WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Mise en œuvre d'une plateforme web de forum interuniversitaire par un système de gestion des contenus.


par Daniel Kavale
Université Révérend Kim - Graduat en Sciences informatiques 2018
  

Disponible en mode multipage

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

      Dédicace

      A tous ceux qui ament la science et qui contribuent sans relache à son evolution, nous dedions ce travail

      II

      Remerciement

      A la Providence, pour sa grâce et ses bontés infinies tout au long de ce parcours terrestre en générale et de ma vie estudiantine en particulier.

      A mon directeur le Chef des travaux Kanyinda Kayembe Christopher, mes sentiments de profonde gratitude pour avoir accepté en dépit de ses nombreuses occupations s'est consacré à nous pour ce travail.

      A tous les amis de ma promotion, notamment : Christian Ngomeyang, Kabamba Adolph, Florent Tshianga, Luabeya Auguy, Kitanda Edmond, Jochard Masengo, Deborah Nsingi, Jupsie Musau, Ange Balengo, Merveille Mvashi et aussi Bernice Ashes, qui par leurs conseils et encouragements, j'ai pu arriver à achever mon cycle de graduat.

      Je ne serai pas ingrat envers mon encadreur, l'ingénieur Jonathan Basikaba, qui, malgré ses multiples occupations, s'est sacrifié corps et âme pour ce travail.

      A mes amis et connaissances qui par leurs multiples conseils m'ont aidé à opérer des choix judicieux pour ma vie.

      A vous tous qui de loin ou des près avez participé à l'élaboration de ce modeste travail.

      Que le Tout Puissant vous comble des bénédictions

      Daniel Kabamba K.

      III

      Liste des sigles et abréviations

      API : Applicative Program Interface (interface de programmation applicative)

      ASP : Active Server Page

      CERN : Centre Européen de Recherche Nucléaire

      CGI : Common Gateway Interface

      CIF : Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle

      CMS ou SGC : Content Management System (Système de gestion des contenus)

      CSS: Cascading Style Sheet

      FTP: File Transfer Protocol

      HTML: HyperText Markup Language

      JSP: Java Server Page

      LDPA: Lightweight Directory Access Protocol

      MCD : Modèle Conceptuel des Données

      MCT : Modèle Conceptuel de Traitement

      MLD : Modèle Logique de Données

      MLT : Modèle Logique de Traitement

      MOD : Modèle Organisationnelle des Données

      MOT : Modèle Organisationnelle de Traitement

      MPD : Modèle Physique des données

      MPT : Modèle Physique de Traitement

      MVC : Modèle Vue Contrôleur

      NTIC : Nouvelle Technologie de l'Information et de la Communication

      PHP: Personal Home Page

      RSS: Rich Site Summary ou Really Simple Syndication

      SGBD : Système de Gestion de Bases des données

      SQL: Structured Query Language

      TM: Tache Manuelle

      TR : Temps Réel

      ULT : Unité Logique de traitement

      URL: Uniform Resource Locator

      WWW: World Wide Web

      XML : Extensible Markup Language

      iv

      Liste des figures

      Figure I.1 : Architecture d'une application web à deux niveaux

      Figure I.2 : Architecture d'une application web à trois niveaux

      Figure I.3 : présentation générale d'une page web

      Figure II.1 : architecture d'un CMS

      Figure II.2 : Utilisation de Template et des feuilles de styles (CSS)

      Figure III.1 : représentation d'un objet

      Figure III.2 : présentation des contraintes d'intégrité fonctionnelle

      Figure III.3 : présentation du MCD

      Figure III.4 : formalisme du MCT

      Figure III.5 : présentation du MCT

      Figure III.6 : présentation du MOD

      Figure III.7 : présentation du MOT

      Figure III.8 : présentation du MLD Brut

      Figure III.9 : présentation du MLD validé

      Figure III.10 : présentation du MLT

      Figure IV.1 : Authentification phpMyAdmin

      Figure IV.2 : Création de la base des données

      Figure IV.3 : Création des tableaux

      Figure IV.4 : Présentation des relations entre tables

      Figure IV.5 : Présentation de la page d'accueil

      Figure IV.6 : Présentation de l'interface d'authentification et inscription

      Figure IV.7 : interface de la page des membres

      V

      Liste des tableaux

      Tableau III.1 : description des entités Tableau III.2 : description des relations Tableau III.3 : Quantification des objets Tableau III.4 : Quantification des propriétés Tableau III.5 : Calcul du volume des objets Tableau III.6 : calcul du volume des relations Tableau III.7 : calcul du volume des tables Tableau III.8 : calcul du volume des index

      1

      0. INTRODUCTION GENERALE

      0.1 Généralités

      L'apparition de nouvelle technologie de l'information et de communication (NTIC en sigle) modernise le monde à une vitesse vertigineuse. Nous tendons donc vers un monde entièrement électronique. Les méthodes de traitement et de gestion des informations qui, jadis étaient considérées comme les plus performantes, ne sont presque plus utilisés car leur efficacité reste à désirer. Pour ce faire, Différents établissements et institutions modifient leur environnement de travail en vue de pouvoir évoluer avec ce monde dynamique.

      Vers la fin du XXe siècle, le monde a connu des avancées significatives dans la technologie. L'invention de l'ordinateur, du téléphone, a facilité l'échange d'informations, réduire les pertes en énergie, et accroitre le rendement en temps. Actuellement, il n'est plus nécessaire de faire de longs voyages pour participer à une conférence, ou s'exprimer face à un grand public via la radio ou la télévision et autre ; mais simplement avec un click, on peut atteindre le mode entier grâce au web et à l'internet. Ce travail traite sur le web et quelques technologies utilisées pour concevoir un forum interactif pour les étudiants.

      0.2 Problématique

      Les années passent, les universités naissent et les étudiants se font de plus en plus nombreux. Il y a bien longtemps, on pouvait facilement réunir un échantillon d'étudiants représentants des différentes universités pour un exercice donné : soit une étude, soit un concours, soit autres choses. En République Démocratique du Congo, les universitaires rencontrent des difficultés de communications, le manque d'infrastructures ; des difficultés à organiser des conférences et débats participatifs. Vu toutes ces difficultés, nous nous sommes posés des questions à savoir :

      Pourquoi les étudiants sont restreints dans leurs milieux éducatifs ? Comment les amener à exprimer leurs idées et s'ouvrir au monde ? Comment les encourager dans leurs domaines d'études ? Comment et pourquoi les amener à participer dans des conférences scientifiques ? Est-il possible d'arriver à réunir tous ces étudiants ? comment développer un forum web dynamique et interactif ?

      2

      0.3 Hypothèses et intérêt du sujet

      Il est maintenant acquis qu'un site web, qu'il soit déployé en intranet ou à l'Internet, doit pouvoir être administré de manière interactive pour pouvoir répondre à l'attente des internautes qui se résident plus à la participation active sur la toile, c'est à dire qu'il doit offrir une interface permettant à ses responsables et/ou aux utilisateurs de définir de nouvelles pages, de nouvelles rubriques, de mettre à jour et réorganiser les informations.

      Nous pensons que les étudiants sont restreints de part et d'autre dans leurs milieux universitaires par le manque de moyens de communication. Pour amener les étudiants à s'exprimer aisément et partager leur opinions et point de vue sur dans leurs domaines respectifs, nous proposons quelques solutions : mettre en oeuvre une plateforme web dans lequel ils pourront interagir, échanger et partager des connaissances ; mettre l'étudiant au centre des activités. Nous pensons pouvoir mettre en oeuvre cette plateforme à l'aide d'un CMS (Content Management System), un outil du web qui permet de répondre aux besoins de la publication en ligne et de gérer dynamiquement les différentes fonctionnalités d'un site web.

      0.4 Délimitation du sujet

      Notre travaille traitera principalement sur la révolution du web et ses différentes technologies, dont les systèmes de gestions de contenus et leurs applications dans la réalisation d'une plateforme web de forum interuniversitaire. Ce travail couvrira une période allant de 2017 à 2018 qui est notre dernière année du premier cycle universitaire.

      0.5 Méthodes et techniques utilisées

      Dans ce travail, nous avons fait recours à la méthode MERISE : est une méthode d'analyse systématique destinée à concevoir et à développer des systèmes d'information avec l'approche de la séparation de données et de traitement. Celle-ci nous a permis de concevoir une base des données, le mode de fonctionnement et comprendre la façon dont les informations seront fournies et traitées par le système que nous allons implémenter.

      A l'absence d'un système existant, nous avons opté pour la technique d'interview. Elle nous a permis de communiquer verbalement avec quelques étudiants, dans le but de connaitre leurs préoccupations, et avoir leurs contributions, pour orienter notre travail vers les besoins des universitaires.

      3

      0.6 Difficultés rencontrées

      Au cours de mes recherches, j'ai rencontré plusieurs difficultés... j'avoue que ce n'est pas du tout facile d'écrire un Travail de fin de cycle, un ouvrage où toutes nos idées liées au sujet que l'on veut traiter doivent être rassemblées de manière cohérentes et harmonieuse.

      Je commencerai par évoquer la difficulté concernant le choix du sujet que j'ai eu à reformuler une fois après avoir été jugé mal formulé par le jury. Une autre difficulté liée à mon ordinateur qui, avant la fin du second chapitre tomba en panne pendant plus d'un mois. Tant d'autres difficultés ont survenu lors de mes recherches, l'accès à l'internet, les difficultés liées à l'électricité. Les plus grandes difficultés ont été la conception du système et la réalisation complète de mon travail, l'utilisation d'Un système de gestion des contenus qui, pour moi a été un autre grand défi à relever.

      Je vais finir par une note optimiste, en essayent de me convaincre que pour tout problème il y a une solution. Petit à petit, à force du travail et de la persévérance, on peut obtenir des bons résultats

      0.7 Subdivision du travail

      Hormis l'introduction et la conclusion générale, ce travail est structuré

      en quatre chapitres.

      Chapitre 1 : Aperçu sur le web

      Chapitre 2 : Notion sur les systèmes de gestion de contenus

      Chapitre 3 : Conception du nouveau système

      Chapitre 4 : Mise en place et fonctionnement du logiciel

      CHAPITRE I : APERÇU SUR LE WEB

      I.1 Généralités sur le web I.1.1 Historique

      La culture numérique change notre vie, notre façon de travailler, et même au soleil estival, certains restent connectés... La faute à ces 3 consonnes sans doute les plus utilisées de la planète : WWW ! A l'origine de cette célébrité du « World Wide Web », un homme, Tim Bernes-Lee, informaticien du CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire). En mars 1989, il rédige un projet. Son idée est de pouvoir échanger et partager de l'information avec ses collaborateurs. Le CERN rassemble en effet une communauté de scientifiques venant d'universités réparties dans 80 pays du monde. Leur besoin d'échanger de communiquer le plus facilement possible est primordial.1

      Il eut l'idée de créer un système hypertexte partagé sur le réseau informatique. A la fin des années 89, il présente ce projet au CERN. Il évoque l'idée d'une toile où chacun pourrait naviguer de contenus en contenus. Le principe est de pouvoir relier les postes informatiques des scientifiques, via les réseaux informatiques, en un système d'information puissant, mais surtout simple à faire fonctionner. L'ingénieur système Robert Cailliaud, convaincu de l'intérêt de ce projet, l'aide à mettre au point un logiciel, « Enquire », pour naviguer en suivant les liens hypertextes.

      En 1990, pour faire fonctionner le système, Tim Berners-Lee met au point le protocole HTTP (HyperText Transfer Protocol), ainsi que le langage HTML (HyperText Markup Language). Ce protocole est d'abord testé au CERN, sur l'ordinateur NeXT. Celui-ci est toujours au Microcosme du CERN, avec une étiquette manuscrite indiquant en rouge: « this machine is a server: do not power down!!! ».

      Le 6 août 1991, Tim Berners-Lee donne officiellement vie au World Wide Web via un message public adressé sur Usenet.

      I.1.2 définition

      Web (nom anglais signifiant «toile»), contraction de World Wide Web (d'où l'acronyme www), le world wide web, littéralement la toile d'araignée mondiale, communément appelé Web, est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet. Le web permet de consulter, à l'aide d'un logiciel appelé navigateur, des pages accessibles sur des sites web.

      4

      1 www.Histoire-cigref.org

      I.1.3 Caractéristiques du web

      Le web est un réseau maillé dont l'entité de base est la page web et dont la structure repose sur la notion de liens. Ce réseau permet à tout individu de lire, utiliser les informations mises à disposition mais aussi, de produire et diffuser ses propres informations: site internet, weblog, contribution à des sites collaboratifs.2 Le web est un "système d'information multimédia": une page web peut contenir du texte, des images, du son et de la vidéo. Les pages sont liées entre elles au moyen de liens hypertextes qui permettent de naviguer :

      ? A l'intérieur même d'une page

      ? Vers une page différente située sur le même serveur (généralement sur le même site web)

      ? Vers une page qui se trouve sur n'importe quel autre serveur connecté C'est l'hyper textualité qui fait toute la force et l'intérêt du web.

      I.1.4 Quelques protocoles utilisés dans le web

      Un protocole est une méthode standard qui permet la communication entre des processus, c'est-à-dire un ensemble des règles et des procédures à respecter pour emmètre et recevoir des données sur un réseau. Voici quelques-uns :

      ? HTTP (HyperText Transfert Protocol)

      Le protocole de transfert hypertexte (HyperText Transfer Protocol) est le principal canal de diffusion de données sur Internet, principalement des fichiers HTML (mais également de tous types de fichiers). Il dispose de nombreuses méthodes lui permettant théoriquement d'accomplir de nombreuses actions sur le serveur. Ces méthodes sont GET, POST, PUT, DELETE, HEAD, TRACE, OPTIONS et CONNECT. Sa variante sécurisée est HTTPS, qui utilise les protocoles SSL ou TLS pour chiffrer la communication ou vérifier l'identité du site.

      ? FTP (File Transfert Protocol)

      Protocole de transfert de fichier, il crée un flux de données entre le serveur est le client qui peut être beaucoup plus long que via HTTP (celui-ci fermant la connexion dès que le document est envoyé). Il comprend bien plus de méthodes d'accès aux données que HTTP, ce qui le rend bien plus utile pour le

      5

      2 http// campus.hesge.ch/gen_internet/caractéristique

      6

      transfert de grand nombre de fichiers (vers ou depuis le serveur). A la différence de la plupart des protocoles, FTP utiliser deux connexion au lieu d'une seule : l'une pour envoyer les commandes vers le serveur et en recevoir des informations, l'autre pour le transfert de données.

      I.2 Programmation web

      Tout le monde a vécu l'explosion de la sphère Internet en seulement quelques années. Au début confidentiel, le Web est devenu un réseau utilisé par tous, sociétés, particuliers, gouvernements. Les technologies ont évolué tout aussi vite, la navigation est devenue plus aisée, plus fluide ; Les pages se sont petit à petit remplies d'effets et de fonctionnalités améliorant l'expérience de l'utilisateur, les contenus des pages se sont mis à changer sans intervention de l'internaute. Des pages statiques, où cohabitaient simplement un texte et des images, nous sommes progressivement passés aux pages alimentées par des bases de données, au design élégant et conçues pour faciliter l'accès à l'information. Puis l'avènement des applications Web qui a changé la façon de voir le web.

      I.2.1. Les langages web

      Les applications web ont beaucoup évolué depuis l'apparition des nouvelles technologies du WEB, les sites internet ne sont plus que des simples pages statiques mais des pages qui sont vivantes et remplies d'interactions.

      Dans les années 90, après l'invention du web par Tim Berners-Lee du CERN, les sites internet n'utilisaient que le des simples pages avec des liens hypertextes grâce au HTML (HyperText Markup Language) langage apparut à 1991 pour organiser le fond de la page et 5 ans après en 1996 il eut aussi apparition du CSS (Cascading Style Sheet) pour gérer la forme, la présentation de la page, à la même année la technologie flash était lancé elle qui était devenu l'une des méthodes les plus populaire pour ajouter des animations, des publicités ou des jeux vidéo, du streaming ... dans la page web. Après cela s'en est suivi une pluie de langage et des technologies pour le web.

      Aujourd'hui, les langages de programmation web se divisent en deux catégories, ceux utilisés pour le développement coté client (exécutable au niveau du navigateur de la machine de l'internaute) dit langage front-end et ceux utilisés pour le développement coté serveur dit langage back-end

      ? Le front-end

      En programmation web, les langages du front-end désignent l'ensemble de langage de programmation web s'exécutant coté client. Actuellement pour réaliser le front-end d'une application web, nous faisons généralement recours aux langages suivant :

      ·

      7

      HTML qui est un langage de balisage et dont le rôle est de donner la structure d'une la page web.

      · CSS qui donne la forme de la page web.

      · JavaScript : qui est le langage qui a apporté le dynamisme de la page coté client, il peut aussi faire des allers retours au serveur grâce à Ajax en actualisant juste une portion de la page web.

      Il existe un grand nombre de technologies qui permettent aux développeurs front-end d'être productifs, de démarrer leurs projets sur des bonnes bases et de respecter les bonnes manières de développement et surtout permettre la réutilisation des codes. Nous présentons ici quelques-unes de ces technologies :

      · Booststrap : un Framework css développé par twitter, il a été créé pour développer des sites pour tout type d'écrans que ce soit, un mobile, une tablette ou un ordinateur. En utilisant au mieux ses classes CSS, nous avons la garanti d'avoir un site responsive et d'autre style prêt à l'emploi qui jadis demandait énormément du code CSS. Il existe aussi Materialize et beaucoup d'autres framework css.

      · Angular: c'est le Framework de Google qui dans sa première version était basé sur JavaScript et actuellement à la version 6 et se base sur typescript ;

      il permet de créer des single-page App, se base sur le principe de
      composant. Il n'est pas le seul dans ce secteur nous pouvons parler entre autre de VueJS, ReactJS...

      · JQuerry : visiblement, une des bibliothèques les plus utilisées qui se base sur le JavaScript, il permet de simplifier l'écriture de JavaScript. Il suffit de la télécharger et l'intégrer dans les scripts de votre site web.

      · Etc.

      Tout ceci permet de développer le front-end d'une application web et de soigner le font et la forme, c'est-à-dire ce qui est visible dans le navigateur.

      Le back-end

      En programmation web, les langages du back-end désignent l'ensemble de langage de programmation web s'exécutant coté serveur ; c'est là où se développe la logique métier de l'application. Pour réaliser le back-end d'une application web, il existe énormément de langages à disposition ; nous pouvons citer entre autre : PHP, NodeJS, ASP.NET, Java, Ruby, Python.

      Certains d'entre eux sont liés à un type spécifique de système d'exploitation du serveur. ASP.NET, par exemple, sont des plates-formes de serveur uniquement destiné aux serveurs Windows. Certains, comme PHP, peuvent

      fonctionner sur tout système de plate-forme et d'exploitation, mais il y a quelques différences mineures dans la mise en oeuvre sur la base du serveur.

      I.3. Application web I.3.1. Définition

      Une application web désigne un logiciel applicatif hébergé sur un serveur et accessible via un navigateur web. Contrairement à un logiciel traditionnel, l'utilisateur d'une application web n'a pas besoin de l'installer sur son ordinateur. Il lui suffit de se connecter à l'application à l'aide de son navigateur favoris, la tendance actuelle est d'offrir une expérience utilisateur et des fonctionnalités équivalentes aux logiciels directement installés sur les ordinateurs.3

      I.3.2 Avantages et désavantages ? Avantages4

      Nous pouvons donc résumer les principaux avantages d'une application web de la manière suivante :

      ? Cout de développement réduit; ? Accessibilité optimisée ;

      ? Gain de temps ;

      ? Meilleure gestion de la sécurité.

      ? Désavantage

      Les applications web présentent un désavantage majeur qui est la nécessité d'une connexion internet ou intranet pour les utiliser. Un autre désavantage est l'incapacité d'interroger tous les composants du terminal sur lequel elles tournent. Les applications web sont limitées par la qualité de la connexion web, et plus pour l'affichage des pages en haute définition sur les terminaux, risquant d'amoindrir l'expérience utilisateur par un temps d'affichage trop long.

      I.3.3 Catégories des applications web

      Les applications web ne sont pas conçues uniquement pour les ordinateurs, mais pour tout navigateur internet d'ordinateur ou de mobile. Il y en a plusieurs types. Leur classification peut se faire en fonction de la façon dont le contenu de l'application est présenté. Nous pouvons distinguer :

      3 www.ideematic.com/application-web

      8

      4 Frederick Mpiana, Séminaire Informatique, Université Révérend Kim 2018, page 11

      Application web statique

      La première chose à savoir sur ce type d'application est qu'elle contienne peu d'informations et, en général, son contenu n'évolue pas ou très peu.

      Le développement d'applications web se fait habituellement en HTML et CSS. Il peut, néanmoins y avoir des objets animés tels que bannières, GIF, vidéos, etc.

      La modification du contenu des applications statiques n'est pas facile. Pour ce faire, vous devez télécharger le code HTML, l'éditer, puis l'uploader de nouveau sur le serveur.

      Application web dynamique.

      Les applications web dynamiques sont plus complexes sur le plan technique. Elles utilisent des bases de données pour charger des informations, et le contenu est mis à jour à chaque fois que l'utilisateur se connecte à l'application. Pour créer facilement des applications web dynamique, nous pouvons utiliser des SGC (Système de gestion des contenus).5

      I.3.4. Architecture et fonctionnement d'une application web

      I. 3.4.1 Architecture d'une application web à deux niveaux

      L'architecture de base pour un site Web est une architecture à 2 niveaux entre un client (le navigateur Web) et un serveur. L'architecture s'appuie sur un poste central, qui envoie les données aux machines clientes:

      Figure I.1 Architecture d'une application web à deux niveaux

      ? Le client émet une requête HTTP vers le serveur sur lequel est stockée la page HTML.

      ? Le serveur accède alors à ce fichier et le retourne au navigateur.

      ? Le navigateur interprète les balises HTML et affiche la page en résultat.

      9

      5 Fr.yeeply.com/blog/6_types-des-applications-web

      10

      La connexion des applications client-serveur ouvre donc les systèmes d'information vers l'extérieur.

      Les technologies qui permettent d'obtenir un contenu dynamique depuis le poste client s'inscrivent également dans une architecture à 2 niveaux. Les programmes qui accèdent au serveur sont appelés des programmes clients. Dans le cas des scripts JavaScript ou des applets Java, les fonctionnalités supplémentaires apportées au niveau de la page ne dépendent pas de traitement opéré depuis le serveur ; c'est le navigateur qui interprète les scripts et affiche les données correspondantes. Il est donc nécessaire que votre navigateur accepte ces scripts. Il faut que JavaScript soit activé (ce qui est le plus souvent le cas, mais pas toujours pour des raisons de sécurité) et, pour les applets, vous devez disposer de la Java Virtual Machine(JVM) qui va compiler le code Java pour qu'il soit compréhensible par le navigateur.

      Il existe de nombreux programmes légers et extensibles, également appelés plugins, qui, intégrés au navigateur, permettent d'enrichir ses fonctionnalités.

      I.3.4.2 Architecture d'une application web à trois niveaux

      Le développement de sites interactifs, nécessitant de conserver des données sur les visiteurs, d'accéder à de grandes masses d'information ou de modifier régulièrement le contenu, repose aujourd'hui sur une architecture à 3 niveaux (ou architecture trois-tiers) entre serveur de données, serveur d'applications et client web.

      Ce type d'architecture, plus complexe que le client-serveur, permet l'accès aux bases de données stockées elles-mêmes sur un serveur. Plus généralement, elle offre la possibilité d'exécuter des programmes du côté serveur. Les résultats sont prétraités avant leur envoi final, vers le navigateur.

      Les 3 niveaux s'articulent dès lors de la manière suivante:

      ? Le premier niveau s'occupe de l'interface avec l'utilisateur depuis le navigateur.

      ? Le second héberge le serveur web qui est complété par le serveur d'application qui exécutent les traitements demandés lors de l'appel HTTP d'une page. Le serveur HTTP, aussi appelé middleware, est donc à la fois serveur et client. Serveur vis-à-vis du navigateur et client par rapport au conteneur web à qui il envoie une requête et dont il attend en retour le résultat. Une fois reçus, le serveur HTTP le renvoie au client.

      11

      ? Le troisième niveau assure la gestion des données au sein d'un SGBD (Système de Gestion de Bases de Données) et répond aux requêtes du serveur HTTP.

      Entre le serveur de données et le serveur d'applications, il existe toute une panoplie de technologies, disponibles suivant les serveurs. Les serveurs dynamiques sont capables de publier des informations adaptées aux besoins des utilisateurs en disposant de technologies comme la passerelle CGI, les API ou encore les servlets Java qui vont permettre d'ajouter des extensions aux serveurs (contenant les paramètres des requêtes) et de produire ainsi du contenu dynamique.

      Les technologies serveurs les plus récentes offrent aujourd'hui la possibilité de composer des pages actives sur le serveur. Le principal bénéfice de technologies telles PHP, les ASP ou les JSP est de fournir au serveur HTTP des données issues de programmes d'application mais directement intégrés au code HTML suite à un traitement préalable (le plus souvent par un interpréteur ou moteur particulier). Les pages actives côté serveur s'inscrivent dans une architecture trois-tiers, mais peuvent être perçues comme une couche supplémentaire de fonctionnalités sur le serveur.

      Dans la technologie la plus courante, l'application web s'oriente autour d'un serveur web sur lequel est branché le logiciel applicatif, le tout parfois accompagné d'un serveur de bases de données. L'ensemble est appelé Serveur d'applications.

      Figure I.2 Architecture d'une application web à trois niveaux

      Le code source du logiciel applicatif est placé directement dans des pages web. Ces pages sont stockées par le serveur. Lorsque le client demande une page, le serveur web va rechercher la page, puis exécute les instructions qu'elle contient. Ces instructions peuvent faire appel au serveur de base de données. Le serveur web transmet la page avec le résultat de l'exécution au client.

      12

      La transmission des informations entre le client et le serveur se fait selon le protocole http. Ce qui permet d'utiliser le même logiciel client : un navigateur web. Ce qui rend l'application portable, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pas de plateforme (système d'exploitation).

      Les applications web font souvent usage du mécanisme des cookies : en réponse à une requête, le serveur envoie une information de repérage au client (le cookie). Puis le client va lui renvoyer cette information lors de la prochaine requête. Le mécanisme est utilisé pour identifier le client et suivre les manipulations

      I.4. Présentation générale d'une page web

      Il convient de noter que la taille de la page web dépend essentiellement de la définition de l'affichage. En vue d'obtenir des pages plus attractives, il est nécessaire de respecter une certaine ergonomie. Le terme Ergonomie désigne l'utilisation de connaissances scientifiques dans le but d'améliorer son environnement de travail. Elle est caractérisée par l'efficacité (c'est-à-dire l'adoption des solutions appropriés d'utilisation d'un produit) ; la sécurité (le choix des solutions adéquats pour protéger l'utilisateur) et le confort d'utilisation (c'est-à-dire faire en sorte que l'utilisateur se fatigue le moins possible en lisant la page). Puisque les utilisateurs sont de profils différents il faudra alors tenir compte des leurs attentes (tous les utilisateurs n'ont pas les mêmes attentes) ; leurs habitudes ; leurs âge ; les équipements (l'affichage du site dépend du navigateur et de la résolution d'affichage) et leurs niveaux de connaissances (tenir compte du fait que tous les utilisateurs du site ne sont des experts en informatiques. L'ergonomie devra alors est conçu en fonction de l'utilisateur le moins expérimenté).

      Aussi faut-il savoir que la position des informations d'une page web est d'une importance capitale. Ainsi les informations les plus importantes doivent être situées au début de la page.

      Généralement les pages web contiennent les éléments ci-après :

      ? Un en-tête : il contient le nom du site, un bandeau de navigation et une zone réservée à la publicité ;

      ? Un logo : il est situé généralement au coin supérieur gauche de la page. Un clic sur ce logo nous amène à la page d'accueil. ;

      ? Une zone de navigation (également appelés menu) : elle située à gauche ou à droite de la page ;

      ? Le corps de la page : il contient tous les informations utiles.

      ? Un pied de page : il contient un lien vers un formulaire de contact, un plan d'accès, la date de la mise à jour et autres

      Ainsi voici comment peut se présenter un site web :

      Figure I.3 présentation générale d'une page web

      I.5 Catégories des sites web6

      En fonction des buts poursuivis, les sites web peuvent être regroupés en catégories suivantes :

      · Les sites personnels : ce sont des sites réalisés par des particuliers. Ce genre des sites n'a souvent pas d'objectif visé. Ils juste à titre de loisir, par passion d'une discipline, d'un domaine, d'une star, etc.

      · Les sites communautaires : ce sont des sites réunissant les utilisateurs autour d'un intérêt commun.

      · Les sites intranet : ce sont des sites mis au point au sein d'une entreprise ou organisation en vue de permettre la communication entre différents services de l'entreprise pour l'échange des informations.

      · Les sites d'information : leur but est de fournir des informations particulières à un type précis d'internautes et dans des domaines bien précis.

      · Les sites catalogues : leur unique but est de présenter l'offre de l'entreprise ou de l'organisation.

      · Les sites vitrines : ce sont des sites qui ont pour objectif la présentation de l'image de l'entreprise. Attendez par-là la présentation des services offerts et les produits vendus par cette dernière. Ils sont également appelés sites plaquettes ou sites identités.

      13

      6 www.nooveo.fr/article-8-categories

      14

      ? Les sites marchands : ce sont des sites permettant la vente des produits en ligne. Le payement s'effectuant également de la même manière (c'est-à-dire en ligne).

      ? Les sites institutionnels : ce sont des sites qui présentent une organisation. On y décrit toutes les activités et on fournit toutes les organisations se rapportant à ladite entreprise.

      I.6. Le référencement

      Le référencement désigne l'ensemble des techniques permettant d'améliorer la visibilité d'un site web. Parmi ces techniques nous pouvons citer :

      ? indexation : c'est l'opération qui consiste à faire connaître le site auprès des outils de recherche grâce aux formulaires qu'ils possèdent ;

      ? positionnement : c'est l'opération qui consiste à placer le site ou certaines

      pages de ce dernier en première page de résultat pour certains mots-clés ; ? classement : c'est une opération qui a un but identique au positionnement

      mais lui concerne des expressions plus élaborées.

      Si l'on veut donner plus de référencement aux pages du site ; il faudra avoir un contenu attrayant, bien choisir le titre, avoir une adresse adaptée, un corps de texte lisible par les moteurs, les balises Meta (ce sont des balises insérées au début des documents HTML, mais qui ne s'affichent pas sur la page. Elles décrivent exactement le contenu de la page), des liens biens pensés et des attributs ALT pour déterminer le contenu des images.

      CHAPITRE II NOTION SUR LES SYSTÈMES DE GESTION
      DE CONTENUS (CMS)

      L'idée qui préside dans ce concept est la dissociation entre contenu et mise en forme : d'un côté, les contenus (textes, images, multimédia) sont stockés sans mise en forme, par exemple dans une base de données ; de l'autre la mise en forme et la mise en ligne peuvent être adaptées à volonté par le concepteur en fonction de l'utilisateur.

      II.1. Définitions

      ? De l'anglais « Content Management System (CMS) » est l'équivalent du français « Système de gestion de contenus ». Un Système de gestion de contenus est un type particulier de logiciel utilisé pour concevoir et mettre en ligne des pages web.

      ? Un CMS (Content Management System) est un ensemble de logiciel qui permet de construire et gérer un site dont les pages sont construites dynamiquement, et de telle manière que la mise en ligne de contenus sur le site ne requiert aucune compétence technique particulière. En résumé, un CMS fournit toute une chaîne de publication (en jargon : workflow) qui limite l'investissement technique requis pour la création d'un site et son suivi.7

      Ces sont des outils récents qui permettent de répondre aux besoins de la publication en ligne. Auparavant, le travail sur un site web était marqué par l'usage obligatoire d'un logiciel de construction de pages web; leur modification, leur envoi par serveur FTP devaient être manuel. Le webmaster possédait seul la compétence de réalisation du site et était un point de passage obligé pour tout travail sur le site. Tout comme les blogs, et les wikis, les CMS permettent de faciliter la publication en ligne. Ce type d'outil permet la création, la validation et la publication de contenu, sans avoir à écrire de code HTML ni utiliser d'outil de développement spécifique. Leur principale caractéristique est de séparer le contenu qui est stocké dans une base de données, du contenant, autrement dit de la forme même du document. C'est le contenu des champs de la base qui est créé ou modifié par le rédacteur, et non pas la page elle-même. Les sites deviennent dynamiques. Les CMS permettent d'obtenir une classification thématique automatique de l'information, ainsi qu'une navigation assez sophistiquée.

      15

      7 www.top-hebergement.net

      16

      Un comité de rédaction peut se créer pour administrer le site directement, comme existe la possibilité de préparer des articles qui seront ensuite publiés ultérieurement.

      II.2. Evolution

      Les premiers sites web ont été édités par des équipes de passionnés utilisant majoritairement des éditeurs HTML (Dreamweaver, FrontPage, voire le bon vieux Notepad, etc.) pour créer des sites dits « statiques ».

      A cette époque héroïque ou le webmestre était l'homme à tout faire du site, les fonctions de création, ainsi que de maintenance, ont été souvent confondues. Si la première catégorie de tâches est souvent gratifiante et a permis à de nombreux individus de s'affirmer, la seconde est vite apparue comme une tâche fastidieuse, sans réelle valeur ajoutée, mais très chronophage et plaçant le webmestre dans la délicate position de goulot d'étranglement de la production du site ».

      La gestion de pages « statiques » pose rapidement de nombreux problèmes techniques dès que le site devient un plus important :

      · Tenue à jour des liens amont et avals des pages délicates ;

      · Obligation de ressaisir les contenus publiés à plusieurs endroits par de fastidieuses opérations de copier-coller, avec des risques d'erreur ;

      · Outils de gestion de la qualité de l'information (workflows, certificats de validité) peu efficaces voire inexistants ;

      · Difficultés pour réorganiser le site, ou pour faire évoluer son architecture ;

      · Difficultés pour faire évoluer la forme du site dans ses aspects graphiques ;

      · Outils de base (éditeurs HTML) trop difficiles à utiliser par des utilisateurs moyens ou novices, rendant illusoire la délégation de la production des pages aux détenteurs d'information.

      Pour répondre à ces difficultés, deux évolutions successives ont été développées :

      1. La première (chronologiquement) a consisté à organiser les sites à travers des bases de données reliées aux pages par des scripts (morceaux de programmes) programmés en perl, en PHP, en ASP, etc. cette approche, toutefois, manque souvent de souplesse et requiert de gros travaux de codage dès que d'importantes modifications sont décidées.

      2. La seconde, suite logique de la précédente, a donné naissance à des logiciels permettant à des utilisateurs novices de produire le contenu des pages à travers un navigateur internet, le codage de ces contenus vers le site internet étant entièrement automatisé. Ces logiciels, dont Vignette fut le précurseur, ont donné naissance au concept de "content management" (CM) pour le web.

      Voyons à quel objet précis ces outils répondent et quelles en sont les caractéristiques.

      II.3. Principales fonctionnalités des CMS

      II.3.1. Fonctionnalités liées à la gestion de contenu

      Ces fonctionnalités sont décrites de manière très complète dans le livre blanc de la société Smile8 et dans le mémoire de Raphaël Produit9.

      - Séparation fonds/forme : l'un des principes clefs des CMS est d'établir une distinction entre le contenu, géré par une base de données, et la forme déterminée par des gabarits de présentation. De multiples facteurs justifient cette séparation : ? Ces éléments relèvent, en effet, de deux métiers différents : la mise en page est élaborée par le webdesigner et le fond est fourni par un utilisateur, appelé « auteur » l'un et l'autre doivent pouvoir évoluer de manière indépendante ; on doit pouvoir modifier le contenu sans se soucier de la forme et inversement.

      ? Cette séparation garantit l'homogénéité du site malgré la diversité de ses contenus.

      ? Enfin, le fait de séparer le contenu de la forme permet de publier et d'exploiter ce dernier à travers différents médias.

      - La structure des articles ou la définition de types d'articles : c'est la manière dont l'article est décomposé. Lorsque l'article est découpé en champs élémentaires comme le titre, le sous-titre, l'auteur, le corps du texte, sa structuration est dite fonctionnelle. En opposition, la structuration sémantique décompose l'article en « sous éléments types », et est donc dépendante du sujet traité. Une troisième approche consiste à concevoir la structuration des articles sur la base de l'héritage8, qui permet d'affiner progressivement les concepts. On prend un article générique à partir duquel on va créer des sous-types qui reprendront ses champs, en les complétant par des champs qui leur seront spécifiques. La structuration permet de guider la saisie des articles avec des formulaires adaptés, et d'assurer une cohérence. En distinguant chaque composant de l'article, elle facilite également la mise en forme lors de la restitution.

      -L'organisation des contenus : elle va déterminer la structure du site Le mode d'organisation le plus classique est la structure hiérarchique arborescente, sorte de table des matières. En raison de son manque de souplesse, on lui préfère parfois d'autres solutions comme la publication d'articles sous différentes rubriques, ou

      8 BERTRAND Patrice, BADR Chentouf. White paper : Content management, les solutions opensource version 1.6b. Paris : Smile, 2004. 51p.

      17

      9 PRODUIT Raphaël. Content Management System (CMS) : étude des système de gestion dynamique de contenu pour site web et développement d'une solution basée sur la technologie J2EE. 2003

      18

      l'utilisation de mots-clefs et d'un moteur de recherche. En associant des articles à différents thèmes, on obtient une structure par ensembles.

      - La Gestion des contributeurs : les CMS permettent aux contributeurs premiers d'interagir directement en leur proposant une interface pour la saisie et la modification des leurs articles. Il est donc nécessaire de diviser le contenu et d'accorder aux auteurs des droits limités à certaines actions telles que consulter, mettre à jour, valider, publier... et à certaines parties du site.

      - Workflow et chaîne de validation : Il est nécessaire dans certains cas, notamment quand la contribution est décentralisée et déléguée à différents intervenants, de décomposer les étapes de la réalisation d'un article, de sa création à sa publication. La séparation des droits permet de mettre en place un workflow de validation qui sert à garder un contrôle sur les publications. : un contributeur écrit, un deuxième apporte des corrections, un troisième valide le résultat... Avec les CMS le principe de séparation des tâches devient transparent, le workflow est automatisé et chacun est informé de la tâche qu'il doit réaliser.

      - Cycle de vie des articles : avec les CMS, on peut programmer la mise en ligne automatique d'un contenu à une date donnée, définir sa durée de vie et donc sa date limite de visibilité au-delà de laquelle il sera transféré dans une autre rubrique, par exemple celle des archives, ou devra être mis à jour.

      - Gestion des versions : elle permet de conserver le même article dans ses différentes versions : le brouillon, la version publiée, la version archivée.... Ce contrôle des versions facilite le travail collaboratif puisque les intervenants peuvent travailler à plusieurs sur le même article, sans que les modifications des uns suppriment le travail des autres.

      III.3.2. Fonctionnalités liées à la publication

      ? Les gabarits de présentation : la standardisation de la mise en forme du site est basée sur un dispositif de templates. Ils définissent les informations affichées, leur position dans la page et les attributs de mise en forme qui leur sont appliqués. Il existe plusieurs techniques pour la mise en oeuvre de ces templates :

      ? La plus simple consiste à insérer dans un fond de page html des balises qui sont adressées au CMS. C'est à partir de ces balises que le système déduira le contenu à sélectionner et à insérer à la position voulue, réalisera son insertion puis enverra la page.

      ? Les CMS basés sur le langage Java, utilise les pages JPS. Les insertions de contenu sont définies soit par du code Java, soit par des tags qui font référence à des objets Java. On parle alors de « librairies de tags ».

      ? Enfin, certains CMS utilisent les feuilles de style XSL, basées sur le langage XML. Le contenu est sélectionné et formaté par des tags XML. Puis ce contenu XML est transformé en html grâce aux feuilles de style XSL. Cette technique plus complexe offre l'avantage de pouvoir utiliser des bibliothèques de tags XML standardisés ce qui facilite l'échange de contenu.

      ·

      19

      . La Sélection de contenu : les CMS automatisent en partie la mise à jour du site en permettant de sélectionner des articles selon des critères comme "les trois dernier en date", "les articles rédigés par cet auteur".

      · . Les moteurs de recherche : certains CMS proposent des moteurs de recherche internes qui permettent aux utilisateurs de retrouver facilement un document. Pour cela, ces outils procèdent à une recherche "plein texte", sur tous les mots des textes qu'il aura préalablement indexés, ou utilisent les métadonnées. Néanmoins ces processus d'indexation et les performances des moteurs restent à ce jour limités.

      · . La personnalisation de la restitution : cette fonction permet de différencier la restitution du contenu en fonction des visiteurs. On distingue alors :

      > La personnalisation souhaitée par le visiteur : celui-ci configure l'agencement de l'information en fonction des préférences qu'il déclare au système. Il s'agit en principe, d'une personnalisation individuelle. L'internaute est reconnu soit par une identification explicite, soit par un système de cookies.

      > la personnalisation par habilitation est en général une personnalisation de groupes définis par leur profil : l'identification des internautes est nécessaire pour ces profils.

      · . La syndication, échanges de contenus entres des sites : ce processus consiste à reprendre l'information d'un site, sans avoir à le copier. Cet échange se fait par envoi de contenu au format XML, qui permet au destinataire « d'identifier sans ambiguïté, chaque champ d'information ». Pour cela il faut un vocabulaire commun : le standard RSS - Rich Site Summary -, au format XML permet aux sites de communiquer. Il donne le chemin pour retrouver l'information : il n'y a pas transfert de contenu mais uniquement transfert d'index.

      · . Statistiques du site : la mesure de la fréquentation des pages du site peut se faire de deux façon :

      > Elle peut être intégrée aux CMS, qui relèvent l'audience au moment où ils sont sollicités pour servir des pages. Dans ce cas on pourra utiliser cette fonction pour paramétrer la restitution de pages : on mettra en avant les articles les plus consultés.

      > Elle peut être externe et utiliser des logiciels d'analyse de fichiers log générés par les serveurs http qui enregistrent toutes les URL qu'ils voient passer. Cette méthode permet d'obtenir des informations beaucoup plus détaillées sur la fréquentation des sites. Ces deux méthodes pourront être combinées.

      A ces fonctionnalités générales s'ajoutent des fonctionnalités collaboratives comme la messagerie électronique, les annuaires qui regroupent les coordonnées de personnes ou définissent les droits des utilisateurs, les forums, et les agendas partagés.

      II.4 Structure et architecture d'un cms

      II.4.1 Structure d'un cms10 4.1.1. Le back-office

      Il gère tout le cycle de vie d'une information : la création du contenu, son stockage et le maintien en version, sa structuration et son classement. Pour cela, il utilise :

      - les outils de création de contenu : les CMS proposent d'utiliser des outils d'édition intégrés à un workflow, ou d'importer des données issues du système d'information.

      - un référentiel dans lequel toutes ces données sont stockées ou pointées : elles y sont, en général, décrites à l'aide de balises XML qui fournissent des métadonnées (auteur, titre, date d'expiration). Le référentiel contient également les gabarits des documents qui seront utilisés pour l'assemblage des pages. Il s'appuie généralement sur une base de données relationnelle.

      Les métadonnées vont notamment servir à créer automatiquement la page avec le bon gabarit, et placer en amont les liens nécessaires dans les pages destinées à la navigation

      - l'outil de workflow : il offre des circuits de validation de contenu plus ou moins hiérarchisés.

      4.1.2. Le front office

      Il permet de publier le contenu et de contrôler l'accès à celui-ci. Il se présente sous la forme d'un site frontal ou d'un portail : le portail est une plate-forme qui réunit, qui agrège le contenu hétérogène, et présente aux utilisateurs des pages composites, constituées de "pavés" issus de différentes sources. Le portail gère également l'identification unique du visiteur.

      Lorsqu'une requête http arrive au serveur web, elle est transmise au serveur d'application, qui assemble la page demandée. Ce serveur peut être intégré ou non au CMS. Les pages dynamiques sont créés à la volée, et parfois en fonction de règles de personnalisation.

      II.4.2 Architecture d'un cms

      Les cms utilisent une architectures MVC(modèle-vue-contrôleur) basé sur un Framework objet qui exploite en masse le design pattern, les espaces de nommage, overrides des templates, etc. Les codes des cms sont structurés et permettent des développements complexes tout en respectant des normes et des conventions professionnelles dans le monde de développeurs.

      20

      10 B. Anne-Camille, les systèmes de gestion des contenus

      21

      Généralement, un cms fonctionne avec des modules, des composants, des plugins et des templates.

      Figure II.1 : architecture d'un CMS

      4.2.1 Utilisation d'une interface web classique

      Les logiciels de gestion de contenu Web utilisent comme interface un navigateur Web classique. Les navigateurs Web offrent l'avantage de fonctionner dans tous les environnements et sur toutes les plateformes informatiques. Ils ne nécessitent pas l'installation de logiciels spécifiques. De plus, la convivialité des navigateurs permet une prise en main rapide des outils de CMS. Aujourd'hui, Internet Explorer, Mozilla, Opéra et Safari sont les navigateurs Web les plus couramment utilisés.

      4.2.2. Utilisation de gabarits et de feuilles de styles

      Un système de gestion de contenu utilise des gabarits pour réaliser des pages dynamiques en HTML. Un gabarit permet de réaliser une page modèle qui sera utilisée pour travailler indépendamment sur le contenu ou la forme.

      En règle générale, la présentation du contenu (polices, couleurs, tailles...) fait appel à des feuilles de styles qui permettent l'obtention d'une présentation rapide, unifiée et automatique.

      22

      Figure II.2 : Utilisation des templates et des feuilles de styles (CSS)

      4.2.3 Utilisation d'une base des données

      La base de données permet de stocker l'information (le contenu) de façon structurée. Associées à des méthodes de rangement de l'information (liens hypertextes, moteur de recherche, tris), les données pourront ainsi être gérées facilement et réutilisées à plusieurs endroits du site, évitant les ressaisies et les erreurs.

      4.2.4 Utilisation d'un mécanisme de gestion des droits

      La gestion des droits permet de répartir les rôles de chaque utilisateur, qu'il soit rédacteur, validateur ou administrateur sur le site.

      Elle offre un contrôle du contenu et une garantie supplémentaire de cohésion de l'ensemble du site. Elle permet aussi de définir des profils de visiteurs et d'utilisateurs pour lesquels la présentation du contenu sera différente.

      II.5 Limites

      En dépit de leurs qualités, les CMS affichent un certain nombre de limites. Si l'on synthétise les récriminations faites par leurs utilisateurs à leur encontre, on retrouve souvent le manque de diversité (ils sont pour la plupart structurés sur trois colonnes) comme, ce qui est paradoxal, une prise en main parfois difficile des logiciels. Toutefois, on peut constater que la grande majorité des critiques faites aux CMS sont dues à un manque de compétences informatiques au sein de l'organisme qui choisit d'administrer son site internet par ce type d'outil. Un certain jargon technique doit, malgré tout être maitrisé : workflow (« gestion de flux de

      production » ou « chaine de production ») ou templates ne sont, a priori, pas des termes du langage quotidien.

      De plus, la mise en place d'un CMS requiert de définir clairement quels sont les objectifs de communication que l'on veut assigner au site internet, et d'identifier clairement les rôles dans la chaine de responsabilité du site. Tout le monde ne peut s'improviser rédacteur et l'on peut très bien délimiter les accréditations, afin de limiter le nombre de personnes agissant directement sur le site internet.

      Le choix du CMS est lui aussi important et requiert une étude préalable sérieuse des besoins réels de l'organisme qui désire s'en servir. Sans cela, le choix du logiciel risque de ne pas convenir, et nécessitera changements et retards de publication préjudiciables

      II.7 Quelques systèmes des gestions de contenus11

      Il existe plusieurs CMS à savoir :

      + Joomla ! : Un système de gestion de contenu Web (sites internet et blogs) assez lourd mais du moins plutôt simple à utiliser. Il requiert néanmoins des connaissances en HTML et en PHP pour la mise en page et le système de gestion du contenu du site.

      + Plone : CMS écrit en Python avec sa propre base de données NoSQL ZODB. + Spip : SPIP est notamment utilisé dans les milieux associatifs, administratifs et

      éducatifs. Des gabarits (appelés squelettes) tout faits existent et la

      communauté d'aide est nombreuse et active.

      + Mambo : Ce SGC open source est polyvalent, grâce aux modules qu'il propose. La hiérarchie des menus est limitée à trois niveaux. Il a donné naissance à Joomla! et ne semble plus actualisé, la dernière version est d'avril 2013, le site n'est plus fonctionnel.

      + Drupal : Drupal est un SGC hybride et un peu atypique. S'il est orienté communautés, ce n'est pas pour autant un portail. Drupal permet de gérer une information comme un noeud, ce noeud peut ensuite être attaché à un forum, article, nouvelle, tutoriel, commentaire, livre collaboratif, etc. La forme n'est pas figée à une architecture type. En contrepartie de cette liberté, il faut passer un peu de temps pour se familiariser avec sa logique particulière. Ce CMS est francisé mais pas l'intégralité de ses modules.

      + Typo 3 : PHP/MySQL sous licence GNU GPL. Il est basé sur le concept de pages et de blocs (une page contient un ensemble de blocs). TYPO3 peut être multi-langue, multi site et multi-utilisateur.

      23

      11 www.wikipedia.org/les_systemes_de_gestion_des_contenus

      24

      ? WordPress : Sur une base de gestion de blog (vocation historique), WordPress est à présent une solution modulaire de gestion de contenu, multi-site et multilingue.

      ? Apache Lenya : Lenya est tout en XML (contenus, utilisateurs, etc.), sans base de données, respectant les standards W3C (XML, XSL, XHTML), 100 % Java, basé sur le framework ou cadre d'applications Apache Cocoon.

      ? etc.

      25

      CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTÈME

      III .1 Narration

      L'internet abolit les frontières, il crée un espace commun en facilitant la communication, les échanges, ...

      Dans cette même optique, nous allons mettre en place une plateforme web qui va permettre aux étudiants de partager des connaissances, de poser des préoccupations et d'échanger des ressources. Pour cela, ils doivent créer des comptes en précisant leurs centres d'intérêt, domaines d'études, et expériences. Dans la plateforme, l'étudiant sera capable de créer des sujets, participer à la discussion, partager ou bénéficier d'une ressource et enfin, fermer la discussion, voire supprimer le sujet. L'administrateur crée des groupes et fait la mise à jour des nouveaux utilisateurs.

      Section I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION
      ORGANISATIONNEL (CSIO)

      I.1 Etape conceptuelle

      L'objectif est de représenter l'activité de l'entreprise et de formaliser son "système d'information" indépendamment de son organisation. Le compte rendu de cette étude est matérialisé sous la forme de dessins normalisés, de modèles complétés par un dossier explicatif. Le but de ce chapitre est d'expliquer comment décrire l'entreprise concernée en respectant les normes de chaque modèle.

      I.1.1 Modélisation Conceptuelle de Données (MCD)

      1.1.1 Définition et But de la modélisation conceptuelle de données

      Le modèle conceptuel des données est une représentation statique du système d'information de l'entreprise qui met en évidence sa sémantique. Il a pour but d'écrire de façon formelle les données qui seront utilisées par le système d'information. Il s'agit donc d'une représentation des données, facilement compréhensible. Cet aspect recouvre les mots qui décrivent le système ainsi que les liens existants entre ces mots. Le formalisme adopté par la méthode Merise pour réaliser cette description est basé sur les concepts « entité-association ».

      A. Définition des concepts

      a. Entité

      Une entité (ou objet) est une représentation d'un élément matériel ou immatériel ayant une existence propre et jouant un rôle dans le système que l'on désire décrire. La figure ci-dessous nous montre la représentation d'un objet.

      Liste des propriétés ?

      ?

      Libellé

      Figure III.1 : représentation d'un objet

      b. Occurrence

      Une occurrence, c'est tout simplement une « ligne » de valeurs. Dans une entité, une occurrence correspond à l'ensemble des valeurs des propriétés rattachées à un seul identifiant. Dans une relation, une occurrence correspond à l'ensemble des valeurs des propriétés de la relation (représenté par les clés de chaque entité liée) : on l'appelle alors une occurrence de relation.12

      c. Identifiant

      L'identifiant est une propriété particulière d'un objet telle qu'il n'existe pas deux occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur. Le modèle conceptuel des données propose de souligner les identifiants (parfois de les faire précéder d'un #).

      d. Relation

      Une association (appelée aussi parfois relation) est un lien sémantique entre plusieurs entités.

      ? La dimension d'une association

      La dimension d'une relation indique le nombre d'entités participant à l'association. Les dimensions les plus courantes sont 2 (association binaire) et 3 (association ternaire) :

      V' Une relation récursive (ou réflexive) relie la même classe d'entité ;

      V' Une relation binaire relie deux classes d'entité ; V' Une relation ternaire relie trois classes d'entité ;

      26

      12 http://www.base-de-donnees.com/occurrence/

      27

      V' Une relation n'aire relie n entité.

      Les relations sont représentées par des hexagones (parfois des ellipses) dont l'intitulé décrit le type de relation qui relie les entités (généralement un verbe à l'infinitif). On peut éventuellement ajouter des propriétés aux relations.

      Une relation n'a pas d'existence propre et doit être définie par les individus auxquels elle est rattachée.

      ? Une relation peut être porteuse des propriétés

      Les propriétés qui dépendent fonctionnellement de plusieurs identifiants d'entités sont portées par les associations entre ces entités. C'est une dépendance fonctionnelle multi propriété au niveau de la source.

      Retenons : Les relations de type père-fils ne sont plus porteuses des propriétés

      B. Recensement et description des entités

      a. Recensement des entités

      L'analyse de règles de gestion nous a conduit à ressortir les objets suivants :

      V' Étudiant

      V' Compte

      V' Groupe

      V' Publication

      V' Commentaire

      b. Description des entités

      Tableau III.1 Description des entités

      Objets

      Propriétés

      Code propriété

      Taille

      Type

      Identifiant

      Etudiant

      Identifiant Etudiant

      Idetud

      5

      AN

      #

       

      prenom Etudiant

      Prenome

      15

      AN

       
       

      Post-nom Etudiant

      Postnom

      15

      AN

       
       

      Sexe

      sexe

      1

      AN

       
       

      date de naissance

      datenaiss

      15

      AN

       
       

      lieu de naissance

      lieunaiss

      20

      AN

       
       

      Adresse

      Adress

      50

      AN

       
       

      telephone

      tel

      15

      AN

       
       

      E-mail

      mail

      30

      AN

       

      28

      Groupe

      Identifiant Groupe

      Idgroup

      5

      AN

      #

       

      Nom Groupe

      Nomgroup

      15

      AN

       

      Compte

      Identifiant compte

      Idcompte

      5

      AN

      #

       

      pseudo

      pseudo

      15

      AN

       
       

      mot de passe

      mdpass

      10

      AN

       

      Publication

      Identifiant publication

      Idpub

      5

      AN

      #

       

      titre de la publication

      Titrepub

      20

      AN

       
       

      objet publié

      Objpub

      255

      AN

       

      Université

      Identifiant de l'université

      Iduniv

      5

      AN

      #

       

      Nom de l'université

      Nomuniv

      25

      AN

       
       

      Adresse

      Adress

      30

      AN

       

      Commentaire

      Identifiant commentaire

      Idcom

      5

      AN

      #

       

      Texte commentaire

      Textecom

      255

      AN

       

      C. Recensement et description des relations

      a. Recensement des relations

      L'analyse de règles de gestion nous a conduits à ressortir les relations suivantes :

      > Échanger

      > Poster

      > Créer

      > Interagir

      > Commenter

      > Appartenir

      b. Description des relations

      Tableau III.2 Description des relations

      Relation

      Propriété

      Dimension

      Object associé

      Echanger

      Date
      message

      Unaire

      Etudiant

      Poster

      Date

      Binaire

      Etudiant - Publication

      Créer

      Date

      Binaire

      Etudiant - Groupe

      Appartenir

      -

      Binaire

      Etudiant - université

      Créer

      -

      Binaire

      Etudiant - Compte

      Commenter

      Date

      commentaire

      Binaire

      Etudiant - Publication

      D. Présentation des contraintes de cardinalités

      La Contrainte de Cardinalité caractérise le lien qui existe entre une

      entité et la relation sur laquelle elle est reliée.

      > La borne minimale (généralement 0 ou 1) décrit le nombre minimal des

      occurrences d'un objet participant dans une relation ;

      > La borne maximale (généralement 0 ou 1) décrit le nombre maximal des

      occurrences d'un objet participant dans une relation ;

      > La cardinalité (1, n) signifie un ou plusieurs ;

      > La cardinalité (1,1) signifie un et un seul ;

      > La cardinalité (0,1) signifie zéro ou un ;

      > La cardinalité (0, n) signifie zéro ou plusieurs.

      E. Présentation des contraintes d'intégrité fonctionnelles (CIF)

      D'une manière générale les contraintes d'intégrités fonctionnelles sont, en dehors d'une spécification par les cardinalités sur les pattes de la relation concernée, représentées, selon que la relation soit binaire ou n-aire, par les graphismes suivants :

      Etudiant

      Etudiant

      Etudiant

      Etudiant

      Etudiant

      Appartenir

      Créer

      Poster

      Créer

      Créer

      CIF

      CIF

      CIF

      CIF

      CIF

      Groupe

      Compte

      Groupe

      Université

      Publication

      29

      Figure III.2 : présentation des contraintes d'intégrité fonctionnelle

      F. Présentation du modèle conceptuel des données

      Interagir

      1, n

      1, n

      #idetud Prenom Postnom Sexe Datnaiss Lieunaiss Adress Tel

      email

      1, n

      1, n

      Echanger
      Date
      message

      interaction

      Date

      1, 1 1, n

      Appartenir

      1, n

      Etudiant

      1, n

      Créer

      1, 1

      Groupe

      #idgroupe
      Nomgroup

      Créer

      1, n

      1, n

      Commenter
      commentaire
      Date

      Université

      #iduniv Nomuniv Adress

      #idcompte Pseudo mdpass

      Compte

      1 ,1

      Poster

      1, 1

      #idpub Titrepub objpub

      Publication

      1, n

      Figure III.3 : présentation du MCD13

      30

      13 Jean Luc Baptiste, Merise Guide pratique, édition eni, 174 pages

      31

      I.1.2 Modélisation Conceptuelle de Traitement (MCT)

      La modélisation conceptuelle de traitement représente la dynamique du système d'information c'est-à-dire les opérations sont réalisées en fonction d'évènements sans faire référence aux choix organisationnels ou des moyens d'exécution. Il a pour but de décrire le processus de traitement sans tenir compte des moyens utilisés et détermine le processus en tenant compte de l'organisation de l'entreprise.

      A. Définitions des concepts

      ? Evénement : c'est un déclencheur ou stimulus d'opération provoquant un effet

      ? Opération : c'est l'ensemble d'action déclencheur de résultats.

      ? Synchronisation : c'est une condition d'exécution d'une opération et provoqué par l'événement ;

      ? Processus : constitue un sous ensemble d'activités de la société (domaine) dont les points d'entrée et de sortie stables et indépendant du choix d'organisation.

      B. Formalisme

      Evenement declencheur

      Synchronisation

      Et/ou

      Action interruptible

      Action 1

      Evenement

      Evenement

      Operation

      Condition demission

      Des résultat

      Resultat 1

      Resultat 2

      Règle

      demission 1

      Regle

      d'emission 2

      Résultat

      Figure III.4 : formalisme du MCT

      C. Construction du modèle Conceptuel de traitement

      Accès
      plateforme

      ET

      Posséder compte

      1

      Authentification

      Vérification du pseudo et du
      mot de passe

      - Créer un groupe

      - Poster une publication - Commenter une

      publication

      - Ecrire un message

      OK

      KO

      Accès autorisé

      Nouvel utilisateu

      Création compte

      - S'inscrire

      - Valider l'inscription

      Toujours

      2

      OU

      Interaction avec le système

      3

      A

      32

      Toujours

      Opération effectuée

      A

      Et

      Besoin de quitter

      4

       

      Quitter le Système

       
       
       

      ? Se déconnecter

      KO

      OK

      3 Déconnexion

      33

      Figure III.5 : présentation du MCI

      I.2 Etape organisationnelle

      I.2.1 Modélisation organisationnelle des données

      Ce modèle d'organisation de données est élaboré à partir du modèle conceptuel de données, dont on ne conserve que les objets appelés à être mémorisés informatiquement.

      2.1.1 Règles de passage du MCD au MOD

      Ce passage se fait de la manière suivante :

      ? la suppression des objets ou des propriétés qui ne seront pas à modéliser informatiquement;

      ? la modification au besoin de certains éléments, compte tenu du choix de mémorisation informatique;

      ? la création évidente des nouveaux éléments de substitution pour garder un lien avec les supprimé.

      2.2.2 Présentation du Modèle Organisationnel de Données (MOD)

      1, 1

      1, n

      Créer

      Groupe

      Echanger
      Date
      message

      1, n

      1, n

      #idetud Prenom Postnom Sexe Datnaiss Lieunaiss Adress Tel

      Email

      Etudiant

      1, n Interagir 1, n

      1, 1 1, n

      Appartenir

      1, n

      interaction Date

      Université

      #idgroupe Nomgroup

      1, n

      1, 1

      #idcom Nomuniv Adress

      Créer

      Commenter

      commentaire

      1 ,1

      Date

      Poster

      Compte

      #idcompte Pseudo mdpass

      1, n

      Publication

      1, 1

      #idpub Titrepub objpub

      34

      Figure III.6 : présentation du MOD

      35

      2.2.3 Quantification de la multiplicité des cardinalités

      Par multiplicité de cardinalité, on sous-entend un couple dont la cardinalité maximale est égale à N c'est-à-dire le nombre d'occurrences maximum d'un objet participant aux occurrences d'une relation donnée. Pour ce faire, on calcule la cardinalité moyenne qui se base sur certaines variables statiques ainsi que les occurrences des objets et relations.

      La cardinalité moyenne est obtenue à partir de la formule suivante :

      Cm= [(Min+2Mo+Max)/4]*p

      P=Mo/Max

      ? Cm : la cardinalité minimale

      ? Max : la cardinalité maximale

      ? Mo : la valeur modale

      ? Cm : la cardinalité moyenne

      ? P : Taux de participation.

      Pour quantifier l'effectif des relations du type autre que père fils on utilise la formule : N3=N1*cm2

      N1 : Nombre d'occurrence de l'objet source N3 : Nombre d'occurrence de la relation Cm2 : Cardinalité moyenne de l'objet cible.

      La connaissance des effectifs des objets et des relations nous permettra de calculer le volume approximatif du MOD global.

      Le calcul de la multiplicité des cardinalités de notre MOD global se fait de la manière suivante :

      Interagir

      Interaction

      Date

      Groupe

      Max : 100
      Mod : 90

      Etudiant

      Max : 10 000
      Mod : 9 000

      P=Mo/Max= 9000/10000 = 0,9 P=Mo/Max= 90/100 = 0,9

      Cm1= [(Min+2*Mo+Max)/4]*p Cm2= [(Min+2*Mo+Max)/4]*p

      Cm1= [(1 + 2 * 9000 + 10 000)/4] * 0,9 Cm2= [(1 + 2 * 90 + 100)/4] * 0,9 = 64

      = 100 808

      N3=N1* Cm2= 10 000 * 64= 640 000

      Etudiant

      Publication

      Commenter

      Commentaire

      date

      Max : 5 000
      Mod : 4 500

      Max : 10 000
      Mod : 9 000

      P=Mo/Max= 9000/10000 = 0,9 P=Mo/Max= 4 500/5 000 = 0,9

      Cm1= [(Min+2*Mo+Max)/4]*p Cm2= [(Min+2*Mo+Max)/4]*p

      Cm1= [(1 + 2 * 9000 + 10 000)/4] * Cm2= [(1 + 2 * 4 500 + 5 000)/4] *

      0,9 = 100 808 0,9 = 3 151

      N3 = N1* Cm2 = 10 000 * 3151 = 31 510 000

      Echanger
      Message
      date

      Etudiant

      Max : 10 000
      Mod : 9 000

      36

      P=Mo/Max= 9000/10000 = 0,9

      Cm1=Cm2 = [(Min+2*Mo+Max)/4]*p

      = [(1 + 2 * 9000

      + 10 000)/4]

      *

      0,9

      = 100 808

      N3 = N1 * Cm2 = 10 000

      * 100 808 =

      1

      008

      000 000

      2.2.4 Quantification des objets.

      Tableau III.3 Quantification des objets

      Entité

      Nombre d'occurrences

      1

      Etudiant

      10000

      2

      Compte

      10000

      3

      Groupe

      5000

      4

      Publication

      700

      5

      Université

      100

      Total

      20900

      37

      2.2.5 Quantification des propriétés

      Tableau III.4 Quantification des propriétés

      Object/Relation

      Propriétés

      Type

      Taille

      Taille totale

      Etudiant

      Identifiant Etudiant

      AN

      5

       
       

      prénom Etudiant

      AN

      15

       
       

      Post-nom Etudiant

      AN

      15

       
       

      Sexe

      AN

      1

       
       

      date de naissance

      AN

      15

      166

       

      lieu de naissance

      AN

      20

       
       

      Adresse

      AN

      50

       
       

      téléphone

      AN

      15

       
       

      E-mail

      AN

      15

       

      Groupe

      Identifiant Groupe

      AN

      5

      20

       

      Nom Groupe

      AN

      15

       

      Compte

      Identifiant compte

      AN

      5

      30

       

      pseudo

      AN

      15

       
       

      mot de passe

      AN

      10

       

      Publication

      Identifiant publication

      AN

      5

      280

       

      titre de la publication

      AN

      20

       
       

      objet publié

      AN

      255

       

      Université

      Identifiant de l'université

      AN

      5

      60

       

      Nom de l'université

      AN

      25

       
       

      adresse

      AN

      30

       

      Commenter

      Commentaire

      AN

      255

      260

       

      date

      AN

      15

       

      Interagir

      Interaction

      AN

      255

      260

       

      Date

      AN

      15

       

      Echanger

      Message

      AN

      255

      260

       

      Date

      AN

      15

       

      2.2.6 Calcul du volume théorique du MOD

      Le volume du MOD modèle organisationnel de données est l'espace qu'occupera la base de données sur un support quelconque. Ce calcul nous permet d'envisager le choix sur les types de supports que contiendront les données que nous allons enregistrer (stocker) dans notre base de données. Il est exprimé en nombre de caractères.

      38

      ? Calcul du volume des objets : volume = effectif * taille

      Tableau III.5 calcul du volume des objets

      Objet

      Taille

      Effectif

       

      Volume

      Etudiant

      166

      10 000

       

      1 660 000

      Compte

      30

      10 000

       

      300 000

      Publication

      280

      5 000

       

      1 400 000

      Université

      60

      700

       

      42 000

      Groupe

      20

      100

       

      2 000

      Volume total objet =

      3 404 000

      ? Calcul du volume des relations : volume = effectif * taille

      Tableau III.6 Calcul du volume des relations

      Objet

      Taille

      Effectif

      Volume

      Echanger

      260

      1 008 000 000

      262 080 000 000

      commenter

      260

      31 510 000

      8 192 600 000

      Interagir

      260

      640 000

      166 400 000

      Volume total relation =

      270 439 000 000

      2.2.7 Calcul du volume de la base de données ? Calcul du volume des tables

      On calcule le volume d'une table en multipliant l'effectif de cette table par sa taille. D'où : N*Taille

      Tableau III.7 Calcul du volume des tables

      Objet

      Taille (T)

      Effectif (N)

       

      Volume

      Etudiant

      166

      10

      000

      1

      660

      000

      Compte

      30

      10

      000

       

      300

      000

      Publication

      280

      5

      000

      1

      400

      000

      39

      Université

      60

      700

      42 000

      Groupe

      20

      100

      2 000

      Echanger

      260

      1 008 000 000

      262 080 000 000

      commenter

      260

      31 510 000

      8 192 600 000

      Interagir

      260

      640 000

      166 400 000

      Total volume tables =

      270 442 404 000

      ? calcul du volume des index

      Tableau III.8 Calcul du volume des index

      Table

      Index

      Taille

      Effectif

      Volume

      Etudiant

      #idetud

      5

      10 000

      100 000

       

      #iduniv

      5

       
       

      Groupe

      #idgroup

      5

      100

      1 000

       

      #idetud

      5

       
       

      Compte

      #idcompte

      5

      10 000

      100 000

       

      #idetud

      5

       
       

      Publication

      #idpub

      5

      5 000

      50 000

       

      #idetud

      5

       
       

      Université

      #iduniv

      5

      700

      3 500

      Echanger

      #idetud

      5

      1 008 000 000

      5 040 000 000

      commenter

      #idetud

      5

      31 510 000

      315 100 000

       

      #idpub

      5

       
       

      interagir

      #idpub

      5

      640 000

      6 400 000

       

      #idetud

      5

       
       

      Total volume des index =

      5 361 754 500

      ? Calcul du volume de la base de données

      Le calcul du volume du MOD global nous a permis de calculer l'espace approximative qu'occuperait notre base de données. Mais ici on calcul l'espace réel ou exacte qu'occupera la base de données, car à ce stade on connait déjà la liste exhaustive des tables qui seront créer base de données relationnelle. Pour ce faire, on utilise la formule suivante :

      Volume de la base de données = (?volume tables + ?volume index)* coefficient de multiplication. Le coefficient varie entre 2,5 à 3.

      500

      40

       

      D'où, le volume de la base de données : 270 442

      404

      000 + 5 361 754

      = 2

      775 804 158 500 octets = 2 775 804 158 500 / 1

      048

      576 = 2,64 Mo

      I.2.2 Modélisation Organisationnel de Traitement (MOT)

      Le modèle organisationnel de traitement (MOT) intégré les notions de temps et durées (déroulement) de ressources, de lieu et de responsabilité (poste de travail) et de nature de traitements (manuel ou automatique)

      2.2.1 Formalisme

      Le MOT dérive du MCT ajoutant les différentes contraintes liées à

      l'organisation dont nous avant :

      + Le déroulement de la tâche répondant à la question « quand ? » ;

      + La nature de la tâche, répondant à la question « qui ? » ;

      + Le poste de travail, répondant à la question « où ? ».

      2.2.2 Règles de passage du MCT au MOT

      Les opérations définies dans les différents processus du MCT découpes en procédures fonctionnelle(PF) pour lesquelles on précise le déroulement de la tâche, le poste de travail et la nature de la tache (manuel ou automatisée) pour passage au MOI, il faudrait qu'on ajoute les réponses aux questions « quand ? qui ? Et où ? »

      + Le déroulement de la tâche est la réponse à la question quand ? on détermine le moment ou la fréquence d'exécution de la tâche ;

      + Le poste de travail est la réponse à la question où c'est l'endroit où sera exécutée la tâche ;

      + La nature de tâche est la réponse relative à la question qui ?

      Elle implique aussi des réponses :

      a) Si c'est l'homme, la tâche est manuelle (TM) ;

      b) Si c'est la machine, la tâche est informatisée temps réel (IR) il faut ajouter

      aussi deux paramètre :

      > Le modèle fonctionnement de la tâche :

      ? La tâche peut être en mode unitaire (u). C'est-à-dire exécutée une à une ;

      ? Elle peut-être en mode de traitement par lot (1) c'est-à-dire exécutée en

      bloc.

      > Le délai de réponse : la réponse peut-être immédiate (i) ou en différent (d)

      41

      2.2.3. Présentation du Modèle Organisationnel de Traitement

      Période

      Procédure fonctionnelle

      Nature

      Jour

      Jour

      Jour

      Accès Posséder

      plateforme compte

      TR-I

      TR-I

      TR-I

       
       

      ET

       
       

      1

      Authentification

       
       

      Vérification du pseudo et du
      mot de passe

       
       

      OK

      KO

       
       
       
       

      Accès

      Nouvel
      utilisateur

       

      autorisé

       
       
       
       

      2

      Création compte

       

      - S'inscrire

      - Valider l'inscription

       

      Toujours

       
       
       
       

      OU

       
       

      3

      Interaction avec

      le système

       
       

      - Créer un groupe

      - Poster une

      - Commenter

      publication

      - Ecrire un message

      publication une

       
       

      Toujours

       
       
       

      A

      Opération effectuée

      A

      Et

      Besoin de quitter

      Quitter le Système

      ? Se déconnecter

      KO

      OK

      4

      3 Déconnexion

      Jour

      TR-I

      42

      Figure III.7 : présentation du MOT

      Section II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE (CSII)

      II.1 Etape logique

      II.1.1 Modélisation Logique de Données (MLD)

      Comment ? Est la question posée à cette étape pour déterminer les moyens et le ressources informatiques en faisant à l'abstraction de leurs caractéristiques techniques précises. Elle exprime la forme que doit prendre l'outil informatique pour être adapté à l'utilisation, a son poste de travail et celle ce fait indépendamment du langage de programmation et de système de gestion de base de données.

      43

      A. Vocabulaire spécifique utilisé.

      + Les objets deviennent des tables

      + Les propriétés deviennent des attributs

      + Les identifiants deviennent des clés primaires

      1.1.2 Règle de passage du MOD au MID Brut.

      Le passage du MOD global au MLD brut doit respecter les règles suivantes :

      > Les objets deviennent des entités dans le sens mathématique du terme ; donc les lignes aux colonnes sur forme des tables ;

      > Les propriétés des objets deviennent les attributs des tables ;

      > Les identifiants des entités deviennent des clés primaires ;

      > Les relations dans le sens conceptuel ou sémantique subissent plusieurs traitements selon le cas notamment :

      ? La relation du type Père et Fils disparait mais la sémantique sera maintenue. Comme la table fils dépend de la table Père, elle va recevoir la clé de son Père et cette dernière sera migrée dans la table Fils comme clé étrangère. Le fils va pointer le père ;

      ? Pour des relations du type autre que Père et fils, cette relation devient une table et ses attributs seront la concaténation de deux autres tables. Si la relation portait une propriété, celle-ci demeurera dans la table comme attribut.

      1.1.3 Présentation du modèle Logique des données brutes

      Etudiant

      Commentaire Date

      #idetud #idpub

      Commenter

      #idetud Prenom Postnom Sexe Datnaiss Lieunaiss Adress Tel

      Email #iduniv

      #idpub Titrepub Objpub date #idetud

      Publication

      Interaction Date #idetud #idgroup

      #idgroup nomgroup #idetud

      Interagir

      Groupe

      Echanger

      Message Date #idetud

      Compte

      #idcompte Pseudo Mdpass #idetud

      Université

      #iduniv Nomuniv Adress

      44

      Figure III.8 : présentation du MLD Brut

      1.1.4 Vérification et Normalisation.

      Etant donné que le passage du MOD au MLD brut a permis de crée des tables qui peuvent contenir de redondances, l'opération de normalisation nous permet de pouvoir valider le MLD brut. C'est ainsi que nous allons vérifier ces objets de manière que ceux-ci aient des propriétés non répétitives. Cette opération se fait en trois formes normales à respecter afin de pouvoir valider notre MLD bruit.

      45

      ? 1ère forme normale :

      Une table est à la 1ère forme normale, si elle possède une clé primaire et que ses attributs dépendent directement de la clé primaire ;

      ? 2ème forme normale :

      Une table est à la 2ème forme normale, étant déjà à la 1ère forme normale, ses attributs sont élémentaires c'est-à-dire non décomposables ;

      ? 3ème forme normale :

      Une table est à la 3ème forme normale, si étant déjà à la 2ème forme normale, les attributs qu'elle porte ont une dépendance fonctionnelle directe avec la clé primaire, sans passer transitivement à un autre attribut.

      Dès lors que les trois formes sont respectées, les tables peuvent être déclarées normalisées et le MLD sera validé.

      1.1.5 Présentation du MLD validé

      Etudiant

      Commentaire Date

      #idetud #idpub

      Commenter

      Figure III.9 : présentation du MLD validé

      #idetud Prenom Postnom Sexe Datnaiss Lieunaiss Adress Tel

      Email #iduniv

      #idpub Titrepub Objpub date #idetud

      Publicatio

      Interaction Date #idetud #idgroup

      #idgroup nomgroup #idetud

      Interagir

      Groupe

      Echanger

      Message Date #idetud

      Compte

      #idcompte Pseudo Mdpass #idetud

      Université

      #iduniv Nomuniv Adress

      46

      1.1.6 Schémas relationnels associé au MLD validé.

      ? Table Etudiant : {[#idetud : int(5)] ; [Prenom : varchar(15)] ; [Postnom : varchar(15)] ; [sexe : char(1)] ; [Datnaiss : varchar(15)] ; [lieunaiss : varchar(20)] ; [Adress : varchar(30)] ; [tel : varchar(15)] ; [Email : varchar(25)] ;[iduniv : int(5)]} ;

      ? Table Commenter : {[commentaire [: varchar(255)] ; [Date : varchar(15)] ; [#idetud : int(5)] ; [#idpub : int(5)]} ;

      ? Table Publication : {[#idpub: int(5)] ; [titrepub : varchar(20)] ; [objpub: varchar(255)] ; [Date :varchar(15)] ; [#idetud : int(5)]} ;

      ? Table Université: {[#iduniv : int(5)] ; [nomuniv : varchar(25)] ; [Adress : varchar(30)]} ;

      47

      ? Table Groupe : {[#idgroup : intr(5)] ; [Nomgroup : varchar(20)] ; [#idetud :

      intr(5)]} ;

      ? Table compte : {[#idcompte : int(5)] ; [pseudo : varchar(20)] ; [mdpass : varchar(12)] ; [idetud: int(5)]} ;

      ? Table Echanger: {[Message: varchar(255)] ; [Date : varchar(15)] ; [idetud : int(5)]} ;

      ? Table Interagir : {[interaction: varchar(255)] ; [Date : varchar(15)] ; [#idetud : int(5)] ; [#idgroup : int(5)]} ;

      II.1.2 Modélisation Logique de Traitement (MLT)

      Dans le modèle logique des traitements, nous présentons les moyens que le concepteur va utiliser pour construire les programmes informatiques traduisant les solutions adoptées afin de répondre aux exigences définies au niveau organisationnel. En d'autres termes il s'agit de décrire le modèle précédent suivant un formalisme compréhensible.

      1.2.1 Règle de passage du MOT au MLT

      Ce passage concerne la réflexion et/ou l'imagination du développeur de l'application, selon sa maîtrise et/ou sa pensée dans laquelle il appliquera sur la conception de ses interfaces graphiques. Cependant, nous allons éliminer à partir du MOT les tâches qui ne seront pas informatisées et les tâches restantes. Celles-ci détermineront l'unité logique de traitement ou les événements fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux actions des utilisateurs, notamment : clic ou clique, saisir, etc. Les tâches deviennent des unités logiques de traitement ; les procédures fonctionnelles deviennent des procédures logiques ; l'ensemble des procédures logiques constituent le MLT et les postes de travail deviennent des sites.

      1.2.2 Présentation du Modelé Logique de Traitement

      ULT 01

       

      Page d'accueil

      Groupes

      Accueil

      Membres

      Connexion

      A propos

      Publications

      ULT

      Inscription

      ULT 02

      Connexion

      +Affichage O3

      -Ecrire

      - Cliquer

      Valider

      S'inscrire

      Connexion

      Table étudiant

      +Affichage -Cliquer

      Table compte

      User :

      Password :

      48

      ULT 04

       

      Compte

      +Affichage -Ecrire -Cliquer

       
       

      Notification

      Messages

      Amis

      Réglages

      Se déconnecter

      Groupes

       
       
       
       
       
       
       

      Figure III.10 Présentation du modèle logique de traitement

      49

      1.2.3 Détail des Unités Logique des Traitements (ULT) ? ULT01 : authentification

      Pseudo :

      Mot de passe :

      Inscription

      Connexion

      Connexion

      ? ULT02 : Inscription

      Inscription

      Prénom ...

      Post nom ...

      Email ...

      Téléphone ...

      Mot de passe ...

      Confirmer mot de passe ...

      Valider

      Annuler

       

      ? UTL 03 : Page d'accueil

      Page d'Accueil

      Accueil | Publications | Groupes | Membres | Profile

      50

      1.2.4 Enchaînement des ULT

      Les enchainements assurent les liaisons entre les différents ULT d'un MLT. Ils représentent les origines des appels de l'ULT (événements logiques) ; et les liaisons conditionnelles vers d'autres ULT (résultats logiques).

      L'enchainement prend en charge le transfert d'informations éventuellement nécessaires entre les ULT. Cependant, il ne faut pas confondre l'enchainement des différents traitements au sein d'une ULT exprimé dans la logique fonctionnelle et l'enchainement entre des ULT distinctes exprimés ici.

      ULT 01 : Connexion

      Bouton

      Action

      Résultat

      Connexion Inscription

      Clic
      clic

      Affichage Page de publications Affichage formulaire d'inscription

      ULT 02 : Inscription

      Bouton

      Action

      Résultat

      Inscription

      Clic

      Affichage Page de publications

      ULT 03 : Page d'accueil :

      Menus

      Action

      Résultat

      Accueil Publications Groupes Membres Profile

      Clic Clic Clic Clic Clic

      Affichage activités des membres inscrits Affichage espace de publications Affichage des groupes Affichage des membres Affichage du compte

      1.2.5 Présentation du dialogue homme-machine

      Observation

      Message 1 :

      Inscription validée

      51

      -Lancer le navigateur

      Saisir l'adresse du site dans le navigateur

      -Cliquer sur déconnexion

      - Cliquer sur connexion

      - S'authentifier ou s'inscrire

      -Cliquer sur publication

      -Rediger commentaire, cliquer sur poster

      - Cliquer sur groupes

      - Créer ou adhérer si groupes existent

      -Fermer l'onglet dans le navigateur

      Homme

      Rechercher le site sur le serveur et afficher la page d'accueil et les différents liens des pages

      -Affichage du profile

      -Attribution de rôle si nouveau utilisateur

      Affichage des groupes ou valider l'adhésion

      Affichage page d'authentification

      Affichage commentaires

      Quitter le système

      Machine

      52

      III.2.2 Etape physique

      2.2.1 Modélisation physique de données

      Le modèle physique de données consiste à la prise en compte des contraintes techniques liées aux matériels et aux logiciels de traitements choisir pour élaborer la solution informatique. Ainsi le model physique de données apparait finalement étant celle qui prend en compte les préoccupations et choix techniques pour fournir les éléments nécessaires à l'implantation de données et la mise en place des traitements.

      2.2.2. Règle de passage du MID validé au MPD

      Le passage du modèle logique de données au modèle physique de données respecte le formalisme d'accès au système de gestion de base de données choisi pour la réalisation de la base de données. Les tables du modèle logique de la base de données deviennent des fichiers, les propriétés deviennent les champs, les identifiants deviennent de clés primaire (champ indexé sous doublons), les clés indexes deviennent de clés secondaire

      2.2.3 Présentation du MPD

      Il n'existe pratiquement pas aujourd'hui une approche normalisé pour la description et la présentation du niveau physique de données. Ce niveau est étroitement lié au choix technique informatique en rapport avec le système de gestion de base de données. Cependant, quelques règles sont à émettre selon l'orientation de choix technique effectué. Nous pouvons dire que le MPD représente le résultat du MLD sous forme des tables.

      Table étudiant

      53

      Table publication

      Table compte

      Table commenter

      Table université

      54

      Table interagir

      Table échanger

      Table Etudiant

      2.2.3. Modélisation Physique des Traitements

      Le modèle physique de traitement (MPT) constitue l'ensemble de tous les programmes informatiques que nous allons exécuter dans l'application. Cet ensemble des programmes devra être structurés et organisés en une architecture technique de programme selon un langage de programmation spécifique. Cette technique matérialise la logique de traitement en fonction des possibilités techniques et de moyens de programmation.

      Le modèle organisationnel de traitement spécifiait l'enchaînement de l'ensemble des tâches à réaliser du point de vue de l'utilisateur ; le modèle logique de traitement traduisait à son tour la logique informatique correspondant à l'informatisation de toutes les tâches automatiques et réelles décrites dans le

      55

      modèle organisationnel de traitement. Enfin, le modèle physique de traitement nous permettra de décrire la solution technique de construction du logiciel.

      Il consiste en l'écriture du programme. Celui-ci peut être généré dans le cadre d'un "atelier de génie logiciel". La finalité de la méthode MERISE est la production de "code" automatique à partir de la conception.

      2.3.1. Passage du MIT au MPT

      Le MPT s'élabore à partir du modèle logique de traitement en faisant un regroupement de toutes unités logiques en programmes. Il se présente ainsi sous forme d'une structure arborescente des programmes à réaliser

      Créer un sujet

      Commentaire

      Publications

      Page d'accueil

      Membres

      Groupes

      A propos Connexion

      Créer groupe

      Adhérer dans un groupe

      Liste des membres

      Authentification Inscription

      Interagir

      Profile

      Messages

      Notifications

      Mes groupes Mes adhésions

      Paramètres

      2.3.2. Présentation du Modèle Physique de Traitement (MPT)

      56

      Chapitre IV : MISE EN PLACE ET FONCTIONNEMENT

      DU LOGICIEL

      IV.1. Implémentation de la base de données.

      IV.1.1. Choix du système de gestion de base de données.

      Notre choix a été orienté vers le SGBD MySQL qui est libre de droit, et facile à utiliser. La mise en place des différentes tables sous MySQL est présentée par les différentes requêtes SQL dont ces tables sont citées précédemment, avec ses propriétés respectives. MySQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requête vers les bases de données exploitant le modèle relationnel.

      IV.1.2. Création de la base de données

      Cliquons premièrement sur le boutons démarrer en suite lançons WampSever et cliquer sur phpMyAdmin. Nous voici à la page d'authentification dans la plateforme WampServer pour la création d'une base de données sous MySQL et nous procéderons de la manier ci-après :

      Figure IV.1 Authentification phpMyAdmin

      ? Sur cette écran, dans le champ nom d'utilisateur, saisissons root et laissons le champ mot de passe vide, puis cliquons sur exécuter. Nous aurons un affichage comme ci-après, cliquons sur Bases de données, donnons-lui un nom et cliquons sur créer :

      57

      Figure IV.2 : Création de la base des données

      ? Notre base des données ainsi créée, cliquons sur lui pour créer des tables, à l'exemple de la table étudiant suivante, ensuite cliquons sur exécuter :

      Figure IV.3 : Création de table

      58

      IV.1.3 Présentation des relations entre tables

      Figure IV.4 : présentation des relations entre les tables

      IV.2. CHOIX DU CMS

      Notre choix a porté sur le CMS Joomla pour réaliser notre application web car il se démarque principalement par la convivialité de son interface d'administration.

      VI.2.1. Présentation de WordPress

      Le CMS WordPress est un système de gestion de contenus multimédia pour le Web, écrit dans le langage de programmation PHP. Il nécessite un serveur web et une base de données MySQL. Tous les éléments nécessaires au bon fonctionnement du site (code source du moteur du site, fichiers de configuration, contenus textes et médias) étant sur le serveur, que ce soit dans la base de données ou dans l'espace de stockage des fichiers, son administration s'effectue directement en ligne depuis un ordinateur ou un smartphone si celui-ci est hébergé : seule une connexion Internet est nécessaire.

      WordPress est constitué de deux interfaces distinctes :

      ·

      59

      Frontal (frontend) : partie visible du site, par laquelle il est aussi possible de créer et gérer des articles ainsi que les contenus de certaines extensions ;

      · Administration (backend) : partie réservée à la configuration globale, à la structure des contenus, la gestion des utilisateurs, des extensions, etc.

      IV.2.2. Les extensions

      L'API (acronyme anglais pour «interface de programmation» ou Application Programming Interface) Joomla constitue la passerelle entre les créations des développeurs tiers et le noyau de WordPress.

      Ces extensions sont de trois types :

      · Les composants : fonctions évoluées possédant en général une interface d'administration. Exemple : système de lettres d'information, de forum, de boutique en ligne, de galeries multimédias, de sauvegarde, etc.

      · Les modules : éléments affichés dans le site autour du contenu central. Exemple : menus, bannières, infos défilantes, date, etc.

      · Les plug-ins : éléments s'intégrant au noyau (core) de WordPress. Exemple : système d'authentification, recherche dans les contenus, etc. Certaines extensions sont constituées d'un composant, de modules et de plug-ins. De base, WordPress intègre les fonctions pour gérer :

      - Les contenus : éditeur, explorateur de fichiers, bannière, contact, flux RSS, sondage, liens web ;

      - Les utilisateurs et leurs droits : consultation, rédaction, modification, publication, gestion, administration ;

      - L'aspect visuel : habillage du site, position des éléments, affichage des contenus ;

      - Les extensions : installation, publication, accès, affichage, etc.

      IV.2.3 Justification du choix de WordPress

      Plusieurs raisons nous ont permis de choisir Joomla comme CMS :

      · Il est OpenSource ;

      · Présence d'une communauté dynamique et mondiale ;

      · Site entièrement géré par une base de données ;

      · Gestion simple des utilisateurs avec des autorisations d'administration spécifiques ;

      · Prise en main facile et rapide par les utilisateurs ;

      · Gestion du contenu divisé en section, catégorie et article ;

      · Édition du contenu via un éditeur intégré de type Word ;

      · Gestion efficace des archives pour stocker tous les anciens articles... ;

      · Multilinguisme ;

      60

      ? Compatibilité avec la majorité des navigateurs web et les sites développés par WordPress sont responsive, c'est-à-dire capable de s'adapter à tout type d'cran

      ? Facilité d'inclure ses propres extensions ;

      ? Charte graphique personnalisable ;

      ? Très grande diversité d'extensions gratuites et libres etc.

      IV.2.4 Interface Homme-machine(IHM)

      Une interface est le côté visuel d'une application, c'est-à-dire l'ensemble des contrôles accessibles à l'utilisateur et devant provoquer des actions programmées : boutons de commande, barre de menu, cases à cocher, zones de texte et listes modifiables, etc....

      IV.2.5 Présentation des quelques interfaces

      Après avoir cliqué sur l'icône de l'application on aura comme affichage de la page d'accueil suivante :

      Page d'accueil : elle affiche toutes les activités du site, à savoir, les mises à jours des groupes et des publications, voire des profiles

      Figure IV.5 : interface de la page d'accueil

      Page d'inscription et de connexion : si l'utilisateur n'est pas authentifié et qu'il venait à cliquer sur la page publication, le système lui demandera de s'authentifier ou de s'inscrire.

      61

      Figure IV.6 : présentation de l'interface d'authentification et inscription Page Membres : ici nous pouvons voir quelques mebres du sites

      Figure IV.7 : interface de la page des membres

      62

      Conclusion générale

      Au terme de notre étude portant sur la mise en oeuvre d'une plateforme web de forum interuniversitaire, rendu possible avec un système de gestion des contenus, nous avons pu réaliser une application web permettant aux internautes de créer des comptes utilisateur pour échanger des connaissances sous forme des publications et commentaire, créer des groupes de discussions, échanger par messages.

      En effet, Le web et ses différentes technologies ont été passés en revue tout au long de notre étude enfin d'en ressortir les apports sur les sites web du point de vue tant technologique que social, et d'en mettre en oeuvre grâce aux systèmes de gestion de contenus (CMS).

      A l'égard de ce qui précède nous affirmons avec véracité que l'oeuvre abattue est humaine, nous restons ouverts à toutes critiques, remarques, et suggestions provenant de toute personne qui aura l'opportunité de la lire.

      63

      BIBLIOGRAPHIE

      I. OUVRAGES

      [1] Bazzoli Anne-Camille, Les systèmes de gestion de contenu : l'offre logicielle, Edition enssib, 74 pages, Mars 2005

      [2] BERTRAND Patrice, BADR Chentouf. White paper : Content management, les solutions opensource version 1.6b.Paris : Smile, 2004. 51p.

      [3] PRODUIT Raphaël. Content Management System (CMS) : étude des systèmes de gestion dynamique de contenu pour site web et développement d'une solution basée sur la technologie J2EE. 2003

      [4]Jean Luc Baptiste, Merise Guide pratique, édition eni, 174 pages

      II. NOTES DES COURS, THESES, TFE et TFC

      [5] Frederick Mpiana, séminaire informatique, université Révérend Kim 2018

      [6] Mbikayi Jean Marcel, Cours des Méthode et analyse informatique 2, université Révérend Kim 2018

      [7] Gildas Ntoya, Mise en application du web 2.0 à l'aide d'un système de gestion de contenus (cms), Université de Kinshasa 2012

      III. WEBOGRAPHIE

      [8] www.wikipedia.com

      [9] www.openClassroom.com

      [10] www.SupInfo.com

      [11] www.Histoire-cigref.org

      [12] www.ideematic.com/application-web

      [13] Fr.yeeply.com/blog/6_types-des-applications-web

      [14] www.nooveo.fr/article-8-categories

      Table des matières

      64

      0. INTRODUCTION GENERALE 1

      0.1 Généralités 1

      0.2 Problématique 1

      0.3 Hypothèse et intérêt du sujet 2

      0.4 Délimitation du sujet 2

      0.5 Méthodes et techniques utilisées 2

      0.6 Difficultés rencontrées 3

      0.7 Subdivision du travail 3

      CHAPITRE I : APERÇU SUR LE WEB 4

      I.1 Généralités sur le web 4

      I.1.1 Historique 4

      I.1.2 définition 4

      I.1.3 Caractéristiques du web 5

      I.1.4 Quelques protocoles utilisés dans le web 5

      I.2 Programmation web 6

      I.2.1Les langages web 6

      I.3 Application web 8

      I.3.1Définition 8

      I.3.2 Avantages et désavantages 8

      I.3.3 Catégories des applications web 8

      I.3.4. Architecture et fonctionnement d'une application web 9

      3.4.1 Architecture d'une application web à deux niveaux 9

      3.4.2 Architecture d'une application web à trois niveaux 10

      I.4 Présentation générale d'une page web 12

      I.5 Catégories des sites web 13

      I.6. Le référencement 14

      CHAPITRE II NOTION SUR LES SYSTÈMES DE GESTION DE CONTENUS (CMS) 15

      II.1. Définitions 15

      II.2. Evolution 16

      II.3. Principales fonctionnalités des CMS 17

      II.3.1. Fonctionnalités liées à la gestion de contenu 17

      III.3.2. Fonctionnalités liées à la publication 18

      II.4 Structure et architecture d'un cms 20

      4.1.1Le back-office 20

      4.1.2 Le front office 20

      65

      II.4.2 Architecture d'un cms 20

      4.2.1 Utilisation d'une interface web classique 21

      4.2.2. Utilisation de gabarits et de feuilles de styles 21

      4.2.3 Utilisation d'une base des données 22

      4.2.4 Utilisation d'un mécanisme de gestion des droits 22

      II.5 Limites 22

      II.7 Quelques systèmes des gestions de contenus 23

      CHAPITRE III : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTÈME 25

      III .1 Narration 25

      Section I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION

      ORGANISATIONNEL (CSIO) 25

      III.I.1 Etape conceptuelle 25

      I.1.1 Modélisation Conceptuelle de Données (MCD) 25

      1.1.1 Définition et But de la modélisation conceptuelle de données 25

      A. Définition des concepts 26

      B. Recensement et description des entités 27

      C. Recensement et description des relations 28

      D. Présentation des contraintes de cardinalités 29

      E. Présentation des contraintes d'intégrité fonctionnelles (CIF) 29

      F. Présentation du modèle conceptuel des données 30

      I.1.2 Modélisation Conceptuelle de Traitement (MCT) 31

      A. Définitions des concepts 31

      B. Formalisme 31

      C. Construction du modèle Conceptuel de traitement 32

      III.I.2 Etape organisationnelle 33

      I.2.1 Modélisation organisationnelle des données 33

      2.1.1 Règles de passage du MCD au MOD 33

      2.2.2 Présentation du Modèle Organisationnel de Données (MOD) 34

      2.2.3 Quantification de la multiplicité des cardinalités 35

      2.2.4 Quantification des objets 36

      2.2.5 Quantification des propriétés 37

      2.2.6 Calcul du volume théorique du MOD 37

      2.2.7 Calcul du volume de la base de données 38

      I.2.2 Modélisation Organisationnel de Traitement (MOT) 40

      2.2.1 Formalisme 40

      2.2.2 Règles de passage du MCT au MOT 40

      2.2.3 Présentation du Modèle Organisationnel de Traitement 41

      66

      Section II : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE (CSII) 42

      III.II.1 Etape logique 42

      II.1.1 Modélisation Logique de Données (MLD) 42

      A. Vocabulaire spécifique utilisé 43

      1.1.2 Règle de passage du MOD au MLD Brut 43

      1.1.3 Présentation du modèle Logique des données brutes 44

      1.1.4 Vérification et Normalisation 44

      1.1.5 Présentation du MLD validé 46

      1.1.6 Schémas relationnels associé au MLD validé 46

      II.1.2 Modélisation Logique de Traitement (MLT) 47

      1.2.1 Règle de passage du MOT au MLT 47

      1.2.2 Présentation du Modelé Logique de Traitement 48

      1.2.3 Détail des Unités Logique des Traitements (ULT) 49

      1.2.4 Enchaînement des ULT 50

      1.2.5 Présentation du dialogue homme-machine 51

      III.II.2 Etape physique 52

      II.2.1 Modélisation physique de données 52

      2.1.1 Règle de passage du MLD validé au MPD 52

      Chapitre IV : MISE EN PLACE ET FONCTIONNEMENT DU LOGICIEL 56

      IV.1. Implémentation de la base de données. 56

      IV.1.1. Choix du système de gestion de base de données. 56

      IV.1.2. Création de la base de données 56

      IV.1.3 Présentation des relations entre tables 58

      IV.2. CHOIX DU CMS 58

      VI.2.1. Présentation de WordPress 58

      IV.2.2. LES EXTENSIOINS 59

      IV.2.3 Justification du choix de WordPress 59

      IV.2.4 Interface Homme-machine(IHM) 60

      IV.2.5 Présentation des quelques interfaces 60

      Conclusion générale 62

      BIBLIOGRAPHIE 63






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Le don sans la technique n'est qu'une maladie"