Conclusion
A partir de l'évaluation environnementale et
socio-économique de la technologie de rotation culturale on remarque
que, la pratique de la technologie de rotation culturale a instauré un
meilleure gestion de la fertilité des terres et un maintien de
fertilité des sols et ne nécessitant pas une grande connaissance
en matière de CES également c'est une technique qui peu
coûteuse mais, cela ne veut pas dire que cette technologie ne pas des
inconvénients.
Les inconvénients de cette technologie sont tout
d'abord, le risque d'érosion pour les cultures printanières
(maïs) car le sol reste à nu pendant la période de fortes
pluviosités, en plus c'est une technologie qui demande beaucoup de main
d'oeuvre familiale et d'animaux de trait, en outre la pratique de cette
technologie réduit le recours à la jachère et
éloigne le troupeau des terres de l exploitation occupée par les
cultures toute l'année.
48 Au-delà du doute sur la validité de
ce chiffre c'est l'existence de la relation entre équilibre
économique des exploitations favorisé par la pratique de la
rotation et les caractéristiques du fait migratoire dans une zone
situé au seuil d'une ville capitale du pays que nous comptons
révéler.
81

82
Conclusions générales & Recommandations
L
a région des Shoul présente dans sa
totalité des conditions physiques et socio-économiques qui
favorisent la dynamisation des processus de dégradation des terres. Sur
le plan physique, le substrat géologique comporte des couches friables
à dominance marneuse facilement érodables par le ruissellement et
les sols sont peu épais, pauvres en matière organique et de
texture limoneuse fortement sensible à la battance, les pentes sont
généralement assez fortes et la couverture
végétale, soumise à l'action anthropique.
Aussi Le régime pluviométrique est-il
caractérisé par une forte irrégularité des volumes
de pluies annuelles et l'opposition de deux saisons contrastées: une
saison sèche allant de mai à octobre avec un déficit
hydrique important et une saison humide sur le reste de l'année
caractérisée par des précipitations de forte
intensité et violentes.
Sur le plan socio-économique la dynamisation des
processus de dégradation des terres est liée à des
facteurs comme le surpâturage, les techniques de labour et la gestion des
terres cultivées, en plus de la pauvreté et des faibles revenus
des exploitants.
Pour faire face au problème de la dégradation,
la population applique un certain nombre de techniques de conservation des eaux
et des sols qui permettent, l'amélioration de la fertilité des
terres et la gestion de l'eau, et par conséquent l'affaiblissement des
effets du ruissellement violent.
Ces techniques, appliquées dans le cadre des
exploitations privées, relèvent d'une initiative individuelle et
s'inscrivent en même temps dans des modes d'organisation
institutionnelle. Ces derniers sont, soit hérités d'une
époque révolue où la jemâa jouait un rôle dans
la réglementation des pratiques agraires, soit actuelles et
relèvent de l'action de l'état.
Les techniques de conservation des eaux et des sols
appliqués dans la région concernent des techniques agronomiques
(rotation culturale, labour isohypse, apport de fumier dans le sol),
végétale ou biologique (les haies, correction biologique des
ravins, plantation fruitière) et physique (murettes en pierres
sèches, gabions, terrasses).
Les techniques agronomiques et végétales sont
les plus répandues dans les terres bour de la commune des Shoul. Par
contre, les techniques physiques restent peu développées dans la
zone et limitées aux exploitations qui, dans le cadre du projet de mise
en valeur en bour, ont adopté la gabion comme solution pour freiner
l'extension des ravins.
Mais malgré la mise en place, des techniques physiques
et végétales, les paysans, ne prêtent pas beaucoup
d'attention à l'entretien. Les seuils en gabion sont
débordés par les matériaux d'érosion, et aucune
plantation n'a été envisagée sur les atterrissements.
Pour dégager les techniques les plus prometteuses en
terme de conservation des eaux et des sols et évaluer leur
efficacité, nous nous sommes basés sur le questionnaire Wocat.
L'évaluation de la technologie agronomique de rotation
culturale sur la base de ce questionnaire a donné les résultats
suivants:
> Sur le plan environnemental.
- Le taux de matière organique et l'azote
Le taux de matière organique et l'azote dans le sol
varie en fonction du type rotation appliquée. La comparaison de deux
rotations, blé /légumineuses, blé /maïs, et la
monoculture d'orge montre une augmentation de la matière organique et
l'azote (2,21%, 0,11%) dans la parcelle où est pratiquée la
rotation blé /légumineuses, par contre dans les parcelles ou
est
83
Conclusions générales & Recommandations
pratiquée la rotation céréalière et
la monoculture le taux de la matière organique et d'azote est faible,
les différences de la matière organique et d'azote entre les deux
rotations et la monoculture d'orge sont dues essentiellement à la
pratique de la succession blé/légumineuses. - L'état de
l'humidité du sol.
La pratique de la technologie de rotation culturale permet
aussi une augmentation de l'humidité du sol. A partir des mesures
effectuées sur terrain on relève une augmentation des taux
d'humidité dans les parcelles où sont pratiquées les
rotations céréales-légumineuses et
céréale-céréale. L'augmentation du taux
d'humidité dans ces deus types de rotations sont liées
principalement : (i) aux pratiques culturales, (ii) au travail du sol, et (iii)
à la teneur en matière organique.
- Ruissellement et perte en terre.
La pratique de la technologie de rotation permet la
réduction du ruissellement et la perte en terre. La comparaison entre la
rotation blé/légumineuses et la rotation blé/avoine,
révèle le déclenchement tardif du ruissellement dans la
rotation blé/légumineuse, et le coefficient de ruissellement est
moins élevé (2,5%) par rapport en rotation blé /avoine
où le déclenchement du ruissellement est très
précoce. Ce dernier a eu lieu dans les 10 premières minutes de
simulation et le ruissellement et plus rapide (8,6%) même si le sol est
complètement sec.
La perte en terres dans la rotation
blé/légumineuses est faible, presque 0,42 g/h/m2,
contre 1,92 g/h/m2 en rotation blé/avoine.
De ce faite, la pratique de la technologie de rotation
culturale contribue à la conservation de l'eau et à
l'amélioration de la structure du sol et de sa stabilité
structurale, en plus de l'accroissement de la biodiversité et de
l'activité biologique.
> Sur le plan socio-économique.
-Augmentation des rendements: la pratique de la rotation
culturale augmente les rendements grains réalisés. Ils sont en
moyennes de 25 qx /ha dans le blé tendre de rotation
blé/légumineuse, et 20qx/ha dans la monoculture d'orge et 19
qx/ha dans le blé tendre de rotation blé/maïs. Les
rendements enregistrés dans la rotation blé/légumineuses
sont des rendements acceptables par les paysans de la région,
également selon eux la moyenne de 25qx/ha constitue une moyenne qui peut
se produire dans une région à climat semi-aride comme celle des
Shoul.
-Augmentation des revenus: l'analyse du bilan
économique de la technologie de rotation culturale montre que cette
technologie génère un revenu net de 9020 dh pour une exploitation
de deux hectare (hectare de blé tendre et un hectare de fève)
.
-Utilisation des engrais: la rotation culturale permet de
réduire la quantité des engrais utilisés dans la culture
de blé par 50% par rapport aux quantités utilisées avant
l'application de la rotation (150 kg/ha contre 300 kg/ha). Les
légumineuses jouent un rôle très important dans la
fertilisation des terres.
-Sécurité alimentaire: La pratique de la
rotation aussi améliore la sécurité alimentaire et
l'autosuffisance des paysans.
Malgré les avantages présentés par la
rotation culturale sur le plan environnementale et socio-économique, son
développement dans la région est soumis à une série
de contraintes:
Les contraintes naturelles
Le climat de la région des Shoul, appartient à
l'étage bioclimatique semi-aride caractérisé par des
fluctuations inter-annuelles et la sécheresse peut intervenir à
n'importe quel moment du
84
Conclusions générales & Recommandations
cycle de croissance des cultures. Deux types de
sécheresses sont généralement
distinguées49 : la sécheresse de début de cycle
qui coïncide avec le démarrage de la culture et qui, réduit
le nombre de plantes et le tallage et donc la quantité de biomasse
totale. Le deuxième type est la sécheresse de fin du cycle qui
est la plus fréquente et qui affecte le remplissage des grains, l'effet
du déficit hydrique de fin de cycle est souvent marqué par les
hautes températures qui caractérisent cette période. Un
troisième type de sécheresse est parfois observé, il
concerne le milieu du cycle.
Par ailleurs, la plupart des sols rencontrés dans la
région sont des sols peu favorables aux cultures bour, pauvres en
matière organique, peu profonds et érodable dont les
capacités de conservation de l'eau sont très limitées.
Les contraintes socio-économiques
Parmi les problèmes socio-économiques qui
nuisent à la production des céréales et les
légumineuses dans la région, on peut citer la taille des
exploitations et le système de production adopté.
En ce qui concerne la taille des exploitations, il est
important de souligner que 50% de la superficie des céréales et
des legémineuses sont cultivés dans des exploitations de moins de
5 ha. En plus le morcellement des parcelles ne permet pas l'utilisation des
trains techniques améliorés.
Le système de production dans la région est
complexe, car la pratique de la céréaliculture sous ses
différentes formes de rotation est associée à la pratique
de l'élevage avec différents niveaux d'intensification.
Après la récolte, la plupart des paysans
nécessitent des disponibilités en argent pour financer l'achat
des fourrages au cheptel et satisfaire les besoins alimentaires de leurs
familles.
Dans un marché caractérisé par
l'augmentation de l'offre et la baisse de la demande, les paysans sont souvent
poussé à vendre leur production à des prix bas qui ne leur
permettent pas de réaliser des bénéfices substantiels et
avoir une trésorerie équilibrée. Ce qui se traduit par des
difficultés de financement de la campagne agricole suivante en
matière des semences et des engrais, surtout chez les paysans qui
pratiquent la rotation culturale.
Par ailleurs le taux élevé
d'analphabétisme chez les paysans de la région limite souvent la
communication et constitue une entrave au programme de transfert de nouvelles
technologies.
Les contraintes techniques
La conduite du blé est caractérisée, chez
plusieurs paysans de la région, et surtout ceux des petites et moyennes
exploitations, par des travaux du sol étalés sur plusieurs
périodes (deux passages de cover crop), un semis à la
volée, un apport périodique et non raisonné des engrais,
un désherbage souvent manuel et tardif et une récolte mal
maîtrisée et engendrant beaucoup de perte en grains.
La méthode de semis décrite, associée
à la faible utilisation des semences certifiées conduisent
à un taux de levée faible et hétérogène.
Pour remédier au problème de la
préparation du lit de semences et des adventices précoces, les
paysans attendent les premières pluies automnales pour travailler le sol
et enfouir les mauvaises herbes. Le retard de la préparation du lit de
semences et le travail du sol sous des conditions humides entraînent des
pertes considérables d'eau par évaporation.
49 El Mourid. M et al (1988): Rainfall patterns and
probabilities in the semi-arid cereal production region of Morocco USAID
Project No.608-0136.Aridoculture Centre INRA-Settat, Morocco.
85
Conclusions générales & Recommandations
Le semis tardif ne permet pas aux plantes de profiter des
premières pluies et expose les cultures aux stress hydrique et thermique
de fin du cycle.
En outre, les herbicides qui font place au désherbage
manuel sont souvent appliqués à des époques tardives ; ce
qui permet aux plantes adventices de concurrencer les plantes pour l'eau et les
éléments fertilisants et d'entraîner la chute des
rendements de la culture.
De ce fait, la période d'épandage d'engrais de
couverture est parfois mal appropriée, vu les prix élevés
des engrais, il est aussi constaté que les doses pratiquées sont
généralement faibles par rapport aux besoins de la culture.
Les maladies cryptogamiques et les attaques d'insectes
constituent une contrainte majeure devant la production du blé et des
légumineuses dans la région. Parmi les maladies les plus
importantes il y a les rouilles, la septoriose pour le blé et
l'orobanche pour les légumineuses.
En considération des résultats obtenus sur les
pratiques locales en matière de conservation et de gestion des eaux et
du sol par l'utilisation du questionnaire WOCAT, et en considération du
contexte géographique et socio économique où les paysans
appliquent leurs systèmes de cultures fondés sur la double
combinaison entre l'activité agricole et l'élevage, et entre des
terres à vocations différenciées, il peut s'avérer
judicieux, dans l'objectif d'une meilleure gestion des ressources eau et sol,
d'orienter l'utilisation des terres dans la zone étudiée, selon
le schéma suivant:
Dans les terres à pente faible à moyenne il
serait préférable de pratiquer la rotation
céréale/légumineuse et rotation
céréale/jachère, à cause de son rôle dans la
gestion de la fertilité des terres et la restauration des terres
dégradées.
Les terres à pente forte seraient orientées vers
un système d'agroforesterie sur terrasses à base de plantes
fruitière adaptées au milieu et plus rentables pour la population
locale.
Pratiquer une culture dérobée comme
précédent cultural des légumineuses ou du maïs pour
couvrir le sol durant la période de fortes pluies.
La rotation serait améliorée par l'utilisation
des semences sélectionnées et la maîtrise de la conduite
technique des cultures pratiquées par les paysans et de labourer les
terres directement après la récolte (enfouissement des
résidus de récoltes).
La sensibilisation des populations aux problèmes de
dégradations des terres et la recherche de moyens pour perfectionner les
méthodes de conservation utilisées ou adopter de nouvelles
technique. Un effort de communication et de vulgarisation pourrait être
mené à différents niveaux par les différents
acteurs concernés par le développement local de la commune des
Shoul (services agricoles, conseil communal, associations, groupement des
agriculteurs..).
86

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Références bibliographiques
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90

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