REMERCIEMENTS
A tout seigneur tout honneur, nous remercions
l'éternel, Dieu tout puissant à qui nous devons notre existence.
Lui qui appelle à l'existence les choses qui n'existent pas et qui a
permis par sa grâce que ce jour arrive.
Nos remerciements s'adressent également à toutes
les autorités Universitaires, le Professeur Ordinaire Esaïe Mbuya
Mukombo, Recteur de l'Université, le Professeur Justin Banza wa Bwanga,
Secrétaire général académique et toute
l'administration de l'université.
Un remerciement particulier s'adresse à notre directeur
de recherche, Pierre Felix Kandolo On'ufuku wa Kandolo, Professeur à la
Faculté de droit de l'Université de Likasi qui, malgré ses
multiples occupations, n'a pas hésité à assurer notre
encadrement et la direction de ce travail.
Nous adressons également nos remerciements au Chef des
travaux Jean Kapongo Ngoie, notre co-directeur, pour son orientation et le
temps consacré par lui pour ce travail.
Un remerciement exceptionnel à Elie Ngoy Assani, un ami
aussi exceptionnel, un frère, un conseil de partout et de toujours.
Nous remercions également tous nos amis,
collègues et compagnons de lutte : Etienne Kabuya Ilunga, Gloria
Nshimba, Nadege Kankonde, Albert Mwaku-Mwaku, Marlène Kabemba Ngoy, Hugo
Kasongo Numbi, Moise Assani, Hyppolite Kataki, Isabelle Kashala, Junette
Kakudji, Diane A-Malol, Caroline Kapinga, Aisha Mufuka, Dorcas Ndala, Saddam
Matataam, Gentaline A-Mvum, Esther Masengo, Reine Kenge.
A notre père spirituel, Pasteur Jacques Kasongo
Mwanabute, pour son soutien, prières et encouragements.
Grand merci à tous mes académiciens.
A tous les amis et connaissances qui n'ont pas
été nommément cités, qu'ils trouvent ici un mot de
remerciement de notre part.
AVANT PROPOS
La présente étude dont le thème est
intitulé : « Le principe de la
non-ingérence dans les affaires intérieures des
États : de la théorie juridique à la pratique
international », est l'oeuvre d'une réflexion faite
par nous en tant que chercheur et juriste en devenir, appelé à
analyser les faits juridiques tant nationaux qu'internationaux.
La raison qui nous a pousséà mener notre
étude sur ce thème est le constat fait par nous des actes
d'ingérence dont sont victimes les Etats Africains en
général et la République démocratique du Congo en
particulier. Encore, les auteurs de ces actes d'ingérence restent aussi
les mêmes, à savoir, les Etats ayant un grand poids politique sur
le plan international, lesquels forment un bloc puissant qui impose aux autres
Etats leur volonté. Cette situation est sujet de plusieurs
conséquences majeur au sein des Etats victimes sur leur
développement et leur stabilité.
Ce qui attire encore l'attention dans cette situation c'est la
manière dont se commettent ces actes d'ingérence. Leurs auteurs
utilisent des techniques tellement malignes que cela pose des
difficultés pour identifier qu'il s'agit des actes d'ingérence.
Souvent, dans le cadre de l'organisation des élections dans les Etats
qualifiés de faible par rapport à leur poids sur le plan
international, on retrouve plusieurs actes d'ingérence
extérieure, comme ce fut le cas dernièrement en République
démocratique du Congo lors de la période électorale entre
novembre et décembre 2018 où des actes des Etats et organisations
internationales n'étaient ni plus ni moins que de l'ingérence.
C'est pour cette raison que nous nous proposons de mener notre
étude afin d'analyser les différentes formes d'ingérence
pour savoir les identifier dans le comportement des grandes puissances dans
leurs relations avec les Etats moins avancés en général et
la RDC en particulier.
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