République Démocratique du Congo
Ministère de l'enseignement Supérieur et
Universitaire
UNIVERSITE DES SCIENCES ET DES TECHNOLOGIES DE LODJA
« USTL »
Faculté d'informatique
Département d'informatique de
gestion
INFORMATISATION DU SUIVI DES AFFECTATIONS DES ENSEIGNANTS.
[Cas de la Sous-division Provinciale de l'Enseignement
Primaire, Secondaire et Initiation a la Citoyenneté de Lodja 1]
Carlos DJAMBA LUMUMBA
Travail de fin de cycle présenté en vue de
l'obtention du grade de gradué en informatique de gestion
(Analyste Programmeur)
Directeur : Boni KIBAMBE
MUTAMBA
Professeur
Encadreur : Marcel
MPOYI MPOYI
Année académique
2014-2015
Assistant
EPIGRAPHE
[Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de
Dieu qui est en nous, au cas où nous ne sommes pas prêts pour
briller, nous donnons sans en être conscients la possibilité aux
autres de faire de même] - Akeelah
Anderson
DEDICACE
A mes Parents Patrice LUMUMBA YELE LUMPE et Véronique
ELODI TSHUPA qui ont accepté de souffrir et ont bien voulu à
travers leurs conseils et orientations nous voir participer dans cet immense
univers de la science
A Mon Pasteur Israël NONGAMBE pour ses prières, ses
conseils, ses encouragements et ses plaidoiries devant Dieu nous ont
été d'une grande utilité.
A ma Grande Soeur Suzanne DANGA LUMUMBA et sa suite qui ont
accepté la privation de leurs droits au seul but que je puisse
étudier.
A Marie-Claire MUSANDJE et son Mari Jean-Claude KASONGO qui m'ont
logé à leur domicile pendant ces trois ans de souffrances.
A Maitre Albert Pierre qui est notre sauvetage lors des vents et
marrés qui nous secouent.
Carlos DJAMBA LUMUMBA
REMERCIEMENTS
Notre parcours universitaire de trois ans touche à sa fin.
A cet effet, il est impérieux de saluer la contribution de toute
personne qui s'est impliquée d'une manière ou d'une autre
à la construction et à l'édification de cette oeuvre.
Qu'il nous soit permis ici de remercier l'initiateur de
l'Université des Sciences et des Technologies de Lodja, Son Excellence
Lambert MENDE OMALANGA qui a énormément dépensé des
fortunes depuis sa genèse jusqu'à ce jour.
Nous remercions le comité de gestion de l'USTL en
commençant par le Recteur Professeur Docteur OKUNDJI ONOKAVU Veron, le
Secrétaire Général Académique, Monsieur
l'Abbé MUTSHEMBE, et le Secrétaire général
Administratif, Monsieur OMAYEKE OMONOMBE.
Nos remerciements vont également aux autorités
décanales de la faculté des Polytechnique et du
département de l'Informatique de gestion, nous pensons au doyen de
ladite faculté Professeur Docteur Sylvain LOWOLO OKAKO Pen'ELUNGHA XI et
au Secrétaire Facultaire Albert YUNGU W. pour leurs efforts en vue de la
progression de notre département.
D'une manière singulière et particulière,
nous remercions ces deux grandes personnalités : Professeur Docteur
Boni KIBAMBE MUTAMBA qui est non seulement le Directeur de la présente
étude mais aussi, a le mérite d'être notre parrain
scientifique et l'Ingénieur Marcel MPOYI MPOYI qui a posé le
jalon de notre connaissance en informatique et en même temps encadreur du
présent travail. Sans eux, nous ne serions que des informaticiens
superficiels, qu'ils trouvent ici l'expression de notre profonde
reconnaissance.
Nous remercions vont également tous les professeurs, chefs
de travaux et assistants qui ont bien voulu venir nous encadrer tout au long de
notre parcours universitaire.
Il est impérieux ici de saluer la meilleure contribution
de nos grands frères scientifiques pour leurs encadrements,
conseils, aides et orientations : Jean-Claude MBUYI NGONGO,
François MUTSHEMBE, Raphaël WOYAKUDU, John LOHANDJOLA KATAKO,
Christian ONOMBE, Jérémie OMAKOY, Godelive ELAKOY, Damas
OKITALOKANGA et tous les autres de leur promotion.
Nous remercions aussi nos amis : Billy-Charles NONGAMBE,
Raphaël LONGIDIMO, André MABOKE KOTO, Crispin et tous les autres.
Nous fermons cette page en remerciant nos compagnons de lutte
qui ont parcouru avec nous ce long chemin épineux, rocailleux, entre
autre : EHADI NGUNGA Mathilde, BOTSHIMO NONGO Charles, AKAMB NYETSHI
Norbert, OKUKUNYUNGU OKOKO Désiré, SHAKO DJONGA Chadrack, OLOYI
MBANDJO Michel, WEDJOLONGO MADIMBO Faustin.
Carlos DJAMBA LUMUMBA
Que tous ceux qui, de près ou de loin, d'une
manière ou d'une autre, nous sont venus en aide et que nous n'avons pas
cité nommément trouvent ici l'expression de notre profonde
gratitude.
INTRODUCTION
1. PROBLEMATIQUE
La problématique désigne l'ensemble des
questions posées dans un domaine de la science en vue d'une recherche
des solutions1(*).
PINTO & GRAWITZ, définissent la
problématique comme étant un ensemble des questions que l'on se
pose à propos d'un sujet.2(*)
Pendant nos investigations à la sous-division de
l'enseignement primaire, secondaire et initiation à citoyenneté
de Lodja 1, nous avons trouvé que le suivi des affectations des
enseignants dans différentes écoles, se fait manuellement et
engendre les problèmes suivants :
§ Existence de plusieurs affectations pour un même
enseignant ;
§ Existence des enseignants sans affectation ou en
attente d'affectation ;
§ Perte des fiches d'affectation des
enseignants ;
§ Recherche difficile des anciennes fiches d'affectation.
Vue les problèmes engendrés par le suivi manuel,
nous orientons notre problématique vers des questions
suivantes :
§ Le suivi d'affectations d'enseignants tel qu'il se fait
actuellement parvient-il à satisfaire la hiérarchie de la sous
division provinciale de l'enseignement primaire, secondaire et initiation
à la citoyenneté de Lodja 1 ?
§ Qu'est-ce qu'il faut faire pour que le suivi
d'affectations d'enseignants puisse satisfaire la hiérarchie de la sous
division provinciale de l'enseignement primaire, secondaire et initiation
à la citoyenneté de Lodja 1 ?
2. HYPOTHESE
Se référant aux questions soulevées
pendant la problématique, les réponses provisoires suivantes sont
retenues :
§ Le suivi des affectations des enseignants ne parvient
pas à satisfaire la hiérarchie de la sous division provinciale de
l'enseignement primaire, secondaire et initiation à la
citoyenneté de Lodja 1.
§ Pour que le suivi des affectations des enseignants
puisse satisfaire la hiérarchie de la sous-division provinciale de
l'enseignement primaire, secondaire et initiation à la
citoyenneté de Lodja1, il faut l'informatiser.
3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
3.1. CHOIX DU SUJET
Vue le problème que nous avons rencontré lors de
notre passage à la sous division de l'enseignement primaire, secondaire
et initiation à la citoyenneté de Lodja 1, relatif
essentiellement au suivi des affectation des enseignants, nous avons
porté notre sujet intitulé :
« Informatisation du suivi des affectations des
enseignants, cas de la sous-division provinciale de l'enseignement primaire,
secondaire et initialisation à la citoyenneté de
Lodja1 ».
4. METHODES ET TECHNIQUES
UTILISEES
4.1. METHODES UTILISEES
Robert Pinto et Madeleine GRAWITZ définissent la
méthode comme étant un ensemble de démarches que suit
l'esprit humain pour découvrir et démontrer la
vérité.
Selon Robert LAFON, la méthode expérimentale est
une méthode scientifique de recherche qui part de l'observation
rigoureuse des faits pour en dégager une hypothèse qu'elle soumet
au contrôle de l'expérience (expérimentation) afin
d'arriver à la connaissance de la loi générale des
phénomènes.
Pour atteindre notre objectif, nous avons utilisé les
méthodes suivantes :
- Méthode historique ;
- Méthode descriptive ;
- Méthode analytique.
4.1.1. METHODE HISTORIQUE
Elle nous a permis de ressortir l'historique de la sous
division de l'enseignement primaire, secondaire et initiation à la
citoyenneté de Lodja 1.
4.1.2. METHODE DESCRIPTIVE
Elle nous a permis de réaliser la description de la
sous division de l'enseignement primaire, secondaire et initiation à la
citoyenneté de Lodja 1 en faisant apparaître sa structure
fonctionnelle détaillée.
4.1.3. METHODE ANALYTIQUE
Grace à elle, nous sommes parvenus à mieux faire
l'analyse de l'existence et aussi celle de toutes les données mises
à notre disposition.
4.2. TECHNIQUES UTILISEES
La technique est un moyen ou outil d'investigations
scientifiques que le chercheur utilise tout au long de son travail pour la
collecte, le dépouillement, l'arrangement, l'analyse et
l'interprétation des données ; afin d'arriver à une
interprétation facile de résultat.
Dans la présente étude, plusieurs nous ont
été avantageuses et nous avons fait recours aux techniques
ci-après :
- La technique d'observation ;
- La technique d'interview ;
- La technique documentaire.
4.2.1. TECHNIQUE
D'OBSERVATION
La technique d'observation est la considération
attentive de faits afin de mieux la connaître. Elle nous a permis
d'observer comment on affecte le personnel enseignant à la sous division
de l'enseignement primaire, secondaire et initiation à la
citoyenneté de Lodja 1
4.2.2. TECHNIQUE
D'INTERVIEW
Elle nous a permis d'organiser un rapport de communication
verbale avec le responsable des services généraux pour accueillir
certaines informations qui concernent l'affectation du personnel enseignant.
4.2.3. TECHNIQUE
DOCUMENTATIRE
Elle nous a permis à étudier et analyser le
document pour arriver à déterminer le fait ou
phénomène dont ces documents sont porteurs de trace.
5. DELIMITATION DU SUJET
Délimiter un champ d'investigation n'est ni une
attitude de faible ni de faute de responsabilité mais une contrainte de
la démarche scientifique.
5.1. DELIMITATION DANS LE
TEMPS
Quant à la délimitation du sujet dans le temps,
nous nous sommes servis de données portant sur la période allant
de 2014 jusqu'à 2017.
5.2. DELIMITATION DANS
L'ESPACE
Notre étude a été menée au sein de
la sous division de l'enseignement primaire, secondaire et initiation à
la citoyenneté de Lodja 1 plus précisément dans les
services généraux.
6. DIFFICULTES RENCONTREES
Tous au long de notre recherche, nous avons rencontré
des difficultés telles que :
- Manque d'ouvrages à caractère
informatique ;
- Manque de moyens financiers pour aller à
l'internet.
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hormis l'introduction et la Conclusion, notre travail est
divisé en quatre parties et chaque partie est divisée en
chapitres :
PREMIERE PARTIE : ANALYSE PREALABLE
Chapitre 1. ANALYSE DE L'EXISTANT
Chapitre 2. CRITIQUE DE L'EXISTANT
Chapitre 3. PROPOSITION DES SOLUTIONS
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE STATIQUE DU SYSTÈME
D'INFORMATION
Chapitre 1. ANALYSE CONCEPTUELLE DE DONNEES
Chapitre 2. ANALYSE LOGIQUE DE DONNEES
Chapitre 3. ANALYSE ORGANISATIONNELLE
TROISIEME PARTIE : ANALYSE DYNAMIQUE DU
SYSTÈME D'INFORMATION
Chapitre 1. ANALYSE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENT
Chapitre 2. ANALYSE ORGANISATIONNELLE DE TRAITEMENT
Chapitre 3. MODELES ANALYTIQUES DE TRAITEMENT
QUATRIEME PARTIE : REALISATION DE LA BASE DE
DONNEES
Chapitre 1. ANALYSE PHYSIQUE
Chapitre 2. IMPLEMENTATION DE LA BASE DE DONNEES
PREMIERE PARTIE : ANALYSE PREALABLE
CHAPITRE 1. ANALYSE DE
L'EXISTANT
1.1. HISTORIQUE DE LA
SOUS-DIVISION PROVINCIALE DE L'EPS-INC DE LODJA1
L'actuelle sous division provinciale de l'EPS-INC Lodja 1 a
été implantée en 1971 sous la dénomination de la
Sous-division de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel de LODJA,
sous l'initiative du Ministère de l'éducation nationale dans
l'ancien Zaïre.
Nous retiendrons que cette sous division, par
l'impératif de rapprocher les administrés à
l'administration, a été récemment scindée en trois
sous division avec l'avènement du changement du nom du ministère
qui passe de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel (EPSP) au
Ministère de l'Enseignement Primaire, Secondaire et Initiation à
la Nouvelle Citoyenneté, Enseignement Technique et Professionnel
(EPS-INC/ETP).
Voici les noms de deux sous-divisions dont celle-ci est
mère : Lodja 2 et Lodja 3. La sous-division provinciale de Lodja1
est l'une des 14 sous-divisions qui composent la Division Provinciale de
l'EPS-INC du Sankuru.
Voici les noms des chefs de sous-division, appelé au
langage de l'enseignement Sous Proved, qui se sont succédés
à la tête de celle-ci.
Tableau n°1. : Les noms des chefs des sous
division qui ont existé depuis sa création jusqu'à ce
jour.
N°
|
NOMS
|
Année d'arrivée
|
Année de départ
|
1
|
EMONGO SAIDI
|
1971
|
1972
|
2
|
ILUNGA BAKOLEYA TSHITENGE
|
1972
|
1973
|
3
|
KASANDA TSHENDA
|
1973
|
1976
|
4
|
TSHINDAMBE SAPO
|
1976
|
1977
|
5
|
Jean ATAKANA LOKOLO
|
1977
|
1981
|
6
|
Alphonse ELEMU TOLAKAMBO
|
1981
|
1982
|
7
|
Jolinard OKUNDJI TSHOTA
|
1982
|
1983
|
8
|
René-Richard TSHUMA KONGA
|
1983
|
1985
|
9
|
Henri OSAKO NDJEKA SHONGO
|
1985
|
1987
|
10
|
KONGO MUSEKI
|
1987
|
1990
|
11
|
Paul-Roger WELO KOLO LOHAHE
|
1990
|
2004
|
12
|
Jules OMANGONDO LOKANGA
|
2004
|
2006
|
13
|
André OMONDJO MBAPELONGE
|
2006
|
2010
|
14
|
Gustave LOHANGA LA KOND'ALOMBA
|
2010
|
2014
|
15
|
Jean-Paul MUKANGA ESEMA
|
2014
|
2014
|
16
|
Gustave LOHANGA LA KOND'ALOMBA
|
2014
|
À ce jour
|
Source : Rapport annuel du bureau de la Sous-division de
Lodja 1, 2013-2014.
a) OBJECTIF POURSUIVI
La sous-division provinciale de l'EPS-INC Lodja 1, comme
toutes les autres de la République Démocratique du Congo, a pour
missions et objectifs principaux :
- Représenter le ministre de l'enseignement à
son ressort administratifs ;
- Etablir des rapports annuels des assises sous provinciales
pour l'ouverture des nouvelles écoles et la fermeture ou le transfert
des anciennes écoles ;
- Gérer toutes les écoles (régimes de
gestion confondus) et assurer le suivi effectif des enseignements ;
- Affecter le personnel enseignant et les directeurs des
écoles primaires, secondaires et de l'enseignement technique.
- Percevoir les différents frais des différents
bureaux ;
- Etc.
b) SITUATION GEOGRAPHIQUE
La sous-division de l'EPS-INC Lodja est une structure du
Ministère de l'EPS-INC/ETP implantée en République
Démocratique du Congo, Province du Sankuru, Territoire et ville de
Lodja, précisément au quartier Lumumba dans l'avenue de la
Révolution.
Elle est bornée :
- A l'Est par l'Institut des Elites ;
- A l'Ouest par le Restaurant Pain Quotidien ;
- Au Nord par la Direction Provinciale du Service de
Contrôle et de la Paie des Enseignants (SECOPE) ;
- Au Sud par la RAWBANK.
1. 2. ORGANIGRAMME GENERAL
L'Organigramme général de la Sous-division
Provinciale de l'EPS-INC présente de la manière
suivante :
80.0
80.1
81.0
90.0
89.0
88.0
87.0
86.0
85.0
84.0
83.0
82.0
Légende :
§ 80.0 : Direction de la
sous-division ;
§ 80.1. : Secrétariat
général de la sous-division ;
§ 81.0 : Services généraux et
personnel ;
§ 82.0 : Cellule des finances et de la
comptabilité ;
§ 83.0 : Cellule
pédagogique ;
§ 84.0 : Cellule de planification et
statistiques ;
Légende :
§ 85.0 : Cellule de l'orientation ;
§ 86.0 : Cellule de l'éducation ;
§ 87.0 : Cellule de pension et rente de
survie ;
§ 88.0 : Cellule de culture, sport et loisir
scolaire ;
§ 89.0 : Cellule d'infrastructures ;
§ 90.0 : Cellule de l'enseignement spécial.
Source : archives de la
sous-division (Secrétariat)
1. 3. ETUDE DES POSTES DE
TRAVAIL
La Sous-division de l'EPS-INC Lodja 1 héberge 12 bureaux
ou services (cellules) qui se présentent de la manière
suivante :
1. DIRECTION (Bureau du Sous Proved
80.0)
Il a pour tâche :
- Représenter le pouvoir organisateur dans sa
juridiction ;
- Coordonner les activités des services du
ministère de l'EPS-INC de son entité ;
- Tenir une ou plusieurs réunions d'informations avec
les chefs d'établissement ;
- Assurer la supervision des activités scolaires de son
ressort et éveiller au respect de la règlementation
scolaire ;
- Veiller au respect du calendrier scolaire ;
- Assurer la diffusion et application des normes
pédagogiques édictées par la hiérarchie ;
- Trancher les litiges des chefs d'établissement et
des enseignants de son ressort conformément aux règles
d'administration ;
- Affecter les différents personnels aux
différentes écoles.
2. SECRETARIAT (80.1)
Le secrétariat est le poumon de l'institution parce
qu'il gère les secrets qui y sont cachés. Toutes les lettres qui
viennent de l'intérieur passent par le secrétariat, dans son
service appelée RECEPTION. Après, elles sont
orientées vers les services généraux dûment
marquées du sceau de la réception. Il s'occupe aussi de
l'expédition ou évacuation des lettres déjà
signées par le Sous Proved.
3. BUREAU DES ERVICES GENERAUX
(81.0)
C'est un bureau chargé du contrôle des agents du
bureau de la Sous-division. À l'absence du Sous Proved, c'est bien le
chef des ressources humaines qui assume l'intérim.
4. CELLULE DE FINANCES ET COMPTABILITE
(82.0)
Celle-ci s'occupe de la réception des recettes de tous
les établissements (le minerval, frais scolaires, différents
bureaux etc.)
5. CELLULE PEDAGOGIQUE (83.0)
C'est un bureau qui s'occupe de l'exploitation des
différents rapports des gestionnaires, d'inspecteurs, des conseillers
d'enseignement et des chefs d'établissements publics et privés.
Ces rapports peuvent être :
- Les rapports de la rentrée scolaire ;
- Les rapports trimestriels et ;
- Les rapports annuels accompagnés des bulletins de
signalement.
6. CELLULE DE LA PLANIFICATION ET STATISTIQUES
(84.0)
Ce service est chargé de la récolte des
effectifs tant des enseignants assis que des enseignants débouts, de
nombre d'écoles par régime des gestions de sa juridiction.
7. CELLULE D'ORIENTATION SCOLAIRE
(85.0)
Elle veille sur la déperdition et l'inadaptation
scolaire. C'est bien ce service qui est chargé de l'orientation de
l'élève dans une option qui lui convienne.
8. CELLULE D'EDUCATION A LA VIE
(86.0)
Celle-ci est chargée de la sensibilisation des parents
pour la scolarisation de leurs enfants. Il montre ainsi aux parents la
nécessité de scolariser leurs enfants et à ceux-ci la
nécessité d'étudier.
9. CELLULE DES PENSIONS ET RENTE DE SERVICE
(87.0)
Il vise le recensement et enregistrement des enseignants
décédés en vue d'assurer leur survie. Le chef de ce
service se charge de défendre les familles dont les membres
décédés furent enseignants et qui n'ont pas
bénéficié de six mois de salaire après la mort de
ceux-ci. Il se charge aussi de l'enregistrement des enseignants tant
débout qu'assis susceptibles d'être pensionnés et faire le
rapport à la hiérarchie.
10. BUREAU CULTURE, JEUX ET SPORTS
(88.0)
Il s'occupe des jeux et des sports car
dit-on : « un esprit saint dans un corps
saint ».
11. CELLULE DE L'ENSEIGNEMENT SPECIAL ET PRIVE
(89.0)
Ce bureau s'occupe des affaires de l'enseignement des
handicapés, infirmes sourds etc. Il s'occupe aussi des écoles
privées.
12. CELLULE D'INFRASTRUCTURE SCOLAIRE
(90.0)
C'est un service chargé des locaux et de l'état de
lieu des établissements.3(*)
1.4. ETUDE DES DOCUMENTS
L'étude des documents a pour but de recenser et de
décrire les documents qui sont concernés par notre
étude.
1.4.1. RECENSEMENT DES
DOCUMENTS
Le recensement consiste à présenter une liste
exhaustive des documents concernés par notre domaine de recherche.
Nous avons recensé les documents suivants :
- Liste des codes fonctions ;
- Liste des codes grades ;
- Liste des établissements ;
- Commissions d'affectation ;
- Demande d'emploi.
1.4.2. DESCRIPTION DES
DOCUMENTS
a) Demande d'emploi
- Identification du document : Demande d'emploi.
- Objectif du document : solliciter le poste
d'enseignant.
- Support : Papier
- Périodicité : Journalière
Code mnémonique
|
Nom de la rubrique
|
Format
|
Taille
|
NomEnseignant
|
Nom de l'enseignant
|
Texte
|
20
|
PostNomEnseignant
|
Post-nom de l'enseignant
|
Texte
|
20
|
PrénomEnseignant
|
Prénom de l'enseignant
|
Texte
|
20
|
EtudeFaite
|
Etude faite de l'enseignant
|
Texte
|
20
|
DateLettre
|
Date de la lettre
|
Date
|
10
|
DesignDestinataire
|
désignation du destinataire
|
Texte
|
25
|
NumLettre
|
Numéro de la lettre.
|
Texte
|
25
|
ObjetLettre
|
Objet de la lettre
|
Texte
|
100
|
Source :
Nous-mêmes.
Tableau n°2 : Description de la demande
d'emploi.
b) Commission d'affectation
Tableau n°3 : Description de la commission
d'affectation
- Identification du document : Commission d'affectation
- Objectif du document : notifier (confirmer),
désigner l'enseignant.
- Support : Papier
- Périodicité : Journalière
Nom de la rubrique
|
Pseudo code
|
Format
|
Taille
|
Numéro commission d'affectation
|
NumComAffec
|
Texte
|
35
|
Identité SECOPE Enseignant
|
IdeSecEnseignant
|
Texte
|
20
|
Nom de l'enseignant affecté
|
NomEnseignant
|
Texte
|
20
|
Sexe de l'enseignant affecté
|
SexeEnseignant
|
Texte
|
2
|
Post-nom de l'enseignant affecté
|
PostnomEnseignant
|
Texte
|
20
|
Prénom de l'enseignant affecté
|
PrenomEnseignant
|
Texte
|
25
|
Numéro du diplôme de l'enseignant
|
NumDiplEnseignant
|
Texte
|
15
|
Numéro SECOPE de l'établissement dont l'enseignant
est affecté
|
NumSecEtablissement
|
Texte
|
15
|
Date d'engagement de l'enseignant
|
DateEngagEenseignant
|
Date
|
10
|
Sigle de la Fonction à exercer
|
LibelleFonction
|
Texte
|
15
|
Sigle de grade à exercer
|
LibelleGrade
|
Texte
|
15
|
Date de signature de commission
|
DateSignaCommission
|
Date
|
10
|
Option du diplôme de l'agent
|
OptAgent
|
Texte
|
25
|
Source : Nous-mêmes.
c) Liste des
établissements
Tableau n°4 : Description de la liste
d'établissement
Identification du document : Liste des
établissements
Nature du document : interne
Objectif du document : enregistrement des
établissements.
Support : papier
Périodicité : apériodique
Nom de la rubrique
|
Pseudo code
|
Format
|
Taille
|
Commentaire
|
Code d'établissement
|
IndiPompeMatin
|
Numérique
|
10
|
|
Libelle Etablissement
|
IndiPompeSoir
|
Numérique
|
10
|
|
Date de création
|
DatePrelevement
|
Date
|
10
|
JJ/MM/AAAA
|
Adresse d'établissement
|
EtatStockMatin
|
Numérique
|
10
|
|
Source : Gérant
libre
d) Liste des codes fonctions
Tableau n°5 : Description de la liste des
codes fonctions
Identification du document : Liste des codes fonctions
Nature du document : interne
Objectif du document : enregistrement de codes des
fonctions.
Support : papier
Périodicité : apériodique
Nom de la rubrique
|
Pseudo code
|
Format
|
Taille
|
Commentaire
|
Code de fonction
|
CodeFonction
|
Numérique
|
5
|
|
Libelle de fonction
|
LibelleFonction
|
Numérique
|
100
|
|
Source :
Secrétariat
e) Liste des codes grades
Tableau n°6 : Liste des codes grades.
Identification du document : Liste des codes grades
Nature du document : interne
Objectif du document : enregistrement de codes des
grades.
Support : papier
Périodicité : apériodique
Nom de la rubrique
|
Pseudo code
|
Format
|
Taille
|
Commentaire
|
Code de grade
|
CodeGrade
|
Numérique
|
5
|
|
Libelle de grade
|
LibelleGrade
|
Numérique
|
100
|
|
Source :
Secrétariat
1.4.3. DESCRIPTION DES
DOCUMENTS
Pour la description des documents on utilise le modèle
de relevé d'informations ci-après :
a) Documents en entrées
Tableau n°7 : Description des documents en
entrée.
N°
|
SUPPORT
|
DESIGNATION
|
FREQUENCE
|
VOLUME MOYEN
|
VOLUME MAXIMAL
|
STATION ORIGINE
|
|
1. PAPIER
|
LISTE DES CODES FONCTIONS
|
APERIODIQUE
|
-
|
-
|
SERVICES GENERAUX
|
|
2. PAPIER
|
LISTE DESCODES GRADES
|
APERIODIQUE
|
-
|
-
|
SERVICES GENERAUX
|
|
3. PAPIER
|
LISTE DES ETABLISSEMENTS
|
APERIODIQUE
|
-
|
-
|
SERVICES GENERAUX
|
b) Documents en sorties
Tableau n°8 : Description des documents en
sortie.
N°
|
SUPPORT
|
DESIGNATION
|
FRQUENCE
|
VOLUME MOYEN
|
VOLUME MAXIMAL
|
STATION DESTINATION
|
|
1. PAPIER
|
COMMISSION D'AFFECTATION
|
ANNUELLE
|
-
|
-
|
ETABLISSEMENT
|
|
2. PAPIER
|
MISE EN PLACE DE PERSONNEL ADMINISTRATIF ET ENSEIGNANT
|
ANNUELLE
|
-
|
-
|
ETABLISSEMENT
|
1.5. SCHEMA DE CIRCULATION
D'INFORMATION
A ce stade, il s'agit d'établir un schéma de
circulation des informations pour chaque processus précédemment
défini ; question de mettre en évidence la totalité
des flux reçus, traités et émis par chacun des acteurs
dans les différents processus.
Les valeurs ajoutées d'un schéma de circulation
par rapport aux autres outils montrant le trajet des flux sont la
représentation des documents non circulant, la spécification des
moyens et supports de transmission ainsi que la représentation des
traitements apportés aux informations pour chaque acteur.
Plusieurs symboles sont utilisés pour formaliser un
schéma de circulation des informations en fonction de
l'élément à représenter.
Dans la page qui suit, nous présentons quelques-uns des
symboles les plus utilisés :
|
Départ
|
|
Tâche ou opération
|
|
Document circulant en un seul exemplaire
|
|
Document circulant en plusieurs exemplaires
|
|
Provenance
|
|
Destination
|
|
Ordinateur
|
|
Support
|
|
Classement
|
|
Document fixe ou non circulant
|
Le schéma de circulation d'information du
système d'information actuel se présente de la manière
suivante :
Tableau n°9 : Schéma de circulation de
l'information existant
RECEPTION
|
DIRECTION
|
SECRETARIAT
|
PERSONNEL
|
ENSEIGNANT
|
101
201
102
401
|
|
|
|
|
100
|
200
|
300
|
400
|
500
|
101
|
201
|
301
|
401
|
501
|
Demande d'emploi
Cahier d'entrée Lettres
201
Demande d'emploi
301
- Commission d'affectation
501
Envoi à la direction pour signature
Commission d'affectation
202
- Commission d'affectation
Classer le dossier.
- Réception de la commission d'affectation
- Classement.
|
|
|
|
|
202
102
301
202
Commission d'affectation
401
Cahier de sortie Lettres
Commission d'affectation
102
1.6. ETUDE DES MOYENS DE
TRAITEMENT
1.6.1. MOYENS HUMAINS
Les moyens humains peuvent être
représentés dans le tableau ci-après :
Tableau n°10 : fiche des moyens humains.
N°
|
POSTE DE TRAVAIL
|
Catégorie professionnelle
|
Niveau d'études
|
Ancienneté
|
1
|
80.0. Direction de la sous division
|
CB (14)
|
L2
|
6 ans
|
2
|
80.1. Secrétariat
|
CB (14)
|
D4
|
27 ans
|
3
|
81.0. Services généraux
|
CB (14)
|
G3
|
5 ans
|
4
|
82.0. Cellule de Comptabilité
|
ATB 1(14)
|
D6
|
20 ans
|
5
|
83.0. Cellule pédagogique
|
CB (14)
|
G3
|
10 ans
|
6
|
84.0. Cellule de la planification
|
CB (14)
|
D6
|
15 ans
|
7
|
85.0. Cellule de l'orientation scolaire
|
(14)
|
G3
|
8 ans
|
8
|
86.0. Cellule de l'éduction
|
ATB1
|
D6
|
22 ans
|
9
|
87.0. Cellule de pension
|
CB
|
G3
|
7 ans
|
10
|
88.0. Cellule de culture et sport
|
ATB1
|
D6
|
20 ans
|
11
|
89.0. Cellule d'infrastructures
|
ATB1
|
A2
|
27 ans
|
12
|
90.0. Cellule de l'enseignement sp.
|
ATB1
|
D4
|
25 ans
|
SOURCE : Nous-mêmes
1.6.2. MOYENS MATERIELS
Le tableau synoptique ci-dessous présente, les moyens
matériels utilisés :
Tableau n°11 : fiche des moyens
matériels de traitement de l'information.
N°
|
Type matériel
|
Capacité CPU
|
Support d'information
|
Date d'acquisition
|
Durée
|
Observation
|
1
|
Ordinateurs HP (Laptop)
|
2,16 Ghz
|
Papier
|
2015
|
1 an
|
Win 8
|
2
|
Machine à écrire (Olympia)
|
-
|
Papier
|
-1980
-1990
-2000
|
36 ans
26 ans
16 ans
|
Médiocre
Assez bon
Bon
|
3
|
Calculatrice
|
-
|
-
|
2014
|
2 ans
|
7
|
Source : Nous-mêmes
CHAPITRE 2. CRITIQUE DE
L'EXISTANT
La critique de l'existent ou encore le diagnostic de
l'existant permet de faire une appréciation complète en ce qui
concerne le niveau d'atteinte des objectifs assignés au système
actuel. Ainsi les points positifs et négatifs de l'existant seront
soulevés.
2.1. CRITIQUE DES MOYENS
HUMAINS
Concernant la masse du travail, la sous-division provinciale
de l'EPS-INC dispose d'un nombre suffisant d'agents pour assurer les travaux et
produire le résultat fiable au bon moment.
2.2. CRITIQUE DES MOYENS
MATERIELS
La sous-division provinciale de l'EPS-INC dispose des moyens
matériels modernes (ordinateur) pouvant lui permettre d'atteindre ses
objectifs mais ces moyens sont utilisés pour le traitement de texte.
2.3. CRITIQUE DES DOCUMENTS
Les documents sont conservés sur des supports manuels
(Papiers). Donc, il n'existe pas une bonne politique de conservation des
données ou des documents.
2.4. CRTITIQUE DU SCHEMA DE
CIRCULATION
Nous avons fait constat de la circulation aisée de
l'information poste à poste, ce qui facilite la vitesse dans la
distribution de travail.
2.5. CRTITIQUE DELA STRUCTURE
ORGANIQUE
En ce qui concerne la structure, nous avons
remarqué que celle-ci est en adéquation avec le principe de
complémentarité c'est-à-dire, verticalement, la structure
est bien faite.
CHAPITRE 3. PROPOSITION DES
SOLUTIONS
L'étude et la critique de l'existant nous conduisent
à l'examen des deux solutions, l'une manuelle et l'autre
informatique.
3.1. SOLUTION MANUELLE
La solution manuelle consiste à une
réorganisation simple du système d'information existant. Elle est
préférée quand il n'y a pas l'opportunité
d'information.
3.1.1. AVANTAGES
La solution manuelle offre les avantages suivants :
- Une main d'oeuvre à moindre coût ;
- La maintenance des matériels se fait à moindre
coût ;
- formation à moindre coût.
3.1.2. INCONVENIENTS
La solution manuelle présente les inconvénients
suivants :
- Manque de fiabilité dans les
résultats ;
- Grande probabilité d'erreur suite à la
défaillance humaine ;
- Moins de sécurité de conservation des
documents encombrement ;
- Difficulté de localiser une information ;
- Lenteur dans le traitement des informations.
3.2. SOLUTION INFORMATIQUE
La solution informatique repose sur l'intervention de
l'ordinateur en vue d'un traitement automatique les informations avec un
logiciel approprié.
3.2.1. AVANTAGES
- Bonne conservation des informations sur des supports
magnétique réduisant ainsi l'encombrement ;
- Possibilité de faire la mise à jour rapide des
données ;
- Facilité de localiser à tout moment une
information ;
- Rapidité dans le traitement des
informations ;
- Fiabilité assurée des résultats par
l'intervention des ordinateurs capables d'effectuer des opérations
très complexes.
3.2.2. INCONVENIENTS
- Le coût très élevé d'acquisition
des matériels et de maintenance ;
- Les matériels difficiles à
acquérir ;
- Assainissement possible du personnel suite à la
restriction, formulation du personnel.
3.3. CHOIX DE LA MEILLEUR
SOLUTION
Vu les avantages que nous offre la solution informatique, nous
avons opté pour cette dernière mais avec création d'un
centre informatique en son sein.
Tableau n° 12: nouveau schéma de
circulation des informations
RECEPTION
|
DIRECTION
|
SECRETARIAT
|
PERSONNEL
|
ENSEIGNANT
|
101
201
1022
401
|
|
|
|
|
100
|
200
|
300
|
400
|
500
|
101
|
201
|
301
|
401
|
501
|
Demande d'emploi
301
Demande d'emploi
201
- Commission d'affectation
202
Envoi du dossier au Secrétariat pour édition
des commissions
- Commission d'affectation
501
Envoi à la direction pour signature
- Commission d'affectation
Classer le dossier.
- Réception de la commission d'affectation
- Classement.
|
|
|
|
|
202
102
301
202
Commission d'affectation
401
Cahier de sortie Lettres
Commission d'affectation
102
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE STATIQUE DU SYSTEME
D'INFORMATION
CHAPITRE 1. ANALYSE
CONCEPTUELLE DES DONNEES
L'analyse conceptuelle des données constitue le premier
niveau d'abstraction. Il prend en compte les orientations de gestion. Il permet
de décrire le cycle de vie des principales entités métier
et de faire émerger les processus du système
métier4(*).
1.1. RECENSEMENT DES
DONNEES
Toutes les données nécessaires à un
projet d'application informatique doivent être répertoriés
et formalisés afin de définir les contenus de la base de
données correspondante5(*).
1.1.1. CHOIX DES DONNEES
Seules les données utiles à une application
doivent être retenues. Ce sont celles qui permettent d'en réaliser
les différents traitements, donc d'obtenir le résultat
souhaité6(*).
1.1.2. DICTIONNAIRE DES
DONNEES
Un premier travail de structuration consiste à affecter
à ces composants élémentaires une sémantique
précise et un ensemble de caractéristiques. Les données
mis en évidence sont individualisées.
Le dictionnaire des données est le document dans lequel
on récapitule toutes les données utile à une application,
hormis les constantes, avec leur description, leur nature et les règles
et contraintes qui s'y rapportent7(*).
Les données qui ne cadrent pas avec le processus
étudié seront tout simplement écartées du
dictionnaire des données.
Ci-dessous le dictionnaire des données:
Tableau n°13 : Dictionnaire des
données
RUBRIQUE
|
LONGUEUR
|
TYPE
|
FORMAT/OBSERVATION
|
Nom enseignant
Post nom enseignants
Prénom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Ancienneté enseignant
Date de naissance enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Lieu de provenance enseignant
Numéro phone enseignant
Numéro affectation
Code grade enseignant
Libellé grade enseignant
Date affectation
Code fonction enseignant
Libellé fonction enseignant
Nom remplacé
Post nom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
Type établissement
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
Nom chef établissement
Post nom chef établissement
Prénom chef établissement
Sexe chef établissement
Adresse chef établissement
Numéro phone chef établissement
Matricule enseignant
|
20
20
20
70
2
5
30
1
3
2
10
10
10
10
30
10
8
10
10
10
5
20
20
20
1
10
20
50
10
20
30
15
50
70
30
30
1
50
70
10
|
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
D
D
D
D
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
D
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
T
|
JJ/MM/AAAA
JJ/MM/AAAA
JJ/MM/AAAA
JJ/MM/AAAA
JJ/MM/AAAA
JJ/MM/AAAA
|
1.2. RECHERCHE DE LIENS ENTRE
DES DONNEES
La recherche des dépendances fonctionnelles permet une
structuration des informations sans redondance c'est-à-dire sans
répétition inutile8(*).
1.2.1. DETERMINATION DES
DEPENDANCES FONCTIONNELLES
La notion de dépendance fonctionnelle est un moyen de
déterminer méthodiquement des liens qui existent entre les
rubriques du dictionnaire des données afin de structurer correctement
les données.
Il y a dépendance fonctionnelle entre une donnée
S et une donnée B si, connaissant une valeur de S, on en déduit
au plus une valeur de B. la structuration des données à l'aide
des dépendances fonctionnelles se fait en partant du dictionnaire des
données.
En pratique, l'existence d'une dépendance fonctionnelle
entre deux données peut conduire à les rangées sur disque
de telle façon qu'un lien physique existe entre elle (ce lien
étant gérer par le logiciel).
1.2.2. GRAPHE DES DEPENDANCES
FONCTIONNELLES
Le graphe des dépendances fonctionnelles
synthétise l'ensemble des dépendances élémentaires
et directes du problème étudié.
Toutes les données du dictionnaire doivent se retrouver
sur le graphe, et aucune donnée (à l'exception des
paramètres) ne doit s'y trouver isolée des autres, lorsque
l'étude porte sur un domaine de gestion homogène.
Dans un graphe, les sources de dépendances simples sont
soulignées, les sources composées sont schématisées
par le symbole :
Code grade
9 Libellé grade
Code fonction
9 Libellé fonction
Code établissement
9 Libellé établissement
9 Adresse établissement
9 Date établissement
Code affectation
9 Date affectation
Matricule remplacé
9 Nom remplacé
9 Postnom remplacé
9 Prénom remplacé
9 Sexe remplacé
Code type établissement
9 Libellé type établissement
Matricule chef d'établissement
9 Nom Chef d'établissement
9 Postnom Chef d'établissement
9 Prénom Chef d'établissement
9 Sexe Chef d'établissement
9 Adresse Chef d'établissement
9 Num phone Chef d'établissement
Matricule enseignant
9 Nom enseignant
9 Postnom enseignants
9 Prénom enseignant
9 Adresse enseignant
9 Côte enseignant
9 Qualité enseignant
9 Option enseignant
9 Sexe enseignant
9 Situation familiale enseignant
9 Ancienneté enseignant
9 Date naissance enseignant
9 Date diplôme enseignant
9 Date promotion enseignant
9 Lieu de provenance enseignant
9 Num phone enseignant
1.3. IDENTIFICATION ET
DESCRIPTION DES OBJETS
1.3.1. IDENTIFICATION DES
OBJETS
L'identification des objets consiste à les recenser
indirectement à partir de dictionnaire de données ou directement
à partir du graphe de dépendances fonctionnelles.
Une entité ou un objet correspond à un composant
concret ou abstrait, utilisé par l'entreprise et présentant un
intérêt dans le cadre du champ de l'étude. Il est
composé d'une liste de propriétés9(*).
Une propriété est une information
élémentaire et non décomposable contenue dans le domaine
d'étude10(*).
Les objets ci-dessous ont été
recensés :
- Enseignant ;
- Affectation ;
- Etablissement ;
- Type établissement ;
- Chef établissement ;
- Remplacé ;
- Grade.
1.3.2. DESCRIPTION DES
OBJETS
Elle se fait de la manière suivante :
a. GRADE
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Code grade
|
T
|
5
|
|
Libellé grade
|
T
|
50
|
|
b. FONCTION
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Code fonction
|
T
|
5
|
|
Libellé fonction
|
T
|
50
|
|
c. REMPLACE
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Numéro remplacé
|
T
|
8
|
|
Nom remplacé
|
T
|
30
|
|
Post nom remplacé
|
T
|
30
|
|
Sexe remplacé
|
T
|
1
|
|
d. AFFECTATION
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Numéro affectation
|
T
|
8
|
|
Date affectation
|
D
|
10
|
|
e. ETABLISSEMENT
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Code établissement
|
T
|
10
|
|
Libellé établissement
|
T
|
50
|
|
Adresse établissement
|
T
|
70
|
|
Date établissement
|
D
|
10
|
|
f. TYPE ETABLISSEMENT
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Code type établissement
|
T
|
5
|
|
Libellé type établissement
|
T
|
50
|
|
Adresse type établissement
|
T
|
70
|
|
g. CHEF ETABLISSEMENT
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Matricule Chef établissement
|
T
|
8
|
|
Nom Chef établissement
|
T
|
30
|
|
Postnom Chef établissement
|
T
|
30
|
|
Sexe Chef établissement
|
T
|
1
|
|
Adresse Chef établissement
|
T
|
70
|
|
Num phone Chef établissement
|
T
|
10
|
|
h. ENSEIGNANT
PROPRIETE
|
TYPE
|
LONGUEUR
|
OBSERVATION
|
Non enseignant
|
T
|
8
|
|
Postnom enseignants
|
T
|
30
|
|
Prénom enseignant
|
T
|
30
|
|
Adresse enseignant
|
T
|
30
|
|
Côte enseignant
|
T
|
70
|
|
Qualité enseignant
|
T
|
5
|
|
Option enseignant
|
T
|
5
|
|
Sexe enseignant
|
T
|
1
|
|
Situation familiale enseignant
|
T
|
3
|
|
Ancienneté enseignant
|
N
|
2
|
|
Date naiss enseignant
|
D
|
10
|
|
Date diplôme enseignant
|
D
|
10
|
|
Date promotion enseignant
|
D
|
10
|
|
Lieu de provenance enseignant
|
T
|
30
|
|
Date engagement
|
D
|
10
|
|
Num phone enseignant
|
T
|
10
|
|
1.4. IDENTIFICATION ET
DESCRIPTION DES RELATIONS
Une association, ou une relation est figurée par un
ovale et peut porter un nom, de préférence une forme verbale.
L'association symbolise un lien entre des entités et n'a donc pas
d'existence ni d'identifiant propres11(*).
1.4.1. IDENTIFICATION DES
RELATIONS
L'identification des relations consiste à les recenser
en prévision de leur description.
En ce qui concerne notre étude, nous avons
recensé les relations suivantes :
- Comprendre
- Contenir
- Avoir
- Renfermer
- Porter
- Appartenir
1.4.2. DESCRIPTION DES
RELATIONS
Ci-dessous, le tableau descriptif des relations :
Tableau n°14 : Description des relations
RELATION
|
TYPE RELATION
|
OBJET SOURCE
|
OBJET CIBLE
|
REGLE DE GESTION
|
Renfermer
|
Binaire
|
AFFECTATION
|
ENSEIGNANT
|
Affectation renferme identité de l'enseignant
|
Comprendre
|
Binaire
|
AFFECTATION
|
REMPLACE
|
Affectation comprend l'identité du remplacé
|
Contenir
|
Binaire
|
AFFECTATION
|
GRADE
|
Affectation contient le grade
|
Porter
|
Binaire
|
AFFECTATION
|
FONCTION
|
Affectation porte de fonction
|
Disposer
|
Binaire
|
AFFECTATION
|
ETABLISSEMENT
|
Affectation dispose d'établissement
|
1.4.3. DEFINITION DES
CONTRAINTES
1.4.3.1. LIEN HIERARCHIQUE
Une association binaire « 1-N » dont les
pattes portent les cardinalités maximales 1 et N, définit un lien
de type hiérarchique « Père -
Fils ».
Un père a plusieurs enfants, un fils n'a qu'un seul
père.
Le lien hiérarchique exprime une dépendance
fonctionnelle entre les identifiants des deux entités. Les liens
hiérarchiques sont très fréquents en gestion et on y
distingue deux cas :
- Une association dotée des cardinalités (1,1) -
(0,n) ou (1,1) - (1,n), quand elle traduit une dépendance fonctionnelle
forte et stable, est appelé « Contrainte
d'Intégrité Fonctionnelle » (CIF).
- Dans les autres cas (0,1) - (0,n) ou (0,1) - (1,n)
traduisant une dépendance non stable, l'association est simplement
appelée « Dépendance
Fonctionnelle » (DF), ou parfois, contrainte
d'intégrité fonctionnelle faible (CIFF).
Les liens hiérarchiques se présentent de la
manière suivante :
a. AFFECTATION - ENSEIGNANT =
RENFERMER
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
ENSEIGNANT
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
RENFERMER
b. AFFECTATION - REMPLACE =
COMPRENDRE
COMPRENDRE
REMPLACE
Num remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
c. AFFECTATION - GRADE = CONTENIR
CONTENIR
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
GRADE
Code grade
Libellé grade
d. AFFECTATION - FONCTION =
PORTER
PORTER
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
FONCTION
Code fonction
Libellé fonction
e. AFFECTATION - ETABLISSEMENT =
DISPOSER
DISPOSER
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
f. ETABLISSEMENT - TYPE ETABLISSEMENT =
APPARTENIR
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
TYPE ETABLISSEMENT
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
APPARTENIR
g. ETABLISSEMENT - CHEF_ETABLISSEMENT =
AVOIR
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
AVOIR
CHEF ETABLISSEMENT
Matricule Chef établissement
Nom Chef établissement
Postnom Chef établissement
Sexe Chef établissement
Adresse Chef établissement
Num phone Chef établissement
1.4.3.2. ASSOCIATION DE TYPE (N - N)
Dont toutes les pattes portent des cardinalités
maximales supérieures à 1, est appelée
« Contrainte d'Intégrité
Multiple » (CIM).
Une CIM contenant une ou plusieurs propriétés
est une CIM PORTEUSE, dans le cas contraire, elle est non
porteuse.
1.5. CARDINALITES
1.5.1. DEFINITION
La cardinalité est le nombre minimum et maximal de
participation de l'occurrence d'un objet ou entité dans une association
ou relation.
1.5.2. DIFFERENTES
CARDINALITES
ü (0,1) : Une occurrence d'un objet peut exister
mais sans pour autant participer à la relation (0) et peut participer au
minimum une fois (1).
ü (1,1) : Une occurrence de l'objet participe au
minimum et au maximum une et une seule fois à la relation.
ü (0,n) : Une occurrence de l'objet peut exister
mais sans pour autant participer à la relation (0) et peut participer
sans limitation (n).
ü (1,n) : Une occurrence d'un objet participe au
maximum une fois à la relation et peut participer sans limitation.
1.5.3. APPLICATION DES
CARDINALITES
a. AFFECTATION - ENSEIGNANT =
RENFERMER
CIF
(1,1)
(1,n)
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
ENSEIGNANT
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
RENFERMER
§ Une occurrence de l'objet
« AFFECTATION » participe une et une seule fois à la
relation « RENFERMER ».
§ Une occurrence de l'objet
« ENSEIGNANT » participe au minimum une fois à la
relation « RENFERMER » et peut participer sans
limitation.
b. AFFECTATION - REMPLACE =
COMPRENDRE
CIF
(1,1)
(1,n)
COMPRENDRE
REMPLACE
Num remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« AFFECTATION » participe une et une seule fois à la
relation « COMPRENDRE ».
§ Une occurrence de l'objet
« REMPLACE » participe au minimum une fois à la
relation « COMPRENDRE » et peut participer sans
limitation.
c. AFFECTATION - GRADE = CONTENIR
CIF
(1,1)
(1,n)
CONTENIR
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
GRADE
Code grade
Libellé grade
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« AFFECTATION » participe une et une seule fois à la
relation « CONTENIR ».
§ Une occurrence de l'objet « GRADE »
participe au minimum une fois à la relation
« CONTENIR » et peut participer sans limitation.
d. AFFECTATION - FONCTION =
PORTER
CIF
CIF
(1,1)
(1,n)
PORTER
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
FONCTION
Code fonction
Libellé fonction
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« AFFECTATION » participe une et une seule fois à la
relation « PORTER ».
§ Une occurrence de l'objet
« FONCTION » participe au minimum une fois à la
relation « PORTER » et peut participer sans limitation.
e. AFFECTATION - ETABLISSEMENT =
DISPOSER
(1,1)
(1,n)
DISPOSER
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
ETABLISSEMENT
CodeEtablissement
LibelléEtablissement
AdresseEtablissement
DateCreaEtablissement
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« AFFECTATION » participe une et une seule fois à la
relation « DISPOSER ».
§ Une occurrence de l'objet
« ETABLISSEMENT » participe au minimum une fois à la
relation « DISPOSER » et peut participer sans
limitation.
f. (1,1)
(1,n)
ETABLISSEMENT - TYPE ETABLISSEMENT =
APPARTENIR
CIF
CIF
(1,1)
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
TYPE ETABLISSEMENT
Code type établissement
Libellé type établissement
APPARTENIR
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« ETABLISSEMENT » participe une et une seule fois à
la relation « APPARTENIR ».
§ Une occurrence de l'objet « TYPE
ETABLISSEMENT » participe une et une seule fois à la relation
« APPARTENIR »
g. ETABLISSEMENT - CHEF_ETABLISSEMENT =
AVOIR
(1,1)
(1,1)
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
AVOIR
CHEF ETABLISSEMENT
Matricule Chef établissement
Nom Chef établissement
Postnom Chef établissement
Sexe Chef établissement
Adresse Chef établissement
Num phone Chef établissement
Source : Nous-même
Commentaire :
§ Une occurrence de l'objet
« ETABLISSEMENT » participe une et une seule fois à
la relation « AVOIR ».
§ Une occurrence de l'objet « CHEF
ETABLISSEMENT » participe une et une seule fois à la relation
« AVOIR ».
ENSEIGNANT
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu de provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
GRADE
Code grade
Libellé grade
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
(1,n)
CIF
CIF
CIF
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
CIF
FONCTION
Code fonction
Libellé fonction
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
CIF
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
REMPLACE
Num remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
(1,n)
(1,1)
(1,1)
CHEF ETABLISSEMENT
Matricule Chef établissement
Nom Chef établissement
Postnom Chef établissement
Sexe Chef établissement
Adresse Chef établissement
Num phone Chef établissement
TYPE ETABLISSEMENT
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
CIF
CIF
(1,1)
(1,1)
CHAP 2. ANALYSE LOGIQUE DES
DONNEES
2.1. TYPOLOGIE DE
SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
Un système de gestion de base de données, est un
ensemble de programmes jouant le rôle d'interface entre l'utilisateur et
les bases de données c'est-à-dire, il permet à l'homme
d'utiliser les différentes fonctionnalités de la base de
données (création, mise à jour, stockage, consultation,
...). Il existe plusieurs types de système de gestion de base de
données notamment :
- Hiérarchique ;
- Réseau ou navigationel ;
- Relationnel ;
- Objet.
2.1.1. HIERARCHIQUE
Le système de gestion de base de données du type
hiérarchique appartient à la catégorie des systèmes
de gestion de base de données « arborescent » par le
fait que sa structure se présente sous forme d'un arbre.
Les systèmes de gestion de base de données
hiérarchiques sont les premiers à être lacés sur le
marché informatique. Ils sont caractérisés par l'usage
d'un accès unique (un seul point d'entrée). Dans ce modèle
les liens existant entre les objets sont strictement arborescents.
Modèle hiérarchique (1965 ...)
DEPARTEMENT
NO DPT, NOM DPT
EMPLOYE
NO EMP, NOMEMP, DATE-EMB
PROJET
NOPJ, NOMPJ, RESP-PJ
SALAIRE
ANNEE, SAL
Dans l'exemple, on remarquera que si une famille de l'arbre
doit être utilisée dans une autre arborescence il faudra la
dupliquer.
Par exemple : IMS est un SGBD hiérarchique.
2.1.2. RESEAU OU
VAVIGTIONNEL
Ce modèle est une extension du modèle
précédent, les liens entre objets peuvent exister sans
restriction. Les mystères de gestion de base de données du type
réseau sont aussi considérés comme les gestionnaires de
base de données appartenant à la famille des systèmes de
gestion de base de données « arborescents ».
Les systèmes de gestion de base de données
réseau sont aussi appelés le système de gestion de base de
données « navigationnel ». Ils sont
caractérisés par l'utilisation d'un accès multiple si du
moins la clé de l'information est bien connue (plusieurs points
d'entrée).
Modèle réseau (1965 ...)
DEPARTEMENT
NO DPT, NOM DPT
EMPLOYE
NO EMP, NOMEMP, DATE-EMB
SALAIRE
ANNEE, SAL
EMP - PROJET
NOPJ, NOEMPJ, DUREE
PROJET
NO PJ, NOMPJ, DATE-PJ
Pour retrouver une donnée dans une telle
modélisation ; il faut connaitre le chemin d'accès (les
liens) ; ceci rend encore les programmes dépendants de la structure
de données.
IDMS TOTAL ; MDBS - III sont les SGBD de ce type.
2.1.3. RELATIONNEL
Avant de parler de système de gestion de base de
données relationnel, il est important au préalable de comprendre
le concept « relationnel ».
Le concept Relationnel vient
généralement du concept mathématique
« relation ». Ce dernier qui a
été utilisé pour la première fois en
mathématique pour un mathématicien répondant au nom de EF
CODD est défini comme un produit cartésien d'un ou de plusieurs
ensembles.
Le modèle relationnel se présente sous forme
d'un tableau constitué des lignes et des colonnes. Les colonnes sont
champs de la table tandis que les lignes en sont les enregistrements.
Plusieurs systèmes de gestion de base de données
aujourd'hui sont orientés vers le modèle relationnel et on les
appelle Système de Gestion de Base de Données
Relationnel en sigle « SGBDR ».
Ce modèle est basé sur la notion de relation,
une relation est un ensemble n - upt (ne est fixe) qui correspondent chacune
à une propriété ou l'objet à décrire.
RESP-PJ
NOPJ
NOMPJ
NODPT
PROJET
DUREE
NOPTJ
NOEMP
EMP - PROJET
DEPARTEMENT
NODPT
45
NOMDPT
45
DATE-EMP
NOEMP
NOMEMP
NO DPT
EMPLOYE
DEPARTEMENT, PROJET, EMPLOYE - EMP - PROJET sont des
relations. Les lignes dessinées en pointillé sont les liens entre
les relations, mais ici n'est plus nécessaire de décrire
explicitement les liens, les chemins d'accès sont indépendants de
la modélisation.
2.2. CHOIX DU SYSTÈME DE
GESTION DE BASE DE DONNEES
En ce qui concerne notre travail, nous avons opté pour
le système de gestion de base de données relationnel compte tenu
de ses avantages.
Le système de gestion de base de données
relationnel combine les types de relations suivantes :
- La relation du type « 1 - N »
- La relation du type « N - N »
2.3. ORGANISATION DE DONNEES
DANS UNE BASE RELATIONNELLE
Dans une base relationnelle, les données sont
physiquement regroupées sous la forme des tables relationnelles.
Une donnée correspond à une colonne, ou champ
d'une table.
Les logiciels qui gèrent les bases de données
relationnelles sont le système de gestion de base des données
relationnelles (SGBDR).
2.4. NORMALISATION DES
RELATIONS
Nous ne donnerons ici que les trois premières formes
normales, la normalisation étant une matière très vaste
pour être détaillé dans un travail comme celui-ci.
a. Première forme normale
Une relation est en première forme normale, si tous les
attributs sont élémentaires et non décomposables.
b. Deuxième forme
Une relation est en deuxième forme normale, si elle est
en première forme normale et que tout attribut non clé est en
dépendance fonctionnelle de toute la clé.
c. Troisième forme
Une relation est en troisième forme normale, si elle
est en deuxième forme normale et que tout attribut non clé n'est
en dépendance fonctionnelle que de la clé (la dépendance
transitive doit être écartée).
2.5. CONTRAITE D'INTEGRITE
REFERENTIELLE
Chaque clé étrangère du schéma
relationnel fait référence à sa clé primaire d'une
relation. Cette référence se trouve dans la définition de
table physique de base de données.
2.6. PASSAGE DU SCHEMA
CONCEPTUEL DES DONNEES AU SCHEMA RELATIONNEL
Le schéma relationnel se déduit du schéma
conceptuel de données :
R1 : Une entité donne une relation :
l'identifiant de l'entité devient la clé de la relation, ses
propriétés deviennent les attributs de la relation.
R2 : Une association de type CIM (n - n) donne une
relation appelée aussi RELATION DE JOINTURE ou encore TABLE
RELATIONNELLE DE JOINTURE. La clé de la relation est composée des
identifiants des entités liées par l'association. Chaque
composant de cette clé est considéré comme une clé
étrangère et doit être précédée de
dièse. Les propriétés éventuellement portées
par l'association deviennent des attributs de la relation.
R3 : Une association hiérarchique (1 - N) :
est traduite par une clé étrangère, placée dans la
relation qui représente l'entité située du
côté « 1 » de l'association.
Cette clé étrangère est le rapport de
`identifiant de l'entité situé du côté
« N » de l'association.
Il n'y a donc pas en général création
d'une nouvelle relation pour schématiser une association
hiérarchique (Une relation peut parfois être admise pour traduire
les associations à dépendance faible, de cardinalité
(0,1).
2.7. MODELE LOGIQUE DE
DONNEES
2.7.1. SCHEMA RELATIONNEL
GRADE (Code grade, libellé
grade)
FONCTION (Code fonction,
libellé fonction)
ETABLISSEMENT (Code
établissement, matricule chef établissement, libellé
établissement, adresse établissement, date création
établissement, code type établissement, code chef
établissement).
AFFECTATION (num affectation, date
affectation, code grade enseignant, code fonction, code
établissement, code type établissement, matricule chef
établissement, matricule remplacé, matricule enseignant).
CHEF ETABLISSEMENT (Matricule chef
établissement, nom chef établissement, postnom chef
établissement, sexe chef établissement, adresse chef
établissement, num phone chef établissement, code
établissement).
REMPLACE (Matricule remplacé,
nom remplacé, postnom remplacé, prénom remplacé,
sexe remplacé).
ENSEIGNANT (Matricule enseignant, nom
enseignant, postnom enseignant, adresse enseignant, côte enseignant,
ancienneté enseignant, sexe enseignant, qualité enseignant,
option enseignant, situation familiale enseignant, date naiss enseignant, date
diplôme enseignant, date promotion enseignant, date engagement
enseignant, prénom enseignant, num phone enseignant lieu de provenance
enseignant).
1
1
1
1
1
1
1
CHEF ETABLISSEMENT
Matricule Chef établissement
Nom Chef établissement
Postnom Chef établissement
Sexe Chef établissement
Adresse Chef établissement
Num phone Chef établissement
TYPE ETABLISSEMENT
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
FONCTION
Code fonction
Libellé fonction
GRADE
Code grade
Libellé grade
REMPLACE
Num remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
ENSEIGNANT
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu de provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
AFFECTATION
Num affectation
Date affectation
Code fonction
Code établissement
Matricule enseignant
Matricule remplacé
Code grade
ETABLISSEMENT
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
Code type établissement
Matricule chef établissement
2.7.2. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
CHAP 3. ANALYSE
ORGANISATIONNELLE DES DONNEES
3.1. BASE DE DONNEES DANS
L'ORGANISATION
Chaque employé, chaque collaborateur a un rôle
dans le fonctionnement et l'organisation générale de
l'entreprise. Ses rôles déterminent les informations dont il a
besoin pour accomplir sa tâche et, en particulier, ses accès aux
bases de données.
3.1.1. SYSTÈME
D'INFORMATION ET SES ACTEURS
Le système d'information d'une entreprise peut
être défini comme le groupement des moyens, des méthodes et
des procédés qui permettent à chacun d'y disposer au bon
moment, des informations dont il a besoin pour accomplir ces tâches.
- Les informations rendues disponibles par le système
doivent être justes, fiables et utiles ;
- Le système échange obligatoirement des
informations avec l'extérieur de l'entreprise (DGI, DPR, CLIENT,
...) ;
- Le système informatique regroupe tous ceux qui
contribuent aux applications informatiques et notamment de base de
données. Chaque employé occupe un poste de travail. Il contribue
au fonctionnement de l'entreprise en échangeant des données avec
d'autres personnes : c'est un acteur interne du système
d'information de l'entreprise sont des acteurs externes du système
informatique.
3.1.2. DEFINITION DES DROITS
D'ACCES
La vue d'un acteur précise les données de la
base auxquelles il a accès, et indique pour chacune s'il peut la
créer (l'ajouter), l'interroger (la lire ou la consulter), la modifier
ou la supprimer.
Ces quatre actions constituent des droits ou des autorisations
qui peuvent se combiner12(*).
Les autorisations sont par convention désignées
par les lettres C (création), I (interrogation), M (modification) et S
(suppression).
3.1.3. REPRESENTATION GENERALE
DES DROITS D'ACCES
Tableau n°15 : Présentation des
droits d'accès
OBJET
|
PROPRIETE
|
SERVICES
GENERAUX
|
SERVICES
PEDAGOGI.
|
SERVICES
STATISTIQUE
|
CPTE
|
COORD
|
ENSEIGNANT
|
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu de provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
|
CIM
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
IMS
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
|
AFFECTATION
|
Num affectation
Date affectation
|
CIM
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
IMS
-
-
|
GRADE
|
Code grade
Libellé grade
|
CIM
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
IMS
-
-
|
FONCTION
|
Code fonction
Libellé fonction
|
CIM
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
I
-
-
|
IMS
-
-
|
ETABLISSEMENT
|
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
|
CIM
-
-
-
|
I
-
-
-
|
I
-
-
-
|
I
-
-
-
|
IMS
-
-
-
|
CHEF ETABLISSEMENT
|
Matricule chef établissement
Nom chef établissement
Postnom chef établissement
Sexe chef établissement
Adresse chef établissement
Num chef établissement
|
CIM
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
-
-
|
IMS
-
-
-
-
-
-
-
|
TYPE CHEF ETABLISSEMENT
|
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
|
CIM
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
|
IMS
-
-
-
-
|
REMPLACE
|
Matricule remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Sexe remplacé
|
CIM
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
|
I
-
-
-
-
-
|
IMS
-
-
-
-
-
|
3.2. INTRODUCTION DES
AUTORISATIONS DANS UN SCHEMA CONCEPTUEL DES DONNEES
Les autorisations d'accès ou d'un rôle peuvent
être reportées dans un schéma des données de type
schéma conceptuel.
Cette évolution du schéma a des
conséquences :
- Le schéma change de nature, car les accès
relèvent de l'organisation du travail (on répond à la
question QUI ?) et non du conceptuel.
Il revient un schéma de l'organisation des
données (S.O.D) ou modèle organisationnel des données
(M.O.D) ;
- Le schéma représente alors une vie, donc une
partie seulement du schéma d'ensemble.
Il s'agit d'un sous schéma.
La détection d'un droit sur des données ne
signifie pas qu'il puisse être exercé en toute circonstance,
notamment en raison d'éventuelle contrainte d'intégrité
référentielle.
3.3. GENERALISATION DU SCHEMA
ORGANISATIONNEL DES DONNEES
Un schéma organisationnel, en particulier un
schéma d'ensemble qui rassemble les divers sous schémas (ou
vues), peut apporter certaines précisions liées à
l'organisation des données ou résultant des modes de traitements
adoptés13(*).
Le schéma organisationnel des données prend en
compte l'évolution des données dans le temps14(*).
L'historisation de type « archivage » peut
être indiquée sur le schéma organisationnel des
données, en précisant si l'archivage se fait sur support
informatique (H pour « historique », implicitement sur
support informatique) ou manuel (HM).
3.4. MODELE ORGANISATIONNEL
DES DONNEES
Le schéma organisationnel des données n'est pas
limité à la représentation de vie partielle de base de
données ni à celle des celles autorisations d'accès :
un schéma organisationnel, en particulier un schéma d'ensemble
qui rassemble des divers sous schémas (ou vie), peut apporter certaines
précisions liées à l'organisation des données ou
résultant de mode des traitements adoptés.
(1,1)
(1,1)
(1,n)
CIMS
CIMS
CIMS
CIMS
CIMS
CIMS
CHEF ETABLISSEMENT IH
Matricule Chef établissement
Nom Chef établissement
Postnom Chef établissement
Sexe Chef établissement
Adresse Chef établissement
Num phone Chef établissement
TYPE ETABLISSEMENT IH
Code type établissement
Libellé type établissement
Adresse type établissement
FONCTION IH
Code fonction
Libellé fonction
GRADE IH
Code grade
Libellé grade
REMPLACE IH
Num remplacé
Nom remplacé
Postnom remplacé
Prénom remplacé
Sexe remplacé
ENSEIGNANT IH
Matricule enseignant
Nom enseignant
Postnom enseignant
Adresse enseignant
Côte enseignant
Ancienneté enseignant
Qualité enseignant
Option enseignant
Sexe enseignant
Situation familiale enseignant
Date naiss enseignant
Date diplôme enseignant
Date promotion enseignant
Date engagement enseignant
Lieu de provenance enseignant
Prénom enseignant
Num phone enseignant
ETABLISSEMENT IH
Code établissement
Libellé établissement
Adresse établissement
Date établissement
AFFECTATION IH
Num affectation
Date affectation
CIMS
CIMS
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
CIF
CIF
CIF
CIF
CIF
CIF
CIF
le Modèle Organisationnel des Données se
présente de la manière suivante :
TROISIEME PARTIE : ANALYSE DYNAMIQUE DU SYSTÈME
D'INFORMATION
CHAP 1. ANALYSE
CONCEPTUELLE DE TRAITEMENT
1.1. NOTION DE TRAITEMENT
Dans le vocabulaire réservé à l'analyse
merise, un traitement réuni les actions qui sont lancées dans des
circonstances identiques et qui se déroulent dès lors sans
interruption jusqu'à leur terme.
Le traitement se présente de la manière
suivante :
NOM - TRAITMENT
|
|
REGLE D'EMISSION
|
1.2. NOTION D'EVENEMENT
La modélisation de traitement repose sur les notions
d'événements et des résultats. Un événement
est un fait nouveau, un message porteur d'informations qui influencent le
système d'informations. En d'autres termes, c'est
l'élément déclencheur de traitement ou
d'opération.
Nom - événement
C'est peut être un flux d'informations, une
échéance (un événement temporel) ou un changement
d'état du système d'informations. L'événement se
présente sous forme suivante :
On distingue les événements externes (qui ont
leur origine hors du domaine d'étude) et les événements
internes (qui sont des résultats générés dans le
domaine d'étude).
1.3. NOTION DE RESULTAT
Nom - résultat
Un résultat est le produit d'un traitement. L'obtention
d'un résultat est une forme particulière
d'événements.
1.4. MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT (MCT)
Arrivée enseignant
Postes disponible
ET
Enseignant identifié
Commission d'affectation réunie
KO
OK
AFFECTATION
ET
Enseignant non affecté
Enseignant affecté
IDENTIFICATION ENSEIGNANT
KO
OK
Enseignant non identifié
CHAP 2. ANALYSE
ORGANISATIONNELLE DE TRAITEMENT
2.1. GENERALITES
Analyse organisationnelle de traitement place les traitements
dans l'organisation. Elle prend en compte le partage du travail entre les
acteurs du système d'information, le lien de traitement, le mode de
traitement, et des nouveaux événements ou nouvelles tâches
liés à l'organisation.
2.2. PROCEDURES
FONCTIONNELLES
Les traitements qui figurent dans le modèle
organisationnel de traitement sont appelés
« Procédures fonctionnelles » ; ou
« Phase ».
Une phase traduit la mise en oeuvre d'une opération
conceptuelle peut ainsi donner naissance à plusieurs modes de
traitements ou à différents moments qui dépendent de
l'organisation de l'entreprise.
Chaque phase se compose de tâches qui se
succèdent sans interruption à un même poste de travail.
La liste des tâches constituant une phase peut figurer
sur le modèle organisationnel des traitements.
2.3. MODE DE TRAITEMENT
On distingue trois modes de traitement ou natures de
traitement qui peuvent être indiqués sur le modèle
organisationnel :
- Le mode automatique (A) : qui s'applique quand aucune
intervention humaine n'est nécessaire en cours de traitement ;
- Le mode manuel (M) : qui concerne le traitement
réalisé sans recourir à l'ordinateur ;
- Le mode conversationnel (c) ou interactif : dans lequel
le traitement est réalisé informatiquement mais avec des
interventions humaines pour le diriger. Un même mode de traitement
s'applique à toutes les tâches d'une phase.
Enseignant affecté
Enseignant non affecté
KO
OK
- Convocation de la commission d'affectation
- Délibération par les membres de la commission
- Etablissement fiche d'affectation
- Signature fiche d'affectation
Commission d'affectation
Réussite enseignant
Echec enseignant
AFFECTATION ENSEIGNANT (C)
ET
EVALUATION ENSEIGNANT (M)
ET
- Contrôle des éléments constitutifs du
dossier
- Etude du dossier
- Enregistrement du dossier
Test disponible
Dossier apprécié
Dossier non apprécié
KO
OK
- Concours
- Correction
- Publication des résultats
APPRECIATION DOSSIER (M)
ET
KO
OK
2.4. MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENT (MOT)
Tableau n°16 : Modèle Organisation de
Traitement
MOMENT
|
PROCEDURE FONCTIONNELLE OU PHASE
|
ROLE
|
Arrivée enseignant
Postes disponible
ET
Enseignant identifié
Commission d'affectation réunie
Attribution d'une nouvelle fonction à un enseignant
KO
OK
AFFECTATION ENSEIGNANT (C)
ET
Enseignant non affecté
Enseignant affecté
IDENTIFICATION ENSEIGNANT (C)
Recherche de l'identité de l'enseignant
KO
OK
Enseignant non identifié
|
Services généraux
Services généraux
|
|
Source : Nous même
CHAP 3. MODELES DE
TRAITEMENT ANALYTIQUE
3.1. ACTION SUR UNE BASE DE
DONNEES
Un modèle de traitement analytique est un modèle
de traitement complété par les actions réalisées
sur la base de données. Une action porte sur une entité ou sur
une association. Les actions possibles sont :
- La création ;
- L'interrogation (la consultation ou la lecture) ;
- La mise à jour ou modification ;
- La suppression.
Une action peut être conditionnelle ou concernée
par plusieurs occurrences d'une entité ou d'une association. Le
formalisme utilisé est schématisé comme suit :
TRAITEMENT
NOM ENTITE
OU
ASSOCIATION
Condition (1)
N (2)
3.2. ETAT DES ELEMENTS D'UNE
BASE DE DONNEES
L'état d'une entité ou d'une association est un
stade transitoire de cet élément dans la vie du système
d'informations.
Les actions de traitement peuvent changer l'état des
entités et des associations auxquelles elles se rapportent. Les
états successifs d'une entité ou d'une association sont
matérialisés de la façon suivante :
TRAITEMENT
NOM ENTITE OU ASSOCIATION
Etat avant action
Etat après action
Action
3.3. MODELE CONCEPTUEL DE
TRAITEMENT ANALYTIQUE (MCTA)
ENSEIGNANT
GRADE
ETABLISSEMENT
AFFECTATION
ENSEIGNANT
FONCTION
REMPLACE
Arrivée enseignant
Postes disponible
ET
Enseignant identifié
Commission d'affectation réunie
KO
OK
AFFECTATION ENSEIGNANT
ET
Enseignant non affecté
Enseignant affecté
IDENTIFICATION ENSEIGNANT
KO
OK
AFFECTATION
Enseignant non identifié
3.4. MODELE ORGANISATIONNEL DE
TRAITEMENT ANALYTIQUE (MOTA)
KO
OK
IDENTIFICATION ENSEIGNANT (C)
Enseignant affecté
Enseignant non affecté
AFFECTATION ENSEIGNANT (C)
ET
KO
OK
Commission d'affectation réunie
Enseignant identifié
ET
Postes disponible
Arrivée enseignant
ENSEIGNANT
Enseignant non identifié
AFFECTATION
REMPLACE
FONCTION
ENSEIGNANT
AFFECTATION
ETABLISSEMENT
GRADE
QUATRIEME PARTIE : REALISATION DE LA BASE DE DONNEES
CHAP 1. ANALYSE
PHYSIQUE
1.1. PRISE EN COMPTE DES
BESOINS DES UTILISATEURS
Les besoins des utilisateurs sont souvent donnés sous
forme de requêtes :
- L'affectation
- La mise en place par établissement
- Liste des codes fonctions
- Liste des codes grades
- Liste des chefs d'établissement
- Etc.
Les besoins des utilisateurs répertoriés sont
présentés sous forme des états en sortie.
1.2. PRESENTATION DES REQUETES
D'EDITION
1.2.1. EDITION DE
L'AFFECTATION
T - ENSEIGNANT
T - ETABLISSEMENT
T - REMPLACE
T - GRADE
T - FONCTION
R - AFFECTATION
AFFECTATION
1.2.2. EDITION DE LA MISE EN
PLACE PAR ETABLISSEMENT
T - ETABLISSEMENT
T - ENSEIGNANT
T - GRADE
T - FONCTION
R - MISE EN PLACE
LISTE DE LA MISE EN PLACE
1.2.3. EDITION DE LISTE DES
CODES FONCTIONS
T-FONCTION
R-FONCTION
LISTE DES FONCTIONS
1.2.4. EDITION DE LISTE DES
CODES GRADES
T-GRADE
R-GRADES
LISTE DES CODES GRADES
T-CHEFS
D'ETABLISSEMENT
R-CHEFS D'ETABLISSEMENT
LISTE DES CHEFS D'ETABLISSEMENT
1.2.5. EDITION DE LISTE DES LISTES DES CHEFS
D'ETABLISSEMENT
1.3. PRISE EN COMPTE DES
RESSOURCES
1.3.1. PRESENTATION DE
HARDWARE
Le hardware est la partie matérielle d'un informaticien
appelé ordinateur en opposition ou software qui est constitué lui
par des logiciels, dans le cas de notre application, nous proposons des
ordinateurs ayant les caractéristiques suivantes :
- Marque : DELL
- Processeur : Pentium Millenium (PM)
- Fréquence : 1,90 Ghz 480 Mo de RAM
- Mémoire vive : 1 Go
- Ecran : VGA
- Clavier : AZERTY 108 Touches
- Lecteur : DVD marque LG
- Imprimante : Laser, à jeu d'encre.
- Souris : Optique, mécanique.
1.3.2. PRESENTATION DU
SOFTWARE
Est la partie intelligente de l'ordinateur en opposition au
Hardware, ce sont les logiciels informatiques. Pour ce faire, nous
proposons :
- Windows 7
- Version Professionnelle
- Service Pack 2
- Le SGBDR : MS Access 2007
- Anti virus : Norton 2017
1.4. MODELE PHYSIQUE DES
DONNEES
Le modèle physique des données est une
description de la base de données exprimée dans syntaxe du
système de gestion de base de données.
1.4.1. REGLES DE PASSAGE DU
MODELE LOGIQUE DES DONNEES AU MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
Le passage d modèle logique des données au
modèle physique des données exige que les différentes
relations ou tables relationnelles jusqu'à présent externes
soient traduites en fichiers, faisant partie intégrante de la base de
données (schéma interne).
Les tables relationnelles décrites au niveau logique
des données deviennent des tables physiques et l'ensemble des tables
physiques du même domaine de gestion forme un seul fichier physique avec
l'extension. MDB (Microsoft Data Basa) représentant les bases de
données relationnelles.
Ce passage est facilité par l'usage d'un système
de gestion de nase de données. A titre de rappel, ce passage sera
réalisé avec le système de gestion de base de
données « ACCESS 2007 ».
- Les relations deviennent des tables physiques ;
- Les attributs deviennent des champs ;
- Les clés logiques (identifiant) deviennent des
clés primaires (champs indexés sans doublons) ;
- Les clés héritées deviennent des
clés secondaires (champs indexés avec doublons).
1.4.2. STRUCTURE PHYSIQUE DE
LA BASE DE DONNEES
La structure physique de la base de données se
présente de la manière suivante :
a. GRADE
CHAMP
|
TYPE DE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Code grade
|
T
|
5
|
Clé primaire
|
Libellé grade
|
T
|
50
|
|
b. AFFECTATION
CHAMP
|
TYPE DE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Num affectation
|
T
|
8
|
Clé primaire
|
Matricule remplacé
|
T
|
10
|
Clé étrangère
|
Code affectation
|
T
|
5
|
Clé étrangère
|
Code grade
|
T
|
5
|
Clé étrangère
|
Code fonction
|
T
|
5
|
Clé étrangère
|
Code type établissement
|
T
|
5
|
Clé étrangère
|
Date affectation
|
D
|
10
|
|
c. FONCTION
CHAMP
|
TYPE DE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Code fonction
|
T
|
5
|
Clé primaire
|
Libellé fonction
|
T
|
50
|
|
d. REMPLACE
CHAMP
|
TYPE DE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Code remplacé
|
T
|
8
|
Clé primaire
|
Nom remplacé
|
T
|
30
|
|
Postnom remplacé
|
T
|
30
|
|
Prénom remplacé
|
T
|
30
|
|
Sexe remplacé
|
T
|
1
|
|
e. ETABLISSEMENT
CHAMP
|
TYPE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Code établissement
|
T
|
10
|
Clé primaire
|
Libellé établissement
|
T
|
50
|
|
Adresse établissement
|
T
|
70
|
|
Code type établissement
|
T
|
10
|
|
Date de création établissement
|
D
|
10
|
|
f. TYPE ETABLISSEMENT
CHAMP
|
TYPE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Code type établissement
|
T
|
10
|
Clé primaire
|
Libellé type établissement
|
T
|
50
|
|
g. CHEF D'ETABLISSEMENT
CHAMP
|
TYPE DONNEES
|
TAILLE
|
DESCRIPTION
|
Matricule Chef établissement
|
T
|
8
|
Clé primaire
|
Nom Chef établissement
|
T
|
30
|
|
Postnom Chef établissement
|
T
|
30
|
|
Prénom Chef établissement
|
T
|
30
|
|
Sexe Chef établissement
|
T
|
1
|
|
Adresse Chef établissement
|
T
|
70
|
|
Num phone Chef établissement
|
T
|
10
|
|
1.5. CALCUL DU VOLUME DE LA
BASE DE DONNEES
1.5.1. CALCUL DU VOLUME DES
TABLES
Tableau n°17 : Calcul du volume des tables
N°
|
TABLES
|
NOMBRE D'ENREGISTREMENT
|
TAILLE
|
VOLUME
|
|
1. ENSEIGNANT
|
500
|
230
|
115.000
|
|
2. AFFECTATION
|
200
|
48
|
9600
|
|
3. ETABLISSEMENT
|
200
|
158
|
31.600
|
|
4. FONCTION
|
10
|
55
|
550
|
|
5. GRADE
|
10
|
55
|
550
|
|
6. REMPLACE
|
200
|
99
|
19.800
|
|
7. CHEF ETABLISSEMNET
|
200
|
179
|
35.800
|
|
8. TYPE ETABLISSEMENT
|
3
|
140
|
420
|
TOTAL
|
213.320
|
1.5.2. CALCUL DU VOLUME DES
INDEX
Tableau n°18 : Calcul volume des index
N°
|
TABLES
|
INDEX
|
NOMBRE D'ENREG
|
TAILLE
|
VOLUME
|
|
1. ENSEIGNANT
|
Matricule enseignant
|
500
|
8
|
4.000
|
|
2. AFFECTATION
|
Num affectation
Matricule enseignant
Code grade
Code fonction
Matricule remplacé
Code établissement
|
200
500
10
10
200
200
|
8
8
5
5
8
10
|
1.600
4.000
50
50
1.440
1.800
|
|
3. ETABLISSEMENT
|
Code établissement
Type établissement
Matr Chef établissement
|
200
3
200
|
10
10
10
|
2.000
30
2.000
|
|
4. FONCTION
|
Code fonction
|
10
|
5
|
50
|
|
5. GRADE
|
Code grade
|
10
|
5
|
50
|
|
6. REMPLACE
|
Matricule remplacé
|
200
|
8
|
1.600
|
|
7. CHEF ETABLISSEMENT
|
Matricule chef établi
|
200
|
8
|
1.600
|
|
8. TYPE ETABLISSEMENT
|
Code type établissem
|
3
|
8
|
24
|
TOTAL
|
20294
|
VOLUME TOTAL = Volume des tables + volume des index
= 213.320+ 20294
= 233.614 octets
VOLUME DE BASE DE DONNEES = 233.614 * 3
= 700842/1024
= 684,416015625 Ko
1.6. MODELE PHYSIQUE DE
TRAITEMENT
1.6.1. DEFINITION
Le modèle physique de traitement (MPT) précise,
pour la réalisation, les spécifications techniques des
différents modules définis au niveau des modèles
analytiques de traitement.
1.6.2. REPRESENTATION DU
MODELE PHYSIQUE DE TRAITEMENT
LOGO DE DEMARRAGE
CONNEXION
MENU GENERAL
TABLES
T_ENSEIGNANT
T_AFFECTATION
T_FONCTION
T_GRADE
T_REMPLACE
T_CHEF ETABLISSEMENT
CREATION ET MAJ
T_TYPE ETABLISSEMENT
FORMULAIRE
F_ENSEIGNANT
F_AFFECTATION
F_FONCTION
F_GRADE
F_REMPLACE
REMPLACE
F_CHEF ETABLISSEMENT
F_TYPE ETABLISSEMENT
AFFECTATION
LISTE DES MISE EN PLACE
LISTE DES FONCTIONS
LISTE DES GRADES
LISTE DES CHEFS D'ETABLISSEMENT
EDITION
QUITTER
CHAP. 2 :
IMPLEMENTATION DE LA BASE DE DONNEES
2.1. CREATION D'UNE BASE DE
DONNEES VIDE
La procédure de la création d'une base de
données vide en Access est la suivante dès qu'Access est
actif15(*) :
o Cliquer sur l'icône « BDD
vide » ;
o Nommer la BDD ;
o Choisir l'emplacement ou l'endroit à loger la
BDD ;
o cliquer sur le bouton créer.
Après toutes ces opérations, notre base de
données vide se présente de la manière suivante :
2.2. STRUCTURATION DE LA BASE
DE DONNEES
2.2.1. CREATION DES TABLES
La table est le premier objet de la base de données et
celle nous qui nous permet de stocker les données. La procédure
de la création d'une table est la suivante16(*) :
o cliquez sur l'onglet « créer » de
la barre de menu.
o Cliquez sur l'outil « création
table ».
o une fenêtre s'ouvre et permettant de définir
les champs, en précisant le nom du champ et le type des données
qu'il contient ainsi que leur taille.
o Cliquez sur « enregistrer » pour
la sauvegarder de la table.
o Dans la fenêtre enregistrer sous,
donnez le nom à la table et cliquez sur Ok.
Ci-dessous, l'image d'une table :
2.2.2. CREATION DES RELATIONS
ENTRE LES TABLES
Pour la création des relations la procédure
à suivre est la suivante :
A partir de la fenêtre Access, cliquez sur l'onglet
« Outils de base de données » du menu ;
Cliquez sur l'outil « Relations » ;
une fenêtre s'ouvre nous permettant d'ajouter les
tables ;
la fenêtre « Modifier la relation »
s'ouvre en vous donnant la possibilité de cocher les cases
suivantes :
§ Appliquer l'intégrité
référentielle ;
§ Mettre à jour en cascade les champs
correspondants,
§ Effacer en cascade les enregistrements correspondants.
Cliquez sur le bouton « type de
jointure » pour faire le choix de jointure ;
Cliquez sur le bouton « créer »
pour réaliser la jointure.
Ainsi, la « relation » se
présente :
2.2.3. CREATION DES
REQUETES
La procédure de création d'une requête est
la suivante17(*) :
o cliquez sur l'onglet « créer » de
la barre de menu.
o Cliquez sur l'outil « création
table ».
o Dans la fenêtre « Afficher Table »
s'affiche :
§ Sélectionner la table sur laquelle doit porter
la requête, puis cliquer successivement sur les boutons
« Ajouter » et « Fermer ».
§ Double cliquer sur champ à reprendre ou soit
cliquer sur l'attribut et maintenir le bouton gauche de la souris
enfoncé, ensuite glisser jusque dans la grille puis
relâcher ;
o Cliquez sur « enregistrer » pour
la sauvegarder de la table.
o Dans la fenêtre enregistrer sous,
donnez le nom à la table et cliquez sur Ok.
Ci-dessous, l'image d'une requête :
2.2.4. CREATION DES
FORMULAIRES
La procédure de la création d'un formulaire est
la suivante18(*) :
cliquez sur l'onglet « créer » de
la barre de menu.
Cliquez sur l'outil « création
formulaire ».
Cliquez sur l'outil « Feuille de
propriétés ».
Dans la liste de choix de la propriété
« source », sélectionnez « la table ou la
requête » concernée par le formulaire.
Cliquez sur l'outil « Ajouter des champs
existant ».
sélectionner les champs et les déposer sur le
formulaire en faisant « glisser -déposer »;
Cliquez sur « enregistrer » pour la
sauvegarder de la table.
Dans la fenêtre enregistrer sous,
donnez le nom à la table et cliquez sur Ok.
2.3. PRESENTATION DES
INTERFACES UTILISATEURS
2.3.1. INTERFACE DE CONNEXION
A LA BASE DE DONNEES
L'interface de connexion permet à l'utilisateur de se
connecter et jouir de la potentialité de la base de données.
Au lancement de l'application à partir de l'icône
placée sur le bureau, le login (fenêtre d'identification de
l'utilisateur) apparaît sous la forme suivante :
2.3.2. INTERFACE MENU GENERAL
La connexion à la base de données, amène
l'utilisateur directement vers l'interface lui permettant d'exploiter
l'application. Ce menu est géré par le « contrôle
onglet ».
L'interface menu général, se
présente de la manière suivante :
CONCLUSION GENERALE
Notre présent travail de fin cycle en informatique de
gestion porte sur l' : « Informatisation du suivi des
affectations des enseignants, cas de la sous-division provinciale de
l'enseignement primaire, secondaire et initialisation à la
citoyenneté de Lodja1 ».
Ce travail est divisé en quatre parties hormis
l'introduction et la conclusion générale.
L'objectif principal de ce travail, est de mettre en place un
système informatisé de suivi des affectations des enseignants au
sein de la sous-division provinciale de l'EPS-INC de Lodja 1.
Il a été réalisé dans le respect
du principe de base Merise qui prône le respect strict de la
séparation des données et des traitements.
En ce qui concerne les données, nous nous sommes
basés surtout sur les données qui ne varient pas quel que soit le
changement de la structure organisationnelle de la sous-division provinciale de
l'EPS-INC de Lodja1.
Concernant les traitements, seuls les traitements ayant
d'incidences remarquables et importantes sur les éléments de la
base des données ont été retenus et approfondies en termes
des phases ou procédures fonctionnelles et conceptuelles.
La réalisation de la base de données est venue
matérialiser l'implémentation de la base de données en
respectant les procédures définies sur le modèle physique
de traitement.
La réalisation de la base de données est venue
confirmée notre hypothèse en dotant la sous division provinciale
de l'EPS-INC d'un logiciel spécifique de suis des affectations des
enseignants.
Toute fois, les critiques des autres scientifiques, seront
acceptées pour l'avancement de notre domaine et pour
l'intérêt de la sous-division provinciale de l'EPS-INC de
Lodja1.
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGES
1. Dominique DIONISI, Essentielle sur merise, Edition
Eyrolles, Paris, 1996.
2. Jacques SORNET, Informatique de gestion : analyse
et partage des bases de données, 2ème éd. Dunod,
2007.
3. N. KETTANI, D. MIGNET, P. PARE, C. ROSENTHAL, De Merise
à UML, ED. Eyrolles, Paris, 2000.
4. R. PINTO et M. GRAWITZ, Méthodes en Sciences
Sociales, éd. Dalloz, Paris, 1971.
2. NOTES DE COURS
1. KALOTI, Cours de méthodes de recherche scientifique,
G2 Info, UPL, 2011-2012, Inédit.
2. MPOYI Marcel, Cours des techniques de base de
données, USTL, G3 Info, 2015-2016, Inédit.
3. MPOYI Marcel, Cours des méthodes d'analyse
informatique I, USTL, G3 Info, 2014-2016, Inédit.
4. MPOYI Marcel, Cours des méthodes d'analyse
informatique II, USTL, G3 Info, 2014-2016, Inédit.
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION
3
1. PROBLEMATIQUE
1
2. HYPOTHESE
1
3. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2
3.1. CHOIX DU SUJET
2
4. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
2
4.1. METHODES UTILISEES
2
4.1.1. METHODE HISTORIQUE
2
4.1.2. METHODE DESCRIPTIVE
2
4.1.3. METHODE ANALYTIQUE
2
4.2. TECHNIQUES UTILISEES
2
4.2.1. TECHNIQUE D'OBSERVATION
3
4.2.2. TECHNIQUE D'INTERVIEW
3
4.2.3. TECHNIQUE DOCUMENTATIRE
3
5. DELIMITATION DU SUJET
3
5.1. DELIMITATION DANS LE TEMPS
3
5.2. DELIMITATION DANS L'ESPACE
3
6. DIFFICULTES RENCONTREES
3
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
4
PREMIERE PARTIE
CHAPITRE 1. ANALYSE DE L'EXISTANT
5
1.1. HISTORIQUE DE LA SOUS-DIVISION PROVINCIALE DE
L'EPS-INC DE LODJA1
5
1. 2. ORGANIGRAMME GENERAL
7
1. 3. ETUDE DES POSTES DE TRAVAIL
8
1.4. ETUDE DES DOCUMENTS
10
1.4.1. RECENSEMENT DES DOCUMENTS
10
1.4.2. DESCRIPTION DES DOCUMENTS
10
1.4.3. DESCRIPTION DES DOCUMENTS
12
1.5. SCHEMA DE CIRCULATION D'INFORMATION
13
1.6. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT
17
1.6.1. MOYENS HUMAINS
17
1.6.2. MOYENS MATERIELS
17
CHAPITRE 2. CRITIQUE DE L'EXISTANT
18
2.1. CRITIQUE DES MOYENS HUMAINS
18
2.2. CRITIQUE DES MOYENS MATERIELS
18
2.3. CRITIQUE DES DOCUMENTS
18
2.4. CRTITIQUE DU SCHEMA DE CIRCULATION
18
2.5. CRTITIQUE DELA STRUCTURE ORGANIQUE
18
CHAPITRE 3. PROPOSITION DES SOLUTIONS
19
3.1. SOLUTION MANUELLE
19
3.1.1. AVANTAGES
19
3.1.2. INCONVENIENTS
19
3.2. SOLUTION INFORMATIQUE
19
3.2.1. AVANTAGES
19
3.2.2. INCONVENIENTS
19
3.3. CHOIX DE LA MEILLEUR SOLUTION
20
DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE 1. ANALYSE CONCEPTUELLE DES DONNEES
23
1.1. RECENSEMENT DES DONNEES
23
1.1.1. CHOIX DES DONNEES
23
1.1.2. DICTIONNAIRE DES DONNEES
23
1.2. RECHERCHE DE LIENS ENTRE DES DONNEES
25
1.2.1. DETERMINATION DES DEPENDANCES
FONCTIONNELLES
25
1.2.2. GRAPHE DES DEPENDANCES FONCTIONNELLES
25
1.3. IDENTIFICATION ET DESCRIPTION DES OBJETS
27
1.3.1. IDENTIFICATION DES OBJETS
27
1.3.2. DESCRIPTION DES OBJETS
27
1.4. IDENTIFICATION ET DESCRIPTION DES
RELATIONS
29
1.4.1. IDENTIFICATION DES RELATIONS
29
1.4.2. DESCRIPTION DES RELATIONS
30
1.4.3. DEFINITION DES CONTRAINTES
30
1.5. CARDINALITES
33
1.5.1. DEFINITION
33
1.5.2. DIFFERENTES CARDINALITES
33
1.5.3. APPLICATION DES CARDINALITES
33
CHAP 2. ANALYSE LOGIQUE DES DONNEES
38
2.1. TYPOLOGIE DE SYSTÈME DE GESTION DE BASE
DE DONNEES
38
2.1.1. HIERARCHIQUE
38
2.1.2. RESEAU OU VAVIGTIONNEL
39
2.1.3. RELATIONNEL
39
2.2. CHOIX DU SYSTÈME DE GESTION DE BASE DE
DONNEES
40
2.3. ORGANISATION DE DONNEES DANS UNE BASE
RELATIONNELLE
41
2.4. NORMALISATION DES RELATIONS
41
2.5. CONTRAITE D'INTEGRITE REFERENTIELLE
41
2.6. PASSAGE DU SCHEMA CONCEPTUEL DES DONNEES AU
SCHEMA RELATIONNEL
41
2.7. MODELE LOGIQUE DE DONNEES
43
2.7.1. SCHEMA RELATIONNEL
43
2.7.2. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE
DONNEES
44
CHAP 3. ANALYSE ORGANISATIONNELLE DES DONNEES
45
3.1. BASE DE DONNEES DANS L'ORGANISATION
45
3.1.1. SYSTÈME D'INFORMATION ET SES
ACTEURS
45
3.1.2. DEFINITION DES DROITS D'ACCES
45
3.1.3. REPRESENTATION GENERALE DES DROITS
D'ACCES
46
3.2. INTRODUCTION DES AUTORISATIONS DANS UN SCHEMA
CONCEPTUEL DES DONNEES
47
3.3. GENERALISATION DU SCHEMA ORGANISATIONNEL DES
DONNEES
47
3.4. MODELE ORGANISATIONNEL DES DONNEES
47
TROISIEME PARTIE
CHAP 1. ANALYSE CONCEPTUELLE DE TRAITEMENT
49
1.1. NOTION DE TRAITEMENT
49
1.2. NOTION D'EVENEMENT
49
1.3. NOTION DE RESULTAT
49
1.4. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)
50
CHAP 2. ANALYSE ORGANISATIONNELLE DE TRAITEMENT
51
2.1. GENERALITES
51
2.2. PROCEDURES FONCTIONNELLES
51
2.3. MODE DE TRAITEMENT
51
2.4. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)
52
CHAP 3. MODELES DE TRAITEMENT ANALYTIQUE
53
3.1. ACTION SUR UNE BASE DE DONNEES
53
3.2. ETAT DES ELEMENTS D'UNE BASE DE DONNEES
53
3.3. MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT ANALYTIQUE
(MCTA)
54
3.4. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT
ANALYTIQUE (MOTA)
55
QUATRIEME PARTIE
CHAP 1. ANALYSE PHYSIQUE
56
1.1. PRISE EN COMPTE DES BESOINS DES
UTILISATEURS
56
1.2. PRESENTATION DES REQUETES D'EDITION
56
1.2.1. EDITION DE L'AFFECTATION
56
1.2.2. EDITION DE LA MISE EN PLACE PAR
ETABLISSEMENT
57
1.2.3. EDITION DE LISTE DES CODES FONCTIONS
57
1.2.4. EDITION DE LISTE DES CODES GRADES
57
1.2.5. EDITION DE LISTE DES LISTES DES CHEFS
D'ETABLISSEMENT
58
1.3. PRISE EN COMPTE DES RESSOURCES
58
1.3.1. PRESENTATION DE HARDWARE
58
1.3.2. PRESENTATION DU SOFTWARE
58
1.4. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
58
1.4.1. REGLES DE PASSAGE DU MODELE LOGIQUE DES
DONNEES AU MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
59
1.4.2. STRUCTURE PHYSIQUE DE LA BASE DE DONNEES
59
1.5. CALCUL DU VOLUME DE LA BASE DE DONNEES
61
1.5.1. CALCUL DU VOLUME DES TABLES
61
1.5.2. CALCUL DU VOLUME DES INDEX
61
1.6. MODELE PHYSIQUE DE TRAITEMENT
62
1.6.1. DEFINITION
62
1.6.2. REPRESENTATION DU MODELE PHYSIQUE DE
TRAITEMENT
62
CHAP. 2 : IMPLEMENTATION DE LA BASE DE
DONNEES
63
2.1. CREATION D'UNE BASE DE DONNEES VIDE
63
2.2. STRUCTURATION DE LA BASE DE DONNEES
63
2.2.1. CREATION DES TABLES
63
2.2.2. CREATION DES RELATIONS ENTRE LES TABLES
64
2.2.3. CREATION DES REQUETES
65
2.2.4. CREATION DES FORMULAIRES
66
2.3. PRESENTATION DES INTERFACES UTILISATEURS
67
2.3.1. INTERFACE DE CONNEXION A LA BASE DE
DONNEES
67
2.3.2. INTERFACE MENU GENERAL
67
CONCLUSION GENERALE
69
BIBLIOGRAPHIE
70
TABLE DES MATIERES
71
* 1 KALOTI, Cours de
méthodes de recherche scientifique, G2 Info, UPL, 2011-2012,
Inédit.
* 2 R. PINTO et M. GRAWITZ,
Méthodes en Sciences Sociales, éd. Dalloz, Paris, 1971.
* 3 Archive du Bureau de la sous
division de Lodja 1 (Secrétariat général).
* 4 N. KETTANI, D. MIGNET, P.
PARE, C. ROSENTHAL, De Merise à UML, ED. Eyrolles, Paris,
2000.
* 5 Marcel MPOYI MPOYI, Cours de
techniques de base de données, G3 INFO, USTL, 2015-2016,
Inédit.
* 6 Idem.
* 7 Ibidem.
* 8 Marcel MPOYI MPOYI,
Op.cit.
* 9 N. KETTANI, D. MIGNET, P.
PARE, C. ROSENTHAL, Opcit.
* 10 Dominique DIONISI,
Essentielle sur merise, Edition Eyrolles, Paris, 1996.
* 11 Jacques SORNET,
Informatique de gestion : analyse et partage des bases de
données, 2ème éd. Dunod, 2007.
* 12 Jacques SORNET,
Opcit.
* 13 Jacques SORNET,
Opcit.
* 14 Idem.
* 15 MPOYI MPOYI M, Cours
d'Access, ISTIA, 2011-2012, Inédit.
* 16 MPOYI MPOYI M,
Opcit.
* 17 MPOYI MPOYI M,
Opcit.
* 18 MPOYI MPOYI M,
Opcit.
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