Définitions
Eschatologie
Selon le Petit Larousse Illustré 1997, le mot, du grec
« eschatos »traduit par `dernier' et
« logos », `discours', signifie l'ensemble des doctrines et
des croyances portant sur le sort ultime de l'Homme et de l'univers. Selon le
manuel du cours du professeur LUJ, c'est l'ensemble des doctrines concernant
les dernières choses. Elle est divisée en deux grands domaines,
d'une part le sort de l'Homme après sa mort, l'Eschatologie personnelle,
d'autre part le sort de l'univers tout entier compris par Eschatologie
Générale. « Elle est le chapitre de la
théologie systématique qui développe la doctrine des
choses dernières, des évènements en rapport avec le second
avènement de Jésus Christ. »1(*)
Parousie
C'est le retour glorieux du Christ à la fin des temps en
vue du jugement dernier selon le Petit Larousse Illustré 1997. Elle
constitue l'attente profonde des chrétiens, le fondement de leur
espérance ferme. Selon le Nouveau Dictionnaire Biblique, le terme
parousie est employé 24 fois dans le nouveau testament.
« Le plus souvent, elle désigne l'avènement et
occasionnellement, l'apparition, l'arrivée, la présence le
retour. Le mot est dérivé du participe de Paréimi qui
signifie `être la' »2(*)
Espérance
Pour le dictionnaire Le Petit Larousse Illustré 1997,
c'est le sentiment qui porte à considérer ce que l'on
désire comme réalisable, s'exprimant par la confiance, la
certitude. Dans une perspective théologique chrétienne, c'est
s'en remettre à la grâce divine, selon les Dicos Encarta 2007.
Elle fait partie des trois vertus chrétiennes par excellence : la
foi, l'espérance et l'amour.
Selon le Dictionnaire des Mots et Expressions de la Bible,
l'espérance est le « sentiment qui fait
considérer comme certain ce qui a été promis,
annoncé (1 Jean 3 :3 »3(*); c'est aussi le « sentiment de
confiance de celui qui se fie à Dieu (Actes 24 :15 ; 1 Pierre
1 :21) »4(*).C'est enfin la « personne ou la
chose en laquelle on met sa confiance pour l'avenir (Col 1 :27 ; Ps
25 :5) »5(*)
L'Espérance du
Chrétien dans le Contexte eschatologique
La genèse constitue la source de toutes les doctrines
développées tout au long des différents livres de la
bible. Elle est la panacée du dévoilement du dessein divin pour
toutes les générations humaines. Nous y voyons se profiler
d'entrée de jeu, le plan eschatologique à l'égard de toute
la création entière : il y est question déjà
de la venue du Messie (Genèse 3 :15). C'est une annonce à
l'avance de l'avènement du royaume des cieux sous
l'autorité du premier des rachetés, Christ, l'agneau
immolé sur la croix pour les péchés commis.
L'épilogue eschatologique se déroule puissamment dans le livre de
la révélation :
L'apocalypse disait F Godet, est la clôture
du Nouveau Testament. Si les évangiles servent à fonder la foi,
les épîtres à développer l'amour, l'apocalypse donne
à l'espérance chrétienne son aliment....Comme pendant de
la genèse, l'apocalypse nous transporte à la fin de
l'économie présente, aux crises d'enfantement d'où
sortiront de nouveaux cieux et une nouvelle terre .6(*)
Dans le même sens, l'étude du livre de la
Révélation nous permet de relever que l'espérance
éternelle du Chrétien se fonde sur la parousie et
l'enlèvement de l'Eglise avant le jugement final de la terre. C'est
une « leçon d'espérance donnée par
l'ensemble des révélations touchant l'avenir glorieux que Dieu
nous réserve »7(*)
De fait alors l'eschatologie, dans son ensemble constitue un
tremplin de découverte, d'analyse, de compréhension de
l'espérance du Chrétien et permet de conforter encore plus cette
position, à savoir l'attente de la seconde venue du Seigneur, une
promesse du Dieu vivant, folie et sujet de raillerie pour les incrédules
et païens :
Toutes les grâces de Dieu, tous les exercices qui
permettent de vivre dans la justice devant Dieu et les hommes, ont un but
défini en vue. Non seulement la justice a-t-elle la perspective d'une
récompense au bout du chemin mais, dans un monde déchu empli de
tentations et pressions conflictuelles, cette promesse la soutient en
partie.8(*)
Mais la plus grande menace de l'espoir reste toujours, le
découragement, le désespoir, une des principales armes de
l'adversaire, utilisée de tout temps contre les élus de Dieu,
faisant beaucoup de ravages dans le corps de Christ par ses conséquences
désastreuses. Le désespoir remet en cause le salut, défie
la croyance,
la foi et annihile l'espérance. Le
découragement est un péché, car il tire son fondement du
manque de foi en la toute puissance du Créateur et en l'amour divin pour
ses enfants. C'est rejeter la vérité de la capacité
divine, c'est rejeter cet acte rédempteur de Jésus Christ qui
nous rend déjà plus que vainqueurs de l'Ennemi et de la mort.
Dans le point suivant, nous tenterons de déterminer en
quoi consiste le désespoir, afin de mieux s'en prémunir.
Le Désespoir :
l'Anti-Espoir
Selon le petit Larousse Illustré 1997, le
désespoir est le manque d'espoir, le fait d'être
découragé, de ne plus rien attendre, d'être dans la
détresse, l'affliction, dans l'abattement profond.
Désespérer, c'est faire perdre l'espoir, c'est cesser
d'espérer, rôle de prédilection de l'Adversaire.
L'Homme souffre de désespoir de manière
générale : il ne trouve pas la voie de la paix interne due
au rejet du Salut offert gratuitement par Christ, d'où des
conséquences terribles aux formes variées :
· Désir de la mort dans le cas d'extrême
souffrance : un enfant est condamné, il n'y a plus de
rémission possible à sa leucémie ; la mère est
désespérée, et souhaite plutôt mourir que de voir
son fils la devancer.
· Réactions inadéquates autres que le
désir de la mort : haine, drogue, alcool, sciences occultes,
travail intensif, amas de richesses, recherche effrénée du
plaisir physique.
La réaction diffère en fonction du degré
de désespoir et du caractère de l'individu.
Dans un contexte biblique, le désespoir est une
attitude terrible qui fait perdre de vue au chrétien la principale
raison de sa vie sur terre, plaire au Créateur, et s'en remettre
à lui en cas de difficultés, le poussant à perdre tout
courage. C'est une position de prostration extrême : elle pousse
à des actes aux conséquences fâcheuses, l'esprit
n'étant plus lucide mais obnubilé par le désespoir.
Le désespoir a un impact nocif sur toutes les facettes
de la vie chrétienne, car faisant partie inhérente du
caractère humain depuis la chute de l'Homme. Plusieurs exemples
bibliques viennent étayer cette assertion : la détresse
d'Elie lorsqu'il crut que tous les prophètes du Dieu vivant avaient
été tous tués par la reine Jézabel(1 Rois
19 :4) ; le désespoir de Job face au sort qui semblait
s'acharner contre lui, le faisant souhaiter la mort de toute force (Job
3 :11 ; 6 :11 ), la détresse de Jonas lorsqu'il ne
fut plus protégé du soleil par l'ombre du Ricin, attaqué
par un ver (Jonas 4 :6-8). Bref, les héros de la foi comme tout
autre, sont également confrontés au désespoir en face de
certains événements.
La joyeuse note, c'est qu'au bord de notre limite, commence
l'oeuvre du Tout puissant, qui se glorifie dans nos souffrances, nos limites,
et qui reviendra bientôt en Jésus Christ bannir toute forme de
détresse des coeurs des rachetés de l'Agneau.
Source de la Véritable
Espérance et Bénédictions qui en Découlent
Un adage populaire dit que ` pour savoir où l'on
va, il faut d'abord savoir d'où l'on vient'. Cet adage peut s'appliquer
à notre contexte. Pour prétendre s'accaparer de
l'Espérance en Jésus Christ, il faut d'abord déterminer
pourquoi elle existe et en quoi elle est fondée pour mieux saisir sa
portée infiniment merveilleuse.
La résurrection de Jésus Christ est le plus
grand évènement que l'Humanité ait vécu. Elle est
le tournant décisif de l'Histoire, fondement d'espoir pour les uns,
source de condamnation pour les autres.
En Sa résurrection se fonde l'espérance du
Chrétien, promise depuis la chute de l'Homme au Jardin
d'Eden « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre
ta postérité et sa postérité: celle-ci
t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon»Gen 3-15
C'est en l'avènement du Seigneur, en Son sacrifice
parfait, et en Son oeuvre éternelle que les patriarches, par la foi ont
salué de loin et ont marché avec fidélité dans la
loi du Seigneur, espérant contre toute
espérance: « Or la foi est une ferme assurance des choses
qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit
pas. »Hébreux 11-1 ; « Des femmes
recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d'autres furent
livrés aux tourments, et n'acceptèrent point de
délivrance, afin d'obtenir une meilleure résurrection; D'autres
subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la
prison »Heb 11 :35-36.
Nous pouvons ainsi voir qu'à travers tout l'ancien
testament, les héros de la foi ont tous marchés, guidés
par la foi, soutenus et fortifiés par l'espérance en des choses
meilleures , révélées par Dieu lui-même, par
l'entremise du Saint Esprit aux fidèles serviteurs.
De même, elle est folie cette résurrection et
source de désespoir pour les antéchrists, car elle est l'essence
de la condamnation divine pour tous ceux qui le rejetteront. Le premier d'entre
eux le Diable, croyant avoir triomphé à la croix, a plutôt
précipité sa fin ; s'étant piégé
lui-même, il rugit comme un lion blessé, cherchant à
emmener avec lui le maximum d'individus dans le feu éternel. Cette
espérance en la seconde venue de Jésus Christ pour prendre ses
élus avec lui, et rétribuer à chacun selon ses actes est
la chose la plus redoutée par le Malin, d'où son activisme
grandissant car son heure est proche.
L'espérance est fondée en la résurrection
de Jésus. Si Jésus n'était pas ressuscité, notre
foi serait vaine, le Christianisme un non sens, l'espérance un vain mot,
le Diable serait indéfiniment dans la quiétude puisque le
jugement de Dieu n'aurait pas lieu, faute de prix payé ; alors que
le sang de Jésus versé sur la croix constitue la preuve
indélébile de ce prix payé pour le monde. Il agit comme
un miroir parfait, nous permettant de nous voir tels que nous sommes en
réalité, des hommes pécheurs incapables de se justifier
eux-mêmes, « Selon qu'il est écrit: Il n'y a point de
juste, pas même un seul; Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu; Tous
sont égarés, tous sont pervertis; Il n'en est aucun qui fasse le
bien, Pas même un seul »Romains 3 :10-12, et de recourir
alors à la grâce rédemptrice.
Alors si l'espérance se fonde en la résurrection
de Jésus, acte catalyseur et premier d'une série d'actions
notamment la parousie, pour tous les croyants en tous les siècles, si
l'Homme est sauvé par cet acte rédempteur et surtout d'amour
divin inqualifiable par des mots humains, si Dieu ordonne d'espérer et
de croire en ce retour prochain du Sauveur (Psaumes 25-5,27-14, Prov. 20-22,
Esaie 8-17, Osée 12-7), il va sans dire qu'il accompagne
toujours ses promesses par des actes, des bénédictions
découlant de notre obéissance.
· L'espérance nous pousse à vivre dans la
pureté (1 Jean 3 :3)
· Elle aide le croyant à l'heure de la mort (Prov.
14 :32) et assure l'immortalité céleste (Actes 24-15)
· Elle anticipe la venue de Christ (Tite 2 :13)
· C'est une ancre sûre de l'âme (Heb
6 :18 -19)
· Le croyant est également source de
bénédiction pour les autres chrétiens et même pour
le monde, car de par son espérance, il redonne un sens à cette
vie sur terre.
En somme toutes les bénédictions promises par
Dieu sont à portée de tous et les chrétiens peuvent s'en
saisir car cette espérance là ne trompe point ; Elle est
aussi véritable et vivante que cette foi qui fait proclamer
l'évangile et croire que le ciel et la terre ont été
formés par la seule volonté divine.
L'espoir est une attitude, une attente qui produit la vie.
C'est un don que Dieu peut accorder à chaque homme. Si nous perdons
espoir, c'est parce que nous avons abandonné Dieu. L'espoir peut
être une puissante force de résistance mais combien bien plus
grande lorsque l'espoir est soutenu par la foi? 9(*)
La Persévérance
dans l'Attente et la Foi
L'espérance est réelle, authentique, fiable et
parfaite en Jésus Christ. Si actuellement l'espérance n'est pas
encore comblée, elle le sera évidemment. Le fidèle doit
alors attendre, pas dans une position fataliste ou passive, mais dans la
persévérance, étant actif pour ce retour glorieux de notre
maître.
Ainsi si nous pouvons comparer l'espérance à un
engin à 2 roues, la foi comme son moteur, la persévérance
peut être comparée au carburant qui permet au tout de mouvoir. La
persévérance permet d'agir dans le sens de l'espérance,
d'aller toujours de l'avant malgré les montagnes de difficultés
qui se présentent devant nous et comme Paul dans une illustration
d'athlète dans l'épître aux Corinthiens, courir et tendre
vers la ligne d'arrivée...Il faut courir, ni marcher, ni trottiner, il
faut courir avec acharnement et volonté, avec courage pour
hériter de ce royaume des cieux, cette patrie céleste.
La persévérance, qui peut être
qualifiée de courage doit permettre au chrétien, comme l'a si
bien défini le pasteur Dipama lors d'une étude biblique10(*), de voir dans les
difficultés rencontrées par l'engin espérance sur le
chemin de la vie chrétienne des opportunités pour manifester la
puissance du moteur foi en Jésus Christ, et non voir dans les
opportunités qui s'offrent à lui pour parfaire sa
résistance des difficultés insurmontables.
En attendant son retour triomphal, le croyant doit le
glorifier, le magnifier, et persévérer à la tâche
comme Christ l'a demandé. Les chrétiens doivent rendre
témoignage à l'espérance (1 Pierre 3 :15). La
persévérance est alors le maître mot pour le
chrétien. Il nous échoit de toujours raviver ce zèle et de
ne point le laisser faiblir, car il fortifie la foi et la foi le justifie.
La foi est une démonstration des choses que l'on ne
voit pas (Heb 11-1).Le chrétien doit vivre continuellement animé
et conduit par cette foi d'origine divine qui rassure et pousse à la
persévérance. Il ne s'agit pas d'une foi morte, qui rend
statiques (« Il en est ainsi de la foi: si elle n'a pas les oeuvres,
elle est morte en elle-même »Jacques 2-17.), mais de cette foi
vivante qui produit des fruits dignes de l'esprit, cette foi d'où
découle des oeuvres chrétiennes, cette foi qui pousse à
l'espérance et à la persévérance.
« Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les
oeuvres, lorsqu'il offrit son fils Isaac sur l'autel? Tu vois que la foi
agissait avec ses oeuvres, et que par les oeuvres la foi fut rendue
parfaite »Jacques 2 :21-22.
L'espérance dans l'attente mu par la
persévérance et guidé par la foi, est à rechercher,
à vivre, à mettre en pratique. Nous sommes justifiés par
notre foi en Jésus Christ, selon la grâce et la miséricorde
de Dieu.
En somme l'espérance spirituelle, à vivre ici
sur terre et l'espérance éternelle en Jésus Christ en vue
de notre patrie céleste, à rechercher activement, sont les deux
piliers de l'espérance chrétienne qui nous stimule à la
vie chrétienne dans la persévérance et la foi. La pierre
angulaire du christianisme, la résurrection de Christ, nous autorise et
nous encourage à croire en un retour glorieux du Roi des Rois. C'est
là toute la folie chrétienne pour les uns et toute la sagesse
divine pour les élus de Dieu.
Conclusion
L'espérance chrétienne est, plus qu'on peut
l'imaginer une force qui pousse le chrétien à vivre une vie de
sanctification et qui s'inscrit dans un registre eschatologique puisqu'elle
tend vers le second retour du Maître. Alors nous désirons plus que
tout le rétablissement de toute chose, d'avant la chute du Jardin
d'Eden, nous souhaitons la justice et l'amour du père, pour nous
délivrer de la tyrannie du prince de ce monde.
En effet, constatant la fin très prochaine de son
règne, il est plus que jamais actif pour perdre l'Humanité et
faire douter de la résurrection de Christ, de l'espérance en Lui.
Le désespoir, la détresse constituent alors des armes favorites
pour déstabiliser la foi, pour conduire à la mort spirituelle,
celle d'ignorer que nous sommes déjà plus que vainqueurs avec
Christ de ses pièges et de la mort vers laquelle il nous poussait. Le
chrétien se doit d'être alerte, car même les Héros
bibliques de la foi en ont été victimes mais ont su toujours se
relever et aller de l'avant.
Ceci étant, nous devons toujours nous rappeler que
notre espérance est fondée sur le rocher de notre salut,
Jésus Christ, ressuscité d'entre les morts, premier né des
rachetés, triomphateur de la mort pour toujours. Notre espérance
résulte d'une promesse, qui se profile depuis la genèse, une
promesse d'une alliance par le sang incorruptible du fils unique, l'acte d'un
amour incomparable, unique et divin, amour qui justifie cette espérance.
Alors cette espérance est juste et logique, et notre attente doit
être ferme et active. « La bonne nouvelle de la
résurrection n'est pas une manière de nous détourner des
tâches d'ici-bas, mais un appel à nous mettre en route (Actes
1,11 ; Marc 16,15 ; Actes 1,8). »11(*)
Toute la bible nous enseigne à cette attente, le Christ
encore plus lors de son passage sur terre, nous exhortant à la
vigilance. Mais cette attente doit se faire dans la persévérance,
et la foi ; La foi en un Dieu invisible, créateur de toutes choses,
vivant et agissant par la puissance de son fils Jésus Christ et la
direction de l'Esprit Saint, qui nous promet les nouveaux cieux et la nouvelle
terre : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car
le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer
n'était plus » Apocalypse 21-1. La foi est le fondement du
salut en Jésus Christ, si l'on perd l'espérance, la foi est vaine
et Dieu n'est plus qu'une vague notion .La communion est rompue.
Loin d'être un simple souhait pour l'avenir sans
garantie de réalisation, l'espérance chrétienne est la
présence de l'amour divin en personne, l'Esprit Saint, courant de vie
qui nous porte vers l'océan d'une communion en
plénitude.12(*)
L'espérance est vie et constitue le squelette de la foi
chrétienne, car l'une sans l'autre est source de dysfonctionnement dans
la marche du chrétien. Le croyant doit être assuré, que ce
soit à sa mort physique, ou qu'il assiste vivant à la fin des
temps, son espérance sera comblée par l'héritage du
royaume des cieux en tant qu'enfant du Dieu Tout Puissant.
Bibliographie
Cochrane, Jack. Dictionnaire des Mots et Expressions de la
Bible .Québec : Distribution
Evangélique du Québec, 1999.
Keddie, Gordon. Chrétien dans un monde actuel.
France : EUROPRESSE, 1999.
Kuen, Alfred. Introduction au Nouveau Testament:
l'Apocalypse. Saint Légier : Emmaüs, 1997.
Lettre de
Taizé.www.taize.fr/fr_article1080.html
Nouveau Dictionnaire révisé
.Suisse : Ed. Emmaüs, 1992.
Pasteur Dipama Josué. Le Découragement.
Chapelle de l'IBS : Etude Biblique, Mardi 22 Avril 2008.
Pasteur Louis Bourque. Prédication : Le
père de la foi (3e partie), Les
héritiers d'Abraham, Romains 4.13-25.
Warren, Rick. Une vie motivée par l'essentiel.
Lake Forest : Purpose Driven, 2006.
* 1 Nouveau Dictionnaire
révisé (Suisse : Ed. Emmaüs, 1992)
* 2 Ibid
* 3 Jack Cochrane.
Dictionnaire des Mots et Expressions de la Bible (Québec :
Distribution Evangélique du Québec, 1999)
* 4 Ibid.
* 5 Ibid.
* 6 A. Kuen, Introduction au
Nouveau Testament: l'Apocalypse, (Saint Légier : Emmaüs,
1997) ,299.
* 7Ibid., 304.
* 8 Gordon Keddie.
Chrétien dans un monde actuel. (France : EUROPRESSE, 1999)
,212.
* 9 Pasteur Louis
Bourque. « Le père de la foi »
(3e partie), Les héritiers d'Abraham,
Romains 4.13-25
* 10 Past. Dipama Josué,
le Découragement, Etude Biblique du mardi 22 Avril 2008,
chapelle de l'IBS.
* 11 Lettre de
Taizé.www.taize.fr/fr_article1080.html
* 12 Ibid.
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