- 1.2. LA REVUE DE LITTERATURE
La littérature en science de gestion présente
les études théoriques et empiriques et les approches conceptuels.
C'est ainsi que nous aborderons dans cette partie de la manière
suivante.
Toute recherche scientifique digne de ce nom, doit
répondre à certains critères, comme la revue de
littérature bien assimilé et bien expliqué, avec toute
concordance et harmonie dans l'acharnement des idées, pas de casse, il
faut y démontrer des charnières entre les différentes
idées et section, tout en créant le désir du lecteur, afin
d'aller au bout avec la lecture. Ainsi, avec toute humilité, nous disons
qu'il existe nécessairement suffisamment d'autres chercheurs qui se sont
déjà questionner sur le même (ou presque)
phénomène observé que nous devons évoqués
les plus éloquents à notre thématique de recherche.
Puisque, la roue existe déjà et elle est déjà
inventée, il ne sert pas à grande chose la réinventer, il
faut au moins l'innover. (HUBER MAN 2010)
Ce paragraphe vise à exposer brièvement le point
de vue des travaux antérieurs dans le domaine de notre recherche et tout
en cherchant des points de comparaison entre certains déterminants qui
expliqueraient la notion de gestion des immobilisations dans une entreprise.
Comme on nous le répète ci souvent au cours,
notre étude ainsi que d'autres mené antérieurement forme
un ensemble de publications existantes dans le domaine qui permet au chercheur
de situer son apport à ces travaux pour ressortir un peu
d'originalité et éviter les copies conformes ou les plagiats
à l'aveuglette sans jugement de l'esprit de référencement,
ni encore esprit de rigueur et de critique.
C'est pour cela, que nous avons cités à titre
d'exemple, quelques travaux scientifiques et ouvrages qui nous ont
inspiré dans l'exploitation de notre thème.
- MICHEL ALBOUY ET GENEVIEVE (2005), Tout au long de
leur existence, d'abord lors de leur création, puis pour assurer leur
fonctionnement et leur développement, les entreprises ont besoin de
fonds. L'entreprise doit se doter d'un outil de production et financer son
cycle d'exploitation, notamment ses stocks, et ses créances clients. La
manière de combiner les différents moyens de financement est un
élément de la stratégie financière qui a des
conséquences directes sur la situation économique de
l'entreprise, notamment sa valeur, sa solvabilité, sa rentabilité
et son risque.
- Pour Karine CERRADA, Yves DE RONGÉ, Michel DE WOLF et
Michel GAT (2014), Le système comptable est aujourd'hui une composante
d'un système d'information plus large qui englobe l'ensemble des moyens
et procédures de saisie, de recherche et de traitement d'informations de
quelque nature qu'elles soient, relatives aux activités
stratégiques et/ou opérationnelles d'une entité. Dans
cette perspective une démarche éprouvée consiste à
analyser et à comparer l'autofinancement.
- Quant à ALBERT CORNAY ET MAPAPA MBANGALA (2007),
L'équilibre financier se fonde sur le principe selon lequel les
investissements de longue durée doivent être financés par
des ressources présentant également un caractère
permanent. Le déséquilibre peut avoir des répercussions
importantes sur la situation de trésorerie de l'entreprise.
- Journal officiel organisation pour l'Harmonisation en
Afrique de droit des affaires (2017), acte uniforme relatif au droit comptable
et à l'information financière & système comptable
ohada (SYSCOHADA) Décision fixant le tarif des actes du greffe de la
Cour Commune de Justice et d'Arbitrage.
- PRICE WATHER HOUSE COOPERS, système comptable
ohada : cadre comptable, le traitement des opérations courantes et
des opération d'inventaire.
- Revue économique (Article 128), La firme n'a pas
accès au financement externe si les actifs en place sont peu importants,
si l'entrepreneur possède déjà quelques actifs ; la
société de capital-risque lui fournit des fonds propres : le
fait que l'entrepreneur soit capable de fournir une richesse initiale permet
d'espérer un rendement du projet plus élevé. Il faut
cependant que le montant des actifs permette de constituer une véritable
garantie pour que le prêt bancaire devienne le mode de financement
optimal.
- Pour PIERRE CABANE (2008), La gestion n'est donc pas une
somme de chiffres, mais plutôt une interprétation prospective pour
anticiper, piloter et gagner. Gérer, c'est prévoir,
c'est-à-dire se mettre en position de vigie, alerter si la
lisibilité devient floue et accélérer lorsque le contexte
le permet.
- KASANGO MWEMA (2012), Analyse
dynamique de l'autofinancement, et son impact sur le remboursement des
dettes.
- MOSH MATEND (2016), pratique de l'amortissement est son
impact sur le renouvellement des immobilisations dans une entreprise.
|