Figure 2. Capital
minimum
![](Les-banques-commerciales-face-aux-ratios-prudentielles-analyse-et-perspectives-cas-de-la-re5.png)
Source : Tableau N° 1
Figure 3. Fonds propre
prudentiel
![](Les-banques-commerciales-face-aux-ratios-prudentielles-analyse-et-perspectives-cas-de-la-re6.png)
Source : Tableau N° 2
Figure 4. Risque de
transformation moyen et long terme
![](Les-banques-commerciales-face-aux-ratios-prudentielles-analyse-et-perspectives-cas-de-la-re7.png)
Source : Tableau N° 4
V.2. Commentaire des ratios
prudentiels
1°) Le capital minimum
Pour l'analyse et l'interprétation du ratio de capital
minimum, nous sommes base sur l'instruction n°14et n° 14bis de la
BCC, qui recommande au banque commerciale qui sollicité de s'implante en
RD Congo d'avoir comme capital minimum aux paravents de 250 millions,
1,5millions de dollars Américains et pour 2010,10 millions dollars
(l'équipement en CDF).
Pour le cas des banques sous analyse, nous avons noté
quelles respectent l'instruction n°14bis et leur projection évolue
dans les perspectives du respect de la loi bancaire en vigueur.
2°) Le fonds propres
prudentiels
Il constitue n élément essentiel de la
solvabilité d'un établissement financier, et le dernier recours
en ca de difficultés dues à des pertes, il constitue
l'épargne ou le support d'un établissement de crédit
contre les aléas de gestion, de renversement de la conjoncture
(crise).
Il est ensuite une base de calcul pour autres ratios
prudentiels(solvabilité, division de risque,...).par ailleurs, un fonds
prudentiels énorme répond aux aléas que cours la banque en
matière de crédit (le premier piliers du ratio Cooke) et fonds
propres vient de l'architecture de ratio Cooke et qui s'articule au
deuxième piliers mais chose inquiétant est que les fonds propres
prudentiels de nos banques n'arrive pas à couvrir les diffents risque
tels le marché, de taux de change et de crédit et pour contre
carre cette faiblesse il faut pour cela le fonds propres complémentaire
et sur complémentaire comme le souligne le ratio synthétique de
risque et faire face aux risque systémique bancaire
3°) Liquide et
solvabilité
Les établissements assujettis doivent justifier
à tout moment les respects des normes de gestion destinées
à garantir leur liquidité et leur solvabilité à
l'égard des déposants et des tiers ainsi que l'équilibre
de leur situation financière.
a)La liquidité, les banques sont tenues de respecter un
rapport de trésorerie minimum de 80%, pourtant les résultants de
nos recherche prouve le contraire, le niveau de trésorerie doit
dégage un ratio de fonds de roulement divise par le besoin fonds de
roulement supérieur à l'unité au contraire le cas de nos
banque il est inferieur à l'unité donc trésorerie
négative.
Cette situation démontre vraiment le schéma cite
plus haut de la crise bancaire en rd Congo suite au désordre
monétaire et la me gestion de la part des praticiens du domaine.
b)solvabilité, les banques sont tenues, dans sa gestion
quotidienne de respecter un rapport de 10% minimum, au contrario de
l'instruction n°14 de la BCC,aprés analyse, il est constate que les
banquiers ne respect pas, pourtant dans la pratique des activités
financières, seul le ratio de solvabilité qui vaut mieux
d'être analyse avec rigueur, car le ratio de liquidité est une
somme arithmétique qui retrace les statistiques de liquidités des
banques et n'a surtout pas d'incidence majeur dans l'avenir, c'est pourquoi de
mon avis vaut mieux qu'une institution bancaire soit solvable que d'être
liquide, toute chose restant égal par ailleurs, la solvabilité
d'une banque est d'autant mieux que la confiance envers l'institution est
élevé non pas à l'antipode.
Non abstant à l'instruction, l'Afrique est une zone
à haut risque, inefine la rdcongo compris, cela découle que la
confiance qu'a les institutions financières congolaise bancaire
dépend de leur bailleurs de fonds (apporteur des capitaux) ou de leur
pays d'origine. Dans la perspective, avec un taux d'intégration si
élevé de 100%, les banques de second rang congolaise
risquèrent d'être frappe u même titre que la maison
mère, d'ou la solvabilité de banques au Congo est fonction de
l'origine de la banque.
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