SIGLES ET ABREVIATIONS
BD : Base de Données
COCOMO : Constructive COst Model
CSS : Cascading Style Sheets
DPCA : Division Provinciale de la Culture et des Arts
HTML : HyperText Markup Language
HTTP : Hyper Text Transfer Protocol
MC : Maisons Commerciales
MCD : Modèle Conceptuel de Données
MCT : Modèle Conceptuel e Traitement
MERISE : Méthode d'Étude et de
Réalisation Informatique par Sous-Ensembles
MLD : Modèle Logique de Données
MOD : Modèle Organisationnel de Données
MOT : Modèle Organisationnel de Traitement
MPD : Modèle Physique de Données
MYSQL : My Structured Query Language
PA : Prix d'Achat
PHP : Person Home Page
PT : Prix Total
PU : Prix Unitaire
PV : Prix de Vente
Qté : Quantité
SGBDR : Système de Gestion de Base de Données
Rationnelles
SQL : Structured Query Language
SSII : Société de Services d'Ingénierie
Informatique
WAMPSERVER : Windows Apache MySQL Php Server
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0. INTRODUCTION GENERALE
L'explosion et la révolution informatique ont
suffisamment changé l'organisation de la société, constat
fait car actuellement l'humanité vit dans un monde sérieusement
dominé par des applications informatiques, développées
différemment et répondant aux différents besoins. Les
sociétés dans lesquelles oeuvrent les hommes quotidiennement, les
entreprises tant publiques que privées, les administrations
étatiques ou non étatiques, des écoles voire même
les églises ont tendance à fuir l'exécution des
activités manuelles et se procurer ainsi des applications
informatiques.
L'utilisation de ce genre d'application serait
conditionnée par l'immensité de données traitées
par les institutions et la complexité que possède le traitement
de ces données. Ces applications ont connu des périodes dites
révolutionnaires ; au début c'étaient des applications
monotâches, par conséquent le travail prenait un temps pour sa
réalisation, car il fallait attendre la fin d'une tâche pour
lancer une tâche suivante.
En dépit de l'automatisation, le processus de
traitement des informations gigantesques et variées prenait beaucoup de
temps.
Mais avec le temps et l'évolution rapide des programmes
informatiques, ces applications sont passées de monotâches vers
les multitâches, et rendant ainsi les activités plus aisées
et réalisables dans un laps de temps.
Alors suite aux avantages incontournables que présente
aujourd'hui l'informatique, il devient difficile de s'en passer pour une bonne
administration ou gestion de l'entreprise moderne. Indiquons qu'elle devient un
outil concurrentiel qui fait que présentement les décisions
soient prises d'une manière certaine.
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0.1. Problématique
Le monde d'aujourd'hui est régenté par la
modernisation où la nouvelle technologie fait son avancée dans
les entreprises publiques que privées. Ainsi, les
entreprises travaillant ou utilisant encore des systèmes non
informatisés mettent en quelque sorte leurs informations en doute. La
Division de culture et des arts où nous voulons apporter notre
contribution, surtout dans la gestion des artistes et leurs produits, est
confrontée à un problème de gestion que nous qualifions
archaïque, une grande société où toutes les
activités se font encore manuellement. Suite à ce genre de
fonctionnement, certaines informations utiles et intéressantes pour la
division de la culture et des arts restent mal conservées et
s'égarent avec le temps. Cette institution oublie que l'archivage de
fichiers contenant de l'information à une certaine activité, une
conservation et une mise à jour régulière, une
interrogation pour l'extraction de l'information constituent en
réalité un des principaux rôles de l'informatique de
gestion. A part ce problème, il y a aussi celui de l'appropriation des
tâches où l'on rencontre le fabricant (artiste) est en même
temps revendeur et ceci étant occasionné par le manque
d'encadrement de ces derniers, qui la majorité se trouve le long des
routes. Dans ce cas là, il y a tant d'artistes informels dans ce domaine
et cela est un manque à gagner à l'autorité
étatique qu'aux producteurs (artistes). En résumé, les
difficultés auxquelles la division de la culture et des arts est
affrontée sont entre autres :
y' la gestion de ses artistes (l'identification, la sauvegarde
des informations concernant chaque artiste, etc.)
y' la gestion des produits des artistes (qui fabrique quoi et
comment est-ce qu'il le fait)
y' La gestion de ses différentes maisons commerciales
de ces produits.
y' La mobilisation des artistes (certains exercent le travail
sans autorisation)
Ces multiples problèmes que nous venons de soulever,
nous poussent à nous poser quelques questions constituant ainsi
l'ossature de notre problématique :
y' Comment alors avec l'informatique comptons-nous trouver une
solution adéquate pour remédier à ce problème et
réduire le nombre informel de ces artistes?
y' Quel est le mécanisme à appliquer par la
Division de la culture et des arts pour la conservation de ses informations et
leur utilisation au moment opportun ?
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