1/2
æ ö
q N
p
2
e e ÷
è ø
me0
Dont le terme j g p présent
l~amortissement correspondant à l~interaction entre deux
électrons qu~a des effets sur la
réflectivité optique du système. Ceci est bien
illustré dans la figure suivante :
Figure.II.8 : Variation de la
réflectivité en fonction de la fréquence de relaxation
[II-4].
g p
Il est clair dans la figure ci-dessus
(figure.II.8) que plus la fréquence ( = ) de
relaxation
e
est élevé plus la réflectivité
optique est faible.
Ä Effet de
Ne (dopage) :
Autrement, en jouant sur les valeurs de la densité
électronique Ne , et par conséquent sur les
valeurs de p (formule (II-31)), on observe qu~en augmentant
la densité électronique Ne ( p
augmente), la partie réelle de la fonction
diélectrique va translater vers les valeurs négative, et par
conséquent la réflectivité optique sera plus important.
Ceci est bien illustré dans la figure cidessous
(figure.II.9) :
Figure.II.9. Variation de la
réflectivité en fonction de la fréquence de plasmas (la
densité électronique Ne) [II-4]
Donc, d'après cette la figure, on observe que plus la
fréquence de plasmas est élevé (c-à-d :
densité Ne plus important), plus la
réflectivité est important.
II-3-2). Modèle de Drude, Zener et Kronig
[II-1][II-2] :
Nous avons vu au paragraphe précédent
(modèle de Lorentz) que la constante diélectrique relative est
donnée par formule (II-10), où la modélisation est
décrit uniquement par les phonons optique) :
+
R 2 2
m 1 0 ( 1 - + j g 1 )
Cependant, le modèle de Drude, Zener et Kronig, qui en
plus des phonons optiques, prend en compte les porteurs libres
(électrons libres) s'est montré satisfaisant pour expliquer la
réflexion dans l'infrarouge lointain des semi-conducteurs. Donc dans
R nous ajoutons le terme
correspondant aux électrons libres (formule (II-32),
désignons par N0 le nombre d'électrons libre
dans le monocristal):
+ + + +
R 2 2 * 2 L p
m 1 0 ( 1 - + j g m
1 ) 0 ( - + j g p )
2 N e 2
N e
1 0 =
(II-33)
Avec (formule (II-9)) :
2
N e
L =
1
2 2
m 1 0 ( 1 - + j w g
1 )
Et (formule (II-32)) :
p =
2 2
p
N 0e
* 2 2
m 0( - + j g p ) - j
gp
représente la contribution à la polarisation des
oscillateurs plasmas.
1
æe 2 N02
Avec (formule (II-31)) :
=
p*÷ fréquence d'oscillation du plasma.
è m 0 ø
Tel que : m : est la masse effective. * et
gp : est la fréquence de collision.
D'où :
|
æ N e 2 w2 ö
1 p
=1 +
-
R 2 2 2
m ( - + j g
1 0 1 1 )
-÷ j g
è p ø
|
(II-34)
|
Dont, la fonction diélectrique d'un semi-conducteur tient
compte des modes de vibrations longitudinaux LO et
transverses TO est donnée par [II-3]:
æ (0 2 -
r., 2 ö
co2
LO TO p
= 1 2
+ ÷ - (II-35)
R è - - ø +
2 2
i i e
TO
|