ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
ET UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE PROTESTANTE DE LUBUMBASHI
FACULTE DES SCIENCES
INFORMATIQUES
U.P.L
MISE AU POINT D'UNE APPLICATION DE GESTION DES
CONTRATS DES DECLARATIONS DANS UNE AGENCE
EN DOUANE
« Cas de COSEC
Sprl »
Présenté par
KABWE MUKUNAY Aimé
Travail présenté et défendu en vue de
l'obtention du grade de gradué en Sciences Informatiques
Option : Informatiques
Générales
2011
SEPTEMBRE 2011
EPIGRAPHE
L'
amélioration
des
techniques
de
fraude est
beaucoup
moins
coûteuse,
en
temps et en
argent, que
celle des
moyens de
prévention.
Bruno Lussato
DEDICACE
Il a fallu tant de patience « fruit du Saint
Esprit » pour arriver un jour à rédiger ce travail.
A toi mon cher papa KALU Benjamin pour tant d'amour, des
sacrifices et pour le soutien moral, matériel et financier, toi qui
malgré les dures épreuves s'est battu corps et âme pour que
nous arrivions aujourd'hui à la fin du premier cycle.
A toi ma chère mère KETA Kathy, toi ma
première nourricière et guide de l'école de notre vie,
jours et nuits tu n'a cessé d'implorer la bonté de l'Eternel pour
la réalisation de cette oeuvre.
A toi mon frère Sony KYUNGU pour ton soutient ainsi que
ta grande participation dans la réalisation de ce travail.
A toutes mes cousins et cousines Guelord ILUNGA, Samuel
KALELA, Naomi MIANDA pour vos conseils et encouragements.
A tous, je dédie ce travail.
REMERCIEMENTS
A tout seigneur tout honneur, rendons grâce à
Dieu l'Eternel, pour son souffle de vie et pour nous avoir donné
l'occasion d'accomplir ce travail scientifique.
Ce présent travail marque la fin de notre premier
cycle effectué à l'Université Protestante de Lubumbashi
(UPL) en sigle plus précisément à la faculté des
sciences informatiques.
Nos remerciements s'adressent sincèrement à
l'assistant Pierre MUCHAPA qui en dépit de ses multiples occupations, a
accepté de diriger ce travail avec fermeté et esprit
scientifique.
Nos remerciements s'adressent également aux
autorités académiques et administratives de l'Université
Protestante de Lubumbashi ainsi qu'à tout le corps professoral pour la
formation de qualité rentable.
Nous adressons également nos remerciements à
monsieur Patty de l'Agence Cosec Sprl qui nous a fournit librement les
informations pour l'élaboration du présent travail.
Nous remercions nos oncles, tantes, cousins, cousines Patrick
TSHINYOKA, Florence BULUNGU, Lolo TSHOWA, Lydie MULAJI, Alain BUKASA, Gracia
MULAJI, Patricia KIBUNDULU, Henry MBUYA, Justin LENGE, Schella KIVWIME.
Nous ne saurons pas tourner cette page sans remercier le
Pasteur Matthieu MATAYI pour son soutien tant spirituel que moral et à
la Chorale trompette évangélique pour sa prière.
Nous pensons également aux amis, amies,
collègues : Friddah KAHILA, Fidel ETOYI, Gracia MUKENG, Prisca
KASONGO, Jeef KABENGELE, Davis KIBWE, Danio TINDA, Christelle MBAYA.
Et à tous ceux qui de près ou de loin, ont
contribué moralement, matériellement ou spirituellement à
l'élaboration de ce travail, trouvent ici un mot de remerciement.
KABWE MUKUNAY Aimé
INTRODUCTION GENERALE
1. GENERALITES
Aujourd'hui, les entreprises évoluent dans un
environnement de plus en plus concurrentiel, variable et complexe. La
mondialisation, la fragmentation et la diversification croissante des
marchés, la complexité politique commerciale représentent
tant des menaces que d'opportunités pour les entreprises.
Par ailleurs, le développement d'une entreprise en
matière de technologies de l'information exige des nouveaux moyens et
supports pour échanger et diffuser l'information dans le but de
réduire les contraintes de temps, d'espace et du coût, et
faciliter la gestion de l'entreprise.
De plus, les clients ne sont plus satisfaits des solutions
standards, mais demandent plutôt des solutions globales adéquates
à leurs besoins spécifiques. Ils deviennent plus exigeants et
demandent des qualités des produits plus élevées et des
services plus personnalisés.
En effet, pour bien assurer la bonne gestion dans une
entreprise et avoir la compétitivité avec les autres entreprises,
il faut utiliser un système informatisé. C'est dans ce sens que
nous avons pris le temps pour la contribution d'une bonne gestion de l'agence
en douane Cosec Sprl.
2. PROBLEMATIQUE
La problématique est définie comme un art
d'élaborer et de poser clairement les problèmes et aussi de les
résoudre en suivant leur transformation dans la réflexion
scientifique ou philosophique.1(*)
Le système de gestion actuel rencontre certaines
difficultés :
Ø le risque de rendre un mauvais service aux
clients ;
Ø la perte des documents ;
Ø le manque d'informations pouvant contribuer à
l'élaboration des rapports au moment opportun ;
Ø temps de réponse très long.
Nous aurons à répondre au cours de
l'élaboration de notre travail à la question de savoir :
« En mettant au point une application de gestion, ne serait-il pas
possible de résoudre les problèmes cités
ci-hauts ? ».
3. HYPOTHESE
L'hypothèse est définie par R. RONGERE comme
étant « la proposition formulée en des termes tels que
l'élaboration et l'analyse puissent fournir une réponse2(*) ».
De ce fait, pour un rapport fiable et adéquat dans la
gestion des contrats des déclarations dans cette agence, une
application informatisée sera d'une grande utilité dans la prise
de décisions.
4. METHODES ET TECHNIQUES
4.1. METHODES
Selon le dictionnaire Larousse, une méthode est un
ensemble ordonné des principes, des règles et des
opérations intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue
d'atteindre un objectif fixé.3(*)
Dans le cadre de notre travail, il nous est opportun d'user
la méthode analytique à laquelle nous attachons MERISE qui est
une méthode de conception et de développement de système
d'information.4(*)
4.2. TECHNIQUES
Nous pouvons définir la technique comme étant
un ensemble des procédés exploités par le chercheur dans
une phase de récolte des informations nécessaires pour
l'élaboration d'un travail scientifique.
Dans le cas de notre travail, nous faisons recours aux
techniques suivantes :
a. Technique documentaire
C'est une technique qui nous permet de consulter des documents
relatifs à notre sujet dans le but d'y prendre les informations
importantes pour la réalisation du travail.
b. Technique d'interview
Cette technique nous a permis d'entrer en contact avec
l'enquêté afin de recueillir certaines informations concernant
notre travail.
c. Technique d'observation
C'est une technique qui nous a permis de descendre sur terrain
ou sur le lieu pour se rendre compte directement des phénomènes
étudiés.
5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
5.1. CHOIX DU SUJET
Le choix de ce sujet n'est pas un fait du hasard car il
découle de certaines difficultés rencontrées dans cette
agence notamment la lourdeur dans l'administration, la gestion des contrats
des déclarations,...
Nous avons trouvé intéressant d'alléger
la procédure en choisissant l'outil informatique comme moyen efficace de
gestion.
5.2. INTERET DU SUJET
L'intérêt de ce sujet est évident et
complexe car il apporte une solution délicate sous plusieurs plates
formes.
a. Intérêt personnel
Ce travail de recherche nous permettra de nous familiariser
à des recherches approfondies dans des entreprises et avoir de
l'aptitude dans la conception des logiciels et ainsi avoir de
l'expérience dans la programmation des projets volumineux.
b. Intérêt
économique
Pour l'agence, ce travail va permettre à trouver,
à enregistrer et à restituer les informations fiables et
adéquates au moment opportun, et aussi la réalisation d'une bonne
gestion au sein de cette dernière, alors que la technologie
évolue rapidement.
6. DELIMITATION DU SUJET
Pour bien mener une étude plus précise et plus
profonde, il convient de bien circonscrire le milieu d'investigation.
Sur ce, nous devons délimiter le travail dans le temps
et dans l'espace.
Dans le temps, notre analyse part de la conception du
système d'informatisation jusqu'à son implémentation sur
une configuration effective donnée, et demeurera admissible
jusqu'à ce que l'entreprise aura besoin de changer son système de
gestion.
Dans l'espace, nous nous intéressons au service
d'exploitation de gestion des déclarations.
7. FOURNITURES ATTENDUES
Comme fourniture, nous mettrons en place une application de
gestion qui sera utilisé dans cette agence par les responsables, les
différents rapports rédigés lors de l'élaboration
de ce travail constitueront les documents complémentaires.
8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Hors mis l'introduction générale et la
conclusion générale, notre travail est subdivisé en quatre
(4) chapitres :
Ø Le premier chapitre porte sur l'analyse
préalable et a pour objectif la description du système existant
et son analyse ;
Ø Le deuxième chapitre intitulé analyse
conceptuelle vise l'analyse définie du système.
Ø Le troisième chapitre intitulé
modèle logique et organisationnel permet de procéder à la
spécification de la structure et la prise en compte des aspects
organisationnels et l'ajout des contraintes à la solution
conçue.
Ø Et enfin le quatrième chapitre nommé
implémentation a pour objectif la mise au point proprement dite de
l'application.
CHAPITRE I. ANALYSE
PREALABLE
I.1. INTRODUCTION
L'analyse préalable a pour objectif de poser
correctement le problème à résoudre, de le définir,
de le formaliser sous un aspect accessible à tout les responsables
concernés. Ensuite, elle fournit des orientations des solutions.5(*)
C'est ainsi que dans ce chapitre nous parlerons de
l'organisation de la société à travers sa structure
organisationnelle, ensuite nous présenterons l'existant de
l'organisation.
L'analyse des informations et des traitements fera l'objet de
ce chapitre pour arriver à critiquer celle-ci et enfin proposer les
solutions nouvelles pour un bon fonctionnement de l'entreprise.
I.2. PRESENTATION DE
L'EXISTANT
I.2.1. APERÇU
HISTORIQUE
La Congolaise des Services, Etudes et Commerce en
abrégé « COSEC » est une
société privée à responsabilité
limitée à caractère commercial. Elle a constitué
pendant longtemps l'épine dorsale de l'économie congolaise
grâce à son apport sous forme d'impôts, taxes et droits
divers dans la caisse de l'Etat.
La Congolaise des services, Etudes et Commerce a
été créée le 23 juin 1960 dont le fonctionnement et
l'organisation seront régis par le statut et par les dispositions
impératives du décret du 23 février 1970 sur les
sociétés commerciales.
I.2.2. SIEGE SOCIAL
La Congolaise des Services, Etudes et Commerce a son
siège social à Kinshasa au n°4932 de l'avenue du fleuve,
quartier Kagawa dans la commune de Limete. Il pourra être
transféré en tout autre localité de la République
Démocratique du Congo par décision de l'Assemblée
Générale délibérante dans les conditions prescrites
pour les modifications aux statuts.
I.2.3. SITUATION
GEOGRAPHIQUE
Le siège de la Direction provinciale de Cosec/Katanga
est situé sur l'avenue Mwepu au n°52 dans la Commune de
Lubumbashi.
I.2.4. OBJET SOCIAL
La société a pour objectif, tant pour son propre
compte que pour le compte des tiers, soit par elle-même, soit par
l'entremise des tiers habitant en République Démocratique du
Congo et à l'étranger.
a. Au commerce général :
notamment l'import et l'export, les opérations de dédouanement,
le transport des biens et des personnes, sa commercialisation de tous services,
de toutes marchandises ou produits quelconque ainsi que des matières
précieuses, l'exploitation forestières et agricoles ; les
transferts de fonds, le fret, la gestion immobilière et la
télécommunication.
b. Aux travaux de génie civil :
la construction immobilière et autres, l'expertise de la passation des
marchés y relatif, le bureau d'études en construction, marketing,
analyse et évaluation des projets, ainsi que le contrôle et la
surveillance des travaux.
La société pourra gérer toute entreprise
dans laquelle elle aurait des intérêts de prêter ou
emprunter des fonds en vue de la conclusion de toutes affaires, donner et
recevoir toutes garanties, s'intéresser par voie d'association,
d'apport, de souscription ou de toute autre manière à toute
entreprise ou société, quelle qu'en soit l'activité,
vendre les participations et intérêts qu'elle aurait
acquérir.
I.2.5. ORGANIGRAMME
L'organigramme est un outil graphique permettant la
représentation synthétique de l'ensemble de la structure d'une
entreprise, d'une entité ou d'un service.6(*)
BUREAU DE FINANCE
SECRETARIAT
BUREAU D'EXPLOITATION
CAISSE
COMPTABILITE
BUREAU D'ADMINISTRATION
BUREAU D'AGENCE
DEMARCHEURS
Source : Bureau
d'exploitation
23/03/2011
I.2.6. DESCRIPTION DES
POSTES
1. Direction d'agence
Dirigée par le Directeur d'agence, celui qui prend
toutes les décisions et coordonne le fonctionnement de l'entreprise.
2. Secrétariat
C'est la courroie de transmission entre la Direction et
d'autres services. Il gère toutes les correspondances destinées
à l'entreprise et même celles destinées pour
l'extérieur.
Il fait l'office de dispatching de documents officiels, garde
tous les secrets de l'entreprise parce qu'étant le cou qui relie la
tête aux membres.
3. Bureau d'exploitation
C'est le bureau qui fait la déclaration lors du
mouvement de l'entreprise, remplit les formalités de cette
dernière lors d'un contrat.
4. Bureau de Finance
Ce bureau est là pour se mettre à la prospection
des clients afin de canaliser ou mobiliser les recettes, affecter et maximiser
les recettes pour la réalisation de bénéfices.
5. Caisse
Est un service qui s'occupe des encaisses et dépenses
de l'entreprise. Les caisses perçoivent toutes les sommes versées
par les contribuables.
6. Comptabilité
Ce département s'occupe de la comptabilité
générale, il repose sur les écritures comptables
concernant les recettes et les dépenses. Ces recettes proviennent de la
société.
7. Bureau d'administration
Il s'occupe des personnels et de tout ce qui est lié
à l'administration entre autre, le contact avec les partenaires, les
services de l'Etat et de l'organisation sur le plan interne, donner les
tâches à chacun des agents.
I.3. FONCTIONNEMENT DE
L'AGENCE
Dans le cadre de notre travail, nous avons retenu un seul
poste d'ouvrage qui est celui du bureau d'exploitation qui gère les
déclarations.
I.3.1. DESCRIPTION
TEXTUELLE
Le client dépose à l'agence un dossier complet.
Ce dossier comprend les documents commerciaux (facture de fret, facture du
fournisseur,...), les certificats de contrôle, certificat d'origine ainsi
que l'AVI.7(*)
Aussitôt les documents acceptés, l'agence établit un
contrat avec le client et lui remet un acte de contrat. Après
l'établissement du contrat avec l'importateur, l'agence rédige
les formalités douanières sur base des documents qui lui
était remis. Et ces formalités douanières sont
écrites sur une fiche de déclaration qu'on appelle T1 (T
one)8(*). Ainsi, ce document
est immédiatement transmit auprès des services de douane.
Après vérification et validation de la
déclaration, l'inspecteur en douane remet à l'agence le bulletin
de liquidation pour le paiement des droits et taxes de douane. Avec cette note,
l'agence se rend à la banque, paye et reçoit une quittance de
déclaration. La banque à son tour transmet immédiatement
à partir d'un réseau informatique les informations de paiement
à la douane.
Après le paiement, l'agence retourne à la douane
pour la vérification de paiement et celle-ci le livre un bon à
enlever qui permet à l'agence de retirer la marchandise. Et l'agence
à son tour remet la marchandise au client accompagné des
documents de dédouanement.
I.3.2. TABLEAU DES ACTEURS
Un acteur est une personne morale ou physique capable
d'émettre ou de recevoir des informations.9(*)
Un acteur est interne à l'organisation lorsqu'il
appartient au système d'information de l'organisation. Un acteur est
externe à l'organisation lorsqu'il n'appartient pas au système
d'information mais qui est à l'origine ou à la destination de
flux d'informations reçus ou émanant du système
d'information.10(*)
En outre, pour ce qui concerne ce tableau, nous reprendrons
les acteurs qui sont essentiels à notre étude.
N°
|
ACTEUR
|
TYPE
|
EXPLICATIOIN
|
1
|
CLIENT
|
EXTERNE
|
Qui déclare sa marchandise pour l'importation
|
2
|
AGENCE
|
INTERNE
|
Qui établit les formalités d'importation ou
d'exportation de la marchandise lors de la déclaration
|
3
|
DOUANE
|
EXTERNE
|
Reçoit la marchandise à importée ou
à exportée et le place sous un régime douanier
|
4
|
BANQUE
|
EXTERNE
|
Elle reçoit tous les frais du à l'Etat
|
I.3.3. GRAPHE DES FLUX
Par définition, un flux est un échange
d'information entre un acteur avec lui-même ou entre deux
acteurs.11(*) De par cette
définition, nous dirons que les échanges d'informations sont sous
formes des flèches représentant le flux vers les acteurs qui sont
sous forme de noeuds ou ovale.
Ainsi donc nous avons :
CLIENT
BANQUE
AGENCE
DOUANE
6
5
9
8
4
3
7
1
2
10
1. Documents présentés
2. Contrat remis
3. Déclaration transmise
4. Déclaration taxée et bulletin de liquidation
transmis
5. Paiement montant de déclaration
6. Quittance de déclaration remise
7. Informations de paiement transmises
8. Quittance de déclaration présentée
9. Bon à enlever transmis
10. Marchandises livrées
I.3.4. TABLEAU DES FLUX
Le tableau des flux est un tableau qui renferme tous les flux,
c'est ainsi que nous avons une ligne qui décrit en détail un
flux : nom du flux, émetteur, récepteur et
propriété.
Un émetteur est un acteur qui est créateur ou
innovateur d'un flux. Tandis qu'un récepteur d'un flux est un acteur qui
est preneur ou consommateur du flux12(*).
Dans ce cas nous avons :
N°
|
Nom du flux
|
Emetteur
|
Récepteur
|
Propriétés
|
1
|
Documents présentés
|
CLIENT
|
AGENCE
|
- nomimport
- prixmarch
- poidsmarch
- fret
- assurance
|
2
|
Contrat remis
|
AGENCE
|
CLIENT
|
- numcont
- nomimport
- nomagence
- datecont
- montpay
|
3
|
Déclaration transmise
|
AGENCE
|
DOUANE
|
- nummenregist
- natmarch
- nomimport
- numcamion
- codagence
|
4
|
Bulletin de liquidation transmis
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- numliq
- nomagence
- codetaxe
- libelletaxe
- montantliq
|
5
|
Paiement montant de déclaration
|
AGENCE
|
BANQUE
|
Idem flux n°4
|
6
|
Quittance de paiement remis
|
BANQUE
|
AGENCE
|
- numquit
- datequit
- nbredeclar
- montantverse
- nomagence
|
7
|
Informations de paiement transmises
|
BANQUE
|
DOUANE
|
Idem n°6
|
8
|
Quittance de déclaration présentée
|
AGENCE
|
DOUANE
|
Idem flux n°6
|
9
|
Bon à enlever remis
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- numbon
- nomagence
- heuredecharg
- heurededecharg
- numcamion
|
10
|
Marchandise livrée
|
AGENCE
|
CLIENT
|
- nomagence
- natmarch
- nbrecolis
- nomimport
|
I.4. ANALYSE DES
DOCUMENTS
Le recensement des documents est le préalable absolu
à toute démarche d'automatisation. Il existe 2
méthodes13(*) :
v La méthode ascendante : très pratique
pour une nouvelle informatisation
v La méthode descendante : à utiliser sur
un système existant permettant de recenser toutes les informations du
système rencontrées sur les divers documents en service et
à y ajouter les nouvelles données nécessaires aux nouveaux
traitements. C'est la méthode utilisée dans le cadre de notre
travail.
II.4.1. PRESENTATION DES
DOCUMENTS
a. Fiche de contrat
C'est un document remis au client lors de l'ouverture d'un
contrat avec l'agence.
b. T ONE
Ce document est remplit par l'agence contenant toutes les
informations possible en rapport avec la marchandise ainsi que tous les
détails nécessaires pour le calcul éventuel des droits de
douane.
c. Bulletin de liquidation
C'est un document que la douane remet à l'agence pour
le paiement des droits et taxes de la marchandise à la banque.14(*)
d. Quittance de
déclaration
Ce document est remis par la banque lors de paiement des
droits et taxes de douane.
e. Bon à enlever (BAE)15(*)
C'est un document de la douane qui donne l'autorisation
à l'agence de retirer sa marchandise.
I.4.2. INVENTAIRE DES RUBRIQUES
L'inventaire des rubriques est un tableau qui reprend en
lignes les propriétés et en colonnes les documents
recensés. La présence de l'astérisque à
l'intersection de la colonne et de la ligne signifie que cette
propriété se retrouve sur ce document.
Ainsi notre tableau se présente de la manière
suivante :
N°
|
Propriétés
|
Fiche de contrat
|
T1
|
Bulletin de liquidation
|
Quittance
|
Bon à enlever
|
1
|
numimport
|
*
|
*
|
|
|
|
2
|
codbureau
|
|
*
|
*
|
*
|
*
|
3
|
nummanif
|
|
*
|
|
|
|
4
|
numliq
|
|
|
*
|
|
|
5
|
numquit
|
|
|
|
*
|
|
6
|
codetaxe
|
|
|
|
*
|
|
7
|
numcamion
|
|
*
|
|
|
*
|
8
|
numcont
|
*
|
|
|
|
|
9
|
numbon
|
|
|
|
|
*
|
10
|
codagence
|
*
|
*
|
*
|
*
|
|
11
|
codbanq
|
|
*
|
|
*
|
|
12
|
nomimport
|
*
|
*
|
*
|
*
|
*
|
13
|
dateenreg
|
|
*
|
|
|
|
14
|
dateliq
|
|
|
*
|
|
|
15
|
paysprov
|
|
*
|
|
|
|
16
|
paysdest
|
|
*
|
|
|
|
17
|
montfac
|
|
*
|
|
|
|
18
|
nombanq
|
|
*
|
|
*
|
|
19
|
lieudech
|
|
*
|
|
|
*
|
20
|
lieudedech
|
|
*
|
|
|
*
|
21
|
heurededech
|
|
*
|
|
|
*
|
22
|
nbrecolis
|
*
|
*
|
|
|
*
|
23
|
poidsart
|
*
|
*
|
|
|
|
24
|
descriptart
|
*
|
*
|
|
|
|
25
|
prixart
|
*
|
*
|
|
|
|
26
|
fret
|
|
*
|
|
|
|
27
|
assurance
|
|
*
|
|
|
|
28
|
datequit
|
|
|
|
*
|
|
29
|
nomagence
|
*
|
*
|
*
|
*
|
*
|
30
|
adresagence
|
*
|
*
|
*
|
*
|
|
31
|
adresbanq
|
|
*
|
|
*
|
|
32
|
libelletaxe
|
|
|
|
|
|
33
|
datededech
|
|
*
|
|
|
|
34
|
numtelimp
|
*
|
|
|
|
|
35
|
datecont
|
*
|
|
|
|
|
36
|
dureecont
|
*
|
|
|
|
|
37
|
montpay
|
*
|
|
|
|
|
38
|
nombureau
|
|
*
|
|
|
*
|
39
|
montverse
|
|
|
*
|
*
|
|
40
|
nomchauf
|
|
*
|
|
|
|
41
|
datebon
|
|
|
|
|
*
|
42
|
prix
|
|
*
|
|
|
|
43
|
Taux
|
|
*
|
|
|
|
I.5. CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
Après avoir pris connaissance du fonctionnement de
l'agence et de l'ensemble de ses composantes voici les critiques que nous
apportons :
I.5.1. POINTS POSITIFS
Cosec Sprl est une agence ayant une bonne structure et des
agents compétent dans les différents secteurs
précisément le secteur du service d'exploitation, quelque soit le
système manuel rencontré dans le service, les suivis des clients
et la protection des documents sont quand même conformes.
I.5.2. POINTS NEGATIFS
Ø Les procédures sont manuelles ce qui ne
garantie pas une efficacité et ce qui ralentit le travail qui a pour
conséquence d'allonger le délai de réponse.
Ø Chaque acteur sauvegarde les données dans son
poste, ce qui rend difficile le suivi de la procédure d'un client on
risque d'avoir plusieurs interlocuteurs dans l'agence pour un seul client. Ce
qui est fastidieux
I.5.3. SUGGESTIONS
Après les critiques que nous avons formulés sur
notre étude, nous faisons quelques suggestions afin d'optimiser le
travail de l'agence en douane.
Ø Informatiser le service pour faciliter le stockage
des informations ;
Ø On remarque qu'il y a un registre dans chaque poste.
C'est ainsi qu'il faut trouver un moyen de centraliser les documents à
sauvegarder et dupliquer les sauvegardes dans une base de données
relationnelle.
Ø La base centralisée permettra d'avoir toutes
les sauvegardes sur un seul support. Cette centralisation permettra de suivre
en temps réel le dossier d'un client
I.5.4. NOUVELLES
ORIENTATIONS
Nous proposerons un chemin en choisissant une connexion
réseau pour les différents postes de travail.
a. Type de réseau
Les technologies sont variées pour s'adapter aux
différents types de réseaux :
b. Réseaux locaux - LAN (aussi bien pour les
entreprises que pour les maisons).
Un LAN est un réseau permettant d'interconnecter les
ordinateurs d'une entreprise ou d'une organisation. Le LAN relie
généralement des ordinateurs à l'aide de support de
transmission filaires (
paires
torsadées ou
câbles
coaxiaux la plupart du temps) sur une circonférence d'une centaine
de mètres. Ce qui est parfaitement adéquat pour cette agence.
Pour la solution technique nous proposons l'achat d'un serveur
qui hébergera la base de données et les applications de
l'agence.
Serveur
Un serveur est un ordinateur robuste qui joue le rôle
d'un concentrateur central relié à tous les ordinateurs qui se
trouvent à l'intérieur de l'agence. Un serveur gère des
tâches telles que le partage de fichiers, le traitement de l'impression
ou l'administration de la messagerie et du réseau.
Voici quelques avantages que peut vous conférer un
serveur :
Ø Amélioration de la productivité et de
l'efficacité grâce au stockage des documents importants de
l'entreprise dans un emplacement central auquel tous les agents peuvent
accéder.
Ø Protections des informations sur les clients
grâce à des contrôles de sécurité et des
sauvegardes automatiques intégrés.
La configuration minimale requise du serveur sera :
Fréquence processeur : 2 GHz ou plus
Mémoire vive (RAM) : 1Go ou plus (4 Go
max.)
Disque dur : 360 Go d'espace disque disponible
Lecteur : CD-ROM ou DVD-ROM
Ecran plat : minimum 17''
Deux cartes d'interface réseau Ethernet
CHAPITRE II. ANALYSE
CONCEPTUELLE
II.1. INTRODUCTION
L'analyse conceptuelle est la première étape de
l'approche MERISE. Elle débouche bien entendu sur la mise en oeuvre
technique accompagnée de la réalisation de supports visuels
(schéma physique de la base).
Son rôle consiste à définir
précisément les qualités de l'entreprise. Elle
décrit l'ensemble des données stables du système
d'information et l'ensemble des règles de gestion à y appliquer
sans tenir compte d'un quelconque matériel informatique devant supporter
ces informations.
II.2. MODELE CONCEPTUEL DES
DONNEES
Le modèle conceptuel des données (MCD)
représente l'ensemble des données mémorisables d'un
domaine étudié, sans considération des aspects techniques,
économiques, de stockage ou autres.16(*)
L'univers du discours représente l'ensemble des
données utilisées, échangées et traitées.
Dans celle-ci on fait référence à des objets concrets ou
abstraits et à des associations entre eux17(*).
Le MCD permet donc de représenter graphiquement les
données ainsi que les relations qui les lient.
II.2.1. FORMALISME DE
REPRESENTATION DU MCD
Le MCD est aussi appelé modèle
entité-association (EA).
a. La propriété
Est une donnée élémentaire perçue
sur le système d'information. Les propriétés peuvent
concerner les entités comme les associations.18(*)
b. Entité
Est un objet du système d'information, pourvu d'une
existence propre, conforme au choix de gestion de l'entreprise et porteur de
propriétés.
c. Occurrence d'une entité
Est le nombre de fois où cette entité est
valorisée.
d. Identifiant
Est une propriété particulière, telle
qu'à chaque valeur de la propriété corresponde une et une
seule occurrence de l'entité.
e. Association
Une association est une relation ou lien entre deux ou
plusieurs entités.
f. Cardinalité
Elle représente le nombre d'occurrences, minimal et
maximal d'une entité par rapport à une association.
g. Une CIF
Une Contrainte d'Intégrité Fonctionnelle en
abrégé CIF se définit par le fait que l'une des
entités participant à l'association est complètement
déterminée par la connaissance d'une ou plusieurs autres
entités participant dans cette même association.
Etape 1. Dictionnaire des données
Le dictionnaire des données est en fait le
résultat de la phase de collecte des données
élémentaires des documents récences lors de l'analyse
préalable. On le place sous forme de tableau trié par ordre
alphabétique, il est dépouillée de toute anomalie ou
incohérence, des données redondantes des synonymes et de
polysèmes.19(*)
N°
|
Propriétés
|
Signification
|
Type
|
Taille Dom
|
Contrôle
|
1
|
adresagence
|
Adresse de l'agence
|
NC
|
AN_25
|
|
2
|
adresbanq
|
Adresse de la banque
|
NC
|
AN_25
|
|
3
|
assurance
|
Assurance
|
NC
|
N_15
|
|
4
|
codagence
|
Code de l'agence
|
NC
|
N_5
|
Unique
|
5
|
codbanq
|
Code de la banque
|
NC
|
N_5
|
Unique
|
6
|
codbureau
|
Code du bureau
|
NC
|
AN_5
|
Unique
|
7
|
codtaxe
|
Code de la taxe
|
NC
|
AN_5
|
|
8
|
datebon
|
Date du bon
|
NC
|
Date
|
|
9
|
datecont
|
Date du contrat
|
NC
|
Date
|
|
10
|
datededech
|
Date de déchargement
|
NC
|
Date
|
|
11
|
dateenreg
|
Date d'enregistrement
|
NC
|
Date
|
|
12
|
datequit
|
Date de la quittance
|
NC
|
Date
|
|
13
|
descriptart
|
Description de l'article
|
NC
|
AN_20
|
|
14
|
dureecont
|
Durée du contrat
|
NC
|
Date
|
|
15
|
fret
|
Fret
|
NC
|
N_15
|
|
16
|
heurededech
|
Heure de déchargement
|
NC
|
Date
|
|
17
|
libelletaxe
|
Libelle de la taxe
|
NC
|
AN_25
|
|
18
|
lieudech
|
Lieu de chargement
|
NC
|
AN_20
|
|
19
|
lieudedech
|
Lieu de déchargement
|
NC
|
AN_20
|
|
20
|
marqueveh
|
Marque du véhicule
|
NC
|
AN_10
|
|
21
|
montfac
|
Montant de la facture
|
NC
|
N_15
|
|
22
|
montpay
|
Montant payé
|
NC
|
N_15
|
|
23
|
montverse
|
Montant versé
|
NC
|
N_15
|
|
24
|
nomagence
|
Nom de l'agence
|
NC
|
AN_15
|
|
25
|
nombanq
|
Nom de la banque
|
NC
|
AN_10
|
|
26
|
nombrecolis
|
Nombre des colis
|
NC
|
N_3
|
|
27
|
nombureau
|
Nom du bureau
|
NC
|
N_20
|
|
28
|
nomchauf
|
Nom du chauffeur
|
NC
|
AN_15
|
|
29
|
nomimport
|
Nom de l'importateur
|
NC
|
AN_20
|
|
30
|
numbon
|
Numéro du bon
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
31
|
numcamion
|
Numéro du camion
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
32
|
numcont
|
Numéro du contrat
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
33
|
numimport
|
Numéro de l'importateur
|
NC
|
AN_10
|
Unique
|
34
|
nummanif
|
Numéro du manifeste
|
NC
|
AN_10
|
Unique
|
35
|
numquit
|
Numéro de la quittance
|
NC
|
AN_7
|
Unique
|
36
|
numtelimp
|
Numéro du téléphone de l'importateur
|
NC
|
N_13
|
|
37
|
paysdest
|
Pays de destination
|
NC
|
AN_15
|
|
38
|
paysprov
|
Pays de provenance
|
NC
|
AN_15
|
|
39
|
poidsart
|
Poids de l'article
|
NC
|
AN_6
|
|
40
|
Prixart
|
Prix de l'article
|
NC
|
N_15
|
|
41
|
Taux
|
Taux de change
|
NC
|
N-4
|
|
42
|
Typecont
|
Type de contrat
|
NC
|
AN-12
|
|
BUT
Etape 2. Matrice des dépendances à source
simple
SOURCE
N°
|
|
1
|
2
|
3
|
4
|
5
|
6
|
7
|
8
|
9
|
10
|
11
|
12
|
13
|
14
|
15
|
16
|
17
|
18
|
19
|
20
|
21
|
22
|
23
|
24
|
25
|
26
|
27
|
28
|
29
|
30
|
31
|
32
|
33
|
34
|
35
|
36
|
37
|
38
|
39
|
40
|
41
|
1
|
numimport
|
*
|
|
1
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2
|
codbureau
|
|
*
|
1
|
1
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3
|
nummanif
|
|
|
*
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
numquit
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5
|
numcamion
|
|
|
|
|
*
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
6
|
numcont
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
7
|
numbon
|
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8
|
codagence
|
|
|
1
|
|
|
1
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
9
|
codbanq
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
*
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
10
|
nomimport
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
11
|
dateenreg
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
12
|
paysprov
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
13
|
paysdest
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
14
|
montfac
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
15
|
nombanq
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
16
|
lieudech
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
17
|
lieudedech
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
18
|
heurededech
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
19
|
nbrecolis
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
20
|
poidsart
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
21
|
descriptart
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
22
|
Prixart
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
23
|
Fret
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
24
|
assurance
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
25
|
nomagence
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
26
|
adresagence
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
27
|
adresbanq
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
28
|
datededech
|
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
29
|
numtelimp
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
30
|
datecont
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
31
|
dureecont
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
32
|
Montpay
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
33
|
nombureau
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
34
|
Montverse
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
35
|
Nomchauf
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
36
|
Datebon
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
37
|
marqueveh
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
38
|
Datequit
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
39
|
Codtaxe
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
40
|
libelletax
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
41
|
taux
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
42
|
Typecont
|
|
|
|
|
|
1
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Etape 3. Matrice des dépendances fonctionnelles
à source composée
Pour la construction de la matrice des dépendances
fonctionnelles à source composée, nous prenons à compte
toutes les propriétés et tous les identifiants non
utilisés dans la matrice des dépendances à source
simple.
C'est ainsi que dans le cadre de notre travail, cette matrice
n'existe pas car toutes les propriétés ont été
déterminées dans la matrice des dépendances fonctionnelles
à source simple.
Etape 4. Matrice des clés
La matrice des clés est construite en prenant toutes
les propriétés identifiant dans la matrice des dépendances
fonctionnelles à source simple, tout en observant l'identifiant qui
identifie l'autre. Ainsi nous obtenons la matrice suivante.
N°
|
Propriétés
|
DF1
|
DF2
|
DF3
|
DF4
|
1
|
numimport
|
D
|
|
D
|
|
2
|
codbureau
|
D
|
D
|
|
|
3
|
nummanif
|
G
|
|
|
D
|
4
|
numquit
|
|
G
|
|
|
5
|
Numcamion
|
|
|
|
D
|
6
|
Numcont
|
|
|
G
|
|
7
|
Numbon
|
|
D
|
|
G
|
8
|
Codagence
|
D
|
|
D
|
|
9
|
Codbanq
|
D
|
|
|
|
Etape 5. Graphe des clés
nummanif
codbureau
numimport
codagence
codbanq
numbon
numcamion
numcont
numquit
C'est un graphe de représentation par des
flèches toutes les relations trouvées dans la matrice des
clés.
Etape 6. Structure d'accès théorique
(SAT)
C'est une représentation graphique des
dépendances fonctionnelles. Elle est construite après avoir
établi la matrice des dépendances fonctionnelles. La SAT permet
de déceler les transitivités.
nummanif
codbureau
numimport
codagence
codbanq
numbon
numcamion
numcont
numquit
datebon
lieudech
lieudedech
heurededech
datededech
nomchauf
marqueveh
datecont
dureecont
montpay
typecont
nombanq
adresbanq
nombureau
datequit
codetaxe
libelltaxe
montverse
nomimport
numtelimp
nomagence
adresagence
dateenreg
paysprov
paysdest
montfac
nbrecolis
poidsart
descriptart
fret
assurance
montdedecl
taux
Etape 7. Construction du MCD
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
BUREAU
codbureau
nombureau
numcont
datecont
dureecont
montpay
typecont
CONTRAT
numcamion
nomchauf
marqueveh
CAMION
numbon
datebon
lieudech
lieudedech
heurededech
datededech
BON
numimport
nomimport
numtelimp
IMPORTATEURR
codbanq
nombanq
adresbanq
BANQUE
codagence
nomagence
adresagence
AGENCE
nummanif
dateenreg
paysprov
paysdest
montafac
nbrecolis
poidsart
descriptart
fret
assurance
taux
MANIFESTE
numquit
datequit
codetaxe
libelletaxe
montantverse
QUITTANCE
LIVRER
CIF
PASSER
CIF
ETABLIR
CIF
AVOIR
CIF
REMPLIR
CIF
RECEVOIR
CIF
ETRE POUR
CIF
ETRE POUR
CIF
APPROUVER
CIF
Etape 8. Tableau des cardinalités
Les cardinalités d'une entité dans une
association expriment le nombre de fois qu'une occurrence de cette
entité peut être impliquée dans une occurrence de
l'association, au minimum et au maximum.20(*)
C'est ainsi que ce tableau ci-dessous reprend les couples de
valeur que l'on trouve entre chaque entité et ses associations
liées.
N°
|
Entité
|
Association
|
Cardinalité
|
Signification
|
1
|
AGENCE
|
Remplir
|
(1,n)
|
Une agence peut remplir une ou plusieurs Manifestes
|
2
|
MANIFESTE
|
Remplir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est remplit par une seule agence
|
3
|
AGENCE
|
Livré
|
(1,n)
|
Une agence peut livrer un ou plusieurs contrats
|
4
|
CONTRAT
|
Livré
|
(1,1)
|
Un contrat est livré par une et une seule agence
|
5
|
BUREAU
|
Etablir
|
(1,n)
|
Un bureau peut établir un ou plusieurs Manifestes
|
6
|
MANIFESTE
|
Etablir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est établi par un et un seul bureau
|
7
|
IMPORTATEUR
|
Passer
|
(1,n)
|
Un importateur peut passer au moins un contrat
|
8
|
CONTRAT
|
Passer
|
(1,1)
|
Un contrat est passé par un et un seul importateur
|
9
|
IMPORTATEUR
|
Avoir
|
(1,n)
|
Un importateur peut avoir un ou plusieurs Manifestes
|
10
|
MANIFESTE
|
Avoir
|
(1,1)
|
Un Manifeste a un et un seul importateur
|
11
|
BON
|
Etre pour
|
(1,1)
|
Un bon est pour un seul camion
|
12
|
CAMION
|
Etre pour
|
(1,n)
|
Un camion peut être pour plusieurs bons
|
13
|
BANQUE
|
Recevoir
|
(1,n)
|
Une banque peut recevoir un ou plusieurs Manifeste
|
14
|
MANIFESTE
|
Recevoir
|
(1,1)
|
Un Manifeste est reçu par une seule banque
|
15
|
BUREAU
|
Approuver
|
(1,n)
|
Un bureau peut approuver une ou plusieurs quittances
|
16
|
QUITTANCE
|
Approuver
|
(1,1)
|
Une quittance est approuvée par un et un seul bureau
|
17
|
BON
|
Concerner
|
(1,1)
|
Un bon est concerné par un seul Manifeste
|
18
|
MANIFESTE
|
Concerner
|
(1,n)
|
Un Manifeste peut concerner un ou plusieurs bons
|
I.3. MODELE CONCEPTUEL DES
TRAITEMENTS
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter
la dynamique du système d'information, c'est-à-dire les
opérations qui sont réalisées en fonction
d'événements.21(*) Ce modèle permet de représenter de
façon schématique l'activité d'un système
d'information sans faire référence à des choix
organisationnels ou des moyens d'exécution, c'est-à-dire qu'il
permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit
pas quand, comment ni où...
I.3.1. TABLEAU DES
EVENEMENTS
Un événement est une collection des faits
susceptibles de déclencher une réaction au sein d'une
organisation.22(*)
De ce fait, nous allons éliminons tous les flux
à récepteur externe pour ne rester qu'avec des flux internes
à l'organisation.
N°
|
Nom événement
|
Type
|
Emetteur
|
Récepteur
|
Propriétés
|
1
|
Documents présentés
|
Externe
|
CLIENT
|
AGENCE
|
- numimport
- nomimport
- numcamion
- prixmarch
- nomchauf
|
2
|
Bulletin de liquidation transmis
|
Externe
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- numliq
- nomagence
- nomimport
- montverse
-codbanq
- nombanq
|
3
|
Bon à enlever remis
|
Externe
|
DOUANE
|
AGENCE
|
- numbon
- datededech
- lieudedech
- nombureau
- numcamion
|
II.3.2. TABLEAU DES ACTIONS
INDUITES
C'est un tableau qui nous étal les actions que le
récepteur réalisera après avoir reçu les
informations. Ce tableau est construit sur base du tableau des
événements.
N°
|
Nom événement
|
Action induite
|
Récepteur
|
Propriétés
|
1
|
Documents présentés
|
Etablir la fiche de contrat
|
AGENCE
|
- Fiche de contrat
- Déclaration transmise
- Copie de déclaration transmise
|
2
|
Bulletin de liquidation transmis
|
- Enregistrer bulletin
- Liquider montant
|
AGENCE
|
- Quittance de déclaration remise
- Copie quittance
|
3
|
Bon à enlever remis
|
Présenter bon
|
AGENCE
|
Marchandise retirée
|
I.3.3. TABLEAU DES
OPERATIONS
Une opération est un ensemble d'actions
exécutées pour réagir à un ou plusieurs
événements. Une opération peut produire un ou plusieurs
résultats.
N°
|
Nom opération
|
Action induite
|
Evénement déclencheur
|
Propriétés
|
1
|
ETABLIR
|
Etablir la fiche de contrat
|
Documents présentés
|
- Fiche de contrat
- Déclaration transmise
- Copie de déclaration transmise
|
2
|
ENREGISTRER
|
- Enregistrer bulletin
- Liquider montant
|
- Bulletin de liquidation transmis
- Copie de déclaration
- Quittance de déclaration
|
- Quittance de déclaration remise
- Copie quittance
|
3
|
VERIFIER
|
Présenter bon
|
- Bon à enlever remis
- Copie quittance
|
Marchandise retirée
|
I.3.4. TABLEAU DES
SYNCHRONISATIONS
La synchronisation d'une opération définit une
condition booléenne sur les événements contributifs devant
déclencher une opération. Il s'agit donc des conditions au niveau
des événements régies par une condition logique
réalisées grâce aux opérateurs : OU, ET,
NON.23(*)
De ce fait, pour notre cas nous aurons deux niveaux de
synchronisation (S1 et S2) exécutées grâce à notre
tableau des opérations faites précédemment.
N°
|
Nom synchronisation
|
Opération
|
Evénements déclencheurs
|
Synchronisation
|
1
|
S1
|
ENREGISTRER
|
a : Bulletin de liquidation
b : Copie de déclaration
c : Quittance de déclaration
|
a, b et c
|
2
|
S2
|
VERIFIER
|
d : Bon à enlever
e : Copie quittance
|
d et e
|
II.3.4. GRAPHE
D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS (GOE)
Documents présentés
Fiche de contrat
Déclaration transmise
Quittance de déclaration
Bulletin de liquidation
Copie de déclaration
Copie quittance
Quittance de déclaration remise
Bon à enlever
Marchandise retirée
C'est un graphique qui donne les événements
internes tout en les associant là où il faut aux
événements externes et/ou aux événements
temporaires et/ou aux résultats des opérations. Les barres
horizontales représentent les opérations.
II.3.5. MODELE CONCEPTUEL DES
TRAITEMENTS PROPREMENT-DIT
Documents présentés
ETABLIR
- Fiche de contrat
- Déclaration
Déclaration transmise
Fiche de contrat
Copie de déclaration
Quittance de déclaration
Bulletin de liquidation
et
ENREGISTRER
Quittance de déclaration
Copie quittance
Quittance de déclaration transmise
Bon à enlever
et
VERIFIER
Marchandise retirée
Marchandise retirée
CHAPITRE III. MODELE
LOGIQUE ET ORGANISATIONNEL
III.1. INTRODUCTION
Après avoir conçu le Modèle Conceptuel de
Données (MCD), il est maintenant temps de le transposer en Modèle
logique de données (MLD). Ce modèle logique de données est
en fait le dernier pas vers le Modèle Physique de données (MPD),
c'est-à-dire la description de la base va être crée. C'est
grâce à toutes les opérations précédentes que
l'ensemble des tables de la base de données vont pouvoir être
structurées de manière simple et rapide.
III.2. CONCEPTION DU
MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
III.2.1. GENERALITES SUR LE
MODELE LOGIQUE DE DONNEES RELATIONNELLES
Le Modèle logique de données consiste à
décrire la structure de données utilisées sans faire
référence à un langage de programmation. Il s'agit donc de
préciser le type de données utilisées lors des
traitements.24(*) Le
Modèle logique de données reprend le contenu du MCD
précédant, mais précise la volumétrie, la structure
et l'organisation des données telles qu'elles pourront être
implémentées.
Pour parvenir à la transformation du MCD en MLD, il y a
des règles de transformation.
III.2.2. REGLES DE TRANSFORMATION DU MCD EN MLD
1. Transformation des
entités
Ø Toute entité doit être
représentée par une table ;
Ø Les identifiants des entités deviennent des
clés primaires des tables
2. Transformation des associations
hiérarchique (Relation de type 1,n ou CIF)
Dans le cas d'entités reliées par des
associations de type (1,n), chaque table possède sa propre clé,
mais la clé de l'entité côté (0,n) ou (1,n) migre
vers la table côté (0,1) ou (1,1) et devient une clé
étrangère (index secondaire).
3. Transformation des associations non
hiérarchique25(*)
Ø Chaque association hiérarchique devient une
table
Ø Le nom de l'association devient le nom de la table
Ø Les propriétés de l'association
deviennent les rubriques de la table ;
Ø La clé primaire de cette table (relation) est
formée par la concaténation des identifiants des entités
qui sont en relation avec l'association.
III.2.3. REPRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
RELATIONNELLES MLDR
Après la transformation, nous obtenons le MLDR
suivant
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
(1,1)
(1,n)
BUREAU
codbureau
nombureau
numcamion
nomchauf
marqueveh
CAMION
numimport
nomimport
numtelimp
IMPORTATEURR
codbanq
nombanq
adresbanq
BANQUE
codagence
nomagence
adresagence
AGENCE
numquit
datequit
codetaxe
libelletaxe
montantverse
cobureau#
QUITTANCE
numcont
datecont
dureecont
montpay
numimport#
codagence #
typecont
CONTRAT
numbon
datebon
lieudech
lieudedech
heurededech
datededech
numcamion#
nummanif#
BON
nummanif
dateenreg
paysprov
paysdest
montafac
nbrecolis
poidsart
descriptart
fret
assurance
taux
codbureau#
numimport#
codagence#
codbanq#
MANIFESTE
III.2.4. QUANTIFICATION DU MLD
La quantification est une opération qui consiste
à une sommation détaillée des attributs d'une relation.
A. Critères de
quantification
Les critères prisent en compte pour la quantification
sont :
Ø la taille de propriétés (tout en se
référant au dictionnaire des données
Ø le nombre des tuples
Ø le nombre de relations (ou tables)
B. Démarche de
quantification
Pour chaque table, déterminer la taille occupée
par un tuple, sommer les tailles de tous les attributs d'une table.
a. Détermination de longueur (Li)
1. Table BUREAU : 5+20 = 25
2. Table CONTRAT : 7+8+8+15+5+12 = 55
caractères
3. Table IMPORTATEUR : 10+20+15 = 43 caractères
4. Table MANIFESTE :
10+8+15+15+15+3+6+20+15+15+15+5+10+5+5+4 = 166 caractères
5. Table AGENCE : 5+15+25 = 45 caractères
6. Table CAMION : 7+15+10 = 32 caractères
7. Table BON : 7+20+20+8+8+7+10 = 80 caractères
8. Table QUITTANCE : 7+8+5+25+15+5 = 65
caractères
9. Table BANQUE : 5+10+25 = 40 caractères
b. Détermination de nombre de tuple par
table
1. Table BUREAU : 4
2. Table CONTRAT : 312 x 3 = 936
3. Table IMPORTATEUR : 312 x 2 = 624
4. Table MANIFESTE : 312 x 3 = 936
5. Table AGENCE : 1
6. Table CAMION : 312 x 2 = 624
7. Table BON : 312 x 2 = 624
8. Table QUITTANCE : 312 x 3 = 936
9. Table BANQUE : 2
C'est ainsi que l'espace en moyenne de notre base de
données qui peut être utilisé au cours d'une année
(soit 312 jours ouvrable) sera de :
25x4+43x936+45x624+162x936+45x1+32x624+80x624+65x936+40x2 =
935913 octets.
III.3 CONCEPTION DU MODELE
ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS
III.3.1. GENERALITES SUR LE
MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS (MOT)
Le Modèle organisationnel des traitements
modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation
et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque
activité (nommée tâche ou phase) est homogène en
terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de
réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à
la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses
tâches (organisationnelles). Il y a de fait, corrélation entre le
changement de niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et
l'accroissement du degré de détail.
Le Modèle organisationnel des traitements (MOT)
représente les opérations du MCT sous une forme
détaillée, puisque l'organisation interne de l'entreprise est ici
prise en compte. Il décrit ce que font les gens du métier (leurs
tâches ou phases) dont certaines sont informatisées.
III.3.2. PRINCIPES DE PASSAGE DU NIVEAU CONCEPTUEL VERS LE
NIVEAU ORGANISATIONNEL
A. Contenue du Modèle organisationnel
Au niveau conceptuel nous avions expliqué simplement
« quoi faire », tandis qu'à ce niveau
organisationnel, il nous est opportun de poser les questions suivantes :
« qui fait », «quand on le fait » et
« comment on le fait », pour arriver à
intégré dans ce modèle :
Ø l'affectation des tâches ;
Ø la désignation du milieu
Ø la chronologie d'exécution ;
Ø le modèle opératoire.
B. Nature de transformation
A partir du Modèle conceptuel des traitements, on
formule le choix d'organisation qui se base sur les orientations de l'analyse
préalable. Ce choix lorsqu'il est explicite puis détaillé
aboutissent à la définition des postes de travail. C'est ainsi
qu'à partir de ces postes de travail on construit une
procédure.
C. Conséquences sur le
modèle
Cette transformation produit 3 conséquences
majeures :
Ø l'ajout d'informations complémentaire :
le MOT précise comment la future solution s'insère dans
l'organisation ;
Ø la redéfinition des procédures :
chaque opération du MCT se trouve donc subdivisé ici en
procédures fonctionnelles (PF). Certains auteurs remplacent
« Procédures fonctionnelles » par le terme
« phase », le cas de Yves Tabourier ;26(*)
Ø l'ajout des éventuels
éléments : le MCT retient la notion
d'événements significatifs au niveau des principes de gestion. Le
passage au niveau organisationnel peut justifier l'ajout des
événements supplémentaires imposés par les
contraintes d'organisation que nous trouvons.
1. Diagramme des procédures
La procédure est un regroupement de phases. Elle
équivaut sur le plan organisationnel aux notions d'opérations et
d'actions conceptuelles.27(*)
CLIENT
|
AGENCE
|
DOUANE
|
BANQUE
|
ENREGISTRER
ETABLIR
Documents
présentés
Fiche de contrat
Fiche de contrat
Fiche de contrat
Quittance de déclaration
Bulletin de liquidation
Quittance de déclaration
Bon à enlever
et
et
Copie quittance
VERIFIER
Marchandise retirée
1. Diagramme d'enchainement des
procédures
L'enchainement des procédures est un concept lié
à un échange d'informations liées à
l'externalisation de certaines activités.
En effet, lors de notre analyse nous avons trouvé
naturellement que les acteurs sont des postes de travail. C'est ainsi que le
MOT va donc cerner l'activité de chaque poste de travail (informatique
ou non), et chaque service, du type de ressources (manuel, automatisé),
du type de support (document écrit, magnétique, etc.)
En outre, précisons que le terme degré
d'automatisation traduit l'utilisation des ressources humaines et/ou
informatique pour l'exécution de l'activité.
On distingue trois degrés :
v Manuel : seule la ressource humaine
est mise en oeuvre (même si c'est une activité
intellectuelle) ;
v Interactive ou conversationnelle : les
ressources humaines et informatique sont mobilisées dans le
déroulement de l'activité (même de manière
alternative dans le courant de l'activité informatique, globalement les
2 sont mobilisées).
v Automatique : durant le
déroulement de la phase ou tâche seule la ressource informatique
est utilisée.
C'est ainsi que nous avons le tableau suivant :
Temps
|
Traitements
|
Mode de traitement
|
Poste de travail & Ressources
|
Fiche de
contrat
ETABLIR
Déclaration transmise
Fiche de
contrat
Documents présentés
Copie de déclaration
Quittance de déclaration
Bulletin de liquidation
Copie quittance
Quittance de déclaration
ENREGISTRER
et
Copie quittance
Bon à enlever
et
VERIFIER
Marchandise retirée
|
Interactif
|
AGENCE
- Personnel
- Papiers
- Imprimante
- Stylo
- PC
|
|
Début : à l'admission de la copie de
déclaration, bulletin de liquidation et quittance de
déclaration
Durée : 7heures
|
|
Interactif
|
AGENCE
- Personnel
- Papiers
- Imprimante
- Stylo
- PC
|
Début : à la réception copie quittance
et bon à enlever
Durée : 2heures
|
|
Manuel
|
SERVICE DOUANE
- Personnel
- Stylo
- Papier
|
2. Diagramme des phases
La phase est un ensemble d'actions réalisées sur
un même poste de travail. La phase peut être manuel par exemple la
confection d'un colis, soit automatisée et interactive par exemple la
saisie d'un formulaire,...
oui
non
Saisir un autre
Saisir : - le bulletin de liquidation
- numquit
- montverse
- codetaxe
Cliquer sur le bouton Enregistrer
Cliquer sur Quitter
- Fermer le formulaire
- Ouvrir le Menu général
- Enregistrer le numquit, montverse, codetaxe dans la base de
données.
oui
non
Saisir un autre
Saisir : - numimport
- poidsmarch
- nbrecolis
- montpay
Cliquer sur le bouton Enregistrer
Cliquer sur Quitter
- Fermer le formulaire
- Ouvrir le Menu général
- Enregistrer le numimport, poidsmarch, nbrecolis, montpay dans
la base de données
CHAPITRE IV.
IMPLEMENTATION
IV.1. INTRODUCTION
Cette partie consiste à une implémentation
physique d'une structure logique des données en mettant en oeuvre un
logiciel appelé Système de Gestion de Base de Données afin
d'aboutir à un schéma physique des données qui se
réfère au même modèle que celui que nous avons vu
précédemment au niveau logique.
IV.2. MODELE PHYSIQUE DES
DONNEES
Le Modèle physique des données
s'intéresse à l'optimisation de la gestion des données en
fonction de l'outil choisi pour cette gestion et surtout des traitements qui
utilisent ces données.
Le Modèle physique de données (MPD) permet de
préciser le système de stockage employé, l'objectif du
niveau physique est d'aboutir à l'implémentation d'une structure
des données appelé base des données sur le support
informatique accessible à l'ordinateur.
Ainsi, pour implémenter cette structure, on a retenu
parmi les nombreux logiciels du marché le logiciel Visual Basic 6.0 qui
est un produit fondamental à utiliser. Et pour notre base de
données, nous avons porté notre choix sur le produit Microsoft
Office à savoir Microsoft Office Access 2007 qui est un système
de gestion de base données (SGBD).
IV.3. LE LOGICIEL VISUAL
BASIC VB
Visual Basic a été conçu pour être
facile à apprendre et à utiliser. Ce langage permet de
créer des applications graphiques de façon simple, mais
également de créer des applications véritablement
complexes.28(*) Programmer
en Visual Basic (VB) est un mélange de plusieurs tâches, comme
disposer visuellement les composants et contrôles sur les formulaires,
définir les propriétés et les actions associées
à des composants, et enfin ajouter du code pour ajouter des
fonctionnalités.
Le langage Visual Basic permet aussi de créer des
exécutables (fichiers.exe). Il dispose également d'une grande
bibliothèque d'utilitaires et offre les bases du support de la
programmation orientée objet.
IV.3.1. COMPILATION ET
INTERPRETATION
Lorsqu'on écrit une application Visual Basic, on
crée donc un ensemble objets à partir des classes
proposées, et on définit les procédures qui se rapportent
à ces objets. Lorsqu'on sauvegarde cette application, Visual Basic va
créer un certain nombre des fichiers. Pour l'essentiel
Ø Un fichier dit Projet comportant l'extension
« .vbp ». Ce fichier rassemble les informations
générales de votre application.
Ø Un fichier par objet Form créé, fichier
portant l'extension « .frm ». Ce fichier comporte les
objets contenus par « Form », ainsi que tout le code des
procédures liées à ces objets.
IV.3.2. L'INTERFACE VB
Le VB possède un vérificateur de syntaxe en
temps réel. C'est-à-dire que l'éditeur de code
détecte les instructions non légitime au fur et à mesure
que vous les entrez, et il les signale par un texte mis en rouge, et pour faire
bonne mesure, par un message d'erreur29(*).
IV.4. PRESENTATION DES
INTERFACES DE L'APPLICATION
MENU GENERAL
ORDRE A DECLARER
T ONE
Quittance de déclaration
Bon à enlever
IV.5 QUELQUES CODES DU
PROGRAMME
Vu le volume du programme, nous ne saurons pas donner tous les
codes, c'est ainsi que nous avons choisi quelques codes seulement à
présenter :
1. Commande d'enregistrement du formulaire gestion du contrat
Private Sub cmdenregistrer_Click()
contrat.Refresh
With contrat.Recordset
.AddNew
!codagence = codeagence.Text
!naturemarch = naturemarch.Text
!poids = poids.Text
!montpay = montpay.Text
!numcont = numcont.Text
!typecont = typecont.Text
!dureecont = dureecont.Text
!numimport = numimport.Text
!datecont = datecont.Text
.Update
End With
Unload Me
frmgestioncont.Show
End Sub
2. Commande modifier le formulaire gestion du contrat
Private Sub cmdmodifier_Click()
contrat.Refresh
With contrat.Recordset
While Not .EOF
If cbnumcont.Text = !numcont Then
!codagence = codeagence.Text
!naturemarch = naturemarch.Text
!montpay = montpay.Text
!typecont = typecont.Text
!dureecont = dureecont.Text
!datecont = datecont.Text
!numimport = numimport.Text
!poids = poids.Text
.Update
End If
.MoveNext
Wend
End With
Unload Me
frmgestioncont.Show
End Sub
3. Commande formulaire manifeste
Private Sub cmdenregistrer_Click()
manifeste.Refresh
With manifeste.Recordset
.AddNew
!nummanif = nummanif.Text
!dateenreg = dateenreg.Text
!paysprov = paysprov.Text
!paysdest = paysdest.Text
!montfact = montfact.Text
!poidsart = poidsart.Text
!assurance = assurance.Text
!fret = fret.Text
!descriptart = descriptart.Text
!montdedecl = montdedecl.Text
!tauxchang = tauxchang.Text
!codagence = codeagence.Text
!codbanq = codbanq.Text
!codbureau = codebureau.Text
!numimport = numimport.Text
.Update
End With
Unload Me
frmmanifeste.Show
4. Commande rechercher
Private Sub rechercher_Click()
Unload Me
frmmanifeste.Show
cbnummanif.Visible = True
nummanif.Visible = False
manifeste.Refresh
With manifeste.Recordset
While Not .EOF
cbnummanif.AddItem !nummanif
.MoveNext
Wend
End With
End Sub
5. Commande Supprimer
Private Sub supprimer_Click()
contrat.Refresh
With contrat.Recordset
While Not .EOF
If (cbnumcont.Text = !numcont) Then
.Delete
End If
.MoveNext
Wend
End With
Unload Me
frmgestioncont.Show
End Sub
CONCLUSION GENERALE
Nous voici parvenu au terme de
la réalisation de ce travail scientifique réalisé à
la Faculté des Sciences Informatiques, à l'Université
Protestante de Lubumbashi.
Ce travail est
réalisé sur la mise au point d'une application de gestion des
contrats des déclarations dans une agence en douane dans le cas pratique
de l'entreprise Cosec Sprl.
Pour parvenir à
réaliser ce travail scientifique, nous nous sommes
intéressé principalement à chercher à connaitre
quelles sont les difficultés rencontrées dans la gestion des
déclarations au sein de cette entreprise, et quels sont les facteurs
à la base de ces difficultés en vue de proposer des pistes de
solutions d'une administration adéquate à cette altération
de gestion.
A partir de ce constat, nous avons formulé
l'hypothèse selon laquelle une application informatisée serait
d'une grande utilité pour la gestion de cette entreprise dans le titre
de la prise de décisions.
En vue de vérifier notre
hypothèse et d'atteindre notre objectif, nous avons recouru à la
méthode analytique à laquelle nous attachions MERISE qui est une
méthode de conception et de développement de système
d'information, et avons procédé par la technique d'interview au
moyen d'un guide (questionnaire), la technique documentaire ainsi que
l'observation.
Pour nous permettre de bien travailler en profondeur et avec
beaucoup d'efficacité, nous avons divisé notre sujet en double
point de vue : temporel et spatial (géographique).
Ø Du point de vue temporel, notre analyse part de la
conception du système d'information jusqu'à son
implémentation sur une configuration effective donnée, et
demeurera admissible jusqu'à ce que l'entreprise aura besoin de changer
son système de gestion.
Ø Quant au point de vue spacial, notre travail
s'inscrit dans l'entreprise Cosec Sprl plus précisément dans le
service d'exploitation de gestion des déclarations.
Hormis l'introduction et la conclusion générale,
notre travail est subdivisé en quatre (4) chapitres de la manière
ci-après :
Ø Le premier chapitre porte sur l'analyse
préalable et a pour objectif la description du système existant
ainsi que son analyse ;
Ø Le deuxième chapitre intitulé analyse
conceptuelle vise l'analyse définie du système.
Ø Le troisième chapitre intitulé
modèle logique et organisationnel permet de procéder à la
spécification de la structure et la prise en compte des aspects
organisationnels et l'ajout des contraintes à la solution
conçue.
Ø Et enfin le quatrième chapitre nommé
implémentation a pour objectif la mise au point proprement dite de
l'application.
A la fin de notre analyse, nous avons abouti au
résultat d'implémentation d'une structure logique des
données en mettant en oeuvre un logiciel appelé Système de
Gestion de Base de Données afin de matérialiser la gestion
concrète de cette entreprise. Avec ce résultat obtenu, nous
pouvons dire dans la mesure du possible que notre hypothèse est
confirmée ou affirmée.
BIBLIOGRAPHIE
1. OUVRAGES
1. Chris J., Introduction aux bases de données,
éd. Thomson International, Paris, 1998.
2. Documentation SYDONIA ; Procédure
détaillée du traitement des déclarations dans le
système douanier, du 15 Février 2009.
3. Fréderic Baechler, Modélisation de
données, éd. Dunod, 1999
4. Fréderic Brouard, Petit guide d'analyse des
données à l'aide de la méthode MERISE, éd.
d'organisation, Paris, 1998
5. Hubert Tardieu, La Méthode Merise-Tome1, Principes
et outils, éd. d'organisation, Paris, 1996.
6.
René Ledru, Chronique juridique : Loi sur les exportations
et importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson Sales Europe
7. Sarton A., La Méthode Merise, éd.
d'organisation, Paris, 1998.
2. COURS
1. BAVUEZA D., Cours de Méthodes d'analyse informatique,
G3/Info/UPL, 2011-2011, Inédit
2. CANDA D., Cours d'initiation à la recherche
scientifique, G1/Info/UPL, 2008-2009, Inédit
3. MUKANYA S., Cours de projets informatiques, G3 Info/UPL,
2010-2011, Inédit
4. MUNDA J., Cours de Visual Basic Application,
G3/Info/UPL, 2010-2011, Inédit
3. TFC ET MEMOIRES
1. Laurent BAELE. Mémoire de licence en sciences
informatiques, AZAM/SENEGAL, 2008, Inédit
4. DICTIONNAIRE
1. Dictionnaire de langue française, Librairie Larousse,
Paris, 1994
2. WEBOGRAPHIE
http://www.developpez.com
http ://www.commentcamarche.net
http ://www.wikipedia.org
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
I
DEDICACE
II
REMERCIEMENTS
III
INTRODUCTION GENERALE
1
1. GENERALITES
1
2. PROBLEMATIQUE
1
3. HYPOTHESE
2
4. METHODES ET TECHNIQUES
2
4.1. METHODES
2
4.2. TECHNIQUES
2
5. CHOIX ET INTERET DU SUJET
3
5.1. CHOIX DU SUJET
3
5.2. INTERET DU SUJET
3
6. DELIMITATION DU SUJET
4
7. FOURNITURES ATTENDUES
4
8. SUBDIVISION DU TRAVAIL
5
CHAPITRE I. ANALYSE PREALABLE
6
I.1. INTRODUCTION
6
I.2. PRESENTATION DE L'EXISTANT
6
I.2.1. APERÇU HISTORIQUE
6
I.2.2. SIEGE SOCIAL
6
I.2.3. SITUATION GEOGRAPHIQUE
7
I.2.4. OBJET SOCIAL
7
I.2.5. ORGANIGRAMME
8
I.2.6. DESCRIPTION DES POSTES
9
I.3. FONCTIONNEMENT DE L'AGENCE
10
I.3.1. DESCRIPTION TEXTUELLE
10
I.3.2. TABLEAU DES ACTEURS
11
I.3.3. GRAPHE DES FLUX
11
I.3.4. TABLEAU DES FLUX
13
I.4. ANALYSE DES DOCUMENTS
14
II.4.1. PRESENTATION DES DOCUMENTS
14
I.4.2. INVENTAIRE DES RUBRIQUES
15
I.5. CRITIQUES ET SUGGESTIONS
18
I.5.1. POINTS POSITIFS
18
I.5.2. POINTS NEGATIFS
18
I.5.3. SUGGESTIONS
18
I.5.4. NOUVELLES ORIENTATIONS
19
CHAPITRE II. ANALYSE CONCEPTUELLE
20
II.1. INTRODUCTION
20
II.2. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES
20
II.2.1. FORMALISME DE REPRESENTATION DU MCD
20
I.3. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
31
I.3.1. TABLEAU DES EVENEMENTS
31
II.3.2. TABLEAU DES ACTIONS INDUITES
32
I.3.3. TABLEAU DES OPERATIONS
32
I.3.4. TABLEAU DES SYNCHRONISATIONS
33
II.3.4. GRAPHE D'ORDONNANCEMENT DES EVENEMENTS
(GOE)
33
II.3.5. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
PROPREMENT-DIT
34
CHAPITRE III. MODELE LOGIQUE ET ORGANISATIONNEL
35
III.1. INTRODUCTION
35
III.2. CONCEPTION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES
(MLD)
35
III.2.1. GENERALITES SUR LE MODELE LOGIQUE DE
DONNEES RELATIONNELLES
35
III.3 CONCEPTION DU MODELE ORGANISATIONNEL DES
TRAITEMENTS
39
III.3.1. GENERALITES SUR LE MODELE ORGANISATIONNEL
DES TRAITEMENTS (MOT)
39
CHAPITRE IV. IMPLEMENTATION
45
IV.1. INTRODUCTION
45
IV.2. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
45
IV.3. LE LOGICIEL VISUAL BASIC VB
45
IV.3.1. COMPILATION ET INTERPRETATION
46
IV.3.2. L'INTERFACE VB
46
IV.4. PRESENTATION DES INTERFACES DE
L'APPLICATION
47
IV.5 QUELQUES CODES DU PROGRAMME
49
CONCLUSION GENERALE
52
BIBLIOGRAPHIE
54
1. OUVRAGES
54
2. COURS
54
3. TFC ET MEMOIRES
54
4. DICTIONNAIRE
54
2. WEBOGRAPHIE
54
TABLE DES MATIERES
55
* 1 CANDA D., Cours d'Initiation
à la recherche scientifique, G1/Info/UPL, 2008-2009, p.23,
Inédit
* 2 CANDA D., op.cit,
p.27
* 3 Dictionnaire de langue
française, Librairie Larousse, Paris, 1994, p.324
* 4 Sarton A., La
Méthode Merise, éd. d'organisation, Paris, 1998, p.5
* 5 MUKANYA S., Cours de projets
informatiques, G3 Info/UPL, 2010-2011, p.8, Inédit
* 6 htpp://www.wikipedia.org
* 7 AVI signifie :
Attestation de Vérification à l'Importation
* 8
René
Ledru, Chronique juridique : Loi sur les exportations et
importations, ordonnance du 9 juillet 2008, Ed. Thomson Sales Europe,
p.35
* 9 Hubert Tardieu, La
Méthode Merise-Tome1, Principes et outils, éd.
d'organisation, Paris, 1996, p.104
* 10 Idem, p.105
* 11 BAVUEZA D., Cours de
Méthodes d'analyse informatique, G2/Info/UPL, 2009-2010,
Inédit
* 12 Hubert Tardieu,
op.cit, p.109
* 13 Hubert Tardieu,
op.cit, p.20-21
* 14 Documentation
SYDONIA ; Procédure détaillée du traitement des
déclarations dans le système douanier, du 15 Février 2009,
p.5
* 15 Ibidem, p.6
* 16 Fréderic Baechler,
Modélisation de données, éd. Dunod, 1999, p.15
* 17 Idem, p.18
* 18 Ibidem, p.19
* 19 Laurent BAELE.
Mémoire de licence en sciences informatiques, AZAM/SENEGAL, 2008,
Inédit
* 20 Hubert Tardieu,
op.cit, p.83
* 21
http ://www.commentcamarche.net
* 22 Fréderic Brouard,
Petit guide d'analyse des données à l'aide de la
méthode MERISE, éd. d'organisation, Paris, 1998, p.121
* 23 Fréderic Brouard,
op.cit, p.125-126
* 24 Chris J., Introduction
aux bases de données, éd. Thomson International, Paris, 1998,
p.10
* 25 BAVUEZA D., Cours de
Méthodes d'analyse informatique, G3/Info/UPL, 2011-2011,
p.22, Inédit
* 26 Yves Tabourier, De
l'autre coté de Merise, éd. d'organisation, Paris, 1986,
p.209
* 27
http://www.developpez.com
* 28 MUNDA J., Cours de Visual
Basic Application, G3/Info/UPL, 2010-2011, Inédit
* 29 MUNDA J., op.cit
|