. Intérêt du sujet
L'expression de notre intérêt sur la conception
d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation se formule sur
trois plans :
a) Motivation personnel : ce sujet nous
a donné l'opportunité favorable d'approfondir nos connaissances
acquises tout au long de notre cursus d'étude et sur tout sur notre
parcours académique
Ensuite cette recherche nous a permis d'approfondir d'avantage
notre domaine scientifique (informatique) car ce sujet que nous
avionsabordé, est une pierre de plus sur notre fondation
scientifique.
b) Motivation scientifique : non
seulement ce sujet nous édifie, mais il constitue également un
apport dans l'arsenal scientifique, car le règlement académique
exige qu'un étudiant finaliste de premier ou deuxième cycle
puisse élaborer un travail scientifique pour approfondir les
théories apprises à la pratique dans le milieu professionnel
En plus, notre sujet pourra apporter à d'autres
chercheurs une aide qu'ils pourrons s'en servir pour orienter leurs
enquêtes liées à l'analyse de ce problème en rapport
avec la conception et réalisation d'un système d'attribution des
plaques d'immatriculations des automobiles, car nous ne sommes pas le premier
ni le dernier à affronter ce sujet.
c) Motivation
managériale : à ce stade, nous
contribuerons à travers ce sujet à étaler un document
contenant des proposition ou pistes de solutions bien structurés,
fiables et précis dans la conception et réalisation d'un
système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles.
Signalons que notre travail aboutira à la conception
d'un système informatique qui pourra gérer les plaques
d'immatriculation des automobiles de notre ville de Lubumbashi.
1.8. DELIMITATION DE L'ETUDE
Il s'agit de représenter la délimitation dans le
temps et dans l'espace.
a) Dans l'espace : tout chercheur
avisé se fixe les limites d'investigation
C'est ainsi que nos investigations à nous se limiteront
sur la ténue de la conception et réalisation d'un système
d'attribution des plaques d'immatriculation des automobiles.
Et cette étude sera focalisée à la
Direction Provinciale des Impôts/Haut- Katanga DPI en sigle.
b) Dans le temps : les données
que nous comptons analysées vont partir d'une période de quatre
ans c'est-à-dire de l'année 2015 à l'année 2018
1.9. LA STRUCTURE DU MEMOIRE
Hormis l'introduction générale et la conclusion
générale, notre travail s'articulera autour de quatre (4) grands
chapitres à savoir :
Ø Chapitre I INTRODUCTION GENERALE : ce chapitre
parlera du phénomène observé, de la revue de
littérature, la problématique, l'hypothèse, l'objectif
poursuivi, la méthodologie de recherche ainsi que la justification de la
recherche.
Ø Chapitre II CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE : Ici
nous essaierons de définir quelques concepts de base ainsi que les
concepts théoriques.
Ø CHAPITRE III CADRE EMPIRIQUE : quant à ce
chapitre, il parlera de notre champ d'investigation de sa présentation,
sa vision, mission, valeur, objectif ainsi que sa structure organisationnelle
et son organigramme.
Ø Chapitre IV RESULTATS DE L'ETUDE : Ce chapitre
traitera sur l'Analyse de l'existant (du domaine) tout en utilisant la
méthode UP et le langage UML comme méthodes dans ce travail. Ici
nous ferons aussi le choix du langage de programmation et de la base de
données, tout en présentant les interfaces et quelques codes.
CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE
Et dans ce chapitre, nous essaierons de définir les
concepts de base et quelques concepts informatiques qui seront utilisés
dans ce travail.
2.1. DÉFINITION DES
CONCEPTS OPÉRATOIRES
Etant donné que chaque sujet d'étude est
composé au moins des mots clés ou concepts de base, nous nous
sommes mis au travail pour définir tous les concepts de base qui cadrent
avec notre sujet de recherche.
Ce point consiste à définir les concepts ou mot
clés qui constituent notre sujet :
1. Conception : c'est une façon
de concevoir, de comprendre, d'imaginer, de prévoir ou de mettre sur
pied quelque chose.
2. Réalisation : c'est la mise en
oeuvre concrète d'un programme ou d'une application
3. Système : Est un ensemble
d'éléments matériels et immatériels qui sont en
intégration et qui, par un processus interne transforme certains
éléments en d'autres éléments.
4. Attribution : action d'attribuer, le
fait de donner quelque chose ou la procédure pour attribuer un
marché à l'un des concurrents
5. Plaque : lame ou feuille plus mois
épaisse, de métal, de verre, de marbre
6. Immatriculation : action
d'immatriculer, action de donner un numéro affecté sur le
registre d'immatriculation d'une personne, d'un animal ou d'une chose
7. Automobile : tout en engin roulant
à moteur (véhicule, moto,...)
2.2. THEORIES EXPLICATIVES
· Informatique : C'est un domaine
ou une science du traitement automatique et rationnel de l'information
· Information : Est une
donnée interprétée ou traitée, ou c'est une source
de connaissance, d'informations sur un sujet donné, susceptible
d'être représenté afin d'être conservé,
traité et communiqué
· Donnée : C'est une
information abstraite, une représentation d'un élément
d'information codé dans un format permettant son stockage et son
traitement par un ordinateur
· Ordinateur : Machine
électronique qui traite les informations automatiquement et manipule des
données sous forme de binaires, donc sous forme de bits
· Système : Est un ensemble
d'éléments matériels et immatériels qui sont en
intégration et qui, par un processus interne transforme certains
éléments en d'autres éléments
Nous avons trois types de systèmes :
a) Système d'Information : C'est
l'ensemble d'éléments ou ressources personnels (matériels,
logiciels) permettant d'acquérir, traiter, sauvegarder est communiquer
des informations
b) Système Informatique : N'est
qu'un sous ensemble du système d'information
Madeline Chantal (2006), le SI est l'ensemble des moyens
informatiques (matériels et logiciels) mis en oeuvre, en vue d'une
application spécifiée ou d'un ensemble d'application. Il
s'intéresse aux informations collectives qui concernent un ensemble
d'entités important.
c) Système
d'Exploitation (noté OS en Anglais et SE en
Français) : Est chargé d'assurer la liaison entre les
ressources matérielles, l'utilisateur et les applications
· Modèle : C'est une
représentation abstraite d'une réalité ou entité du
modèle réel en vue de les décrire de l'expliquer ou de le
prévoir
· Modélisation : C'est une
étape indispensable d'assumer un bon niveau de qualité et
maintenance efficace
· Programme : C'est une suite
d'instructions qui permettent de résoudre un problème et qui sont
traduites dans un langage de programmation
· Programmation : C'est l'ensemble
d'activités liées à la définition,
l'écriture et à l'exécution des programmes
· Langage de Programmation : C'est
l'ensemble de caractères, des symboles, des règles ou c'est une
série d'instruction pouvant être interprétées et
exécutées par un ordinateur donc c'est un système
d'instructions et de règles syntaxique servant à la programmation
informatique
· Langage informatique : c'est un
langage destiné à décrire l'ensemble des actions
consécutives qu'un ordinateur doit exécuter. Il permet aux
humains de donner les instructions à un ordinateur.
· Application : Désigne un
programme informatique qui s'ouvre sur l'ordinateur pour vous donner
accès à une série de fonctionnalités autour d'un
objectif. C'est un résultat des plusieurs étapes d'une
méthode informatique. C'est l'ensemble d'algorithmes traduit en code
source dans un langage de programmation en vue d'exécuter une ou
plusieurs tâches.
· Les SGBD (Système de Gestion
des Bases de Données) : Sont des programmes qui se chargent du
stockage des données
· Base de Données : Est un
gros ensemble d'informations structurées mémorisées sur un
support local, souvent agencés sous forme des tables dans lesquels les
données sont organisées selon certains critères en vue de
permettre leurs exploitations pour répondre aux besoins
d'informations.
· Analyse : L'ensemble
d'études, des opérations que l'on fait pour aboutir à la
mise au point d'un programme
· Logiciel : est un ensemble
typiquement composé de plusieurs programmes, ainsi que tout le
nécessaire pour le rendre opérationnels.
Un logiciel est l'ensemble des programmes plus la
documentation.
· MYSQL : est un SGBD fonctionnant
sous un système d'exploitation comme Linux et Windows
v Définition du concept dû à UML.
· UML : (Unified Modeling Language)
dont la traduction en français est le (Langage de Modélisation
Unifié), qui permet de communiquer avec certain concepts et avec plus
des clartés que d'autres outils de modélisation. UML est un
langage pour spécifier, visualiser, construire et documenter les
artefacts des systèmes logiciels, ainsi que pour la modélisation
d'entreprise et des systèmes non logiciel
· Rôle : un rôle
définit le comportement et les responsabilités d'une ressource ou
d'un groupe de ressources travaillant en équipe
· Activité : c'est une
unité de travail qu'une ressource, dans un rôle bien
précis, peut effectuer et qui produit un résultat dans le cadre
du projet. L'activité a un but clairement établie,
généralement exprimée en termes de création ou de
mise à jour d'artefact, comme un modèle, une classe ou un
planning.
· Processus : est un
enchaînement partiellement ordonné d'exécution
d'activité qui, à l'aide de moyens techniques et humains,
transforme des éléments d'entrée en éléments
de sortie en vue de réaliser un objectif dans le cadre d'une
stratégie donnée.
· Artefact : c'est un ensemble
d'informations qui est produit, modifié ou utilisé par le
processus. Les artefacts sont les produits effectifs du projet, ils sont
utilisés comme input par les ressources pour effectuer une
activité et sont le résultat d'output d'activités du
processus.
· Workflows : une
énumération de tous les rôles. Le workflow est une
séquence d'activité qui produit un résultat mesurable.
· BPM : Business Process
Management, est une discipline qui consiste à considérer la
gestion des processus comme un moyen d'améliorer la performance
opérationnelle.
· BPMN : Business Process Model and
Notation est l'ensemble de convention graviques permettant de
représenter les processus métier sous forme de modèle.
· Acteur : correspond à une
entité (humaine ou non humaine) qui aura une interaction avec le
système, un rôle à jouer dans le système.
· Classe : une
représentation abstraite d'un ensemble d'objet ayant des
caractéristiques communes
· Objet : occurrences, un
élément concret retrouvé dans le monde réel.
· Comportement : ensemble des
actions, méthode ou opération
· Propriété : un
attribut d'une classe doit réalisées
· Méthode : action que la
classe doit réalisée
· Attribut : un attribut est une
propreté élémentaire d'une classe. Pour chaque objet d'une
classe, l'attribut prend une valeur.
CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE
3.1.
LA PRÉSENTATION DU CHAMPS EMPIRIQUE : DIRECTION PROVINCIALE DES
IMPOTS (D.P.I)
La DPI est une organisation d'Etat adoptant la forme d'une
société privée à responsabilité
limitée (SPRL en sigle) mais qu'il n'est pas. L'institution travaille
sous l'influence du gouvernement provinciale. Elle assure aussi les besoins de
mobilité de la population du Haut-Katanga, en offrant un réseau
de distribution des plaques dans l'étendu de la province.
3.1.2. Aperçu historique
La DGI est un service placé sur le plan technique sous
l'autorité du ministre des finances et sous l'autorité du
ministre de la fonction publique.
Des 1969-1988, la DGI n'avait qu'à son sien neuf
direction dans différentes provinces qui déradaient du ministre
de fiances, jadis ces directions n'avaient aucune autonomie administrative et
financière, elle était constitué de quatre divisions au
niveau central dont et une division provinciale dans chaque provinciale du pays
dont :
- Direction de taxation et documentation
- Direction de recouvrement
- Direction du contrôle fiscale et
- La division du contentieux et de centre de
vérification
Ces divisions correspondant dans chaque province du pays des
bureaux. Le législateur jugera que cette structure n'était pas
efficace en vue de maximiser les recettes de l'Etat. C'est sur l'ordonnance
présidentielle N°088-039 du 10 Mars 1988 qu'il fut
créé un service public dénommé Direction
générale de contribution, DGC en sigle. Ce service est une
autonomie et administration ayant pour attribution la gestion de toutes les
missions d'assiette et de recouvrement d'impôts sur toute
l'étendue du pays afin de pouvoir maximiser les recettes fiscale.
La période du 02/03/2003 jusqu'à nos jours, par
le biais du décret-loi N°017/2003 tel que modifier et
complété par le décret 011/43 du 28/11/2011, la DGI venait
d'être crée comme un service déconcentré du
ministère de finance doté d'une autonomie financière et
administrative en vue de répondre à une plus grande
efficacité dans l'exercice de la mobilisation des recettes fiscales
suivant l'esprit de son articles 1èr qui stipule notamment ce
qui suit :
- Il est créé au sein du ministère ayant
les finances dans ses attributions un service doté d'une autonomie
administrative et financière dénommé Direction
Générale des Impôts (DGI en sigle).
- Lequel a pour attribution dans le cadre de loi et
règlement en vigueur, toutes les émissions et prérogative
en matière fiscale, notamment cette concernant l'assiettée
recouvrement et le contentieux des impôts, taxe redevable et
prélèvement à caractère fiscale.
Finalement, la DPI, bien que placée sous le
fonctionnement et la motivation de son personnel d'une allocation
budgétaire au moi égale à 50% de sept assignes que celle
de 40% de pénalité recouvrées pour ses dépense
d'investissement.
Elle bénéficie, en outre de crédit
budgétaire qui lui est alloue à cet effet, plus aussi
quantité de 10% de pénalité recouvrée pour ses
dépensées d'investigation.
Au niveau de la province du Haut-Katanga, il existe la DPI qui
a la même rôle et attribution que celui de la DGI au niveau du
gouvernement central-Kinshasa.
Adresse :La
Direction Provinciale des impôts/Haut-Katanga est située au BP.
1274 Lubumbashi, sur l'avenue Sedwe/Tabora en face de BSRC dans la commune de
Lubumbashi
3.2.2. VISION, MISSION, VALEURS ET OBJECTIFS DU
DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS (D.P.I)
a) Vision
Comme toute administration fiscale, la DGI vise 4 point
à savoir :
ü La liquidation de l'impôt qui est la
détermination du montant qu'un contribuable doit payer,
ü Le recouvrement qui est un transfert des fonds de la
poche de la contribution vers le trésor public
ü La direction générale des impôts
s'occupe de fiscalité et de la perception des impôts constituant
une source des recettes de l'Etat. Elle tient encore à
l'élargissement de l'assiette fiscale par le suivi des contributions
ü La DGI vise aussi à l'immatriculation des
automobiles
b) Mission
La DPI a pour mission :
ü La DPI étant un service public doté d'une
autonomie administrative, il est cependant sous tutelle du ministère de
finance et budget ; ce service s'occupe de la gestion et de la perception
d'impôts
ü La DPI exerce aussi dans la loi et le règlement
toutes les missions et les prérogatives en matière fiscale, en
l'occurrence celles relatives à l'assiette, au contrôle, au
recouvrement et aux contentieux des impôts, taxes redevances et
prélèvement à caractère fiscale.
ü A cet effet, la DGI est chargée d'étudier
et de soumettre à l'autorité compétente les projets a des
lois, de décrets et d'arrêtes en lav matières.
ü La DGI doit être consultée pour toutes les
conventions à incidence fiscale ou tout agrément d'un projet
d'investissement à un régime dérogatoire.
ü Elle exerce également ses compétences de
manière exclusive sur toute l'étendue du territoire national.
ü Faire voyager les clients d'une ville à une
autre
ü Effectuer le transfert des colis dans les mêmes
villes à travers le pays
c) Valeur
La perception d'impôts constituant une source des
recettes de l'Etat et la satisfaction des clients dans le domaine
d'immatriculation, tel est sa valeur.
d) Objectif
Mobiliser les recettes fiscales (impôt) relevant du
pouvoir central ou gouvernement central. Elle peut être aussi
consultée par le gouvernement avant de rectifier.
La DGI peut recouvrer les factures du gouvernement et cela de
la même manière qu'on recouvre les impôts.
3.2.3. STRUCTURE DE LA DPI
La direction provinciale des impôts fonctionne de la
manière suit :
0. Directeur Provinciale : chapote et assure la survie de
l'entreprise au niveau de la province
1. Secrétaire de la direction : il assure la gestion au
quotidien de la direction du point de vue technique et administratif
2. Inspecteur Provinciale : il fait l'inspection et le
contrôle de la direction des impôts
3. Administrateur gestionnaire GRH: s'occupe du suivi de
l'administration et des finances de la DPI.
4. Bureau gestion, Paie et Formation : ces bureaux s'occupent
de la gestion, la paie et la formation des tous les employés de cette
entreprise.
5. Cellule Personnelle, Paie et Formation : quant aux
cellules, elles font exactement ce que les bureaux cités ci-haut leur
demande de faire en matière de formation, paie et gestion des agents
travailleurs au sein de la DPI
6. Chef de Division des Affaires Sociales : il s'occupe
des affaires du personnel, le voyage, sport et loisir de l'entreprise
7. Division de la gestion budgétaire et Service
généraux : elle s'occupe des dépenses
budgétaires, de la gestion des meubles et immeubles ainsi que de la
fourniture des différents bureaux
8. Division de l'Informatique : elle fait la suivie des
applications et de la maintenance des tous les ordinateurs
3.2.4. Figure 1
BUREAU BUDGET DE DEPENSE
BUREAU GESTION MEUBLE ET IMMEUBLE
BUREAU MAT. CHARIOT ET EXPLOITATION
BUREAU FOUR. ET IMPD
DIRECTION PROVINCIALE
SECRETARIAT DE LA DIRECTION
INSPECTION PROV. DE SERVICE
DIVISION DES RESSOURCES H.
SECRETARIAT DE L'INSPECTION
SECRETARIAT DE LA DIVISION
BUREAU GESTION
BUREAU PAIE
BUREAU FORMATION
CELLULE PERSONNELLE
CELLULE PAIE
CELLULE FORMATION
DIVISION DES AFF. SOCIALE BUREAU CD
SECRETAIRE DE DIRECTION
BUREAU AFFAIRES
DIVISION DE LA GEST. BUDGETAIRE ET SERVICES
GENERAUX
BUREAU RP VOYAGE ET SPORT ET LOISIR
SECRETAIRE DE LA DIVISION
DIVISION INFORMATIQUE
BUREAU MAINTENANCE
BUREAUSUIVI DES APPLICATION
SECRETARIAT DE LA DIVISION
. ORGANIGRAMME
Source : Direction Provinciale des Impôts
CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE
4.1. LA SITUATION ACTUELLE DE LA
D.G.I
La DGI est sous tutelle du ministère de finance et
budget. C'est donc un service public (de l'Etat.
Elle comprend :
A. Au niveau de Kinshasa
1. Direction des impôts (Bureau du DG et DGA)
2. Inspection générale de service (IGS)
3. Direction de ressources humaines (DRH)
4. Direction de gestion budgétaire et service
général
5. Direction de l'informatique
6. Direction des études de la législation et du
contentieux
7. Direction de taxation et documentation
8. Direction du contrôle fiscal
9. Direction de recouvrement
10. Direction opérationnelle des grandes entreprises
11. Deux directions urbaines opérationnelles, Kinshasa
Est et Ouest
B. Au niveau de la province
1. Direction provinciale des impôts (DPI) bureau de
directeur provincial
2. L'inspection provinciale de services
3. Direction de ressources humaines et service
général
4. Direction de l'informatique
5. Division de taxation et documentation
6. Division de recouvrement
7. Division de contentieux
C. Au niveau de district
L'appellation devient en centre des impôts de type A
1. Centre des impôts de la ville de Lubumbashi
2. Centre des impôts fiscaux du Haut-Katanga
3. Centre des impôts fiscaux de Kolwezi
4. Centre des impôts fiscaux du Haut-Lomami
5. Centre des impôts fiscaux du Tanganyika
6. Centre des impôts fiscaux de Lualaba
7. Centre des impôts fiscaux de Likasi.
Centre des impôts de Kaniama
1. Centre des impôts de Kamina
2. Centre des impôts de Likasi
3. Centre des impôts de Moba et Kabongo
Il est utile de remarquer qu'au niveau du centre des
impôts de la commune de Lubumbashi, la dénomination devienne en
bureau de cellule qui présente ces centres des impôts.
Dans ce centre des impôts de Lubumbashi, nous
avons :
ü Le quartier Makutano
ü Le quartier fiscal Mampala
ü Le quartier fiscal Lumumba
ü Le quartier fiscal Golf.
Lorsqu'on parle de centre des impôts du type A et B, on
voit ici l'importance de la situation géographique et capacité de
réalisation des recettes en rapport avec le contrôle programme et
assigne à chaque type de centre des impôts. Ceux du type A par
exemple, sont agrée par un chef de bureau présent, en attendant
la nouvelle structure. Le centre des impôts de type A et B sont
appelés provisionnement « centre des impôts
synthétique » C.I.S en sigle.
4.2. PHASE D'ANALYSE
A. ANALYSE DE BESOINS
C'est la partie principale de notre analyse. Elle est
composée des cas d'utilisation. On y décrit le contexte, les
acteurs ou utilisateurs du logiciel, les fonctionnalités du logiciel
mais aussi les interactions entre ces acteurs et ces fonctionnalités.
Dans cette partie nous allons utiliser différentes Diagrammes en
commençant par les besoins fonctionnels et non fonctionnels.
a) Les besoins fonctionnels
Les besoins fonctionnels ou besoin métiers
représentent les actions que le système doit exécuter, il
ne devient opérationnel que s'il satisfait les utilisateurs. Cette
application doit couvrir principalement les besoins fonctionnels suivants :
· La demande d'immatriculation des véhicules cette
activité permet d'identifier tous les véhicules qui circulent
dans le territoire national en général et dans la province en
particulier.
· Déclaration douane, avant de livrer un
numéro d'immatriculation d'un véhicule, la cellule
d'immatriculation doit vérifier la conformité de document en
possession du propriétaire.
· Payer frais, pour livrer un numéro
d'immatriculation à un véhicule, il faut d'abord identifier le
propriétaire, l'obligé de payer le frais d'immatriculation
b) Les besoins non fonctionnels
Ce sont des exigences qui ne concernent pas
spécifiquement le comportement du système ; mais
plutôt identifient des contraintes internes et externes du
système. Les principaux besoins non fonctionnels de notre application ce
résument dans les points suivants :
· Le code doit être clair pour permettre des
futures évolutions ou améliorations ;
· L'ergonomie : l'application offre une interface
conviviale et facile à utiliser ;
· La sécurité : l'application doit
respecter la confidentialité des données ;
· Garantir l'intégrité et la
cohérence des données à chaque mise à jour et
à chaque insertion.
B. Identification et
présentation des besoins
1. Présentation du projet à
réaliser
a) Résultats attendus
Notre souhait est que l'application se déroule
convenablement, de conserver ces fonctionnalités dans l'application, et
d'améliorer s'il est possible les performances du système ainsi
que les bases des données existantes.
b) Architecture de l'application
Dans les phases préliminaires du développement
d'une application ou de la refonte d'un système d'information, la
définition de l'architecture technique consiste à faire les choix
de technologies et d'organisation de composants logiciels les plus
adaptés aux besoins et aux contraintes de l'organisation d'octroi
d'immatriculation.
c) Présentation de l'architecture à 2
niveaux
L'architecture à deux niveaux (aussi appelée
architecture 2-tiers, tiers signifiant étages en anglais)
caractérise les systèmes clients/serveurs dans lesquels le client
demande une ressource et le serveur la lui fournit directement. Cela signifie
que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de fournir
le service.
d) Présentation de l'architecture à 3
niveaux
Dans l'architecture à 3 niveaux (appelées
architecture 3-tiers), il existe un niveau intermédiaire,
c'est-à-dire que l'on a généralement une architecture
partagée entre:
1. Le client: le demandeur de ressources
2. Le serveur d'application (appelé aussi
middleware): le serveur chargé de fournir la ressource
mais faisant appel à un autre serveur
e)Le serveur secondaire
(généralement un serveur de base de données), fournissant
un service au premier serveur.
Tout système d'information nécessite la
réalisation de trois groupes de fonctions: le stockage des
données, la logique applicative et la présentation. Ces trois
parties sont indépendantes les unes des autres: on peut ainsi vouloir
modifier la présentation sans modifier la logique applicative. La
conception de chaque partie doit également être
indépendante, toutefois la conception de la couche la plus basse est
utilisée dans la couche d'au-dessus. Ainsi la conception de la logique
applicative se base sur le modèle de données, alors que la
conception de la présentation dépend de la logique applicative.
2. Recensement des besoins
Id
|
Etant que
|
Priorité
|
Poids d'estimation
|
Couleur
|
1
|
Cellule d'immatriculation ; je dois ajouter un
propriétaire
|
S
|
10
|
Grise
|
2
|
Je dois affecter un ou plusieurs véhicules à un
propriétaire
|
M
|
15
|
Bleu
|
3
|
Identifier tous les véhicules sur le territoire
national
|
S
|
10
|
Grise
|
4
|
Je dois rechercher, modifier, supprimer les informations
|
C
|
25
|
Bleu
|
5
|
Supprimer un numéro d'immatriculation qui n'est pas en
circulation
|
W
|
10
|
Bleu
|
6
|
Bureau informatique, je dois revoir l'historique d'octroi
d'immatriculation
|
S
|
5
|
Bleu
|
7
|
Je dois ajouter, modifier, supprimer, annuler et rechercher les
immatriculations
|
C
|
10
|
Grise
|
8
|
Propriétaire, je dois avoir l'immatriculation de mon
véhicule
|
W
|
5
|
Bleu
|
9
|
m'aider à la recherche du véhicule au cas où
ce dernier est volé
|
S
|
10
|
Bleu
|
Le tableau de Recensement des besoins des acteurs est dit
aussi tableau d'avancement d'un projet, il permet à tous les acteurs du
projet d'exprimer leur besoins pour la future application qui sera
conçu.
La colonne priorité représente l'importance du
besoin par rapport aux attentes des utilisateurs. Les fortes priorités
doivent être développées en première position ;
mais la priorité peut changer. Pour prioriser les besoins des
mutilateurs, il y a une méthode de priorisation appelée MSCW.
· M : master hase
this: sont des besoins qui doivent être fait (les besoins
vital de l'organisation).
· S : schould hase at all
possible: les besoins qui devraient être fait dans la mesure du
possible (besoins essentiels).
· C : could hase this if it does not
affect anything else : les besoins qui pourraient être
fait dans la mesure où cela n'a pas d'impact sur les autres taches
(confort).
· W : won't hase this time but wald
ikein the feature : les besoins qui ne seront pas fait cette
fois mais seront fait plus tard.
Le poids représente la charge d'un travail ou la
concertation que doit faire les agents pour terminer une tache. Mais celui qui
a une forte priorité n'a pas toujours un grand poids.
Chaque acteur donne aussi son point de vue sur la couleur
des formulaires de l'application et cela en tenant compte de l'agronomie ou les
comportements de l'application face à l'utilisateur.
D. Identification des acteurs
Un acteur représente un rôle joué par une
personne qui interagit avec le système.
Par définition, les acteurs sont à
l'extérieur du système.Les acteurs se recrutent parmi les
utilisateurs du système et aussi parmi les responsables de sa
configuration et de sa maintenance. D'où, les acteurs potentiels qui
risquent d'interagir avec l'application sont :
· Le propriétaire : c'est la personne qui est
en possession d'un véhicule, qui veut qu'on l'octroie un numéro
matricule ;
· Division informatique : c'est un service
chargé d'imprimer le numéro d'immatriculation en accord avec la
cellule d'immatriculation ;
· Cellule d'immatriculation : il est chargé
de coordonner, percevoir le frais et de livrer le numéro
d'immatriculation.

E. Figure 2 :
Identification des acteurs

F. Figure 3 :
Identification des cas d'utilisation métier
G. Diagramme de cas d'utilisation
Montre les interactions fonctionnelles entre les acteurs et le
système à l'étude
Acteur : rôle joué par un
utilisateur humain ou un autre système qui interagit directement avec le
système étudié. Un acteur participe à au moins un
cas d'utilisation.
Cas d'utilisation (use case) : ensemble de
séquences d'actions réalisées par le système
produisant un résultat observable intéressant pour un acteur
particulier. Collection de scénarios reliés par un objectif
utilisateur commun.
Association : utilisée dans ce type de
diagramme pour relier les acteurs et les cas d'utilisation par une relation qui
signifie simplement « participe à ».
Inclusion : le cas d'utilisation de base en
incorpore explicitement un autre, de façon obligatoire, à un
endroit spécifié dans ses enchaînements.
Extension : le cas d'utilisation de base en
incorpore implicitement un autre, de façon optionnelle, à un
endroit spécifié indirectement dans celui qui procède
à l'extension
Généralisation : les cas
d'utilisation descendants héritent de la description de leur parent
commun. Chacun d'entre eux peut néanmoins comprendre des relations
spécifiques supplémentaires avec d'autres acteurs ou cas
d'utilisation.
Figure 4 : Diagramme de cas
d'utilisation
H. Spécification détaille de
cas d'utilisation
L'étude de cas d'utilisation a pour objectif de
déterminer ce que chaque utilisateur attend du système. La
détermination du besoin est basée sur la représentation de
l'interaction entre l'acteur et le système.
Authentification : permet d'identifier chaque
utilisateur, et de lui donner l'accès aux fonctionnalités
propices.
Déclaration douane : permet
à la cellule d'immatriculation de vérifier si le véhicule
appartient réellement à la personne, au cas contraire, il doit
présenter le document d'achat de ce véhicule.
Demande immatriculation : ce cas
d'utilisation permet d'octroyer à un véhicule nouvellement
acheté ou si ce véhicule a déjà un numéro
d'immatriculation et que le propriétaire veut le vendre ; alors
l'acheteur peut procéder au changement des identités
d'appartenance. La demande d'immatriculation peut être accordé ou
refusé si les conditions ne sont remplies
Livraison plaque : si le
propriétaire du véhicule a rempli tous les conditions, il doit
payer le frais d'immatriculation, qui lui sera livré par la cellule
d'immatriculation en collaboration avec la division informatique.
I. Spécification détaillé des besoins
· Nom cas d'utilisation : demande
d'immatriculation
@ Objectif du cas d'utilisation : octroyer un
numéro à un véhicule
@ Acteur principal : cellule immatricule
@ Acteur secondaire : informatique,
propriétaire
@ Précondition : avoir une pièce
d'identité correcte, de dédouanement ou d'achat
@ scénario
ü scénario normal :
§ saisir : nom, post nom, prénom,
nationalité, numéro châssis, couleur véhicule...
§ ajouter ()
ü scénario alternatif
§ annuler ()
§ modifier ()
§ quitter ()
§ rechercher ()
ü scénario d'exception : afficher un message
en cas d'erreur si le numéro existe déjà.
· Nom cas d'utilisation : déclaration
douane
@ Objectif du cas d'utilisation : vérifier et
certifier si le véhicule appartient effectivement à la personne
@ Acteur principal : cellule immatricule
@ Acteur secondaire : propriétaire
@ Précondition : avoir une pièce de
dédouanement ou d'achat
@ scénario
ü scénario normal :
§ comparer sur diffèrent document le nom, post
nom, prénom, provenance, numéro châssis, couleur
véhicule...
§ valider ()
ü scénario alternatif
§ annuler ()
§ modifier ()
§ quitter ()
§ rechercher ()
ü scénario d'exception : afficher un message
de non-conformité.
Analyse du domaine
J. ANALYSE DU DOMAINE
1. Analyse du domaine
C'est au travers les activités d'analyse et de
conception qui peuvent être menées séparément ou
conjointement que l'on peut définir à partir des besoins du
système un modèle capable d'être concrétisé
sous forme logicielle.
L'analyse comprend les activités qui permettent
précisément d'aboutir au modèle d'analyse du
système en partant des cas d'utilisation et des besoins fonctionnels. Ce
modèle d'analyse est constitué par les classes et dans les cas
d'utilisation et les besoins. L'analyse se concentre sur les besoins
fonctionnels, en ignorant à ce stade les contraintes d'architecture du
système. L'essentiel est de s'assurer que tous les besoins fonctionnels,
tels qu'ils sont exprimés par les cas d'utilisation et les autres
documents, sont réalisés quelque part dans le système.
Idéalement, à des fins de traçabilité, chaque
besoin individuel et chaque d'utilisation est relié aux packages qui les
réalisent.
2. Digramme de classe
Montre les briques de base statiques : classes, associations,
interfaces, attributs, opérations, Généralisations,
etc.
Classe: description abstraite d'un ensemble
d'objets qui partagent les mêmes propriétés (attributs et
associations) et comportements (opérations et états).
Attribut : donnée
déclarée au niveau d'une classe, éventuellement
typée, à laquelle chacun des objets de cette classe donne une
valeur. Un attribut peut posséder une multiplicité et une valeur
initiale. Un attribut dérivé (« / ») est un attribut
dont la valeur peut être déduite d'autres informations disponibles
dans le modèle.
Opération : élément de
comportement des objets, défini de manière globale dans leur
classe. Une opération peut déclarer des paramètres
(eux-mêmes typés) ainsi qu'un type de retour.
Association : relation sémantique
durable entre deux classes, qui décrit un ensemble de liens entre
instances. Une association est bidirectionnelle par défaut, sauf si l'on
restreint sa navigabilité en ajoutant une flèche.
Rôle : nom donné à une
extrémité d'une association ; par extension, manière dont
les instances d'une classe voient les instances d'une autre classe au travers
d'une association.
Multiplicité : le nombre d'objets
(min. Max) qui peuvent participer à une relation avec un autre objet
dans le cadre d'une association. Multiplicités fréquentes :
· 0..1 = optionnel (mais pas multiple)
· 1 = exactement 1
· 0..* = * = quelconque
· 1..* = au moins 1

Figure 5 : Digramme de
classe
3. Diagramme de classe participante
Le diagramme de classe participant doit être
indépendant des utilisateurs et des interfaces graphiques. Ainsi,
l'application doit être découpée en couches :
présentation, logique applicative et données. Le diagramme de
classes participantes modélise justement les classes d'analyses qui
concourent à la réalisation d'un cas d'utilisation. Ces trois
types de classes d'analyses sont :
· Les classes de dialogues : elle représente
les interactions entre les utilisateurs et les IHM (interfaces homme-machine).
Il, y a au moins un dialogue pour une association entre un acteur et un cas
d'utilisation ;
· Les classes de contrôles : elles
modélisent la cinématique ou le métier ou encore la
logique applicative de l'application pour manipuler les informations
détenues par un objet métier et font la jonction entre le
dialogue et les entités ;
· Les classes entités : elles sont
persistantes en ce sens qu'elles survivent à l'exécution des cas
d'utilisation. Elles proviennent du modèle du domaine et permettent le
stockage des données dans les fichiers ou dans les bases de
données.

Figure 6 : Diagramme
de classe participante
4. Diagramme de séquence
Montre la séquence verticale des messages passés
entre objets au sein d'une interaction
Ligne de vie : représentation de
l'existence d'un élément participant dans un diagramme de
séquence. Cela peut être un acteur ou le système en
modélisation d'exigences, des objets logiciels en conception
préliminaire ou conception détaillée.
Message : élément de
communication unidirectionnel entre objets qui déclenche une
activité dans l'objet destinataire. La réception d'un message
provoque un événement dans l'objet récepteur.
La flèche pointillée
représente un retour au sens UML. Cela signifie que le message
en question est le résultat direct du message
précédent.
Spécification d'activation : bande
blanche qui représente une période d'activité sur une
ligne de vie.
Message synchrone : envoi de message pour
lequel l'émetteur se bloque en attente du retour et qui est
représenté par une flèche pleine.
Un message asynchrone, au contraire, est
représenté par une flèche ouverte.
Occurrence d'interaction : une interaction
peut faire référence explicitement à une autre interaction
grâce à un cadre avec le mot-clé ref et indiquant le nom de
l'autre interaction.
UML 2 a ajouté une nouvelle notation très utile
: les cadres d'interaction.
Chaque cadre possède un opérateur et peut
être divisé en fragments.
Les principaux opérateurs sont :
· loop : boucle. Le fragment peut
s'exécuter plusieurs fois, et la condition de garde explicite
l'itération.
· opt : optionnel. Le fragment ne
s'exécute que si la condition fournie est vraie.
· alt. : fragments alternatifs. Seul
le fragment possédant la condition vraie s'exécutera.
Après l'étude des cas d'utilisation, nous avons pu dégager
les diagrammes de séquences correspondants dont voici les plus
importants :

5. Figure 7 : Diagramme de
Séquence Système
6. Figure 8 :
Diagramme de Séquence Détaillé

L'utilisateur doit activer le formulaire, et doit saisir les
coordonnées du propriétaire, si les coordonnées du
propriétaire existe, il doit passer à l'identification du
véhicule ; saisir le numéro châssis, la marque, la
couleur etc... si c'est un deuxième ou troisième
véhicules. Une requête sera passée à la base de
données.
Une fois les coordonnées sont affichée,
l'utilisateur peut sélectionne les pour le modifier ou le supprimer.
La modification génère la boite de dialogue, une
fois les modifications sont effectuées, l'objet modifié sera
apporté dans la table de la base des données correspondante. De
même pour la suppression.
7. Diagramme d'activité de navigation
Le diagramme d'activité est un diagramme comportemental
qui modélise particulièrement le cheminement des flots de
contrôle et de flots de données de toute activité. Il
permet de décrire l'enchainement des cas d'utilisation. Il peut
comporter des synchronisations pour représenter les déroulements
parallèles.
a. action : est le plus petit traitement qui puisse
être exprimé
b. activité : définit un comportement
décrit par un séquencement organisé d'unités dont
les éléments simples sont des actions.
c. noeuds d'activité : un est type
d'élément abstrait représentant de représenter le
long du flot d'une activité.

Figure 9 : Diagramme
d'activité de navigation
4.3. PHASE DE CONCEPTION
1. Diagramme d'interaction IHM
Les IHM modernes, en particulier celles destinées aux
internautesvia les sites Web marchands, cherchent à faciliter la
communication avecl'utilisateur. Elles sont de plus en plus riches et
puissantes. Mais celaoblige le concepteur du site à
réfléchir de façon très précise
aucomportement attendu de tous ses éléments graphiques et pas
seulementd'un point de vue visuel.
UML nous offre la possibilité de représenter
formellement lanavigation dans le site, au moyen d'un diagramme dynamique
appelédiagramme d'activités. Le diagramme d'activités
représente ainsi unajout important dans l'arsenal des outils de
modélisation du concepteurde site Web, puisqu'il fournit la
possibilité de décrire précisément etexhaustivement
les aspects dynamiques de l'interface utilisateur.

Figure 10 : Diagramme
d'interaction IHM
2. Diagramme de classe de conception
Le diagramme de classes de conception représente les
classes constituant le système et les associations entre elles. Les
diagrammes de classes expriment de manière générale la
structure statique d'un système, en termes de classe et de relations
entre ces classes. De même qu'une classe décrit un ensemble
d'objets, une association décrit un ensemble de liens ; les objets sont
des instances de classes et les liens sont des instances de relations.

Figure 11 : Diagramme de
classe de conception
4.4. CHOIX TECHNIQUES
Ici nous allons faire le choix du langage de programmation
ainsi que le système de gestion de base de données.
A. Le langage de programmation
Il existe plusieurs outils de programmation car le monde
informatique nous offre plusieurs langages des programmations pour faire une
synthèse de tout ce qu'on fait comme analyse.
Les ordinateurs ne comprennent que le langage binaire (0 et
1), alors le problème est donc de savoir comment allons-nous faire pour
pouvoir communiquer avec ces ordinateurs, car notre but final est d'arriver au
moins à programmer ou concevoir une application informatique.
Tout ceci va nous demander de programmer en binaire. C'est
donc pour cette raison que nous allons faire un choix du langage de
programmation afin de pouvoir communiquer avec les ordinateurs.
Grace au logiciel appelé Compilateur (qui se
charge de traduire le code écrit duans le langage de programmation en
langage binaire), nous serons en mesure de communiquer avec les ordinateurs.
Pour la réalisation de ce travail, nous avons choisi le
langage de programmation suivant :
Ø PHP: Pré HyperText
Processor ou Hypertext Preprocessor4, plus connu sous son sigle PHP
(acronyme récursif), est un langage de programmation libre, open source
disponible pour divers plates-formes (Unix, Lunix et Windows) principalement
utilisé pour produire des pages Web dynamiques via un serveur HTTP4,
mais pouvant également fonctionner comme n'importe quel langage
interprété de façon locale. PHP est un langage
impératif orienté objet. Il est considéré comme une
des bases de la création de sites web dits dynamiques mais
également des applications web.

Figure 12 :
Représentation logo PHP
Ø HTML (HyperText Markup Language)
est un langage de description (et non pas un langage de programmation) qui va
nous permettre de décrire l'aspect d'un document, d'y inclure des
informations variées (textes, images, sons, animations etc.) et
d'établir des relations cohérentes entre ces informations
grâce aux liens hypertextes.
Son rôle est de gérer et organiser le contenu :
affiché sur la page du texte, des liens, des images
Un fichier html est un format de fichier texte éditable
dont les éléments ont du sens et au format.html qui peut contenir
du texte, des images, des liens, son, vidéo, css, javascript et dont le
langage descriptif comparé de balises interprété par le
navigateur.
Ø SublimeText2 : C'est un
éditeur spécialisé, auto-complétion, retour
à la ligne, colorisation syntaxique, la sauvegarde automatique, son
licence est propriétaire. C'est un éditeur de texte
générique codé en C++ et Python, disponible sur Windows,
Mac et Linux.
Sublime Text peut être équipé d'un
gestionnaire de paquets qui permet à l'utilisateur de trouver,
installer, mettre à jour et supprimer des paquets sans avoir à
redémarre Sublime Text.

Figure 13 :
Représentation logo Sublime Text2
Ø Macromedia Dreamweaver8
Le logiciel Dreamweaver est le logiciel par excellence des
intégrateurs. Et pour cause, c'est un logiciel très polyvalent et
s'adapte bien au HTML, PHP et tous les autres scripts associés aux pages
HTML. Il est relativement intutif, dispose d'outils permettant de visualiser le
résultat de code source html et d'éditer des pages html inclut
dans des fonctions PHP sans trop de difficulté. Il offre la
possibilité de développer des pages HTML et CSS.

Figure 14 :
Représentation logo Macromedia Dreamweaver8
Ø Entreprise Architect : est un
outil de modélisation et de conception d'UML, il couvre par ses
fonctionnalités l'ensemble des étapes du cycle de conception
d'application, c'est l'un des logiciels de conception les plus connus

Figure 15 :
Représentation logo Entreprise Architect
B. CONSTRUCTION DE LA BASE DE
DONNEES
a) Le système de gestion des
bases de données
Une base de données est un outil permettant de stocker
des données (telles que des chiffres, des dates ou de mots) et de
retrouver l'intégralité de données brutes ou
d'informations en rapport avec un thème ou une activité,
celles-ci peuvent être de natures différentes et plus ou moins
reliées entre elles.
On accède à une base de données
grâce au SGBD qui reçoit de demande de manipulation du contenu sur
les fichiers
Nous avons opté pour le phpMyAdmin

Figure 16 :
Représentation logo PhpMySql

Figure 17 : Structure de
la base de données
Ø Classe avec attributs. Icichaque
classe devient une relation. Les attributs de la classe deviennent des
attributs de la relation. Si la classe possède un identifiant, ils
dévient la clé primaire de la relation, sinon, il faut ajouter
une clé arbitraire.
Ø Association 1 vers 1. Pour
représenter une association 1 vers 1 entre deux relations, la clé
primaire de l'une des relations doit figurer comme clé
étrangère dans l'autre.
Ø Association 1 vers plusieurs. Pour
représenter une association 1vers plusieurs, on procède comme
pour une association 1 vers 1, excepté que c'est forcément la
relation du côté plusieurs qui reçoit comme clé
étrangère, la clé primaire de la relation du
côté 1.
Ø Association plusieurs vers
plusieurs.L'association plusieurs vers plusieurs et représenter
en introduisant une nouvelle relation dont les attributs sont les clés
primaires des relations en association et dont la clé primaire est la
concaténation de ces deux attributs.
Ø Classe -association plusieurs vers plusieurs.
Le cas est proche de celui d'une association plusieurs vers plusieurs,
les attributs de la classe association étant ajoutés à la
troisième relation qui représente, cette fois - ci, la classe
association elle - même.
Ø Héritage. Les relations
correspondant aux sous - classes ont comme clé étrangère
et primaire la clé de la relation correspondant à la classe
parente.
4.5. INTERFACES ET CODES
A. INTERFACES
Ø Lancement du wamp server

Figure 18 : Lancement du
Wamp Server
Ø Interface d'authentification : c'est une
interface où il suffit de mettre le nom et le mot de passe de
l'utilisateur.

Figure 19 :Interface
d'Authentification
Ø Interface d'accueil : cette interface
nous présente jute le menu principale de notre application

Figure 20 : Interface
d'Accueil
Ø Interface Client : cette interface nous
permet d'enregistrer tout client sollicitant une demande d'immatriculation de
son automobile

Figure 21 : Interface
Client
Ø Interface Catégorie : elle nous
permet d'enregistrer le type des véhicules et le prix de sa
plaque

Figure 22 : Interface
Catégorie
Ø Interface automobile : c'est une
interface où on enregistre les informations consternant l'automobile du
client.

Figure 23 : Interface
Automobile
B. QUELQUES CODES
1. LOGIN
<DOCTYPE html>
<html>
<head>
<title>login</title>
<link rel="stylesheet" type="text/css"
href="forme.css">
<meta>
</head>
<body>
<form Method="POST" Action="server.php">
<div class="entete">
<div
class="header"><h1>indentification</h1></div>
<tr>
<!--td><h1>indentification</h1></td!-->
</tr>
<div class="input-group">
<tr>
<label>Nom utilisateur</label><input
type="text" id="Nom_utilisateur" name="Nom_utilisateur"></td>
</tr>
</div>
<tr>
<div class="input-group">
<label>Mot de passe</label>
<td><input type="password" id="Mot_de_passe"
name="Mot_de_passe"></td>
</tr>
</div><br>
<tr>
<td><input type="submit" id="Envoyer" name="Envoyer"
value="OK" class="btn"></td>
</tr>
</div>
</table>
</form>
</body>
</html>
2. INDEX
<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0
Transitional//EN"
"http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd">
<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml">
<head>
<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html;
charset=iso-8859-1" />
<meta>
<title>MEMOIRE</title>
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<table width="1307" border="0" cellpadding="0"
cellspacing="0">
<!--DWLayoutTable-->
<tr>
<td height="63" colspan="2" valign="top"
bgcolor="#666666"><?php include("banniere.php");?></td>
</tr>
<tr>
<td width="266" height="502" valign="top"
bgcolor="#999999"><?php include("menu.php");?></td>
<td width="1041" valign="top" bgcolor="#CCCCCC">
<?php
switch (@ $_GET['page'])
{
case 'page_accueil':include('page_accueil.php'); break;
case 'page_client':include('page_client.php'); break;
case 'page_categorie':include('page_categorie.php'); break;
case 'page_automobile':include('page_automobile.php');
break;
case 'page_client':include('page_client.php'); break;
default:include('page_accueil.php'); break;
}
?></td>
</tr>
<tr>
<td height="37" colspan="2" valign="top"
bgcolor="#666666"><?php include("pied.php");?></td>
</tr>
<tr>
<td height="2"></td>
<td></td>
</tr>
</table>
<a href="EDOUARD.html">aller ici...</a>
<a href="login.php">aller sur authentification
ici...</a>
</body>
</html>
3. CONNEXION
<?php
$con=mysql_connect("localhost","root","") or
die(mysql_error());//connexion au serveur
mysql_select_db("bd_gestionplaque",$con) or
die(mysql_error());
?>
DISCUSSIONS
Nos prédécesseurs et nous avions parlé
sur le même sujet cadrant avec la gestion des plaques d'immatriculation.
Mais nous nous écartons de nos prédécesseurs sur le fait
que nous, avions parlé sur le système d'attribution des plaques
d'immatriculation, alors qu'eux ont parlé sur : la gestion de vente
de plaques d'immatriculation ; la livraison des plaques ainsi que la
détection des plaques.Et avions proposé comme solution la mise au
point d'un système d'information d'attribution des plaques
d'immatriculation secondé par une base de données pour la
meilleure conservation d'informations.
Quant à nos prédécesseurs, ils ont
proposé comme solution : la mise au point d'un logiciel
approprié à la gestion de vente des plaques ; la
création d'une application web est comme mode de paiement il a
opté Airtel-Money et M-pesa.
Nous pouvons conclure que nos résultats
s'écartent de ceux de nos prédécesseurs cités dans
la Revue de littérature.
RECOMMANDATIONS
Il suffit de démontrer la pertinence ou la validité
des résultats par rapport au problème de recherche et aux
questions ainsi qu'aux hypothèses proposées.
Apres analyse et découverte des dysfonctionnements du
système d'attribution des plaques au sein de la DPI, nous recommandons
ce qui suit :
La mise au pied d'une application d'attribution des plaques
d'immatriculation qui permettra de gérer les informations liées
aux plaques des automobile et pour une meilleure conservation d'informations en
rapport avec la gestion des plaques d'immatriculation à la
DPI/Haut-Katanga, cette application sera secondée par une base de
données enfin d'avoir un bon et rapide accès à
l'interrogation d'informations.
Faire presque chaque fois le suivi enfin de faire une mise
à jour du logiciel mis sur pied.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Nous voici arrivé au terme de ce travail dont
l'étude à portée sur la conception et réalisation
d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation des
automobiles. Cas de la direction provinciale des impôts.
Eu égard à tout ce qui
précédé dans les différents chapitres, nous nous
sommes posé deux questions qui ont fait l'objet de toute notre
étude, celles de savoir : Quel est le mécanisme à
mettre en place pour améliorer la gestion informatisée d'un
système d'attribution des plaques d'immatriculations des
automobiles ? Ainsi Comment pouvons-nous réorganiser le
système de gestion des plaques d'immatriculations au sein de la DPI pour
faire face aux difficultés rencontrées? Et avons
tenté de répondre à cette problématique dans
l'hypothèse en disant que la conception d'un système
d'attribution des plaques d'immatriculations serait un mécanisme
idéal pour pallier aux difficultés qu'à la gestion des
plaques d'immatriculations à la DPI/Haut-Katanga et qu'en
élaborant un système informatique de gestion d'attribution des
plaques d'immatriculations, nous pourrions réorganiser le système
de gestion des plaques d'immatriculation des automobiles au sein de la DPI/Haut
Katanga. Ainsi donc la conservation de données sera garantie et rendue
confidentielle grâce à l'élaboration d'une base de
données que nous aurons à concevoir.
Signalons que nous avons recouru à la démarche
UP (unified Process) ainsiqu'au langage UML (Unified Modeling Language). Pour
l'analyse et la conception de notre système, ce langage nous a permis de
représenter graphiquement les différents diagrammes.
Pour arriver a bien analyser ce travail de fin d'étude,
nous l'avons découpé en quatre chapitre. Dans le premier chapitre
nous avons étalé les phénomènes, la
problématique ainsi que les hypothèses et la
méthodologie ; dans le second chapitre nous avons défini les
différents concepts et théories ; le troisième
chapitre nous l'avons consacré sur la présentation du champ
empirique et enfin le quatrième chapitre lui, on l'a consacré
à l'analyse, la conception détaillée de l'application et
à l'implémentation de notre solution.
Pour matérialiser notre solution, nous avons choisi le
PhpMysql comme gestionnaire de base des données ainsi que le langage de
programmation PHP et HTML (avec comme éditeur de texte Macromedia et
Sublime Text2)
Ce travail a fait l'objet d'une expérience
intéressante qui nous a permis d'améliorer nos connaissances et
nos compétences acquises.
En fin, nous demandons à tous ceux qui vont nous lire
et aux futurs chercheurs d'avoir une certaine indulgence à notre
égard car ce travail constitue une oeuvre humaine qui ne peut pas
manquée des imperfections. Ainsi donc leurs remarques, critiques et
suggestions seront toujours le bienvenu pour l'amélioration
ultérieure.
Nous n'avons pas épuisé tous les
problèmes de la gestion des plaques d'immatriculation mais au moins nous
avons proposé une solution informatique du système existant. Et
voici nos limites car nous n'avons pas été à mesure de
faire l'application pour qu'elle puisse permettre aux clients d'identifier
leurs automobiles ou faire une demande d'immatriculation partout qu'ils soient
bref en dehors de la ville de Lubumbashi surtout de l'endroit où le
logiciel sera implémenté. D'autres chercheurs peuvent prolonger
des études sur cette question.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1) ANGOT, H., 1992. Système d'information de
l'entreprise. Paris: De Boeck Université, Bruxelles.
2) Clouse, M., 2008. Algèbre Relationnelle. Guide
pratique de conception d'une base de données relationnelle
normalisée. s.l.:s.n.
3) COHEN, E., 2000. Dictionnaire de gestion. 9bis
éd. Paris: Abel-Hovelacque.
4) DJUNGU, S.-J. A., 2013. Outils et Langages du Web N.O.
10ème Rue, Limeté éd. Kinshasa: Medias Paul.
5) Eyralles, G. G., 2003. Bases de données.
Paris: s.n.
6) Goetter, R., s.d. CSS 2 Pratique du design web. 2e
éd. s.l.:s.n.
7) J. GABY , 2009. UML 2 Analyse et Conception. Dunod
éd. Paris: s.n.
8) Luc Van et Raymond Quivy, 2011. Manuel de recherche en
sciences sociales. Paris: Dunod.
9) Lwimba, K., 1970. La recherche en sciences humaines.
Ed-Universitaire éd. Paris: s.n.
10) Lwimba, K., 1970. La recherche en sciences humaines.
Ed-Universitaire éd. Paris: s.n.
11) MBABULA, L. M., 2017. Pour vous chercheur, directives
pour rédiger un travail scientifique suivi de recherche scientifique sur
internet. Ed. MPALA éd. Lubumbashi: s.n.
12) Modeste KAZENGE, C., 2008. Informatique
Générale. Medias Paul éd. Kinshasa-RDC: s.n.
II. TRAVAUX DE FIN DE CYCLE ET
MÉMOIRES
1) Hinde ANOUAL Détection et localisation de texte dans
les images de scènes naturelles : Application à la
détection des plaques d'immatriculation marocaines. Thèse de
doctorat, Université Mohammed V-Agdal, 2012.
2) KAPONGO MUTUILA Samuel Conception et création d'un
site web de livraison des plaques dans une institution publique ISC, 2015.
3) NUMBI KASONGO Andy Analyse et conception d'une application
de gestion de vente de plaque d'immatriculation, ISC, 2014.
4) Ryan-placide LUHINZO NTUTANE La problématique de
gestion et de l'attribution des plaques d'immatriculations en République
Démocratique du Congo : cas de la ville province de Kinshasa
2015.
III. WEBOGRAPHIE
http://
WWW.memonroline.com
http://
WWW.commentcamarche.net
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