Memoire Online - Evaluation du jury pratique de chimie édition 2010 dans les centres de la sous-division de Ngaliema en RDC

EVALUATION DU JURY PRATIQUE DE CHIMIE EDITION 2010 DANS LES CENTRES DE LA SOUS-DIVISION DE NGALIEMA

Mémoire présenté et défendu en vue de l'obtention du titre de licencié en pedagogie appliquée

EPIGRAPHE

Puisque nous avons la chance de venir nous instruire, il faut que ceux qui commencent réussissent pour donner l'exemple à ceux qui suivent sinon les parents diront à leurs enfants, il est inutile d'étudier car vos ainés ont échoué>>.

DEDICACE

A mes parents Paul KILENGIDIKA et Béatrice MPOLO MAWUSU, pour l'affection et la vie que j'ai reçues d'eux ;

Aux neuveux et nièces : Don veerle MAWUSU Plamedi KILENGIDIKA, Enodie MPUNZA et Donelsa NGENGO ;

AVANT-PROPOS

Au terme de ce cycle de licence, qu'il nous soit permis de témoigner notre reconnaissance à l'endroit de tous ceux qui, d'une manière ou d'autre,ont contribué à l'élaboration de ce mémoire.

Ainsi, nous remercions le Dieu tout puissant, créateur du ciel et de la terre, pour nous avoir garde jusqu'à ce jour.

Nos remerciements s'adressent au professeur Jérôme PONGI NZITA et au Chef de travaux Jean-Pierre IKOLONGO, pour avoir accepté respectivement la direction et la codirection de ce mémoire ; malgré leurs multiples occupations.

Nous témoignons notre reconnaissance au chef de travaux Roger MBUYAMBA TSHUINZA du Département de physique pour son implication dans l'élaboration de ce travail.

Nous témoignons aussi notre gratitude envers tous nos élèves, nos amis et particulièrement à Hussein Badila ; Fils Nsakala et Pierre Mbayi.

Que Grace GIKINGA trouve l'expression de reconnaissance pour sa contribution tant matérielle, financière.

INTRODUCTION

1. Problématique

L'enseignement secondaire en République démocratique du Congo a commencé à se développer vers les années 1950, à l'époque coloniale. Les rares écoles de l'époque appliquaient, chacune, leur programme d'enseignement et délivraient, chacune, un diplôme différent à l'issue de six années d'enseignement.

Chaque école organisait donc son propre jury et délivrait un diplôme à ceux qui y réussissaient. Malgré le sérieux avec lequel ces établissements organisaient leurs jurys, on relevait tout de même des disparités dans la qualité des enseignements dispensés, dans la formation des apprenants et par conséquent dans la valeur des diplômes décernés aux finalistes.

Pour essayer de contrôler le niveau d'enseignement secondaire, l'Etat congolais instaura alors un système de jury national. Les finalistes qui le réussissaient obtenaient, en plus du diplôme de l'école, le diplôme homologué qui leur permettait d'être admis directement en première année d'université.

Mais le système d'homologation souffrait d'insuffisances et présentait quelques faiblesses car chaque école continuait encore à appliquer son programme d'enseignement. C'est dans le but de garantir à chaque élève congolais les mêmes chances de bénéficier d'un enseignement de qualité et obtenir un diplôme de valeur égale qu'un système de contrôle pédagogique d'Etat fut imposé à toutes les écoles.

Désormais, tous les établissements scolaires de la R. D.Congo étaient soumis au respect d'un programme national unique afin de mettre tous les élèves dans les mêmes conditions de formation.

Ce système de contrôle d'Etat évolua naturellement et logiquement vers l'organisation des premières épreuves de l'examen d'Etat en 1967.

-La hors-session comprenant la dissertation, le jury oral de français et le jury pratique ;

L'organisation de toutes ces deux sessions nécessite de gros moyens financiers, matériels et humains. Et pour ce qui concerne le jury pratique, nous pouvons nous poser la question de savoir si le jury organisé pour la chimie atteint toujours ses objectifs dans sa forme actuelle.

2. Hypothèse

Les objectifs assignés au jury pratique de chimie ne sont toujours pas atteints. Cette situation serait attribuée au caractère abstrait et théorique de l'enseignement de chimie et l'expérimentation peu pratiquée.

3. But et objectifs

Le but poursuivi en élaborant ce travail est d'évaluer l'épreuve de jury pratique de chimie, édition 2010 dans les centres d'examination de la Sous-Division de Ngaliema. Pour atteindre ce but, nous avons fixé les objectifs ci-après :

- inventorier les outils utilisés pour l'évaluation des élèves et leur origine ;

- répertorier les objectifs poursuivis dans ce jury et savoir si ces objectifs ont été atteints ;

4. Choix et intérêt du sujet

Le choix porté sur ce sujet n'est pas fortuit. Il se justifie par le fait que le programme national de chimie, outil de planification de l'enseignement, prévoit un objectif terminal d'intégration au terme de l'enseignement de la chimie en 6^ème secondaire : celui de voir l'élève devenir capable de produire, sur base des réactions chimiques appropriées et des manipulations, des composés utiles à l'homme et au développement social.

Outre cet objectif, le programme prévoit une batterie de critères d'évaluations.

Ce travail permet de fournir un document scientifique de référence qui pourra aider le pouvoir organisateur de l'Examen d'Etat et les examinateurs à améliorer la qualité du jury pratique de chimie.

5. Méthodologie

En ce qui concerne notre recherche, il paraissait indiqué de procéder d'abord par la technique documentaire afin de faire l'inventaire des principales notions qui interviennent dans l'évaluation en chimie d'une manière générale et au jury pratique en particulier.

Pour constituer notre échantillon d'étude, nous avons obtenu la liste de tous centres du jury pratique de la Sous-Division de Ngaliema. Ces centres, au nombre de 14 ont constitué notre échantillon d'étude. C'est dans ces centres que nous avons pu tirer au hasard 33 enseignants de chimie retenus comme examinateurs.

6. Subdivision du travail

Outre l'introduction et la conclusion, le présent mémoire comprend trois chapitres :

- Quant au troisième, il aborde la présentation, l'analyse et l'interprétation des résultats.

CHAPITRE PREMIER : REVUE BIBLIOGRAPHIQUE

Au sens étymologique, évaluer vient du latin « ex valere » c'est-à-dire « extraire la valeur de ... », « faire ressortir la valeur de ».

Cette définition évoque un changement d'attitude par rapport à l'évaluation dans laquelle on valorise ce que l'élève produit de positif. Selon DE KETELE J.M. (1989), évaluer signifie recueillir un ensemble d'informations suffisamment pertinentes, valides et fiables et examiner le degré d'adéquation entre cet ensemble d'informations et un ensemble de critères adéquats aux objectifs fixés au départ ou ajustés en cours de route, en vue de prendre une décision.

Le cas de MBUYAMBA T. (1999), qui considère l'évaluation comme un processus qui consiste à juger du mérite ou de la valeur de quelque chose. Elle est aussi une étude conçue et conduite pour aider un groupe à juger de la valeur d'un objet éducatif quelconque en vue de l'améliorer.

Pour MOHAMMED B. (2009), l'évaluation est considérée, du point de vue de l'enseignement, comme étant une autocritique de la manière dont la leçon s'est déroulée. C'est la détermination de la valeur ou l'appréciation de la valeur du processus enseignement-apprentissage. Quant à REPI (2005), l'évaluation est une procédure complexe qui comporte une phase d'observation et d'analyse, une opération mentale de jugement et enfin l'expression de ce jugement sous forme quantitative (note chiffrée) ou qualitative (verbale ou non verbale) considérée comme pédagogique, l'évaluation consiste à examiner le degré d'adéquation entre un ensemble d'acquis scolaire ou des compétences et un ensemble de critères adéquats à l'objectif en vue d'une prise de décision.

-pertinentes : celles qui doivent être conformes à l'objectif de l'évaluation ;

-Fiables : tenant aux conditions dans lesquelles se déroule le recueil des informations et à la reproductibilité.

- Evaluation externe : celle qui est réalisée par des évaluateurs venant de l'extérieure. Elle est plus objective que l'évaluation interne, qui est alors rejetée pour être à la fois subjective et politique ;

- Evaluation interne : qui permet aux participants de garder le contrôle sur leur programme et qu'elle les aide à en suivre le progrès ;

- Evaluation participative : c'est celle qui est effectuée par toutes les parties intéressées, grâce à la participation de chacun ;

- Evaluation collaborative : celle-ci se rapporte à une approche d'évaluation assez similaire à l'évaluation participative ;

- Evaluation collective : c'est qui est faite par de grandes communautés, dans de séminaires ou dans de grands groupes réunis et témoignant de la manière dont un programme fonctionne et dont il est accueilli par les populations dans leur vie courante ;

- Evaluation sommative : c'est celle qui consiste à faire la somme de plusieurs faits ; elle a lieu à la fin d'un programme d'études ou de formations et se traduit par une communication des résultats aux parents par un bulletin d'attribution, d'une certification ou d'un diplôme.

- Evaluation formative : c'est un processus continu ayant pour objet premier d'assurer la progression de chaque élève dans la poursuite d'un objectif pédagogique avec l'intention de modifier le rythme de cette progression en apportant s'il y a lieu, des améliorations ou des correctifs appropriés.

Elle répond à des préoccupations essentiellement éducatives et pédagogiques telles que :

- Evaluation initiale : c'est celle qui est formative et s'effectue avant d'entreprendre l'apprentissage.

- Evaluation interactive : celle-ci est formative et elle s'effectue pendant l'apprentissage. Elle permet d'apprécier la motivation de l'élève, ses méthodes de travail, son attitude face au travail, ses productions, ses erreurs, ses progrès en vue de mettre en place une stratégie de renforcement ou de remédiation.

- Evaluation ponctuelle : elle est principalement certificative et s'effectue à la fin d'une période d'apprentissage. Elle permet d'estimer et de certifier la maîtrise des savoirs, des savoir-faire et des savoirs être énoncés dans les objectifs de départ et signifier à l'élève et à son entourage dans quelle mesure il rencontre les conditions de réussite imposées.

- Evaluation des besoins : elle est conduite dans les groupes d'apprenants et de formateurs à fin de sélectionner le contenu à enseigner et de mettre au point les stratégies d'enseignement appropriées ;

- Evaluation de l'apprenant : c'est elle qui évalue les résultats des efforts accomplis. Elle prend souvent la forme de tests de connaissances ;

- Evaluation du personnel : elle est celle qui évalue la compétence et le degré d'engagement des fonctionnaires d'un programme ;

-Evaluation du curriculum : celle-ci évalue les items et les matériels d'enseignement ;

-Evaluation certificative : c'est celle qui est basée sur une estimation quantitative de l'apprentissage. Elle permet de signifier aux parties concernées dans quelle mesure le travail accompli par l'élève rencontre les exigences imposées. Elle se traduit par une note chiffrée, car elle intervient après une séquence, un chapitre, un trimestre ou à la fin de l'année.

Toutes ces sortes d'évaluation peuvent être groupées et représentées dans le tableau suivant.

CONTENUS	EVALUATION FORMATIVE	EVALUATION SOMMATIVE	EVALUATION INFORMATIVE	EVALUATION DES CONPETENCES
DEFINITION	Elle est celle qui intervient au terme de chaque tâche d'apprentissage. elle consiste à examiner les résultats engendrés par l'action didactique chez les élèves et de les informer du degré de maitrise atteint	Elle consiste à déterminer à la fin des étapes importantes de la formation (fin du mois, du trimestre, de l'année, du cycle), a qualité de l'apprentissage réalisé ou la qualité des acquis atteints de promotions, d'orientation, de certification	Elle consiste à évaluer l'action didactique en ses diverses composantes	Elle consiste à observer les apprenants dans de situations complexes, des apprenants confrontés à de tâches ou de situations problèmes.
OBJECTIFS	Elle vise à déterminer les points faibles et les points forts des élèves, les lacunes et leurs causes, les mesures ou technique de leur rémediadions (pour les points faibles) ou leurs renforcements (pour les points forts	Elle vise à évaluer les acquis scolaires des élèves afin de les classer en ordre croissant ou décroissant selon les performances réalisées et les normes scolaires préétablies.	Elle vise à rassembler des informations évaluatives au sujet de variables didactiques ou des composantes de l'action didactique	Elle vise à apprécier les capacités des élèves à mobiliser les ressources afin de résoudre efficacement et pertinemment les problèmes.
IMPORTANCES	Elle permet de mieux connaitre chaque élève et de promouvoir l'éducation sur mesure ou l'éducation individualisée.	Elle permet de (d') : -déterminer le niveau des connaissances des élèves dans une discipline ou matière ; -juger la valeur d'un programme scolaire, -déclarer le succès ou l'échec de l'élève à la fin d'une période ou étape donnée ; -attribuer des grades et des titres scolaires ; -classer les élèves en ordre croissant ou décroissant suivant leurs résultats.	Elle facilite l'optimisation du processus didactique.	Elle permet de développer les compétences de base et d'évaluer la capacité des apprenants à résoudre le problème.
METHODES	Elle recourt aux épreuves des prestations, tests, techniques auto descriptives, interview, questionnaire, échelles d'attitudes, technique d'observation, check lists.	Examens, tests, concours ; TENAFEP EXAMENS D'ETAT.	Méthodes d'appréciation : recours à des experts, à un questionnaire. Méthodes d'observation des leçons : système d'analyse de l'interaction de Flanders, les visites de classe, inspections pédagogiques.	Elle se fonde sur les critères suivants : -pertinence :le critères de pertinence consiste à vérifier l'adéquation de la solution trouvée au problème ou posé, ou la tâche ; -corrélation : le critère de corrélation ou d'exactitude concerne l'utilisation correcte des ressources ayant trait au problème posé ; il s'agit de la précision, de la clarté et la concision ; -complétude : le critère de complétude consiste au caractère complet de la réponse ou solution proposée au problème posé ; -originalité : il s'agit de l'apport d'idées différentes de la norme conventionnelle. Les principes de base de l'évaluation des compétences sont : -l'évaluation de compétences n'inclut que des tâches Contextualités ; ou recontextualisées ; -Elle exige l'utilisation fonctionnelle des savoirs disciplinaires ; Elle porte sur des situations complexes ou des situations problèmes ; -Il n'y a aucune contrainte de temps fixé arbitrairement lors de l'évaluation des complétences ; -L'évaluation des compétences peut exiger une certaine collaboration entre l'élève avec ses paires ; La correction prend en considération les stratégies cognitives et métacognitives utilisées par les élèves et tient compte que des erreurs importantes dans l'optique de la construction de compétences.

- le pronostic pour prédire le succès dans l'étape de formation qui va suivre ;

- le jaugeage pour contrôler les acquisitions et apprécier le progrès réalisé par les apprenants ;

- le diagnostic pour rechercher les causes et origines des lacunes et insuffisances constatées chez les apprenants.

Selon KINYOKA K. (2003), une bonne évaluation doit être ni très facile, ni très difficile mais elle doit permettre de classer les élèves et les étudiants selon leurs aptitudes et doit être en rapport avec les matières étudiées et avec l'aptitude acquise par les élèves et les étudiants.

Il revient à l'examinateur de définir le but poursuivi par l'évaluation et de faire la sélection des critères les plus importants de celle-ci. Ainsi, une bonne évaluation peut avoir les critères suivants :

-La pertinence de l'instrument d'évaluation à rencontrer l'objectif fixé, c'est-à-dire l'efficacité ;

-La validité, c'est-à-dire évité d'évaluer souvent autre chose que ce que l'on croit évaluer.

Les rôles d'évaluation vont au delà des objectifs qui lui sont généralement assignés. Ceux-ci sont habituellement instructifs mais ses fonctions sont en même temps instructives, spécialisées, socio- psychologiques, politiques et historiques. C'est ainsi que :

- l'évaluation aide les organisateurs à entreprendre une rénovation organisationnelle en les forçant à procéder à un examen de leurs buts et en clarifiant les procédures opérationnelles ;

- les évaluations sont conduites non seulement pour déceler les défauts que renferme un programme mais aussi pour montrer ses a touts et ses qualités.

- les fonctions instructives consistent à fournir les rétractions et à produire des informations utiles pouvant être mises à profit pour améliorer les programmes en cours ;

- les fonctions spécialisées consistent à faire d'avantage les moyens et les fins d'un programme, à démontrer l'efficacité ou l'échec des plans et des stratégies en vigueur ; et à suggérer des actions correctives ;

- les fonctions socio-psychologiques peuvent être celles de planifications et d'actes qui donnent aux clients et aux citoyens un sentiment de sécurité, en réduisant les problèmes sociaux complexes à un choix de solutions relativement simples ;

- les fonctions politiques comprennent l'établissement d'un calendrier et l'organisation d'un débat sur les questions essentielles ;

- les fonctions historiques consistent à noter et documenter les actions, événements, résultats qui, si non, risqueraient, d'être perdus pour la mémoire collective.

Ici, il est question de savoir quand, quoi, comment et pourquoi évaluer ? C'est ainsi que :

L'évaluation consiste à communiquer à l'élève ses points (notes) dans le but de lui permettre de déceler ses lacunes, d'être conscient de ses possibilités et de ses performances, et cela pour améliorer son apprentissage ;

- le professeur doit entrer dans le processus cognitif de l'élève a fin de comprendre et de lui faire comprendre les causes de ses performances médiocres ;

- l'évaluation doit porter sur les savoir, savoir-faire et savoir-être prévus dans le programme et traités en classe ; il convient d'évaluer si les objectifs prioritaires ont été atteints ;

- les élèves doivent également être informés de la manière par la quelle ils vont être évalués et ils doivent être familiarisés aux exercices d'évaluation.

On distingue plusieurs moyens d'évaluation des connaissances, parmi lesquels on peut citer :

-Le test de connaissance, en début d'heure, pour vérifier l'acquisition par les élèves des points de matière importants vus aux cours précédents. Ce test peut être écrit, collectif, oral ou individuel.

-Le questionnaire à choix multiple avec solution générale implicites, outils pratique pour sa rapidité d'exécution et de correction ;

-Le vrai ou faux qui est un exercice souvent amusant pour l'élève et dont la correction est très rapide également ;

-Le texte lacunaire qui est également un exercice intéressant surtout s'il ne contient pas de liste des mots à remplacer ; ce qui permet de rester dans une démarche intellectuelle de production plutôt que de sélection ;

-Le réseau de concept, le plan de synthèse qui sont d'autres moyens d'évaluer les connaissances ;

-Les questions à réponse ouverte où l'élève doit faire la formulation de sa réponse ;

-Les sous-questions à choix multiple (QCM) qui dépendent soit de le réponse donnée à la question principale, soit elle fournit un élément de réponse à la principale et pousse le raisonnement plus loin. Son utilisation est facilitée par l'ordinateur.

-Les questions à intervalles (Q int. dates nombres). Soulignons à ce niveau que touts ces moyens ont des avantages et des inconvénients C'est ainsi que certains enseignants pensent qu'il y a de questions « meilleures » que d'autres Il n'en est rien ; tout dépend des intentions de l'enseignant qui conçoit les questions.

En outre, si un certain type de question présente quelques avantages, ceux-ci sont conditionnés par une utilisation adéquate de ce type de questionnement.

En effet, une question à choix multiple a parfois des solutions plus attractives que d'autres ; une question à réponse ouverte est quelque fois formulée de manière équivoque.

Cependant, le choix du ou des type (s) de questionnement est donc un choix négocié par une série de contraintes : les objectives du cours, la matière, les possibilités d'investissement de temps avant, pendant et après examen.

Ce sont des instruments permettant de vérifier si l'objectif est atteint ou non. On peut citer :

-le devoir qui est une tâche ordinairement écrit ou prescrite par un maître à des l'élèves ;

-Les questions qui sont une interrogation adressée à quelqu'un pour obtenir un renseignement ou encore une interrogation adressé à un candidat par un examinateur ;

-L'examen qui est une épreuve ou un ensemble d'épreuves que subit un candidat a fin que l'on puisse juger de ses connaissances et de se compétences. Il peut aussi être une considération attentive ou observation minutieuse.

-L'examen d'Etat ; une épreuve ou ensemble d'épreuves qui sanctionne les études secondaires ;

-Le travail pratique qui est un exercice d'application complétant un enseignement théorique ;

-Le travail dirigé qui est un exercice d'application effectué sous la direction d'un enseignant.

La théorie précédente sur l'évaluation démontre que cette dernière fait partie intégrante des apprentissages et constitue une de grandes fonctions de l'enseignement.

Ainsi, enseignement, apprentissage et évaluation étant intimement liés, on ne peut envisager d'évaluer autrement sans faire une corrélation entre le processus enseignement - apprentissage.

Selon le Dictionnaire Larousse (1974), le jury pratique est une épreuve qui consiste à lier la théorie à la pratique relative à une discipline scientifique telle que la chimie, la physique, etc.

Le jury pratique de chimie est un outil d'évaluation qui consiste à évaluer les connaissances pratiques d'un apprenant dans le domaine de la chimie.(Wikipédia, 2010)

Comme tout autre outil d'évaluation, le jury pratique de chimie a des objectifs spécifiques à atteindre. Et selon le Programme National de chimie 2005, l'élève devra être capable de (d') :

· Expliquer le principe de la fabrication de l'acétylène, des polymères, de la bakélite, de nylon...

Selon le programme national de chimie (2005), l'évaluation du jury comporte deux étapes :

· résolution efficace des problèmes numériques et des situations-problèmes de la vie ;

Outre les résultats bruts de la manipulation, le candidat devrait être évaluer sur sa façon de manipuler, ses gestes, son application des règles de sécurité à la manipulation du matériel, verrerie et produits mise en oeuvre. L'évaluation devrait être effectuée par un examinateur pour deux candidats ; il porte ses observations sur une grille, selon un barème préétabli par le jury.

Il existe, certes, plusieurs recherches sur l'évaluation ; mais pour ce qui nous concerne, nous avons parcouru quelques unes sur l'évaluation en chimie. Elles sont groupées en deux catégories : les études étrangères et les études congolaises.

1. La recherche de BESSIEN H. (1994)

L'auteur a étudié l'évaluation sur les erreurs commises lors d'une manipulation chez les apprenants. Dans cette recherche, BESSIEN découvre beaucoup d'erreurs que commettent les apprenants et dont les causes sont groupées en deux catégories : les erreurs instrumentales et les erreurs de l'expérimentation.

En ce qui concerne les erreurs instrumentales, l'auteur signale que ce sont des erreurs liées aux instruments lors du prélèvement des volumes ; de la pesée qui donne des valeurs approximatives et demandent parfois des instruments appropriés. Quant aux erreurs de l'expérimentation, elles sont liées à l'expérimentateur suite à son inattention et à la non compréhension du mode opératoire. Pour finir, l'auteur cite quelques causes comme la durée de la manipulation et la non maîtrise de la théorie ainsi que la fatigue.

-L'évaluation des risques de substances chimiques dans l'environnement en fonction de leurs dangers ;

Dans son mémoire intitulé « l'évaluation du niveau d'apprentissage des notions d'oxydoréduction chez les élèves de 6^eme bio-chimie de l'année scolaire 2006 -2007 » l'auteur veut amener ces élèves à :

- généraliser les définitions relatives à l'oxydoréduction à l'aide des nombres d'oxydation ;

Cette recherche a révélé que dans beaucoup d'écoles de la Sous- Division de Ngaliema, la notion d'oxydoréduction est négligée par les enseignants.

Dans son travail de fin de cycle intitulé « Approche des enseignants et des élèves de la 3^e scientifique sur l'évaluation scolaire ; cas des écoles de Mont- Ngafula », l'auteur a voulu savoir comment les enseignants de chimie évaluent leurs élèves et comment les élèves de la 3^e scientifique conçoivent l'évaluation.

Au terme de cette recherche, on a constaté que 70% des enseignants interrogés ne connaissent pas la définition de l'évaluation.

Du côté élèves, 10% ont essayé de répondre en donnant une réponse approximative, alors que la majorité d'élèves ignorent ce qu'est l'évaluation soit 90%. Les élèves ont reproché leurs enseignants d'être de mauvais évaluateurs. Ce qui cause beaucoup d'échecs en chimie et provoque la déperdition scolaire.

Dans son travail de fin d'étude intitulé « contribution à l'étude des items d'examens d'état de chimie sur l'atomistique », YESI a constate que :

- le programme national de chimie sur l'atomistique et liaison chimique n'est pas explicite ;

- pendant beaucoup d'années, les questions posées aux examens d'état de chimie sont basées sur la notion de concentration, la notion de pH, la volumétrie, le titrage, et celles portant sur l'atomistique n'existent pas.

- et ce qui est plus grave est qu'il y a même des questions qui sont posées en dehors du programme national.

De la lecture de toutes ces recherches, il s'avère que quelques unes d'entre-elles ont abordé l'évaluation des apprenants de différents niveaux ainsi que celle des enseignants.

Pour notre part, nous abordons aussi l'évaluation pour les classes de 6^ème bio-chimie et notre recherche se base sur le jury pratique de chimie organisé lors de l'Examens d'Etat.

CHAPITRE 2. APPROCHE METHODOLOGIQUE

La population de notre étude est constituée des enseignants examinateurs du jury pratique de chimie dans les centres de la Sous-division de Ngaliema, d'où nous avons tiré un échantillon de 33. La liste de ces 14 centres se trouve en annexe 2.

La méthode privilégiée dans cette étude était l'enquête. Cette dernière nous a permis d'entrer en contact direct avec les sujets concernés en vue de récolter les données nécessaires à cette recherche.

L'enquête s'est déroulée du 19 au 21avril 2010. Après avoir obtenu l'autorisation auprès des Inspecteurs chefs de centres, nous nous présentions ensuite devant les membres du jury de chimie pour solliciter leur participation à notre enquête. Ceux qui manifestaient ce désir avaient immédiatement reçu un questionnaire auquel il devait répondre objectivement.

Etant donné que les participants devaient examiner les candidats, il n'était pas possible que ces questionnaires nous soient rendus le même jour ; raison pour laquelle nous leur avions accordé une semaine pour la récupération.

Ce travail a connu quelques difficultés mais qui ont été franchies par la suite, notamment :

- le refus de certains enseignants de répondre à notre questionnaire d'enquête faute de temps ;

- d'autres enseignants nous exigeaient de l'argent avant de recevoir le questionnaire d'enquête ;

- la récolte des questionnaires n'était pas aisée car il fallait suivre chaque enseignant dans son école.

CHAPITRE 3. PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS

Ces résultats sont présentés sous forme de tableau et chacun de ces tableaux est suivi d'une légende et d'un commentaire.

Pour la cinquième et la septième question, les résultats ne sont pas présentés sous forme de tableau étant donné que ces questions sont ouvertes.

Tableau 1. Répartition des enseignants selon qu'ils ont été membres du jury pratique de chimie pour cette session d'examens d'Etat

Ce tableau montre que tous les enseignants de notre échantillon ont été membres pris part au jury pratique de chimie pour l'année 2010.

Tableau 2. Répartition des enquêtés selon les critères de sélection pour être membre de ce jury ?

Critères de sélection	Effectif	Pourcentage
être enseignant qualifié	29	87,87
posséder une expérience incontestable	6
faire preuve d'une ancienneté dans l'enseignement de la chimie en 6^ème secondaire, option chimie-biologie.	33	100
autres critères (à préciser)	9	27,27
Total	77	100

Il ressort de ce tableau que les principaux critères de sélection pour être membre d'un jury pratique de chimie à l'édition 2010 des Examens d'Etat étaient « faire preuve d'une ancienneté dans l'enseignement de la chimie en 6^ème secondaire, option chimie-biologie et « être enseignant qualifié ». Le critère « avoir un grand nombre de finalistes » a été proposé par les enseignants.

Tableau 3. Répartition des enseignants selon la manière d'évaluer les candidats finalistes de 6^èmebio-chimie

Manière d'évaluer les candidats	Effectif	Pourcentage
par des questions théoriques	32	96,96
par des démonstrations des formules	15	45,45
par énumération des matériels de laboratoire	26	78,78
par des manipulations	3	09,09
Total	76

De ce tableau, il ressort que la plupart des enseignants de chimie ont évalué les finalistes de l'édition 2010 des Examens d'Etat par des questions théoriques, la démonstration des formules et enfin l'énumération des matériels de laboratoire.

Il est surprenant de constater que 3 enseignants (soit 9,09%) l'ont fait sur bases des manipulations.

Tableau 4. Répartition des enseignants enquêtés selon l'origine des outils d'évaluation utilisés

Origine des outils d'évaluation	Effectif	Pourcentage
L'Inspection Générale de l'Enseignement Secondaire	33	100
Ministère de l'EPSP	0	0
Ecole de provenance	0	0
Ecole organisatrice	0	0
Les examinateurs	33	100
Total

Ce tableau montre que toutes les questions qui étaient à la base de cette évaluation ont été composées à l'Inspection Générale de l'E.P.S.P. Toute fois, les examinateurs pouvaient ajouter des questions secondaires si la réponse fournie par le candidat à la question principale n'était pas satisfaisante.

Répartition des enquêtés selon les objectifs poursuivis dans ce jury pratique de chimie

Pour le jury pratique de chimie, les objectifs suivants ont été définis par les enseignants de notre échantillon :

· vérifier les acquis des élèves depuis la 3^ème jusqu' en 6^ème secondaire;

· évaluer les élèves sur l'assimilation de la matière vue pendant les deux trimestres ;

· connaître les différents matériels utilisés dans les manipulations et les différentes méthodes d'analyse au laboratoire ;

· se rendre compte de l'assimilation des matières enseignées et jauger le niveau des élèves ;

· l'élève doit étaler aux examinateurs les connaissances accumulées au cours de l'année scolaire;

· l'élève doit être capable de préparer une solution titrée, de quantifier une substance par volumétrie ou par gravimétrie ;

· l'élève doit être capable de connaitre les méthodes de préparation des solutions et leurs titrages au laboratoire.

Tableau 5. Répartition des enseignants selon leur avis si ces objectifs ont été atteins

L'examen de ce tableau montre que sur les 33 enseignants examinateurs, 11 seulement estiment avoir atteint les objectifs de cette évaluation, soit 33,33%, alors que les 22 autres soit 66,66%, estiment ne pas les avoir atteints.

Répartition des enseignants enquêtés selon la manière dont le jury pratique de chimie devrait être constitué.

Nous reproduisons fidèlement les propositions faites par les 33 enseignants de notre échantillon :

- procéder à l'organisation périodique d'un jury pratique dans les sous-divisions d'enseignement secondaire afin d'initier déjà les finalistes à ce genre d'exercices.que l'inspection organise des pre-jury comme le font les écoles catholiques ;

- au lieu de placer les élèves dans des écoles ne disposant d'aucune infrastructure, les amener dans des écoles disposant des laboratoires suffisamment équipés pour que le jury pratique soit vraiment pratique et objectif (les élèves auront effectivement à manipuler).

- que l'examinateur soit une personne inconnue de leur centre pour éviter le favoritisme ;

- l'élève devrait passes directement à la pratique par usage de matériels et produits concernant le sujet choisi ;

- le jury devrait être organisé de 6 membres repartis en deux groupes pour évaluer objectivement les candidats ;

- bien équiper les écoles avec les matériels de laboratoire ainsi que les réactifs pour permettre aux élèves de réaliser quelques manipulations ;

- que les inspecteurs du Ministère de l'E.P.S.P soient eux mêmes des examinateurs du jury au lieu qu'ils courent derrière l'argent destiné aux examinateurs ;

- que l'inspection et le Ministère de l'E.P.S.P s'investissent pour équiper les écoles en matériels et produits ;

- prévoir des questions sur les principes de base ; des fondamentaux de chimie ;

- sélectionner les professeurs qualifiés, capables et expérimentés en ce genre de jury ;

- s'assurer que le programme national de chimie est réellement respecté et que les élèves ont bien assimilé la matière.

Eu égard aux résultats ci-haut, il y a lieu de remettre en cause l'appellation de « jury pratique ».

L'analyse de la lecture des objectifs poursuivis par ce jury tels qu'évoqués par les enseignants montre que la plupart de ces derniers ne connaissent pas très bien les objectifs poursuivis par le jury pratique de chimie.

Certains enseignants ont des objectifs dans leurs esprits, mais ils les formulent mal ou ils les matérialisent peu. Cette réalité démontre que l'évaluation faite lors de ce jury ampute à ce dernier son caractère « pratique » pour lui donner une faible valeur évaluative.

Ceci indique qu'il y a un déficit conceptuel dans la définition des objectifs, ce qui entraîne naturellement des difficultés pour leur atteinte.

A travers les propositions relatives à la manière dont devait être constituer le jury, nous remarquons que les enseignants de chimie souhaitent que ce jury soit réellement pratique.

- la préparation des enseignants, des apprenants et des examinateurs à ce jury suivant les directives méthodologues contenues dans le programme national de chimie.

CONCLUSION

Notre travail a porté sur la problématique de l'évaluation du jury pratique de chimie Edition 2010 dans les centres de la sous division de Ngaliema. Il était question de produire un document scientifique qui peut aider le pouvoir organisateur des Examens d'Etat et les examinateurs à améliorer la qualité desdits examens.

De l'analyse des résultats obtenus, nous avons pu remarquer que la majorité des enseignants qui ont pris part au jury pratique de chimie des Examens d'Etat 2010 ont évalué les finalistes par des questions théoriques et n'ont pas atteint les objectifs assignés à ce jury. Ce qui dérobe à ce jury son caractère pratique.

Nous suggérons que les écoles disposent des laboratoires pour la réalisation des manipulations, que les enseignants de chimie soit régulièrement recyclés sur l'évaluation en sciences ; et que l'Etat puisse équiper les écoles en outils nécessaires relatifs aux manipulations et veiller à l'application des directives méthodologiques.

Cette manière de procéder pourra faciliter l'élaboration d'un protocole qui inclura les notions, les différentes bases pédagogiques du cours de chimie en 6^e biologie - chimie et les matériels de laboratoire y afférant.

Face à ce constat, étant donné que nos enquêtes sur terrain ont suffisamment prouvé que le jury pratique de chimie organisé dans les centres d'examens d'Etat de la commune de Ngaliema ne prend pas en considération l'aspect « manipulation » et ne tient pas compte de la gamme de critères d'évaluation imposés par le pouvoir organisateur, et dans le souci de rectifier le tir et d'interpeller le pouvoir organisateur des examens d'Etat, nous formulons les recommandations suivantes :

- doter toutes les écoles publiques qui organisent l'option Biologie-Chimie des laboratoires suffisamment équipés pour la pratique ;

- mettre à la disposition des écoles des manuels reprenant les modes opératoires des leçons prévues au programme de chaque classe ;

- assurer le suivi de l'évolution des leçons de manipulations par le canal des inspecteurs de chimie ;

- disposer d'un laboratoire modèle dans chaque sous division d'enseignement pour permettre une meilleure évaluation périodique des élèves finalistes de chaque école ;

- veiller à ce que le jury pratique de chimie se déroule dans un laboratoire de chimie,...

- disposer d'un horaire préalablement étudié pour la pratique de chimie à tous les niveaux ;

- amener ses élèves, en cas d'absence d'un laboratoire dans les écoles qui en disposent ;

- envoyer les personnels enseignants dans des séminaires de formation pour leur recyclage,...

- participer régulièrement aux séminaires de formation organisés à leur intention pour une remise à niveau ou l'appropriation de nouvelles connaissances ou de nouvelles techniques,

- organiser leurs enseignements de manière à épuiser toute la matière contenue dans le programme national de chimie ;

- fournir des efforts permanents pour atteindre les objectifs assignés à chaque partie du programme ;

- faire des manipulations avec des matériels de fortune au cas où l'école manque un laboratoire,...

BIBLIOGRAPHIE

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2. DAMAS K. (2007), évaluation et apprentissage des symboles de grandeurs chimiques et physiques, mémoire ; UPN, Kinshasa Inédit.

3. DEKETELE J.M. (1989), l'évaluation de la productivité des institutions d'éducation. Geneve ;2^e édition

4. DIKENGA K. (2001), Quelques considérations sur les échecs observés dans le rendement des élèves de 3^èmescientifique en physique, TFC, IPN, Kinshasa : Inédit.

5. KINYOKA Y. (2003), étude et analyse des questions d'examen en technique du commerce en 3^ème Commerciale, TFC IPN Kinshasa inédit

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7. MBUYAMBA T. (1999), évaluation de la maîtrise des acquis en physique sur le mouvement de projectiles en 6^ème scientifique, mémoire, IPN, Kinshasa : inédit.

9. MOHAMMED B. (2009), les facteurs qui influencent la pratique de l'évaluation sommative en classe des enseignants permanents de premier cycle de l'IFS de Rabat. Rabat, édition C.R.S.R

10. MUKENDI W. (2005), techniques de communication DEA/DES, faculté de psychologie et sciences de l'éducation, UNIKIN, Kinshasa : inédit.

11. NGONGO D. (2005), la recherche scientifique en éducation, Bruylant-Academia S.A : Louvain-la neuve.

12. NIANGI F(2007), l'évaluation du niveau d'apprentissage des notions d'oxydoréduction chez les élèves de 6^ème bio chimie de l'année scolaire2006-2007,mémoire, UPN,Kinshasa,inédit.

13. NDANDULA M. (1995), analyse des interactions verbales par le modèle FIAC lors du processus enseignement-apprentisssage dans les classes du primaire à Kisangani, thèse, Kisangani : inédit.

15. REPI (2005), l'évaluation : avantages et inconvénients de différents types de questions. Ed.HEMES 2^ème édition.

16. UMBA P. (2007), Approche des enseignants et des élèves de la 3^ème scientifique sur l'évaluation scolaire ; cas des écoles de Mont-Ngafula ,TFC, UPN, Kinshasa :inédit.

17. YESI G.(1996), Contribution à l'étude des items d'examens d'état de chimie sur l'atomistique, TFC, IPN, Kinshasa :inédit.

ANNEXES

Dans le cadre de la rédaction de notre mémoire de licence à l'Université Pédagogique Nationale (UPN), nous venons vous soumettre ce questionnaire auquel vous répondrez de manière objective. Nous vous garantissons l'anonymat et vous remercions d'avance.

1. Avez-vous été membre d'un jury pratique de chimie pour cette session d'examens d'Etat?

c) faire preuve d'une ancienneté dans l'enseignement de la chimie en 6^ème secondaire, option chimie-biologie

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Autres à préciser......................................................................................................

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5. D'après vous, quels sont les objectifs poursuivis dans ce jury pratique de chimie ?

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Si non pourquoi.................................................................................................................................................................................................

7. Selon vous, de quelle manière devrait être constitué le jury pratique de chimie ?

N°	CENTRE	CODE	LOCALISATION DU CENTRE
1	NGALIEMA 1	13.013	LYCEE TOBONGISA
2	NGALIEMA 2	13.014	LYCEE NOTRE DAME
3	NGALIEMA 3	13.015	I.T.C. NGALIEMA
4	NGALIEMA 4	13.016	COLLEGE St CYPRIEN
5	NGALIEMA 5	13.017	C.S. St DAMIEN
6	NGALIEMA 6	13.018	C.S. MAFUTA/ SEC.
7	NGALIEMA 7	13.019	L.T.P. NGALIEMA
8	NGALIEMA 8	13.020	C. S. FLAMBLOYANT II
9	NGALIEMA 9	13.021	C.S. MAFUTA/ KOLOLO
10	NGALIEMA 10	13.022	INSTITUT BOBOKOLI
11	NGALIEMA 11	13.023	Ex. C.O. BOBOKOLI
12	NGALIEMA 12	13.024	EDAP / UPN
13	NGALIEMA 13	13.025	C.S. LA BORNE
14	NGALIEMA 14	13.026	C.S. MAFUTA / PRIM.

TABLES DE MATIERES

EPIGRAPHE.....................................................................................i

DEDICACE......................................................................................ii

AVANT-PROPOS.............................................................................iii