Cartographie de la pollution sonore extérieure dans le deuxième arrondissement de la commune de Librevillepar Glenn Mbaya DIWA ELYARD Université Omar Bongo - Master en Dynamiques spatiales Activités et Sociétés 2023 |
I. 2. Localisation spatio-temporelleSituation spatiale la zone d'étude La ville de Libreville se trouve sur la partie Nord-Ouest de la province de l'Estuaire du Gabon, entre les latitudes 0°20'N et 0°30'N et longitudes de 9°25'E et 9°30'E Et compte environ703939 habitants (RGPL, 2013), ce qui donne une densité de population de 43,2 habitants par km². Elle est limitée au nord et nord-est par la commune d'Akanda, à l'est par l'estuaire de la Mondah, et la commune de Ntoum, et au sud par l'estuaire du Komo et à l'ouest par l'Océan Atlantique.
La période d'étude va de 2020 à 2023. En effet, cette période marque le début de l'intérêt que nous portant sur le sujet mais également le début de notre inscription en classe de master. A ce jour il existe peu d'informations liées au bruit sur la zone d'étude, notamment, aucune carte de bruit et carte de pollution sonore au Gabon, en particulier dans le deuxième arrondissement. CARTES 2: Localisation de la zone d'étude CARTES 2: Localisation de la zone d'étude Carte 1 : Localisation de la zone d'étude (Réalisation : DIWA ELYARD Glenn Mbaya, 2022 ; Source : Données Ortho photo 2013)
L'intérêt de cette étude sur la pollution sonore dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville est à la fois scientifique et social. L'enjeu scientifique réside dans la production des nouvelles connaissances sur le sujet de pollution sonore extérieur dans le deuxième arrondissement de Libreville. Il s'agit de produire une carte de bruit en utilisant les systèmes d'information géographique. L'autre enjeu de ces recherches réside, d'une part, dans la sensibilisation à ce sujet à l'échelle locale et, d'autre part, dans les apports de nouvelles connaissances sur les méthodes de cartographie des nuisances sonores et de spatialisation des zones susceptibles d'être fortement exposées. Cela permettra de mieux comprendre les conditions environnementales qui influencent les variations spatiales et temporelles du bruit. Les données produites contribuent donc à la compréhension des variables de pollution qui influencent l'environnement dans lequel évolue la population du Deuxième arrondissement de Libreville. Les résultats fournis par ce travail constitueront une contribution complémentaire aux travaux à mener dans notre domaine de recherche. Sur le plan social, il est question de prévenir et lutter contre les effets sanitaires de la pollution sonore sur les populations du deuxième arrondissement de la commune de Libreville. Ces informations pourraient-être un appui d'aide à la décision. Avec les recherches plus approfondies, ces travaux pourront servir de base à la mise en place d'un mécanisme de prévention et de protection contre les conséquences néfastes des nuisances sonores extérieures sur le plan sanitaire et économique des habitants du deuxième arrondissement de la commune de Libreville et de ses environs. Au cours de la dernière décennie, beaucoup d'efforts ont été consacrés sur les études de pollution sonore extérieure à partir des données d'inventaire des composantes du milieu, du climat, d'identification des mesures correctives et de l'évaluation de la gêne. Les indicateurs Ln et LAeq, offrent la possibilité d'obtenir des données sonores spatialement. A cet effet, et dans divers contextes, plusieurs groupes d'auteurs se sont ainsi penchés sur la question en abordant des approches diverses. En 2006, Lucie D'AUTEIL et Line GAMACHE ont travaillé sur la pollution sonore autoroute Décarie ville Montréal ; arrondissement Côte-des Neiges, Notre-Dame-de-Grace. Cette étude s'est intéressée particulièrement sur les impacts de la pollution issue des voies de communication près des domiciles de cet arrondissement. Ainsi, la pollution sonore a été évaluée à partir des simulations sonores effectuées à l'aide du débit journalier moyen annuel (D.J.M.A. de 2003, transformé en débit journalier mois d'été (D.J. E pour l'autoroute Décarie. Léo JACQUESSON (2017) s'est intéressé à la Modélisation de cartes sonores urbaines multi-sources à partir de données et logiciels libres. Dans ce travail, il propose une méthodologie pour la création de cartes de bruit multi-sources, allant jusqu'au marquage de certaines sources par d'autres, puis de produire de telles cartes dans un environnement SIG. A l'échelle du continent, E. MUKALA, (2017) réalise une étude portant sur Nuisances sonores dans une mégalopole africain : approche pilote pour la description du niveau d'exposition au bruit à Kinshasa. Ce travail a pour objectif d'identifier les principales sources de pollution, quantifier le niveau sonore ambiant dans les rues et dresser un inventaire des données de base permettant de réaliser une carte de bruit. Plus récemment, Mohamed Ali Abdmouleh, (2020) réalise une étude portant sur la cartographie de la pollution sonore dans l'agglomération de Sfax. Ce travail a pour objectif d'analyser les variations spatiales du niveau sonore au pied des bâtiments et par étage au centre-ville de Sfax, pendant l'heure de pointe matinale basée sur 187 points de mesure du niveau sonore. Dans un cadre d'étude plus restreint, le Gabon, en l'occurrence la région de Port-Gentil a fait l'objet d'une étude dans le cadre purement géographique. La question des nuisances sonores dans Port-Gentil a principalement été abordée par Aimée Rose KOUMBA dans son mémoire « La problématique des nuisances sonores dans les quartiers populaires de Port-Gentil : Exemple des quartiers chic et Sud », soutenu en 2008. Ce travail aurait pour objectifs de localiser et recenser les sources de pollutions sonores ainsi que les impacts sur le plan social et économique. Bien que ce travail relève quelques-uns des impacts de la pollution sonore, néanmoins, il n'existe pas une cartographie de la pollution sonore extérieure des quartiers sélectionnés. 89.06 % des populations du deuxième arrondissement de la commune de Libreville affirme de ne pas connaître des lois spécifiques ou normes, encore moins les seuils fixés, limites infroissables liées aux nuisances sonores (Annexe1). La prise de conscience collective qui
a émergé en Europe depuis le XXe siècle est
à l'origine d'une situation indispensable pour la
prévention à court et à long terme et doivent donc nous
servir. · Code de l'environnement au Gabon Les textes réglementaires au Gabon sont constitués de deux arrêtés municipaux et trois articles du code de l'environnement. Les articles réglementaires des bruits et des vibrations sont contenus dans le code de l'environnement (loi n°16/93 du 26 Aout 1993, relative à la protection et à l'amélioration de l'environnement). Ces articles sont développés dans le chapitre troisième aux articles 44, 45 et 46. L'article 44 stipule : « il est interdit de produire des bruits ayant des intensités dépassant les seuils fixés par les normes légales ou réglementaires ». L'article 45 met en évidence l'obligation aux établissements, les installations, les engins, les appareils publics ou privés etc. Doivent supprimés où réduire les bruits et les vibrations qu'ils causent ou qui sont susceptibles, en raison de leur intensité, d'incommoder le voisinage, de nuire à la santé ou porter atteinte à la qualité de l'environnement, conformément aux textes en vigueur. Quant à l'article 46, il complète l'article précédent, car il fixe les niveaux sonores à ne pas dépasser et prévoit les systèmes de mesures et les moyens e contrôle à mettre en oeuvre pour assurer le respect des seuils admissibles. Nous pouvons clairement identifier ici que l'ensemble des articles 44, 45 et 46 ne possède aucune mention supplémentaire permettant de fixer de manière précise les limites de dépassement pour laquelle ils font références dans ces articles. · Les arrêtés municipaux au Gabon Les arrêtés municipaux concernant la production des nuisances sonores au Gabon, sont dans les numéros 01/2000 (portant règlement sanitaire d'hygiène et de salubrité publique pour la commune de Libreville), et 00310/2004 (complétant l'arrêté n°001/2000). Dans le premier arrêté, les dispositions sur les bruits sont développées au chapitre II (locaux à usage professionnel ou commercial), dans les articles 18 et 19. L'article 18 énonce : « de jour comme de nuit, la diffusion de musique, chants audibles à partir de la voie publique est interdite dans tout commerce ou débit de boisson de la commune ». L'article 19, met en évidence les sanctions encourant dans le cas du non-respect de l'article précédent. Il va de l'amende, jusqu'à une mesure de fermeture administrative, qui peut être temporaire ou définitive de l'établissement en cause. Dans le second arrêté, au chapitre II, à la section 3 (l'environnement), dans l'article 69 il est écrit : « les heures d'ouvertures et de fermetures des activités commerciales, culturelles sont déterminées par la catégorie de la licence ou de toute autre autorisation administrative. La diffusion nocturne ou diurne de musique, chant, bruit quelconque audible à partir de la voie publique ou provoquant une gêne pour le voisinage, provenant de ces maisons de commerce, de culte ou autre est interdit. Tout tapage nocturne provenant de maison d'habitation, utilité culturelle au-delà de 22 heures, est interdit. Toutefois, des cérémonies festives, traditionnelle ou moderne peuvent être organisées au-delà de 22 heures sur autorisation écrit signée par le maire. En l'absence de disposition expresses prévues par les licences ou autres autorisations administratives, les situations de bruits, les niveaux admissibles, ainsi que les plages horaires sont fixés par les agents chargés de l'hygiène et de l'environnement de la mairie de Libreville, dans un acte administratif élaboré à la suite d'un conseil municipal. Depuis plusieurs années, la ville de Libreville connaît de profondes mutations liées à l'agrandissement de son tissu urbain (ALLOGHO-NKOGHE, 2006). En effet, depuis les années 1970, l'agglomération de Libreville n'a cessé de modeler son espace urbain suivant la pression démographique liée aux mobilités de ces populations (BIGOUMOU MOUNDOUNGA, 2011). Cette agglomération, à l'instar des autres villes de l'Afrique subsaharienne, connaît une occupation spatiale qui s'opère par les initiatives individuelles (NGUEMA, 2005). Ce phénomène s'accompagne de la propagation spontanée et incontrôlée de divers habitats et activités. Par opposition à la réalité, les populations du deuxième arrondissement de la commune de Libreville, ont l'air d'accepter le bruit du fait qu'il est toujours présent et que les plaintes ne portent aucun fruit. Mais sur le terrain, cette réalité a démontré que la quiétude des populations est troublée et les politiques publiques urbaines du pays ne semble pas porter un grand intérêt à ce problème. De même, les populations qui sont situées près des différentes sources de pollution sonore semblent tolérer, du moins, le bruit pendant la journée, ce qui n'est pas le cas pendant la nuit. Le soir, ou à la nuit tombée, ses populations aspirent au calme. En sortant le soir, nous pouvons voir que les bars, les boîtes de nuit, la circulation routière ainsi que certains lieux de culte continuent jusqu'à une certaine heure dans la nuit. Les perturbations du sommeil ont un impact négatif sur la santé, le sommeil est un état physiologique de récupération susceptible d'être perturbé ou raccourci sous l'effet de la stimulation externe, parmi lesquelles le bruit est un facteur fréquent (Alain MUZET, 2006). Par ailleurs, la législation Gabonaise, dans son code de l'environnement, fait des recommandations en son article 44 stipulant : « il est interdit de produire des bruits ayant des intensités dépassant les seuils fixés par la norme légale ou réglementaire (loi n° 16/93 du 26 août 1993), relative à la protection et l'amélioration de l'environnement ». Dans cette même loi, il n'y a aucune mention des seuils fixés à l'article 44 du code de l'environnement. Ce cadre établit, réglemente la production du bruit au Gabon. Mais dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville, cette loi est sujet aux violations permanentes du fait de l'incivisme des populations. Nous nous rendons bien compte que les nuisances sonores ne sont pas considérées comme une priorité en matière d'environnement au Gabon et aussi spécifiquement dans le Deuxième arrondissement. Même si les conséquences de celle-ci sont peu connues par les populations de cet arrondissement de Libreville. Faut-il alors pour autant ignorer ce problème qui prend de l'ampleur ou attendre que la population soit complètement malade dans cet état de fait pour enfin dénoncer cette situation ? ou continuer de l'ignorer, vu qu'elle ne touche qu'un certain type de milieu que d'autre ? Notre inquiétude se fonde alors sur le fait que la pollution sonore extérieure dans le Deuxième arrondissement de la commune de Libreville, aurait des insuffisances sur des lois spécifiques liées au bruit, à l'absence des cartes de bruit et enfin de l'impact sanitaire qu'elle pourrait avoir sur les populations de cet arrondissement. Au regard de tout cela, en complément des
interrogations formulées plus haut, il convient alors pour nous de nous
poser d'autres questions nécessaires qui pourraient expliciter notre
argument : Cette question s'accompagne de deux autres questions spécifiques. Ø Quelles sont les principales sources de pollutions sonores extérieurs dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville ? Ø Quel est la géographie de l'exposition des populations aux sources de pollutions sonores extérieurs ? En tant que chercheurs juniors, nous avons énoncé plusieurs hypothèses qui présupposent que le deuxième arrondissement de la commune de Libreville souffre sévèrement d'une pollution sonore causée principalement par le trafic routier, les bars et les églises, ce qui affecte la qualité de vie et menace la santé des habitants ainsi que l'équilibre de l'environnement. D'autre part, nous croyons que la relation significative qui relie les indicateurs physiques dans la morphologie urbaine et la distribution du bruit, affecte indirectement le taux de cette pollution. Pour atteindre les objectifs fixés, au regard du problème traité et du questionnement ci-dessus, les hypothèses suivantes sont à vérifier : § Les bruits des activités de loisirs, les issus de la circulation routière et les bruits des activités commerciales tels que les bars et les églises sont les principales sources de pollution sonore extérieur dans le Deuxième arrondissement de la commune de Libreville (E. MUKALA. et al., 2017). § Les populations qui sont situées à moins de 10m des sources de pollution sont inégalement réparties et sont les plus exposées à la pollution sonore extérieure en fonction du rapprochement à la source (Bruit et urbanisme, BruitParif., 2020). Les objectifs visés sont multiples. Comme objectif principal, il est question de savoir quelle est la répartition spatiale de la pollution sonore extérieur dans le Deuxième arrondissement de la commune de Libreville ? Ce qui permet de pouvoir aider les praticiens et gestionnaires de la ville dans les futurs schémas de développements urbain, prenant en compte la vulnérabilité des acoustico-systèmes urbain dans l'optique de circonscrire les zones sujettes à la pollution sonore. Les objectifs spécifiques de cette étude se déclinent comme suite : Ø Identifier les principales sources de pollutions sonores extérieures dans deuxième arrondissement de Libreville. Ø Mettre en évidence la répartition spatiale de l'exposition des populations à la pollution sonore extérieure dans le deuxième arrondissement de la commune de Libreville. L'exposition est définie selon le dictionnaire de l'environnement commeétant « le contact entre un agent chimique, physique ou biologique et une cible ». L'évaluation de l'exposition nécessite d'estimer l'intensité, la fréquence et la durée de l'exposition ainsi que les caractéristiques et le comportement des individus exposés. Par conséquent, le schéma conceptuel de l'exposition est défini comme un continuum entre la source de l'émission et l'individu qui manifeste finalement les effets sur la santé. Afin de pouvoir agréger toutes les données géographiques, il faut les restituer dans un périmètre de travail unique et homogène. Dans le cadre de travaux antérieurs, l'étendue géographique de chaque norme a été recoupée par un quadrillage de 500 mètres de chaque côté, couvrant l'intégralité du deuxième arrondissement de la commune de Libreville. LA FREQUENCE Selon Science.net, La fréquence temporelle, ou momentanée, est notée généralement f ou í et sedéfinit comme l' inverse de la période temporelle notée T, soit F=1/T. La période temporelle étant le temps nécessaire pour que le phénomène se reproduise identique à lui-même, la fréquence temporelle est donc pour une unité de temps donnée le nombre de fois que le phénomène se reproduit identique à lui-même.Si l'unité de temps choisie est la seconde (unité de temps dans le système international d'unités dit SI), la fréquence est alors mesurée en hertz dont le symbole est Hz (unité SI). Plus la valeur en hertz est élevée et plus la durée en seconde est courte. La perception auditive varie selon les espèces. Les humains ne peuvent pas percevoir les infrasons ou les ondes ultrasonores. Alors que les animaux comme les chiens perçoivent des fréquences de 15 à 80 000 Hz. Dauphins, chauves-souris ont une fréquence de 1 000 à 100 000 Hz. Ces animaux communiquent par ultrasons. Le bruit est un son indésirable qui provoque une sensation auditive désagréable, gênante ou nocive. C'est un facteur de stress. L'INTENSITE : Ou niveau sonore mesurée en décibel (dB) - Elle se mesure avec un sonomètre Seuil de la douleur : 120Db Seuil ; de danger : 85 dB LA DUREE : Son bref ou continu mesurée avec les unités classiques de durée : heure, minute, seconde voir la fraction de seconde. LA PROPAGATION : La vitesse de propagation des sons audibles, d'une fréquence comprise entre 16 Hz et 20 KHz est d'environ 340 m/s dans l'air ; de 1425 m/s dans l'eau et de 5000 m/s dans l'acier. LE CHAMP AUDITIF HUMAIN : Les sons forts peuvent nous causer de l'inconfort, voire de la douleur, et sont dangereux pour les oreilles. L'intensité (en décibels) d'un son est directement proportionnelle à la perception et non à l'énergie reçue. Par exemple, si un moulin à café produit un son de 85 décibels, dix moulins à café ensemble produisent un son de 95 décibels. Le seuil de perception de l'oreille humaine est d'environ 5 dB, mais varie en fonction de la fréquence. Dans une pièce avec un niveau sonore de 45 décibels, vous pouvez avoir une conversation sans élever la voix. Le seuil d'inconfort et de fatigue commence à 60 dB. A 80 décibels le danger pour les oreilles est réel, et à 95 décibels il faut crier plus fort pour se faire entendre. À 100 décibels, il est difficile de s'entendre même si vous criez fort. Vous ne pouvez pas l'entendre à 120 décibels et vous aurez mal aux oreilles. Le seuil de douleur est de 120 décibels. L'ESPACE URBAIN : Défini la morphologie urbaine comme la science qui se focalise sur la forme physique des agglomérations urbaines afin de comprendre ses caractéristiques, sa structure et sa forme ainsi que ses processus de développement (Schirmer, Axhausen, 2016 ; Moudon, 1997 ; Alain, 2004 ; De Smet, 2012), Ce qui permet de clarifier la nature de la relation entre la morphologie urbaine et les activités urbaines (transport public, commerce), les phénomènes environnementaux (micro climat, ventilation...) ainsi que les phénomènes psychologiques comme la peur et les crimes (Cozens, 2002 ; Luymes, 1995).
PREMIERE PARTIE : CADREGÉNÉRAL DE L'ETUDE CARTES 3 : Carte du Relief de la zone d'étudePREMIERE PARTIE : CADREGÉNÉRAL DE L'ETUDE
Elle présente d'abord les caractéristiques du milieuphysique et humain de la zone d'étude. Ensuite, elle présente la méthodologie de l'étude. Enfin,elle s'appuie sur la littérature exploitée pour présenter les aspects généraux liés au bruit en milieu extérieure. |
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