RESULTATS
1VitessemaximaleeAérobie(VMA)
Le tableau 3 ci-dessous p présente les résultats
obtenus par le te est et le retest de VAMEVAL réalisé avec lle
groupe expérimental et le groupe tém moin.
Tableau 3: Résultats du test de vite esse maximal
aérobie (VAMEVAL) en mètre par seco onde (m/s)
|
N
|
T0
|
T3
|
T3-T0
|
I-J
|
Psig*
|
T1-T0
|
I-J
|
I
|
22
|
2,83#177;0,27
|
3,17#177;0,32
|
2,10#177;0,20*
|
|
PP<0,001
|
P<0,826 (NS)
|
J
|
30
|
2,9#177;0,2
|
3,0#177;0,2
|
0,60#177;0,04*
|
0,11#177;0,52
|
PP<0,001
|
*Différence significativ
ve entre les Tests Différence significatiive entre les
deux groupes
I : Groupe expérimenta al I-J : Moyenne de
différrence entre les deux groupes
J : Groupe témoin
N : Nombre de la popu ulation NS : Non significative Psig* :
Point de signifi ication T0 : Test diagnostique avant l'expérimentation
T1 : Le deuxième test a après le mode 10''/20'' T1-T0 : Moyenne
de diffférence entre T1-T0 T2 : Le troisième test a après
le mode 30''/30'' T2-T1 : Moyenne de diffférence entre T2-T1 T3 : Le
quatrième et le dernier Test somatique après le mode 15''/300''
T3-T0 : Moyenne de la différence globale entre le test initial et final
T3-T1 : Moyenne de la différence entre T3-T1
En se basant sur les données présentées dans
le tableau n°3, la comparaison intragroupe montre que la moyenne de VMA de
notre groupe expérimental est passée de 2,83#177;0,27m/s à
3,17#177;0 ,32 m/s. Une différence de 2,10m/s est observée, cette
amélioration est hautement significative (p<0,001). Aussi la moyenne
de la VMA du groupe témoin est passée de 2,9#177;0,2 m/s à
3,0#177;0,2m/s. Une différence de 0,60m/s est observée, cette
amélioration est aussi hautement significative (p<0,001). Par contre,
la différence entre les deux groupes est statistiquement non
significative (p<0,05).
2VitessedeCoorddination
Le tableau 4 ci-dessous p présente les résultats
obtenus par le te est et le retest de Vitesse coordination 5x1 10m
réalisé avec le groupe expérimen ntal et le groupe
témoin.
Tableau 4: Résultats du test de vite esse coordination
5 x 10m en seconde
|
N
|
T0
|
T1
|
T0-T1
|
I-J
|
Psig*
|
TT0-T1
|
I-J
|
I
|
22
|
15,52#177;1,51
|
13,57#177;1,28
|
1,94#177;0,12*
|
0,14#177;0,30
|
PP<0,001
|
P<0,05 (NS)
|
J
|
30
|
14,93#177;0,82
|
14,13#177;0,84
|
0,79#177;0,04*
|
(NS)
|
PP<0,001
|
*Différence significative NS : Différence non
significat tive
D'après le tableau n°4, la a comparaison intragroupe
montre que e la moyenne devitesse de coordination 55x10m de notre groupe
expérimenta al est passée de15,52#177;1,51s à 13,57#177;
1,288s.Une différence de 1,94#177;0,,12s est observée, cette
amélioration es st statistiquementsignificative (p<0,001).Aussi la
moyenne de VMAA du témoin est passée de 14,93#177;0,82 à
14,13#177;0,84.Une différence de 0,14#177;0 0,30 est observée,
cette amélioration es st statistiquementsignificative (p<0,001).Par
contre, la différenc ce entre les deux groupes est statiistiquement
nonsignificative (p<0,05).
3Explosivitédesccuissesdansuntempstrèscouurt(laqualitédedémarrage):
Le tableau 5 ci-dessous p résente les résultats
obtenus par le testt et les retests de Squat Jump réalisé avec le
e groupe expérimental et le groupe tém moin.
Tableau 5: Résultas du test de SQU UAT JUMP en
centimètre (cm)
|
N
|
T0
|
T1
|
T1 -T0
|
T2
|
T2 -T1
|
T 3
|
T3 -T2
|
T3 -T0
|
I JI-J
|
Psig*
|
T1 -T0T2-T1 T3-T2
|
I-J
|
I
|
22
|
17,1#177;5 ,04*
|
18,5#177; 4,89
|
1,39#177; 2,24* #177; *
|
20,95#177; 4,94
|
2,43#177; 0,34*
|
21,94#177; 4,87
|
0,98#177; 0,27*
|
4,81#177; 0,49*
|
22,25 #177;
|
P<0,001
|
P<0,04
|
J
|
30
|
17,5#177;3 ,64
|
|
|
17,70#177; 3,62
|
0,17#177; 0,36 (NS)
|
18,02#177; 3,75
|
0,32#177; 0,27 (NS)
|
0,49#177; 0,44 (NS)
|
11,15
|
P<0,05
|
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes NS : Différence non significat tive
Les performances enregis strées lors du test SJ montrent
au niiveau du groupe expérimental une évolution globale entre T0
et T3 de 4,81#177;0,49cm. Elle est statistiquement sign nificative comme toute
les améliorations iintermédiaires T1-T0 (1,39#177;2,24cm), T2-T1
(2, ,43#177;0,34cm) et T3-T2 (0,98#177;0,27cm) à p<0,001. 0 Au niveau
du groupe témoiin, les résultats enregistrés montrent une
évolution globale entre T0 et T3 de 0,49#177;0,44ccm. Elle est
statistiquement non significative comme toute les amélioratio ons
intermédiaires T2-T0 (0,17#177;0,36cm) et T3-TT2 (0,32#177;0,27cm)
à p<0,05. La différence entre les grou upes I et J est
statistiquement significative e (2,25#177;1,15cm) à p<0,04.
4ExplosivitédesccuissesdansuntempspluslonngqueleSJ
Le tableau 6 ci-dessous prrésente les résultats
obtenus par le test et les retests de Contremouvement Jump réa
alisé avec le groupe expérimental et le gro oupe témoin.
Tableau 6: Résultats du test CMJ en n centimètre
(cm)
|
N
|
T0
|
T1
|
T1 -T0
|
T2
|
T2 -T1
|
T 3
|
T3 -T2
|
T3 -T0
|
I-JI-J
|
Psig*
|
T1 -T0T2-T1 T3-T2
|
I-J
|
I
|
22
|
19,70 #177;5,41
|
21,06 #177;5,46
|
1,35#177; 0,22*
|
23,50 #177;5,90
|
2,44#177; 0,27*
|
24,55 #177;6,06
|
1,05#177; 0,193*
|
4,89#177; 0,40*
|
2,444 #177;#177;
|
P<0,001
|
P<0,05
|
J
|
30
|
19,96 #177;3,88
|
|
|
20,06 #177;3,74
|
0,10#177; 0,25 (NS)
|
20,38 #177;3,69
|
0,32#177; 0,25 (NS)
|
0,42#177; 0,36 (NS)
|
1,3 30
|
P<0,05
|
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes NS : Différence non significat tive
L'étude comparative intrag groupe montre, au niveau du
test de CM MJ réalisé avec le groupe expérimental, une
év volution globale entre T0 et T3 de 4,89#177;0,440cm. Elle est
hautement significattive comme toutes les améliorations
intermmédiaires T1-T0 (1,35#177; 0,22cm), T2-T1 (2,44#177;0,27cm
m) et T3-T2 (1,05#177;0,193cm) à p<0,001. Les
résultats enregistrés au niveau du groupe témoin montrent
une évolution globale entre T0 et T3 de 0,42#177;0,36c cm. Elle est
statistiquement sign nificative comme toutes les améliorations
iintermédiaires T2-T0 (0,10#177;0,25cm) et T3-T2 ((0,32#177;0,25cm)
à p<0,05. La différence entre les grou upes I et J est
statistiquement significative e (2,44#177;1,30cm) à p<0,05.
5Puissancedescuuisses
Le tableau 7 ci-dessous prrésente les résultats
obtenus par le test et les retests de Contremouvement Jump Bras Libre
réalisé avec le groupe expérimental et le groupe
témoin.
Tableau 7: Résultats du test CMJ BL L en
centimètre (cm)
|
N
|
T0
|
T1
|
T1 -T01 0
|
T2
|
T2 -T1
|
T 3
|
T3 -T2
|
T3 -T0
|
I-J
|
Psig*
|
T1 -T0T2-T1 T3-T2
|
I-J
|
I
|
22
|
24,51#177; 6,14
|
25,20#177; 6,15
|
0,68 #177; 0,14 8 4*
|
28,59#177; 6,12
|
3,38 #177; 0,38*
|
30,06#177; 6,53
|
1,47 #177; 0,46*
|
5,54 #177; 0,71*
|
3,87
|
P<0,001
|
P<0,01
|
J
|
30
|
23,34#177; 5,04
|
|
|
23,71#177; 4,91
|
0,37 #177; 0,24 (NS)
|
24,49#177; 5,07
|
0,77 #177; 0,32*
|
1,14 #177; 0,37*
|
#177; 1,52*
|
P<0,05
|
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes NS : Différence non significat tive
Lors du test CMJ BL, Lees résultats enregistrés
montrent au n niveau du groupeexpérimental une évolutio on
globale entre T0 et T3 de 5,54#177;0,71cmm.Elle est hautement signif ficative
comme toute les amélioration ns intermédiairesT1-T0
(0,68#177;0,14cm), T2-TT1 (3,38#177;0,38cm) et T3-T2 (1,47#177;0,46ccm)
à p<0,001.Les résultats enregistrés au niveau du groupe
témoin montren nt une évolutionglobale entre T0 et T3 de
11,14#177;0,37cm.Elle est statistiquement siggnificative. Les
améliorations interméddiaires ne le sontpas toutes. C'est le cas
entre T2 et T0 (0,37#177;0,24cm) contra airement à
T3-T0(0,77#177;0,32cm) à p<0,05.La différence entre les gro
oupes I et J est très significative (3,87#177; #177;1,52) à
p<0,01.
HaddadMonoem
6PuissanceDesMMollets
Le tableau 8 ci-dessous prrésente les résultats
obtenus par le test et les retests de Réactivité
réalisé avec le grooupe expérimental et le groupe
témoin.
Tableau 8: Résultats du test de Réa
activité en centimètre
|
N
|
T0
|
T1
|
T1 -T01 0
|
T2
|
T2 -T1
|
T 3
|
T3 -T2
|
T3 -T0
|
I-J
|
Psig*
|
T1 -T0T2-T1 T3-T2
|
I-J
|
I
|
22
|
19,85#177; 6,00*
|
21,10#177; 5,56*
|
1,25 #177; 0,35 5 5*
|
24,52#177; 6,91*
|
3,42 #177; 0,64*
|
25,52#177; 7,42*
|
0,99 #177; 0,31*
|
5,67 #177; 0,97*
|
2,06 #177;
|
P<0,004
|
P<0,05
|
J
|
30
|
20,32#177; 4,55
|
|
|
21,37#177; 4,36*
|
1,05 #177; 0,30*
|
22,01#177; 4,30*
|
0,64 #177; 0,17*
|
1,69 #177; 0,37*
|
1,49 (NS)
|
P<0,002
|
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes NS : Différence non significat tive
Les résultats du test de RRéactivité
montrent, d'après le tableau 8, une évolutionglobale entre T0 et
T3 de 55,67#177;0,97cm au niveau du groupe expé érimental.Elle
est hautement signif ficative comme toute les amélioration ns
intermédiairesT1-T0 (1,25#177;0,35cm), T2-TT1 (3,42#177;0,64cm) et T3-T2
(0,99#177;0,31ccmm) à p<0,004.Les résultats enregistrés
au niveau du groupe témoin montren nt une évolutionglobale entre
T0 et T3 de 1,69#177;0,37 cm.Aussi, elle est hautem ment significative comme
toute le es améliorationsintermédiaires T2-T0 (1,0 05#177;0,30)
et T3-T2 (0,98#177;0,27) à p<0,00 02.La différence entre les g
groupes I et J (2,06#177;1,49cm) est stat tistiquement nonsignificative
à p<0,05.
7Résistanceauxxsauts
Le tableau 9 ci-dessous prése ente les résultats
obtenus par le test et les retests de 15 sauts réalisés avec le
groupe expérim mental et le groupe témoin.
Tableau 9: Résultats du test 15 sautts (cm)
|
N
|
T0
|
T1
|
T1 -T0
|
T2
|
T2 -T1
|
T 3
|
T3 -T2
|
T3 -T0
|
I JI-J
|
Psig*
|
T1 -T0T2-T1 T3-T2
|
I-J
|
I
|
22
|
14,36 #177; 4,46
|
15,71 #177; 4,92
|
1,35 #177; 0,26* *
|
18,58 #177; 5,86
|
2,87 #177; 0,57*
|
19,35 #177; 6,07
|
0,77 #177; 0,16*
|
4,99 #177; 0,62*
|
1,,23 #177;
|
P<0,001
|
P<0,05
|
J
|
30
|
15,48 #177; 2,94
|
|
|
16,63 #177; 3,71
|
1,15 #177; 0,36*
|
16,49 #177; 3,82
|
-0,15 #177; 0,25 (NS)
|
1,00 #177; 0,43*
|
1, (N ,20 NS)
|
P<0,02
|
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes NS : Différence non significat tive
Les résultats enregistrés lors du test 15 sauts
montrent au niiveau du groupeexpérimental une évolutio on globale
entre T0 et T3 de 4,99#177;0,62cmm.Elle est hautement signif ficative comme
toute les amélioration ns intermédiairesT1-T0 (1,35#177;0,26cm),
T2-T1 (2,87#177;0,57cm) et T3-T2 (0,77#177;0,16 6cm) à p<0,001.Les
résultats enregistrés aauu niveau du groupe témoin
montrent unne évolutionglobale entre T0 et T3 de 11,00#177;0,43cm.Elle
est très significat tive à comme l'amélioration inter
rmédiaire T2-T1(1,15#177;0,36cm) p<0,02 conntrairement à T3 et
T2 (-0,15#177;0,25cm) (p<0,05).La différence entre les groupes I et J
est statistiquement nnon significative(1,23#177;1,20cm) à p<0,05.
8Vitessed'étiremment
Le tableau 10 ci-dessous préésente les
résultats obtenus par le test et le e retest de DJ avec le groupe
expérimental et le e groupe témoin.
Tableau 10: Résultats du test DJ (cm m)
*Différence significative entre e les tests
Différence significative entre
e les deux groupes
NS : Différence non significat tive
|
|
23,00
|
|
22,50
|
|
22,00
|
|
21,50
|
|
21,00
|
|
20,50
|
|
20,00
|
|
19,50
|
|
19,00
|
|
18,50
|
|
18,00
|
|
|
T0
|
|
T1
|
|
|
|
Groupe Expérimenta al
|
|
|
DROP JUMP
|
|
Figure 40: Illustration graphique d de la comparaison des
moyennes des hauteurs en DJ pour chaque groupe
Groupe Témoin
En se basant sur les donnnées présentées
dans le tableau n°10,, la comparaison intragroupe montre que la moyenne de
la hauteur en DJ dde notre groupe expérimental est passée dee
20,76#177;5,01 à 22,87#177;5,39. Une différence de 12,10#177;
#177;0,45 est observée, cette amélioratio on est hautement
significative à p<0,001. La moyenne de la hauteu ur en DJ du groupe
témoin est passée de 19,83#177;3,35 à 20,70#177;0,75. Une
différence de 0,87#177;0,,37 est observée, cette
amélioration est t aussi hautement significative à p<0,001. La
différence entre les d deux groupes est statistiquement non
significative à p <0,05.
58
INTERPRÉTATION
1VMA
L'évolution non significative de la VMA entre les deux
groupes peut être expliquée par le fait que la pratique du
Taekwondo est basée sur des efforts courts et explosifs
répétés dans le temps et qui sont entrecoupés par
de courtes durées de repos. Ils ont une influence impérative sur
la composante aérobie de l'entrainement.
2VITESSECOORDINATION
Les gains importants et significatifs dans le groupe
expérimental et le groupe témoin entre la situation de
départ et la situation finale n'ont montrés aucune
différence significative entre les deux groupes. Ceci est un
problème expliqué par le caractère explosif du Taekwondo
et la participation conséquente et inéluctable des fibres rapides
en grand nombre. Dans ce cas le recourt à des exercices
pliométriques inconsciemment ou implicitement peuvent être une
explication possible. Les exercices pliométriques ont un effet sur le
développement de la force et partant sur la vitesse d'après
Roberto et coll. (2005).
3EXPLOSIVITÉDESCUISSESDANSUNTEMPSTRÈSCOURT(LAQUALITÉDEDÉMARRAGE):
La figure 42 présente la répartition du gain
général enregistré par le groupe expérimental (I)
au cours de chaque créneau au niveau du test SJ en pourcentage. Ce gain
général est de l'ordre de 28,15% par rapport à T0. La
figure 43 met en exergue cette répartition par rapport à celle en
% de la charge d'entraiment globale observée lors des 4 mois et qui est
de l'ordre de
13962,06 (au).
SQUAt JUMP
|
|
60,00
|
T1 -T0
|
T2 -T1
|
T33 -T2
|
50,00
|
|
|
40,00
|
|
|
%30,00
|
|
|
|
CE observée
|
20%
|
29%
|
|
20,00
|
|
|
|
SJ
|
|
|
10,00
|
|
|
|
|
51%
|
|
0,00
|
|
|
|
|
|
|
|
10''/20''
|
30''/30''
|
15''//30''
|
|
Figure 41: Répartition du gain gén néral en
SJ au Figure 42: Comparaison de la charge e observée avec le gain niveau
du groupe expérim mental obtenu en SJ lors de chaque mode au niveau du
groupe expérimental
La simple référence aux g gains enregistrés
peut dans un premier temps mettre en exergue l'apport importannt du mode
30''/30'' (51% du gain ggénéral). Ce qui prime cependant c'est la
référence à la charge d'entraînement t qui va
montrer l'impact réel qui nous inttéresse dans le cadre de cette
étude. I Ici c'est le mode 10''/20''. Ces nuances s sont avancées
pour rendre plus lisiblees les prochains graphes qui sont construit ts sur la
même topographie. La mesure du SJ est une des variable permettant de
faire un bi ilan de la détente et déterminant par la mêm me
l'impact des cycles d'entrainement p programmés. L'amélioration
observée eest bien meilleure au niveau du mode e 30''/30'' (51% du gain
général en SJ) mmais par rapport à la charge
observée lors de ce mode (53% de la charge globa ale observée),
cette amélioration res ste moyenne. La même analyse est valable
pour le mode 15''/30'' ou l'amélioratiion de la hauteur de SJ (20% du
gain génééral en SJ) est plus faible que la cha arge
observée au cours du même mode (2 24% de la charge globale
observée). DDès lors pour le développement de
l'expllosivité du quadriceps dans un temp ps très court, il
semble que le mode de l' 'entrainement 10''/20'' est le plus favo orable
puisque le pourcentage d'amélioratio on lors de ce mode (29% du gain
gé énéral en SJ) est supérieur à celui de la
cha arge observée lors de ce même mode (2 23% de la charge globale
observée).
60
%
4EXPLOSIVITÉDESCCUISSESDANSUNTEMPSPLUSLONNGQUELESJLa
figure 44 présente la r répartition au cours de chaque
créneau u du gain général enregistré par le groupe
ex xpérimental (I) au niveau du test CMJ een pourcentage. Ce gain
général est de l'o ordre de 24,61% par rapport à T0. La
ffigure 43 met en exergue cette répartition par rapport à celle
en % de la char rge d'entraiment observée lors des 4 mois
dd'entraînement.
CONTREMOUVEMENT JUM MP 60,00 50,00
T1-T0 T2-T1 T3 --T240,00
30,00
CE observée
22% 28%
20,00
CMJ
10,0050%
0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''//30''
Figure 44: Répartition du gain gé
énéral en Figure 43: Comparaison de la charge o
observée avec le gain CMJ au niveau du groupe expériimental
obtenu en CMJ lors de chaque mode a au niveau du groupe éi l
Cette variable est aussi uune des variables qui permet de faire e
un bilan de la détente. L'effet observé d des modes
d'entrainement selon les résuultats enregistrés est le
même. L'amélioratiion de l'explosivité de quadriceps dan ns
un temps plus long que le SJ est aussi o observée meilleure au niveau du
mode e 30/30 (50% du gain général) mais, comm me au niveau de SJ,
elle reste moyenne e par rapport à la charge observée lors du
même mode. L'amélioration est bassse au niveau du mode 15''/30''
(22% du ggain général) aussi bien par rapport au u gain
général en CMJ que par rapport à la ccharge
observée au cours de ce mode. Le gain en mode 10''/20'' paraît
faible pa ar rapport au gain général (28% du gain
général en CMJ), il est cependant, le plus important par rapport
à la charge observée lors de ce mode. Ce constat valo orise le
mode 10''/20'' pour le travail l de l'explosivité des cuisses dans un
temps s plus long que le SJ.
61
5PUISSANCEDESCUIISSES
La figure 46 présente la r répartition au cours
de chaque créneau u du gain général enregistré par
le groupe e expérimental (I) au niveau du te est CMJ BL en pourcentage.
Ce gain gén néral est de l'ordre de 22,62% par ra apport à
T0. La figure 45 met en exergue cette répartition par rapport à
celle en n % de la charge d'entraiment observée lorss des 4 mois
d'entraînement.
CONTREMOUVEMENT JUMP P 70,00 BRAS LIBRE
60,00 50,00 123 40,00
12%
%
CE observée
30,00
CMJ BL
20,00
27%
10,0061%
0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''/330''
Figure 46: Répartition du gain gén néral en
Figure 45: Comparaison de la charge obser rvée avec le gain obtenu CMJ
BL au niveau du groupe e en CMJ lors de chaque mode au niveau du u groupe
expérimental
Comme les deux variabless précédentes, la hauteur
en CMJ BL in ntervient dans la réalisation d'un bilan de la
détente. L'amélioration observée es st bien meilleure au
niveau de mode 30''/3 30'' aussi bien par rapport au gain géné
éral de la hauteur en CMJ BL (61% du ga ain général en CMJ
BL) que par rappport à la charge observée lors du même
moode. Bien que moindre, L'améélioration au niveau du mode
15''/30 0'' (27% du gain général en CMJ BL) est a aussi
élevée par rapport à la charge obsservée au niveau
du même mode (24% de la charge globale observée). Par contrre
l'amélioration observée au niveau du mo ode 10''/20'' est
très basse (12% du gaiin général contre 23% du la charge
globa al observée). Il semble que le mode e d'entrainement 30''/30'' est
le plus fav vorable pour le développement de lla puissance des cuisses.
Vient en deuxièm me lieu le mode 15''/30''.
62
6PUISSANCEDESMOLLLETS
La figure 48 présente la r répartition au cours
de chaque créneau u du gain général enregistré par
le groupe e expérimental (I) au niveau du tes st
Réactivité en pourcentage. Ce gain gén néral est de
l'ordre de 28,58% par ra apport à T0. La figure 47 met en exergue cette
répartition par rapport à celle en n % de la charge d'entraiment
observée lorss des 4 mois d'entraînement.
%
70,00
REACTIVITE
60,00
T1-T0 T2-T1 T3-TT2
50,00 40,00 CE observée
30,00 18% 22% REACTIVITE
20,0010,0060%
0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''//30''
Figure 47: Répartition du gain gé
énéral Figure 48: Comparaison de la charge obser
rvée avec le gain obtenu en Réactivité au niveau du
grouupe en Réactivité lors de chaque mode au u niveau du
groupe expérimental expérimental
La moyenne des sauts en RRéactivité est une des
mesures qui com mplète le bilan de la détente. Comme pour les
autres v variables, l'amélioration observée est b bien meilleure
au niveau de mode 30''/30''' aussi bien par rapport au gain génér
ral (60% du gain général) que par rapport au pourcentage de la
charge observéee au cours de ce mode. Les deux autres modes
préésentent pratiquement les mêmes pour rcentages du gain
général par rapport au u pourcentage de la charge
d'enttraînement, soit respectivement de 18% du gain général
contre 24% de la charge globale observée pour le 15''/30 '' et 22% du
gain général contre 23 3% de la charge globale observée
pour le 1 10''/20''. Le mode 30''/30'' semble e le plus favorable pour
améliorer la q qualité de rebond afin de conserver de la viitesse
(Réactivité) ainsi que pour déve elopper la qualité
de poussée et de démarrag ge (CMJ BL).
HaddadMonoem
63
MEMOIREDEFIND'ETUDESSUUPERIEURES
7RÉSISTANCEAUXSAAUTS
La figure 50 présente la r répartition au cours
de chaque créneau u du gain général enregistré par
le groupe expérimental (I) au niveau du test 155s sauts en pour cent. Ce
gain général est de l'ordre de 34,78% par rapport à T0. La
figure 49 met en exergue cette rrépartition par rapport à celle
en %% de la charge d'entraiment observée lorss des 4 mois.
70,00
15 SAUTS
60,00
|
1
|
2
|
3
|
50,00
|
15%
|
|
|
40,00
|
%
CE observée
30,00
15 SAUTS
27%
20,00 10,00 58%
0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''/330''
Figure 50: Répartition du gain géné
éral Figure 49: Comparaison de la charge observée e avec le
gain obtenu en en 15 sauts au niveau du group pe 15sauts lors de
chaque mode au niveau du u groupe expérimental expérimental
C'est une autre variable q qui permet de faire un bilan
pliométriq que et de tirer des indices pour quantifier la perte en fin
d'enchainement. EEncore une fois, l'amélioration observée esst
bien meilleure au niveau du mode 300''/30'' (58% du gain
général). Elle est ba asse au niveau du mode 15/30 (15% d du gain
général). Pour développer la résisstance aux sauts,
il semble donc qque le mode de l'entrainement 30''/30'' eest le plus favorable.
8VITESSED'ÉTIREMEENT
Les résultats enregistrés m montrent un gain de
10,16% au niveau u de notre groupe expérimental (I) contre 4, 39% pour
le groupe témoin. CCette différence significative à
p<0,1 est a accompagnée d'une amélioration de la hauteur de
chute passant de 20cm en moyeenne à 40cm pour le groupe
expérimeental. Le groupe témoin n'enregistre aucun n
progrès au niveau de cet indice et sttagne à 20cm de hauteur de
chute. Ce con nstat prouve que les athlètes du grou upe
expérimental arrivent à augmenter leeur vitesse
d'étirement d'une haut teur plus haute améliorant par la
même le eur indice de pliométrie.
HaddadMonoem
64
Au terme de cette analyse les résultats de la batterie
de test expérimentée dans le cadre de l'intermittent et à
travers des créneaux 10''/20'',30''/30'' et 15''/30'' nous ont permis,
non seulement d'avoir une vue d'ensemble de l'impact de ces créneaux sur
les différents paramètres prépondérants dans la
construction de l'explosivité chez le jeune Taekwondoïste mais
surtout de calculer les indices relatifs à cette explosivité et
qui ont une importance capitale quant à l'évaluation objective
des qualités physiques du jeune Taekwondoïste, condition
sine-qua-none pour une planification harmonieuse et une programmation
adéquate de programmes d'entrainement pour un Taekwondo dont l'objectif
final reste la santé et la performance.
L'analyse statistique montre une amélioration
significative au niveau de ce test à p<0,04 par rapport au groupe
témoin. Ce résultat ainsi que les performances sont en accord
avec ceux obtenus par Bosco (1998) et Cometti (2007).
Le calcul statistique montre aussi que lors de ce test on
enregistre une amélioration significative à p <0,05 par
rapport au groupe témoin. L'amélioration est certes moindre mais
comme ce paramètre explique désormais la force et non
l'élasticité des membres inférieurs on peut penser
éventuellement que l'explosivité dans un temps très court
se développe plus que celle dans un temps plus long que celui du SJ. Ce
qui répond plus à la spécificité du Taekwondo
où l'explosivité brève est plus demandée. Les
résultats obtenus en CMJ correspondent à ceux trouvés par
Bosco (1998) lors de son étude sur l'évolution de la performance
de la détente (CMJ) chez l'enfant.
L'évolution des résultats a montré à
ce niveau une différence très significative. Les meilleurs
athlètes en CMJ BL ont réalisé les meilleurs
résultats au niveau de test aérobie ainsi qu'au niveau de la
vitesse de coordination. Nos résultats corroborent avec les travaux de
Colli et coll. (2005) qui ont travaillé sur la progression des
résultats au test navette et au test Cooper en fonction de la
performance en CMJ BL. Ils concluent que la qualité de détente
détermine les autres qualités et que les meilleurs en
détente sont les meilleurs aux tests « quantitatifs ».
Améliorer la qualité de détente semble donc aboutir
à une amélioration des autres qualités et va dans le
même sens que les travaux de Cometti (2007).
Les résultats enregistrés correspondent aux
résultats trouvés par Basco 1989 qui a travaillé sur
l'évolution du DJ en fonction de l'âge mettant en relation la
hauteur de chute et la hauteur du saut.
Ici aussi, les résultats enregistrés montrent une
différence hautement significative au niveau de chaque groupe ce qui a
entrainé par la même une différence non significative entre
les deux groupes . Ce constat confirme que la pratique du Taekwondo est un
sport en jambe et surtout un sport qui sollicite dans une grande proportion le
triceps sural, une des deux manières d'exécution des exercices
pliométriques selon Piron cité par Cometti (2007).
Les résultats enregistrés sont dans leur
signification identiques à ceux observés au niveau du test de
Réactivité et viennent corroborer ceux concernant les tests de la
vitesse de coordination et celle maximale aérobie concordant dans le
même sens avec les travaux de Colli et coll. (2005) quant aux rapports
qui doivent exister entre l'évolution de la vitesse et de l'endurance.
Le développement de la vitesse peut entrainer des répercussions
favorables sur la qualité d'endurance .La réciproque n'est pas
vraie.
Cette conclusion est aussi valable pour les paramètres
de la VMA et de la vitesse de coordination. De nombreuses études ont
porté sur des entraînements d'endurance et de vitesse-force.
Aucune étude ne montre un gain de force ou de vitesse grâce
à un travail aérobie. Par contre de nombreuses études
mentionnent une influence d'entrainement de type force avec charges lourdes
(Hickson et coll. 1988 ; McCarthy et coll. 1995) ou de type « explosif
» (Paavolainen et coll. 1999) sur l'efficacité des efforts de type
aérobie. Cometti (2007) montre qu'un entraînement de vitesse-force
peut améliorer les performances ce qui prouver par nos résultats
lors d'une amélioration hautement significative à p<0,001 au
niveau du test VAMEVAL et vitesse coordination.
Fort des résultats enregistrés, il nous est
maintenant possible de calculer les indices qui vont nous permettre d'affirmer
ou d'infirmer notre hypothèse de départ.
Le SJ et le CMJ permetteent de mesurer l'indice de puissance d
des extenseurs de la jambe qui est la diffé érence entre les
deux. Il est de l'ordr re de 2,61cm au niveau de notre populaation
d'étude. Il était de l'ordre de 2,58 avant
l'expérimentation (T0). CCette différence restant toujours faible
e montre que les athlètes entrainés sont exp eaucoup de force
plosifs. Ils sont aptes à développer be dans peu du
temps (Come etti, 2007). Le Taekwondo est bien un ssport explosif.
La différence entre la hau uteur de CMJ BL et la hauteur
moyennne des sauts en Réactivité a diminué en pa assant de
4,66cm à 4,51 cm. L'égalité parfaite n'est pas souhaitable
comme le préco onise Vittori. La différence doit rester tou
ujours inférieure à 06cm. Une différence entre 6cm et 10cm
sera à corriger (Cometti, 20007). Les athlètes sont donc pluss
puissants des cuisses mais un travail pllus orienté sur les mollets est
encore souhaita able dans le cadre du Taekwondo qui exxige beaucoup de
HaddadMonoem
steps sur les points des pieeds aussi bien au cours de
l'entraineme ent que lors de la compétition.
La différance entre la hau uteur de CMJ BL et CMJ
présente une e amélioration au cours de l'expérimentatio
on passant de 4,81 cm à 5,50 cm. Ce ette amélioration confirme la
nécessaire pa articipation des bras qu'apporte le trav vail
pliométrique et dont a besoin et bénéficcie la pratique du
Taekwondo.
e l'Indice d'utilisation CMJ BL et de DJ au niveau du groupe
expérimental d'un pré-éétirement
Cet indice, le résultat de la différence entre
les hauteurs enreeggistrées du CMJ BL et du DJ; (passé de 3,
,75cm à 7,19cm) prouve que « la vites sse d'étirement »
s'est améliorée. Il mo ontre surtout l'importante contributtion
du travail pliométrique au développ pement des qualités
physique de l'athl lète pratiquant le Taekwondo.
C'est un indice importantt pour mettre en évidence la
capacité à produire une force explosive sur la fatiggue.
Capacité primordiale pour un bon n Taekwondoïste. Il correspond
à la moyen nne des 15 sauts divisés par la haute eur du CMJ. Cet
indice indique une améliioration significative passant de 72,89 9% au
niveau de T0 à 78,84% au niveau u de T3. Il montre éventuellement
l''amélioration de l'endurance de la force explosive. Il confirme par la
même que le travail intermittent est efficace a aussi bien pour le
développement de ll'explosivité que pour l'amélioration de
l'enndurance de cette explosivité. Le progrès
réalisé au nive eau de l'indice reste cependant faible paar
rapport à celui mentionné dans les travau ux de Bosco 1982.
Tous les indices que nouss venons de passer en revue concorde ent
sur un fait: la réalisation d'une améliorration au niveau de tous
les param mètres impliqués. Certes les différences
n'é étaient pas statistiquement toujours sig gnificatives mais
pour des raisons physiologgiques ou spécifiques à la
spécialité du u Taekwondo les données étaient
explicites et plausibles pour confirmer notre hyp pothèse de
départ qui repose sur le travail d de la qualité `force' dans la
quantité ` `endurance' pour améliorer simultanément les
qualités physiques déterminantes dans la pratique chez le jeune
Taekwondoïïste.
L'objectif de notre recherche est de mettre en évidence
l'impact d'un entraînement intermittent en créneaux court-court
sur l'explosivité du jeune Taekwondoïste. La population est
composée de 52 athlètes répartis en 2 groupes l'un
expérimental et l'autre témoin. Après la période
d'expérimentation qui a duré 16 semaines, les résultats
recueillis montrent des progrès statistiquement significatifs au niveau
des protocoles suivants : SJ, CMJ, CMJ BL. Alors qu'au niveau de la VMA, de la
vitesse-coordination et du Drop Jump, 15sauts et réactivité, les
résultats, malgré une haute signification statistique à
l'intérieur du groupe, sont non significatifs entre les groupes. Cette
variation s'explique par la spécificité de la discipline qui, est
en elle même et en dehors du mode d'entraînement utilisé, se
base bel et bien sur les sauts, les Jumps, les actions rapides, la force et la
vitesse: les 2 composantes de l'explosivité. Ceci va dans le même
sens que les travaux menés par Bouhlele et al. (2006) quant à
l'analyse faite sur les caractéristiques internes et externes de la
pratique du Taekwondo en Tunisie.
De même les variations enregistrées au niveau des
indices calculés et qui sont des rapports entre les déterminants
de la batterie des tests utilisés démontrent que les jeunes
testés tendent vers un équilibre pliométrique: le rapport
harmonieux entre la force des membres inférieurs et la qualité
des exercices pliométriques dans le cadre de transfert de force
adéquate et spécifique vers la pratique sportive .Ce qui confirme
les études de Cometti (2007), Bosco (1998), Bosco(1985) et Bosco (1982).
Enfin, nous pouvons remarquer que les meilleurs athlètes dans les tests
aussi bien qualitatifs que quantitatifs, sont enfin de bilan, ceux qui avaient
enregistrés les meilleurs résultats dans les tests quantitatifs
(force et vitesse). Ceci corrobore avec les travaux de Cometti (2007), Colli et
coll. (2005), Paavolainen et coll. (1999) et Gacon (1993).
On peut se demander enfin si le choix opté pour
l'utilisation de différentes méthodes et modes d'entrainement
était efficace et judicieux ? La réponse à la question
devait résider dans l'interprétation et la comparaison des
données recueillies. Nous l'avons juste abordé dans le cadre de
ce mémoire de fin d'études comme nous avons mentionné le
contrôle de la charge d'entraînement par la méthode RPE et
dont les résultats sont renvoyés en annexes pour ne pas alourdir
ce travail d'initiation à la recherche.
Un fait est certain, nous avons évité, tout le long
de l'expérimentation, comme Cometti (2007) le recommandait toujours
l'installation d'une barrière que cela soit de force ou de vitesse et
qui risquait de constituer un frein énorme sur le chemin de la
performance. Aborder ces sujets intéressants et complément
nécessaires pour notre formation est l'objectif que nous nous fixons
pour une formation et des études nouvelles.
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MEMOIREDEFIND'ETUDESSUPERIEURES
Institut Supérieur du Sport et de l'Education
Physique de Ksar-Saïd
Mémoiredefind'EtudesSupérieurespourl'obtensiondelamaîtriseenEduducationPhysique
L'objectif de notre recherche est de mettre en évidence
l'impact d'un entraînement intermittent en créneaux court-court
sur l'explosivité du jeune Taekwondoïste. Notre étude porte
sur 52 jeunes athlètes âgés de 09 à 15ans
répartis en 02 groupes l'un expérimental I (22 athlètes)
et l'autre témoin J (30 athlètes) pratiquant le taekwondo
à raison d'une heure trente minutes par séance et ce à une
fréquence de trois fois par semaine durant quatre mois. La
dernière semaine de chaque mois étant consacrée à
l'affûtage. L'entraînement était dispensé sous trois
formes d'intermittent pratiquées continuellement dans l'ordre suivant :
force, vitesse et mixte et selon les modes : 10''/20'', 30''/30'' et enfin
15''/30''. Une batterie de test a été utilisée pour
évaluer : La VAM et la vitesse de coordination ainsi que les 6 tests de
détente de base préconisés par Bosco (1982). Les
résultats enregistrés vont dans le sens d'une amélioration
statistiquement significative inter groupe et concernant les tests de SJ, CMJ,
CMJBL. une amélioration positive a été aussi
observée au niveau des indices : de puissance, de Vittori, d'utilisation
d'un pré-étirement , d'utilisation des bras et enfin celui
d'endurance de la force explosive. Les résultats enregistrés au
niveau de la VMA et de vitesse de coordination sont contrairement au
précédent statistiquement non significatif inter groupes a cause
justement des améliorations hautement significatives enregistrées
au niveau des deux groupes. Ce constat nous permet d'avancer que ces
résultats vont dans le même sens que les études de Cometti
(2007), Bosco (1998), Bosco (1985) et Bosco (1982). Et corroborent avec les
travaux de Cometti (2007), Colli et coll. (2005), Paavolainen et coll. (1999)
et Gacon (1993). La contradiction observée réside dans la
spécificité de la pratique sportive objet de notre recherche qui
est le Taekwondo.
Motsclefs:Enfant, Taekwondo, Intermittent, explosivité
HADDADMONOEM
HaddadMonoem
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