EPIGRAPHE
« Votre raison et votre
passion sont le gouvernail et les voiles de votre âme qui navigue de port
en port.Si votre gouvernail ou vos voiles se brisent vous ne pouvez
qu'être ballotté et aller à la dérive ou rester
ancré au milieu de la mer. Car la raison régnant seule est une
force qui brise tout élan. Et la passion livrée à
elle-même est une flamme qui se consume jusqu'à sa propre
extinction ».
GILBRAN KHALIL (1883-1931)
Poète
DEDICACE
A mon Père ALBERT KADIMA
SENDULA.
A mes mère LOUISSE ANGESAKAET MARIE-CLAIRE
LUTULA.
En particulier à ma mère LUTULA BIBI
OKANGA Brigitte.
A tous mes frères : ERICK KADIMA
LUTULA, KADIMA WA KADIMA David, Claude
MASANGU WA KADIMA, Benel KADIMA MULAMBA et à mes soeurs :
la grande, KADIMA NDAYA Tabitha, KADIMA OYENA
Denise, Nana NTUMBA KADIMA et Gina KOBESE
KADIMA.
REMERCIEMENTS
Avant de commencer ce travail, nous aimerions nous acquitter
d'une reconnaissance envers les personnes qui d'une manière ou d'une
autre ont contribué à notre édification personnelle le
long de notre formation universitaire.
Gloire soit rendue à notre Seigneur et Sauveur
JESUS-CHRIST qui est la source de la sagesse, de
l'intelligence, de la force humaine ainsi que de l'être, de l'avoir et du
mouvement.
Nous penserons à nos autorités scientifiques et
administratives de l'Université Orthodoxe au Congo en
général et en particulier le secrétaire administratif
MULALA Jérémie pour sa bienfaisance.
Notre profonde gratitude va droit au professeur
Richard KITONDUA qui est le coeur moteur de toute la charpente
de ce travail qui malgré ses multiples occupations a accepté de
diriger ce travail de fin de cycle.
Nos remerciements particuliers sont lancés au chef des
travaux Wilfried K. MISARABOqui a apporté sa grosse
pierre dans la réalisation de ce travail et tous nos amis et compagnons
de lutte, témoins du parcours entre autre : Professeur
NTUMBA, Assistant Thierry NSALA,
Grace, Grégoire , Christi
, Michel MILAMBO, Ive NSILULU,
Assistant Junior et à mes collègues :
Rabbi NKARA, Lionel IFASO,
Israël MASNALA, , Elie KUONO,
Imran OLOLO, Jonathan MUKENDI, Marcel
TSHIMANGA, Gode TSHIBUABUA, Euphemie TALUMONA Joël LUZAYILADIO, Rachidi
KITAMBALA et Agnès NTUMA.
A mes amies PANZU Grace, MAYUNGU Blanvie, KALONDA
Sarah, KALONJI Joël, NTIMA Olivier, ZOLA Lyse, pour leur
assistance et à toute la famille BYALUNGADU Jasmine.
Enfin à ma grande famille chrétienne, nos vifs
remerciements vont vers le Pasteur DAVID WALE, KASHALA
Yves, MINANPALA Christian,
MINANPALAPatricia, BUKASA Rose,Jojo
MPUTU, KALWANDA Jule, et toutes la famille de la
nouvelle Alliance pour leur profond amour bien soudé.
Je vous remercie.
ABREVIATION ET SIGLES
1. BDD : Base des données
2. BUK : Bibliothèque urbaine de Kinshasa
3. CIF : Contrainte d'intégrité fonctionnelle
4. CIM : Contrainte d'intégrité multiple
5. MCD : modèle conceptuel des données
6. MCT : modèle conceptuel des traitements
7. MOD : modèle organisationnel des données
8. MOT : modèle organisationnel des traitements
9. MLD : modèle logique des données
10. MLT : modèle logique des traitements
11. MPD : modèle physique des données
12. MPT : modèle physique des traitements
13. SGBD : Système de gestion des bases de
données
14. SIO : Système information organisationnel
15. SII : Système information informatisé
16. TI : Tache informatique
17. TM : Tache manuel
18. TR : Tache réel
19. TA : Tache automatique
20. ULT : Unité logique du traitement
0. INTRODUCTION1(*)
En 1995, l'informatique est une technologie qui est
désormais totalement intégrée au fonctionnement de nos
sociétés industrialisées. Elle est indispensable à
la bonne marche du secteur tertiaire et des industries. L'informatique
domestique et définitivement adoptée par le plus jeune
âgé ; de nouvelles méthodes didactiques ont
été définies autour de cette technologie. Elle est
entièrement assimilée par les nouvelles
générations. C'est donc sans surprise que l'on trouve
désormais une informatique omniprésente dans tous les types de
bibliothèques, non seulement en tant qu'outil de gestion de nos
institution, mais également sous forme de poste de lecture de nouveaux
document primaire matériels (CD-Rom, CD-I, par exemple) ou
immatériels (document multimédias accessibles en ligne sur les
réseaux). Aujourd'hui, sans un large usage de l'informatique, les
bibliothèques courent le risque de se couper de nouveaux modes de
publication.
Il est cependant intéressant de reprendre le
cheminement de toutes les nouvelles technologies dans les bibliothèques
au cours des soixante-dix dernières années. Cette
évolution ne s'est pas faite de manière progressive et
continue ; eu contraire, il y eut des à-coups souvent positifs,
parfois pénibles et couteux. La partie introduction a donc pour objectif
de rappeler ces temps forts et ces caractéristiques.
0.1. Problématique2(*)
Dans la société de l'information, la
connaissance constitue la ressource essentielle et l'information, la
matière première. C'est pourquoi de nos jours on accorde plus
d'attention à la connaissance, à son cheminement, à sa
disponibilité, à ses possibilités d'exploitation ainsi
qu'aux organismes qui la traitent, en l'occurrence, la bibliothèque.
En effet, la mission des bibliothèques est
d'acquérir, d'organiser, de mettre à la disposition du public et
de conserver les sources disponibles sous quelque forme que soit, de sorte que
celles-ci soient accessibles et puissent être utilisées. Aucune
autre institution ne réalise ce travail systématique et de longue
haleine.
Soulignons que les bibliothèques urbaines de Kinshasa
contribuent à la mission d'enseignement et d'éducation et
constituent une partie de plus en plus importante des établissements
dans lesquels elles se situent, en raison de l'adoption, dans la
société, des méthodes d'enseignement fondées sur
l'acquisition autonome des connaissances par les étudiants,
élève ou chercheur. Elles ont un rôle de soutien important
dans l'apprentissage tout au long de la vie.
Il est à noter que les bibliothèques constituent
également des fenêtres uniques et enrichissantes sur les autres
cultures et les modes de vie, en mettant à la disposition du public des
livres, des journaux et autres documents, qui permettent aux utilisateurs de
découvrir des milieux qu'ils ne connaissent pas.
Considérant que ce domaine pose également des
problèmes spécifiques concernant l'accès des utilisateurs,
la conservation à long terme des documents enregistrés à
différentes époques par différents moyens et la garantie
de leur exploitation, l'amélioration des infrastructures technologiques
est une condition technique importante pour que les bibliothèques
puissent offrir à leurs utilisateurs un accès efficace à
l'information.
Cependant, il est impossible de se livrer à des
recherches scientifiques et de faire des études sans recourir aux
services des bibliothèques scientifiques et l'amélioration
qualitative de ses services augmentent de façon importante le niveau des
résultats, par un système de gestion automatisée.
Pour mesurer l'ampleur de ce changement, il suffit de parler
de l'informatisation.
Aujourd'hui, l'informatique est partout et nul ne songe
à s'en passer. Elle s'est depuis longtemps échappé de son
territoire d'origine, notamment la comptabilité, la paie, pour toucher
les fonctions de l'entreprise. Les terminaux et les micro-ordinateurs
permettent un accès immédiat aux informations, et leur
modification en temps réel. Ils sont devenus les outils de travail
quotidiens de presque tous les acteurs de l'entreprise.
Cette évolution est sans doute plus profonde qu'une
simple généralisation de l'informatique. Sous l'effet de
l'informatisation, la vision du fonctionnement des entreprises a changé.
Dans un premier temps, l'informatique a permis d'automatiser certains
traitements : elle avait pour rôle d'améliorer l'efficacité
des fonctions traditionnelles. On considère aujourd'hui que le
fonctionnement de l'entreprise repose sur le traitement d'informations, et
c'est en cherchant à étendre le champ du système
informatique qu'on a pris conscience de l'existence d'un système plus
large, qui inclut l'organisation : le système d'information.
L'informatique n'a pas procédé autrement. Il y a
d'abord eu des ordinateurs, et la programmation a été l'art de
leur maîtrise. Mais rapidement, la perception de quelque chose de plus
profond s'est manifestée : les français ont parlé
d'informatique, les anglo-saxons de « Computer Science ». La
formalisation n'est venue qu'après, permettant un nouveau bond en avant.
Nous assistons aujourd'hui à la mutation profonde de domaines que l'on
croyait pourtant parvenus à leur plein développement : c'est le
cas de la structure des ordinateurs, grâce aux microprocesseurs dont
l'intégration en systèmes complexes est le fruit des
progrès faits dans la formalisation de l'architecture des
systèmes. C'est aussi le cas de la programmation, grâce aux
avancées de l'informatique théorique.
Bien que cette science de traitement automatique de
l'information cherche à satisfaire les besoins de certaines entreprises,
les autres restent encore étourdies car n'arrivant pas à
être à la fine pointe de l'information.
C'est de là que nous est venue l'idée de mettre
en oeuvre un système informatisé pour gérer la
Bibliothèque Urbaine de Kinshasa dont la gestion actuelle pose
problème.
Au cours de ce projet, nous ressortissions la grande
problématique en nous posant ces questions lesquelles constitueront
l'objet de cette étude :
Ø Comment se fait la gestion actuelle de la
Bibliothèque Urbaine de Kinshasa ?
Ø L'application des méthodes et des techniques
informatiques peut-elle améliorer la gestion des emprunts/des ouvrages
au sein de la bibliothèque urbaine de Kinshasa ?
Ø Comment implémenter et assurer la gestion
efficace des ces méthodes ?
0.2. Hypothèse
La démarche scientifique implique que
l'hypothèse soit formulée en des termes tels que l'observation,
l'analyse et la conception de la recherche puissent fournir une réponse
aux questions posées.
Nous partons de l'hypothèse selon laquelle la solution
informatique basée sur la mise sur pieds à partir des
méthodes et techniques informatiques efficaces, d'un outil informatique,
permettra de traiter avec efficacité et rapidité les informations
en rapport avec la gestion des emprunts/ouvrages dans la bibliothèque
urbaine de Kinshasa3(*).
0.3. Choix et
Intérêts du sujet
En vue de trouver solution au problème actuel de la
gestion bibliothécaire, notre travail portera sur « la conception
et la réalisation d'un système de gestion automatisé d'une
bibliothèque publique ».
L'élaboration de la présente oeuvre poursuit
comme but :
D'accomplir le devoir qu'a tout étudiant en
général et tout analyste programmeur en particulier au terme de
son cycle, celui de réaliser sa monographie, en implémentant un
système informatique pouvant permettre le stockage des grandes masses
d'informations, leur traitement en vue d'obtenir des résultats
impeccables aux moments opportuns pour assurer un service de qualité sur
la gestion bibliothécaire.
De mettre en pratique toutes les connaissances acquises tout
au long de notre formation d'analyste programmeur pendant deux ans afin
d'ajouter une pierre sur la construction du monde informatique4(*).
0.4. Délimitation du
travail
Tout travail scientifique se limite dans le temps et dans
l'espace ;
· Dans le temps, notre analyse tiendra compte de la
période de gestion des informations comprise entre 2016 et 2017.
· Dans l'espace, nous nous focaliserons sur la
Bibliothèque Urbaine de Kinshasa dans sa situation géographique
actuelle afin de bien asseoir l'acheminement de notre analyse.
0.5. Méthodes et
Techniques utilisées
Tout travail scientifique exige l'usage d'une démarche
méthodologique qui puisse permettre au chercheur de collecter,
d'interpréter et d'analyser les données qu'il aura
recueillies5(*).
Dans le cadre du présent travail, nous avons
estimé que notre objectif ne pouvait être atteint qu'à la
suite de l'utilisation de la méthode structuro fonctionnelle, permettant
de connaître l'organisation et le fonctionnement de chaque structure que
comprend la bibliothèque6(*).
Le succès du développement du logiciel
dépend évidemment de la bonne utilisation d'une méthode
comme Merise, Méthode d'Étude et de Réalisation
Informatique des Systèmes d'Information, basée sur la
séparation des données et des traitements à effectuer en
plusieurs modèles conceptuels et physiques.
Un usage efficient des méthodes susdites nous oblige
à faire recours à certaines techniques susceptibles de nous
favoriser la récolte des données nécessaires à la
rédaction du présent travail.
Ainsi, nous avons utilisé les techniques d'Interview,
processus de communication verbale pour la récolte des informations
relatives au but fixé. Et la recherche documentaire en procédant
à une exploitation efficiente des différents ouvrages, notes des
cours et publications scientifiques en rapport avec notre sujet. Toutefois,
notre travail ne pourra être lu que lorsqu'il est éclairé
par un canevas qui en constitue le fil conducteur.
0.6. Subdivision du
travail
Mise à part la partie introductive et la
conclusion du présent travail, notre étude comporte cinq
parties :
CHAPITRE I : CONCEPTS
THEORIQUES DE BASE
Section 1. Concepts
systémiques
1.1. Définitions des
concepts
Mettre en évidence la nécessité de
concevoir un système d'information de l'entreprise suppose de s'accorder
au préalable sur tous les aspects qui recouvrent cette notion.
1.2.1. Système
d'information
La démarche de conception en informatique est
centrée sur le concept de système d'information. Il faut donc
définir ce concept, ainsi que les autres concepts qui seront
utilisés dans la suite de notre travail.
a. Système
Il existe de nombreuses définitions sur le
système. Deux d'entre elles nous serviront de référence.
En premier lieu celle de J.DE ROSNAY qui dit : « un système
est un ensemble d'éléments vivant en interaction mutuelles
poursuivant un but commun7(*) ».
En second lieu, celle de J.L. LE MOIGNE8(*) qui définit le
système comme étant :
Quelque chose (n'importe quoi, indentifiable); Qui fait
quelque chose (activité, fonction) ; Qui est doté d'une structure
; Qui évolue dans le temps ; Dans quelque chose (environnement) ; Pour
quelque chose (finalité).
Dans notre travail, nous retenons la définition du
système comme un tout constitué d'éléments unis par
des relations, leurs propriétés et les valeurs que peuvent
prendre ces dernières, ainsi que son activité et l'organisation
qui en découle.
b. Type des
systèmes9(*)
Selon le mode de fonctionnement nous avons un système
Ouvert et un système Ferme
· Un système est dite ouvert : Quand il peut
influencée l'environnement ou subir l'influence de l'environnement.
· Un système est dite ferme : (le contraire
d'un système ouvert).
- Selon dans le domaine de gestion nous avons :
· Le microsystème
· Le système
· Le supra système
Le microsystème : c'est l'activité qui
nécessite l'implication d'au moins deux acteurs.
Le système : c'est l'Entreprise ou une
Organisation localise en un seul site dans le quels on assiste à
l'interaction de service.
Le supra système : c'est un Entreprise qui
à plusieurs succursales.
C. Caractéristique d'un
système
Un système est caractérisée par :
1. L'identification : (Doit exister).
2. L'information : (Doit avoir de la matière
c-à-dire avoir une connaissance venant de quelque part).
3. Mémorisation : (Doit avoir un stockage de
connaissance).
4. Décision : (Doit poser des actes par rapport
à lui-même et par rapport à l'extérieur).
5. Agissement : (Réaction).
6. La Régulation : ` (Doit être
réguler par rapport à l'influence extérieur).
D. Structure d'un
système
Du point de vue organisationnelle la structure d'un
système se présente de la sorte :
S.P
S.I
S.O
251633152- Système de pilotage
(S.P)
- Système information (S.I)
- Système opérande (S.O)
Le Système pilotage : concerne tous les
opérations de la gestion. Il définit la politique de
l'entreprise, l'objectif à atteindre procède au contrôle et
à la régulation à travers le flux d'information.
Le système opérant : Exécute les
ordres venant du système pilotage.
Le système information : Constitue le trait
d'union entre les deux systèmes opérant.
E. Types des systèmes
d'information
En fonction du type il existe 3 systèmes ou
critère pour classifier les systèmes d'information :
1. Moyen utilisée
Selon les moyens utilisés on distingue :
· Le système manuel : prise en charge par
l'homme.
· Le système mécanique : prise en
charge par des machines.
· Le système automatique : prise en charge
par une machine autonome ou automatisée ou encore programmer.
· Le système informatique : prise en charge
par un ordinateur.
2. Selon le nombre d'intervenant
· Le système individuel : prise en charge par
une personne.
· Le système organisationnel : ce quand une
procédure ce déclenche et se clôture dans une même
organisation.
· Le système inter-organisationnel : lors la
procédure se déclenche a hier et se clôture.
3. Selon le niveau hiérarchique
· Le système stratégique : Ce lorsque
le traitement se fait au niveau de décideurs.
· Le système tactique : Ce quand le
traitement se fait dans le cadre de collaboration.
· Le système opérationnel : Lorsque le
traitement se fait au niveau des exécutant.
1.2.2. Le système
Informatique
a. Définition :
Ensemble de moyens informatique et de
télécommunication ayant pour buts, collecter les données,
le traiter, stocker et le diffuser (ou détruire)
b. Qualité d'un bon
système
· La fiabilité : fournir les informations
sans erreur, c-à-dire moins d'erreur possible.
· La rapidité : éviter la lenteur.
· La pertinence : doit répondre au :
attente etc....
· La sécurité : protection des options
car en dehors de l'utilisation la mise en jour ne peut être fait que par
son concepteur.
c. Type de système informatique
En combinant les paramètres on trouve le type de
systèmes informatiques suivants :
- Selon le degré d'organisation on trouve le
système :
· Le système indépendant : qui se
servent de se propre ressource.
· Le système intègre : qui est
à la porte de tous sur l'utilisation.
- Selon l'architecture de traitement
· Le système centralisé : (mono
tâche) ex : poste à poste
· Le système décentralisé :
(multitâche) ex : réseaux ou tout le monde travail sur le
même travail.
Section 2. GENERALITE SUR
LE SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEES
2.1. Définitions10(*)
La première chose à faire est d'établir
quelques points de terminologie. Qu'est-ce qu'une donnée ? C'est une
information quelconque comme, par exemple : voici une personne, elle s'appelle
Jean. C'est aussi une relation entre des informations : Jean enseigne les bases
de données. Des relations de ce genre définissent Des structures.
Une base de données est un ensemble, en général
volumineux, de telles informations, avec Une caractéristique essentielle
: on souhaite les mémoriser de manière permanente. D'où la
définition :
a. Une Base de données est un gros ensemble
d'informations structurées mémorisées sur un Support
permanent.
On peut remarquer qu'une organisation consistant en un (ou
plusieurs) fichier(s) stockés sur mémoire secondaire est conforme
à cette définition. Un ensemble de fichiers ne présentant
qu'une complexité assez faible, il n'y aurait pas là
matière à longue dissertation. Malheureusement l'utilisation
directe de fichiers soulève de très gros problèmes :
0. Lourdeur d'accès aux données. En pratique,
pour chaque accès, même le plus simples, il faudrait écrire
un programme.
1. Manque de sécurité. Si tout programmeur peut
accéder directement aux fichiers, il est impossible de garantir la
sécurité et l'intégrité des données.
2. Pas de contrôle de concurrence. Dans un environnement
où plusieurs utilisateurs accèdent aux mêmes fichiers, des
problèmes de concurrence d'accès se posent.
D'où le recours à un logiciel chargé de
gérer les fichiers constituant une base de données, de prendre en
charge les fonctionnalités de protection et de sécurité et
de fournir les différents
Types d'interface nécessaires à l'accès
aux données. Ce logiciel (le SGBD) est très complexe et fournit
le sujet principal de ce travail. En particulier, une des tâches
principales du SGBD est de masquer à l'utilisateur les détails
complexes et fastidieux liés à la gestion de fichiers.
D'où la définition :
b. Un Système de Gestion de Bases de Données
(SGBD) est un logiciel de haut niveau qui permet de manipuler les informations
stockées dans une base de données.
La complexité d'un SGBD est essentiellement issue de la
diversité des techniques mises en oeuvre, de la multiplicité des
composants intervenant dans son architecture, et des différents types
d'utilisateurs (administrateurs, programmeurs, non informaticiens, ...) qui
sont confrontés, à différents niveaux, au
système.
2.2. Objectifs11(*)
Des objectifs principaux ont été fixés
aux SGBD dès l'origine de ceux-ci, et ce, afin de résoudre les
problèmes causés par la démarche classique. Ces objectifs
sont les suivants :
Indépendance physique : La
façon dont les données sont définies doit être
indépendante des structures de stockage utilisées.
Indépendance logique : Un même
ensemble de données peut être vu différemment par des
utilisateurs différents. Toutes ces visions personnelles des
données doivent être intégrées dans une vision
globale.
Accès aux données
:L'accès aux données se fait par l'intermédiaire
d'un Langage de Manipulation de Données (LMD). Le LMD doit donc
être optimisé, minimiser le nombre d'accès disques, et tout
cela de façon totalement transparente pour l'utilisateur.
Administration centralisée des
données(intégration) :Toutes les données
doivent être centralisées dans un réservoir unique commun
à toutes les applications. En effet, des visions différentes des
données (entre autres) se résolvent plus facilement si les
données sont administrées de façon centralisée.
Non-redondance des données : Afin
d'éviter les problèmes lors des mises à jour, chaque
donnée ne doit être présente qu'une seule fois dans la
base.
Cohérence des données : Les
données sont soumises à un certain nombre de contraintes
d'intégrité qui définissent un état cohérent
de la base. Les contraintes d'intégrité sont décrites dans
le Langage de Description de Données (LDD).
Partage des données :Il s'agit de
permettre à plusieurs utilisateurs d'accéder aux mêmes
données au même moment de manière transparente. Si ce
problème est simple à résoudre quand il s'agit uniquement
d'interrogations, cela ne l'est plus quand il s'agit de modifications dans un
contexte multiutilisateur, car il faut : permettre à deux (ou plus)
utilisateurs de modifier la même donnée « en même temps
» et assurer un résultat d'interrogation cohérent pour un
utilisateur consultant une table pendant qu'un autre la modifie.
Sécurité des données
:Les données doivent pouvoir être protégées
contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir
associer à chaque utilisateur des droits d'accès aux
données.
Résistance aux pannes :Que se
passe-t-il si une panne survient au milieu d'une modification, si certains
fichiers contenant les données deviennent illisibles? Il faut pouvoir
récupérer une base dans un état « sain ». Ainsi,
après une panne intervenant au milieu d'une modification deux solutions
sont possibles : soit récupérer les données dans
l'état dans lequel elles étaient avant la modification, soit
terminé l'opération interrompue.
2.2.1. Niveaux de
description de données ANSI/SPARC
Pour atteindre certains de ces objectifs (surtout les deux
premiers), trois niveaux de description des données ont
été définis par la norme ANSI/SPARC.
Le niveau externe
Correspond à la perception de tout ou partie de la base
par un groupe donné d'utilisateurs, indépendamment des autres. On
appelle cette description le schéma externe ou vue. Il peut exister
plusieurs schémas externes représentant différents vues
sur la base de données avec des possibilités de recouvrement.
Le niveau conceptuel
Décrit la structure de toutes les données de la
base, leurs propriétés (i.e. les relations qui existent entre
elles : leur sémantique inhérente), sans se soucier de
l'implémentation physique ni de la façon dont chaque groupe de
travail voudra s'en servir. Dans le cas des SGBD relationnels, il s'agit d'une
vision tabulaire où la sémantique de l'information est
exprimée en utilisant les concepts de relation, attributs et de
contraintes d'intégrité. On appelle cette description le
schéma conceptuel.
Le niveau interne ou physique
S'appuie sur un système de gestion de fichiers pour
définir la politique de stockage ainsi que le placement des
données. Le niveau physique est donc responsable du choix de
l'organisation physique des fichiers ainsi que de l'utilisation de telle ou
telle méthode d'accès en fonction de la requête. On appelle
cette description le schéma interne
2.2.2. Quelque SGBD connus
et utilisée
Il existe de nombreux systèmes de gestion de bases de
données, en voici une liste non exhaustive :
PostgreSQL : http://www.postgresql.org/ dans
le domaine public ;
MySQL : http://www.mysql.org/ dans le domaine
public ;
Oracle : http://www.oracle.com/ de Oracle
Corporation ;
IBM DB2:
http://www-306.ibm.com/software/data/db2/;
Microsoft SQL:
http://www.microsoft.com/sql/;
Sybase : http://www.sybase.com/linux ;
Informix :
http://www-306.ibm.com/software/data/informix/ ;
2.2.3. Principes de
fonctionnement
La gestion et l'accès à une base de
données sont assurés par un ensemble de programmes qui
constituent le Système de gestion de base de données (SGBD). Un
SGBD doit permettre l'ajout, la modification et la recherche de données.
Un système de gestion de bases de données héberge
généralement plusieurs bases de données, qui sont
destinées à des logiciels ou des thématiques
différentes.
1.3.2. Étapes de la
méthode Merise
La mise en oeuvre d'un système d'information n'est pas
évidente car il faut réfléchir à l'ensemble de
l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de conception
nécessite des méthodes permettant de mettre en place un
modèle sur lequel on va s'appuyer. La modélisation consiste
à créer une représentation virtuelle d'une
réalité de telle façon ressortir les points auxquels on
s'intéresse12(*).
Cette démarche est appelée analyse. Il
existe plusieurs méthodes d'analyse parmi lesquelles la méthode
dite MERISE.
MERISE est une méthode de conception, de
développement et de réalisation de projet informatique. Le but de
cette méthode est d'arriver à concevoir un système
d'information. La méthode MERISE est basée sur la
séparation des données et des traitements à effectuer en
plusieurs modèles conceptuels et physiques. La séparation des
données et des traitements assure une longévité au
modèle. En effet, l'agencement des données n'a pas à
être souvent remanie, tandis que les traitements le sont plus
fréquemment.
1. PRESENTATION DE LA METHODE MERISE
1.1. Historique de merise
La méthode MERISE date de 1978-1979, et fait suite
à une consultation national lancée en 1977 par le ministre de
l'industrie dans le but de choisir des société de conseil en
informatique afin de définir un méthode de conception de
système d'information. Les CTI (Centre Technique de l'Informatique)
chargé de gérer le projet, et le CETE (Centre d'Étude
Technique de l'Équipement) implanté à Aix-en-Provence.
Issue de l'analyse systémique, la méthode MERISE
est le résultat des travaux menés par Hubert Tardieu dans les
années 1970 et que s'inséraient dans le cadre d'une
réflexion internationale, autour notamment du modèle relationnel
d'Edgar Frank Codd. Elle est devenue un projet opérationnel au debout
des années 1980 a la demande du ministre de l'industrie, et a surtout
été utilisée en France, par les SS.I.I de ses membres
fondateurs (Sema-Metra, ainsi que par le CGI Informatique) et principalement
pour les projets d'envergure, notamment des grandes administrations publiques
ou privées.
Merise, méthode spécifiquement français,
a d'emblée connu la concurrence internationale de méthode
anglo-saxonne telle que SSADM, SDM/S ou Axial. Elle a ensuite cherché
à s'adapter aux évolutions rapides des technologies de
l'informatique avec Merise/objet, puis Merise/2 destinée à
s'adapter au client-serveur. Merise était un courant majeur de
réflexion sur une « Euro méthode » qui n'a
pas réussi à percer.
De l'aveu même d'un de ses fondateurs, le nom Merise
vient de l'analogie faite avec le merise `'qui ne peut porter de
beaux fruit que si on lui greffe une branche de cerisier : ainsi en
va-t-il des méthodes informatique bien conçue, qui ne produisent
de bons résultat que si la greffe sur l'organisation réussi'',
même si beaucoup de gens on voulut y voir un acronyme comme
Méthode d'étude et de Relation informatique par les
Sous-ensembles ou pour les systèmes.
Elle a ensuite cherché à s'adapter rapides des
technologies de l'informatique avec MERISE/objet, puis MERISE/2 destinée
à s'adapter au client-serveur. Merise était un courant
majeur des réflexions sur une « Euro
Méthode » qui n'a pas réussi à percer.
La méthode Merise est une méthode d'analyse, de
conception et de réalisation des systèmes d'information
informatisé. C'est aussi une méthode de réalisation des
projets informatiques.
La méthode Merise a comme objectif d'aider, de guider
les S.I.I., dans leurs phase d'analyse, de conception et le
développement de l'applicatif.
La méthode Merise présente comme avantage
indéniable de permettre une définition claire et précise
de l'ensemble du Système d'Information et d'en définir
correctement le-périmètre.
Niveaux
|
Données
|
Traitement
|
Question
|
Contenue
|
Choix
|
Conceptuel
|
MCD
Signification des informations contraintes technique ou
économiques
|
MCT
Activité du domaine sans préciserais ressources ou
leurs organisation
|
Quoi
|
- données manipulées
- règles de gestion
- enchainement des traitements
|
Gestion
|
Organisationnel
|
MOD
Signification des informations avec contrainte organisationnelles
et économiques
|
MOT fonctionnement du domaine avec les ressources
utilisées et leur organisation
|
Qui, quand et ou
|
- partages des taches
- mode de traitement
Réparation géographique des traitements
- organisation des données
|
Organisation
|
Logique
|
MLD Description des données tenant compte de leurs
conditions d'utilisation par les traitements
|
MLT fonctionnement du domaine avec les ressources et leur
organisation informatique
|
Avec quoi, quel outil ?
|
-réparation géographique des données et
traitements en déterminant l'unité de stockage
|
Logiciel
|
Physique
|
MPD description de la ou des bases de données dans la
syntaxe du logiciel SGF ou SGBD
|
MPT architecture technique des programmes
|
Comment ?
|
- Programmes
- Logiciel
- Matériels
|
Technique
|
1.2. Cycle de décision
Ce cycle représente le point de vue de tous les
décideurs de l'organisation étudiée quelques soient leur
niveau de décision et d'action (point de vue d'un décideur au
sens large).
Le cycle de décision définit la nature de
résultat à produire à l'issu de chaque étape pour
qu'une décision quant à la continuation ou à l'abandon
d'une politique d'informatisation puisse être prise.
Cycle de décision
Cycle d'abstraction
Hiérarchie de décisions croissantes
Cycle de vie
- Schéma directeur
- Etude préalable
- Etude détaillée
- Etude technique
- Réalisation
- Mise en oeuvre
- Maintenance
- Physique
- Logique
- Organisationnel
- Conceptuel
251641344
1.3. Les différentes versions de Merise
a) MERISE 1
- Approche systémique ayant ses origines dans la
théorie des systèmes de Boulding introduite en France par J.L
LEMOIGNE.
- Montre les relations existant entre le système
d'information et le système opérant d'une part, ensuite entre S.I
et S.P d'autre part.
- Le S.I fournit aux acteurs (SO) et aux décideurs
(S.P) les informations dont ils ont besoin pour agir et décider.
- Couvre tout le cycle de vie du logiciel : schéma
directeurs, étude préalable, étude
détaillée, étude technique, production de logiciels, mise
en oeuvre, maintenance.
- Cycle d'abstraction reposant sur 3 niveaux :
conceptuel, organisationnel ou logique et physique.
- Séparation entre les modèles de données
analyses avec une approche entité-association ; et les
modèles des traitements, présentes avec un formalisme proche de
celui des réseaux de Pétri.
- La phase de validation permet de vérifier que toute
les données sont présentes pour réaliser les traitements
et que tous les traitements utilisés sont utiles pour obtenir les
données sont prévus.
b) MERISE 2
1. Lancé par `'sema group'' pour prendre en compte des
extensions et des améliorations liées évolutions
organisationnelles et technique des années 1990.
2. Le modèle E/A retenu (utilisé) pour la
modélisation des données de la première version
(années 1970) présentait quelques carences et les concepts de ce
modèle peuvent s'avérait insuffisant pour modéliser
certaines situation ou contraintes et l'on est oblige dans ce cas d'ajouter des
commentaires pour mention.
3. Un groupe de l'AFCET à apporte en Novembre 1990.
Des extensions au modèle (extensions au modèle individuel
remédiant aux faiblesses du formalisme de base), telles que le notions
de généralisation et de spécialiste pour traduire des
notions de d'héritage, les contrainte ensembliste (d'inclusion, de
totalité, d'exclusion, d'égalité & exclusif), les
contraintes d'intégrité et la notion d'identifiant relatif
(opposé à absolu), qui d'identifier une entité par rapport
à une autre.
*AFCET = Association Français pour cybernétique
et Technique
4. Les traitements ont été enrichi au niveau
conceptuel par l'introduction =
- De diagrammes de flots de données
- D'une Modèle conceptuel des traitements
Analytique(MCTA), qui permet dès la phase de conception de
s'intéresser aux données qi s'y rattachant, préparant
ainsi la phase de validation ;
- De la notion de cycle de vie d'un objet (utilisé ici
dans les sens d'entité) -CVO, pour prendre en compte tous les
états par lequel passe un objet au cours de sa vie, en fonction
d'événement qui peut se produire.
5. Apres le niveau conceptuel, il faut préciser les
niveaux organisationnel, ou sont prise en compte les structure les moyens
matériel et humains à mettre en place.
6. Puis au niveau logique, sont définit les interfaces
avec les utilisateurs, les ressources logiques de traitement et de stockage
ainsi que la répartition des données.
En ce qui concerne les concepts étendus, mis à
part la notion d'identifiant relatif, pour imputation en relation n'est pas
directement réalisable, car il est impossible de représenter les
contraintes ensemblistes.
Il faudra donc mettre en place, au niveau des traitements des
dispositifs pour garantir toute les contraintes.
Trois possibilités de traduction du concept à
d'héritage rappelé par le schéma ci-dessous
E1
P1
P2
ES2
P2'
ES1
P1
251640320
Section 4. Notions sur (mot
clé du sujet)
4.1. Considérations
théoriques sur la Bibliothèque13(*)
4.1.1. Introduction
La bibliothèque (du grec
ancien fiftioOi5xii : biblio, "livre"
; thêkê, "place", armoire) est une collection
organisée de livres. Il existe des bibliothèques privées
et des bibliothèques publiques.
Définition : une bibliothèque est un lieu,
pièce ou établissement, public ou prive, ou une collection de
livres, d'imprimés, de manuscrits, etc.., ou est conservée,
consultée ou prêtée.14(*)
Les bibliothèques proposent souvent d'autres documents
(journaux, périodiques, enregistrements sonores, enregistrements
vidéo, cartes et plans, partitions...) ainsi que des accès
à l'Internet et sont parfois appelées médiathèques
ou informa thèques.
La majorité des bibliothèques (municipales ou
universitaires) autorisent le prêt de leurs documents,
et autres (par exemple la Bibliothèque publique d'information)
leur consultation sur place seulement. Elles peuvent alors
être divisées en salles de lectures, ouvertes au public, et en
magasins fermés pour le stockage de livres moins consultés.
D'autres espaces, ouverts ou non au public, peuvent s'ajouter.
Aujourd'hui, avec plus de 128 millions de documents, la plus
grande bibliothèque du monde est la Bibliothèque du
Congrès américain à Washington.
4.1.2. Histoire
Ce depuis l'Antiquité que les bibliothèques
apparaissent avec le besoin d'organiser et de conserver les textes. Ces lieux
dépendent des pouvoirs religieux et politiques, en proportion variable
selon les civilisations.
La plus célèbre bibliothèque antique est
celle d'Alexandrie, en Égypte, créée au
IIIe siècle av. J.-C... Les rois hellénistiques
ayant du mal à légitimer leur pouvoir aux yeux des
Égyptiens autochtones se devaient de mener une politique
d'évergétisme, afin d'apparaître comme bienfaiteurs. Ils
constituaient et entretenaient de grandes bibliothèques ouvertes au
public, dans des complexes culturels (musée, gymnase).
Le coût de ces équipements était
très élevé car, outre le prix d'achat ou de copie des
livres et du papyrus, que l'on ne trouvait qu'en Égypte, il fallait
recopier les ouvrages régulièrement puisqu'ils s'abimaient
rapidement. Les rois entretenaient également des esclaves lecteurs pour
faciliter le travail des usagers de la bibliothèque. Athènes et
Pergame possédaient aussi de grandes bibliothèques, comptant
plusieurs centaines de milliers de volumes. Des bibliothèques un peu
plus modestes existaient à Rhodes et à Antioche.
Dans le même esprit, les bibliothèques
diversifient peu à peu leurs activités, avec des expositions, des
lectures (heure du conte), des conférences et colloques, des animations
diverses. Toujours sous l'impulsion de Melville Dewey et Eugène Morel se
développe, dès la fin du XIXe siècle, une
formation professionnelle des bibliothécaires, couplée avec une
meilleure coopération entre bibliothèques. Ces deux
phénomènes favorisent l'émergence d'une profession
Autonome de mieux en mieux formée, ce qui ne supprime
toutefois pas le bénévolat.
Le développement des bibliothèques publiques
s'amplifie à partir des années 1970, en relation avec
l'augmentation de la part de la population poursuivant des études
supérieures, la politique culturelle de l'État et des
collectivités territoriales et les possibilités offertes par
l'informatique.
En effet, dès les débuts de cette nouvelle
technique dans les années 1950, les ingénieurs ont eu
l'idée de l'adapter aux bibliothèques. Toutefois, les phases
d'expérimentation ont duré assez longtemps, de sorte que
l'informatisation effective ne date souvent que des années 1980, et ne
s'est imposée que lentement.
Désormais, la plupart des bibliothèques des pays
développés sont informatisées, mais ce n'est pas le cas
général ; en revanche, de nombreuses bibliothèques en sont
au ré informatisation. Après une période pendant laquelle
le modèle de construction était celui d'un bâtiment
accueillant à la fois la bibliothèque et le musée, comme
à Grenoble, le XXe siècle voit la construction de
bâtiments spécifiques, comme la bibliothèque Carnegie
à Reims, parfois de grande taille comme la bibliothèque de La
Part-Dieu, à Lyon, au milieu des années 1970 jusqu'à nos
jour.
4.1.3. Types de
bibliothèques
Les bibliothèques présentent une grande
diversité. Ce sont tantôt des établissements à part
entière, tantôt des services faisant partie d'un autre
établissement. Certaines sont très largement ouvertes, d'autres
accessibles à un public restreint. Certaines bibliothèques sont
gérées par les pouvoirs publics, d'autres par des organismes de
droit privé. Cependant, le critère principal dans la typologie
des bibliothèques est celui de leur fonction.
Dans chaque pays, les bibliothèques nationales
recueillent et conservent les documents qui font l'objet du dépôt
légal ; elles conservent souvent aussi d'autres documents. Elles
assurent généralement le rôle d'agence bibliographique
nationale, en assurant la description de la production imprimée
nationale et la diffusion de bibliographies nationales. Certains pays peuvent
avoir plusieurs bibliothèques nationales.
Il existe également des bibliothèques
régionales dans certains pays. De statut varié (certaines sont
aussi universitaires), elles assurent la conservation à long terme d'un
grand nombre de documents. Elles peuvent servir de « bibliothèques
de recours » pour la population de la région et participer à
des réseaux de coopération avec les plus petites
bibliothèques. Tel est le cas des bibliothèques cantonales en
Suisse ou des bibliothèques de Land en Allemagne, des
bibliothèques régionales en République
tchèque...
Le terme de bibliothèque publique, calqué sur
l'anglais public library, est rendu aussi en français sous
la forme « bibliothèque de lecture publique ». Ces
bibliothèques sont destinées à l'ensemble de la population
locale pour lui permettre de s'informer et de se divertir. Elles sont souvent
gérées par les collectivités locales, mais peuvent
fonctionner sous forme d'associations ou concédées au secteur
privé ; elles peuvent aussi être gérées par
l'État. Stricto sensu, on peut compter les
bibliothèques universitaires dans les bibliothèques publiques,
car elles sont elles aussi ouvertes à tous les publics. L'utilisation du
terme "bibliothèque publique" est donc fluctuante.
Les bibliothèques d'enseignement et de recherche
apportent leur appui aux activités pédagogiques et scientifiques
qui se déroulent dans l'établissement dont elles font partie. Il
s'agit d'une part de bibliothèques d'école, de collège,
suivant les noms employés dans les différents pays, ainsi que des
bibliothèques universitaires.
Les bibliothèques spécialisées, comme
leur nom l'indique, développent des collections dans une discipline ou
autour d'un thème. Il existe ainsi des bibliothèques musicales,
médicales, juridiques, etc. Cette dénomination inclut parfois
(surtout en anglais, "spécial collections") les bibliothèques ou
services de bibliothèques conservant les collections patrimoniales.
Ces différents types de bibliothèques ne sont
pas toujours cloisonnés et une même bibliothèque peut avoir
plusieurs fonctions :
|
une bibliothèque nationale peut s'ouvrir à un
large public et jouer le rôle d'une bibliothèque publique.
certains pays, y compris la France, ont des
bibliothèques publiques et universitaires.
une bibliothèque de lecture publique peut disposer
d'une section spécialisée ou d'un département
patrimonial.
|
4.1.4. Les
bibliothèques sur Internet
La majorité des bibliothèques ont maintenant
leur propre portail Internet, ou au moins une page d'accès donnée
par leur administration de tutelle, avec leur catalogue en ligne, consultable
à distance. Pour les plus importantes, leur catalogue est
intégré au portail, de même que leur bibliothèque
numérique et des outils comme des bibliographies, des listes de
nouveautés, des expositions virtuelles, ainsi que l'accès pour
chaque lecteur à l'état de son abonnement (documents
empruntés et date limité de retour).
Dans la plupart des pays, le développement de
l'Internet a fait stagner le taux d'inscription en bibliothèque et les
prêts sont généralement en baisse. Mais la lecture sur
Internet augmente, notamment pour les livres anciens tombés dans le
domaine public et scannés et mis en ligne par Google ou d'autres
opérateurs. Les salles de lecture et les postes multimédias
restent pourtant très convoités.
En France, les usagers non-inscrits sont en nette augmentation
et viennent plus longtemps, mais il est difficile de savoir si c'est le signe
d'un déclin ou d'un nouveau départ pour les bibliothèques
et leur rôle de recueil et diffusion de la connaissance.
4.1.5. Activités
des bibliothèques
Les activités des bibliothèques s'articulent
essentiellement autour des collections et du public.
a. Activités
liées aux collections
Ces activités sont les plus traditionnelles :
Acquisitions : achat ou collecte par don, dépôt
ou dépôt légal de nouveaux documents, bulletin âge
Signalement : catalogage, description (description par des
mots du contenu afin de permettre les recherches) des documents
possédés par la bibliothèque et choix des indices de
classement pour les collections de libre accès. Les thesaurus de
description les plus utilisés en France sont Rameau Répertoire
d'autorité matière encyclopédique et alphabétique
unifié et les vedettes matière « Blanc-Mont mayeur Danset
>>. La classification la plus répandue pour le classement des
documents en libre accès est la Classification décimale de Melvil
Dewey. La Classification décimale universelle, autrefois répandue
dans les bibliothèques universitaires, est en très forte
régression. La Classification de la Bibliothèque du
Congrès est largement utilisée dans le monde, surtout dans le
monde universitaire ou dans certaines bibliothèques
spécialisées.
Les bibliothèques disposent de plus en plus souvent
pour leurs imprimés et périodiques d'un catalogue
informatisé de leurs collections, parfois accessible par internet.
Conservation : pour les collections courantes,
équipement, reliure, réparation ; pour les collections
patrimoniales, conservation préventive (conditions hygrométriques
convenant aux supports, conditionnement...), conservation curative
(restauration, désacidification...).
Élimination : couramment appelée «
désherbage >>, « pilon >> ou « élagage
>> (en Belgique francophone) par les bibliothécaires, cette
activité consiste à retirer des collections les documents ne
devant être conservés, en raison de leur état physique, de
l'obsolescence de leur contenu, de leur inadéquation avec les missions
de la bibliothèque ou du manque d'intérêt du public.
b. Activités
liées au public
Ces activités se sont fortement
développées depuis la fin des années
1970 :
Prêt, retour et rangement des documents ;
Renseignements sur place à la bibliothèque et,
parfois, à distance (par téléphone, courrier, fax ou
Internet [chat et messagerie]), notamment à travers des services de
référence virtuelle :
O Sindbad de la Bibliothèque nationale de France
O le guichet du savoir de la bibliothèque municipale de
Lyon;
o BiblioSés@me, réseau coopératif de
réponse à distance piloté par la Bibliothèque
publique d'information en coopération avec les bibliothèques
municipales de Lille, Marseille, Montpellier, Reims, Limoges, Brest,
Valenciennes, Amiens, Toulouse, Strasbourg, CergyPontoise, la
médiathèque intercommunale de Troyes ainsi que la
bibliothèque départementale de prêt de Saône-et-Loire
(Mâcon) et la bibliothèque Sainte-Geneviève (Paris) auquel
on peut poser des questions à distance ;
O Askal dans plusieurs bibliothèques dans le monde ; en
France, ce système est surtout utilisé par des
bibliothèques universitaires ;
O Questions?Réponses! Service plus
spécifiquement axé sur l'information à l'usage des
professionnels des bibliothèques, proposé par l'enssib.
o
ruedesfacs.fr pour les
universités parisiennes de Paris 1, Paris 2, Paris 3, Paris 4, Paris 5,
les bibliothèques interuniversitaires de la Sorbonne, Sainte-Barbe,
Sainte-Geneviève, Cujas, Jussieu, de Médecine et de Pharmacie, la
bibliothèque universitaire des langues et civilisations, la
bibliothèque de l'Institut National d'Histoire de l'Art.
Action culturelle (expositions, contes pour enfants,
rencontres avec des écrivains, conférences, colloques,
expositions virtuelles etc.).
4.1.6. Personnel des
bibliothèques
Traditionnellement, les personnes chargées de
gérer la bibliothèque et d'assurer les services au public sont
appelées bibliothécaires. Toutefois, le titre de
bibliothécaire est réservé dans de nombreux pays au
personnel d'encadrement justifiant de diplômes universitaires de second
cycle en sciences de l'information.
En France, le terme de bibliothécaire reste
employé de manière générique pour désigner
toutes les personnes assurant les activités de bibliothèque,
quels que soient leur statut réel et leur profession.
4.1.7. Les grandes
bibliothèques
Les plus grandes bibliothèques actuelles dans le monde
sont :
|
Bibliothèque du Congrès à Washington :
plus de 128 millions de volumes en 2007
Bibliothèque d'État de Russie à Moscou :
42 millions de volumes Bibliothèque de Saint-Pétersbourg : 33
millions de volumes
Bibliothèque du Congrès (Washington) : 29
millions de volumes Bibliothèque de Pékin : 22 millions de
volumes
Bibliothèque de Novossibirsk : 13 millions de
volumes
Bibliothèque de l'Université d'Harvard : 13
millions de volumes
Bibliothèque nationale de France (Paris) : 13 millions
de volumes British Library Londres : 12 millions de volumes
New York Public Library : 11 million de volumes
British Library of Political and Economic Science : la
bibliothèque de la London School of Economics, avec plus de 4
millions de volumes imprimés -constituant ainsi la plus grande
bibliothèque des sciences sociales au monde.
Il faut cependant nuancer ces chiffres. Certaines
bibliothèques, notamment en Europe de l'Est, comptent chaque
périodique comme un volume.
Depuis quelques années, ces établissements, mais
aussi des Moteurs De Recherche Sur Internet développent une pratique de
numérisation de livres ainsi que des sites Web qui conduiront
bientôt à relativiser l'importance de ces données, en
prenant en compte les services offerts par ces bibliothèques aux
utilisateurs éloignés.
4.1.8. Les bibliothèques
imaginaires
Desbibliothèques, réelles ou non, apparaissent
dans de nombreuses oeuvres de fiction.
De nombreux écrivains ont développé le
thème d'une bibliothèque idéale, donc imaginaire. Le
poète et nouvelliste argentin Jorge Luis Borges en est l'un des exemples
les plus illustres. Toutefois certaines bibliothèques imaginaires sont
constituées de livres réellement écrits, d'autres
qualifiées de Biblia abiblia de livres n'ayant jamais
existé.
Dans les premières on peut citer :
O La Bibliothèque de Babel (Borges)
0 La bibliothèque du Docteur Faustroll (Jarry)
0 La bibliothèque du monastère
bénédictin dans Le Nom de la rose, (Umberto Eco)
inspiré par Borgès et son écrit De
Biblioteca, L'échoppe, Caen (1989)
Dans les secondes :
o Bibliothèque de l'abbaye de Saint-Victor
dans Pantagruel de Rabelais
o La bibliothèque de feu M. le Comte J.N.A de Fortsas,
qui a fait l'objet
d'une véritable mystification en juillet 1840, avec
l'annonce d'une
vente aux enchères et l'édition d'un
catalogue.
o Catalogue des livres de M. Ed. C. bibliothèque
facétieuse mise en vente le 1er avril prochain
(année ?) à la Salle des Bons-Enfants publié par le
bibliophile Guénoud.
o La bibliothèque perdue (Don Rosa)
4.2. Ouvrages15(*)
4.2.1. Définition
Ce qui est produit par un ouvrier.
Un ouvrage est ce qui est produit par l'ouvrier (le
résultat du travail de ses mains et donc son oeuvre) et par extension
l'artisan ou l'artiste. Ce terme s'applique dans différentes
domaines :
Ø Dans la construction
Un ouvrage dans le bâtiment est le résultat de la
construction :
· Gros ouvrage ou ouvrage lourd qui constitue la
structure le gros oeuvre.
· Ouvrage Leger ou menu ouvrage se disait de tous les
ouvrages ou l'on emploie le plâtre seul, ou le plâtre avec la
latte ; tels sont les crêpis, les enduit, les tuyaux de
cheminées, les aires de planchers, les plafonds, les hourdages et
ravalement de cloisons et pans de bois, la corniche, entablement, moulure,
plinthes, bandeaux, toute saillies et enfin, les divers scellements, etc......
· On parle d'ouvrage d'art pour désigner un pont,
un viaduc, un tunnel et toute construction destinée au franchissement
d'obstacle naturel par une route / ou une voie ferrée.
· Ouvrage publics, construction relevant du domaine
public sur lequel sont souvent réalises des travaux publics, et utilise
des travaux publics, et utilise des besoins d'intérêt
généraux.
Exemple : Immeuble, stadium, gymnase municipale,
zénith, école publics.
Une tache est un ouvrage que doit faire un ouvrier dans un
certain temps et pour certains prix.
Ø Dans la couture
L'ouvrage des couturières, brodeuses et
dentellières.
Ø En littérature
Un ouvrage est un livre.
4.3. La réserve
D'une manière générale une
réserve désigne un ensemble (le contenue ou par extension le
contenant) mis a cote a titre de sécurité, de provision ou de
conservation.
· En politique, la «réserve
parlementaire est » est une dotation financière utilisable par le
sénateur et député, issue des budgets de l'assemble
nationale et du sénat, qui sert a finances des associations et des
collectivités des leurs circonscription.
· En beaux art, les réserve sont les parties qu'on
laisse en blanc dans certains procèdes comme l'aquarelle et le
lavis.
Et pour finir :
· Dans le domaine des bibliothèques la
réserve est le lieu où l'on stocke un ensemble de document rare
et précieux demandant une protection particulière et dans la
communication est soumise à certaines conditions.
4.4. L'emprunt
Définition : Action d'emprunter16(*).
Emprunt public : dette contractée sur le
marché des capitaux par l'Etat ou par une collectivité
publique.
Le fait d'emprunter à un autre auteur ses idées,
son style, etc. ;
Chose, somme empruntée.
Emprunter : Obtenir de l'argent ou un objet à
titre de prêt.
Prendre ailleurs pour s'approprier.
CHAPITRE II : ETUDE D'OPPORTUNITE
Section 1. PRESENTATION DE LA BIBLIOTHEQUE
URBAINE DE KINSHASA
1.1. Historique
1994 : Création du Service Urbain
des Archives et Documentation, par le Gouverneur Benandin MUNGUL DIAKA par
arrêté N°SC/011/03KN94 de janvier 1994 et se donne pour
mission de collectionner et d'organiser la documentation produit et reçu
à l'Hôtel de Ville de Kinshasa.
1996 : Elle devient l'une de
sélection du bureau charge des Archives et documentation, lors de
l'intérim de Mme la Vice-Gouverneur NKOYI MAFUTA, dans le cadre de la
restructuration du bureau d'études. Sa mission était de collecter
et de communique au Gouverneur et à ses collaborateurs les informations
documentaires nécessaires.
1997 : Sur l'initiative du Gouverneur
Théophile MBEMBA FUNDU, fut émis un arrêté portant
création et organisation d'un Service Urbain Technique et Scientifique
permanent dénommé « Service des Archives et
Documentation » avec pour mission d'offrir un large choix de document
pour toutes les catégories du public et sera appelée plus tard
« Bibliothèque Urbaine de
Kinshasa ».
2001 : l'Ambassade de la France en RDC,
à travers son service de Coopération et d'Action Culturelle
(SCAC) et par le biais de son projet d'appui à la
documentation en République du Congo (PADOC), choisit
la Bibliothèque Urbaine de Kinshasa pour un partenariat. C'est ainsi que
la bibliothèque urbaine de Kinshasa changea d'appellation pour
être désormais dénommée
« Médiathèque Francophone de la Funa ».
2002 : Inauguration et ouverture officielle
de la Médiathèque Francophone de la Funa, signé par
l'arrêté n° SC/112BG/COJU/LP/2002 par le Gouverneur David NKU
IMBIE.
2017 : Partenariat avec l'Ambassade
Américaine en RDC. Inaugurée par son Excellence Monsieur le
Gouverneur de la Ville de Kinshasa André KINBUTA,
cérémonie à laquelle ont pris part d'éminentes
personnalités.
1.2. Missions/Objectifs de la BUK
La Bibliothèque Urbaine de Kinshasa est
rattachée au Cabinet du Gouverneur et sous son autorité. C'est un
Service Public à caractère culturel, scientifique et
technique : elle poursuit une quadruple missions (Patrimoniale,
informatrice, formatrice et d'Archives) et, à ce titre, elle est
appelée à :
1. Collectionner, traiter, conserver et
communiquer
Toute la documentation produite par la ville, quel que soit
son support, et ainsi que celle ayant trait aux divers aspects de la vie
urbaine, nationale et internationale.
2. Promouvoir
La lecture public et assumer l'intégration et la
coordination des réseaux d'information tant nationaux
qu'étrangers ;
3. Sous forme d'assistance et de conseil,
Elle contribue à la création et au
fonctionnement des archives et centres de documentations des
entités ;
4. Elle assure l'encadrement pédagogique des
étudiants de toute provenance,
Ainsi que la formation conduite de son personnel ou autres
organismes documentaires nationaux ou étranger en
bibliothéconomie, en archivistique et en documentation.
1.3. Localisation géographique de la BUK
La Bibliothèque Urbaine de Kinshasa est
localisée au coeur de la ville de Kinshasa, la capitale de la
République Démocratique du Congo précisément dans
la commune de Limete (1ére rue), située au numéro 3 de
l'avenue Saint-Christophe, quartier Funa à Kinshasa, à
proximité des différents établissements. Il y a une
imposante signalétique fixée juste devant le bâtiment de la
BUK assurant sa visibilité.
1.4. Statut juridique de la BUK
La Bibliothèque Urbaine de Kinshasa existe par
arrêté N°SC/112/BG/COJU/LP/2003 signé par son
Excellence le Gouverneur David NKU IMBIE.
|
1.5. ORGANIGRAMME GENERALE DE LA BUK
1.6. Description des postes
A la tête de la bibliothèque francophone de la
Funa, il y a un directeur ou chapeaute, en personnel scientifique et technique,
administrative et ouvrier sous un règlement particulier d'administration
édité par l'autorité de la vile. Au sein de la
bibliothèque, il y a trois sections et cinq bureaux suivant la structure
ci-dessous :
A. LES SECTIONS
Ø SCD (Section du circuit du
document) : elle est chargée de toutes les manoeuvres intervenant
dans cette section dès son acquisition en passant par le traitement
jusqu'à la diffusion qui est l'étape finale de la chaine
documentaire ;
Ø SAF (Section administrative et
financière) : elle s'occupe du fonctionnement et de l'organisation
de l'administration et de finances avec comme objectif d'assurer le suivi des
tâches qui sont assignées à la
bibliothèque ;
Ø SACSR (Section archives, collection
spéciales et reluire) : cette section s'emploie à collecter,
traiter et conserver toutes les archives de l'hôtel de la ville de
Kinshasa et s'occuper de toutes les collections spéciales ainsi que la
reluire des documents en état de délabrement.
B. LES BUREAUX
La bibliothèque comprend les bureaux suivants :
Ø CERES (Centre des ressources) :
ce bureau est chargé de toutes les opérations de traitement sur
l'ordinateur, la formation en informatique ainsi que la navigation à
internet ;
Ø BIJE (Bibliothèque
jeunesse) : ce bureau reçoit un grand nombre des jeunes ;
Ø FOSSTD (Formation supérieure
en science et technique documentaire) : comme l'indique le nom, c'est le
bureau chargé des formation en science et technique documentaires
prévues pour les bibliothèques.
Section 2. Analyse de
l'existant
Le service qui s'occupe de la gestion de
réservation/emprunt des ouvrages à la BUK c'est le service
d'accueil.
Ce service d'accueil des usagers (abonnée) à la
taches des :
Ø Informer les usagers sur les procédures
d'accès à la bibliothèque ;
Ø Apporter une aide à la localisation des
documents ;
Ø Présenter les différents services de la
bibliothèque ;
Ø Répondre à une demande ;
Ø Donne une information.
Ce service constitue un enjeu crucial pour la bibliothèque
puisque c'est à travers lui qu'elle construit quotidiennement l'image de
la bibliothèque.
2.1. Organigramme du service
concerné
2.2. Description des
postes
Ø Caisse : il s'occupe des
réservoirs les frais d'accès à la bibliothèque.
Ø Gestionnaire des abonnées :
il gère tous les abonne qui ont payes les droit d'accès à
la bibliothèque et gère aussi des ouvrages qui ont
été consulte par les usagers (abonnée) pour faire le
statistique de chaque ouvrages.
Or mis le ce deux service il y a un service qui est
rattaché au service d'accueil qui lui aussi tire ces fonctions du
service d'accueil :
Ø Orientation : consiste à
aide, orientée et informée chaque usager (abonnée) dans
ces recherche du début jusqu'à la fin. Ainsi l'usager est en bon
mains car même si il se perde une main lui est fidèlement tendue
pour mieux se repérer.
2.3. Étude des
documents
Pour la gestion des abonnés de la
bibliothèque Urbaine de Kinshasa, voici les documents
utilisés :
· La tarification
· La fiche d'adhésion
· Le cahier d'enregistrement
2.3.1. Rôle des
documents
Ø La tarification : là ou est
représenter toutes les conditions d'accès ou d'abonnement
à la BUK qui peut être journalier, mensuel, trimestriel ou mensuel
et dont les couts varie selon la catégorie des usagers (abonnée)
suivants : Elevés, Etudiants, Recherche, etc...
Ø La fiche d'adhésion
(enregistrement) : consiste à identifier (enregistrer) les
usagers pour mieux le connaitre et les gères.
Ø Cahier d'enregistrement : consiste
à enregistre tous les ouvrages consulter par les usagers
(abonnée) et pour mieux faire les statistiques de chaque ouvrages.
2.3.2. Description du
document
2.3.2.1. Description
représentatif
· · 251642368La
tarification
· La fiche d'adhésion
· Cahier d'enregistrement
2.3.2.2. Description
explicatifs
· Tarification
Document
|
Rubriques
|
Code
|
Libelle
|
Rôle
|
Origine
|
Désignation
|
Signification
|
Type
|
Taille
|
Tar
|
Fiche de tarification
|
Pour voir le prix d'abonnement
|
Réception
|
Int
|
Intitulé
|
AN
|
95
|
N°
|
Numéro du fiche
|
AN
|
6
|
Tpe abn
|
Type d'abonnement
|
A
|
15
|
Abn men
|
Abonnement mensuel
|
A
|
15
|
Abn tri
|
Abonnement trimestriel
|
A
|
1
|
Abn sem
|
Abonnement semestriel
|
A
|
15
|
Abn an
|
Abonnement annuel
|
AN
|
20
|
Et
|
Etudiant
|
AN
|
15
|
Cher
|
Chercheur
|
A
|
15
|
El
|
Elève
|
A
|
15
|
Cons jrs
|
Consultation journalière
|
AN
|
20
|
|
|
|
|
· Fiche d'adhésion
Document
|
Rubriques
|
Code
|
Libelle
|
Rôle
|
Origine
|
Désignation
|
Signification
|
Type
|
Taille
|
Fia
|
Fiche d'adhésion
|
Pour être enregistre
|
Gestionnaire d'abonnée
|
Int
|
Intitulé
|
AN
|
95
|
N°
|
Numéro du fiche
|
AN
|
6
|
Nom
|
Nom de l'abonnée
|
A
|
15
|
Post-nom
|
Post-nom de l'abonnée
|
A
|
15
|
Sexe
|
Sexe de l'abonnée
|
A
|
1
|
Profession
|
Profession de l'abonnée
|
A
|
15
|
Adresse
|
Adresse de l'abonnée
|
AN
|
20
|
Date
|
Date de l'enregistrement
|
AN
|
15
|
Cat
|
Catégorie de l'abonnée
|
A
|
15
|
Typ abn
|
Type d'abonnée
|
A
|
15
|
Tel
|
Téléphone de l'abonnée
|
N
|
10
|
|
|
|
|
· Cahier d'enregistrement
Document
|
Rubriques
|
Code
|
Libelle
|
Rôle
|
Origine
|
Désignation
|
Signification
|
Type
|
Taille
|
Cae
|
Cahier d'enregistrement
|
Pour établir les statistiques de chaque ouvrage
|
Gestionnaire d'abonnée
|
Int
|
Intitulé
|
AN
|
95
|
N°
|
Numéro du fiche
|
AN
|
6
|
Nom
|
Nom de l'abonnée
|
A
|
15
|
Post-nom
|
Post-nom de l'abonnée
|
A
|
15
|
Sexe
|
Sexe de l'abonnée
|
A
|
1
|
Typ abn
|
Type d'abonnée
|
A
|
15
|
Adresse
|
Adresse de l'abonnée
|
AN
|
20
|
Date
|
Date de l'enregistrement
|
AN
|
15
|
Ttre ouv
|
Titre d'ouvrage
|
A
|
15
|
Typ ouv
|
Types d'ouvrage
|
A
|
15
|
Aut ouv
|
Auteur de l'ouvrage
|
AN
|
20
|
|
|
|
|
2.4. Étude des moyens
de traitement des informations
2.4.1. Étude des
moyens humains
Poste
|
Nombre Agent
|
Rôle
|
Qualification
|
Ancienneté
|
|
|
|
|
|
Caissière
|
1
|
Percevoir le frais d'adhésion
|
comptable
|
-
|
|
Gestion des abonnées
|
1
|
Gérer les abonnées et faire les statistiques des
ouvrages lurent par les usagers
|
Gestionnaire
|
-
|
|
Orientation
|
30
|
Aide les usagers à mieux se retrouver dans la salle de
lecture et dans leurs recherches
|
Connaissance absolue sur les classements des ouvrages dans le
rayon de la bibliothèque
|
-
|
|
2.4.2. Étude des
moyens matériels
Nom de matériel
|
Nombre de matériel
|
Types
|
Marques
|
Années d'acquisition
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Chaise
|
4
|
En plastique
|
complaste
|
-
|
|
|
|
|
|
Ventilateur
|
1
|
-
|
LG
|
-
|
|
|
|
|
|
Carton Bic
|
2
|
A bile
|
Bravo
|
-
|
|
|
|
|
|
Calculatrice
|
2
|
commercial
|
Cassino
|
-
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Cahier
|
10-15
|
Quadriller
|
Bravo
|
-
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2.4.3. Étude des
moyens financiers
La bibliothèque urbaine de Kinshasa dépend de
fond qui vienne de l'hôtel de ville de Kinshasa (il dépend de
l'Etat congolaise).
2.5. Étude de la
circulation des informations
2.5.1. Narration
L'abonné se présente à la
réception le réceptionniste l'informe sur les procédures
d'accès et lui donne toutes les informations concernant la
BUK et l'envoi chez le gestionnaire des abonné qui lui
présente le fiche d'enregistrement qui là remplie et payes le
frais d'accès à la BUK.
Le gestionnaire des abonné l'envoi au service
d'orientation qui l'aide à faire le choix du s'ouvrages et le place
à la salle de lecture. A la fin de la journée l'abonné
restitue l'ouvrages à la réception, le gestionnaire des
abonné enregistre les ouvrages puis fait le statistique des chaque
ouvrages consulter.
2.5.2. Schéma de
circulation des informations
100
2OO
300
400
101
200
300
F.E
102
103
101
201
200
201
301
F.E
101
400
302
301
401
251673088
Abonné
|
Réceptionniste
|
Gestionnaire des abonnes
|
Orientation
|
Se présente à la réception
|
|
|
|
|
- Reçoit l'abonné
- L'informe
- L'envoie chez le gestionnaire
|
- Reçoit l'abonné
- Lui présente le fiche d'enregistrement
- L'envoie au service d'orientation
|
- Reçoit l'abonné
- L'aide à faire le choix des s'ouvrages
|
|
|
|
|
- Reçoit la fiche
- Paie le frais d'accès
|
|
- Enregistre les ouvrages
- Fait la statistique de chaque ouvrage consulté
|
|
- Restitue les ouvrages
|
|
|
|
2.5.3. Symboles et
Abréviations utilisés
100
251639296
: Présentation
d'un poste avec son numéro
251634176
: Document circulant
251636224
301
251635200
: Provenance
100
251637248
: Destination
251638272
2.5.4. Description du
schéma
· Description de tache
Code de poste
|
Code de tache
|
Commentaire
|
100
|
101
102
|
- Se présente à la réception
- Reçoit la fiche d'enregistrement
- Paie le frais d'accès
|
200
|
201
|
- Reçoit l'abonné
- L'informe
- L'envoi chez le gestionnaire d'abonné
|
300
|
301
302
|
- Lui présente une fiche d'enregistrement
- L'envoie au service d'orientation
- Enregistre les ouvrages
- Fait le statistique des chaque ouvrages consulté.
|
400
|
401
|
- Reçoit l'abonné
- L'aide à faire le choix des ouvrages
|
· Diagramme de flux
Légende
F1 : L'abonnée se présente à la
réception
F2 : La réceptionniste la reçoive et l'informe
sur le fonctionnement de la BUK
F3 : oriente l'abonnée chez le gestionnaire
d'abonnée
F4 : Reçois l'abonnée et lui présente
la fiche d'adhésion
F5 : La fiche est remise à l'abonnée, la
remplie et paye le frais d'abonnement
F6 : La fiche est remise au gestionnaire d'abonnée
F7 : oriente l'abonnée au service d'Orientation
F8 : oriente l'abonnée dans la salle de lecture
F9 : L'abonnée restitue les ouvrages, et le
gestionnaire d'abonnée enregistre les ouvrages et fait les statistiques.
· Matrice de flux
251643392
|
Abonnée
|
Réception
|
Gestionnaire d'abonnée
|
Fiche d'adhésions
|
Service d'orientation
|
Salle de lecture
|
Abonnée
|
|
Reçoit l'abonnée et l'informe F2
|
Restitue les ouvrages chez le gestionnaire des abonnées,
elle enregistre puis faite les statiques
|
Remplie la fiche d'adhésion et paye le frais d'abonnement
F5
|
|
|
Réception
|
Se présente à la réception F1
|
|
Oriente l'abonnée chez le gestionnaire d'abonnée
F 3
|
|
|
|
Gestionnaire d'abonnée
|
Reçoit l'abonnée et lui présente le fiche
d'adhésions F4
|
|
|
Remise de la fiche d'adhésions au gestionnaire
d'abonnée F6
|
Oriente l'abonnée au service d'orientation F7
|
|
Service d'orientation
|
|
|
|
|
|
Oriente l'abonnée à la salle de lecture F8
|
Section 3. Diagnostic de
l'existant
3.1. Points
négatifs
· Le travail ce fait manuellement ;
· La lenteur dans le travail ;
· Difficultés à retrouver les
informations ;
· Absences des matériels informatiques ;
· Absences d'une application et d'une base de
données pour la gestion des abonnées;
· Les matériels sont amortis
3.2. Points positifs
· Un grand nombre des agents ;
· Un personnel très qualifié et très
compètent ;
· Une bonne organisation dans le service ;
· Un bon suivie des abonnées depuis son entre
jusqu'à sa sortie ;
· Le respect du travail ;
· Un accueil chaleureux ;
· Une qualité dans le travail incomparable.
Section 4. Proposition des
solutions et choix de la meilleure solution
4.1. Proposition des
solutions
4.1.1. Solution manuelle
améliorée
· Bien organiser le service ;
· Renouvellement des matériels et d'autres outils
du travail ;
· Une bonne conservation des informations pour une
meilleure consultation.
4.1.2. Solution
informatique
· Mettre en place des ordinateurs efficaces et puissants
adaptés aux opérations et d'autres matériels
informatique ;
· Mettre en place un système d'automatisation des
opérations pour la rapidité et la sécurité des
informations ;
· Mettre en place une base de données pour la
gestion des abonnées ;
CHAPITRE III :
CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION ORGANISATIONNEL
Introduction
La première étape d'étude du SI est un
niveau qualifié de système d'information organisationnel (S.I.O),
il est donc conçu avec la participation des utilisateurs de
l'application.
Le S.I.O comprend deux niveaux :
· Le niveau conceptuel
· Le niveau organisationnel.
Les niveaux conceptuel et organisationnel gèrent les
problèmes d'organisation et de répartition de l'utilisation.
Section 1 :
Étape conceptuelle
Cette étape consiste à répondre à
la question QUOI ? C'est-à-dire ce qu'il faut faire, avec quelle
données ? À ce niveau, on ne se préoccupe pas de
l'organisation du travail ni du matériel utilisé. Elle exprime
les choix fondamentaux de gestion (recherche des éléments
stables) indépendamment des moyens à mettre en oeuvre, de leurs
contraintes et de leur organisation, les objets de l'organisation.
Les deux modèles sont :
· Le modèle conceptuel de données ;
· Le modèle conceptuel de traitements.
1.1. Modélisation
Conceptuelle des Données (MCD)
1.1.1. But
Le modèle conceptuel des données (MCD) a pour
but de décrire de façon formelle les données qui seront
utilisées par le système d'information.
Il s'agit donc d'une représentation des données,
facilement compréhensible, permettant de décrire le
système d'information à l'aide d'entités.
1.1.2. Définition
des concepts de base
Les concepts de base sont :
· Les objets (entités)
· Les relations (association)
· Les propriétés
· Les cardinalités
Ø L'objet
Un objet est une entité concrète ou abstraite
pourvue d'existence propre et conforme au choix de gestion d'une entreprise.
Ø Relation
Une relation entre objets est une association ou un lien
perçu dans le réel entre deux ou plusieurs entités.
Une relation est dépourvue d'existence propre.
· Dimension d'une relation
La dimension d'une relation est le nombre d'objets qui
participent à cette relation.
Ainsi, une relation peut être de dimension :
Unaire : relation d'un objet sur
lui-même. Cette relation est aussi appelée relation
réflexive.
Binaire : relation entre deux objets.
Ternaire : relation entre trois objets.
N-aire : relation entre n objets.
Remarque : deux mêmes entités peuvent
être plusieurs fois en association. Il s'agit des associations
plurielles.
Ø Propriété
Chaque objet doit être décrit par des
propriétés. Dans le cas de notre exemple,
Une propriété est une donnée
élémentaire que l'on perçoit sur un objet ou sur une
relation entre objets. Chaque valeur prise par une propriété est
appelée occurrence.
Une occurrence d'un objet est un élément
individualisé appartenant à cet objet.
Une occurrence d'une relation est une relation
individualisée constituée d'une et d'une seule occurrence des
objets participants à la relation.
Considérant la relation commander produit entre l'objet
produit et l'objet commande, un produit a été commandé au
titre d'une certaine commande pour une quantité donnée.
Il existe deux sortes de propriétés :
· L'identifiant ;
· Les autres propriétés.
0. L'identifiant :
· L'identifiant de l'objet est une
propriété particulière de l'objet telle qu'à chaque
valeur de la propriété corresponde une et une seule occurrence de
l'objet. C'est une propriété qui permet de distinguer ou
d'identifier sans confusion (de manière univoque) deux ou plusieurs
occurrences d'un objet.
· L'identifiant de la relation c'est l'identifiant obtenu
par concaténation des identifiants objets participant à la
relation.
1. Les autres
propriétés :
Ce sont des informations élémentaires dont le
rôle est de qualifier l'objet ou la relation
Ø Cardinalité
La cardinalité d'un objet par rapport à une
relation est une expression qui permet d'indiquer combien de fois au minimum ou
au maximum le lien entre entités peut se produire. Elle s'exprime par
deux nombres, la cardinalité minimale et la cardinalité
maximale.
Cardinalité minimale (0 ou 1) : c'est le nombre de
fois minimum qu'une occurrence d'un objet participe aux occurrences de la
relation.
· Cardinalité maximale (1 ou n) : c'est le
nombre de fois maximum qu'une occurrence d l'objet participe aux occurrences de
la relation.
Formalisme
1.1.3. Présentation
de la règle de gestion
Règle 1 : une abonnée peut se
présenter chez un et un seul réceptionniste ; chez un
réceptionniste peut se présenter un ou plusieurs
abonnées.
Règle 2 : un gestionnaire d'abonnée
reçoit un ou plusieurs abonnées ; une abonnée est
reçu chez un et un seul gestionnaire d'abonnée.
Règle 3 : une abonnée remplie une et une
seul fiche d'adhésion ; une fiche d'adhésion est remplie par
un et un seul abonné.
Règle 4 : une abonnée effectue un ou
plusieurs paiements ; un paiement est effectué par une ou plusieurs
abonnées.
Règle 5 : une abonnée est oriente vers un
ou plusieurs service ; un service est oriente vers un ou plusieurs
abonnées.
Règle 6 : une abonnée consulte un ou
plusieurs ouvrages ; un ouvrages est consulter par une ou plusieurs
abonnées.
Règle 7 : un réceptionniste
récupère un ou plusieurs ouvrages ; un ouvrage est
récupérer par un et un seul réceptionniste.
1.1.4. Recensement et
description des entités
Ø Recensement des entités
En suivant notre démarche, nous avons ressemblé
les objets suivants pour construire le modelé conceptuel de
données :
· Abonnée
· Réceptionniste
· Gestionnaire d'abonnée
· Fiche d'adhésion
· Paiement
· Service
· Ouvrages
Ø Description des entités
N*
|
Entités
|
Propriété
|
Identifiant
|
Types
|
Taille
|
1
|
Abonnée
|
Num. abn
Nom. abn
Post-nom. abn
Prénom. abn
Sexe. abn
Adresse. abn
Téléphone. Abn
Categorie.abn
Type.abn
|
#
|
N
AN
AN
AN
A
AN
N
|
9
15
15
10
1
45
10
|
2
|
Réceptionniste
|
Mtricule. rec
Nom. rec
Post-nom. rec
Prénom. rec
Sexe. rec
Adresse. rec
Téléphone. rec
|
#
|
N
AN
AN
AN
A
AN
N
|
9
15
15
10
1
45
10
|
3
|
Gestionnaire d'abonnées
|
Mtricule. gst
Nom. gst
Post-nom. gst
Prénom. gst
Sexe. gst
Adresse. gst
Téléphone. gst
|
#
|
N
AN
AN
AN
A
AN
N
|
9
15
15
10
1
45
10
|
4
|
Fiche d'adhésions
|
Numéro. fch
Libellé. fch
Date. fch
|
#
|
N
AN
AN
|
9
15
15
|
5
|
Paiement
|
Date. Paie
Montant. paie
|
#
|
AN
AN
|
15
10
|
6
|
Service
|
Mtricule. srv
Nom. Srv
Types. srv
Rôle. srv
|
#
|
N
AN
AN
AN
|
9
15
10
15
|
7
|
Ouvrages
|
N* isbn
Auteur. Ouvr
Titre. ouvr
Nmbre page. ouvr
|
#
|
N
AN
AN
AN
|
10
15
25
10
|
1.1.5. Recensement et
description des relations
Ø Recensement des relations
Nous avons ensuite ressemblé suivante entre les objets
ou entités recensé précédemment :
· Se présenter
· Recevoir
· Remplir
· Effectuer
· Orienter
· Consulter
· Récupérer
Ø Description des relations
N*
|
Relation
|
Propriété
|
Dimension
|
Entité-associées
|
1
|
Se présenter
|
-
|
2
|
Abonnée-réceptionniste
|
2
|
Recevoir
|
-
|
2
|
Gestion abonnée-abonnée
|
3
|
Remplir
|
-
|
2
|
Fiche d'adhésion-abonnée
|
4
|
Effectuer
|
-
|
2
|
Paiement-abonnée
|
5
|
Orientation
|
Date-orient
|
2
|
Service-abonnée
|
6
|
Consulter
|
Date-consul
|
2
|
Ouvrages-abonnée
|
7
|
Récupérer
|
-
|
2
|
Réceptionniste-abonnée
|
1.1.6. Présentation du MCD
1.2. Modélisations
conceptuelle de traitement
1.1.1. Objectif
Le modèle conceptuel des traitements a pour objectif la
traduction en action des règles de gestion d'un système
d'information.
Le modèle conception des traitements met en lumière
les traitements effectués sur les données. Indépendamment
de toute contrainte liée à l'organisation.
1.1.2. Concepts de
base
Ø Processus
Le processus constitue un sous-ensemble de l'activité de
l'entreprise dont les points d'entrée et de sortie sont stables et
indépendants de choix d'organisation
Ø Evènement
C'est un stimulus qui provoque une réaction. Il existe
les évènements externes (qui déclenchent
l'opération) et les évènements internes (qui sont
déclenchés par une opération).
Ø Synchronisation
L'exécution d'une opération est toujours
conditionnée par un ou plusieurs événements.
La synchronisation d'une opération correspond à la
condition d'exécution de l'opération. Cette condition se
présente sous forme de condition booléenne
d'événement.
Ø Opération
Une opération est un ensemble d'actions
déclencheuses des résultats.
Ø Règles ou conditions d'émission
des résultats
Les règles d'émission de résultat sont de
règles qui conditionnent l'émission de résultat par une
opération.
1.1.3. Formalisme
de concepts
1.1.4.
Présentation du MCT
Section 2 :
Étape organisationnelle
Le niveau organisationnel a comme mission d'intégrer
dans l'analyse les critères liés à l'organisation
étudiée.
Il s'agit ici de la manière de faire. L'étape
organisationnelle consiste à répondre aux questions
« Quand », « Qui » et
« Ou» :
Ø Qui est posée pour déterminer la nature
du traitement ;
Ø Quand pour préciser le temps de
traitement ;
Ø Ou pour connaitre le lieu du travail.
Cette étape va se préoccuper de la
répartition géographique et fonctionnelle des sites de travail
mais aussi de l'organisation dans le système d'information
étudié. Cela veut dire mettre l'homme et la machine à la
place qu'il faut. Elle exprime les choix de moyens et de ressources humaines et
matérielles en déterminant les sites, les postes de travail.
1.1. Modélisation
Organisationnelle des Données (MOD)
Le niveau conceptuel de l'analyse des données ne
répond qu'à une seule question :
quoi ? Quelles sont les données spécifiques
au domaine étudié ?
L'analyse organisationnelle des données complète
le niveau conceptuel :
Ø En rapprochant les données aux utilisateurs
concernés : on parle alors de vues (qui ?)
Ø En définissant les autorisations
d'accès aux données par les différents acteurs
(comment ?)
Ø En prenant en compte la conservation des
données dans le temps : on parle d'historisation des données
(quand ?)
1.1.1. But
Pour le MOD on doit déterminer exactement quelles sont
les informations à conserve. On va donc ajouter des entités ou
des relations.
Voici quelques objectifs du MOD :
Ø Distinguer les données à
informatiser ;
Ø Quantifier les volumes et définir la
durée de vie des données ;
Ø Localiser les données par site ;
Ø Définir les niveaux de sécurité
requis ;
Ø Définir des individus et des relations de type
organisationnel.
1.1.2.
Règles de passage du MCD au MOD
L'obtention du modèle organisationnel des
données n'est pas une chose spontanée, elle résulte des
règles dites règles de passage. Ces règles sont aux
nombres de deux, à savoir :
1ère
règles : suppression de tous les objets et relations du
MCD qui ne seront pas mémorisés informatiquement
2ème
règles : création des objets et des relations de
référence aux objets supprimés.
1.1.3.
Présentation du MOD Global
Prenom -abon
Sexe-abon : Adresse-ab
Téléphone
#N*-abon :
Nom-abon :
Post-nom-abon :
Prenom-abon :
Sexe-abon :
Adresse-abon :
Categorie-abon :
Type-abon :
Nom-abon :
Post-nom-abon :
Abonné
#N*serv :
Lib-serv :
Type-serv :
Rôle-serv :
Service
#N*isbn-ouv :
Auteur-ouv :
Titre-ouv :
Nmbre page-ouv :
Ouvrages
#Matri-recep :
Nom-recep :
Post-nom-recep :
Prenom-recep :
Sexe-recep :
Adresse-recep :
Réceptionniste
#N*paie :
Date-paie :
Montant-paie :
Paiement
#Matri-gest abn :
Nom-gest abn :
Post-nom-gest abn :
Prenom-gest abn :
Sexe-gest abn :
Adresse-gest abn :
Téléphone-gest abn
Gestionnaire d'abonnée
CIF
CIM
CIF
CIF
CIF
CIM
(1, n)
(1, n)
(1, n)
(1, n)
(1, n)
(1, 1)
(1, n)
(1, n)
(1, 1)
(1, n)
(1, n)
(1, n)
251644416
1.1.4.
Dérivation du MOD Global en MOD Locaux
1. Site de présentation
2. Site d'enregistrement et orientation
3. Site de consultation et de restitution
1.2. Modélisation Organisationnelle des Traitements
(MOT)
1.2.1. But
Il complète la description conceptuelle des traitements
en intégrant tout ce qui est d'ordre organisationnel dans le domaine
étudié.
Le Modèle Organisationnel des Traitements
précise :
1. Qui exécute les traitements et la nature des
traitements :
Ø Manuels,
Ø Automatiques,
Ø Semi-automatiques.
2. Les lieux où sont exécutés les
traitements (poste de travail, serveur...).
3. Quand sont exécutés les traitements (notion
de temporalité).
Le Modèle Organisationnel des Traitements est
basé sur trois concepts principaux :
Ø L'événement.
Ø La phase ou procédure.
Ø Le résultat.
Le modelé organisationnel des traitements est une
opération qui vient du modèle conceptuel du traitement mais ici
il a organisation des traitements, sa nous montre comment les traitements vont
se faire sur les données d'une manière organisationnel.
Le modelé organisationnel des traitements qui tiendra
compte du mode de fonctionnement de ces processus déjà
définit
Le MOT présente les objectifs suivants :
Ø Etudier et décrire le fonctionnement du
système d'information ;
Ø Répartir l'utilisation des données et
des traitements par type de site et type d'acteur ;
Ø Représenter la mise en oeuvre
organisationnelle des activistes.
2.2.2. Concepts de base
Trois éléments sont à déterminer
à ce niveau :
1. La nature de la tâche qui peut être :
Ø Traitement manuel (TM ou MA), si c'est l'homme qui
réalise la tâche.
Ø Traitement informatisé (TI ou TA) quand il
s'agit de l'homme et de la machine, avec deux modes : traitement temps
réel (TR) c'est-à-dire avec réponse immédiate et
traitement différé (TD) c'est-à-dire par lot.
Le délai de réponse de la tâche est un
paramètre important à ne pas négliger. Le délai
peut être immédiat (I) ou en différé(D).
2. Le déroulement de la tâche : elle peut se
déroule chaque jour, chaque semaine, chaque mois,....
3. Le poste de travail ou le lieu d'exécution de la
tâche.
TM (manuelle) U (unitaire) I (instantané)
TA (automatique) L (lot) D (diffère)
TI (informatique)
TR (réel)
2.2.3. Présentation du
MOT
Délai
|
Procédure de fonctionnement
|
Nature
|
Poste
|
|
|
TI-UI
TI-UI
TM-UI
|
Réception
Caisse
Bibliothèque
|
|
|
TM-UI
TM-UI
TI-UD
|
Salle de lecture
Réception
Gestionnaire des abonnées
|
Conclusion
Dans ce chapitre nous avons peut concevoir notre système
d'information organisationnel cette étape organisationnel est
constitué de deux niveaux le niveau conceptuel et le niveau
organisationnel, le niveau conceptuel a deux modèles : le
modèle conceptuel de données (MCD) et le modèle conceptuel
de traitements (MCT) et le niveau organisationnel a aussi deux
modèles : le modèle organisationnel de données (MOD)
et le modèle organisationnel de traitements (MOT).
CHAPITRE IV :
CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISE
Section 1 :
Présentation des scénarios
La seconde étape est celle du système d'information
informatisée (S.I.I), il est du ressort de l'équipe informatique
uniquement. Cette étape ne prend en compte que la solution
informatisée.
Elle comprend deux niveaux à savoir :
· Le niveau logique ;
· Le niveau physique.
Les niveaux logiques et physiques gèrent les
problèmes de présentation et de réparation des
stockages.
1.1. Scénario de mise
en oeuvre
1.1.1.
Présentation du Hardware
Nous avons utilisé les matériels suivant :
Un processeur AMD Turion (tm) 64X2 Mobile Technology TL-60
2.00GHz, un mémoire RAN de 3.00Go, un disque dur de 250Go, un lecteur cd
ST9402115 AS ATA Device, un moniteur Plug-and-Play générique, et
un souris compatible PS/2.
1.1.2.
Présentation du Software
a. Système d'exploitation
Un système d'exploitation 32bits de Windows seven(7)
b. Logiciels d'application
Office 2010(word, excel, access) SQL server, visual basic.
1.2. Scénario de développement
2.1. Choix du SGBD
Nous avons choisi le système de gestion de base de
données SQL serveur car elle est plus performante que d'autres SGBD et
il nous permet de manipuler les grosses données (DATA).
2.2. Choix du langage de
programmation
Nous avons préféré utilisée le Visual
basic car c'est un langage orienté objet et nous donne plusieurs
opportunité à l'utilisée et à mieux programmer.
Section 2 : Étape logique
Le niveau logique est indépendant du matériel
informatique, des langages de programmation ou de la gestion des
données. C'est la réponse à la question Avec quoi ?
Quels outils ?
Il exprime la forme que doit prendre l'outil informatique pour
être adapté à l'utilisateur, à son poste de travail
et cela se fait indépendamment du langage de programmation et de
système de gestion de base de données.
Cette étape permet aussi de décrire le
schéma de la base de données, la répartition de
données sur les unités de stockage, le volume par unité de
stockage.
2.1. Modélisation
Logique des Données
A ces niveaux il est question de décrire les
données en tenant compte de leurs conditions d'utilisation par les
traitements.
Le Modèle Logique de Données est indépendant
du matériel et du logiciel. C'est le point primordial de la
modélisation.
2.1.1. But
2.1.2. Règles de
passage du MOD au MLD brut
Les réglé de passage du MOD au Modèle
Logique de Donnés relationnels sont exactement les même que pour
le passage du MCD au MLD. Il faut partir du MOD global pour obtenir le MLD
relationnel.
· L'objet se transforme en table ;
· L'identifiant de l'objet devient la clé primaire de
la table ;
· Les propriétés de l'objet deviennent les
attributs de la table ;
· La relation de type père-fils (cardinalités
du Père : 0, n ou 1, n - cardinalités du Fils : 0, 1 ou
1,1) disparait. L'identifiant de l'objet père devient un attribut de la
table fils. Cet attribut est appelé clé étrangère.
Si la relation est porteuse des propriétés elles migrent vers la
table fils ;
· La relation de type autre que père-fils
(Cardinalité 0, n ou 1, n) devient une table de lien. L'identifiant de
la relation devient la clé primaire de la table.
251658752251655680
#N°abon
#Matri-recep
#Matri-gest-abon
Nom-abon :
Post-nom-abon :
Prénom-abon :
Sexe-abon :
Adresse-abon :
Abonnée
#N°fiche :
#N°abon :
Libelle-fiche :
Fiche d'enregistrement
#N°paie :
#N°abon :
Date-paie :
Montant :
Paiement
#Matri-récep :
Nom-recep :
Post-nom-récep :
Prénom-récep :
Sexe-récep :
Adresse-récep :
Téléphone-récep :
Réceptionniste
#N°isbn :
#Matri-récep :
Titre :
Nbre page :
Ouvrage
#Date-consul :
#N°abon :
#N°isbn :
Consulter
#Matri-gest abn :
Nom-gest abn :
Post-nom-gest abn :
Prénom-gest abn :
Sexe-gest abn :
Adresse-gest abn :
Téléphone-gest abn :
Gestionnaire d'abonnée
#Date-orient :
#N°abon :
#N°service :
Orientation
#N°service :
Nbre-service :
Service
2516454402.1.3. Présentation du MLD brut
2.1.4. Normalisation
Le MLD obtenu précédemment pour le type de
représentation relationnel est un modèle non optimisé sur
le plan performance des accès logiques. Il doit être
normalisé pour être optimisé.
a. OBJECTIF
Son objectif est d'éviter les anomalies dans les bases
de données relationnelles :
· Problèmes de mise à jour.
· Suppression des redondances d'informations.
· Simplification de certaines contraintes
d'intégrité.
Poursuivre l'optimisation et déterminer le nombre
d'accès logiques du MLD. Le passage du MOD donne le MLD brut parce qu'il
contient les redondances. Ces redondances sont dues du fait qu'il n'y a pas
respect de règles de vérification. Si les règles sont
respectées à ce niveau, il n'est pas brut mais normalisé
jusqu'à la 3ème forme.
Le but essentiel de la normalisation est d'éviter les
anomalies transactionnelles pouvant découler d'une mauvaise
modélisation des données et ainsi éviter un certain nombre
de problèmes potentiels tels que les anomalies de lecture, les anomalies
d'écriture, la redondance des données et la
contre-performance.
La normalisation des modèles de données permet
de vérifier la robustesse de leur conception pour améliorer la
modélisation (et donc obtenir une meilleure représentation) et
faciliter la mémorisation des données en évitant la
redondance et les
problèmes sous-jacents de mise à jour ou de cohérence
b. LES
RÈGLES DE NORMALISATION
Il existe 5 règles appelées formes normales
(FN) :
· La 1ère forme normale : une
table est en 1ère forme normale si elle possède une
clé primaire et si ses attributs sont élémentaires
c'est-à-dire non décomposables.
· La 2ème forme normale : une
table est en 2ème forme normale si étant
déjà en 1ère forme normale, ses attributs sont
en dépendance fonctionnelle avec la clé primaire ;
· La 3ème forme normale : une
table est en 3ème forme normale si étant
déjà en 2ème forme normale, ses attributs sont
en dépendance fonctionnelle directe avec la clé primaire
c'est-à-dire aucun attribut ne peut dépendre de la clé
s'il dépend transitivement via un autre attribut.
Les deux dernières règles sont appelées
sont des cas particuliers et sont appelées formes normales de BOYCE
CODD : elles permettent d'éviter les redondances dues à
l'existence de dépendances fonctionnelles autre que celles de la
clé vers les attributs non clés ;
En pratique, la première et la deuxième forme
normale sont nécessaires pour avoir un modèle relationnel juste.
Les formes normales supplémentaires ont leurs avantages et leurs
inconvénients.
Les avantages sont :
· de limiter les redondances de données ;
· de limiter les incohérences de données
qui pourraient les rendre inutilisables ;
· d'éviter les processus de mise à jour
Les inconvénients sont :
· des temps d'accès potentiellement plus longs si
les requêtes sont trop complexes ;
· une plus grande fragilité des données
étant donné le non redondance ;
· un manque de flexibilité au niveau de
l'utilisation de l'espace disque ;
Pour des petites bases de données, se limiter à
la troisième forme normale est généralement une des
meilleures solutions d'un point de vue architecture de base de données,
mais pour des bases de données plus importantes, cela n'est pas toujours
le cas. Il s'agit de choisir l'équilibre entre deux options :
· La génération dynamique des
données via les jointures entre tables
· L'utilisation statique des données correctement
mises à jour
#N°abon
#Matri-gest-abon :
#Categ-abon :
Nom-abon :
Post-nom-abon :
Prénom-abon :
Sexe-abon :
Adresse-abon :
Téléphone-abon :
Abonnée
#N° paie :
#N°abon :
Date-paie :
Montant :
Paiement
#Matri-récep :
Nom-recep :
Post-nom-récep :
Prénom-récep :
Sexe-récep :
Adresse-récep :
Téléphone-récep :
Réceptionniste
#N°isbn :
#Matri-récep :
Titre-ouvr :
Nbre page-ouvr :
Ouvrage
#Date-consul :
#N°abon :
#N°isbn :
Consulter
#Matri-gest abon :
Nom-gest abn :
Post-nom-gest abon :
Prénom-gest abon :
Sexe-gest abon :
Adresse-gest abon :
Téléphone-gest abon :
Gestionnaire d'abonnée
#Date-orient :
#N°abon :
#N°service :
Orientation
#N°service :
#Type-fnct :
Nbre-service :
Service
#Categ-abon :
Libelle-abon :
Type d'abonnée
#Type-fnct :
Libelle-fnct :
Fonction
2516464642.1.5. Présentation du MLD Valide
251656704
251657728
2.1.6. Schémas logiques
associés au MLD V
Les schémas relationnels associés au
modèle des données sont les schémas des différentes
tables constituant notre modèle logique des données valide.Il est
constitué du nom de la table suivi de la liste des attributs avec leurs
domaines des valeurs.
Les schémas relationnels associés au
modèle logique des données sont les suivants :
1. T. Abonnée :{ [#N°abon : texte (10)],
[#Matri-récep : texte (10)], [#Matri-gest-abon : texte(10)],
[#Categ-abon : texte(10)], [Nom-abon : texte
(20)],[Post-nom-abon : texte (25)],[Prénom-abon : texte
(15),[Sexe-abon : texte (1)],[adresse-abon : texte(35)],
[téléphone-abon : texte(10)]}.
2. T. Réceptionniste :{
[#Matri-récep : texte (10)], [Nom-récep : texte(25)],
[Post-nom-récep : texte (25)], [Prénom-récep :
texte (15)], [Sexe-récep : texte(1)], [adresse-récep :
texte(35)], [Téléphone-récep : texte(10)]}.
3. T. Gestionnaire d'abonnée :{
[[#Matri-gest-abon : texte (10)], [Nom-gest-abon : texte(25)],
[Post-nom-gest-abon : texte (25)], [Prénom-gest-abon : texte
(15)], [Sexe-gest-abon : texte(1)], [adresse-gest-abon : texte(35)],
[Téléphone-gest-abon : texte(10)]}.
4. T. Paiement :{ [N° Paie : texte(10)],
[#N° Abon : texte(10)], [Date-paie : texte(25)], [Montant :
texte(15)]}.
5. T. Type d'abonnée :{ [#Categ-abon :
texte(10)], [Libelle-abon : texte(15)]}.
6. T. Orientation :{ [#Date-orient : texte(10)],
[#N°abon : texte(10)], [N°service : texte(10)]}.
7. T. Service :{ [#N°service : texte(10)],
[#Ident-fnct : texte(10)], [Nbre-service : texte(10)]}.
8. T. Fonction :{ [#Type-fnct : texte(10)],
[Libelle-fnct : texte(10)]}.
9. T. Ouvrage :{ [N°isbn : exte(10)],
[#Matri-récep : texte(10)], [Titre-ouvr : texte(25)], [Nbre
page-ouvr : texte(10)]}.
10. T. Consulter :{ [#Date-consul : texte(15)],
[#N°abon : texte(10)], [#N°service : texte(10)]}.
2.1.7. Dictionnaire des
données
CHAPS
|
|
TABLES
|
CONSULTATION
|
OUVRAGE
|
PAIEMENT
|
TYP.ABON
|
ORIENTATION
|
SERVICE
|
FONCTION
|
ABONNEE
|
RECEPTION
|
GEST_ABON
|
Date-consul
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N°abon
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N°isbn
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N°isbn
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Titre-ouvr
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Nbre pag
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N° paie
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
Date-paie
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
Montant
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
Ident-abon
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
Lible-abon
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
Date-orient
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
N°service
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
N°abon
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
N°service
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
Ident-fnct
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
Nbre-service
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
Ident-fnct :
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
Libelle-fnct
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
N°abon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Matri-récep
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Matrigestab
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Ident-abon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Nomabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Pnomabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Prnomabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Sexeabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Adresabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Téléphabon
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
Matri-récep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Nom-recep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Pnomrécep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Prnomrécep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Sexrécep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Adresrécep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Téléphrécep
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
Matgestabon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Nomgestabn
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Pnomgestabon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Prnomgestabon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Sexgestabon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Adregest abon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
Téléphgestabon
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*
|
2.1.8. Calcul du volume de la
base de données
a. CALCUL DU VOLUME DES TABLES (VTT)
N°
|
TABLES
|
TAILLE
|
NBRE OCC.
|
VOLUME
|
1
|
PAIEMENT
|
100
|
500
|
50000
|
2
|
ABONNEE
|
150
|
5000
|
750000
|
3
|
RECEPTIONNISTE
|
150
|
5000
|
750000
|
4
|
SERVICE
|
50
|
2000
|
100000
|
5
|
ORIENTER
|
50
|
800
|
40000
|
6
|
CONSULTER
|
50
|
500
|
25000
|
7
|
OUVRAGE
|
100
|
500
|
50000
|
8
|
FONCTION
|
50
|
500
|
25000
|
9
|
GESTIONNAIRE.ABON
|
150
|
5000
|
750000
|
10
|
TYPE D'ABONNEE
|
60
|
300
|
18000
|
VOLUME TOTALE DES TABLES : 2558000octets
|
a. CALCUL DU VOLUME DES INDEX (VTI)
N°
|
TABLES
|
TAILLE
|
NBRE OCC.
|
VOLUME
|
1
|
PAIEMENT
|
30
|
500
|
15000
|
2
|
ABONNEE
|
45
|
5000
|
225000
|
3
|
RECEPTIONNISTE
|
45
|
5000
|
225000
|
4
|
SERVICE
|
15
|
2000
|
30000
|
5
|
ORIENTER
|
20
|
800
|
16000
|
6
|
CONSULTER
|
20
|
500
|
10000
|
7
|
OUVRAGE
|
30
|
500
|
15000
|
8
|
FONCTION
|
20
|
500
|
10000
|
9
|
GESTIONNAIRE.ABON
|
45
|
5000
|
225000
|
10
|
TYPE D'ABONNEE
|
30
|
300
|
9000
|
VOLUME TOTALE DES INDEX : 780000
|
a. CALCUL DU VOLUME DE LA BASE DE
DONNÉES
Le volume global da la base des données est la somme du
volume des tables et celui des index multiplié par le coefficient
multiplicateur.
V= (VTT+VTI)*2,5
251647488
V= (2558000+780000)*2,5
= 3338000 octets
= 3338000/1024 Kilos octets
= 3259,765625/1024
= 3,183364868164063Mo
2.2. Modélisation
Logique des Traitements
2.2.1. But
Le MLT définit comment les tâches informatiques
sont conçues. Il est composé des procédures logiques et
ces dernières sont composées des unités logiques de
traitement(ULT).
1.2.2. Concepts de
base
· Site Organisationnel : c'est le lieu
où s'effectue un traitement utilisant une ou plusieurs machines
logiques.
· Machine Logique : c'est un ensemble
des matériels et des logiciels (ressources informatiques).
· Unité Logique des
traitements : portion d'une tache logique qui est
exécutée d'une manière automatique.
· Procédure Logique : c'est
l'enchainement logique de plusieurs unités logiques de traitement
effectuées par une machine logique.
2.2.3. Présentation
du MLT
Début
ULT 01
PAGE D'ACCUEIL
-Affichage logo du Bibliothèque Urbaine de Kinshasa
BIENVENUE A L'APPLICATION DE GESTION DES RESERVATION/EMPRUNT
DES OUVRAGES
ULT 02
AUTHENTIFICATION
-Affichage logo du Bibliothèque Urbaine de Kinshasa
Nom de l'utilisateur
Mot de passe utilisateur
ANNULER
VALIDER
QUITTER
FIN
ULT 03
MENU GENERAL
CREATION & MISE A JOUR
EDITION DES ETATS
QUITTER
OU
ULT 05
ULT 04
251648512
ULT 04
ULT 04
CREATION & MISE A JOUR
PAIEMENT
CONSULTER
FONCTION
ABONNEE
OUVRAGE
OREINTATION
SERVICE
TYPE D'ABONNEE
RECEPTIONNISTE
GESTIONNAIRE D'ABONNEE
FERMER
QUITTER
ULT 03
ULT 12
ULT 010
ULT 05
ULT 07
ULT 06
ULT 09
ULT 08
ULT 11
ULT 14
ULT 13
FIN
ULT 05
EDITION DES ETATS
CARTE D'ABONNEE
LISTE DES ABONNEE
LISTE DES OUVRAGES/AUTEUR
LISTE DES OUVRAGES/TITRES
FERMER
QUITTER
ULT 04
LISTE DES OUVRAGES
ULT 17
ULT 18
ULT 21
ULT 19
ULT 20
251649536
ULT 06
CREATION & MISE A JOUR COMMANDER
- Affichage du formulaire de réservation/emprunt
- Saisie
- Cliquer
AJOUTER
RECHERCHE
SUIVANT
MODIFIER
ENREGISTRE
SUPPRIMER
PREMIERE
DERNIERE
FREMER
QUITTER
ULT 04
FIN
TABLE OUVRAGE
Toutes les unités logiques de traitement du menu
création & mise à jour auront les mêmes boutons et
chacune ira interagir avec sa table correspondante.
ULT 17
LISTE DES ABONNEE
- Affichage du formulaire abonné
- Cliquer
FERMER
QUITTER
APERÇUE
IMPRIMER
ULT 17
ULT 05
TABLE ABONNEE
251650560
Toutes les unités logiques de traitement du menu
édition auront les mêmes boutons et chacun ira interagira avec
ses tables et/ou aux requête correspondante.
1.2.3. Description
des ULT
Après la présentation du MLT, il est toujours
important de décrire c'est-à-dire pour chaque ULT
présenté son interface, la logique de dialogue et l'enchainement
des boutons.
Considérant le MLT ci-dessus l'ULT 02 peut être
décrit de la manière suivante :
a. Interface
Menu connexion
Code utilisateur :
Mot de passe :
Benito
***************
Annuler connxion
Ok connexion
Quitter connexion
251652608
Considérant le MLT ci-dessus l'ULT 03 peut être
décrit de la manière suivante :
Menu General
Bouton
Création & Mise à jour
Bouton
Edition
Quitter Menu General
251653632
Voilà nous avons décrit ce deux ULT
présenté son interface, la logique de dialogue et l'enchainement
des boutons.
b. Logique de dialogue
Pour l'ULT 02 :
Homme
|
Machine
|
251676160Saisie code utilisateur et mot de passe
|
Affichage écran boite de connexion
|
251677184Clic sur ok
|
Affiche l'ULT 03 si le code utilisateur et mot de passe et
correct sinon revient à la saisie.
|
251678208Clic sur annuler
|
Revient à la saisie du code utilisateur et mot de passe
|
251679232Clic sur quitter
|
Quitter l'application
|
Pour l'ULT 03 :
Homme
|
Machine
|
251680256clic sur création MAJ
|
Affiche l'ULT 04 pour la mise à jour
|
251681280clic sur Edition
|
Affiche l'ULT 06 pour création et mise à jour des
commandes
|
251682304Clic sur quitter
|
Quitter l'application
|
c. Enchainement des boutons
Pour l'ULT 02 :
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
Ok
|
Clic
|
Ouverture l'ULT 03 si le code utilisateur et mot de passe sont
corrects sinon revient à la ressaisie.
|
Annuler
|
Clic
|
Renvoie à la ressaisie du code utilisateur et mot de
passe
|
Quitter
|
Clic
|
Fermeture de l'application
|
Pour l'ULT 03 :
Bouton
|
Action
|
Résultat
|
Création MAJ
|
Clic
|
Ouverture l'ULT 04 pour la mise à jour de
donnée.
|
Edition
|
Clic
|
Ouverture de l'ULT 05 pour édité les états
|
Quitter
|
Clic
|
Fermeture de l'application
|
Section 3. Etape
physique
L'étape physique permet de définir l'organisation
réelle (physique) des données. il apporte les solutions.
Techniques. L'étape physique traduit les choix technique
et la prise en compte de leurs spécialités. C'est la
réponse à la question comment ?
3.1. Modèle physique
de données (MPD)
3.1.1. But
Le modèle physique de données nous permet avant
tout représentation du MPD c'est-à-dire la représentation
de la structure des tables.
Elle décrit comment la structure d'une base de
données est stockée sur un support magnétique
adressable.
En d'autres termes elle consiste à stoker la structure et
les données en respectant les limitations du SGBD utilisé.
3.1.2. Règles de
passage du MLD au MPD
Le passage du modèle logique des données au
modèle physique de données sera effectué grâce au
système de gestion de base de données que nous avons choisis.
Dans un environnement client-serveur, la mise en oeuvre d'une
base de données fait intervenir au moins deux personnes :
- L'administrateur de serveur de base de données :
c'est lui qui crée les comptes utilisateurs autorisée à
accéder au serveur de base de données
- Le ou les administrateurs de base de données dont le
rôle est de :
O créer et entretenir de base de données qu'ils ont
à gérer
O créer les autorisations d'accès sur les objets de
là ou de base de données
O mettre en oeuvre les traitements au niveau serveur.
3.2. Modèle Physique
des Traitements (MPT)
3.2.1. But
Le modèle physique des traitements est une étape
importante de conception du système informatique car, elle consiste
à représenter tous les traitements s'effectuant sur un
ordinateur.
Merise ne donne pas un modèle spécifique, il est
représenté sous forme arborescente.
LOGO
AUTHENTIFICATION
MENU GENERALE
Création & MAJ
Abonnée
Réceptionniste
Paiement
Ouvrage
Consulter
Orientation
Service
Gestionnaire d'abonnée
Type d'abonnée
Fonction
Ajouter
Modifier
Enregistre
Supprimer
Premier
Suivant
Précèdent
Dernier
Rechercher
Edition
Annuler
Quitter
Liste des abonnées
Liste des ouvrages
Liste des ouvrages/auteur
Liste des ouvrages/titre
Carte d'abonnée
Imprimer
Apercevoir
3.2.2 251654656Présentation du MPT
CHAPITRE V :
REALISATION DE L'APPLICATION
Introduction
Cette étape consiste à la réalisation des
résultats de l'étape de conception aux logiciels
sélectionnés par le développeur en vue de
matérialiser et de produire le résultat escompté pour le
besoin bien définit par l'utilisateur. Le développement
(réalisation de la base de données et programmation) nous
permettra de matérialiser les données et les traitements
informatiques décrits tout à la longueur de notre analyse.
Section 1 :
Création de la base de données
1.1. Procédure de
création de la base de données
La base de données sera créée comme nous
avions précise ci-haut dans l'environnement SQL Server, la base de
données en SQL Server comme dans tous les autres SGBD, peut être
définie comme étant un très grand fichier contenant des
tables dans la quel on trouve des informations concernant un sujet. SQL Server
nous donne deux méthodes pour créer une base de données.
On peut créer une base de données sous forme des codes
grâce au langage de transaction SQL, on parler des requêtes SQL. Ou
on peut créer la base de données directement sans pourtant passe
par le langage SQL on parler de la forme graphique. En ce qui nous concerne,
nous avons opté pour la deuxième méthode de
création.
Une base de données doit toujours avoir un nom pour
qu'on puisse le reconnaitre, pour notre travail nous avons nommé notre
base de données « GESTIONABONNEE », et dans SQL
Server une base de données a pour extension [dbo].
Les processus de la réalisation de la base de
données se présentent de manière suivante :
Ø On va sur le bureau on fait un double clic sur
l'icône du SQL Server ;
Ø Lancement et Présentation de l'interface SQL
Server ;
Ø On fait un clic sur se connecter ;
Ø Ouverture de l'interface SQL Server ;
Ø On part sur l'explorateur d'objet à
couche ;
Ø On fait un clic droit sur base de données
après on clique sur nouvelle base de données ;
Ø On donnée le nom de la base de
données ;
Ø Et après on clique sur Ok ;
Ø Voici notre base de données
créé.
Double clic sur l'icône SQL Server
251659776
251661824
Lancement et présentation de l'interface SQL Server on
fait un clic sur se connecter
251660800
Ouverture de l'interface SQL Server ;
On part sur l'explorateur d'objet à couche ;
On fait un clic droit sur base de données après
on clique sur nouvelle base de données ;
251665920
On donnée le nom à notre base de données
après on valide sur OK
251662848
Voici notre base de donnée crée.
251663872
1.2. Création des
tables
En SQL Server la table est un objet fondamental du
système de gestion de base de données (SGBD), elle est le
résultat de passage de différentes étapes de Merise selon
différentes modélisations, elle permet de sauvegarder les
données dans la base de données. Pour créer une table en
SQL Server, nous procédons à deux manières soit en
utilisant le langage de transaction SQL au mode console sous forme de
requête ou soit on utilise le mode le mode graphique, nous avons
opté pour la deuxième méthode de création (le mode
graphique).
Les processus de la création de la table se
présentent de manière suivante :
Ø Voici notre table créé.
Ø On fait un clic sur le signe plus (+) à gauche
du nom de notre base de données ;
Ø Il a ouverture d'un menu en bas de notre base de
données ;
Ø On fait un clic droit sur table ;
Ø Puis on clique sur nouvelle table ;
Ø Et après on créer la table puis on
nomme la table ;
Ø On sauvegarde la table ;
On fait un clic sur le signe plus (+) à gauche du nom
de notre base de données
251664896
Il a ouverture d'un menu en bas de notre base de
données
251667968
251666944
On fait un clic droit sur table ;
Puis on clique sur nouvelle table.
251670016
Création de la table
251671040
On nomme la table puis on sauvegarder sur OK
251668992
Voici notre table créé
1.1. Création des relations entre
tables
Section 2 :
Programmation
2.1. Présentation des interfaces
2.1.1. Écran d'accueil ou logo
2.1.2. Menu connexion
2.1.3. Formulaires
2.1.4 Présentation des
états
2.2. Extrait des codes
sources
.commandText = `' insert into T.Aboonnée
(Numabon, Matrirecep, Matrigestabon, Categabon, Nom, Post nom, Prénom,
Sexe, Adresse, Téléphone) `' & `' Values (`' ` &
(Me.Num_abon.Text) & `' ` , ` `' & (Me.matri_recep.Text) & `' ` , `
`' & (Me.matri_gest.Text) & `' ` ,' `' & (Me.cate_abon.Text) &
`' ` , ` `' & (Me.nom_abon.Text) & `' ` , ` `' &
(Me.post_abon.Text) & `' ` , ` `' & (Me.pre_abon.Text) & `' ` , `
`' & (Me.sexe_abon.Text) & `' ` , ` `' & (Me.adr_abon.Text) &
`' ` , ` `' & (Me.tele_abon.Text) & `' `)''
ExecuteNomQuery()
MessageBox.show(`' l'enregistrement effectuer avec
succés'' , `' GESTION DES ABONNEES `' , MessageBoxButtons.OK,
MessageBoxIcon.Information'')
Me.Num_abon.clear()
Me.matri_recep.clear()
Me.matri_gest.clear()
Me.cate.clear()
Me.nom_abon.clear()
Me.post_abon.clear()
Me.pre_abon.clear()
Me.sexe_abon.clear()
Me.adr_abon.clear()
Me.tele_abon.clear()
Call Me.charger grille ()
******************************************************************************************************************************************************
.CommandText= `' Delete from T_Abonnée
where Numabon=' `' Num_abon.Text & `' ` `'
.connectio=con
.ExecuteReader()
MsgBox(`' l'information supprimée'')
Bttn_enr.Enabled=True
Bttn_ann.Enabled=True
Btnn_mod.Enabled=True
Bttn_sup.Enabled=Flase
Bttn_quit.Enabled=False
End with
Catch ex As Exception
******************************************************************************************************************************************************
.CommandTexet= `' Update T_Abonnée set
Matrirecep= ` `' &(Me.matri_recep.Text) & `' `, Matrigestabon=' `'
&(Me.matri_gest.Text) & ` `', Categabon=' `' & (Me.cate_abon.Text)
& `' `, Nom=' `' & (Me.noù_abon.Text) &`' `, Post nom=' `'
& (Me.post_abon.Text) & `' `, Prenom= ` `' & (Me.pre_abon.Text)
& `' `, Sexe= ` `' & (Me.sexe_abon.Text) & `' `, Adresse= ` `'
& (Me.adr_abon.Text) & `' `, Telephone= ` `' & (Me.tele_abon.Text)
& `' where Numabon=' `' & (Me.num_abon.Text) & `' ` `'
.connection=con
.ExecuteReader()
Con.Close()
MsgBox(`'l'information modifiée'')
Me.Num_abon.clear()
Me.matri_recep.clear()
Me.matri_gest.clear()
Me.cate.clear()
Me.nom_abon.clear()
Me.post_abon.clear()
Me.pre_abon.clear()
Me.sexe_abon.clear()
Me.adr_abon.clear()
Me.tele_abon.clear()
Bttn_enr.Enabled=True
Bttn_ann.Enabled=True
Btnn_mod.Enabled=True
Bttn_sup.Enabled=Flase
Bttn_quit.Enabled=False
Call Me.charger grille ()
******************************************************************************************************************************************************
Private Sub Bttn Quit_Click(Sender As Objet, e As EventArgs)
Handles Bttn Quit.Click
Application.Exit ()
******************************************************************************************************************************************************
Conclusion
Dans cette partie de notre travail nous avons fait la
présentation du partie matériel et logiciel, nous avons aussi
déterminé notre type système qu'on a utilisé
après nous somme passe à la création de notre base de
données, nous avons aussi à créer les table et à la
fin nous avons présenté les interfaces de notre application.
Conclusion
Générale
En effet, nous voici arrivé à la fin de notre
travail, qui s'est focaliser sur le développent d'une application pour
la gestion de réservation/empreint d'ouvrage dans une
bibliothèque. Nous avons pris comme cas d'étude la
bibliothèque Urbaine de Kinshasa de référence de Limete.
Le présent travail est le fruit de combinaison
différentes méthodes et techniques pour les récoltes de
données en vue de comprendre le fonctionnement du système en
place, d'en faire une critique et d'en proposer une suite des solutions avant
d'en dégager une proposition plus adapté.
Pour ce faire nous avons subdivisé notre travail en
cinq grands chapitres qui sont encadrés par l'introduction
générale et la conclusion générale dont :
Le chapitre premier a parlé de quelques notions de
base nécessaires dans la construction de notre analyse, le chapitre
deuxième s'est penché sur l'étude d'opportunité, le
chapitre troisième nous a permis de concevoir notre système
d'information organisationnel cette étape organisationnel est
constitué de deux niveaux le niveau conceptuel et le niveau
organisationnel, le chapitre 4 quand à lui, nous a permis de concevoir
notre système d'information informatisé cette étape
informatisé est constitué de deux niveaux : le niveau
logique et le niveau physique, enfin, le chapitre 5 et le dernier a
concerné la réalisation proprement dite de notre application.
Bibliographie
0. Ouvrages
Ø Alain-JACCQUESON, l'informatisation des
bibliothèques, Paris, 1995 ;
Ø D. SEGIET ET F. Brouse, l'administration du
système, Paris, 1984 ;
Ø J.L LE MOIGNE, la théorie du système
général, Paris, 1965 ;
Ø Philipe RIGAUX, cour de base des données, Lille
13 juin 2001
Ø Dictionnaire petit la Rousse illustre, 2007
1. Notes de Cours
Ø NTUMBA Simon, cours inédit d'initiation
à la recherche scientifique G2 INFO, UOC, Kinshasa, 2016-2017 ;
Ø R. KITONDUA, cours inédit de méthode
d'analyse informatique, G2 INFO, UOC, Kinshasa, 2016-2017 ;
Ø R. KITONDUA, cours inédit de méthode
d'analyse informatique II, G3 INFO, UOC, Kinshasa, 2017-2018 ;
2. INTERNET
Ø
http://www.wikipedia.org, consulter le 10/12/2017 ;
3. AUTRES
Ø NGOYI fils, TFC Mise en place d'une application
informatisée pour la réservation des ouvrages dans un
bibliothèque, UPC, Kinshasa, 2010-2011 ;
Ø LEYELEYE Howard, Travail de fin de cycle UPC,
Kinshasa, 2016-2017 ;
Table des matières
EPIGRAPHIE
.............................................................................................i
DEDICACE
................................................................................................ii
REMERCIAMENTS
......................................................................................iii
QBREVIATION ET SIGLES
...........................................................................iv
EPIGRAPHE
1
DEDICACE
2
REMERCIEMENTS
3
ABREVIATION ET SIGLES
4
0.1. Problématique
6
0.2. Hypothèse
7
0.3. Choix et Intérêts du
sujet
8
0.4. Délimitation du travail
8
0.5. Méthodes et Techniques
utilisées
8
0.6. Subdivision du travail
9
CHAPITRE I : CONCEPTS THEORIQUES DE BASE
10
Section 1. Concepts systémiques
10
1.1. Définitions des concepts
10
1.2.1. Système d'information
10
a. Système
10
b. Type des systèmes
10
C. Caractéristique d'un système
11
D. Structure d'un système
11
E. Types des systèmes d'information
12
2. Selon le nombre d'intervenant
12
3. Selon le niveau hiérarchique
12
1.2.2. Le système Informatique
12
a. Définition :
12
b. Qualité d'un bon
système
13
c. Type de système informatique
13
Section 2. GENERALITE SUR LE SYSTEME DE GESTION DE
BASE DE DONNEES
13
2.1. Définitions
13
2.2. Objectifs
14
2.2.1. Niveaux de description de données
ANSI/SPARC
15
2.2.2. Quelque SGBD connus et utilisée
16
2.2.3. Principes de fonctionnement
16
1.3.2. Étapes de la méthode
Merise
16
1. PRESENTATION DE LA METHODE MERISE
17
1.1. Historique de merise
17
1.2. Cycle de décision
19
1.3. Les différentes versions de
Merise
20
a) MERISE 1
20
b) MERISE 2
20
Section 4. Notions sur (mot clé du
sujet)
22
4.1. Considérations théoriques sur
la Bibliothèque
22
4.1.1. Introduction
22
4.1.2. Histoire
22
4.1.3. Types de bibliothèques
23
4.1.4. Les bibliothèques sur Internet
24
4.1.5. Activités des
bibliothèques
25
a. Activités liées aux
collections
25
b. Activités liées au public
25
4.1.6. Personnel des bibliothèques
26
4.1.7. Les grandes bibliothèques
26
4.1.8. Les bibliothèques imaginaires
27
4.2. Ouvrages
28
4.2.1. Définition
28
4.3. La réserve
29
4.4. L'emprunt
29
CHAPITRE II : ETUDE D'OPPORTUNITE
30
Section 1. PRESENTATION DE LA BIBLIOTHEQUE URBAINE
DE KINSHASA
30
1.1. Historique
30
1.2. Missions/Objectifs de la BUK
30
1.3. Localisation géographique de la
BUK
31
1.4. Statut juridique de la BUK
31
1.5. ORGANIGRAMME GENERALE DE LA BUK
32
1.6. Description des postes
33
A. LES SECTIONS
33
B. LES BUREAUX
33
Section 2. Analyse de l'existant
34
2.1. Organigramme du service concerné
34
2.2. Description des postes
34
2.3. Étude des documents
35
2.3.1. Rôle des documents
35
2.3.2. Description du document
35
2.3.2.1. Description représentatif
35
2.3.2.2. Description explicatifs
39
2.4. Étude des moyens de traitement des
informations
42
2.4.1. Étude des moyens humains
42
2.4.2. Étude des moyens matériels
42
2.4.3. Étude des moyens financiers
43
2.5. Étude de la circulation des
informations
43
2.5.1. Narration
43
2.5.2. Schéma de circulation des
informations
44
2.5.3. Symboles et Abréviations
utilisés
45
2.5.4. Description du schéma
46
· Description de tache
46
· Diagramme de flux
47
· Matrice de flux
48
Section 3. Diagnostic de l'existant
49
3.1. Points négatifs
49
3.2. Points positifs
49
Section 4. Proposition des solutions et choix de la
meilleure solution
49
4.1. Proposition des solutions
49
4.1.1. Solution manuelle
améliorée
49
4.1.2. Solution informatique
49
CHAPITRE III : CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION ORGANISATIONNEL
50
Introduction
50
Section 1 : Étape conceptuelle
50
1.1. Modélisation Conceptuelle des
Données (MCD)
50
1.1.1. But
50
1.1.2. Définition des concepts de
base
51
1. L'identifiant :
53
2. Les autres
propriétés :
54
1.1.3. Formalisme
54
1.1.4. Présentation de la
règle de gestion
55
1.1.5. Recensement et description des
entités
55
1.1.6. Recensement et description des
relations
57
1.2. Modélisations conceptuelle de
traitement
59
1.2.1. Objectif
59
1.2.2. Concepts de base
59
1.2.3. Formalisme de concepts
60
1.2.4. Présentation du MCT
61
Section 2 : Étape organisationnelle
63
2.1. Modélisation Organisationnelle
des Données (MOD)
63
2.1.1. But
63
2.1.2. Règles de passage du MCD au
MOD
64
1ère règles
64
2ème règles
64
2.1.3. Présentation du MOD Global
65
2.1.4. Dérivation du MOD Global en
MOD Locaux
66
2.2. Modélisation Organisationnelle
des Traitements (MOT)
67
2.2.1. But
67
2.2.2. Concepts de base
68
2.2.3. Présentation du MOT
69
CHAPITRE IV : CONCEPTION DU SYSTEME
D'INFORMATION INFORMATISE
72
Section 1 : Présentation des
scénarios
72
1.1. Scénario de mise en oeuvre
72
1.1.1. Présentation du Hardware
72
1.1.2. Présentation du Software
72
2.1. Choix du SGBD
72
2.2. Choix du langage de programmation
72
2.1. Modélisation Logique des
Données
73
2.1.1. But
73
2.1.2. Règles de passage du MOD au MLD
brut
73
2.1.3. Présentation du MLD brut
74
2.1.4. Normalisation
75
a. OBJECTIF
75
b. LES RÈGLES DE NORMALISATION
75
2.1.5. Présentation du MLD Valide
77
2.1.6. Schémas logiques associés au
MLD V
78
2.1.7. Dictionnaire des données
79
2.1.8. Calcul du volume de la base de
données
80
2.2. Modélisation Logique des
Traitements
81
2.2.1. But
81
2.2.2. Concepts de base
81
2.2.3. Présentation du MLT
82
84
2.2.4. Description des ULT
85
a. Interface
85
b. Logique de dialogue
86
c. Enchainement des boutons
86
Section 3. Etape physique
87
3.1. Modèle physique de données
(MPD)
87
3.1.1. But
87
3.1.2. Règles de passage du MLD au MPD
87
3.1.3. Présentation du MPD
88
3.2. Modèle Physique des Traitements
(MPT)
90
3.2.1. But
90
3.2.2. Présentation du MPT
91
CHAPITRE V : REALISATION DE L'APPLICATION
92
Introduction
92
Section 1 : Création de la base de
données
92
1.1. Procédure de création de
la base de données
92
1.2. Création des tables
94
Section 2 : Programmation
98
2.1.2. Menu connexion
99
2.1.3. Formulaires
101
2.1.4 Présentation des états
103
2.2. Extrait des codes sources
104
Conclusion
106
Conclusion Générale
107
Bibliographie
108
0. Ouvrages
108
* 1Alain Jacquesson.
L'Informatisation des bibliothèques. Ed.
Cercle de la librairie, Paris, 1995, p13
* 2. D.SEGIET et
F.BROUSE,L'administration du système,
Ed. Dunod, Paris, 1984, 232p
* 3 Prof. NTUMBA BADIBANGA
Simon, Cours d'Initiation à la recherche
scientifique, inédit, 2016-2017, p24
* 4 .NGOYI F., TFC, UPC,
2010-2011, p3
* 5 .Prof NTUMBA BADIBANGA
Simon, Cours d'Initiation à la recherche
scientifique, inédit, 2016-2017, p26
* 6Prof NTUMBA BADIBANGA, Idem,
2016-2017, p10
* 7.J.DE ROSNEY, Le
macroscope, Ed. Du Seuil, 1975
* 8.J.L.LE MOIGNE,
La théorie du système
général, PUF, 1977
* 9 .Prof RICHARD KITONDUA
L.N.N, Cours de méthode analytique
informatique1, inédit, 2016-2017
* 10 .PHILIPPE RIGAUX,
cours de base de données, 13 juin 2001,
page9
* 11 .LEYELEYE HOWARD,
TFC,U .O.C, Kinshasa, 2016-2017, page 16
* 12 .Pro.Dr.Ir. Richard
Kitondua L.N.N, Cours de Merise,
inédit, Février 2016, p1
* 13
http://fr.wikipedia.org
consulter le 10/12/2017
* 14 Dictionnaire petit
LA ROUSSE ILLUSTRE, page 113, 2007
* 15
http://fr.wikipedia.org
1/01/2018
* 16 Dictionnaire petit
LA ROUSSE ILLUSTRE, page 364, 2007
|