REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, UNIVERSITAIRE ET
RECHERCHE SCIENTIFIQUE
INSTITUT SUPERIEUR PEDAGOGIQUE DE BUKAVU
I.S.P/Bukavu
B.P : 854 Bukavu
SECTION DES SCIENCES COMMERCIALES, ADMINISTRATIVES ET
INFORMATIQUE
DEPARTEMENT D'INFORMATIQUE DE GESTION
Système de Gestion Relationnelle de Quitus de Paiement
en Réseau Local au sein d'une régie financière : cas
de la DPMER - Sud-Kivu
Par
ZIGASHANE KambazaChristian
Mémoire présenté et défendu en vue
de l'obtention du Diplôme de licencié en pédagogie
appliquée.
Option informatique de gestion
Directeur : KASELE Léandre,Chef de Travaux
Co-Directeur: MUKAMBA Mukandama Vick,Assistant
Année universitaire : 2013-2014
Epigraphe
« Je suis sûr que Dieu ne bénit pas les
paresseux et qu'il ne maudit pas les courageux ».
(Christian Nzuzi Lukoki)
Dédicace
A notre père KAMBAZA Rushanika Emmanuel dont nous
avons reçu le bon sens.
A notre mère BAPEMACHO Sekanabo Françoise
symbole d'une véritable affection.
A nos frères et soeurs pour votre soutien
moral et matériel inoubliable.
A notre oncleBUHOME Kakunga Jeannot pour vos encadrements
spirituels, moraux et vos multiples conseils afin que nous soyons au terme de
ce deuxième cycle.
ZIGASHANE Kambaza Christian
Remerciements
Ainsi, en la cinquième année de labeur,
s'achève l'oeuvre dont nous devons dire aujourd'hui à qui la
reconnaissance pour ce travail qui fut fait.
Ce modeste travail est le fruit des efforts de plusieurs
personnes que nous ne saurions remercier. Leur contribution, de quelque nature
que ce soit, a contribué activement à la réalisation de ce
travail.
Nos remerciements s'adressent avant tout au
créateur Dieu, Père Tout Puissant qui nous a donné la
force et le courage de tenir jusqu'à la production du présent
travail. Qu'il soit loué et glorifié infiniment !
Qu'il nous soit permis de remercier notre famille de
s'être abstenue de tous ses droits en acceptant de ne ménager
aucun effort depuis cinq ans pour que nous arrivions à produire ce
travail, contre toute perturbation d'ordre social. Très chère
mère et cher père, que vous trouviez ici le fruit de votre
patience et de vos prières sans cesse exhaussées.
Nos remerciements s'adressent également au chef de
travaux KASELE Léandre ainsi qu'à l'assistant MUKAMBA Mukandama
Vicky co-directeur de ce présent travail qui, malgré toutes leurs
charges et responsabilités ont accepté de diriger ce travail.
Leurs sages conseils et leurs remarques constructives ont concouru à la
réalisation de cette monographie. Qu'ils trouvent, ici, l'expression de
nos sincères remerciements.
Nos remerciements s'adressent aussi à l'honorable
François RUBOTA Masumbuko et à notre cher oncle BUHOME Kakunga
Jeannot pour leur encouragement et soutien matériel qu'ils n'ont
ménagés pour tout ce que nous allons devenir désormais.
Qu'ils trouvent, ici, l'expression de notre profond attachement.
Nos remerciements s'adressent ensuite aux familles
KAMBAZA Bisimwa Manassé et KAPALATA John pour nous avoir
octroyé un ordinateur portable pour matérialiser l'application de
notre travail, encore une fois de plus merci, et nous promettons deprendre soin
de ce précieux outil, à Monsieur MAKIRIZA pour leur
assistance, à la fois matérielle, technique, logistique et pour
tous les conseils qu'ils n'ont cessés de nous prodiguer. Qu'ils
trouvent, ici, l'expression de notre gratitude.
Notre reconnaissance s'adresse ensuite aux enseignants de
l'I.S.P de Bukavu pour leur encadrement inlassable durant nos cinq
années de notre formation.
Enfin, à tous ceux-là qui, de près
ou de loin, nous ont assisté d'une manière ou d'une autre, nous
disons merci et que le Seigneur les assiste aussi dans leurs différentes
occupations.
Merci !
SIGLES ET ABREVIATIONS
ARP : Address Resolution Protocol
BDD : Base des données
DPI : Direction Provinciale des impôts
DPMER : Direction Provinciale pour la Mobilisation et
l'Encadrement des recettes.
I.C.A : Impôt sur le chiffre d'affaires
ISP : Institut Supérieur Pédagogique
MAC : Media Access Control
MCD : Modèle conceptuel des données
MCT : Modèle conceptuel de traitement
MEA : Modèle entités-associations
MERISE : Méthode d'Etude et de Réalisation
informatique par les sous-ensembles ou pour les systèmes
d'entreprise.
MLD : Modèle logique des données
MLDR : Modèle logique de données
relationnel
MLT : Modèle logique de traitement
MOD : Modèle organisationnel des
données
MOT : Modèle organisationnel de traitement
MPD : Modèle physique de données
Ord- L : Ordonnance Loi
OP : opération
RDC : République Démocratique du Congo
SGBD : Système de gestion de base de
données
SGBDR : Système de gestion de bases de
données relationnelle
SGRQP : Système de gestion relationnelle de
quitus de paiement
SGRQPRL : Système de gestion relationnelle de
quitus de paiement en réseau local
SK : Sud-Kivu
TCP : Transport control protocol
Wi-Fi : Wireless Fidelity
INTRODUCTION
L'informatique se situe actuellement à cheval de toutes
les sciences, son évolution si rapide s'avère
bénéfique dans tous les domaines scientifiques, notamment dans la
gestion des entreprises. Cette évolution technologique n'a pas suivi la
même progression dans les pays du tiers monde et ceux
développés. Ce travail s'inscrit dans le cadre de
l'émergence de la nouvelle technologie de traitement de l'information
dans notre pays classé parmi les pays pauvres et endettés
(1(*)).
Problématique
La problématique va de ce que l'on sait vers quelque
chose qu'on ne connait pas et que l'on veut juste savoir. Accéder
à la nouvelle technologie de l'information n'est pas une chose facile,
ça nécessite vraiment de se mettre à jour tout le temps
en suivantl'évolution dans le temps. Notre pays, la République
Démocratique du Congo est descendu à son plus bas niveau dans
tous les domaines à cause de sérieux problèmes
d'instabilités politiques caractérisés par le
départ à la hâte des colonisateurs, les pillages, les
guerres, ... perdant ainsi la quasi-totalité de son infrastructure
routière, scolaire, financière, etc. Et ainsi il n'a pas pu
suivre l'évolution de la nouvelle technologie à son niveau.
Le quotidien d'hier a fait état d'une nouvelle
disposition exigeant les chefs d'entreprises de présenter un quitus
prouvant qu'ils sont en règle avec le fisc avant le paiement d'une
quelconque fourniture ou service. Une mesure mal appréciée par
les concernés. Tout congolais est tenu de remplir loyalement ses
obligations vis-à-vis de l'Etat. Il a, en outre, le devoir de
s'acquitter de ses impôts et taxes (2(*)).
En effet, l'article 63du code des impôtsmodifié
par l'Ord.-L. n°69-060 du 5 décembre 1969 et par l'Ord.-L.
n°81-009 du 27 mars 1981 qui prévoyait le quitus, parle de
l'autorisation de sortie du territoire national en République
Démocratique du Congo parmi les garanties du trésor. La sortie du
territoire est, en effet, subordonnée à la présentation,
au service de la sûreté de l'Etat, d'un document
délivré par le receveur des impôts attestant que le
redevable s'est acquitté des impôts en République
Démocratique du Congo.
Elle n'est pas vraiment une, n'étant ni une garantie
réelle ni une garantie personnelle. Il s'agit d'une espèce de
quitus fiscal qui se matérialise par la délivrance, par le
receveur des impôts (compétent), d'un certificat attestant que le
redevable est quitté des impôts en province du Sud-Kivu en
particulier et en République Démocratique du Congo en
général (3(*)). Mais hélas, nous remarquons une très
mauvaise gestion de ce document au sein de certaines régies
financières opérant dans la province du Sud-Kivu et surtout au
sein de la Direction Provinciale pour la Mobilisation et d'Encadrement des
Recettes (DPMER - Sud-Kivu en sigle).
Aussi, il faut faire remarquer d'abord que l'impôt est
au centre des rapports qui lient une société ou personne physique
à l'Etat qui la gouverne. L'impôt est en effet un fait social
intimement lié à l'évolution des sociétés et
notamment à celle de leurs institutions, politiques, juridiques,
économiques. L'article 14 de la déclaration des droits de l'homme
et du citoyen de 1789 fonde le principe du consentement de l'impôt, qui,
est à l'origine du principe de l'égalité de l'impôt,
règle le transfert du pouvoir fiscal aux représentants du peuple
et assoit la légitimité du prélèvement (4(*)).
Cependant, l'impôt, contribution aux charges de l'Etat,
a comme particularités principales le caractère obligatoire et
l'absence de contrepartie directe. La logique de la gestion relationnelle de
quitus de paiement en réseau local sous-entendu mécanisme
permettant de vérifier le paiement de l'impôt foncierimplique donc
une notion de contrainte puisque l'impôt est prélevé par
voie d'autorité par l'administration. De même, le contribuable ne
peut-il prendre connaissance précise de l'utilisation fais de ces fonds.
La tentation est alors et surtout grande de se soustraire au paiement des
sommes dues.
Comme nous l'avons signalé au départ, la
problématique du système de gestion relationnelle de quitus de
paiement en réseau local est, à l'image du
phénomène, complexe. En contrariant la collecte des ressources
étatiques, elle constitue un sujet d'inquiétude pour les
régies financières en particulier et pour l'Etat Congolais en
général. Cette inquiétude est de plusieurs ordres. Elle
revêt d'abord une dimension purement financière car la mauvaise ou
le manque d'un système de gestion relationnelle de ce quitus en
réseau local génère une perte de ressources fiscales. En
somme, le manque d'un système de gestion relationnelle de quitus de
paiement contrarie à la fois l'efficacité et
l'équité de la collecte des ressources publiques.
Aussi, elle traduit également les lacunes du
contrôle qu'exercent les pouvoirs publics sur les personnes voulant
quitter en République Démocratique du Congo et en
témoignant de la méconnaissance des causes et des schémas
par lesquels ces personnes (contribuables) éludent l'impôt.
Dès lors, afin de restaurer l'efficacité du contrôle et la
bonne prise de décision, il devient nécessaire de s'interroger
sur le système de gestion de quitus de paiement au sein de la
DPMER-Sud-Kivu et la nature du problème sous-jacent.
Et bien, nous avons ainsi remarqué qu'il y a
nécessité d'abandonner certaines tâches faites jusque
là manuellement au profit de l'outil informatique. Ala Direction
Provinciale pour la Mobilisation et Encadrement de Recettes (DPMER-Sud-Kivu),
au service de l'impôt foncier (IF), l'utilisation du système de
gestion de quitus de paiement estencore monoposte ; c'est-à-dire
liée à une seule machine qui en conserve la base de
données. L'encodage de données revient à cette même
machine, l'impression et la consultation de même et pourtant ce
système devrait normalement être utilisé dans tous les
services des impôts de grandes régies financières de la
place.
C'est ainsi que ce dernier s'estheurté à un
sérieux problème, celui de partage des données à
cause de la multiplicité des ordinateurs dans presque tout le service de
l'impôt foncier du Directeur (administrateur) aux contrôleurs
(vérificateurs) jusque même aux réceptionnistes, chacun
veut encoder seul ses données. Dans le cas du dossier d'un contribuable,
par exemple ; s'il y a une base contribuable par service, il n'y aura aucun
moyen pour le directeur (administrateur) de cette régie
financièrede réunirtoutes les informations soit
journalières, hebdomadaires, mensuelles et arriver à la prise de
décision.
Après avoir observé un nombre suffisant de
difficultés qui gangrènent le service de l'impôt foncier
à la DPMER-SK, les questions suivantes ont orienté cette
recherche:
- Quelle serait la voie departage des données sans
qu'il y ait déplacement d'homme ?
- Quelle serait la bonne stratégie pour pouvoir
partager les données de ce service ?
- Quel serait l'avantage d'un tel système de gestion
relationnelle une fois mis en place ?
A chaque question de la problématique correspond une
réponse provisoire en termes d'hypothèse. C'est dans ce cadre que
nous répondons provisoirement de la manière suivante :
- Nous pensons qu'il serait possible de songer à faire
communiquer les ordinateurs entre-eux pour qu'ils s'échangent des
données, d'où une nécessité de connexion en
réseaux informatiques ;
- Une bonne stratégie pour le partage des
données serait de mettre en place une seule base de données sur
un serveur et la configuration de chaque poste client pour qu'il accède
à la base centrale à la fois qu'il fasse des modifications;
- Ce système pourrait diminuer la lenteur dans
l'exécution des tâches et la correction des erreurs. Aussi, deux
utilisateurs de différentes autorisations ne peuvent consulter les
mêmes données. Chacun ne change que les données pour
lesquelles il est autorisé, ce qui apporte donc une
sécurité supplémentaire et pourrait aider à la
prise de décisions à partir des informations qu'il conserve ;
Ce sont donc ces hypothèses qui seront soit
infirmées, soit confirmées par les résultats de notre
étude.
L'objectif global de ce travail est de vouloir mettre à
la disposition de la DPMER-Sud-Kivu les outils très efficaces et
rationnels pour la bonne gestion de quitus de paiement en réseau local
et aussi fournir à nos différents lecteurs, un document de base
méthodique.
Le choix porté à ce sujet a été
motivé en s'inscrivant dans deux angles différents :
personnel et scientifique.
Personnellement au départ le goût était
celui du SGBDR (Système de gestion de base de données
relationnelle) qui désigne l'ensemble des fonctions permettant de
définir la structure des données, de formuler des requêtes
et de stocker des informations (5(*)). En d'autres termes, maîtriser les notions sur
la création des bases de données dynamiques, la mise en place
d'une plate-forme. Mais après, nous avions eu le goût de pouvoir
partager une base de données en réseau local et de pouvoir
approfondir les connaissances sur le système des réseaux
informatiques. Scientifiquement, l'idée est d'apporter une solution
pouvant amener la Direction Provinciale de Mobilisation et d'Encadrement des
recettes (DPMER-Sud-Kivu) à pouvoir répondre aux objectifs
assignés et de faciliter le contribuable à un accès prompt
à toute obtention d'un document de paiement pour l'intérêt
national.
Spatialement, nos analyses ont porté essentiellement
sur l'application du système de gestion relationnelle de quitus de
paiement et qui seramise au sein de la DPMER-Sud-Kivu pour
expérimentation.Chronologiquement, ce travail a débuté
dans l'année académique 2013-2014.Analytiquement, dans le cadre
de ce travail nous nous sommes limités à l'utilisation du
système de gestion relationnelle de quitus de paiement en réseau
localuniquement dans le service de l'impôt foncier au sein de cette
régie financière.
Etant donné que la conception et la constitution d'un
système de gestion relationnelle exige une méthode, nous avons
utilisé la méthode de conceptionMERISEqui est
une méthode de conception de développement et de
réalisation de projets informatiques particulièrement efficace et
cela, pour analyser et comprendre les problèmes et tout ce qui entre en
jeu dans le SGBDR (Système de Gestion de base de données
Relationnelle) car sans méthode, on assiste vraiment à une
absence de conception globale d'un projet informatique.
Une fois les données analysées, nous les avons
décomposées dans les différents cas, au profit de leur
classification chronologique. Un recours aux différentes techniques pour
rendre cette méthode possible ; il s'agit de techniques suivantes :
technique basée sur l'entretien et interviews que nous avons eue avec
les chefs des bureaux à la DPMER/Sud-Kivu, les responsables de
différentes cellules, et certains réceptionnistes même.
Cette technique nous a permis de mettre la lumière sur la mise en place
d'un SGRQP.
Ensuite, une approche basée sur la recherche
documentaire, documents existants qui abordent la
généralité sur la DPMER-Sud-Kivu, les notions de base sur
la fiscalité et autres. Nous avons ainsi consulté et lu des
ouvrages, mémoires de fin d'études, archives en rapport avec
notre objet d'étude telles que le code des impôts mis à
jour au 30 septembre 2003. Enfin, une approche basée sur la recherche
sur Internet. Cette recherche nous a permis de recueillir les renseignements
nécessaires en rapport avec les nouvelles technologies de gestion de
base de données, qui aide à la prise de décision, pour sa
bonne mise en place de sa plate-forme.
Pour poser le problème à examiner, il nous a
semblé utile de nous situer par rapport aux études
antérieures consacrées à la Direction Provinciale pour la
Mobilisation et Encadrement des Recettes. A cet effet, nous reconnaissons que
bien des recherches ont été réalisées dans ce
domaine et surtout sur la Direction Provinciale de Mobilisation et Encadrement
des Recettes, mais peu d'entre elles ont été
réalisées spécifiquement dans le but de concevoir un
système de gestion relationnelle de quitus de paiement au sein de cette
régie financière.
En effet, nous avons recensé à la
bibliothèque centrale de l'Institut Supérieur Pédagogique
de Bukavu (I.S.P) par exemple, deux travaux qui traitent de la DPMER-Sud-Kivu,
un traitant de la gestion des impôts au sein de la DPI et un autre qui
parle de système de gestion de nouveaux nés notamment :
· En 2010-2011 : le travail de KALOMBWE
Lupango Prosper, dont le sujet porté sur
« l'évaluation des stratégies pour la mobilisation et
l'encadrement des recettes mises en place par la DPMER/Sud-Kivu », il
avait insisté beaucoup plus sur la mobilisation et encadrement des
recettes.
· WALUMBUKA Ilundu Wailavec son
mémoire intitulé : « le système de gestion
desnouveau-nés : de la conception à la mise en réseau
». L'auteur avait mis l'accent sur lacréation d'une base de
données sur un serveur et les accès clients sur la même
machine.
· En 2010-2011 : le travail de OMARI
Apoto, dont le sujet fut : « la DPMER
opportunité ou menace à la DGRAD » comme
résultats, la DPMER sera une menace en croissance étant
donné que la DGRAD avait abandonné une grande part de ses taxes
à la DPMER en plus, elle est en évolution progressive par rapport
à la DGRAD. Aussi, la DGRAD ne continue pas à jouer pleinement
son rôle étant donné que la DPMER oeuvre aussi dans la
parafiscalité et qui implante dans les différents sites où
oeuvre la DGRAD.
· En 2010-2011 : le travail de IRAGI
Rubakuza Chanceline, dont le sujet fut : « gestion
des impôts professionnels sur les rémunérations : cas
de la Direction Provinciale des impôts du Sud-Kivu » comme
résultat, celui-ci est parvenu à réaliser une base de
données de cet impôt et cela en Access.
Les autres travaux traitent de la maximisation des recettes,
la problématique de la parafiscalité, des marketings..., mais pas
de système de gestion relationnelle de quitus de paiement au sein de
cette régie financière. Notre travail s'inscrit dans cette
perspective dont la contribution à la résolution de ces
problèmes est apportée en menant l'étude intitulée
« Système de gestion relationnelle de quitus de paiementen
réseau local au sein d'une régie financière : cas de
la DPMER / Sud-Kivu ».
La réalisation de ce travail n'a pas été
une rose sans épines. Cela étant, nous nous sommes heurtés
à un certain nombre de difficultés mais c'est la
persévérance et la patience qui nous ont permis de les
surmonter :
- Premièrement, le service concerné par notre
recherche n'était pas disponible pour nous recevoir suite à
d'autres priorités administratives ;
- En deuxième lieu, nous avons rencontré des
difficultés d'ordre financier dans lors de nos descentes sur le terrain,
ce qui nous a couté énormément d'argent pour le
transport ;
- Troisièmement en fin, le manque parfois de quoi payer
pour avoir l'accès à l'Internet dans des cybercafés.
Mais malgré toutes ces difficultés
rencontrées, des personnes de bonne volonté nous ont au moins
assistés financièrement et matériellement, ainsi ce
travail a été mené au bout. Voilà comment nous
sommes parvenus à surmonté toutes ces difficultés.
Notre étude comprend, outre une introduction et une
conclusion, quatre grandes parties :
- La premièrepartie parle de notions de base sur la
fiscalité. Ce point éclaire certaines notions de base sur
l'introduction à la fiscalité congolaise et les paramètres
concernés.
- La deuxième partie, quant à elle, traite de
l'approche sur les réseaux informatiques ;
- La troisième partie fait allusion à
l'étude conceptuelle : Analyse organique et fonctionnelle ;
- La quatrième partie enfin, parle du
développement du système et de l'implémentation du
Système de gestion relationnelle de quitus de paiement en réseau
local : un programme applicatif que nous proposons à la
DPMER/Sud-Kivu pour permettre la bonne gestion relationnelle de quitus de
paiement.
Première
partie : NOTIONS DE BASE SUR LA FISCALITE
Chapitre premier :
INTRODUCTION AU SYSTEME FISCAL CONGOLAIS
Le système fiscal congolais est déclaratif en
contrepartie duquel le fisc exerce un droit de contrôle et un droit de
reprise sur quatre ans, à moins que le fisc découvre et justifie
desmanipulations frauduleuses pour permettre un recul de deux ansau-delà
de la durée normale du droit de reprise.Ce système fiscal a un
dispositif juridique fondé sur la loi. Ilconstitue la première
partie de cette présentation. La deuxièmepartie est l'une des
raisons principales de l'impôt : contribuer aufinancement de
l'économie du pays, autrement dit ce que ledispositif rapporte sur le
plan financier.
Une définition de la fiscalité considère
cette dernière comme (6(*)) l'ensemble des textes et règlements
organisant la définition et la perception de l'Impôt.Etant une
composante importante des Finances Publiques, la Fiscalité a pris de
l'ampleur pour devenir aujourd'hui une science aussi importante et vaste que
les autres sciences sociales notamment les Finances Publiques
elles-mêmes.
Vu son importance du fait qu'elle aborde le problème
lié à l'impôt, phénomène non
négligeable des toutes sociétés modernes, la
Fiscalité est devenue aujourd'hui presque la chirurgie à
côté de la Médecine, ou l'Economie Monétaire dans la
Science Economique. En d'autres termes, la Fiscalité se présente
aujourd'hui beaucoup plus comme la science de l'impôt qu'une simple
composante d'une science « Les Finances Publiques ».
1.1. Définitions des
concepts
1.1.1. La fiscalité
Le mot « Fisc » d'où est
tiré l'adjectif « fiscal » vient du latin
« Fiscus » qui signifie « Panier ».
Dans la Rome antique, il désignait une sorte de panier (ou de corbeille)
dans lequel on récoltait l'argent que les citoyens romains devraient
verser pour le compte du Roi. Aujourd'hui, il désigne
« l'administration chargée de la perception des
Impôts ou le Trésor Public».
Donc parler de la fiscalité c'est parler des
impôts qui constituent de nos jours la ressource principale des Etats
modernes.
Ainsi, la fiscalité constitue l'ensemble des textes et
règlements organisant la définition et la perception de
l'impôt. Elle peut être locale ou nationale selon l'organisme
destinataire des fonds recueillis.
1.1.2. Le contrôle
fiscal
Pour le lexique, le contrôle fiscal
est une action de l'administration qui consiste à vérifier
à postériori les déclarations des contribuables (7(*)).
Il permet de sanctionner les fraudes ou de corriger les
erreurs des contribuables. Il a également un effet dissuasif de la
fraude. En pratique, il consiste pour l'administration à examiner la
cohérence des déclarations, à les comparer à la
comptabilité économique, financière et physique.
1.1.3. Le contribuable
C'est toute personne astreinte au paiement des impôts,
droits ou taxes dont le recouvrement est autorisé par la loi.
1.1.4. L'impôt
Déjà entre les deux guerres, Gaston Jèze
donnait la définition suivante : « L'impôt est une
prestation pécuniaire directement requise des particuliers et des
collectivités par voie d'autorité à titre définitif
et sans contre partie, en vue de la couverture des charges publiques ou de
l'intervention de l'Etat pour la réalisation des objectifs
économiques, sociaux et autres».
Sous l'influence de la crise économique mondiale de
1929 et surtout en raison de la deuxième guerre mondiale et des moyens
employés pour la combattre, l'impôt n'apparaît plus
seulement comme le pourvoyeur essentiel des caisses du Trésor Public,
mais aussi comme un instrument utilisé à l'impôt à
d'autres fins économiques et sociaux : l'impôt est dès
lors passé de l'impôt neutre à l'impôt justifier
successible de constituer un moyen d'égalisation de revenu ou un
instrument dénivellement de fortune. C'est ainsi qu'à partir des
années 1930, l'impôt devient un instrument d'intervention de
l'économie dirigée. Désormais on lui assigne la poursuite
de l'objectif économique : favoriser ou au contraire
décourager telle action ou telle opération pour avoir une action
sur la conjoncture ou même transformer la structure économique. Il
est aussi utilisé à des fins économiques, voire sociales.
Tenant compte de cette nouvelle donne, M. Meehl dans la
1ère Edition de son traité de Science et Technique
fiscales, enrichit la définition ci-dessus donnée comme
ci-après : « L'impôt est une prestation
pécuniaire, requise des personnes physiques ou morales de droit
privé et, éventuellement de droit public, d'après leurs
facultés contributives, par voie d'autorité, à titre
définitif et sans contrepartie déterminée, en vue de la
couverture des charges publiques de l'Etat et des autres collectivités
territoriales, ou de l'intervention de la puissance
publique »(8(*)).
Constatant l'absence d'une définition
législative, étant donné que l'impôt relève
de la loi, Pierre BELTRAME (9(*)) abonde presque dans le même sens en
définissant l'impôt comme une prestation pécuniaire requise
des contribuables d'après leurs facultés contributives et qui
opère par voie d'autorité, un transfert patrimonial
définitif et sans contre partie déterminée, en vue de la
réalisation des objectifs fixés par la puissance publique.
1.1.4.1. Origine et historique
de l'impôt
De temps de nos ancêtres au Congo,
c'est-à-dire à l'arrivée de l'homme blanc sur le
territoire, ces derniers connaissaient bien le système fiscal et les
pratiques des chefs de nos royaumes. Les assujettis à ces impôts
étaient généralement des personnes physiques en plein
âges du travail, des professionnels tels que les chasseurs, les
forgerons, ...
La perception de l'impôt se faisait soit en nature
(lorsqu'il s'agit de remettre en disposition ou prélèvement
fixé par l'autorité coutumière, un poisson, une
bête, un morceau de viande ou autre bien) soit en espèce
(lorsqu'il s'agit des perles ou autres espèces de monnaie remise au chef
en imposition. Avec le temps, l'impôt est devenu une affaire publique)
(10(*)). Le terme
impôt a évolué dans le temps et dans l'espace :
Dans les sociétés primitives et traditionnelles
deux conceptions avaient longtemps dominées la notion de
l'impôt : l'impôt don et impôt contrat.
- L'impôt don : celui-ci
était proposé aux sociétés de type familiales. Ici,
l'impôt revêtait la forme d'un don que chaque individu
réserve au chef. A ce stade l'impôt constituait une obligation
morale pour assujetti.
- L'impôt contrat :
caractérisé quant à lui par les sociétés
plurifamiliales ou multi racial ; société ou le
prélèvement constituait une obligation contractuelle naît
de la solidarité vis-à-vis du détenteur du pouvoir quelque
soit son origine par apport à l'assujetti.
- L'impôt soumission :
avec l'apparition des Etats conquérants compétents les
envahisseurs d'un côté et les vaincues de l'autre
côté ; le système fiscal a évolué et a
donné lieu au concept soumission. Ici, l'impôt apparaissait comme
une participation financière ou matérielle plus ou moins accrue
à charge particulièrement des esclaves ; le but du
prélèvement en tant de financer les nouvelles charges de la
conquête. Pour les vaincus, l'impôt est le symbole de la soumission
au profit du groupe vainqueur. Par contre, pour les vainqueurs, l'impôt
est l'expression de la puissance dominante.
Dans sa forme définitive, l'impôt constitue une
« contribution » des citoyens à la charge
d'intérêt publique. Et son sens s'est modernisé avec
l'organisation des Etats modernes, prenant une dimension au-delà de
simple considération financière. Actuellement les règles
concernant ces domaines sont du ressort de la loi publique.Dans la plupart de
pays occidentaux, le vote de l'impôt est à la base du
contrôle du parlement et de l'activité gouvernementale.
1.1.4.2.
Caractéristiques de l'impôt
· L'impôt est une prestation
pécuniaire, c'est-à-dire qu'il se paie en argent et
non en nature car l'Etat a besoin de la monnaie pour acquérir les biens
et les services au même titre que l'individu.
· l'impôt est une prestation
perçue par voie d'autorité, c'est-à-dire
qu'il est établi par la loi. Il faut ici souligner la notion de
l'égalité des citoyens devant l'impôt sauf
dérogation expresse prévue par la loi.
· L'impôt perçu à titre
définitif, c'est-à-dire, il n'est pas à
confondre avec le prêt, une taxe ou une libéralité faite
à l'Etat. Le contribuable ne verra jamais restituer l'argent de
l'impôt sauf en cas de trop perçu par des moyens de
dégrèvement.
· l'impôt est perçu sans contre
partie, c'est-à-dire qu'il est payé pour couvrir
les charges budgétaires de l'Etat sans aucune contre partie directe que
ce soit. Les contribuables ne doivent rien exiger de directe à l'Etat,
quand bien même il bénéficie de la sécurité
ou de l'assurance et d'autres avantages que lui procure l'existence de pouvoir
public. C'set à cela que réside la différence fondamentale
entre impôt et taxe.
· L'impôt est déterminé
selon la capacité contributive de chacun : cela
signifie qu'on devra se forcer de tenir compte des charges sociales et revenus
du contribuable pour asseoir l'impôt11(*).
Enfin, il convient de noter que le concept
« impôt » peut être utilisé dans une
acception étroite (celle adoptée par les définitions
ci-dessus) ou une acception large. Dans son sens large, l'impôt recouvre
tous les prélèvements forcés perçus au profit du
Trésor Public. Certains auteurs font équivaloir l'impôt au
Prélèvement fiscal. En effet, lorsque l'on évoque
l'impôt, on pense avant tout à une ponction effectuée sur
les ressources du contribuable et aux rapports que celui-ci entretient avec le
fisc.
1.1.4.3. Classification des
impôts
Les impôts constituent en règle
générale la principale source de ressources de l'Etat. Outre les
recettes fiscales, celles-ci comprennent les taxes, les recettes
administratives, les revenus du portefeuille de l'Etat et les emprunts.
a. Impôt enrôlé et impôt
non enrôlé.
Le rôle est défini comme un acte administratif
qui fixe la somme à payer par chaque contribuable et l'oblige (de par la
loi) à la verser au compte du Receveur des impôts.Il s'agit donc
d'une liste des contribuables soumis à l'impôt, comportant pour
chacun d'eux la base de l'impôt et le montant de l'impôt à
payer.Le recouvrement par voie de rôle comporte deux
opérations :
- L'établissement et l'homologation du rôle par
l'Administration fiscale
- L'envoi des avertissements extraits de rôle
- Un impôt enrôlé
est dès lors celui qui est perçu après
enrôlement.
Exemple : impôt sur le
bénéfice,...
- Un impôt non
enrôlé : est celui qui est perçu sans
passer par l'enrôlement. C'est le cas pour la plupart des impôts
perçus par voie de retenue à la source.
Exemple : impôt professionnel sur les
rémunérations, impôt sur le chiffre d'affaires,...
b. Impôt direct et impôt non
direct
· L'impôt direct est celui qui frappe
directement :
- soit les revenus du contribuable, tels que les revenus
professionnels, les revenus locatifs ou les revenus mobiliers ;
- soit la fortune ou le capital du contribuable (impôt
foncier, taxe sur les véhicules, impôt sur les
successions,...).
On distingue ici :
1. Les impôts réels sur le trois bases ; ils
comprennent à leur tour :
- Les impôts sur les superficies de concessions
minières et hydrocarbures : il s'agit des impôts qui frappent
toute superficie de concession minière et hydrocarbures
installées sur l'étendue de la RDC lorsque celles-ci n'appartient
plus à l'Etat car ayant été octroyées à
titre définitif ou pour une durée bien définie à
des personnes physiques ou morales pour leur exploitation.
- L'impôt foncier : c'est un impôt assis sur
les superficies bâties et les superficies non bâties. Autrement
dit, il concerne les immeubles et les terrains.
- Les impôts sur les véhicules : concernent
tout véhicule automobile, motocyclette, tracteur, bateau, barge, les
baleinières, ...
2. Impôts cédulaires sur les revenus :
Ces impôts concernent trois catégories à
savoir :
- Les impôts sur les revenus locatifs : ils
concernent des revenus des locations et des sous-locations, des bâtiments
et terrains ou de tout autre bien qui par nature présente les
caractéristiques d'être mis en location.
- Les impôts professionnels sur le
bénéfice : ce sont les impôts perçus sur le
bénéfice réalisé par les entreprises commerciales
et industrielles, personnes physiques ou morales. Les impôts sur le
bénéfice en RDC sont dus même si les entreprises
concernées n'ont pas effectivement réalisé de
bénéfice.
- A ce moment là ces entreprises sont contraintes de
payer un minimum d'impôt appelé impôt au premier
degré (2500 pour les personnes morales et 250 pour les personnes
physiques).
- Les impôts professionnels sur les
rémunérations : ces impôts concernent les
rémunérations versées par les employeurs à leurs
employés par suite de l'exécution d'un contrat de travail.
Ici la charge demeure définitivement supportée
par celui qui en est assujetti. Autrement dit, le contribuable n'a en principe,
pas la possibilité de la répercuter sur autrui.
- L'impôt indirect est celui qui frappe la
dépense ou la consommation. En d'autres mots, les revenus et la fortune
du contribuable ne sont plus frappés directement, mais indirectement,
à l'occasion de leur emploi. En fait, si l'impôt direct frappe le
gain des revenus, l'impôt indirect frappe la dépense des revenus.
Les impôts indirects comprennent les impôts sur le
chiffre d'affaire sont répartis en :
3. L'I.C.A à l'intérieur
Il frappe toutes les affaires réalisées à
l'intérieur du pays et concerne principalement trois opérations
qui sont :
o ventes et opérations assimilées ;
o travaux immobiliers ;
o les prestations de services.
4. L'I.C.A à l'importation
Il a comme base toutes les importations à moins
qu'elles ne soient expressément exonérées. Il a comme
redevable la personne morale ou physique qui importe et le taux d'imposition
est de 3% pour les intrants agricoles, les biens d'équipement, les
produits vétérinaires et les produits d'élevage et de 13%
pour les autres produits.
5. L'I.C.A à l'exportation
Cet impôt a comme base toutes les exportations quelques
en soient leurs natures. Il est assied sur la valeur en douanes
c'est-à-dire la valeur du bien à exporter au moment où il
se trouve à la frontière. Le redevable de cet impôt est la
personne physique ou morale qui est exporté et le taux d'imposition sont
diversifiés et tiennent compte de la nature du bien à
exporter.
6. L'impôt personnel minimum
Cet impôt est perçu par les collectivités
locales et communes et concerne les personnes physiques adultes qui
résident effectivement en RDC quelles que soient leurs
nationalités. Le taux d'imposition est déterminé par le
ministre de l'intérieur sous proposition du gouvernement de province. Le
paiement de ces impôts intervient chaque le 10 du mois qui suit celui de
versement de rémunération.
7. Impôt mobilier
C'est un impôt qui s'applique :
- Au revenu d'action ;
- Au revenu de parts des associés ;
- Au revenu des capitaux empruntés à des fins
professionnelles ;
- Aux tantièmes alloués aux membres du conseil
d'administration ;
- Aux revenus de parts des associés non
actifs ;
- Aux montants nets de redevances.
Le taux de cet impôt est fixé à 20% des
redevables sont les personnes physiques et les personnes morales.
- Ici, pour ce qui des impôts indirects, la charge est
répercutée sur autrui. En d'autres termes, celui qui paie cet
impôt auprès du fisc (redevable) n'est pas en fait celui qui en
supporte le poids (contribuable). Ce dernier est atteint indirectement par le
truchement du redevable.
Exemple : Les impôts sur les chiffres d'affaire,
les droits d'entrée et de sortie, les droits d'accises (de
consommation).
NB : les impôts indirects
sont moins équitables que les impôts directs car non personnels.
Dans certains systèmes fiscaux, cette classification a
généré la classification administrative
c'est-à-dire en matière d'organisation des services
administratifs de perception, on y dissocie le Département
d'impôts directs du Département d'impôt indirects.
c)Taxe : est un
prélèvement fiscal légal direct ou indirect perçu
par l'Etat. En d'autres termes, est un prix fixé d'une manière
autoritaire, part d'imposition que doit payer un particulier,
procédé de répartition des charges publiques
proportionnellement aux services rendus, somme établie par ce
procédé et que doit payé le bénéficiaire
d'une prestation fournie par l'autorité.
Il convient de retenir que la taxe, contrairement à
l'impôt, a en principe une contrepartie.
1. Les taxes parafiscales :
constituent dès lors des taxes se rapprochant de l'impôt de par
certains de leurs caractères (elles sont obligatoires pour tout celui
qui tombe dans leur champ d'application,...). Pour nombreux auteurs, notamment
Pierre Beltrame (12(*)),
les taxes parafiscales sont perçues dans un intérêt
économique ou social, au profit d'une personne morale de droit public ou
privé autre que l'Etat, les collectivités territoriales et leurs
établissements publics ou administratifs ». Ces taxes
diffèrent de l'impôt par le caractère
spécialisé de leur finalité (intérêt
économique et social), la qualité de leurs
bénéficiaires (les organismes) et leur nature juridique
(compétence du pouvoir réglementaire).
2. La taxe administrative : est
une taxe rémunératoire prélevée à l'occasion
d'un service rendu par un établissement public.
Deuxième
partie : APPROCHE RESEAU
Chapitre
deuxième : LES RESEAUX INFORMATIQUES
2.1. Bref aperçu sur les réseaux
informatiques13(*)
Pour des raisons d'efficacité, on essaie de plus en
plus de connecter des systèmes indépendants entre eux par
l'intermédiaire d'un réseau. On permet ainsi aux utilisateurs ou
aux applications de partager et d'échanger les mêmes
informations.
Depuis une dizaine d'années, la majorité des
entreprises ont mis leurs ressources informatiques en réseau. Un
réseau est un ensemble de matériels électroniques
interconnectés (14(*)). En d'autres termes, un réseau des
données est donc un ensemble d'entités informatiques communicant
ensemble. Ces réseaux sont apparus suite à une demande des
entreprises qui cherchaient une méthode pour éviter la
simplification des communications des données entre les
équipements informatiques. Les extrémités des connexions
sont désignées par le terme de noeud. Un noeud est un ordinateur
personnel ou autre unité connectée au réseau par
l'intermédiaire d'une carte de réseau ou d'un pilote de LAN
(15(*)). Un réseau
local est constitué d'ordinateurs reliés par un ensemble
d'éléments matériels et logiciels. Les
éléments matériels permettant d'interconnecter les
ordinateurs sont les suivants :
2.1.2. Les constituants
matériels16(*)
· La carte réseau (parfois
appelé coupleur): il s'agit d'une carte connectée
· Le transceiver (appelé aussi
adapteur): il permet d'assurer la transformation dessignaux
· La prise: il s'agit de
l'élément permettant de réaliser la jonction
mécanique
· Le support physique d'interconnexion:
c'est le support (généralement filaire, c'est-à-dire: le
câble coaxial, la paire torsadée, la fibre optique, ...
2.1.1.
Connectabilité.
La Connectabilité est l'aptitude d'un équipement
informatique à fonctionner dans un réseau donné du fait de
ses caractéristiques matérielles et logicielles (17(*)).
2.1.2. Connectique
Pour connecter les appareils entre eux, on utilise
généralement des câbles et des équipements
spécialisés, tels que des hubs, des Switch ou des routeurs,.
Chaque appareil à connecter au réseau doit comporter une ou
plusieurs cartes électroniques munies de prises (interfaces)
correspondant au type de câble envisagé.
2.2. Classification des
réseaux18(*)
On peut établir une classification des réseaux
à l'aide de leur taille. Les réseaux sont divisés en
quatre grandes familles. Nous allons différencierici: PAN, LAN, MAN et
WAN.
2.2.1. Les réseaux PAN :
Personnal Area Network (réseau Personnel)
Ce type de réseau interconnecte des équipements
personnels comme un portable (ordinateur, téléphone, PDA), un
ordinateur fixe, une imprimante, etc. Il s'étend sur quelques dizaines
de mètres. Les débits sont importants (quelque
Mégabits/s).
2.2.2. Les réseaux LAN:
Local Area Network (Réseaux Locaux)
Ce type de réseau couvre région
géographique limitée (réseau intra-entreprise) et peut
s'étendre sur plusieurs kilomètres. En d'autres termes,
permettent un accès multiple aux médias à large bande, ils
assurent une connectivité continue si nous pouvons bien le dire aux
services locaux tels que (Internet, messagerie,...). Les machines adjacentes
sont directement et physiquement reliées entre-elles. Les débits
sont très importants (quelque Mb/s à quelque Gb/s).
2.2.3. Les réseaux MAN :
Metropolitan Area Network (Réseaux métropolitains)
Ce type de réseau possède une vaste couverture
qui peut s'étendre sur toute une ville et relie des composants
appartenant à des organisations proche géographiquement (quelque
dizaine de Kilomètres). Il permet ainsi la connexion de plusieurs LAN.
Le débit courant varie jusqu'à 100 Mb/s.
2.2.4. Les réseaux WAN:
Wide Area Network (Réseaux Etendus)
Ce type de réseau couvre une très vaste
région géographique et permet de relier des systèmes
disperses à l'échelle planétaire (plusieurs milliers de
kilomètres). Toutefois, étant donné la distance à
parcourir, le débit est plus faible (de 50 b/s à quelque Mb/s).
Mettre au point un de ce type de réseaux, exige une topologie
(configuration physique des équipements informatiques d'un même
réseau) à suivre.
2.3. Topologies de base
utilisées dans les réseaux19(*)
La topologie d'un réseau recouvre tout simplement la
manière dont sont reliés entre eux ses différents
composants et dont ils réagissent. Nous distinguerons les topologies
physiques ; décrivant la manière dont les équipements
sont reliés par des médias ; des topologies logiques ;
décrivant la manière dont les équipements communiquent. On
en distingue différents types : en étoile, en bus, en anneau,
mixte et en arbre, qui ont chacun des avantages et des inconvénients. Un
grand réseau est en fait constitué d'une myriade de petits
réseaux interconnectés, chacun d'entre eux reposant sur une
topologie particulière. Un grand réseau a donc en fait diverses
composantes de topologies différentes, mais il aura également une
topologie générale qui sera soit en étoile, soit en bus,
soit en anneau.
2.3.1. Topologie en
étoile
Son fonctionnement est simple. Le noeud central reçoit
et renvoi tous les messages. Elle est moins vulnérable sur rupture de
ligne. La panne du noeud central paralyse tout le réseau. Son mode est
point à point (avec Switch) ou diffusion (avec hub).
2.3.2. Topologie en anneau ou
boucle
Chaque station de sortie a toute la possibilité de
prendre la parole, et de recevoir le message de son voisin en aval. La station
émettrice retire le message de son voisin en aval. La station
émettrice retire le message lorsqu'il lui revient, si une station tombe
en panne, il y a mise en place d'un système de contournement de la
station et s'il y a rupture de ligne, tout s'arrête (sauf si on a
prévu une deuxième boucle). Son mode de fonctionnement est le
point à point. Elle a aussi comme avantage : extension aisée
des équipements (1 câble par équipement), bonne performance
avec forte charge.
2.3.3. Topologie en bus
Très facile à mettre en oeuvre, à tout
moment une seule station a le droit d'envoyer un message. La rupture de la
ligne provoque l'arrêt du réseau, la panne d.une station ne
provoque pas de panne du réseau. Son mode est le mode de diffusion. Elle
a comme avantage : extension aisée des équipements (1
câble par équipement), économique en câblage, la
panne d'une station est sans conséquence.
2. 3.4. Topologie en Arbre
Peut être considérée comme une topologie
en étoile dans la quelle chaque station peut être une station
centrale d'un sous ensemble de station formant une structure en étoile.
Très complexe pour la mise en place, son mode est le point à
point.
2.3.5. Topologie en
réseau maillé
Tous les ordinateurs du réseau sont reliés les
uns aux autres par des câbles séparés. On a une meilleure
fiabilité. Si une station tombe en panne le réseau continu de
fonctionner même s'il y a rupture de ligne. Son inconvénient est
qu'il est très coûteux, son mode est point à point.
La formule pour connaitre le nombre de câbles est , avec n lenombre d'ordinateurs. Donc rien qu'avec 8 ordinateurs par
exemple, ça nous donnera 8(8-1)/2, soit 28 câbles. Cette topologie
reste peu utilisée vu la difficulté à mettre en place une
telleinfrastructure.
2.3.6. Topologie mixte
Trop simpliste au fait que c'est l'ensemble d'autres
topologies, dans le cadre de relier les bâtiments, un réseau
mondial ne peut utiliser une liaison de ce type. Quelque soit l'architecture
d'un réseau, il existe deux modes de fonctionnement pour ce dernier.
2.4. Réseau local ou
LAN
2.4.1. Mise en place
Le but de mettre les ordinateurs en réseau local
étant de transférer les fichiers, de partager des données,
de discuter, etc. La mise en réseau de plusieurs ordinateurs est
extrêmement peu onéreuse. Ainsi, il exige un système de
configuration approprié à chaque type de matériel.
L'alternative est d'utiliser du câble UTP (RS45). Au contraire du
câble coaxial, les ordinateurs sont reliés à une
unité centrale appelé hub. Selon la topologie des lieux, cette
solution est plus pratique, et le réseau de ce type est aussi
appelé réseau Internet. Ou réseau RJ45. Le type de
câble utilisé détermine la vitesse maximale de transmission
des données, ainsi que le standard de connexion des réseaux. Dans
le cas de paire torsadée, on utilise du câble
téléphonique. Néanmoins, ces câbles sont repris
suivant leurs caractéristiques physiques (diamètres, isolant,
longueur de torsades) dans différentes catégories ci-dessous.
2.4.2. La configuration d'un
réseau ad hoc sous Windows 7 Professionnel
La configuration d'un réseau local se réalise
avec succès si seulement les machines sont déjà
reliées physiquement par les éléments de connexion que
nous avons cités un peu plus haut dans ce travail. Il existe plusieurs
façons de configurer une ou plusieurs machines en réseau local,
mais nous allons nous baser sur une configuration simple d'assistant que nous
offre Windows.
Les figures ci-dessous guident étape par étape
sur la configuration d'un réseau ad hoc en Windows 7 Professionnel.
Pour commencer, allez dans la barre de tâche, cliquez
sur l'icône de connexion, dans le menu qui s'ouvre, cliquez sur ouvrir le
centre réseau et partage.
Cliquez sur configurer un réseau sans fil ad hoc
(ordinateur à ordinateur), configurer un réseau temporaire pour
le partage de fichiers ou d'une connexion Internet.
On clique sur le bouton suivant.
Puis on met le nom du réseau, le type de
sécurité et la clé de sécurité puis cliquer
sur suivant.
Dans cette fenêtre qui s'ouvre, cliquer sur
propriétés.
Dans la fenêtre de propriété de connexion
au réseau local qui s'ouvre, dans le volet Gestion de réseau,
dans la zone de texte : cette connexion utilise les éléments
suivants, sélectionnez Protocole internet version 4 (TCP/IPv4), puis
cliquez sur le bouton propriétés.
Dans la fenêtre Propriétés de Protocole
Internet version 4 (TCP/IPv4), cliquez sur le bouton radio : utiliser
l'adresse IP suivante, dans la zone de texte Adresse IP, saisissez les nombres
qui définissent votre adresse comme le montre la fenêtre
ci-haut.Dans toutes les machines à connecter, les trois premières
combinaisons doivent être les mêmes, la dernière change
suivant les machines (si deux machines ont une même combinaison de fin il
aura conflit entre les deux).Le protocole Internet version 4 (TCP/IPv4) permet
aux machines de se comprendre physiquement dans un réseau. Le masque de
sous réseau vient parfois automatiquement, il y a lieu aussi de le
changer. Cliquez sur le bouton OK pour prendre en compte la configuration de
protocole Internet version 4 (TCP/IPv4).
La commande Netstatnous permet de
vérifier le bon fonctionnement de la couche TCP/IPv4. Elle permet aussi
par exemple, de visualiser les connexions actives.
Pour tester le bon fonctionnement de votre réseau, vous
pouvez utiliser la commande ping (Packet Internet
Groper). En d'autres termes, ce programme permet de savoir si une
station IP est active et, plus généralement, si le réseau
fonctionne correctement entre deux points. Autre fonction intéressante,
ce programme est disponible sur les routeurs et les PC Windows, etc. De plus,
le ping mesure le temps de réponse aller-retour, ce qui est une bonne
indication sur les performances du réseau.
Le protocol ARP nous permet d'obtenir l'adresse MAC à
partir d'une adresse réseau. La commande arp
-a nous permet d'avoir l'idée d'ensemble sur le nombre de
machines qui sont connectées au serveur.
Troisième
partie :MODELISATION DU SYSTEME
Toute résolution de problème quel qu'il soit,
nécessite une, voire plusieurs phases de réflexion plus ou moins
longues en fonction de l'ampleur et du type du problème. Lors d'un
projet informatique, cette réflexion doit pouvoir être comprise et
reprise par toute personne intervenant sur le projet. C'est pourquoi, ont
été définies des méthodes d'analyse.
Les méthodes d'étude des systèmes
d'information ont pour objectif de décrire ces systèmes à
l'aide des modèles, puis réaliser les systèmes
informatisés qui en découlent. MERISE est l'une de ces
méthodes, la plus rependue d'analyse du système d'information
d'une entreprise.
MERISE est une méthode de conception, de
développement et de réalisation des projets informatiques.
L'objectif de cette méthode dans ce travail est d'arriver à
concevoir un système d'information. La méthode MERISE est
basée sur la séparation des données et des traitements
à effectuer en plusieurs modèles.
Elle propose ce qu'on appelle cycle d'abstraction de
conception des systèmes d'informations. Cela veut dire qu'on va partir
de la réalité physique et la présenter dans l'ordinateur.
La conception d'un système d'information se fera par étape afin
d'aboutir à un système d'information fonctionnel reflétant
une réalité physique. Il s'agit donc de valider une à une
chacune des étapes en tenant en compte le résultat de la phase
précédente donc ces étapes ne sont pas
indépendantes. Elles sont liées les unes les autres. D'autre
part, les données étant séparées de traitement, il
faut vérifier la concordance entre données et traitement afin de
vérifier que toutes les données nécessaires au traitement
sont présentes et s'il n'y a pas de données superflu.
Chapitre
Troisième : ANALYSE ORGANIQUE ET FONCTIONNELLE
3.1. Analyse de l'existant
3.1.1. Diagramme de flux et
circulation de l'information
a) Circulation de l'information
Toute personne physique ou morale qui exerce une
activité rémunératrice doit se faire enregistrer au
service des impôts. Le contribuable se présente à la
Direction Provinciale pour la Mobilisation et Encadrement des Recettes
(DPMER-Sud-Kivu) avec son dossier qui comprend principalement son
identité et son adresse complète. Il est alors reçu au
secrétariat de direction par le secrétaire qui réceptionne
le dossier et à son tour le transmet au près du directeur pour
étude, orientation ou prise de décision.
b) Diagramme de flux de l'existant
Sec. / DPMER
Div. Contrôle
22
23
Banque
Contribuable
Recouvrement
Comptabilité
Div. impôt et taxes
1
3
9
14
20
21
13
10
8
5
4
24
11
17
6
2
18
15
12
16
21
Contribuable
3
1
9
21
12
15
18
2
6
5
8
4
14
Div. impôt et taxes
16
10
13
Banque
17
11
21
Recouvrement
24
20
Comptabilité
Légende :
1. le contribuable se présente à la
DPMER-Sud-Kivu, il est reçu au secrétariat de direction ;
2. son dossier est envoyé à la Division.
impôt et taxes ;
3. le contribuable revient au sec. /DPMER pour avoir la
réponse et est orienté à la div. taxes et doc. ;
4. à la division. impôt et taxe, pour se rendre
compte de la manière dont son dossier est traité et en fournir
des informations supplémentaires ;
5. il reçoit l'IdNat., les impôts à payer
et l'ouverture du dossier fiscal ;
6. la division. taxes et doc informe la direction comment le
dossier sera géré ;
7. la liste de nouveaux cas est transmise à la div. Rec
et à la direction ;
8. le contribuable retire la déclaration à la
Div. Rec. ;
9. le contribuable complète la déclaration et
passe au Sec. /DPMER pour cacheter cette dernière ;
10. le contribuable dépose la déclaration au
Div. Rec ;
11. la liste de déclaration est transmise à la
Div. impôt et taxe. ;
12. la même liste est transmise au Sec. /DPMER ;
13. la Div. Rec établit la note de perception que le
contribuable retire ;
14. le contribuable présente la note de perception
à la banque pour payement ;
15. la banque établit le relevé journalier et le
transmet au Sec. /DPMER ;
16. le relevé est envoyé à la div. Rec.
pour apurement de la note ;
17. la div. taxe et doc transmet la liste des taxations
d'office à la div. contrôle ;
18. la même liste est transmise au Sec. /DPMER ;
19. le relevé et les preuves de payement sont transmis
à la comptabilité pour des écritures comptables ;
20. la liste de défaillant en payement est transmise
à la div. contrôle ;
21. cette même liste est envoyée au Sec.
/DPMER ;
22. la div. contrôle établit la liste des
dossiers à vérifier ;
23. la direction donne les ordres de mission aux
vérificateurs commis aux dossiers à vérifier ;
24. les vérificateurs vont sur le terrain pour le
contrôle ;
3.1.2. Analyse des moyens et
des documents
Cette étude concerne l'analyse des informations
échangées entre le contribuable et le service d'impôt
foncier. Mais aussi des moyens dont la DPMER dispose.
3.1.2.1. Etude des
moyens :
a) les moyens humains
La Direction Provinciale pour la Mobilisation et l'Encadrement
des Recettes /Sud-Kivu emploi un personnel selon les grades :
- un directeur provincial
- un directeur provincial adjoint
- les chefs de divisions
- les attachés de bureau de 1ère
classe
- attachés de bureau de 2ème
classe
- agents de bureau de 1ère classe
- agents de bureau 2ème classe
- les huissiers
b) Les matériels
La Direction Provinciale pour la Mobilisation et l'Encadrement
des Recettes utilise les moyens matériels ci-après :
- des ordinateurs et accessoires
- supports d'informations (papiers, fichiers, cahiers,
...)
- les engins de transport et des appareils de
communication.
3.1.2.2. Analyse des
documents
a) Déclaration :
C'est un document que le contribuable complète à
la fin de l'échéance, qui reprend l'identification du redevable,
le calcul de l'impôt, le mode de versement et une partie
réservée à l'administration.
b) Note de perception :
Il faut noter qu'à la réception de celle-ci, le
contribuable devient redevable direct vis-à-vis de l'Etat Congolais.
Cette note de perception est payable dans les 48 heures qui suivent la
réception car valant espèce. Elle reprend la nature d'impôt
et le montant d'impôts équivalant, elle est soit manuelle soit
informatisée.
c) Le relevé de payement :
C'est un document que la banque donne au déposant en
guise de certificat que la banque a encaissé le montant dû.
3.1.3. Critique de l'existant
et proposition des solutions
3.1.3.1. Critique de
l'existant
a) Circulation de l'information
Avec le diagramme de flux présenté
précédemment, le contribuable est tenu de tourner dans la Div.
/Rec et au Secrétariat de la Direction. A partir du bureau accueil de la
Div. / Rec, le contribuable pourrait déposer la déclaration si
elle est bien complétée et ce bureau pourra alors à son
tour se charger de faire circuler la déclaration et le contribuable
reviendra prendre la note de perception.
3.1.3.2. Proposition de
solutions
De ce qui précède, nous trouvons que le
contribuable fait beaucoup de tours dans la Div. /Rec. C'est ainsi que nous
proposons que le contribuable soit reçu directement par le service
concerné au lieu de passer à la Division et que le rapport
transmis par les différentes divisions soit accessible par la Direction
pour se rendre compte de la situation journalière de chaque contribuable
enregistré soit hebdomadairement et ou même mensuellement.
· Démarche de construction du diagramme de
flux
Division d'impôt et taxes
msg2
msg3
Contribuable
Banque
Sec. /DPMER
Gestionnaire de contribuables
Gestionnaire de déclarations
Gestionnaire de recettes
msg1
msg6
msg5
msg4
Le diagramme de flux ci-dessus est un modèle à
six acteurs : deux acteurs externes (le contribuable et la banque) et
quatre acteurs internes : le secrétariat, le gestionnaire de
contribuable, gestionnaire de déclaration et le gestionnaire de
recettes.Il est à noter qu'un flux désigne un transfert
d'information entre deux acteurs du système.
3.2. Conception du
système d'information organisé
La phase de conception exige qu'on puisse
réfléchir profondément aux tenants et aboutissants de ce
qu'on veut réaliser avant de s'attaquer à tout problème.
La conception des bases de données ne fait pas exception à la
règle. Les théories de l'information ont donc proposées
des stratégies (méthodes) permettant de structurer les
pensées et présenter de manière abstraite le travail que
l'on souhaite réaliser. La modélisation consiste à
créer une représentation virtuelle conventionnelle d'une
réalité de façon à faire ressortir les points
auxquels on s'intéresse (20(*)).
3.2.1. Les données :
Les données sont des informations
représentées sous forme conventionnelle, afin de pouvoir
être traitées automatiquement (21(*)). La conception du système d'information se
fait par étapes afin d'aboutir à un système fonctionnel
reflétant une réalité physique. La connaissance des
données à utiliser dans un SGBD est indispensable à toute
personne désirant concevoir une base de données qui va
gérer un système d'information.
La question est donc de valider une à une chacune des
étapes de la conception du système, en prenant en compte les
résultats de la phase précédente d'une part (prise en
compte des éléments de l'étape précédente).
D'autre part, vérifier la concordance entre données et traitement
après leur séparation, afin de certifier que toutes les
données nécessaires au traitement sont représentées
et qu'il n'y a pas des données superflues et redondantes.
3.2.2. Identification des
acteurs et leurs responsabilités
Est considérée comme acteur toute personne
morale ou physique capable d'émettre ou de recevoir des informations
liées à une activité au sein du système
d'information d'une organisation et participant activement à un
événement. Selon le cas, il peut s'agir d'une catégorie de
personne, d'un service ou du système d'information d'une autre
organisation. Un acteur reçoit un flux d'information, qui lui permet
d'agir en transformation et en renvoyant un ou plusieurs autres flux
d'information à d'autres acteurs. Les acteurs suivants interviennent
dans le système de gestion relationnelle de quitus de paiement en
réseau local au sein de cette régie financière. Il s'agit
de :
Tableau N°1 : Tableau d'identification
des acteurs
Acteurs
|
Rôles
|
Utilisateur (Administrateur)
|
- assurer la gestion de la base des données ;
- attribuer aux utilisateurs des pages d'accès ;
- vérifier si les différents services utilisent
correctement les pages d'accès ;
- faire l'impression des rapports des différents
services ;
- recevoir les avis de services et les traiter ;
- faire la mise à jour des données si
nécessaire ;
|
Gestionnaire de contribuable
|
- enregistrer le contribuable dans le répertoire
général ;
- faire un avis de modification au gestionnaire de la base des
données ;
- recevoir des informations nouvelles du contribuable ;
- faire un avis d'impression du répertoire au
gestionnaire de la base des données ;
- faire un avis d'élaguer (effacer ou couper) un
contribuable du répertoire au gestionnaire de la BD ;
- utiliser le répertoire ;
|
Gestionnaire de
déclaration
|
Déclarations
|
|
Gestionnaire des recettes
|
Notes de perception
|
|
|
|
|
Source : composé par nos propres
soins
3.2.3. Recensement et
description des entités22(*)
Une entité est un élément concret ou
réel envisagé de façon abstraite (23(*)). Pour éviter les
redondances, tout objet où entité doit avoir de
propriétés, une propriété ne doit figurer
qu'à un seul endroit du modèle d'objet. Une
propriété est une donnée technique d'un objet informatique
logiciel ou matériel, une information élémentaire
attachée à un objet (24(*)).
3.2.4. Recensement des
objets
Un objet est une chose matérielle ou
immatérielle qui forme un tout, et qui est une unité
structurée et limitée. On définit un objet par tâche
ou par la fonction qu'il accomplit. Il doit contenir en lui-même tous les
éléments dont il a besoin (25(*)).
3.2.5. Description des
objets
Dans le tableau qui suit se trouve les
propriétés des objets qui interviennent à la connexion (au
login).
Tableau N°2 : Tableau descriptif des
objets
N°
|
Entités/Objets
|
Code
|
Propriétés
|
Natures
|
1
|
ADMINISTRATEUR
|
Adm
|
Id
Nom
Postnom
Login
Pw
Mail
|
INT
VARCHAR
VARCHAR
TEXT
TEXT
VARCHAR
|
2
|
GESTIONNAIRE DE DECLARATION
|
Gdc
|
Id
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
Mail
|
INT
VARCHAR
VARCHAR
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
VARCHAR
|
3
|
GESTIONNAIRE DE RECETTES
|
Grc
|
Id
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
Mail
|
INT
VARCHAR
VARCHAR
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
VARCHAR
|
4
|
GESTIONNAIRE DECONTRIBUABLE
|
Gctr
|
Id
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
Mail
|
INT
VARCHAR
VARCHAR
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
TEXT
VARCHAR
|
Source : KASELE W., Cours
de conception des systèmes d'information, inédit,
ISP/BUKAVU, L1 IG, 2011-2012
3.2.6. Description d'autres
objets.
Dans le tableau suivant, sont regroupés les objets
utilisés et qui n'interviennent pas au niveau de la connexion.
Tableau N°3 :Tableau descriptif d'autres
objets.
N°
|
Entités/Objets
|
Codes
|
Propriétés
|
Natures
|
1.
|
DECLARATION
|
Decl
|
Numdecl
Id_gestionnaired
NumIdnat
Id_contribuable
Datedecl
Numdepot
Montimpot
|
INT
INT
VARCHAR
INT
DATE
INTEGER
DOUBLE
|
2.
|
CONTRIBUABLE
|
Contr
|
Id_contribuable
Id_gestionnairec
Nom
Postnom
Nationalite
Mail
TELEPHONE
Dated
Adresseph
Etat
|
INT
INT
VARCHAR
VARCHAR
TEXT
VARCHAR
TEXT
DATE
TEXT
TEXT
|
3.
|
NOTE
|
N
|
Num_notes
Id_contribuable
Montantpaie
Dateperc
Id_gestionnairer
Id_banques
|
INT
INT
INT
DATE
INT
INT
|
4.
|
BANQUE
|
Bq
|
Code_banques
Nombanques
|
INT
VARCHAR
|
5.
|
ACTIVITE
|
Act
|
Code_activite
Lib_activites
|
INT
VARCHAR
|
6.
|
EXERCICE
|
Exe
|
Id
Designation
|
INT
VARCHAR
|
7.
|
ANNEE
|
An
|
Code_annee
Desi_annee
|
INT
VARCHAR
|
Source : composé par nos propres
soins
3.2.7. Description de
propriétés26(*)
Dans le tableau ci-dessous sont reprises les
propriétés de nos deux tableaux que nous venons de tracer
ci-haut, tout en donnant les significations de leurs représentations.
Tableau N°4 :Tableau descriptif de
propriétés
N°
|
Nom propriété
|
Définition
|
1.
|
Id
|
Numéro d'ordre d'enregistrement
|
2.
|
Nom
|
Nom de l'administrateur
|
3.
|
Postnom
|
Postnom de l'administrateur
|
4.
|
Login
|
Nom d'ouverture d'un compte
|
5.
|
Pw
|
Mot de passe de l'utilisateur (administrateur)
|
6.
|
Mail
|
Adresse mail de l'administrateur
|
7.
|
Id
|
Numéro d'ordre d'enregistrement du G
déclaration
|
8.
|
Nom
|
Nom du gestionnaire de déclaration
|
9.
|
Postnom
|
Postnom du gestionnaire de déclaration
|
10.
|
Sexe
|
Sexe du gestionnaire de déclaration
|
11.
|
Login
|
Nom d'ouverture de la session
|
12.
|
Pw
|
Mot de passe d'ouverture de la session
|
13.
|
Adresse
|
Adresse du gestionnaire de déclaration
|
14.
|
Telephone
|
Numéro de téléphone du gestionnaire
déclaration
|
15.
|
Mail
|
Adresse mail du gestionnaire de déclaration
|
16.
|
Id
|
Numéro d'ordre d'enregistrement du G contribuable
|
17.
|
Nom
|
Nom du gestionnaire de contribuable
|
18.
|
Postnom
|
Postnom du gestionnaire de contribuable
|
19.
|
Sexe
|
Sexe du gestionnaire de contribuable
|
20.
|
Login
|
Nom d'ouverture de la session
|
21.
|
Pw
|
Mot de passe d'ouverture de la session
|
22.
|
Adresse
|
Adresse du gestionnaire de contribuable
|
23.
|
Telephone
|
Numéro de téléphone du gestionnaire
contribuable
|
24.
|
Mail
|
Adresse mail du gestionnaire de contribuable
|
25.
|
Id
|
Numéro d'ordre d'enregistrement du G de recettes
|
26.
|
Nom
|
Nom du gestionnaire de recettes
|
27.
|
Postnom
|
Postnom du gestionnaire de recettes
|
28.
|
Sexe
|
Sexe du gestionnaire de recettes
|
29.
|
Login
|
Nom d'ouverture de la session
|
30.
|
Pw
|
Mot de passe d'ouverture de la session
|
31.
|
Adresse
|
Adresse du gestionnaire de recettes
|
32.
|
Telephone
|
Numéro de téléphone de gestionnaire de
recettes
|
33.
|
Mail
|
Adresse mail du gestionnaire de recettes
|
30.
|
Id
|
Numéro d'ordre d'enregistrement du contribuable
|
31.
|
Nom
|
Nom du contribuable
|
32.
|
Postnom
|
Postnom du contribuable (redevable)
|
33.
|
Nationalite
|
Nationalité du contribuable
|
34.
|
Mail
|
Adresse mail du contribuable
|
35.
|
Telephone
|
Numéro de téléphone du contribuable
|
36.
|
Dated
|
Date à laquelle la déclaration a
été réalisée
|
36.
|
Adresseph
|
Adresse physique du contribuable
|
37.
|
Numdecl
|
Numéro d'ordre de la déclaration
|
38.
|
Datedecl
|
Date de la déclaration
|
39.
|
Montdecl
|
Montant déclaré
|
40.
|
Codebanque
|
Code de la banque
|
41.
|
Nombanque
|
Nom de la banque
|
42.
|
Datepay
|
Date du payement
|
43.
|
Numrel
|
Numéro du relevé de payement
|
44.
|
Tresorpublic
|
Montant à payé au trésor public
|
45.
|
Numnp
|
Numéro de la note de perception
|
46.
|
Numcontr
|
Numéro du contribuable
|
47.
|
Dateretr
|
Date du retrait de la note de perception
|
48.
|
Codeactiv
|
Code de l'activité exercée par le
contribuable
|
49.
|
Libactiv
|
Libellé de l'activité
|
Source : composé par nos
soins
3.2.8. Recensement et
description des associations entre entités
Une relation ou association est une liaison qui unit deux ou
plusieurs objets (entités). L'association est définie par les
règles de gestion dans l'entreprise, elle est toujours formalisée
par un verbe à l'infinitif ou par des prépositions. (27(*)) Par exemple, dans notre
travail, un gestionnaire de contribuables est en relation avec le contribuable
par le fait de l'avoir enregistré, l'enregistrementest donc la relation
qui joint ces deux objets.
3.2.9. Recensement des
relations
Une relation peut ne pas posséder des informations.
Quand elle en a, elle est de nature dynamique. En revanche elle est de nature
factuelle. Une relation possède toujours un nom (28(*)). Dans notre cas, la relation
qui unit l'entité contribuable et l'entité activité est la
relation appartenir qui n'a aucune information à fournir.
3.2.10. Description des
relations et leurs propriétés
Dans le tableau ci-dessous sont démontrées
toutes les relations avec les entités qui sont reliées par ces
dernières.
Tableau N°5 :Tableau descriptif des
relations et leurs propriétés
N°
|
Relations
|
Description
|
Propriétés
|
Entités reliées
|
1.
|
Ajouter
|
Elle décrit une relation entre l'administrateur et ses
gestionnaires(autres utilisateurs)
|
Date ajout
|
Administrateur et gestionnaire déclaration, gestionnaire
contribuable, gestionnaire recettes.
|
2.
|
Enregistrer 1
|
Elle décrit une relation entre le gestionnaire de
déclaration et la déclaration. Ladéclaration et
enregistrée.
|
Numenreg
Dateenreg
|
Gestionnaire déclaration et déclaration
|
3.
|
Enregistrer 2
|
Elle décrit une relation entre legestionnaire du
contribuable et le contribuable. Le contribuable est enregistré.
|
Numenreg
Dateenreg
|
Gestionnaire de contribuable et Contribuable
|
4.
|
Etablir
|
Elle décrit la situation de l'établissement de la
note de perception.
|
Numnp
Dateetab
Montetab
|
Gestionnaire de recettes et Note de perception
|
5.
|
Compléter
|
Elle décrit la situation entre le contribuable et la
déclaration
|
Datecomp
Montcomp
|
Contribuable et déclaration
|
6.
|
Appartenir
|
Elle décrit la situation de l'appartenance de
l'activité au contribuable
|
-
|
Contribuable et activité
|
7.
|
Retirer
|
Elle décrit la situation du retrait de la note de
perception par le contribuable.
|
Dateretr
|
Note de perception et contribuable
|
8.
|
Etablir 2
|
Elle décrit la situation de l'établissement de
relevé de payement par la banque
|
Dateetab
|
Banque et relevé de payement
|
Source : composé par nos propres
soins
3.2.11. Le dictionnaire des
données
Le dictionnaire des données est un document qui permet
de recenser, de classer et de trier toutes les informations (les
données) collectées lors des entretiens ou de l'étude des
documents. Le dictionnaire peut être plus ou moins élaboré
selon le niveau de granularité souhaité.
Tableau N°6 : tableau de dictionnaire
des données
CHAMPS ou NOM DE LA DONNEE
|
TYPES ou FORMAT
|
TAILLE ou LONGUEUR
|
N°
|
INTITULE
|
|
|
1
|
Id_admin
|
INTEGER
|
10
|
2
|
Nom
|
VARCHAR
|
30
|
3
|
Postnom
|
VARCHAR
|
30
|
4
|
Login
|
TEXT
|
20
|
5
|
Pw
|
TEXT
|
20
|
6
|
Mail
|
VARCHAR
|
30
|
1
|
Id_gestionnaired
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Nom
|
VARCHAR
|
30
|
3
|
Postnom
|
VARCHAR
|
30
|
4
|
Sexe
|
TEXT
|
8
|
5
|
Login
|
TEXT
|
20
|
6
|
Pw
|
TEXT
|
20
|
7
|
Adresse
|
TEXT
|
50
|
8
|
Mail
|
VARCHAR
|
30
|
9
|
Telephone
|
TEXT
|
15
|
1
|
Id_gestionnairec
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Nom
|
VARCHAR
|
30
|
3
|
Postnom
|
VARCHAR
|
30
|
4
|
Sexe
|
TEXT
|
8
|
5
|
Login
|
TEXT
|
20
|
6
|
Pw
|
TEXT
|
20
|
7
|
Adresse
|
TEXT
|
50
|
8
|
Mail
|
VARCHAR
|
30
|
9
|
Telephone
|
TEXT
|
15
|
1
|
Id_gestionnairer
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Nom
|
VARCHAR
|
30
|
3
|
Postnom
|
VARCHAR
|
30
|
4
|
Sexe
|
TEXT
|
8
|
5
|
Login
|
TEXT
|
20
|
6
|
Pw
|
TEXT
|
20
|
7
|
Adresse
|
TEXT
|
50
|
8
|
Mail
|
VARCHAR
|
30
|
9
|
Telephone
|
TEXT
|
15
|
1
|
Id_Contribuable
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Id_G_Contribuable
|
INTEGER
|
5
|
3
|
Nom
|
VARCHAR
|
30
|
4
|
Postnom
|
VARCHAR
|
30
|
5
|
Raisonsociale
|
TEXT
|
15
|
6
|
Sigle
|
TEXT
|
15
|
7
|
Nationalite
|
TEXT
|
15
|
8
|
Numimp
|
VARCHAR
|
10
|
9
|
Idnat
|
TEXT
|
15
|
10
|
Mail
|
TEXT
|
30
|
11
|
Telephone
|
TEXT
|
15
|
12
|
Dated
|
DATE
|
10
|
16
|
Numrc
|
TEXT
|
20
|
17
|
Adressephys
|
TEXT
|
15
|
19
|
Etat
|
TEXT
|
10
|
1
|
Num
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Id_Gestionnairesd
|
INTEGER
|
5
|
3
|
Id_Contribuable
|
INTEGER
|
5
|
4
|
Numidnat
|
VARCHAR
|
15
|
5
|
Datedecl
|
Date
|
10
|
6
|
Numdepot
|
TEXT
|
10
|
7
|
Montdecl
|
INTEGER
|
15
|
1
|
Code_banque
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Nombanque
|
VARCHAR
|
15
|
1
|
Num_Note
|
INTEGER
|
6
|
2
|
Id_Contribuable
|
INTEGER
|
5
|
3
|
Dateperc
|
DATE
|
10
|
4
|
Id_Gestionnairesr
|
INTEGER
|
5
|
5
|
Code_banques
|
INTEGER
|
5
|
1
|
Code_activite
|
INTEGER
|
3
|
2
|
Id_Contribuable
|
INTEGER
|
5
|
3
|
Id_activite
|
INTEGER
|
5
|
1
|
Idgdeclaration
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Numdecl
|
INTEGER
|
6
|
3
|
Dateenreg
|
DATE
|
10
|
4
|
Idcontribuable
|
INTEGER
|
5
|
5
|
Dateenreg
|
DATE
|
10
|
1
|
Idcontribuable
|
INTEGER
|
5
|
2
|
Libelle
|
TEXT
|
10
|
3.2.12. Description des
propriétés des relations
Dans le tableau ci-dessous, nous trouvons regroupées et
définies les propriétés de relations accompagnées
de leur nature.
Tableau N°6 : Tableau descriptif des
propriétés des relations
N°
|
Noms de propriétés
|
Définitions
|
Natures
|
1.
|
Dateajout
|
Date de l'ajout d'un compte
|
Date/heure
|
2.
|
Numenreg
|
Numéro d'ordre d'enregistrement de la
déclaration
|
INT
|
3.
|
Dateenreg
|
Date d'enregistrement
|
Date/Heure
|
4.
|
Numenreg
|
Numéro d'ordre d'enregistrement du contribuable
|
INT
|
5.
|
Dateenreg
|
Date d'enregistrement
|
Date/Heure
|
6.
|
Numnp
|
Numéro de la note de perception établi
|
INT
|
7.
|
Dateetab
|
Date à laquelle la note a été
établie
|
Date/Heure
|
8.
|
Heureetab
|
Heure à laquelle la note a été
établie
|
Date/Heure
|
9.
|
Montetab
|
Montant établi
|
INT
|
10.
|
Datecomp
|
Date à laquelle la déclaration a été
établie
|
Date/Heure
|
11.
|
Heurecomp
|
Heure à laquelle la déclaration a été
complétée
|
Date/Heure
|
12.
|
Montcomp
|
Montant complété
|
INT
|
13.
|
Dateretr
|
Date à laquelle la note a été
retirée
|
Date/Heure
|
14.
|
Heureretr
|
Heure à laquelle la note a été
retirée
|
Date/Heure
|
Source : Composé par nos propres
soins
3.2.13. Modélisation des
données
Un modèle peut être défini comme
étant une représentation imaginée
maîtrisée(29(*)). Dans le but de la modélisation, les
entités doivent être définies du fait qu'elles
représentent la structure des informations à conserver.
3.2.14. Modélisation du
système de gestion relationnelle de quitus de paiement en réseau
local
Après une longue étude de la structure des
objets, leurs relations ainsi que leurs propriétés, nous avons
crée une base de données, qui est structurée et accessible
à tous les utilisateurs ayant doit au système de gestion
relationnelle de quitus de paiement. La modélisation d'une base des
données qui sera utilisable exige que l'on puisse détailler le
modèle de chaque intervenant (30(*)).
En se bornant sur le recensement des objets et des relations
et leurs descriptions, tout en faisant recours à la modélisation
des données, nous avons montré comment est-ce que a
été conçu notre modèle conceptuel de données
dans le schéma qui suit :
3.2.15. Schéma du
Modèle conceptuel des données(MCD)31(*).
ADMINISTRATEUR
Id_admin
Nom
Postnom
Login
Pw
Mail
(1 : N)
GESTIONNAIRE DECLARATION
Id_gestd
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
(1 : N)
GESTIONNAIRE CONTRIBUABLE
Id_gestc
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
(1 : N)
GESTIONNAIRE RECETTES
Id
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
DECLARATION
Numdecl
Datedecl
Numdepot
Montdecl
(1 : N)
NOTE_PERCEP
Numnp
Numcontr
Datepay
.......
(1 : N)
CONTRIBUABLE
Id
Nom
Postnom
Raisonsociale
Nationalite Numimp
Idnat
Telephone
Formejur
BANQUE
Codebanque
nombanque
.....
ACTIVITE
Codeactiv
Libactiv
(1 : N)
(1 : N)
(1 : N)
(1 : N)
(1 : 1)
(1 : 1)
(1 : N)
(1 : N)
(1 : N)
Ajout
enregistrer
Compléter
Etablir
(1 : N)
Enregistrer
Enregistrer
appartenir
(1 : N)
retirer
(1 : 1)
(1 : 1)
Le MCD est une représentation statique
du système d'information de l'entreprise et qui met en évidence
sa sémantique. Statique parce que ça va représenter
l'état de l'entreprise. Il a pour but de décrire de façon
formelle les données qui seront utilisées par le système
d'information. Il s'agit donc d'une représentation de données
facilement compréhensible.
3.2.16. Phase logique
Le modèle logique de données est un
système de gestion dans sa dernière forme normale. Cependant, le
modèle logique de données s'obtient à partir du
modèle conceptuel de données ou du modèle organisationnel
de données, il faut aussi noter que ce modèle a pour but la
description de données en fonction du SGBD choisi. Dans notre travail
nous avons choisi le système de gestion de base de données
relationnel où les données sont décrites sous forme des
tables. Pour cela, nous partons du Modèle Conceptuel des Données
et nous lui enlevons les relations, mais pas n'importe comment, il faut en
effet respecter certaines règles :
a) Cas (0, n), (1,1) ou (1, n),
(0,1)
On commence par supprimer les associations. Cela se
réalise de façon tout à fait mécanique.
L'entité ayant la cardinalité de type 1,1 ou 0,1 absorbe
l'identifiant de l'entité la plus forte (0, n ou 1, n). Cet identifiant
est alors appelé la clé
étrangère
b) Cas (0, n), (0, n) ou (1, n), (1,
1)
Dans le cas où la cardinalité maximale est
n de chaque côté de la relation,
celle-ci se transforme en entité et absorbe les identifiants de chaque
entité reliée. Les identifiants absorbés forment la
nouvelle clé de l'entité. Cette nouvelle clé est donc
formée par la concaténation des clés
étrangères des entités reliées.
3.2.16.1. Les
données
Le modèle logique de données est la traduction
du modèle organisationnel en termes de contraintes (obligations)
informatiques ou du SGBD.
3.2.16.2. Passage du
modèle organisationnel de données au modèle logique de
données
Tous les objets du modèle organisationnel de
données deviennent des tables dans le modèle logique de
données relationnel, les propriétés des objets du
modèle conceptuel de données deviennent des attributs dans le
modèle logique de données relationnel, les identifiants des
objets du modèle conceptuel de données deviennent des clés
primaires ou secondaires dans le modèle logique de données
relationnel. En d'autres termes, pour ce qui est de relations binaire aux
cardinalités (x, n) - (x, n) où x = 0 ou x = 1, il y aura
toujours création d'une table supplémentaire ayant comme
clé primaire une clé composée des identifiants des deux
entités.
3.2.16.3. Représentation
du Modèle logique de données relationnel.
Il faut noter qu'on représente le modèle logique
de données relationnel de deux manières à savoir : en
intention, soit en extension. Nous allons nous fier seulement ici à la
représentation en intention limitée.
1. T_ADMINISTRATEURS (Id(10), Nom(30),
Postnom(30), Login(20), Pw(20), Mail(30)).
2. T_GDECLARATIONS (Id gestd(3),
Nom(30), Postnom(30), Sexe(8), Login(20), Pw(20), Adresse(50),
Telephone(15))
3. T_GCONTRIBUABLES (Id(3), Nom(30),
Postnom(30), Sexe(8), Login(20), Pw(20), Adresse(100), Telephone(15)).
4. T_GRECETTES (Id(3), Nom(50),
Postnom(50), Sexe(8), Login(20), Pw(20), Adresse(100), Telephone(15)).
5. T_DECLARATIONS (Numdecl(5), Datedecl(10),
Numdepot(10), Montdecl(20), #Id_Contribuable(3))
6. T_CONTRIBUABLES (Id(3), Nom(50),
Postnom(50), RaisonSociale(15), Nationalite(15), Numimp(10), Idnat(30),
Telephone(15), Formejur(20)).
7. T_NOTES_PERCEPTION (Numnp(5),
Numcontr(15), Date(10), #Id_GRecettes(3), #Codebanque(3))
8. T_BANQUES (Codebanque(5),
Datepay(10)).
9. T_ACTIVITES (Codeactiv(5),
Libactiv(15)).
10.
T_AJOUT(#Id_Utilisateur(3),#Id_GDeclaration(3),#Id_GContribuable(3),
#Id_GRecette(3), Dateajout(10))
11. T_ENREGISTREMENT 1 (#Id_GDeclaration(3),
#Numdecl(3), Dateenreg(10))
12. T_ENREGISTREMENT(#Id_GContribuable(3),#Id_Contribuable(3),
Dateenreg(10))
13. T_APPARTENANCE (#Id_Contribuable(5),
#Codeactiv(3), Libelle(10), Type(20)).
Le formalisme adopté par la méthode de
conception MERISE pour réaliser cette description, est basé sur
les concepts : entité - association. Et ici, nous
rappelons qu'une entité est une représentation d'un ensemble
d'objets réels ou abstraits qui ont des caractéristiques communes
tandis que le concept d'association permet de représenter le lien
existant entre deux ou plusieurs entités. Elle est
généralement nommée à l'aide d'un verbe d'action.
D'où :
3.2.17. Modèle
entités - associations (MEA)
Administrateur
Id_Administrateur
Ajouter
Gestionnaire Declarat
Id_Gestionnaired
1) 1,n 1, n
Administrateur
Id_Administrateur
Ajouter
Gestionnaire Contrib
Id_Gestionnairec
2) 1, n 1, n
Ajouter
Gestionnairer
Id_Gestionnairer
Administrateur
Id_Administrateur
3) 1,1
1, n
Gestionnaired
Id_Gestionnaired
Enregistrer
Declaration
Num_decl
4) 1,1
1, n
Gestionnairec
Id_Gestionnairec
Enregistrer
Contribuable
Id_Contribuable
5)
1,1 1, n
Gestionnairer
Id_Gestionnairer
Etablir
Note_Perception
Numnp
6)
1,1 1, n
Compléter
Declaration
Num_decl
Contribuable
Id_Contribuable
7) 1,n 1, 1
8) Contribuable
Id_Contribuable
Retirer
Note_Perception
Num_Np
1 : n
1 : 1
Banque
Code_Banque
Enregistrer
Note_Perception
Num_Np
1 : n
1 : 1
9) Contribuable
Id_Contribuable
Appartenir
Activites
Code_Activite
1 : n
1 : n
10) 3.2.18. Organisation
3.2.18.1. Organisation des
données à mettre en place
Et bien en se basant du modèle conceptuel des
données, l'organisation des données se base sur le modèle
organisationnel des données, c'est-à-dire, la réparation
de la base des données par site. Il arrive que le modèle
conceptuel des données devienne le modèle organisationnel de
données. D'où,
3.2.18.2. Passage du
modèle conceptuel de données au modèle organisationnel
dedonnées.
Nous savons très bien que le modèle
organisationnel de données dérive du modèle conceptuel de
données. Ce passage exige alors l'exclusion des certains champs du
MCD qui n'auront pas le rôle dans le
MOD (Modèle organisationnel des données) si ces
derniers existent. La transformation du modèle conceptuel de
données au modèle organisationnel de données sera
complète du fait, qu'il y a des objets et des relations qui ne seront
pas bougés. Dans le tableau suivant se trouvent les données qui
sont du MCD et qui serviront dans le MOD.
3.2.18.3. Détermination
des données
Tableau N°7 : Tableau déterminant
les données
N°
|
Données du MCD
|
Données du MOD
|
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
21.
22.
23.
24.
25.
26.
27.
28.
29.
30.
31.
32.
33.
34.
35.
36.
37.
38.
39.
40.
41.
42.
43.
44.
45.
46.
47.
48.
49.
50.
51.
52.
53.
54.
55.
56.
|
Id (Administrateur)
Nom
Postnom
Login
Pw
Mail
Id (Gestionnaire contribuable)
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Mail
Id (Gestionnaire déclaration)
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
Mail
Id (Gestionnaire recette)
Nom
Postnom
Sexe
Login
Pw
Adresse
Telephone
Mail
Num (Declaration)
NumIdNat
Datedecl
Montdecl
Id (Contribuable)
Nom
Postnom
RaisonSociale
Nationalite
Numimp
Idnat
Adressemail
FormeJur
Activiteppale
Activitesec
Datedebact
Adressephys
Adresseetab
Observ
Code (Banque)
Nombanque
Numnp
Numcontr
Code (Activite)
LibActivite
|
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
X
|
|
X signifie que la donnée est retenue
Ici, le MCD = MOD du fait qu'aucune donnée n'a
été exclue.
|
Source : composé par nos propres
soins
3.3. Les traitements
Il est à noter que les traitements sont les ensembles
d'opérations appliqués à des informations en vue de leur
donner une forme directement utilisable. (32(*))
3.3.1. Modélisation
Conceptuel des traitements
Le MCT(Modèle conceptuel de
traitement) a pour but de décrire le type de traitement effectué
au sein de l'entreprise sans tenir compte de l'organisation et les moyens
matériel à utiliser. Ainsi, le modèle conceptuel de
traitement répond à la question quoi faire ? Et quand faire? Sans
tenir compte de qui ? Et comment ? Où? Ce modèle a comme question
principale « quoi faire? »
3.3.2. Schéma du
Modèle Conceptuel de traitements
Le schéma ci-dessous montre comment est-ce que les
traitements se suivent chronologiquement avec A et B les
événements qui déclenchent les traitements
DEBUT
Arrivée du contribuable
OP 1 : Présentation à la Direction
Toujours
Problèmes présentés
Contribuable reçu
A et B
OP 2 : Enregistrement du contribuable
OUI NON
Contribuable non enregistré
Contribuable enregistré
A et B
Besoin de remplir
OP 3 : Etablissement des données
OUI NON
Remplissement établi
Données non établi
A et B
Admission dans le bureau de déclaration
OP 4 : Déclaration
OUI NON
Déclaration réussie
Mauvaise déclaration
A et B
OP 5 : Enregistrement Notes
Toujours
Notes enregistré
Besoin de visualiser
OP 6 : Visualisation
Toujours
A et B
OP 7 : Impression
OUI NON
FIN
Données non imprimées
Données imprimées
Besoin d'impression
Données visualisées
A et B
3.3.3. Passage du Modèle
Conceptuel de traitements au Modèle organisationnel de traitements.
Le modèle organisationnel de traitements s'obtient
à partit du modèle conceptuel de traitements. Le but de ce
modèle est de faire le découpage du modèle conceptuel de
traitement en ce qui concerne les opérations qui feront l'objet de
l'automatisation. Le modèle organisationnel répond aux questions
quand, quoi, qui (où) et comment ? Il suffit de mettre le modèle
conceptuel de traitements dans un tableau synthétique exigé par
la méthode et le tour est joué.
3.3.4. Représentation du
modèle organisationnel de traitements
Dans le tableau ci-dessous, se trouve la chronologie des
opérations de l'entreprise qui est le passage du MCT ou
MOT tout en décrivant le poste du travail et les
questions posées. Une tâche effectuée par le modèle
organisationnel de traitements est un ensemble d'activités
homogènes en termes de finalité réalisée dans un
même poste, d'un même poste, d'un même degré
d'automatisation (annuel, conventionnel, automatique) en temps réel ou
en temps différé. (33(*))
PERIODE
|
LES PHASES DU MCT
|
POSTE
|
NATU
RE
|
DEBUT
Arrivée du contribuable
OP 1 : Présentation du contribuable
Toujours
Toujours
Problèmes présentés
Contribuable reçu
A et B
OP 2 : Enregistrement du contribuable
Oui Non
OUI NON
Contribuable non enregistré
Contribuable enregistré
A et B
Besoin de remplir
OP 3 : Etablissement des données
Oui Non
OUI NON
Remplissement établi
Données non établi
A et B
Admission dans le bureau de déclaration
OP 4 : Déclaration
OUI NON
Déclaration réussie
Mauvaise déclaration
A et B
OP 5 : Enregistrement Notes
Toujours
Toujours
Notes enregistré
Besoin de visualiser
OP 6 : Visualisation
Toujours
A et B
OP 7 : Impression
Oui Non
OUI NON
FIN
Données non imprimées
Données imprimées
Besoin d'impression
Données visualisées
24h/24h
A et B
|
Oui?
Où?
|
Com
ment
|
|
24h
24h
24h
24h
24h
24h
24h
|
Gcontr
Gcontr
Gcontr
|
TM
TA
TA
|
3.4. Choix du matériel
à utiliser
3.4.1. Le Software et
hardware
Nous appelons ici hardware les parties matérielles de
l'ordinateur ainsi que tout autre appareil qui lui est connecté et qui
lui sert de connectivité et software les parties immatérielles
qui gèrent le bon fonctionnement de l'ordinateur (système
d'exploitation et logiciels par exemple).
3.4.2. Les matériels
proposés
La liste des matériels à proposer est
exhaustive, néanmoins nous avons énuméré
l'essentiel :
Au moins deux ordinateurs (notre application en exige quatre
ou plus) avec des cartes réseau, une imprimante, l'ordinateur serveur
(PC hôte) aura un disque dur d'au moins 320Go ou plus, avec un lecteur
DVD.Le serveur Wamper, Microsoft Windows 7 Professionnel, Version 6.1.7600
Numéro 7600, Mozila FireFox.
Comme notre logiciel le SGRQP en réseau local ne sera
fourni que sur un CD il est obligatoire d'avoir un lecteur CD ou DVD pour
l'installer sur un poste de travail. Il faut avoir un disque dur d'une taille
considérable il peut être saturé avec les temps. Le SGRQP
en réseau local étant construit en PHP exige l'utilisation d'un
produit qui peut exécuter et afficher les pages web.
3.5. Les traitements
La détermination des traitements conduit à la
représentation des événements, des résultats, des
opérations et des synchronisations qu'il faut modéliser. Les
traitements sont considérés comme un ensemble des
opérations réalisées par des moyens automatiques, relatif
à la collecte, l'enregistrement, l'élaboration, la modification,
la conservation, la destruction, l'édition de données et, d'une
façon générale, leur exploitation.
3.5.1. Modélisation
logique de traitement
Le modèle logique de traitement se diffère d'un
utilisateur à un autre. Ainsi, le Modèle logique de traitement
chez l'utilisateur n'est pas le même que chez le gestionnaire de
contribuables. Les Schémas qui suivent donnent les
représentations des Modèles logiques de traitements, chez les
utilisateurs connus de notre base de données.
3.5.1.1. MLT Chez l'utilisateur
(Administrateur)
Début
Où
Papier
Ajouter
Connexion
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
OUI NON
Enregistrement
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
Toujours
Visualisation
- Impression
- Déconnexion
OUI NON
G. Recettes
G. Contribuables
G. Déclarations
G. Déclarations
G. Contribuables
G. Recettes
Fin
3.5.1.2. MLT Chez le
gestionnaire de déclarations.
Début
Où
Connexion
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
OUI NON
Enregistrement
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
OUI NON
Visualisation
- Impression
- Déconnexion
OUI NON
Papier
Enregistrer 1
Fin
Déclarations
Déclaration
3.5.1.3. MLT Chez le
gestionnaire de Contribuables
Début
Où
Connexion
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
OUI NON
Enregistrement
- Afficher les Mask
- Saisies des données
OUI NON
Visualisation
- Afficher les Mask
- Saisies des données
OUI NON
Papier
Enregistrement 2
Fin
Contribuable
Contribuable
3.5.1.4. MLT Chez le
gestionnaire des recettes
Début
Où
Connexion
- Afficher les Mask
- Saisies des données
- ...
OUI NON
Enregistrement
- Afficher les Mask
- Saisies des données
OUI NON
Visualisation
- Afficher les Mask
- Saisies des données
OUI NON
Papier
Enregistrer 3
Fin
Note de perception
Note de perception
3.6. Phase physique
La phase physique est celle qui suit la représentation
des contraintes informatiques, elle consiste alors à préparer le
développement ou la réalisation du système d'information
informatisé.
3.6.1. Modèle physique
de données
Le modèle physique de données s'obtient à
partir du modèle logique de données, notamment le schéma
relationnel du modèle logique dedonnées décrit en
intention. A ce niveau, nous avons fait l'implémentationphysique de la
base de données dans un logiciel du système de gestion debase de
données relationnel.Ainsi, nous avons définit les
différents champs de la table et type de champstout en
définissant la taille. Dans le modèle physique de données
les tables deviennent des fichiers, c'est-à-dire que T_UTILISATEUR
deviendraF_UTILISATEUR et ainsi de suite.
3.6.2. Transcription SQL du
Modèle Physique des Données
-- phpMyAdmin SQL Dump
-- version 3.5.1
-- http://www.phpmyadmin.net
--
-- Client: localhost
-- Généré le: Mer 09 Juillet 2014 à
07:50
-- Version du serveur: 5.5.24-log
-- Version de PHP: 5.4.3
SET SQL_MODE="NO_AUTO_VALUE_ON_ZERO";
SET time_zone = "+00:00";
/*! 40101 SET @OLD_CHARACTER_SET_CLIENT=@@CHARACTER_SET_CLIENT
*/;
/*! 40101 SET @OLD_CHARACTER_SET_RESULTS=@@CHARACTER_SET_RESULTS
*/;
/*! 40101 SET @OLD_COLLATION_CONNECTION=@@COLLATION_CONNECTION
*/;
/*! 40101 SET NAMES utf8 */;
--
-- Base de données: `dpmer`
--
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `activites`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `activites` (
`code_activite` mediumint (5) unsigned NOT NULL
AUTO_INCREMENT,
`lib_activites` varchar (30) NOT NULL,
PRIMARY KEY (`code_activite`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `annee`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `annee` (
`code_annee` mediumint (5) NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`desi_annee` varchar (10) NOT NULL,
PRIMARY KEY (`code_annee`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `banques`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `banques` (
`code_banques` mediumint (5) unsigned NOT NULL
AUTO_INCREMENT,
`nombanques` varchar (30) NOT NULL,
PRIMARY KEY (`code_banques`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `contribuables`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `contribuables` (
`id_contribuable` mediumint (5) unsigned NOT NULL
AUTO_INCREMENT,
`id_gestionnairesc` mediumint(5) DEFAULT NULL,
`nom` varchar(30) NOT NULL,
`postnom` varchar(30) NOT NULL,
`nationalite` text,
`mail` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
`telephone` text,
`dated` date DEFAULT NULL,
`adresseph` text,
`etat` text,
PRIMARY KEY (`id_contribuable`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=2 ;
--
-- Contenu de la table `contribuables`
--
INSERT INTO `contribuables` (`id_contribuable`,
`id_gestionnairesc`, `nom`, `postnom`, `nationalite`, `mail`, `telephone`,
`dated`, `adresseph`, `etat`) VALUES
(1, 0, 'RAMAZANI', 'KAMBAZA', 'Republique Democratique du Congo',
'ramazani@yahoo.fr', '0853809134', '2014-07-08', 'Bagira,Q.C', 'assujetti');
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `declarations`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `declarations` (
`num_declarations` int(5) NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`id_gestionnairesd` mediumint(5) DEFAULT NULL,
`service` text,
`exercice` int(10) DEFAULT NULL,
`id_contribuable` mediumint(5) DEFAULT NULL,
`numidnat` varchar(30) NOT NULL,
`sigle` varchar(10) DEFAULT NULL,
`adressepostal` text,
`categorie` text,
`adressephysique` text,
`telephone` text,
`email` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
`nature` text,
`commune` text,
`rang` text,
`usagebien` text,
`nombre` int(11) DEFAULT NULL,
`superficie` double DEFAULT NULL,
`taux` double DEFAULT NULL,
`modepaiement` text,
`montantimpot` double DEFAULT NULL,
`lieudeclaration` text,
`datedeclaration` date NOT NULL,
PRIMARY KEY (`num_declarations`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1 ;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `exercices`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `exercices` (
`id` int(10) NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`designation` varchar(30) NOT NULL,
PRIMARY KEY (`id`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=5 ;
--
-- Contenu de la table `exercices`
--
INSERT INTO `exercices` (`id`, `designation`) VALUES
(1, '2011'),
(2, '2012'),
(3, '2013'),
(4, '2014');
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `gestionnairesc`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `gestionnairesc` (
`id_gestionnairesc` mediumint(5) unsigned NOT NULL
AUTO_INCREMENT,
`nom` varchar(30) NOT NULL,
`postnom` varchar(30) NOT NULL,
`sexe` text,
`login` text,
`password` text,
`adresse` text,
`telephone` text,
`mail` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
PRIMARY KEY (`id_gestionnairesc`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1 ;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `gestionnairesd`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `gestionnairesd` (
`id` mediumint(5) unsigned NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`nom` varchar(30) NOT NULL,
`postnom` varchar(30) NOT NULL,
`sexe` text,
`login` text,
`password` text,
`adresse` text,
`telephone` text,
`mail` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
PRIMARY KEY (`id`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=3 ;
--
-- Contenu de la table `gestionnairesd`
--
INSERT INTO `gestionnairesd` (`id`, `nom`, `postnom`, `sexe`,
`login`, `password`, `adresse`, `telephone`, `mail`) VALUES
(1, 'Amani', 'Kambaza', 'Masculin', 'Amani.Kambaza', 'a',
'BAGIRA', '0853809133', 'amanikambaza@yahoo.fr'),
(2, 'Bahati', 'Matabishi', 'Masculin', 'Bahati.Matabishi', 'b',
'BAGIRA, Q. B', '0992499225', 'bahati.matabishi@yahoo.fr');
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `gestionnairesr`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `gestionnairesr` (
`id_gestionnairesr` mediumint(5) unsigned NOT NULL
AUTO_INCREMENT,
`nom` varchar(30) NOT NULL,
`postnom` varchar(30) NOT NULL,
`sexe` text,
`login` text,
`password` text,
`adresse` text,
`telephone` text,
`mail` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
PRIMARY KEY (`id_gestionnairesr`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1 ;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `notes`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `notes` (
`num_notes` mediumint(5) unsigned NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`id_contribuable` mediumint(5) DEFAULT NULL,
`montantpaie` int(11) DEFAULT NULL,
`dateperc` date NOT NULL,
`id_gestionnairesr` mediumint(5) DEFAULT NULL,
`id_banques` mediumint(5) DEFAULT NULL,
PRIMARY KEY (`num_notes`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=1 ;
-- --------------------------------------------------------
--
-- Structure de la table `utilisateurs`
--
CREATE TABLE IF NOT EXISTS `utilisateurs` (
`id_utilisateur` int(10) unsigned NOT NULL AUTO_INCREMENT,
`nom` varchar(30) NOT NULL,
`postnom` varchar(30) NOT NULL,
`login` text,
`password` text,
`mail` varchar(50) NOT NULL DEFAULT 'Pas de mail',
PRIMARY KEY (`id_utilisateur`)
) ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=latin1 AUTO_INCREMENT=4 ;
--
-- Contenu de la table `utilisateurs`
--
INSERT INTO `utilisateurs` (`id_utilisateur`, `nom`, `postnom`,
`login`, `password`, `mail`) VALUES
(1, 'Kambaza', 'Zigashane', 'zigashane@dpmer.net, 'z',
'kambaza.zigashane@yahoo.fr'),
(2, 'safari', 'mupe', 'safari.mupe', 's',
'safari.mupe@yahoo.fr'),
(3, 'makunga', 'mashauri', 'makunga.mashauri', 'm',
'makunga.mashauri@yahoo.fr');
/*!40101 SET CHARACTER_SET_CLIENT=@OLD_CHARACTER_SET_CLIENT
*/;
/*!40101 SET CHARACTER_SET_RESULTS=@OLD_CHARACTER_SET_RESULTS
*/;
/*!40101 SET COLLATION_CONNECTION=@OLD_COLLATION_CONNECTION
*/;
3.7. Le système de
gestion de base de données
La conception d'un système qui utilise le modèle
de système de gestion de base de données par la méthode de
conceptionMERISE se termine avec l'élaboration du
Modèle organisationnel physique de traitement qui décrit
l'arborescence des applications envisagées dans le projet.
3.7.1. Modèle
organisationnel physique de traitement
Le Modèle organisationnel physique de traitement
s'obtient tout simplement à partir du modèle opérationnel
physique de traitement. Ainsi, le modèle organisationnel physique de
traitement se bordera à une implémentation.
3.7.2. Chaîne et
schéma d'implantation du SGRQP en réseau local
Implanter c'est installer un sous-système donné
en réalisant les adaptations nécessaires à leur
fonctionnement dans un environnement bien défini.Voici comment se
présente notre chaîne d'implantation :
MPD
UT1
UT2
MPD
SGRQP vide
SGRQP vide
SGRQP indexé
INDEX
UT3
Création
Chargement
Indexation
3.7.3. Légende du
schéma de la chaîne d'implantation.
On appelle légende l'ensemble des correspondances
textuelles donnant la clédes codes graphiques (d'un plan).
- UT1 : Unité de traitement
numéro un, cette unité a pour rôle la création de la
structure d'une base de données vide ;
- UT2 : Unité de traitement
numéro deux, cette unité a pour fonction demettre les
enregistrements dans la base en se conformant à lastructure
déterminée au paravant.
- UT3 : Unité de traitement
numéro trois, cette fonction a pour rôle deranger les
données dans la base dans le but d'en faciliter leséventuelles
recherches.
Quatrième
partie : DEVELOPPEMENT DU SYSTEME
Chapitre IV :
REALISATION DU SYSTEME DE GESTION RELATIONNELLE DE QUITUS DE PAIEMENT EN RESEAU
LOCAL.
Après la conception et la réalisation du
système de gestion relationnelle de quitus de paiement en réseau
local, le développement s'avère être la dernière
phase d'une analyse informatique. Cette étape consiste à se
mettre vraiment au travail pour réaliser une application du
système dans le langage choisi et comment est-ce qu'il faut utiliser
cette application.
4.1.
Généralité.
« Programming » en anglais, la programmation est
l'ensemble des activités orientées vers la conception, la
réalisation, le test et la maintenance de programme. La programmation
n'est pas vraiment une tâche facile, elle exige beaucoup des sacrifices,
de la patience, la gymnastique de l'esprit ainsi que les aptitudes et attitudes
de bien raisonner pour pouvoir arriver à réaliser un bon
programme pour des fins très utiles.
Etant donné que le système de gestion
relationnelle de quitus de paiement en réseau local résout le
problème qu'avait la division des impôts fiscaux sur
l'accès aux données sans se déplacer d'un service à
un autre, la partie sur la conception nous a permis de réfléchir
suffisamment pour aboutir à une mise au point de notre programme.
Dans cette partie, nous présenterons les
différentes fonctionnalités du système de gestion
relationnelle de quitus de paiement en réseau local.
4.2. Le programme
Dérivant de l'anglais « program », le mot
programme est considéré comme une traduction d'un algorithme
écrit dans un langage informatique reconnu pour le traitement de
l'information spécifique.
Ainsi, les algorithmes et des ordinogrammes ajoutés des
structures de données donnent un programme.Un programme est dit de
service (ou application) quand il est destiné à augmenter les
potentialités de l'ordinateur. On range dans cette catégorie tous
les programmes de gestion, les bibliothèques numériques, les
programmes de traduction, etc. On les appelle souvent programmes utilitaires.
Le SGRQP est un programme utilitaire quiservira à la gestion
relationnelle de quitus de paiement en réseau local et qui aidera
à la prise dela décision sur les problèmes liés
à la gestion de ce document.
4.3. Environnement de
développement de l'application
Pour réaliser notre application, nous avons
utilisé le langage de programmation PHP dédié à la
création des applications web dynamique, manipulé dans un
environnement de développement intitulé WampServer, qui est
largement compatible avec PHP.
Par ailleurs, il faut noter que les pages écrites en
PHP étaient chaque fois testées grâce à une
plate-forme de développement spécifique. La plate-forme que nous
avons adoptée est WampServer version 2.2 qui inclut tous les outils
nécessaires pour le test d'un site web dynamique à savoir le
serveur Apache version 2.2.22, MySQL version 5.5.24 et la version PhpMyAdmin
5.4.3.
4.4. Outils de
développement
4.4.1. WampServer (34(*)).
WampServer (anciennement WAMP5) est une plateforme de
développement Web de type WAMP, permettant de faire fonctionner
localement (sans se connecter à un serveur externe) des scripts PHP.
WampServer n'est pas en soi un logiciel, mais un environnement comprenant deux
serveurs (Apache et MySQL), un interpréteur de script (PHP), ainsi
qu'une administration pour les deux bases SQL PhpMyAdmin et SQLiteManager.
4.4.2. Le langage
PHP-MYSQL35(*)
Avant de parler du PHP jetons un coup d'oeil au langage HTML
du fait que le code PHP s'ajoute toujours dans les codes du html pour
être bien formaté à l'affichage dans des pages Web. Le mot
HTML signifie tout simplement en anglais « HyperText MarKup Langage
», c'est un langage de description de pages adoptés par la
communauté Internet.
Crée en 1990 Par Timothy Berner-Lee et Robert Caillau
physiciens du laboratoire européen de physique des particules, le but
était de pouvoir échanger rapidement des données et des
images où que les chercheurs soient dans le monde.
Aujourd.hui, le langage html permet d'induire dans les pages
Web des images fixe, des sons (avec le logiciel Real Teck (Audio)) des
séquences Vidéo (avec le logiciel QuickTime), un langage de
réalité virtuelle (mondes virtuel en 3D), des formulaires, le
langage html fait recours à d'autres langages tels que : XML, PHP,
JAVASCRIPT, ...
4.4.3. L'union PHP-MYSQL
Crée en 1994 par RAMUS Lerdorf, un chercheur canadien
pour les besoins de rendre des pages Web plus dynamique, PHP l'acronyme de
Personnel Home Page est un langage incrusté au HTML et est
interprété (PHP3) ou Compilé (PHP4) côté
serveur. En 1997, PHP devient un projet collectif et son interpréteur
est écrit par Zeev Suraski et Andi Gutmans (Version 3) qui s'appelle
désormais PHP : HyperText Préprocesseur (acronyme récursif
à l'exemple du système Open Source Linux : Is Not Unix).
Les pages Web sont au format html. Les pages Web dynamiques
générées avec PHP4 Sont au format PHP. Le code source PHP
est directement inséré dans le fichier html grâce au
conteneur de la norme XML. Les programmeurs connaissant les langages de
programmation Java, Perl et C sont à l'aise dans la programmation en php
du fait que la syntaxe se ressemble. Le PHP est un langage complet,
écrit en C, qui reprend une grande partie des spécificités
techniques et sémantiques de ce langage.
Le HTML Simple ne suffit pas à répondre aux
impératifs imposés par les dernières évolutions du
Web pour permettre de réaliser des sites Internet élaborés
logeant les bases de données. C'est pourquoi on fait recours au PHP, car
il possède une impressionnante quantité d'outils par exemple
accès aux bases de données. Les pages Web dynamiques sont
générés avec des modules de programme côté
serveur.
4.5. Module du programme
coté serveur.
Pour répondre aux besoins de notre projet, il nous faut
un programme qui va nous aider à générer des pages Web
dynamiques pour notre application.
4.5.1.. Serveur
En informatique, un serveur est un ordinateur ou programme
prenant en charge certaines fonctions pour le compte des autres systèmes
d'un réseau informatique. Son rôle est principalement d'attendre
des requêtes venant des autres ordinateurs, les cas échéant
de les ordonner, de les exécuter et de renvoyer la réponse. Du
fait de leur importance et leur charge d'activités, dans le cadre des
ordinateurs, les serveurs sont en général des ordinateurs haut de
gamme, plus rapides et plus puissants que toutes les autres machines d'un
réseau.
Un ordinateur serveur dans l'architecture client/serveur ne
peut pas fonctionner sans logiciel serveur associé. Ce qui est de notre
cas, pour le faire fonctionner nous avons utilisé le serveur Web local
apache grâce à Easy PHP qui est à la disposition des
différents systèmes UNIX ainsi que Windows mais aussi gratuit.
4.5.2. Qu'est-ce qu'un serveur
MySQL?36(*)
MySQL (SQL veut dire Structured Query Language en anglais) est
un serveur de bases dedonnées relationnelles SQL, très rapide,
multithread, robuste et multi-utilisateurs. MySQLest un logiciel libre
développé sous licence GNU General Public License. Il a
été conçu etest maintenu par une société
suédoise, MySQL AB, fondée par deux Suédois et
unFinlandais : David Axmark, Allan Larsson et Michael « Monty »
Widenius.Au début, MySQL n'autorisait pas les transactions, mais cette
fonction est maintenantdisponible. Le standard ANSI SQL a quelquefois
été étendu, mais n'est pas
complètementimplémenté
4.5.3. Navigateur
En anglais browser, le mot navigateur est un logiciel
conçu pour le Web, permettant aux utilisateurs d'explorer les ressources
à l.intérieur d'un réseau intranet, extranet ou internent.
Le navigateur gère l'affichage des pages Web et le suivi des liens
hypertextes ou hypermédias (est dit hypermédia
(multimédia), l'ensemble des techniques et des produits
dérivés qui présentent l'information sous forme,
combinée de textes, de sons, d'images, d'animations et de vidéos)
entre les différentes pages. Les navigateurs les plus utilisées
sont Internet Explorer de Microsoft, FireFox de la fondation Mozilla et
Netscape de SUN. En plus de la fonction de navigation, les navigateurs offrent
de nombreuses possibilités pour aider l'utilisateur dans son utilisation
d'intranet. Ils permettent de sauvegarder sur le disque dur de l'utilisateur
tout ou partie du document consulté et d'afficher le code source HTML
correspondant à la page en cours. Par ailleurs, un navigateur permet de
conserver en mémoire les références (bookmarks) des
documents, pages ou sites consultés par l'utilisateur, afin d'y avoir
accès facilement et rapidement lors d'une prochaine navigation. En fin,
les navigateurs font office d'interface d'accès au courrier
électronique (e-mail) et aux groupes (ou films) de discussion.
(Newsgroups). Dans le cadre de notre travail nous avons utilisé le
navigateur Mozilla FireFox.
4.5.4. Base de données
MySQL37(*)
MYSQL représente une gestionnaire de base de
données relationnelle qui a été développé en
Suède par la société TCX DataKonsult. Ce système
est rapide, robuste et simple d'utilisation. Le logiciel se compose du serveur
de base de données. Nous avons utilisé cette base de
données du fait qu'elle est aussi installée dès qu'on
installe EasyPHP et offre de grandes satisfactions et en plus est gratuit. SQL
acronyme de Structured Query Langage, est un langage de requêtes de base
de données.
4.5.5. Accès au contenu
de la base de données
Si l'accès au contenu des bases de données
s'effectue à partir des pages Web, les tâches du langage de
programmation sont les suivantes : D'abord, l'établissement de la
connexion vers le serveur de la base de données. Ensuite, l'envoie de la
requête à la base de données et enfin, la
préparation des résultats. Les résultats SQL sont à
nouveau transformés en code HTML, puis ils sont envoyés au
navigateur.
4.5.6. Enregistrement des
fichiers en PHP.
Pour créer des programmes en PHP, il suffit d'un simple
éditeur tel que Notepad, bloc note etc. Dans le cadre de notre travail,
nous avons utilisé un éditeur spécialisé dans le
PHP nommé « Notepad++ » cet éditeur est
téléchargeable sur Internet au :
www.télécharger.com c'est gratuit. Les commandes SQL sont
intégrées dans le code PHP. Lors de l'enregistrement il faut
utiliser l'extension. PHP3 (pour la version PHB3) ; PHP4 (Pour la version PHP4)
ou PHP (Pour la version PHP3 ou PHP4).
4.6. Sécurité de
l'application
Nous avons appliqué la super globale $_SESSION [ ] pour
restreindre l'accès aux pages des différents utilisateurs. Aucun
utilisateur n'est peut donc accéder à l'une des pages que
comporte notre application sans passer par le formulaire de connexion. En plus
de cela, tous les mots de passe ont été enregistrés dans
la base, ce qui nous permet de comparer le mot de passe entré à
la connexion et celui se trouvant dans la base.
4.7. Guide d'utilisateur
Après que l'application ait été mise en
place, nous pouvons alors passer à une brève description de son
fonctionnement. Pour pouvoir lancer l'application, le serveur doit tout d'abord
être en « mode ligne » pour que les
différentes pages ainsi que la base de données MySQL
attachées soient prises en charge.
Pour ce faire, lancer WampServer en cliquant sur son
icône soit au bureau, soit dans la barre de tâche ou encore dans le
menu démarrer. Pour notre cas, cette dernière est
épinglée dans notre barre de tâche. Après cette
manipulation, rendez-vous dans la zone de notification de Windows où
vous trouverez cette petite icône,cliquez-y avec le bouton gauche de la
souris et allez sur « Localhost ». Voici comment se
présente l'image :
Après que vous ayez cliqué sur «
Localhost », la fenêtre Localhost de WampServer est
lancée par le navigateur. Allez dans «Vos projets
» et faites un clic sur le dossier qui représente votre
application pour la mettre en ligne c'est-à-dire à la disposition
des différentes utilisateurs ou clients. Pour notre cas c'est «
DPMER » Voici l'image :
Au niveau de cette liste des dossiers, lancez l'application en
cliquant sur « DPMER ». Voici le résultat
:
Cliquer sur le bouton encerclé en rouge pour
accéder à la page de login qui permet à chaque utilisateur
à pouvoir s'identifier.
Le formulaire de connexion qui vous permet de passer à
la page administrative de chacun de postes. Pour ce dernier cas, vous devez
disposer du login ou identifiant, du mot de passe et votre qualité
(fonction) pour y parvenir. Le tableau ci-dessous reprend ces
différentes informations.
Utilisateurs
|
Identifiant ou Login
|
Mot de passe
|
Qualité
|
Administrateur
|
zigashane@dpmer.net
|
z
|
Administrateur
|
Gestionnaire decl
|
Bahati.Matabishi
|
b
|
Gestionnaire de declarations
|
Gestionnaire contr
|
messa.majaliwa
|
m
|
Gestionnaire de contribuables
|
Gestionnaire rec
|
byangoy.byemba
|
b
|
Gestionnaire de recettes
|
En se connectant par les premiers paramètres
(login : zigashane@dpmer.net, mot de passe :
z et qualité : Administrateur),
on aboutit à la zone administrative de l'administrateur que voici
Cliquez sur le lien « Accéder aux
menus> » pour pouvoir accéder au menu de l'administrateur.
Vous aurez alors la page suivante :
Sur cette page, l'utilisateur est tenu à opérer
son choix en cliquant soit sur les boutons Administrateur, soit sur
Gestionnaire de déclaration, soit sur Gestionnaire de contribuable,
Gestionnaire de recettes, Contribuables, Déclarations, Notes de
perception, Banque ou année la page d'affichage dépendra de
l'option demandée. Ici, c'est le cas du Gestionnaire de
déclarations.
N.B : Dans la partie inférieure
de cette page, nous avons le bouton
« Déconnexion » qui permet à
l'utilisateur de quitter sa session.
Cette page nous permet de : réaliser
l'enregistrement d'un nouveau gestionnaire de déclarations et de
consulter la liste de gestionnaires de déclarations enregistrés.
Après avoir enregistré les données saisies, vous pouvez
les visualiser dans un tableau en cliquant sur le lien
« Liste de gestionnaire de
déclarations » se trouvant dans la
partie inférieure gauche de votre page. Vous aurez alors la page
suivante :
Sur cette page, l'administrateur a la possibilité de
retourner à la page précédente, modifier ou supprimer un
ou plusieurs gestionnaires de déclarations. L'administrateur a aussi la
possibilité d'imprimer la liste de gestionnaires de déclarations
enregistrés. Pour pouvoir imprimer cette liste, il vous faut cliquer sur
le lien« Imprimer ».
Etant sur cette page, une fois cliquer sur le lien
« Imprimer », on aboutit à la page
suivante :
La page suivante offre à l'utilisateur les
possibilités de définir le format de la page,
propriétés ainsi que le nombre de pages à imprimer puis
cliquez sur le bouton OK. On aura alors la page suivante :
La page ci-haut donne à l'utilisateur la
possibilité de pouvoir passer à l'enregistrement du document
à imprimer en cliquant sur le bouton Enregistrer.
La page suivante offre à l'utilisateur la
possibilité d'enregistrer le document à imprimer sous un nom en
lui donnant un emplacement bien précis soit sur bureau, soit dans mes
documents, ici, notre document est enregistré au bureau sous le nom de
Liste_gdeclaration.pdf par défaut et puis cliquez sur le bouton
Enregistrer enfin.
Conclusion
L'étude intitulée « Système de
gestion relationnelle de quitus de paiement au sein d'une régie
financière : cas de la DPMER-Sud-Kivu » avait pour
objectifde mettre en placeune application qui fonctionnerait en réseau
local et faciliterait le partage des informations du service des impôts
et aussi fournir à nos différents lecteurs, un document de base
méthodique.
En effet, étant au terme de notre travail, rappelons
une fois de plus que nous avons posé les jalons de notre travail sous
les questions suivantes :
- Quelle serait la voie de partage des données sans
qu'il y ait déplacement d'homme ?
- Quelle serait la bonne stratégie pour pouvoir
partager les données de ce service ?
- Quel serait l'avantage d'un tel système de gestion
relationnelle une fois mis en place ?
Face à ces problèmes, nous avons émis les
réponses provisoires suivantes :
- Nous pensons qu'il serait possible de songer à faire
communiquer les ordinateurs entre-eux pour qu'ils s'échangent des
données, d'où une nécessité de connexion en
réseaux informatiques ;
- Une bonne stratégie pour le partage des
données serait de mettre en place une seule base de données sur
un serveur et la configuration de chaque poste client pour qu'il accède
à la base centrale à la fois qu'il fasse des modifications;
- Ce système pourrait diminuer la lenteur dans
l'exécution des tâches et la correction des erreurs. Aussi, deux
utilisateurs de différentes autorisations ne peuvent consulter les
mêmes données. Chacun ne change que les données pour
lesquelles il est autorisé, ce qui apporte donc une
sécurité supplémentaire et pourrait aider à la
prise de décisions à partir des informations qu'il conserve ;
Après analyse du système existant, la conception
du système de gestion relationnelle de quitus de paiement a
montré que :
Il a été vraiment possible de faire communiquer
les ordinateurs entre-eux et ces derniers sont parvenus à
s'échanger des données. Aussi, avec cette stratégie pour
le partage des données, nous sommes parvenus à centraliser une
base de données en un seul endroit et qui a été accessible
à tous (utilisateurs). Nous avons trouvé enfin que ce
système diminue la lenteur dans l'exécution des tâches et
aide à la prise de décision à partir des informations
qu'il conserve.
L'utilisation du SGRQPRL s'avère
bénéfique dans tous les services de recouvrement pour
gérer les contribuables. Le SGRQPRL enregistre ses données sur le
disque dur de la machine serveur (PC hôte), ainsi il diminue le risque de
perte des données et le temps de dépouillement de données
devient très court. Nous pouvons bien dire qu'en un clin d'oeil le
SGRQPRL est capable de retourner des informations selon le désir de
l'utilisateur sur n'importe quelle machine du réseau, ces informations
retournées par le SGRQPRL peuvent aider l'utilisateur à une bonne
prise de décision.
Voilà la démarche scientifique poursuivie pour
rendre concret ce travail et pour offrir aux régies financières
de quoi rendre optimal la gestion descontribuables.Aux gestionnaires des
impôts nous leurs demandons vraiment d'exploiter ce nouveausystème
de gestion relationnelle de quitus de paiement.
Nous ouvrons ainsi la voie à d'autres chercheurs pour
la mise en réseau étendu du SGRQP (Système de gestion
relationnelle de quitus de paiement) pour la gestion dequitus sur latoile.Et
à nos lecteurs, nous sollicitons d'indulgences pour toutes nos
imperfectionset toute critique constructive est la bienvenue afin de pouvoir
contribuer tous à l'évolution de la science.
BIBLIOGRAPHIE
SELECTIVE
I. Ouvrages et
Revues :
1- C. CARREZ, Les structures aux bases de
données, Dunod, Paris, 1990 ;
2- Christian Van Liendre, Notions de législation
sociale, de finances publiques et de droit fiscal, C.R.P, Kinshasa, 1983,
p.69
3- Christophe L.et Nicole B., Développez en
PHP-MySQL, Lambert, Paris 2006 ;
4- Didier FOURT, Informatique Pratique,
http://infoprat.free.fr.
5- Encyclopédie Encarte 2009.
6- Etienne Vanderput, Développer une application
avec PHP et MySQL, CEFIS,
7- Georges Gardarin, Base des données, les
systèmes et leurs langages, Eyrolles,
8- HUBER Tardieu, Initiation à MERISE, Edition
Eyrolles, Paris, 1994 ;
9- Insp. MBIYA MUSAKAYI, Module de différents types
d'impôts in Recyclage des agents et cadres de la DGI, Octobre
2009.
10- KEBIR Mohamed Ines, Formation au langage
PHP-MySQL, Noria, Tunis, 2005 ;
11- Lexique d'économie, 7è Edition, DALLOZ
12- Microsoft Encarte 2009.
13- Philippe MATHIEU, Base de Données (De Merise
à JDBC), http://www.crns.frurl valide en 2013 ;
14- Pierre BELTRAME, La fiscalité en France,
éd. Hachette Supérieur, 1992, page 12 ;
15- Pierre BELTRAME, Op. Cit. p.15
16- Pierre MORVAN, Dictionnaire de l'Informatique,
Librairie Larousse, Paris, 1989 ;
II. Cours
18- KASELE W., Cours de conception des systèmes
d'information, inédit, L2 IG ISP-Bukavu, 2013-2014 ;
19- Prof. N.VIBIDULU Kaluyit Jacques, Note de cours
L1/IG-ISP/BUKAVU, inédit,2006-2007.
III. Travaux scientifiques
20- Chanceline IRAGI RUBAKUZA, « Gestion des
impôts professionnels sur les rémunérations : cas de
la Direction Provinciale des impôts du Sud-Kivu », TFC,
inédit, ISP-Bukavu, 2010-2011.
21- Omari APOTO, « La DPMER opportunité
ou menace à la DGRAD », TFC, inédit, ISP-Bukavu,
2010-2011 ;
22- Prosper KALOMBWE LUPANGO,
« l'évaluation des stratégies pour la mobilisation
et encadrement des recettes mises en place par la
DPMER/Sud-Kivu », Mémoire, inédit, ISP-Bukavu,
2010-2011 ;
23- WALUMBUKA Ilundu Wail, Conception et
réalisation d'un système de gestion des nouveau nés,
TFC, Inédit, 2005-2006 ;
Webographie
1- www.php.netURL valide en janvier 2014
2- www.fr.mysql.comURL valide en février 2014
3-www.google.frURL valide le 10/03/2014
4-www.commentcamarche.netURL valide le 07/06/2014
5-www.phpmyadmin.netURL valide en mars 2014
6- http://fr.wikipedia.org/wiki/WampServer,
consulté le 18 mai 2014
7- http://fr.wikipedia.org/wiki/MySQL, consulté
le 21 mai 2014
8-
http://vulgarisation-informatique.com/types-reseaux.php, consulté
le 12 janvier 2014
9- http://fr.wikipedia.org/wiki/PHP, consulté le
20 avril 2014
TABLE DES MATIERES
Epigraphe
II
Dédicace
II
Remerciements
III
SIGLES ET ABREVIATIONS
V
0. INTRODUCTION
1
Problématique
1
Première partie : NOTIONS DE BASE SUR
LA FISCALITE
9
Chapitre premier : INTRODUCTION AU SYSTEME
FISCAL CONGOLAIS
9
1.1. Définitions des concepts
9
1.1.1. La fiscalité
9
1.1.2. Le contrôle fiscal
10
1.1.3. Le contribuable
10
1.1.4. L'impôt
10
1.1.4.1. Origine et historique de l'impôt
11
1.1.4.2. Caractéristiques de
l'impôt
12
1.1.4.3. Classification des impôts
13
Deuxième partie : APPROCHE RESEAU
17
Chapitre deuxième : LES RESEAUX
INFORMATIQUES
17
2.1. Bref aperçu sur les
réseaux informatiques
17
2.1.2. Les constituants matériels
17
2.1.1. Connectabilité.
18
2.1.2. Connectique
18
2.2. Classification des réseaux
18
2.2.1. Les réseaux PAN : Personnal Area
Network (réseau Personnel)
18
2.2.2. Les réseaux LAN: Local Area Network
(Réseaux Locaux)
18
2.2.3. Les réseaux MAN : Metropolitan Area
Network (Réseaux métropolitains)
18
2.2.4. Les réseaux WAN: Wide Area Network
(Réseaux Etendus)
19
2.3. Topologies de base utilisées dans les
réseaux
19
2.3.1. Topologie en étoile
19
2.3.2. Topologie en anneau ou boucle
19
2.3.3. Topologie en bus
20
2. 3.4. Topologie en Arbre
20
2.3.5. Topologie en réseau maillé
20
2.3.6. Topologie mixte
21
2.4. Réseau local ou LAN
21
2.4.1. Mise en place
21
2.4.2. La configuration d'un réseau ad hoc
sous Windows 7 Professionnel
21
Troisième partie : MODELISATION DU
SYSTEME
27
Chapitre Troisième : ANALYSE ORGANIQUE
ET FONCTIONNELLE
28
3.1. Analyse de l'existant
28
3.1.1. Diagramme de flux et circulation de
l'information
28
3.1.2. Analyse des moyens et des documents
31
3.1.2.1. Etude des moyens :
31
3.1.2.2. Analyse des documents
31
3.1.3. Critique de l'existant et proposition des
solutions
32
3.1.3.1. Critique de l'existant
32
3.1.3.2. Proposition de solutions
32
3.2. Conception du système d'information
organisé
33
3.2.1. Les données :
33
3.2.2. Identification des acteurs et leurs
responsabilités
33
3.2.3. Recensement et description des
entités
34
3.2.4. Recensement des objets
35
3.2.5. Description des objets
35
3.2.6. Description d'autres objets.
36
3.2.7. Description de propriétés
37
3.2.8. Recensement et description des associations
entre entités
39
3.2.9. Recensement des relations
39
3.2.10. Description des relations et leurs
propriétés
39
3.2.11. Le dictionnaire des données
40
3.2.12. Description des propriétés
des relations
43
3.2.13. Modélisation des données
43
3.2.14. Modélisation du système de
gestion relationnelle de quitus de paiement en réseau local
44
3.2.15. Schéma du Modèle conceptuel
des données (MCD).
45
3.2.16. Phase logique
46
3.2.16.1. Les données
46
3.2.16.2. Passage du modèle organisationnel
de données au modèle logique de données
46
3.2.16.3. Représentation du Modèle
logique de données relationnel.
47
3.2.17. Modèle entités - associations
(MEA)
48
3.2.18. Organisation
49
3.2.18.1. Organisation des données à
mettre en place
49
3.2.18.2. Passage du modèle conceptuel de
données au modèle organisationnel de données.
49
3.2.18.3. Détermination des
données
49
3.3. Les traitements
51
3.3.1. Modélisation Conceptuel des
traitements
51
3.3.2. Schéma du Modèle Conceptuel de
traitements
52
3.3.3. Passage du Modèle Conceptuel de
traitements au Modèle organisationnel de traitements.
53
3.3.4. Représentation du modèle
organisationnel de traitements
53
3.4. Choix du matériel à utiliser
55
3.4.1. Le Software et hardware
55
3.4.2. Les matériels proposés
55
3.5. Les traitements
55
3.5.1. Modélisation logique de
traitement
55
3.5.1.1. MLT Chez l'utilisateur
(Administrateur)
56
3.5.1.2. MLT Chez le gestionnaire de
déclarations.
57
3.5.1.3. MLT Chez le gestionnaire de
Contribuables
58
3.5.1.4. MLT Chez le gestionnaire des recettes
59
3.6. Phase physique
60
3.6.1. Modèle physique de données
60
3.6.2. Transcription SQL du Modèle Physique
des Données
61
3.7. Le système de gestion de base de
données
67
3.7.1. Modèle organisationnel physique de
traitement
67
3.7.2. Chaîne et schéma d'implantation
du SGRQP en réseau local
68
3.7.3. Légende du schéma de la
chaîne d'implantation.
68
Quatrième partie : DEVELOPPEMENT DU
SYSTEME
69
Chapitre IV : REALISATION DU SYSTEME DE
GESTION RELATIONNELLE DE QUITUS DE PAIEMENT EN RESEAU LOCAL.
69
4.1. Généralité.
69
4.2. Le programme
69
4.3. Environnement de développement de
l'application
70
4.4. Outils de développement
70
4.4.1. WampServer ().
70
4.4.2. Le langage PHP-MYSQL
70
4.4.3. L'union PHP-MYSQL
71
4.5. Module du programme coté serveur.
71
4.5.1.. Serveur
71
4.5.2. Qu'est-ce qu'un serveur MySQL?
72
4.5.3. Navigateur
72
4.5.4. Base de données MySQL
73
4.5.5. Accès au contenu de la base de
données
73
4.5.6. Enregistrement des fichiers en PHP.
73
4.6. Sécurité de l'application
73
4.7. Guide d'utilisateur
73
Conclusion
83
BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE
85
I. Ouvrages et Revues :
85
Webographie
87
TABLE DES MATIERES
88
* 1 . WALUMBUKA Ilundu
Wail, Conception et réalisation d'un système de gestion des
nouveau nés, TFC, Inédit, 2005-2006
* 2 . Art. 63du code des
impôts modifié par l'O.-L. n°69-060 du 5 décembre 1969
et par l'O.-L. n°81-009 du 27 mars 1981.
* (3) Introduit par la Loi
n° 69/058 du 5 décembre 1969.
* (4 ). Pierre BELTRAME, la
fiscalité en France, éd. Hachette supérieur, 1992, page
12.
* 5Phillip TARGUS,
Système de gestion de Base de Données,
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