CONCLUSION GENERALE
Notre sujet intitulé : « de la politique
africaine de la Chine à l'ère de la mondialisation » a
fait l'objet de reconstituer les événements jusqu'au fait
générateur dont les sociologues utilisent dans l'analyse des
documents, et investigation cadrant avec l'esprit d'un travail scientifique.
Ainsi, dans la problématique nous avons circonscrit de
la politique en tant que stratégie de la Chine en Afrique à
l'ère de la mondialisation comme fait initial à l'échelle
planétaire la mondialisation fait du monde un village planétaire,
tous les aléas déjà survenu en relevant la
préoccupation suivante :
- Quelle est la politique africaine de la Chine ?
- Quels sont les impacts et stratégie de la
coopération sino-africaine à l'ère de la
mondialisation ?
Abordant notre hypothèse de travail, nous avons
relevé le fait que la politique de la Chine dans sa percée en
Afrique est la promotion de la coopération sud-sud ou la part de chaque
partenaire est bien garantie par le biais de gagnant-gagnant. Alors que
l'impact et les stratégies de la coopération sino-africaine nous
disons qu'il a été positif dans la mesure où celle-ci sont
entrain de renaitre notamment sur le plan des infrastructures des bases, ceci a
explicité cette montée chinoise à l'ère de la
mondialisation.
Afin de mieux mener nos investigations nous sommes servis de
la méthode historico-comparative, qui nous a permis d'étudier les
faits sociaux bien qu'elle présente les faiblesses, cette méthode
a mis au point technique de recherche. Nous citons notamment la critique
externe et la critique interne ce deux éléments sont très
cruciaux pour effectuer notre comparaison.
Nous avons utilisé la technique documentaire, nous nous
sommes servi des ouvrages, des dictionnaires, des notes de cours, des syllabus,
et l'usage de l'internet 3G plus a été d'un grand apport.
Notre travail a été subdivisé en trois
chapitres, scindés en des sections et ces derniers en des paragraphes,
hormis, l'introduction et la conclusion générale bien
évidemment :
- Le premier a porté sur la considération
générale et théorique ; nous avons définis les
notions de la politique africaine, les notions de la Chine, ainsi que
l'ère de la mondialisation et d'autres notions analogues qui nous ont
permis la compréhension du concept politique.
- Le deuxième chapitre intitulé
« présentation de la Chine et sa politique africaine avant la
mondialisation » a fait ressortir deux grands domaines dont celui de
la présentation de la Chine et l'autre de la politique africaine avant
la mondialisation. Ils nous ont permis de nous situer par rapport au cadre
géopolitique et géostratégique de climat d'affaire Chine
Afrique. Nous avons abordé le soubassement de la stratégie
sino-africaine en matière des échanges économiques.
- Le troisième chapitre qui l'intitulé
même de notre sujet s'est penché sur la politique africaine de la
Chine à l'ère de la mondialisation et ses incidences sur le
développement des Etats africains (cas des quelques pays africains) nous
avons abordé le soubassement juridique, diplomatique et
socio-économique sino-africain en première position. En
deuxième position les Grands Axes de la politique africaine de la Chine
à l'ère de la mondialisation. En troisième position nous
avons abordé quelques réalisations de la Chine en Afrique
à l'ère de la mondialisation par la visualisation cartographique
de l'Afrique. Enfin pour terminer dans ce chapitre nous avons fait le passage
en revue, de perspective les impacts politico-économiques de la
politique chinoise.
Néanmoins la fin de la guerre froide et la
reconfiguration de rapport de puissance ont entrainé la
République populaire de la Chine de l'élaboration d'une
stratégie d'expansion et d'affirmation originale alors que les deux
super puissances montaient les stratégies de la guerre, la Chine par
contre étudier leurs faiblesses pour conquérir l'Afrique sans
frapper une balle en utilisant l'arme de la près guerre qui est
l'économie de marché libre. L'objectif ultime est de participer
à l'émergence et au développement d'un monde multipolaire
dont la Chine occuperait un jour une de toute première place et non
nécessairement la tête. Pour atteindre cet objectif et dans les
soucis d'éviter toute confrontation susceptible de compromettre son
rayonnement, la Chine s'est déployée selon une «diplomatie
asymétrique » ou les relations économiques
bilatérales occupent une place centrale.
Depuis l'application de la reforme initier par Deng Xiaoping
en 1978, la Chine n'a pas mis beaucoup de temps pour comprendre que le maintien
de sa place dans le monde économique intimement lié à sa
capacité de diversifier et de sécuriser ses sources
d'approvisionnement énergétiques et pétroliers.
Pékin de plus d'une décennie a décidé d'initier un
partenariat stratégique dynamique avec l'Afrique. Le choix de l'Afrique
n'est point fortuit car le continent a toujours représenté une
pièce maitresse dans le rayonnement de la Chine. Mieux le partenariat
stratégique sino-africain, du coté de Pékin, se veut un
modèle éloigné des sentiers battus du colonialisme et de
l'exploitation érigés en règle par les anciennes
puissances. Cette phraséologie angélique qui caractérise
le discours officiel chinois a pourtant du mal à cacher les mutations
intrinsèques de la politique africaine de la Chine : les
impératifs du marché l'emportent désormais sur le discours
militant des années 70.
Dans le domaine politique, en plaçant au coeur de sa
stratégie le principe de non-ingérence et de neutralité
dans les relations avec les pays africains, la Chine a introduit de nouveaux
paramètres dans l'appréciation de l'avenir politique et
économique du continent.
Alors que jusque là le décollage
économique du continent reposait en grande partie sur l'application de
règle de conditionnalités, le partenariat proposé par
Pékin est présenté comme une menace directe au processus
démocratique enclenché dans la plupart des Etats africains. Les
efforts d'intégration soutenus par l'UA et par la communauté
internationale se voient ainsi minés par l'alternative offerte par
Pékin à des régimes politiques peu enclins à se
soumettre aux règles de démocratisation et de bonne gouvernance.
Le Soudan, l'Angola et le Zimbabwe constituent le peloton de tête qui,
rassemblement, ira en s'élargissant au regard de l'indifférence
de Pékin aux critiques de sa politique africaine.
Malheureusement, dans ce domaine particulier la Chine n'a pas
de leçons à recevoir de l'occident qui a soutenu et
encouragé des régimes décriés sur le continent
africain.
En grosso modo, par la force de ses propositions politiques,
économiques sociales et sécuritaires qu'ont permises en entrer
dans le panthéon de gagnant-gagnant proposé par la Chine. Qui est
le soubassement de cadre institutionnel de relations multilatérales
sino-africaine. Dans cette perspective, les nouveaux paradigmes de la
diplomatie chinoise à l'échelle mondiale.
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