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Conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation des automobiles. Cas de la DPI


par Edouard KISHIKO WA ILUNGA
Institut Supérieur de Commerce de Lubumbashi - Licence 2019
  

Disponible en mode multipage

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INSTITUT SUPÉRIEUR DE COMMERCE

DÉPARTEMENT DES SCIENCES INFORMATIQUES

B.P 387

LUBUMBASHI

CONCEPTION ET REALISATION D'UN SYSTEME D'ATTRIBUTION DES PLAQUES D'IMMATRICULATION DES AUTOMOBILES 

CAS DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS LUBUMBASHI

KISHIKO WA ILUNGA Edouard

Mémoire présenté et défendu en vue de l'obtention de grade de Licencié en Sciences Informatiques de Gestion

Option : Conception des Systèmes d'information

Juillet 2019

INSTITUT SUPÉRIEUR DE COMMERCE

DÉPARTEMENT DES SCIENCES INFORMATIQUES

B.P 387

LUBUMBASHI

CONCEPTION ET REALISATION D'UN SYSTEME D'ATTRIBUTION DES PLAQUES D'IMMATRICULATION DES AUTOMOBILES 

CAS DE LA DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS LUBUMBASHI

KISHIKO WA ILUNGA Edouard

Mémoire présenté et défendu en vue de l'obtention de grade de Licencié en Sciences Informatiques de Gestion

Option : Conception des Systèmes d'information

Directeur : Professeur Pascal SEM MBIMBI

Co-directeur : CT. KIBOYA

Année Académique 2018-2019

ÉPIGRAPHE

Je trouvais un registre généalogique de ceux qui étaient montés les premiers, et j'y vis écrit ce qui suit.

Néhemie 7 :5

DÉDICACE

A l'éternel notre Dieu tout puissance, lui qui nous donne le souffle de vie.

A vous mes très chers parents : François ILUNGA MUTAMBA et LENGE SENGA Joceline pour tant de sacrifice et d'amour pour nous, vous êtes de plus beaux cadeaux et exemples pour nous, car vous êtes capables d'aller au-delà de notre force, pour vos soutiens et encadrements à notre égard, disons merci.

A mes frères et soeurs : MBUYU Belinda, NGOMBE Justin, NGOMBE Astrid, SENGA Arthur, Franc ILUNGA, SANGA Bénédicte, LENGE Joceline, BIKAYO Francine, Fhilo, Blaise MUTAMBA et à la grande famille ILUNGA, sans oubliez MIKOMBE Graciélla, disons merci à vous.

REMERCIEMENTS

Au terme de notre travail scientifique, qu'il nous soit permis de dire merci à tous ceux qui de près ou de loin ont contribués à notre formation et à la réalisation de ce travail. Nous voudrions à travers quelques lignes adresser nos sincères remerciements :

A vous monsieur le Professeur Pascal SEM MBIMBI et monsieur le Chef de travaux KIBOYA, qui malgré vos multiples occupations vous vous êtes dévoué aux suivi de l'élaboration de ce travail, disons merci à vous.

Aux autorités académiques et scientifiques ainsi que tous les professeurs, chefs de travaux et assistants de l'ISC/LUBUMBASHI, pour nous avoir encadrés, formés et taillés, faisant de nous des gens utiles à la société.

Aux amis et collègues de lutte : Yves BEZENGE, KABWE Patrick, Dojet MULAJ, BANZA Nicole, Niclette MBANGALA, Carole, Joël KAJE et à tous ceux dont leurs noms ne sont pas cités ci-haut, nous exprimons toute notre profonde gratitude et disons merci à tous.

Nos remerciements à tous nos collègues de promotion ayant passé ensemble une, deux ou toutes les cinq années de notre parcours académique d'études supérieures.

TABLE DES MATIERES

ÉPIGRAPHE I

DÉDICACE II

REMERCIEMENTS III

TABLE DES MATIERES IV

LISTE DES TABLEAUX V

LISTE DES ABRÉVIATIONS VI

LISTE DE FIGURES VII

NOTE DE SYNTHÈSE IX

CHAPITRE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE 1

1.1. LE PHÉNOMÈNE OBSERVE 1

1.2. LA REVUE DE LITTERATURE 2

TABLEAU DE SYNTHÈSE DES LECTURES RÉALISÉES 4

1.3. LA PROBLEMATIQUE 10

LA QUESTION DE RECHERCHE 10

1.4. HYPOTHÈSE 10

1.5. L'OBJECTIF POURSUIVI 11

1.6. METHODOLOGIE DE RECHERCHE 11

1.6.1. LES MÉTHODES ET TECHNIQUE DE COLLECTE DES DONNÉES 11

1.7. LA JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE 15

1.7.1. Choix du sujet 15

1.7.2. Intérêt du sujet 15

1.8. DELIMITATION DE L'ETUDE 16

1.9. LA STRUCTURE DU MEMOIRE 17

CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE 18

2.1. DÉFINITION DES CONCEPTS OPÉRATOIRES 18

2.2. THEORIES EXPLICATIVES 18

CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE 21

3.1. LA PRÉSENTATION DU CHAMPS EMPIRIQUE : DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS (D.P.I) 21

3.1.2. Aperçu historique 21

3.2.3. STRUCTURE DE LA DPI 23

CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE 25

4.1. LA SITUATION ACTUELLE DE LA D.G.I 25

4.2. PHASE D'ANALYSE 26

A. ANALYSE DE BESOINS 26

B. Identification et présentation des besoins 27

H. Spécification détaille de cas d'utilisation 32

J. ANALYSE DU DOMAINE 33

4.3. PHASE DE CONCEPTION 42

4.4. CHOIX TECHNIQUES 45

A. Le langage de programmation 45

B. CONSTRUCTION DE LA BASE DE DONNEES 47

a) Le système de gestion des bases de données 47

4.5. INTERFACES ET CODES 48

A. INTERFACES 48

B. QUELQUES CODES 51

DISCUSSIONS 54

RECOMMANDATIONS 54

CONCLUSION GÉNÉRALE 55

BIBLIOGRAPHIE 56

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Tableau de synthèse des lectures réalisées

Tableau 2 : Recensement des besoins

LISTE DES ABRÉVIATIONS

NTIC : Nouvelles Technique de l'Informatique et de la communication

DPI : Direction Provincial des Impôts

UP : Unified Process

UML : Unified Modeling Language

OMG : Object Management Group

SGBD : Système de Gestion de Base de Données

MySQL : My Structured Query Language

HTML : Hyper Text Markup Language

ISC : Institut Supérieur de Commerce

BPM : Business Process Management

DGI : Direction Générale des Impôts

IHM : Interface Homme Machine

PHP : Pré HyperText Processor

CSS : Cascadind Style Sheet

LISTE DE FIGURES

Figure 1. ORGANIGRAMME 1

Figure 2 : Identification des acteurs 30

Figure 3 : Identification des cas d'utilisation métier 30

Figure 4 : Diagramme de cas d'utilisation 31

Figure 5 : Digramme de classe 35

Figure 6 : Diagramme de classe participante 36

Figure 7 : Diagramme de Séquence Système 38

Figure 8 : Diagramme de Séquence Détaillé 38

Figure 9 : Diagramme d'activité de navigation 41

Figure 10 : Diagramme d'interaction IHM 43

Figure 11 : Diagramme de classe de conception 44

Figure 12 : Représentation logo PHP 45

Figure 13 : Représentation logo Sublime Text2 46

Figure 14 : Représentation logo Macromedia Dreamweaver8 46

Figure 15 : Représentation logo Entreprise Architect 46

Figure 16 : Représentation logo PhpMySql 47

Figure 17 : Structure de la base de données 47

Figure 18 : Lancement du Wamp Server 48

Figure 19 : Interface d'Authentification 49

Figure 20 : Interface d'Accueil 49

Figure 21 : Interface Client 50

Figure 22 : Interface Catégorie 50

Figure 23 : Interface Automobile 51

L'Institut Supérieur de Commerce n'attend donner ni approbation, ni improbation aux opinions émises dans ce mémoire. Ces opinons doivent être considérées comme propre à nous.

NOTE DE SYNTHÈSE

Notre mémoire se concentre sur l'étude, la conception et la réalisation d'un système d'attribution de plaques d'immatriculation pour le compte de la DPI/Haut-Katanga

L'objectif que nous poursuivons au sein de l'entreprise DPI est celle de comprendre les dysfonctionnements du modèle de la tenue de la gestion des plaques d'immatriculation et décrire le système relatif à l'informatisation des plaques d'immatriculation.

La méthode UP (Unified Process) ou processus Unifié (en Français) est l'approche utilisée pour développer le logiciel itératif et incrémental, centré sur l'architecture, conduit par les cas d'utilisation et piloté par les risques pour résoudre le dysfonctionnements dans la gestion du système d'attribution des plaques à la DPI.

UP est une méthode générique de développement de logiciel qui recourt au langage de modélisation des aspects logiciels et métiers qu'on appelle UML (Unified Modeling Language)

Pour mettre fin aux dysfonctionnements de gestion de la distribution des plaques d'immatriculation des automobiles, nous avons proposés à la direction provinciale des impôts ; l'intégration d'une application informatique de gestion des plaques soutenue d'une base de données qui garantirais la sauvegarde et la meilleure conservation des informations, la sécurité et le partage de données sous le respect des contraintes fonctionnelles et organisationnelle de l'entité.

Mot clés : Application, méthode UP, gestion des plaques et immatriculation

CHAPITRE 1. INTRODUCTION GÉNÉRALE

1.1. LE PHÉNOMÈNE OBSERVE

L'évolution technologique est devenue aujourd'hui unphénomènevraimentincontournable et elle a permis aux grandes firmes de réaliserdestâchescomplexesquelquesoitledomainedanslequelellesévoluent, de diminuer le temps de certains traitement, soit de voir leur temps de production sensiblement diminuer.

Soucieux de diminuer le temps de travail et de maximiser le profit, une nouvelle science dite informatique a tant apporté sa contribution dans le domaine scientifique, médical, ou autre.

La science informatique a révolutionné toutes les entreprises récentes qui ont tendance à changer leur système de gestion, car elle traite l'information d'une manière automatique et rationnelle à l'aide d'un outil appelé « Ordinateur ». Cette science se trouve aujourd'hui au coeur de grandes firmes et même à la portée de tous.

L'ordinateur modifie sensiblement les habitudes de travail dans toutes les institutions où il est utilisé et permet l'obtention d'une grande rigueur dans la prise de décision.

C'est depuis quelques années que le système informatique a connu son évolution et son intégration dans tous les domaines de gestion, l'informatique est devenue une réalité quotidienne. Avec l'arrivée des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC en cigle), l'informatique s'est répandue dans tous les domaines. Car elle est devenue un outil fiable utilisant l'ensemble de moyens, de méthodes et techniques pour le traitement efficace de l'information. Grace à l'évolution de l'informatique, tous les responsables des entreprises, institutions et sociétés peuvent se procurer une application informatique pour la gestion d'un certain nombre de tâches de leurs organisations d'une manière adéquate, efficace et sécuritaire.

Partant sur les phénomènes observés, notre question de départ constitue pour nous les points de dysfonctionnements dans l'institution qui gère les plaques d'immatriculations c'est pourquoi, il sera en mesure de répondre à la question :

Comment organiser, mettre fin et améliorer les dysfonctionnements observés dans la tenue des plaques d'immatriculations à la DPI ?

Vues ces observations et en tant que chercheurs, nous avons désiré mener nos recherches sur un thème intitulé « Conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation des automobiles. » Cas de la DPI/Lubumbashi

Car la plaque d'immatriculation est un outil public à deux rôles dans une nation, premièrement elle est une imprimée de valeur financière et en second lieu, un outil de sécurité et symbole de souveraineté nationale.

1.2. LA REVUE DE LITTERATURE

A ce stade, nous pouvons définir la revue de littérature étant comme un passage en revue des écrits antérieurs ayant un rapport immédiat ou lointain avec l'objet d'étude du chercheur. Cela veut tout simplement dire qu'un chercheur scientifique ne peut entreprendre une recherche qu'après avoir consulté certains travaux rédigés par des précurseurs abordant le même objet d'étude sous un autre angle.

La revue de littérature a une importance capitale et remarquable dans la recherche scientifique, une investigation de grande envergure débute par la lecture spécialisée tant sur les considérations théoriques qu'empiriques du thème retenu.

Disons que nous ne sommes pas le premier ou le dernier à aborder ce sujet dans le domaine de l'informatique particulièrement en conception de systèmes d'informations. Il y a d'autre chercheurs qui ont parlé à l'un des aspects de notre sujet tel que :

v Ryan-placide LUHINZO NTUTANE (Mémoire, Kinshasa 2015), dans son mémoire intitulé « la problématique de gestion et de l'attribution des plaques d'immatriculations en République Démocratique du Congo : cas de la ville province de Kinshasa 2012. Il dit que la plaque est l'image de l'Etat et elle permet à l'Etat de générer de recettes publiques, de quantifier et d'identifier tous les engins circulant sur le sol national, est-ilconclut en disant que la plaque d'immatriculation en RDC demeure jusque-là difficile ou peut être négligée par les animateurs des institutions politiques et administratives.

v NUMBI KASONGO Andy(Mémoire, ISC 2014) ; Analyse et conception d'une application de gestion de vente de plaque d'immatriculation. L'auteur avait comme problème, la lenteur dans l'exécution des tâches, la perte du temps, perte de certaines informations et dossiers. Et comme solution, il avait proposé de mettre au point un outil informatique de gestion de données en mettant sur pied un logiciel approprié à la gestion de vente des plaques d'immatriculation des automobiles.

v KAPONGO MUTUILA Samuel(mémoire ISC, 2015) qui a travaillé sur le thème : Conception et création d'un site web de livraison des plaques dans une institution publique. Il a soulevé dans sa problématique que l'outil informatique est-il indispensable à la DPI pour résoudre les problèmes de gestion ? et quel moyen faut-il mettre en place pour atteindre un grand public? En hypothèse il a proposé la création d'une application web qui serait la solution adéquate pour une extension de la clientèle en dehors de la ville de Lubumbashi. Ainsi, dans son travail il a tenté de prévoir le mode de paiement et il a prévu un mode de paiement pour arriver à l'entière satisfaction du client, en ce qui concerne le paiement dans son cas, il a opté pour Airtel-Money et M-Pesa qu'il ait les deux comptes beaucoup utilisés dans le milieu que nous sommes.

v Hinde ANOUAL (Thèse de doctorat, Université Mohammed V-Agdal, 2012) dont le thème est : Détection et localisation de texte dans les images de scènes naturelles : Application à la détection des plaques d'immatriculation marocaines. L'auteur a dit que l'être humain peut reconnaître les objets sans faire de très grands efforts. Cependant, la reconnaissance d'objets dans les images représente une tâche très difficile dans la vision par ordinateur. La tâche de détection des plaque d'immatriculation des véhicules représente un grand défi des images de véhicule, à cause des différents formats des plaques, les différents styles, la prise de vue et la variation des conditions d'éclairage lors de l'acquisition des images de véhicules. Il a proposé deux méthodes de détections de textes dans les images. Ces méthodes se basent sur les sous-tâche suivantes : la tâche de localisation basée sur la texture et la tâche de vérification du texte basée sur la caractéristique du gradient du texte présent dans l'image. L'auteur a eu comme problèmes suivant : 1. Taille du texte : le problème de différence de tailles des caractères de textes bien que le nombre maximal de niveaux est égale à 3, ceci est insuffisant à cause de la forte variation de la taille de texte. 2. Orientation de texte : la plupart des méthodes proposées supposent que l'orientation des textes est horizontale ou verticale, elles sont applicables aux textes incrustés et se prêtent mal à la détection de textes en scène. 3. Complexité du fond : la complexité de l'arrière-plan dans les images rend la tâche difficile pour les méthodes de segmentation, surtout pour les textes en scène.

Et comme méthode, il a utilisé l'approche par segmentation et regroupement spatial : ce sont des méthodes qui segmentent directement les images en des régions et qui regroupent les régions de caractères en des mots. Elles sont connues sous les noms des méthodes `` Bas vers haut'' (Bottom-up) puisqu'elles partent du bas vers le haut pour identifier les petites structures et regrouper celles-ci afin de former des régions. Ces méthodes se basent sur les caractéristiques de couleurs, les niveaux de gris des pixels des régions, ou encore sur la différence du contraste avec le fond

Comme approche, il a utilisé l'approche basée sur la texture et l'apprentissage des propriétés textuelles. Ces approches portent de l'observation que ce texte est considéré comme une zone dense de caractéristiques, à laquelle on peut assimiler une texture comportant des motifs plus ou moins régulières et qui peut distinguer le texte du fond de l'image.

Quant à nous, nous nous démarquons de nos prédécesseurs à l'élaboration d'une application qui sera installer sur place et sera capable de garder pendant plus longtemps les informations dûes aux plaques d'immatriculations des automobiles à la DPI/Haut-Katanga.

TABLEAU DE SYNTHÈSE DES LECTURES RÉALISÉES

Type de document

Auteur (année)

Titre de document

Idées retenues

Ouvrage

Modeste KAZENGE (2008)

Informatique Générale

Ce livre est organisé en quatre volets : dont le premier volet tente de démystifier le fonctionnement de l'ordinateur en soufflant au lecteur son architecture générale.

Deuxième volet décrypte un paquet de programmes spéciaux que nous expliquons du point de vue de l'utilisateur : que le système d'exploitation ; véritable chef d'archiste du fonctionnement de cette machine fascinante.

Troisième volet : concerne l'organisation d'un Centre de Traitement Informatique (CTI). Découvrir comment au fil du temps le CTI est amené à se concentrer sur l'administration système, réseau et base des données, pendant que le développement des applications tend à devenir un terrain de collaboration dirigé par les utilisateurs, les informaticiens offrant leur technicité.

Quatrième volet : tente de démêler la question de la maintenance des équipements et les rapports avec les sociétés de services.

Ouvrage

MBABULA (2017)

Pour vous chercheur, directives pour rédiger un travail scientifique suivi de recherche scientifique sur internet

La recherche scientifique et la présentation du fruit de cette recherche se font suivant des exigences de fond et de forme.

La méthode se conçoit, et la présentation s'apprend.

L'auteur a proposé à tous ceux qui ont à rédiger un travail scientifique et/ou à présenter publiquement sur un support papier ou autre, le fruit de leurs réflexions ou de leurs recherches dans un domaine quelconque.

Ouvrage

Eyralles(2003)

Bases de données

Ce livre présente une synthèse des principes et des techniques actuels en matière de base de données. Il traite des bases de données relationnelles et des bases de données objet. Ces paradigmes sont au coeur des systèmes d'information d'aujourd'hui.

Les bases de données jouent un rôle sans cesse croissant dans les systèmes d'informations d'entreprise, qu'il s'agisse d'applications de gestions traditionnelles (comptabilité ventes, décisionnel...) ou d'applications intranet, e-commerce ou de gestion de la relation client.

Ouvrage

ANGOT(1992)

Système d'information de l'entreprise.

L'apprentissage de l'informatique est souvent abordé sous l'angle de la technique de l'ordinateur ; or cette approche est à la fois réductrice et partiellement inexacte.

L'auteur présente le fonctionnement de l'entreprise au moyen de l'analyse des flux de la mécanique générale, il met en évidence le rôle majeur de l'informatique dans ce processus et aborde systématiquement de grands concepts de gestion qu'il relie les uns aux autres de manière logique et harmonieuse.

Ouvrage

Clouse (2008)

Algèbre Relationnelle. Guide pratique de conception d'une base de données relationnelle normalisée

Les évolutions technologiques ont permis, au fil des données, de rendre les systèmes de plus en plus performants et de plus en plus intuitifs à l'usage.

Ainsi, aujourd'hui, tout employé d'une entreprise utilise au moins une application informatique reposant sur une base de données. Les types de base de données ont aussi évolué pour répondre même aux besoins les plus pointus des utilisateurs comme une base de données objet, datawarehouse,... mais ces bases de données sont toutes des évolutions d'un seul type original : la base de données relationnelle.

Aujourd'hui, la base des données est devenue le support incontournable du système d'information d'une entreprise, car elle répond aux objectifs de qualité de l'information, de sécurité, de facilité de gestion pour les informations.

Ouvrage

DJUNGU (2013)

Outils et Langages du Web N.O

De nos jours, l'internet, réseau des réseaux, est devenu un facteur puisant d'échange de toute sorte de connaissances et un moyen simple pour la publicité de son entreprise à l'échelle du globe. Cette infrastructure met beaucoup des services à la disposition des internautes (e-mail, chat, forum de discussion, téléphonies sur ip, visioconférence,...) cependant, tous ces services reposent sur le web.

Dans cette bibliothèque virtuelle mondiale, nous y trouvons presque tout. Dès lors, il devient intéressant d'inviter un public aussi large que possible à comprendre les arcanes du web et d'apprendre non seulement à recevoir de l'information, mais aussi à participer, collaborer et publier sur cette plateforme.

L'objectif de ce livre est de susciter une forte participation des utilisateurs dans la conception des sites Web disposant des interfaces plus agréables, intelligentes et ergonomiques. Dès lors, il présente dans un style clair et très pédagogique les principales évolutions du web, ses outils et langages

Ouvrage

COHEN(2000)

Dictionnaire de gestion

Ce dictionnaire propose au lecteur trois possibilités complémentaires d'utilisation

. Il consiste tout simplement dans la consultation des 142 articles présentés dans l'ordre alphabétique. Elle permet de parcourir, au fil d'une lecture électrique les grands domaines de la gestion présentés ici de façon extensive sinon exhaustive

. Il fait appel à la consultation de l'index dont les entrées permettent une découverte plus analytique du contenu des articles. Grâce à près de 1000 entrées, le dictionnaire permet alors de vérifier ou de retrouver une définition, une formule de calcul, les analyses de bases relatives à l'entrée choisie.

. sur l'établissement d'un véritable programme de lecture qui permet la découverte méthodique des grands domaines de la gestion grâce à l'étude systématique de tous les articles relatifs à chacun de ces domaines. En se référant à la liste thématique des articles, le lecteur peut sélectionner des grappes cohérentes et utiliser ce dictionnaire comme un véritable ouvrage d'initiation à la gestion.

Ce dictionnaire ne se réduit ni à un lexique, ni à un aide-mémoire, ni à un répertoire de formulation technique. Pour chacun des thèmes abordés, il associe la présentation des développements opérationnels, la discussion de leurs conditions d'application et, plus encore, une interrogation sur le sens des concepts et des instruments proposés.

Ouvrage

Goetter

CSS 2 Pratique du design web

2e édition

Ce livre est né du constat d'un déséquilibre entre la vigueur de la communauté

francophone en matière de feuilles de styles CSS et la pauvreté de l'offre en

matière de documentation dans la langue de Molière. Il faut en général se contenter

de traductions d'articles et de quelques sites ou forums spécialisés dans le

domaine des standards et des feuilles de styles (vous trouverez en annexe une liste

de sites de référence). Aucun manuel original de conception web en CSS n'a

encore été publié, et les ouvrages des experts

Malgré plusieurs années d'existence, la conception de sites web à l'aide des

feuilles de styles CSS (Cascading Style Sheets) n'en est encore qu'à ses balbutiements.

En effet, certaines techniques anciennes - dont la fameuse mise en page à

l'aide de tableaux - reste encore solidement ancrée dans nos habitudes.

Mémoire

Ryan-placide LUHINZO NTUTANE

La problématique de gestion et de l'attribution des plaques d'immatriculations en République Démocratique du Congo : cas de la ville province de Kinshasa 2015.

Il dit que la plaque est l'image de l'Etat et elle permet à l'Etat de générer de recettes publiques, de quantifier et d'identifier tous les engins circulant sur le sol national, et-il conclu en disant que la plaque d'immatriculation en RDC demeure jusque-là difficile ou peut être négligée par les animateurs des institutions politiques et administratives.

Mémoire

NUMBI KASONGO Andy

Analyse et conception d'une application de gestion de vente de plaque d'immatriculation, ISC, 2014

. L'auteur avait comme problème, la lenteur dans l'exécution des tâches, la perte du temps, perte de certaines informations et dossiers. Et comme solution, il avait proposé de mettre au point un outil informatique de gestion de données en mettant sur pied un logiciel approprié à la gestion de vente des plaques d'immatriculation des automobiles.

Mémoire

KAPONGO MUTUILA Samuel

Conception et création d'un site web de livraison des plaques dans une institution publique ISC, 2015

Il a soulevé dans sa problématique que l'outil informatique est-il indispensable à la DPI pour résoudre les problèmes de gestion ? et quel moyen faut-il mettre en place pour atteindre un grand public ? En hypothèse il a proposé la création d'une application web qui serait la solution adéquate pour une extension de la clientèle en dehors de la ville de Lubumbashi. Ainsi, dans son travail il a tenté de prévoir le mode de paiement et il a prévu un mode de paiement pour arriver à l'entière satisfaction du client, en ce qui concerne le paiement dans son cas, il a opté pour Airtel-Money et M-Pesa qui sont les deux comptes beaucoup utilisés dans le milieu que nous sommes.

Thèse

Hinde ANOUAL

Détection et localisation de texte dans les images de scènes naturelles : Application à la détection des plaques d'immatriculation marocaines.Thèse de doctorat, Université Mohammed V-Agdal, 2012

L'auteur a dit que l'être humain peut reconnaître les objets sans faire de très grands efforts. Cependant, la reconnaissance d'objets dans les images représente une tâche très difficile dans la vision par ordinateur. La tâche de détection des plaque d'immatriculation des véhicules représente un grand défi des images de véhicule, à cause des différents formats des plaques, styles, la prise de vue et la variation des conditions d'éclairage lors de l'acquisition des images de véhicules. Il a proposé deux méthodes de détections de textes dans les images : la tâche de localisation basée sur la texture et la tâche de vérification du texte basée sur la caractéristique du gradient du texte présent dans l'image.Et comme méthode, il a utilisé l'approche par segmentation et regroupement spatial : ce sont des méthodes qui segmentent directement les images en des régions et qui regroupent les régions de caractères en des mots.

Comme approche, il a utilisé l'approche basée sur la texture et l'apprentissage des propriétés textuelles

1.3. LA PROBLEMATIQUE

Selon Luc Van et Raymond Quivy(2011), définit la problématique comme une approche théorique qu'on décide d'adapter pour traiter le problème posé par la question du départ, elle est une manière d'interroger les phénomènes étudiés.

Comme la recherche est naît toujours de l'existence d'un problème à résoudre ou à clarifier, nous nous sommes rendu compte à travers les échanges des paroles avec les personnels de la direction provinciale des impôts (DPI) que cette dernière se trouve confrontée à certains problèmes des gestions particulièrement dans la gestion du système d'attribution des plaques d'immatriculation dont lorsqu'il faut passer à la demande des plaques, les informations sont écrites manuellement et stockées dans des registres, avec ça on enregistre toujours les pertes de documents au moins trois par an vue la condition de travail des personnelles chargés à cette tâche. La lourdeur lors de l'enregistrement des opérations, redondance de données.

Et dont un grand nombre de véhicules circulent sans ou manque des plaques d'immatriculation, ce qui entraîne les difficultés d'identifiée certains véhicules. La tendance qu'à plusieurs institutions, entreprise et personnes ; celle de vouloir identifier leurs automobiles.

Dès nos jours, il est difficile de faire confiance aux plaques d'immatriculations attachés aux différents véhicules en circulation car elles ne procurent aucun gage de sécurité, elles sont récupérées sur les véhicules déclassés et remplacés aux véhicules en état de circuler, et ces phénomènes crée des difficultés pour identifier un véhicule enfuit après avoir causé des dégâts.

LA QUESTION DE RECHERCHE

Nous pouvons définir la problématique comme étant l'ensemble des questions essentielles qu'un chercheur se pose dans une recherche scientifique ou la problématique est l'ensemble des problèmes, de questionnement soulevé par l'objet d'étude

Le Larousse défini la problématique comme l'ensemble de questions qu'une science ou une philosophie se pose dans un domaine particulier.

Eu égard à ce qu'on a soulevé dans les phénomènes observés, nous nous posons les questions ci-après :

Ø Quel est le mécanisme à mettre en place pour améliorer la gestion informatisée d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles ?

Ø Comment pouvons-nous réorganiser le système de gestion des plaques d'immatriculations au sein de la DPI pour faire face aux difficultés rencontrées?

1.4. HYPOTHÈSE

Les hypothèses sont des réponses provisoires à la (ou aux) question(s) posé(s) dans la problématique.

L'Hypothèse est une idée directive, une tentative d'explication des faits formulés au début de la recherche destinée à guider l'investigation et à être abandonnée ou maintenue d'après les résultats de l'observation (Floribert Kitaba, Cours de Méthode de Recherche Scientifique, ISC, G2 Info ; 2016)

Nous, nous définissons l'hypothèse d'un travail scientifique comme l'ensemble des réponses anticipées ou provisoires à la question posée dans la problématique.

Après passation en revue du système de plaques d'immatriculations, nous suggérons les réponses ci-après :

Ø Pour améliorer le système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles, la conception et gestion d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations serait un mécanisme idéal pour pallier aux difficultés qu'à la gestion des plaques d'immatriculations à la DPI/Haut-Katanga ; ainsi que la création d'une base de données qui contiendrait toutes les informations nécessaires, serait garantie par le logiciel que nous mettrons au point.

Ø En élaborant un système informatique de gestion d'attribution des plaques d'immatriculations, nous pourrions réorganiser le système de gestion des plaques d'immatriculation des automobiles au sein de la DPI/Haut Katanga.

Ces réponses sontprovisoires et elles sont à infirmer ou à confirmer à la fin du travail après avoir fait l'analyse.

1.5. L'OBJECTIF POURSUIVI

En s'appuyant sur l'analyse de cas des plaques d'immatriculations des automobiles (étude de cas), l'objectif principal de notre étude ou nous avons pour but de comprendre les difficultés de modèle de la tenue de la gestion des plaques et décrire le système relatif à l'informatisation des plaques d'immatriculation des automobiles à la DPI et proposés une piste de solution qui sera peut-être utilisable dans les jours qui suivent.

1.6. METHODOLOGIE DE RECHERCHE

1.6.1. LES MÉTHODES ET TECHNIQUE DE COLLECTE DES DONNÉES

A. LES MÉTHODES DE COLLECTE DES DONNÉES

Selon Lwimba(1970), la méthode est définie comme l'ensemble d'opérations intellectuelles par les quelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontrer et les vérifier.

La méthode est une démarche scientifique qui consiste à analyser les données, à les comprendre, les sélectionner et à les interpréter en vue d'atteindre les objectifs fixés.C'est aussi l'ensemble de modèles, règles ou opérations conduisant un problème à une solution concrète.

Il existe plusieurs méthodes de collecte de données, mais nous avons choisi :

- Méthode analytique : cette méthode nous a permis de comprendre les fonctionnements du système existant.

- Méthode Structurale : quant à elle, elle nous a permis de voir les éléments en étagement, superposés les uns les autres au sein de l'entreprise. C'est une méthode qui consiste également à considérer les éléments dans une totalité parfois en conflit dont la solution ne proviendrait pas de l'extérieur.

- Méthode fonctionnelle : elle nous a permis de connaitre,d'analyser la structure et le fonctionnement de l'entreprise en question

B. LES TECHNIQUES DE COLLECTE DES DONNEES

Les techniques sont les moyens aux quels un chercheur fait recours pour récolter les données nécessaires à l'élaboration d'un travail scientifique. Nous avions utilisés comme techniques :

- La Technique Documentaire : elle nous as permis de récolter certaines données nécessaires pour élaborer ce présent travail. Cette technique procède par la consultation des ouvrages, des travaux de fin de cycles, des notes de cours, des livres et autre documents en rapport avec notre domaine d'étude.

- La Technique d'Interview : quant à elle, elle nous a permis d'être tête à tête avec l'enquêté pour lui poser des questions en vue de recueillir des informations relatives à notre sujet de recherche.

- La technique d'Observation Directe (participation) : quant à elle, elle nous a permis de nous rendre compte de la situation actuelle de l'entreprise. Et lorsque nous étions descendus sur terrain pour nous entretenir avec les différents agents de la DPI, nous avions vu la manière dont les informations sont traitées dans le domaine de la ténu des plaques.

- La technique par questionnement : cette technique nous a permis aussi de récolter les informations par la suite des questions déposées à la direction technique.

C. LES MÉTHODES ET TECHNIQUE D'ANALYSE DES DONNÉES

Pour l'élaboration de ce présent travail, nous avions opté le choix sur la méthode analytique et descriptive, en l'occurrence de la méthode UP (Unified Process). Elle est une méthode générique de développement des logiciels. Générique veut dire qu'il est nécessaire d'adapter UP au contexte du projet, de l'équipe, du domaine et de l'organisation.

Le Processus Unifié est un processus de développement moderne, itératif, efficace sur des projets informatiques de toutes tailles. Très complet, il couvre l'ensemble des activités, depuis la conception du projet jusqu'à l'évolution d'un système existant. (Ruphin NYAMI, cours de conception du système d'information, ISC, 2019, P26).

Le processus unifié (UP, pour Unified process) est un processus de développement logiciel « itératif et incrémental, centré sur l'architecture, conduit par les cas d'utilisation et piloté par les risques »

· Itératif et incrémental : le projet est découpé en itérations de courte durées (environ 1 mois) qui aident à mieux suivre l'avancement global. A la fin de chaque itération, une partie exécutable du système final est produite, de façon incrémentale.

· Centré sur l'architecture : tout système complexe doit être décomposé en parties modulaires afin de garantir une maintenance et une évolution facilitées. Cette architecture (fonctionnelle, logique, matérielle, etc...) doit être modélisée en UML et pas seulement documentée en texte.

· Piloté par les risques : les risques majeurs du projet doivent être identifiés au plus tôt, mais surtout levés le plus rapidement possible. Les mesures à prendre dans ce cadre déterminant l'ordre des itérations.

· Conduit par les cas d'utilisation : le projet est mené en tenant compte des besoins et des exigences des utilisateurs. Les cas d'utilisation du futur système sont identifiés, décrits avec précision et priorisés).

UP fait recours au langagede modélisation des aspects logiciels et métiers qu'on appelle UML.

UML (Unified Modeling Language) dont la traduction en français est le (Langage de Modélisation Unifié), qui permet de communiquer avec certains concepts et avec plus des clartés que d'autres outils de modélisation

UML est un langage pour spécifier, visualiser, construire et documenter les artefacts des systèmes logiciels, ainsi que pour la modélisation d'entreprises et des systèmes non logiciel

C'est un langage de modélisation graphique à base de pictogrammes conçu pour fournir une méthode normalisée pour visualiser la conception d'un système. Il est couramment utilisé en développement logiciel et en conception orientée objet (Ruphin NYAMI, cours de conception du système d'information, ISC, 2019, P22).

UML est une méthode de modélisation objet issue de la fusion des méthodes BOOCH, OMT et OOSE. Principalement issu des travaux de Grady Booch, James Rumbaugh et Ivar Jacobson, UML était créée pour faire face à la complexité croissante des systèmes d'informations dont la principale avancée résidait dans la programmation orientée objet

UML est à présent un standard adopté par l'OMG (Object Management Group) qui a eu comme objectif de définir une notion standard utilisable dans le développement des applications informatiques basées sur l'objet.

UML se décompose en plusieurs parties dont :

a) Les vues : ce sont les observables du système. Elles décrivent le système d'un point de vue donné, qui peut être organisationnel, dynamique, temporel, logique,... En combinant toutes ces vues, il est possible de définir le système complet. Nous avons :

- Vue des cas d'utilisation (use-case view) : c'est la description du modèle vu par les acteurs du système ; elle correspond aux besoins attendus par chaque acteur (c'est le quoi et le qui).

- Vue logique (logical view) : c'est la définition du système vu de l'intérieur. Elle explique comment peuvent être satisfaits les besoins des acteurs (c'est le comment)

- Vue d'implémentation (implementation view) : cette vue définit les dépendances entre les modules.

- Vue des processus (process view) : c'est la vue temporelle et technique, qui met en oeuvre les notions de tâches concurrentes.

- Vue de déploiement (deployement view) : quant à elle, elle décrive la position géographique et l'architecture physique de chaque élément du système (c'est le où).

b) Les diagrammes : ce sont des ensembles d'éléments graphiques. Ils décrivent le contenu des vues, qui sont des notions abstraites. Ils peuvent faire partie de plusieurs vues.

Les diagrammes sont dépendants hiérarchiquement et se complètent, de façon à permettre la modélisation d'un projet tout au long de son cycle de vie. Il existe quatorze depuis UML 2.3.

- Diagrammes de structures ou diagrammes statiques, on y trouve :

· Diagramme de classes : représentation des classes intervenant dans le système.

· Diagramme d'objets: représentation des instances de classe (objets) utilisées dans le système

· Diagramme de composants: représentation des composants du système d'un point de vue physique, tels qu'il sont mis en oeuvre.

· Diagramme de déploiement : représentation des éléments matériels (ordinateurs, périphérique,...) et la manière dont les composants du système sont répartis sur ces éléments matériels et interagissent entre eux.

· Diagramme des paquets : représentation des dépendances entre les paquets (un paquet étant un conteneur logique permettant de regrouper et d'organiser les éléments dans le modèle UML), c'est-à-dire entre les ensembles de définitions.

· Diagramme de structure composite : représentation sous forme de boîte blanche les relations entre composants d'une classe

· Diagramme de profils : spécialisation et personnalisation pour un domaine particulier d'un meta-modèle de référence.

- Diagramme de comportement et dynamique

· Diagramme de cas d'utilisation : représentation des possibilités d'interaction entre le système et les acteurs.

· Diagramme états-transition : représentation sous forme de machine à état fini le comportement du système ou de ses composants.

· Diagramme d'activité : représentation sou forme de flux ou d'enchaînement d'activités

· Diagramme de séquence : représentation de façon séquentielle du déroulement des traitements et des interactions entre les éléments du système et ou de ses acteurs

· Diagramme de communication : représentation de façon simplifiée d'un diagramme de séquence se concentrant sur les échanges de messages entre les objets

· Diagramme global d'interaction : représentation des enchaînements possibles entre les scénarios préalablement identifiés sous forme de diagrammes de séquences

· Diagramme de temps : représentation des variations d'une donnée au cours du temps

c) Les modèles d'éléments : ce sont les éléments graphiques des diagrammes. Ces éléments s'appliquent à tous les diagrammes ci-haut :

- Un stéréotype est une marque de généralisation notée par des guillemets, cela montre que l'objet est une variété d'un modèle

- Un classeur est une annotation qui permet de regrouper des unités ayant le même comportement ou structure. Un classeur se présente par un rectangle conteneur, en traits pleins

- Un paquet regroupe des diagrammes ou des unités

- Chaque classe ou objet se définit précisément avec le signe « :: ». ainsi l'identification d'une classe X en dehors de son paquet ou de son classeur sera définie par « Paquet A::Classeur  B::Classe X ».

1.7. LA JUSTIFICATION DE LA RECHERCHE

Il convient d'évoquer les raisons qui nous ont poussés à mener cette étude et l'intérêt qu'elle présente.

1.7.1. Choix du sujet

Le choix d'un sujet de recherche scientifique n'est pas un fait du hasard, car le choix doit être nécessairement la conséquence de ce que le chercheur envisage étaler comme projet, et il y a toujours un fait qui pousse le scientifique à opter pour tel ou tel sujet selon les objectifs poursuivis par ce dernier.

Le choix de ce sujet a été motivé par la façon dont on gère le système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles à la direction provinciale des impôts.

Voyant que certains véhicules circulent sans plaques ; cela a suscité en nous cette envie de pouvoir apporter notre contribution à la direction provinciale des impôts dans le domaine de la gestion te la conception d'un système d'attribution des plaques des automobiles.

1.7.2. Intérêt du sujet

L'expression de notre intérêt sur la conception d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation se formule sur trois plans :

a) Motivation personnel : ce sujet nous a donné l'opportunité favorable d'approfondir nos connaissances acquises tout au long de notre cursus d'étude et sur tout sur notre parcours académique

Ensuite cette recherche nous a permis d'approfondir d'avantage notre domaine scientifique (informatique) car ce sujet que nous avionsabordé, est une pierre de plus sur notre fondation scientifique.

b) Motivation scientifique : non seulement ce sujet nous édifie, mais il constitue également un apport dans l'arsenal scientifique, car le règlement académique exige qu'un étudiant finaliste de premier ou deuxième cycle puisse élaborer un travail scientifique pour approfondir les théories apprises à la pratique dans le milieu professionnel

En plus, notre sujet pourra apporter à d'autres chercheurs une aide qu'ils pourrons s'en servir pour orienter leurs enquêtes liées à l'analyse de ce problème en rapport avec la conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles, car nous ne sommes pas le premier ni le dernier à affronter ce sujet.

c) Motivation managériale : à ce stade, nous contribuerons à travers ce sujet à étaler un document contenant des proposition ou pistes de solutions bien structurés, fiables et précis dans la conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles.

Signalons que notre travail aboutira à la conception d'un système informatique qui pourra gérer les plaques d'immatriculation des automobiles de notre ville de Lubumbashi.

1.8. DELIMITATION DE L'ETUDE

Il s'agit de représenter la délimitation dans le temps et dans l'espace.

a) Dans l'espace : tout chercheur avisé se fixe les limites d'investigation

C'est ainsi que nos investigations à nous se limiteront sur la ténue de la conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation des automobiles.

Et cette étude sera focalisée à la Direction Provinciale des Impôts/Haut- Katanga DPI en sigle.

b) Dans le temps : les données que nous comptons analysées vont partir d'une période de quatre ans c'est-à-dire de l'année 2015 à l'année 2018

1.9. LA STRUCTURE DU MEMOIRE

Hormis l'introduction générale et la conclusion générale, notre travail s'articulera autour de quatre (4) grands chapitres à savoir :

Ø Chapitre I INTRODUCTION GENERALE : ce chapitre parlera du phénomène observé, de la revue de littérature, la problématique, l'hypothèse, l'objectif poursuivi, la méthodologie de recherche ainsi que la justification de la recherche.

Ø Chapitre II CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE : Ici nous essaierons de définir quelques concepts de base ainsi que les concepts théoriques.

Ø CHAPITRE III CADRE EMPIRIQUE : quant à ce chapitre, il parlera de notre champ d'investigation de sa présentation, sa vision, mission, valeur, objectif ainsi que sa structure organisationnelle et son organigramme.

Ø Chapitre IV RESULTATS DE L'ETUDE : Ce chapitre traitera sur l'Analyse de l'existant (du domaine) tout en utilisant la méthode UP et le langage UML comme méthodes dans ce travail. Ici nous ferons aussi le choix du langage de programmation et de la base de données, tout en présentant les interfaces et quelques codes.

CHAPITRE 2. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE

Et dans ce chapitre, nous essaierons de définir les concepts de base et quelques concepts informatiques qui seront utilisés dans ce travail.

2.1. DÉFINITION DES CONCEPTS OPÉRATOIRES

Etant donné que chaque sujet d'étude est composé au moins des mots clés ou concepts de base, nous nous sommes mis au travail pour définir tous les concepts de base qui cadrent avec notre sujet de recherche.

Ce point consiste à définir les concepts ou mot clés qui constituent notre sujet :

1. Conception : c'est une façon de concevoir, de comprendre, d'imaginer, de prévoir ou de mettre sur pied quelque chose.

2. Réalisation : c'est la mise en oeuvre concrète d'un programme ou d'une application

3. Système : Est un ensemble d'éléments matériels et immatériels qui sont en intégration et qui, par un processus interne transforme certains éléments en d'autres éléments.

4. Attribution : action d'attribuer, le fait de donner quelque chose ou la procédure pour attribuer un marché à l'un des concurrents

5. Plaque : lame ou feuille plus mois épaisse, de métal, de verre, de marbre

6. Immatriculation : action d'immatriculer, action de donner un numéro affecté sur le registre d'immatriculation d'une personne, d'un animal ou d'une chose

7. Automobile : tout en engin roulant à moteur (véhicule, moto,...)

2.2. THEORIES EXPLICATIVES

· Informatique : C'est un domaine ou une science du traitement automatique et rationnel de l'information

· Information : Est une donnée interprétée ou traitée, ou c'est une source de connaissance, d'informations sur un sujet donné, susceptible d'être représenté afin d'être conservé, traité et communiqué

· Donnée : C'est une information abstraite, une représentation d'un élément d'information codé dans un format permettant son stockage et son traitement par un ordinateur

· Ordinateur : Machine électronique qui traite les informations automatiquement et manipule des données sous forme de binaires, donc sous forme de bits

· Système : Est un ensemble d'éléments matériels et immatériels qui sont en intégration et qui, par un processus interne transforme certains éléments en d'autres éléments

Nous avons trois types de systèmes :

a) Système d'Information : C'est l'ensemble d'éléments ou ressources personnels (matériels, logiciels) permettant d'acquérir, traiter, sauvegarder est communiquer des informations

b) Système Informatique : N'est qu'un sous ensemble du système d'information

Madeline Chantal (2006), le SI est l'ensemble des moyens informatiques (matériels et logiciels) mis en oeuvre, en vue d'une application spécifiée ou d'un ensemble d'application. Il s'intéresse aux informations collectives qui concernent un ensemble d'entités important.

c) Système d'Exploitation (noté OS en Anglais et SE en Français) : Est chargé d'assurer la liaison entre les ressources matérielles, l'utilisateur et les applications

· Modèle : C'est une représentation abstraite d'une réalité ou entité du modèle réel en vue de les décrire de l'expliquer ou de le prévoir

· Modélisation : C'est une étape indispensable d'assumer un bon niveau de qualité et maintenance efficace

· Programme : C'est une suite d'instructions qui permettent de résoudre un problème et qui sont traduites dans un langage de programmation

· Programmation : C'est l'ensemble d'activités liées à la définition, l'écriture et à l'exécution des programmes

· Langage de Programmation : C'est l'ensemble de caractères, des symboles, des règles ou c'est une série d'instruction pouvant être interprétées et exécutées par un ordinateur donc c'est un système d'instructions et de règles syntaxique servant à la programmation informatique

· Langage informatique : c'est un langage destiné à décrire l'ensemble des actions consécutives qu'un ordinateur doit exécuter. Il permet aux humains de donner les instructions à un ordinateur.

· Application : Désigne un programme informatique qui s'ouvre sur l'ordinateur pour vous donner accès à une série de fonctionnalités autour d'un objectif. C'est un résultat des plusieurs étapes d'une méthode informatique. C'est l'ensemble d'algorithmes traduit en code source dans un langage de programmation en vue d'exécuter une ou plusieurs tâches.

· Les SGBD (Système de Gestion des Bases de Données) : Sont des programmes qui se chargent du stockage des données

· Base de Données : Est un gros ensemble d'informations structurées mémorisées sur un support local, souvent agencés sous forme des tables dans lesquels les données sont organisées selon certains critères en vue de permettre leurs exploitations pour répondre aux besoins d'informations.

· Analyse : L'ensemble d'études, des opérations que l'on fait pour aboutir à la mise au point d'un programme

· Logiciel : est un ensemble typiquement composé de plusieurs programmes, ainsi que tout le nécessaire pour le rendre opérationnels.

Un logiciel est l'ensemble des programmes plus la documentation.

· MYSQL : est un SGBD fonctionnant sous un système d'exploitation comme Linux et Windows

v Définition du concept dû à UML.

· UML : (Unified Modeling Language) dont la traduction en français est le (Langage de Modélisation Unifié), qui permet de communiquer avec certain concepts et avec plus des clartés que d'autres outils de modélisation. UML est un langage pour spécifier, visualiser, construire et documenter les artefacts des systèmes logiciels, ainsi que pour la modélisation d'entreprise et des systèmes non logiciel

· Rôle : un rôle définit le comportement et les responsabilités d'une ressource ou d'un groupe de ressources travaillant en équipe

· Activité : c'est une unité de travail qu'une ressource, dans un rôle bien précis, peut effectuer et qui produit un résultat dans le cadre du projet. L'activité a un but clairement établie, généralement exprimée en termes de création ou de mise à jour d'artefact, comme un modèle, une classe ou un planning.

· Processus : est un enchaînement partiellement ordonné d'exécution d'activité qui, à l'aide de moyens techniques et humains, transforme des éléments d'entrée en éléments de sortie en vue de réaliser un objectif dans le cadre d'une stratégie donnée.

· Artefact : c'est un ensemble d'informations qui est produit, modifié ou utilisé par le processus. Les artefacts sont les produits effectifs du projet, ils sont utilisés comme input par les ressources pour effectuer une activité et sont le résultat d'output d'activités du processus.

· Workflows : une énumération de tous les rôles. Le workflow est une séquence d'activité qui produit un résultat mesurable.

· BPM : Business Process Management, est une discipline qui consiste à considérer la gestion des processus comme un moyen d'améliorer la performance opérationnelle.

· BPMN : Business Process Model and Notation est l'ensemble de convention graviques permettant de représenter les processus métier sous forme de modèle.

· Acteur : correspond à une entité (humaine ou non humaine) qui aura une interaction avec le système, un rôle à jouer dans le système.

· Classe : une représentation abstraite d'un ensemble d'objet ayant des caractéristiques communes

· Objet : occurrences, un élément concret retrouvé dans le monde réel.

· Comportement : ensemble des actions, méthode ou opération

· Propriété : un attribut d'une classe doit réalisées

· Méthode : action que la classe doit réalisée

· Attribut : un attribut est une propreté élémentaire d'une classe. Pour chaque objet d'une classe, l'attribut prend une valeur.

CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE

3.1. LA PRÉSENTATION DU CHAMPS EMPIRIQUE : DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS (D.P.I)

La DPI est une organisation d'Etat adoptant la forme d'une société privée à responsabilité limitée (SPRL en sigle) mais qu'il n'est pas. L'institution travaille sous l'influence du gouvernement provinciale. Elle assure aussi les besoins de mobilité de la population du Haut-Katanga, en offrant un réseau de distribution des plaques dans l'étendu de la province.

3.1.2. Aperçu historique

La DGI est un service placé sur le plan technique sous l'autorité du ministre des finances et sous l'autorité du ministre de la fonction publique.

Des 1969-1988, la DGI n'avait qu'à son sien neuf direction dans différentes provinces qui déradaient du ministre de fiances, jadis ces directions n'avaient aucune autonomie administrative et financière, elle était constitué de quatre divisions au niveau central dont et une division provinciale dans chaque provinciale du pays dont :

- Direction de taxation et documentation

- Direction de recouvrement

- Direction du contrôle fiscale et

- La division du contentieux et de centre de vérification

Ces divisions correspondant dans chaque province du pays des bureaux. Le législateur jugera que cette structure n'était pas efficace en vue de maximiser les recettes de l'Etat. C'est sur l'ordonnance présidentielle N°088-039 du 10 Mars 1988 qu'il fut créé un service public dénommé Direction générale de contribution, DGC en sigle. Ce service est une autonomie et administration ayant pour attribution la gestion de toutes les missions d'assiette et de recouvrement d'impôts sur toute l'étendue du pays afin de pouvoir maximiser les recettes fiscale.

La période du 02/03/2003 jusqu'à nos jours, par le biais du décret-loi N°017/2003 tel que modifier et complété par le décret 011/43 du 28/11/2011, la DGI venait d'être crée comme un service déconcentré du ministère de finance doté d'une autonomie financière et administrative en vue de répondre à une plus grande efficacité dans l'exercice de la mobilisation des recettes fiscales suivant l'esprit de son articles 1èr qui stipule notamment ce qui suit :

- Il est créé au sein du ministère ayant les finances dans ses attributions un service doté d'une autonomie administrative et financière dénommé Direction Générale des Impôts (DGI en sigle).

- Lequel a pour attribution dans le cadre de loi et règlement en vigueur, toutes les émissions et prérogative en matière fiscale, notamment cette concernant l'assiettée recouvrement et le contentieux des impôts, taxe redevable et prélèvement à caractère fiscale.

Finalement, la DPI, bien que placée sous le fonctionnement et la motivation de son personnel d'une allocation budgétaire au moi égale à 50% de sept assignes que celle de 40% de pénalité recouvrées pour ses dépense d'investissement.

Elle bénéficie, en outre de crédit budgétaire qui lui est alloue à cet effet, plus aussi quantité de 10% de pénalité recouvrée pour ses dépensées d'investigation.

Au niveau de la province du Haut-Katanga, il existe la DPI qui a la même rôle et attribution que celui de la DGI au niveau du gouvernement central-Kinshasa.

Adresse :La Direction Provinciale des impôts/Haut-Katanga est située au BP. 1274 Lubumbashi, sur l'avenue Sedwe/Tabora en face de BSRC dans la commune de Lubumbashi

3.2.2. VISION, MISSION, VALEURS ET OBJECTIFS DU DIRECTION PROVINCIALE DES IMPOTS (D.P.I)

a) Vision

Comme toute administration fiscale, la DGI vise 4 point à savoir :

ü La liquidation de l'impôt qui est la détermination du montant qu'un contribuable doit payer,

ü Le recouvrement qui est un transfert des fonds de la poche de la contribution vers le trésor public

ü La direction générale des impôts s'occupe de fiscalité et de la perception des impôts constituant une source des recettes de l'Etat. Elle tient encore à l'élargissement de l'assiette fiscale par le suivi des contributions

ü La DGI vise aussi à l'immatriculation des automobiles

b) Mission

La DPI a pour mission :

ü La DPI étant un service public doté d'une autonomie administrative, il est cependant sous tutelle du ministère de finance et budget ; ce service s'occupe de la gestion et de la perception d'impôts

ü La DPI exerce aussi dans la loi et le règlement toutes les missions et les prérogatives en matière fiscale, en l'occurrence celles relatives à l'assiette, au contrôle, au recouvrement et aux contentieux des impôts, taxes redevances et prélèvement à caractère fiscale.

ü A cet effet, la DGI est chargée d'étudier et de soumettre à l'autorité compétente les projets a des lois, de décrets et d'arrêtes en lav matières.

ü La DGI doit être consultée pour toutes les conventions à incidence fiscale ou tout agrément d'un projet d'investissement à un régime dérogatoire.

ü Elle exerce également ses compétences de manière exclusive sur toute l'étendue du territoire national.

ü Faire voyager les clients d'une ville à une autre

ü Effectuer le transfert des colis dans les mêmes villes à travers le pays

c) Valeur

La perception d'impôts constituant une source des recettes de l'Etat et la satisfaction des clients dans le domaine d'immatriculation, tel est sa valeur.

d) Objectif

Mobiliser les recettes fiscales (impôt) relevant du pouvoir central ou gouvernement central. Elle peut être aussi consultée par le gouvernement avant de rectifier.

La DGI peut recouvrer les factures du gouvernement et cela de la même manière qu'on recouvre les impôts.

3.2.3. STRUCTURE DE LA DPI

La direction provinciale des impôts fonctionne de la manière suit :

0. Directeur Provinciale : chapote et assure la survie de l'entreprise au niveau de la province

1. Secrétaire de la direction : il assure la gestion au quotidien de la direction du point de vue technique et
administratif

2. Inspecteur Provinciale : il fait l'inspection et le contrôle de la direction des impôts

3. Administrateur gestionnaire GRH: s'occupe du suivi de l'administration et des finances
de la DPI.

4. Bureau gestion, Paie et Formation : ces bureaux s'occupent de la gestion, la paie et la formation des tous les employés de cette entreprise.

5. Cellule Personnelle, Paie et Formation : quant aux cellules, elles font exactement ce que les bureaux cités ci-haut leur demande de faire en matière de formation, paie et gestion des agents travailleurs au sein de la DPI

6. Chef de Division des Affaires Sociales : il s'occupe des affaires du personnel, le voyage, sport et loisir de l'entreprise

7. Division de la gestion budgétaire et Service généraux : elle s'occupe des dépenses budgétaires, de la gestion des meubles et immeubles ainsi que de la fourniture des différents bureaux

8. Division de l'Informatique : elle fait la suivie des applications et de la maintenance des tous les ordinateurs

3.2.4. Figure 1

BUREAU BUDGET DE DEPENSE

BUREAU GESTION MEUBLE ET IMMEUBLE

BUREAU MAT. CHARIOT ET EXPLOITATION

BUREAU FOUR. ET IMPD

DIRECTION PROVINCIALE

SECRETARIAT DE LA DIRECTION

INSPECTION PROV. DE SERVICE

DIVISION DES RESSOURCES H.

SECRETARIAT DE L'INSPECTION

SECRETARIAT DE LA DIVISION

BUREAU GESTION

BUREAU PAIE

BUREAU FORMATION

CELLULE PERSONNELLE

CELLULE PAIE

CELLULE FORMATION

DIVISION DES AFF. SOCIALE BUREAU CD

SECRETAIRE DE DIRECTION

BUREAU AFFAIRES

DIVISION DE LA GEST. BUDGETAIRE ET SERVICES GENERAUX

BUREAU RP VOYAGE ET SPORT ET LOISIR

SECRETAIRE DE LA DIVISION

DIVISION INFORMATIQUE

BUREAU MAINTENANCE

BUREAUSUIVI DES APPLICATION

SECRETARIAT DE LA DIVISION

. ORGANIGRAMME

Source : Direction Provinciale des Impôts

CHAPITRE 4. RÉSULTATS DE L'ÉTUDE

4.1. LA SITUATION ACTUELLE DE LA D.G.I

La DGI est sous tutelle du ministère de finance et budget. C'est donc un service public (de l'Etat.

Elle comprend :

A. Au niveau de Kinshasa

1. Direction des impôts (Bureau du DG et DGA)

2. Inspection générale de service (IGS)

3. Direction de ressources humaines (DRH)

4. Direction de gestion budgétaire et service général

5. Direction de l'informatique

6. Direction des études de la législation et du contentieux

7. Direction de taxation et documentation

8. Direction du contrôle fiscal

9. Direction de recouvrement

10. Direction opérationnelle des grandes entreprises

11. Deux directions urbaines opérationnelles, Kinshasa Est et Ouest

B. Au niveau de la province

1. Direction provinciale des impôts (DPI) bureau de directeur provincial

2. L'inspection provinciale de services

3. Direction de ressources humaines et service général

4. Direction de l'informatique

5. Division de taxation et documentation

6. Division de recouvrement

7. Division de contentieux

C. Au niveau de district

L'appellation devient en centre des impôts de type A

1. Centre des impôts de la ville de Lubumbashi

2. Centre des impôts fiscaux du Haut-Katanga

3. Centre des impôts fiscaux de Kolwezi

4. Centre des impôts fiscaux du Haut-Lomami

5. Centre des impôts fiscaux du Tanganyika

6. Centre des impôts fiscaux de Lualaba

7. Centre des impôts fiscaux de Likasi.

Centre des impôts de Kaniama

1. Centre des impôts de Kamina

2. Centre des impôts de Likasi

3. Centre des impôts de Moba et Kabongo

Il est utile de remarquer qu'au niveau du centre des impôts de la commune de Lubumbashi, la dénomination devienne en bureau de cellule qui présente ces centres des impôts.

Dans ce centre des impôts de Lubumbashi, nous avons :

ü Le quartier Makutano

ü Le quartier fiscal Mampala

ü Le quartier fiscal Lumumba

ü Le quartier fiscal Golf.

Lorsqu'on parle de centre des impôts du type A et B, on voit ici l'importance de la situation géographique et capacité de réalisation des recettes en rapport avec le contrôle programme et assigne à chaque type de centre des impôts. Ceux du type A par exemple, sont agrée par un chef de bureau présent, en attendant la nouvelle structure. Le centre des impôts de type A et B sont appelés provisionnement « centre des impôts synthétique » C.I.S en sigle.

4.2. PHASE D'ANALYSE

A. ANALYSE DE BESOINS

C'est la partie principale de notre analyse. Elle est composée des cas d'utilisation. On y décrit le contexte, les acteurs ou utilisateurs du logiciel, les fonctionnalités du logiciel mais aussi les interactions entre ces acteurs et ces fonctionnalités. Dans cette partie nous allons utiliser différentes Diagrammes en commençant par les besoins fonctionnels et non fonctionnels.

a) Les besoins fonctionnels

Les besoins fonctionnels ou besoin métiers représentent les actions que le système doit exécuter, il ne devient opérationnel que s'il satisfait les utilisateurs. Cette application doit couvrir principalement les besoins fonctionnels suivants :

· La demande d'immatriculation des véhicules cette activité permet d'identifier tous les véhicules qui circulent dans le territoire national en général et dans la province en particulier.

· Déclaration douane, avant de livrer un numéro d'immatriculation d'un véhicule, la cellule d'immatriculation doit vérifier la conformité de document en possession du propriétaire.

· Payer frais, pour livrer un numéro d'immatriculation à un véhicule, il faut d'abord identifier le propriétaire, l'obligé de payer le frais d'immatriculation

b) Les besoins non fonctionnels

Ce sont des exigences qui ne concernent pas spécifiquement le comportement du système ; mais plutôt identifient des contraintes internes et externes du système. Les principaux besoins non fonctionnels de notre application ce résument dans les points suivants :

· Le code doit être clair pour permettre des futures évolutions ou améliorations ;

· L'ergonomie : l'application offre une interface conviviale et facile à utiliser ;

· La sécurité : l'application doit respecter la confidentialité des données ;

· Garantir l'intégrité et la cohérence des données à chaque mise à jour et à chaque insertion.

B. Identification et présentation des besoins

1. Présentation du projet à réaliser

a) Résultats attendus

Notre souhait est que l'application se déroule convenablement, de conserver ces fonctionnalités dans l'application, et d'améliorer s'il est possible les performances du système ainsi que les bases des données existantes.

b) Architecture de l'application

Dans les phases préliminaires du développement d'une application ou de la refonte d'un système d'information, la définition de l'architecture technique consiste à faire les choix de technologies et d'organisation de composants logiciels les plus adaptés aux besoins et aux contraintes de l'organisation d'octroi d'immatriculation.

c) Présentation de l'architecture à 2 niveaux

L'architecture à deux niveaux (aussi appelée architecture 2-tiers, tiers signifiant étages en anglais) caractérise les systèmes clients/serveurs dans lesquels le client demande une ressource et le serveur la lui fournit directement. Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de fournir le service.

d) Présentation de l'architecture à 3 niveaux

Dans l'architecture à 3 niveaux (appelées architecture 3-tiers), il existe un niveau intermédiaire, c'est-à-dire que l'on a généralement une architecture partagée entre:

1. Le client: le demandeur de ressources

2. Le serveur d'application (appelé aussi middleware): le serveur chargé de fournir la ressource mais faisant appel à un autre serveur

e)Le serveur secondaire (généralement un serveur de base de données), fournissant un service au premier serveur.

Tout système d'information nécessite la réalisation de trois groupes de fonctions: le stockage des données, la logique applicative et la présentation. Ces trois parties sont indépendantes les unes des autres: on peut ainsi vouloir modifier la présentation sans modifier la logique applicative. La conception de chaque partie doit également être indépendante, toutefois la conception de la couche la plus basse est utilisée dans la couche d'au-dessus. Ainsi la conception de la logique applicative se base sur le modèle de données, alors que la conception de la présentation dépend de la logique applicative.

2. Recensement des besoins

Id

Etant que

Priorité

Poids d'estimation

Couleur

1

Cellule d'immatriculation ; je dois ajouter un propriétaire

S

10

Grise

2

Je dois affecter un ou plusieurs véhicules à un propriétaire

M

15

Bleu

3

Identifier tous les véhicules sur le territoire national

S

10

Grise

4

Je dois rechercher, modifier, supprimer les informations

C

25

Bleu

5

Supprimer un numéro d'immatriculation qui n'est pas en circulation

W

10

Bleu

6

Bureau informatique, je dois revoir l'historique d'octroi d'immatriculation

S

5

Bleu

7

Je dois ajouter, modifier, supprimer, annuler et rechercher les immatriculations

C

10

Grise

8

Propriétaire, je dois avoir l'immatriculation de mon véhicule

W

5

Bleu

9

m'aider à la recherche du véhicule au cas où ce dernier est volé

S

10

Bleu

Le tableau de Recensement des besoins des acteurs est dit aussi tableau d'avancement d'un projet, il permet à tous les acteurs du projet d'exprimer leur besoins pour la future application qui sera conçu.

La colonne priorité représente l'importance du besoin par rapport aux attentes des utilisateurs. Les fortes priorités doivent être développées en première position ; mais la priorité peut changer. Pour prioriser les besoins des mutilateurs, il y a une méthode de priorisation appelée MSCW.

· M : master hase this: sont des besoins qui doivent être fait (les besoins vital de l'organisation).

· S : schould hase at all possible: les besoins qui devraient être fait dans la mesure du possible (besoins essentiels).

· C : could hase this if it does not affect anything else : les besoins qui pourraient être fait dans la mesure où cela n'a pas d'impact sur les autres taches (confort).

· W : won't hase this time but wald ikein the feature : les besoins qui ne seront pas fait cette fois mais seront fait plus tard.

Le poids représente la charge d'un travail ou la concertation que doit faire les agents pour terminer une tache. Mais celui qui a une forte priorité n'a pas toujours un grand poids.

Chaque acteur donne aussi son point de vue sur la couleur des formulaires de l'application et cela en tenant compte de l'agronomie ou les comportements de l'application face à l'utilisateur.

D. Identification des acteurs

Un acteur représente un rôle joué par une personne qui interagit avec le système.

Par définition, les acteurs sont à l'extérieur du système.Les acteurs se recrutent parmi les utilisateurs du système et aussi parmi les responsables de sa configuration et de sa maintenance. D'où, les acteurs potentiels qui risquent d'interagir avec l'application sont :

· Le propriétaire : c'est la personne qui est en possession d'un véhicule, qui veut qu'on l'octroie un numéro matricule ;

· Division informatique : c'est un service chargé d'imprimer le numéro d'immatriculation en accord avec la cellule d'immatriculation ;

· Cellule d'immatriculation : il est chargé de coordonner, percevoir le frais et de livrer le numéro d'immatriculation.

E. Figure 2 : Identification des acteurs

F. Figure 3 : Identification des cas d'utilisation métier

G. Diagramme de cas d'utilisation

Montre les interactions fonctionnelles entre les acteurs et le système à l'étude

Acteur : rôle joué par un utilisateur humain ou un autre système qui interagit directement avec le système étudié. Un acteur participe à au moins un cas d'utilisation.

Cas d'utilisation (use case) : ensemble de séquences d'actions réalisées par le système produisant un résultat observable intéressant pour un acteur particulier. Collection de scénarios reliés par un objectif utilisateur commun.

Association : utilisée dans ce type de diagramme pour relier les acteurs et les cas d'utilisation par une relation qui signifie simplement « participe à ».

Inclusion : le cas d'utilisation de base en incorpore explicitement un autre, de façon obligatoire, à un endroit spécifié dans ses enchaînements.

Extension : le cas d'utilisation de base en incorpore implicitement un autre, de façon optionnelle, à un endroit spécifié indirectement dans celui qui procède à l'extension

Généralisation : les cas d'utilisation descendants héritent de la description de leur parent commun. Chacun d'entre eux peut néanmoins comprendre des relations spécifiques supplémentaires avec d'autres acteurs ou cas d'utilisation.

Figure 4 : Diagramme de cas d'utilisation

H. Spécification détaille de cas d'utilisation

L'étude de cas d'utilisation a pour objectif de déterminer ce que chaque utilisateur attend du système. La détermination du besoin est basée sur la représentation de l'interaction entre l'acteur et le système.

Authentification : permet d'identifier chaque utilisateur, et de lui donner l'accès aux fonctionnalités propices.

Déclaration douane : permet à la cellule d'immatriculation de vérifier si le véhicule appartient réellement à la personne, au cas contraire, il doit présenter le document d'achat de ce véhicule.

Demande immatriculation : ce cas d'utilisation permet d'octroyer à un véhicule nouvellement acheté ou si ce véhicule a déjà un numéro d'immatriculation et que le propriétaire veut le vendre ; alors l'acheteur peut procéder au changement des identités d'appartenance. La demande d'immatriculation peut être accordé ou refusé si les conditions ne sont remplies

Livraison plaque : si le propriétaire du véhicule a rempli tous les conditions, il doit payer le frais d'immatriculation, qui lui sera livré par la cellule d'immatriculation en collaboration avec la division informatique.

I. Spécification détaillé des besoins

· Nom cas d'utilisation : demande d'immatriculation

@ Objectif du cas d'utilisation : octroyer un numéro à un véhicule

@ Acteur principal : cellule immatricule

@ Acteur secondaire : informatique, propriétaire

@ Précondition : avoir une pièce d'identité correcte, de dédouanement ou d'achat

@ scénario

ü scénario normal :

§ saisir : nom, post nom, prénom, nationalité, numéro châssis, couleur véhicule...

§ ajouter ()

ü scénario alternatif

§ annuler ()

§ modifier ()

§ quitter ()

§ rechercher ()

ü scénario d'exception : afficher un message en cas d'erreur si le numéro existe déjà.

· Nom cas d'utilisation : déclaration douane

@ Objectif du cas d'utilisation : vérifier et certifier si le véhicule appartient effectivement à la personne

@ Acteur principal : cellule immatricule

@ Acteur secondaire : propriétaire

@ Précondition : avoir une pièce de dédouanement ou d'achat

@ scénario

ü scénario normal :

§ comparer sur diffèrent document le nom, post nom, prénom, provenance, numéro châssis, couleur véhicule...

§ valider ()

ü scénario alternatif

§ annuler ()

§ modifier ()

§ quitter ()

§ rechercher ()

ü scénario d'exception : afficher un message de non-conformité.

Analyse du domaine

J. ANALYSE DU DOMAINE

1. Analyse du domaine

C'est au travers les activités d'analyse et de conception qui peuvent être menées séparément ou conjointement que l'on peut définir à partir des besoins du système un modèle capable d'être concrétisé sous forme logicielle.

L'analyse comprend les activités qui permettent précisément d'aboutir au modèle d'analyse du système en partant des cas d'utilisation et des besoins fonctionnels. Ce modèle d'analyse est constitué par les classes et dans les cas d'utilisation et les besoins. L'analyse se concentre sur les besoins fonctionnels, en ignorant à ce stade les contraintes d'architecture du système. L'essentiel est de s'assurer que tous les besoins fonctionnels, tels qu'ils sont exprimés par les cas d'utilisation et les autres documents, sont réalisés quelque part dans le système. Idéalement, à des fins de traçabilité, chaque besoin individuel et chaque d'utilisation est relié aux packages qui les réalisent.

2. Digramme de classe

Montre les briques de base statiques : classes, associations, interfaces, attributs, opérations, Généralisations, etc.

Classe: description abstraite d'un ensemble d'objets qui partagent les mêmes propriétés (attributs et associations) et comportements (opérations et états).

Attribut : donnée déclarée au niveau d'une classe, éventuellement typée, à laquelle chacun des objets de cette classe donne une valeur. Un attribut peut posséder une multiplicité et une valeur initiale. Un attribut dérivé (« / ») est un attribut dont la valeur peut être déduite d'autres informations disponibles dans le modèle.

Opération : élément de comportement des objets, défini de manière globale dans leur classe. Une opération peut déclarer des paramètres (eux-mêmes typés) ainsi qu'un type de retour.

Association : relation sémantique durable entre deux classes, qui décrit un ensemble de liens entre instances. Une association est bidirectionnelle par défaut, sauf si l'on restreint sa navigabilité en ajoutant une flèche.

Rôle : nom donné à une extrémité d'une association ; par extension, manière dont les instances d'une classe voient les instances d'une autre classe au travers d'une association.

Multiplicité : le nombre d'objets (min. Max) qui peuvent participer à une relation avec un autre objet dans le cadre d'une association. Multiplicités fréquentes :


· 0..1 = optionnel (mais pas multiple)


· 1 = exactement 1


· 0..* = * = quelconque


· 1..* = au moins 1

Figure 5 : Digramme de classe

3. Diagramme de classe participante

Le diagramme de classe participant doit être indépendant des utilisateurs et des interfaces graphiques. Ainsi, l'application doit être découpée en couches : présentation, logique applicative et données. Le diagramme de classes participantes modélise justement les classes d'analyses qui concourent à la réalisation d'un cas d'utilisation. Ces trois types de classes d'analyses sont :

· Les classes de dialogues : elle représente les interactions entre les utilisateurs et les IHM (interfaces homme-machine). Il, y a au moins un dialogue pour une association entre un acteur et un cas d'utilisation ;

· Les classes de contrôles : elles modélisent la cinématique ou le métier ou encore la logique applicative de l'application pour manipuler les informations détenues par un objet métier et font la jonction entre le dialogue et les entités ;

· Les classes entités : elles sont persistantes en ce sens qu'elles survivent à l'exécution des cas d'utilisation. Elles proviennent du modèle du domaine et permettent le stockage des données dans les fichiers ou dans les bases de données.

Figure 6 : Diagramme de classe participante

4. Diagramme de séquence

Montre la séquence verticale des messages passés entre objets au sein d'une interaction

Ligne de vie : représentation de l'existence d'un élément participant dans un diagramme de séquence. Cela peut être un acteur ou le système en modélisation d'exigences, des objets logiciels en conception préliminaire ou conception détaillée.

Message : élément de communication unidirectionnel entre objets qui déclenche une activité dans l'objet destinataire. La réception d'un message provoque un événement dans l'objet récepteur.

La flèche pointillée représente un retour au sens UML. Cela signifie que le message en question est le résultat direct du message précédent.

Spécification d'activation : bande blanche qui représente une période d'activité sur une ligne de vie.

Message synchrone : envoi de message pour lequel l'émetteur se bloque en attente du retour et qui est représenté par une flèche pleine.

Un message asynchrone, au contraire, est représenté par une flèche ouverte.

Occurrence d'interaction : une interaction peut faire référence explicitement à une autre interaction grâce à un cadre avec le mot-clé ref et indiquant le nom de l'autre interaction.

UML 2 a ajouté une nouvelle notation très utile : les cadres d'interaction.

Chaque cadre possède un opérateur et peut être divisé en fragments.

Les principaux opérateurs sont :


· loop : boucle. Le fragment peut s'exécuter plusieurs fois, et la condition de garde explicite l'itération.


· opt : optionnel. Le fragment ne s'exécute que si la condition fournie est vraie.


· alt. : fragments alternatifs. Seul le fragment possédant la condition vraie s'exécutera. Après l'étude des cas d'utilisation, nous avons pu dégager les diagrammes de séquences correspondants dont voici les plus importants :

5. Figure 7 : Diagramme de Séquence Système

6. Figure 8 : Diagramme de Séquence Détaillé

L'utilisateur doit activer le formulaire, et doit saisir les coordonnées du propriétaire, si les coordonnées du propriétaire existe, il doit passer à l'identification du véhicule ; saisir le numéro châssis, la marque, la couleur etc... si c'est un deuxième ou troisième véhicules. Une requête sera passée à la base de données.

Une fois les coordonnées sont affichée, l'utilisateur peut sélectionne les pour le modifier ou le supprimer.

La modification génère la boite de dialogue, une fois les modifications sont effectuées, l'objet modifié sera apporté dans la table de la base des données correspondante. De même pour la suppression.

7. Diagramme d'activité de navigation

Le diagramme d'activité est un diagramme comportemental qui modélise particulièrement le cheminement des flots de contrôle et de flots de données de toute activité. Il permet de décrire l'enchainement des cas d'utilisation. Il peut comporter des synchronisations pour représenter les déroulements parallèles.

a. action : est le plus petit traitement qui puisse être exprimé

b. activité : définit un comportement décrit par un séquencement organisé d'unités dont les éléments simples sont des actions.

c. noeuds d'activité : un est type d'élément abstrait représentant de représenter le long du flot d'une activité.

Figure 9 : Diagramme d'activité de navigation

4.3. PHASE DE CONCEPTION

1. Diagramme d'interaction IHM

Les IHM modernes, en particulier celles destinées aux internautesvia les sites Web marchands, cherchent à faciliter la communication avecl'utilisateur. Elles sont de plus en plus riches et puissantes. Mais celaoblige le concepteur du site à réfléchir de façon très précise aucomportement attendu de tous ses éléments graphiques et pas seulementd'un point de vue visuel.

UML nous offre la possibilité de représenter formellement lanavigation dans le site, au moyen d'un diagramme dynamique appelédiagramme d'activités. Le diagramme d'activités représente ainsi unajout important dans l'arsenal des outils de modélisation du concepteurde site Web, puisqu'il fournit la possibilité de décrire précisément etexhaustivement les aspects dynamiques de l'interface utilisateur.

Figure 10 : Diagramme d'interaction IHM

2. Diagramme de classe de conception

Le diagramme de classes de conception représente les classes constituant le système et les associations entre elles. Les diagrammes de classes expriment de manière générale la structure statique d'un système, en termes de classe et de relations entre ces classes. De même qu'une classe décrit un ensemble d'objets, une association décrit un ensemble de liens ; les objets sont des instances de classes et les liens sont des instances de relations.

Figure 11 : Diagramme de classe de conception

4.4. CHOIX TECHNIQUES

Ici nous allons faire le choix du langage de programmation ainsi que le système de gestion de base de données.

A. Le langage de programmation

Il existe plusieurs outils de programmation car le monde informatique nous offre plusieurs langages des programmations pour faire une synthèse de tout ce qu'on fait comme analyse.

Les ordinateurs ne comprennent que le langage binaire (0 et 1), alors le problème est donc de savoir comment allons-nous faire pour pouvoir communiquer avec ces ordinateurs, car notre but final est d'arriver au moins à programmer ou concevoir une application informatique.

Tout ceci va nous demander de programmer en binaire. C'est donc pour cette raison que nous allons faire un choix du langage de programmation afin de pouvoir communiquer avec les ordinateurs.

Grace au logiciel appelé Compilateur (qui se charge de traduire le code écrit duans le langage de programmation en langage binaire), nous serons en mesure de communiquer avec les ordinateurs.

Pour la réalisation de ce travail, nous avons choisi le langage de programmation suivant :

Ø PHP: Pré HyperText Processor ou Hypertext Preprocessor4, plus connu sous son sigle PHP (acronyme récursif), est un langage de programmation libre, open source disponible pour divers plates-formes (Unix, Lunix et Windows) principalement utilisé pour produire des pages Web dynamiques via un serveur HTTP4, mais pouvant également fonctionner comme n'importe quel langage interprété de façon locale. PHP est un langage impératif orienté objet. Il est considéré comme une des bases de la création de sites web dits dynamiques mais également des applications web.

Figure 12 : Représentation logo PHP

Ø HTML (HyperText Markup Language) est un langage de description (et non pas un langage de programmation) qui va nous permettre de décrire l'aspect d'un document, d'y inclure des informations variées (textes, images, sons, animations etc.) et d'établir des relations cohérentes entre ces informations grâce aux liens hypertextes.

Son rôle est de gérer et organiser le contenu : affiché sur la page du texte, des liens, des images

Un fichier html est un format de fichier texte éditable dont les éléments ont du sens et au format.html qui peut contenir du texte, des images, des liens, son, vidéo, css, javascript et dont le langage descriptif comparé de balises interprété par le navigateur.

Ø SublimeText2 : C'est un éditeur spécialisé, auto-complétion, retour à la ligne, colorisation syntaxique, la sauvegarde automatique, son licence est propriétaire. C'est un éditeur de texte générique codé en C++ et Python, disponible sur Windows, Mac et Linux.

Sublime Text peut être équipé d'un gestionnaire de paquets qui permet à l'utilisateur de trouver, installer, mettre à jour et supprimer des paquets sans avoir à redémarre Sublime Text.

Figure 13 : Représentation logo Sublime Text2

Ø Macromedia Dreamweaver8

Le logiciel Dreamweaver est le logiciel par excellence des intégrateurs. Et pour cause, c'est un logiciel très polyvalent et s'adapte bien au HTML, PHP et tous les autres scripts associés aux pages HTML. Il est relativement intutif, dispose d'outils permettant de visualiser le résultat de code source html et d'éditer des pages html inclut dans des fonctions PHP sans trop de difficulté. Il offre la possibilité de développer des pages HTML et CSS.

Figure 14 : Représentation logo Macromedia Dreamweaver8

Ø Entreprise Architect : est un outil de modélisation et de conception d'UML, il couvre par ses fonctionnalités l'ensemble des étapes du cycle de conception d'application, c'est l'un des logiciels de conception les plus connus

Figure 15 : Représentation logo Entreprise Architect

B. CONSTRUCTION DE LA BASE DE DONNEES

a) Le système de gestion des bases de données

Une base de données est un outil permettant de stocker des données (telles que des chiffres, des dates ou de mots) et de retrouver l'intégralité de données brutes ou d'informations en rapport avec un thème ou une activité, celles-ci peuvent être de natures différentes et plus ou moins reliées entre elles.

On accède à une base de données grâce au SGBD qui reçoit de demande de manipulation du contenu sur les fichiers

Nous avons opté pour le phpMyAdmin

Figure 16 : Représentation logo PhpMySql

Figure 17 : Structure de la base de données

Ø Classe avec attributs. Icichaque classe devient une relation. Les attributs de la classe deviennent des attributs de la relation. Si la classe possède un identifiant, ils dévient la clé primaire de la relation, sinon, il faut ajouter une clé arbitraire.

Ø Association 1 vers 1. Pour représenter une association 1 vers 1 entre deux relations, la clé primaire de l'une des relations doit figurer comme clé étrangère dans l'autre.

Ø Association 1 vers plusieurs. Pour représenter une association 1vers plusieurs, on procède comme pour une association 1 vers 1, excepté que c'est forcément la relation du côté plusieurs qui reçoit comme clé étrangère, la clé primaire de la relation du côté 1.

Ø Association plusieurs vers plusieurs.L'association plusieurs vers plusieurs et représenter en introduisant une nouvelle relation dont les attributs sont les clés primaires des relations en association et dont la clé primaire est la concaténation de ces deux attributs.

Ø Classe -association plusieurs vers plusieurs. Le cas est proche de celui d'une association plusieurs vers plusieurs, les attributs de la classe association étant ajoutés à la troisième relation qui représente, cette fois - ci, la classe association elle - même.

Ø Héritage. Les relations correspondant aux sous - classes ont comme clé étrangère et primaire la clé de la relation correspondant à la classe parente.

4.5. INTERFACES ET CODES

A. INTERFACES

Ø Lancement du wamp server

Figure 18 : Lancement du Wamp Server

Ø Interface d'authentification : c'est une interface où il suffit de mettre le nom et le mot de passe de l'utilisateur.

Figure 19 :Interface d'Authentification

Ø Interface d'accueil : cette interface nous présente jute le menu principale de notre application

Figure 20 : Interface d'Accueil

Ø Interface Client : cette interface nous permet d'enregistrer tout client sollicitant une demande d'immatriculation de son automobile

Figure 21 : Interface Client

Ø Interface Catégorie : elle nous permet d'enregistrer le type des véhicules et le prix de sa plaque

Figure 22 : Interface Catégorie

Ø Interface automobile : c'est une interface où on enregistre les informations consternant l'automobile du client.

Figure 23 : Interface Automobile

B. QUELQUES CODES

1. LOGIN

<DOCTYPE html>

<html>

<head>

<title>login</title>

<link rel="stylesheet" type="text/css" href="forme.css">

<meta>

</head>

<body>

<form Method="POST" Action="server.php">

<div class="entete">

<div class="header"><h1>indentification</h1></div>

<tr>

<!--td><h1>indentification</h1></td!-->

</tr>

<div class="input-group">

<tr>

<label>Nom utilisateur</label><input type="text" id="Nom_utilisateur" name="Nom_utilisateur"></td>

</tr>

</div>

<tr>

<div class="input-group">

<label>Mot de passe</label>

<td><input type="password" id="Mot_de_passe" name="Mot_de_passe"></td>

</tr>

</div><br>

<tr>

<td><input type="submit" id="Envoyer" name="Envoyer" value="OK" class="btn"></td>

</tr>

</div>

</table>

</form>

</body>

</html>

2. INDEX

<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd">

<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml">

<head>

<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" />

<meta>

<title>MEMOIRE</title>

<link rel="stylesheet" type="" href="style.css">

<link rel="icon" type="image/x-icon" href="img/py/avantgarde-concept-634224-unsplash.jpg">

</head>

<body>

<table width="1307" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0">

<!--DWLayoutTable-->

<tr>

<td height="63" colspan="2" valign="top" bgcolor="#666666"><?php include("banniere.php");?></td>

</tr>

<tr>

<td width="266" height="502" valign="top" bgcolor="#999999"><?php include("menu.php");?></td>

<td width="1041" valign="top" bgcolor="#CCCCCC">

<?php

switch (@ $_GET['page'])

{

case 'page_accueil':include('page_accueil.php'); break;

case 'page_client':include('page_client.php'); break;

case 'page_categorie':include('page_categorie.php'); break;

case 'page_automobile':include('page_automobile.php'); break;

case 'page_client':include('page_client.php'); break;

default:include('page_accueil.php'); break;

}

?></td>

</tr>

<tr>

<td height="37" colspan="2" valign="top" bgcolor="#666666"><?php include("pied.php");?></td>

</tr>

<tr>

<td height="2"></td>

<td></td>

</tr>

</table>

<a href="EDOUARD.html">aller ici...</a>

<a href="login.php">aller sur authentification ici...</a>

</body>

</html>

3. CONNEXION

<?php

$con=mysql_connect("localhost","root","") or die(mysql_error());//connexion au serveur

mysql_select_db("bd_gestionplaque",$con) or die(mysql_error());

?>

DISCUSSIONS

Nos prédécesseurs et nous avions parlé sur le même sujet cadrant avec la gestion des plaques d'immatriculation. Mais nous nous écartons de nos prédécesseurs sur le fait que nous, avions parlé sur le système d'attribution des plaques d'immatriculation, alors qu'eux ont parlé sur : la gestion de vente de plaques d'immatriculation ; la livraison des plaques ainsi que la détection des plaques.Et avions proposé comme solution la mise au point d'un système d'information d'attribution des plaques d'immatriculation secondé par une base de données pour la meilleure conservation d'informations.

Quant à nos prédécesseurs, ils ont proposé comme solution : la mise au point d'un logiciel approprié à la gestion de vente des plaques ; la création d'une application web est comme mode de paiement il a opté Airtel-Money et M-pesa.

Nous pouvons conclure que nos résultats s'écartent de ceux de nos prédécesseurs cités dans la Revue de littérature.

RECOMMANDATIONS

Il suffit de démontrer la pertinence ou la validité des résultats par rapport au problème de recherche et aux questions ainsi qu'aux hypothèses proposées.

Apres analyse et découverte des dysfonctionnements du système d'attribution des plaques au sein de la DPI, nous recommandons ce qui suit :

La mise au pied d'une application d'attribution des plaques d'immatriculation qui permettra de gérer les informations liées aux plaques des automobile et pour une meilleure conservation d'informations en rapport avec la gestion des plaques d'immatriculation à la DPI/Haut-Katanga, cette application sera secondée par une base de données enfin d'avoir un bon et rapide accès à l'interrogation d'informations.

Faire presque chaque fois le suivi enfin de faire une mise à jour du logiciel mis sur pied.

CONCLUSION GÉNÉRALE

Nous voici arrivé au terme de ce travail dont l'étude à portée sur la conception et réalisation d'un système d'attribution des plaques d'immatriculation des automobiles. Cas de la direction provinciale des impôts.

Eu égard à tout ce qui précédé dans les différents chapitres, nous nous sommes posé deux questions qui ont fait l'objet de toute notre étude, celles de savoir : Quel est le mécanisme à mettre en place pour améliorer la gestion informatisée d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations des automobiles ? Ainsi Comment pouvons-nous réorganiser le système de gestion des plaques d'immatriculations au sein de la DPI pour faire face aux difficultés rencontrées? Et avons tenté de répondre à cette problématique dans l'hypothèse en disant que la conception d'un système d'attribution des plaques d'immatriculations serait un mécanisme idéal pour pallier aux difficultés qu'à la gestion des plaques d'immatriculations à la DPI/Haut-Katanga et qu'en élaborant un système informatique de gestion d'attribution des plaques d'immatriculations, nous pourrions réorganiser le système de gestion des plaques d'immatriculation des automobiles au sein de la DPI/Haut Katanga. Ainsi donc la conservation de données sera garantie et rendue confidentielle grâce à l'élaboration d'une base de données que nous aurons à concevoir.

Signalons que nous avons recouru à la démarche UP (unified Process) ainsiqu'au langage UML (Unified Modeling Language). Pour l'analyse et la conception de notre système, ce langage nous a permis de représenter graphiquement les différents diagrammes.

Pour arriver a bien analyser ce travail de fin d'étude, nous l'avons découpé en quatre chapitre. Dans le premier chapitre nous avons étalé les phénomènes, la problématique ainsi que les hypothèses et la méthodologie ; dans le second chapitre nous avons défini les différents concepts et théories ; le troisième chapitre nous l'avons consacré sur la présentation du champ empirique et enfin le quatrième chapitre lui, on l'a consacré à l'analyse, la conception détaillée de l'application et à l'implémentation de notre solution.

Pour matérialiser notre solution, nous avons choisi le PhpMysql comme gestionnaire de base des données ainsi que le langage de programmation PHP et HTML (avec comme éditeur de texte Macromedia et Sublime Text2)

Ce travail a fait l'objet d'une expérience intéressante qui nous a permis d'améliorer nos connaissances et nos compétences acquises.

En fin, nous demandons à tous ceux qui vont nous lire et aux futurs chercheurs d'avoir une certaine indulgence à notre égard car ce travail constitue une oeuvre humaine qui ne peut pas manquée des imperfections. Ainsi donc leurs remarques, critiques et suggestions seront toujours le bienvenu pour l'amélioration ultérieure.

Nous n'avons pas épuisé tous les problèmes de la gestion des plaques d'immatriculation mais au moins nous avons proposé une solution informatique du système existant. Et voici nos limites car nous n'avons pas été à mesure de faire l'application pour qu'elle puisse permettre aux clients d'identifier leurs automobiles ou faire une demande d'immatriculation partout qu'ils soient bref en dehors de la ville de Lubumbashi surtout de l'endroit où le logiciel sera implémenté. D'autres chercheurs peuvent prolonger des études sur cette question.

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1) ANGOT, H., 1992. Système d'information de l'entreprise. Paris: De Boeck Université, Bruxelles.

2) Clouse, M., 2008. Algèbre Relationnelle. Guide pratique de conception d'une base de données relationnelle normalisée. s.l.:s.n.

3) COHEN, E., 2000. Dictionnaire de gestion. 9bis éd. Paris: Abel-Hovelacque.

4) DJUNGU, S.-J. A., 2013. Outils et Langages du Web N.O. 10ème Rue, Limeté éd. Kinshasa: Medias Paul.

5) Eyralles, G. G., 2003. Bases de données. Paris: s.n.

6) Goetter, R., s.d. CSS 2 Pratique du design web. 2e éd. s.l.:s.n.

7) J. GABY , 2009. UML 2 Analyse et Conception. Dunod éd. Paris: s.n.

8) Luc Van et Raymond Quivy, 2011. Manuel de recherche en sciences sociales. Paris: Dunod.

9) Lwimba, K., 1970. La recherche en sciences humaines. Ed-Universitaire éd. Paris: s.n.

10) Lwimba, K., 1970. La recherche en sciences humaines. Ed-Universitaire éd. Paris: s.n.

11) MBABULA, L. M., 2017. Pour vous chercheur, directives pour rédiger un travail scientifique suivi de recherche scientifique sur internet. Ed. MPALA éd. Lubumbashi: s.n.

12) Modeste KAZENGE, C., 2008. Informatique Générale. Medias Paul éd. Kinshasa-RDC: s.n.

II. TRAVAUX DE FIN DE CYCLE ET MÉMOIRES

1) Hinde ANOUAL Détection et localisation de texte dans les images de scènes naturelles : Application à la détection des plaques d'immatriculation marocaines. Thèse de doctorat, Université Mohammed V-Agdal, 2012.

2) KAPONGO MUTUILA Samuel Conception et création d'un site web de livraison des plaques dans une institution publique ISC, 2015.

3) NUMBI KASONGO Andy Analyse et conception d'une application de gestion de vente de plaque d'immatriculation, ISC, 2014.

4) Ryan-placide LUHINZO NTUTANE La problématique de gestion et de l'attribution des plaques d'immatriculations en République Démocratique du Congo : cas de la ville province de Kinshasa 2015.

III. WEBOGRAPHIE

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault